"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Intrigue / Groupe 2 - Page 6 2979874845 Intrigue / Groupe 2 - Page 6 1973890357
-67%
Le deal à ne pas rater :
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ (nouveaux clients / ...
4.99 € 14.99 €
Voir le deal


Intrigue / Groupe 2

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 25 Avr 2015 - 0:39 par Invité
Les bruits autour de nous était beaucoup moins fort que précédemment. Le calme avant la tempête. Est ce que la situation pouvait être pire ? C'est fort possible. Enfin, je ne sais même pas si il y a des morts ou encore des blessés graves. A vrai dire, je ne sais même pas ce que j'ai. Je doute que je souhaite en savoir plus de toute manière. Je serais capable de tomber dans les pommes. Le sang, les entailles, me font rapidement tourner de l'oeil. Je n'ai jamais eu de blessures ouvertes ou de fractures. Ce type de douleur, c'est tout nouveau pour moi. Je ne sais pas comment y faire face, comment faire pour en faire abstraction et reprendre a peu près mes esprits. Il faut sortir d'ici. Mais je pense en être tout bonnement incapable. Rester éveiller est déjà quelques choses de pratiquement insurmontable. « Ne bouge pas... » Un grognement de mécontentement m'échappe. Je veux qu'il me prenne contre lui. Qu'il me sert dans ses bras et qu'il me réchauffe avec son corps. La chaleur quitte peu a peu. Je ne sent plus mes orteils.  « je suis là, tout ira bien, je te le promets » Et je le croit. J'ai toujours un peu peur, mais je me sent protéger. Puis de toute manière, Aiden n'a jamais peur de rien. C'est un peu comme un aventurier. Il ne peut que m'aider dans cette situation. « S'il te plaît, ne t'endors pas, j'ai besoin de toi » Son murmure dans mon oreille, me fait frissonner. Mon cœur bat un peu plus vite, et j'ai l'impression que mon corps se réchauffe. Ce n'est malheureusement qu'un impression. Mais c'est agréable. Et peut être que devrais trouver ça tordu, mais je trouve ça... Normal ? « Prend moi... » je tente de ne pas avoir la voix qui déraille trop et ne rougit même pas en voyant que je n'ai toujours pas mit fin à ma phrase et que ça la rend très suspecte. « Dans tes bras.. » Je le regarde, continuant ma lutte. Mon regard se dirige ensuite vers les braqueurs et mon ventre se tord. La peur revient en un rien de temps.  « Je te promets de t'embrasser comme tu n'as jamais été embrassée » La pression que je faisais sur sa main devient plus pressante et je ravale mes larmes. Ce n'est pas le lieu, ni le moment. Ils pourraient être capable de me tuer pour ça. Ces paroles résonne dans mon esprit et je me surprend à penser que, j'espère, que se moment ne saurait tardé. J'hoche lentement la tête en tentant de sourire. Je ne sais pas si ça ressemble à grand chose. Je l'espère, parce que, dans mon esprit, il est sincère.« dès que tu iras mieux et si tu me promets de ne pas t'endormir, il ne faut pas que tu t'endormes.. » Je fais un peu la moue, incapable de savoir combien de temps j'allais tenir dans cet état second. « Je serais plus gentil avec toi si tu restes éveillée et que tu te bats pour t'en sortir... je te promets de tout faire pour te donner ce sourire que les autres te donnent et pas moi. » Je ferme les yeux et commence a avoir un peu plus de mal a respirer. Je ne sais pas ce qui se passe. Tout ce que j'essaie de faire, c'est d'éviter de paniquer. « C'est dur.. » Je continue de murmurer et c'est quelques mots sont une véritable lutte acharné. Il faut que tout ça cesse. Que l'on sorte.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 25 Avr 2015 - 0:59 par Invité
Une pause ? Rhys sourit faiblement à cette phrase. Eh bien, si chez les policiers, faire une pause signifiait se faire charcuter par une balle et être à deux doigts de mourir, la sécurité à Londres en était alors bien rendue. C’était rassurant, en toute ironie bien entendu. « Si tu te dis en pause lorsque tu as une balle logée dans l’épaule, quand est-ce que je pourrai te considérer comme en détresse ? Quand tu seras morte ? » railla-t-il, se moquant une nouvelle fois de sa volonté à garder la face, même dans ce genre de situation. Même s’ils n’avaient jamais entretenu de relation plus amicale que les joutes verbales dont ils avaient été habitués depuis des années, le journaliste pensait avoir suffisamment cerné Sam pour savoir qu’elle n’était pas du genre à avouer facilement ses faiblesses. La seule fois où il l’avait vue flancher, c’était à la salle de boxe, ce soir où ils avaient fini par s’embrouiller, pour ne pas changer. Cela paraissait absolument saugrenu, mais il était prêt à parier qu’elle lui avait parue plus sensible et touchée ce jour-là plutôt qu’aujourd’hui, malgré le braquage auquel ils assistaient et malgré sa blessure grave. Il se disait qu’elle était accoutumée à ce genre de situation sauf que finalement, dans l’esprit de Rhys, il était impossible d’être habitué à ça. A moins de faire partie d’un gang, d’habiter dans des favelas ou autre chose du style. Or, il avait beau de pas connaître énormément de détails de la vie de la brunette, il savait tout de même qu’elle habitait Shoreditch et non pas un guetto de Londres. « On a pas tous la même sensibilité à ce genre de vision d’horreur. » répliqua-t-il en grimaçant rien qu’à l’idée de devoir en parler. C’était tellement la honte, ce genre de phobie. Certes, il avait toujours été très mal à l’aise quand il devait passer des analyses de sang ou faire des piqûres, et il avait aussi remarqué qu’il avait parfois du mal à regarder des scènes gores mais jusqu’ici, sa vie ne s’en portait pas mal. Il n’avait jamais été réellement confronté à cela, pas au sang, pas à des aussi grandes quantités. De plus, ce n’était pas seulement la vision du liquide rouge qui le terrifiait, mais rien que la marque de la balle enfouie dans la peau de Sam de manière disgracieuse lui avait donné des envies de vomir. Rhys le savait déjà, cette image allait le hanter durant encore quelques temps. Il ne pipa mot lorsque Sam lui donna sa réponse concernant son état. Il devait bien l’admettre, il admirait le courage et la force dont elle faisait preuve, même lors de tels moments. Cela lui faisait une nouvelle fois penser à la conversation qu’ils avaient eue il y a quelques mois, l’une de leurs seules conversations à cœur ouvert, où ils avaient été sincères. « Tu as le droit de dire que ça ne va pas. » chuchota-t-il, la main toujours posée sur son front comme pour lui rappeler sa présence. Elle avait le droit de lâcher prise pour une fois, d’admettre qu’elle ne pouvait pas endosser le rôle de la justicière éternellement. « J’espère en avoir un bon prix pour les droits d’adaptation, ça pourrait t’aider à rembourser tes dettes. » ajouta-t-il, au sujet de la potentielle série télévisé qu’il avait suggéré de faire. Puis finalement, quand le jeune homme sentit Sam se détendre quelque peu, il retira sa main, soulagé qu’elle ne soit pas complètement dans les choux, même si ce qu’elle lui dit n’annonçait rien de bon. Il voulut bouger pour changer discrètement de position mais la brunette toujours contre lui, il n’en fit rien, de peur de lui faire mal. C’est à ce moment que les braqueurs se firent de nouveau entendre. Ils étaient un peu plus loin, mais on pouvait aisément comprendre qu’ils venaient de frapper quelqu’un, sûrement une personne qui avait tenté un acte héroïque. Encore effrayé et choqué par l’agressivité des malfaiteurs, Rhys se mordit l’intérieur des joues, priant pour qu’un miracle se produise pour les libérer.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 26 Avr 2015 - 9:21 par Invité
Je commençais à réellement m’impatienter mais je devais contenir car je n’avais pas envie que les choses tournent mal. Ce n’était absolument pas le moment de faire le malin. Surtout avec Rosemarie dans un tel état. C’était la première fois que je ressentais quelque chose d’aussi intense, j’avais peur pour elle beaucoup plus que pour moi. En vérité, je me fichais pas mal de ce qu’il pouvait bien m’arriver à moi, par contre, ce qui pouvait arriver à Rosemarie m’importait beaucoup plus. Il ne fallait pas faire de bruit, j’essayais au maximum de ne rien dire à la jeune femme mais c’était difficile de la laisser comme çà. Il ne fallait pas non plus qu’elle s’endorme et il fallait donc que je l’aide à rester éveiller du mieux que je le pouvais. Elle somnolait, elle semblait dans un tout autre monde et cela commençait à me faire vraiment peur. J’essayais de la garder éveiller mais un braqueur vint à ma rencontre « Arrête de gesticuler dans tous les sens toi ! » autant vous dire qu’avoir une arme pointée sur soi n’était pas super agréable. Je le regardais, le défiant un petit peu du regard sans vouloir trop jouer les caïds. « Elle est blessée, j’essaie juste de la garder en vie ! » je n’aurais certainement jamais dû lui répondre mais c’était plus fort que moi « Tais-toi  ou la prochaine fois cette balle sera pour toi » parfait c’était tout ce qu’il fallait. J’allais devoir éviter de me prendre une balle maintenant tout en essayant de garder Rosemarie éveillée. « Prend moi... » je la regardais de nouveau, oubliant les braqueurs mais tout en essayant de ne pas trop bouger pour ne pas attirer leurs regards de nouveau. « Dans tes bras.. » je lui caressait la joue avant de la rapprocher le plus près possible de moi. Elle commençait à avoir froid, je la voyais trembler et je n’aimais pas du tout çà. Je commençais vraiment à perdre ma patience, j’avais vraiment peur pour elle et je n’avais pas envie qu’elle meurt dans mes bras. J’osais espérer qu’elle allait s’en sortir, que tout allait bien se passer par la suite parce qu’elle était la seule personne à me redonner espoir, maintenant que j’ouvrais les yeux, je ne pouvais pas la laisser partir sans me battre. Il était hors de question qu’elle me laisse tout seul dans ce monde que je détestais tant. Elle était la seule personne à me faire sourire même si personne ne le voyait, elle était la seule personne à me sortir de ce monde si sombre dans lequel je m’étais perpétuellement laissé embarquer. J’avais besoin d’elle, même si elle pensait le contraire. J’avais beau l’embêter en permanence, c’était pour cacher les sentiments que je pouvais avoir pour elle. « chut ne parle pas, je suis là, ne t’en fais pas » je la pris dans mes bras le plus fortement possible sans pour autant lui faire mal. Je ne voulais pas la blesser plus qu’elle ne l’était déjà. Malgré sa blessure à la tête, je ne pouvais m’empêcher de la trouver très jolie, je ne pouvais m’empêcher de penser que c’était un petit ange. Elle ne pouvait donc pas me laisser ainsi. Je jetais ensuite un œil aux braqueurs, l’un d’entre eux se mit alors à hurler, faisant sursauter plus d’une personne. Pourquoi ne pouvaient-ils pas tout simplement prendre ce qu’ils voulaient prendre et s’en aller le plus vite possible ? « je suis là » murmurais-je à la jeune femme, essayant de la réchauffer le plus possible. « C’est dur… » murmura-t-elle alors qu’elle était dans mes bras. Je savais que cette situation était difficile, et qu’elle avait beaucoup de mal à garder les yeux ouverts mais il fallait qu’elle résiste car je ne me voyais pas rester ici sans elle. Cette situation n’était plus possible « Essai je t’en prie Rosemarie, fais çà pour moi »  
[/b]
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mer 29 Avr 2015 - 17:59 par Invité
La douleur est si intense. Chaque mouvement te donne l’impression de crever sur place. Pourtant, t’y es habitué toi. A la douleur. Mais celle ci est insoutenable. Tu n’entends que vaguement tout ce qu’il se passe dans la pièce. Les coups. Les cris. La froideur de leurs mots. Tu voudrais juste que tout ça se termine. Qu’ils prennent leur argent et qu’ils partent. Que personne ne meurt ici. Dans la peur et la violence.
Des larmes coulent doucement de tes yeux sans même que tu ne réalisent. Elles roulent sur ses tempes, se perdant entre tes cheveux et ton oreille. Tu t’sens partir un peu. Comme si tout ce bruit devenait plus sourd. Plus loin. Puis sa voix. Sa voix à lui qui vient se distinguer des autres. « Appuies d'ssus... » Tu t’y accroches à sa voix. Pour rester conscient. Vivant. Alors tu fais comme il a dit. Tu appuies sur le tissu qu’il a posé sur ton bras, ralentissant le saignement. Celui là. Mais pas celui de ton omoplate.

T’es encore agrippé à lui. Comme si t’avais peur qu’il parte. Tes yeux sont encore grand ouverts. Tes yeux vides de réaction. Tu tentes d’écouter les autres pour ne pas te perdre. Pour ne pas sombrer. Alors tu essayes de te concentrer sur autre chose que cette douleur si insoutenable.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Ven 1 Mai 2015 - 20:13 par Invité
Le casse du siècle

GROUPE 2 - La seconde banque





ROSA & DILHAN:
Je savais qu'elle pouvait se calmer, prendre sur elle. Elle me l'avait montré beaucoup de fois. Elle avait une force de caractère, qui me surprenait beaucoup. Même si certainement elle, en doutait. Elle me supprimait souvent. Alors oui, elle avait le droit de paniquer, oui elle, avait le droit d'avoir peur, de ne pas se sentir bien, ou même montrer qu'elle souffre. J'étais là, pour l'aider à affronter cela. Lui prouvait qu'elle n'était pas seule. Et cette situation faisait partie des expérience plus ou moins dures, ou je serais là pour l'aider. Je ne suis pas un samaritain. Mais son bien être était plus important que quoique ce soit. Je connais son histoire, les difficultés qu'elle a dû rencontrer. Et visiblement, ce n'était pas fini . Puisque la prise d'otage, été la continuité des mauvaises choses qui se passait parfois dans sa vie. Pour ma part, je n'ai vraiment jamais connu de malheur comme elle, avait connu. La prise d'otage était une grande première.
Chaque parole que j'avais prononcé été sincère et mûrement réfléchi. Je voulais réellement faire partie de sa vie. Lui faire vivre ce que moi, j'avais vécu jusqu'à maintenant. Autant dire la rendre heureuse. «  Alors, si c'est ce que tu souhaites, on ira promis... » Et je comptais bien tenir ma promesse. Parce que j'étais convaincu qu'on allait sortir vivant d'ici. Je percevais son inquiétude, face à ma question. Je savais qu'elle avait peur pour moi. Comme j'avais peur pour elle, ce qui me touchait. Mais je voulais la savoir en sécurité. « Je veux juste voir s'il y a une autre façon pour demander de l'aide. Je n'en prendrais pas, ne t'inquiète pas. » Le portable, visiblement, ne suffisait pas. Il fallait tenter autre chose. Pour sortir d'ici. Je hochais la tête pour la rassurer, de ne rien tenter au risque de ma vie. Un léger sourire aux lèvres, que je perdais vite au contact de ces lèvres. Trop proche de mes lèvres, assez pour me surprendre, et espérer un peu plus. Mais rien ne se passait et je perdais du temps. Ou du moins, je perdais la maîtrise de moi-même. Avant de revenir à moi, l'élément déclencheur, ces mots, qui me touchaient au plus profond. Mes lèvres s'approchaient de ces oreilles, pour y murmurer. « Je ne cherche pas à être un héro à tes yeux... » Et j'effleurais ces lèvres de mon regard, avant d'essayer de me faufiler avec difficulté vers l'autre bureau, en évitant les regards des braqueurs. Et laissant en suspend mes mots qui voulait dire tant de choses. Mon attention a l'affut de ce qui m'entourait. Bras collait contre moi, chaque mouvement me procurait, une grimace et une douleur palpable.




Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Ven 1 Mai 2015 - 22:51 par Invité

La mort flotte dans la pièce, la banque sent le sang, et est inondée de sang. Une dizaine de personne est avachie à terre souffrant d’une blessure grave à la limite de la mort. En y pensant je me dis que j’ai eu de la chance de ne pas recevoir une balle dans une quelconque partie de mon corps quand j’ai fait tomber le téléphone de Theodore à terre, d’ailleurs lui non plus n’a presque rien eu, du moins pas de blessures très grave. Faisant partit des membres de la mafia il a déjà souffert de blessures beaucoup plus grave notamment le coup de feu à Belfast. Depuis que j’ai appris qu’il fait partie de la mafia tout à changer, du moins nous ne nous étions pas revus, j’avais comme besoin de réfléchir à l’affaire.

Je suis donc là face à Theodore qui me persuade d’aller sauver sa meilleure amie. L’idée me semble insensée, il ne sait pas quel genre de risque il engendre en faisant ça. Face à cinq hommes armés il ne peut rien faire et je le redis encore, je ne pourrais pas le voir s’effondrer devant moi, mon affection pour lui se développe de jour en jour et cet acte me serait insupportable. Je vois dans son regard gris la peur, le stress et surtout l’envie enivrante d’aller rejoindre Sam. Quant à moi, je suis paniquée et en même temps désespérée, j’essaye au mieux de le raisonner mais au vu de mon âge et de mon expérience en cette matière je ne vaux rien face à lui. Pendant ce temps-là, je me dis que je n’ai plus rien à faire, que quoi que je dise il ira quand même et par n’importe quel moyen. Face à ça mon stress monte encore plus, la mort règne impérieusement dans cette putain de banque et sincèrement je n’ai pas envie de mourir aujourd’hui et je ne veux pas que Theodore non plus. J’avale ma salive à plusieurs reprises, Theodore m’intimide encore lorsqu’il est énervé et sur les nerfs. Suite à mes paroles, il me regarde intensément, ses yeux sont gris foncé, ou bleu marine, je ne saurais dire, je sais juste qu’ils sont dix fois plus foncés que lorsqu’il est détendu.  « Tu n’as jamais perdu quelqu’un de très cher dis-moi ? On a jamais tiré sur ton coéquipier par ta faute ? » En effet rien de tout ça m’était arrivé mais d’un côté ce n’était pas une raison pour réagir comme ça. Ou alors, comme ça ne m’est jamais arrivé je ne peux pas comprendre, j’aurais surement réagi pareil face à ça. Suite à mes paroles, je lui tourne le dos, je reste sans voix après ce qu’il vient de me dire car je me rends compte que j’ai eu tords de réagir comme ça, j’aurais dû être moins agressive mais je pense tout de même qu’agir face à cinq hommes est trop risqué. Il me tire alors par le coude pour qu’il puisse me défier du regard. J’ose à peine le regarder dans les yeux, les miens se baissent automatiquement, je sais qu’il ne va pas être tendre. Ses paroles me donnent une énorme claque. Scarlett tu n’es qu’une pauvre conne c’est officiel. J’avale ma salive, je n’ose toujours pas le regarder. Je l’ai jugé et l’ai forcé à faire des choses alors que je ne connais quasiment rien de sa vie mais je n’ai pas envie qu’il se mette en danger putain ! Je frotte mes yeux puis passe une main dans mes cheveux. « Excuse-moi d’avoir parlé trop vite, mais … Je … Je savais pas Theodore. » En fait, je n’ai pas d’excuses, j’ai été conne de réagir comme ça mais la peur a pris le dessus. Je prends alors mon courage à deux mains et le regarde dans les yeux « Ecoute, je comprends ce que tu ressens pour ta meilleure amie et c’est normal, mais j’ai pas envie qu’il t’arrive quelque chose, alors vas-y si tu veux, dis-moi en quoi je peux t’aider, mais je t’en prie … Fais attention à toi » Les larmes me montèrent à nouveau aux yeux. Je m’approche de son visage, j’y pose une main sur sa joue, pour ensuite déposer un baiser sur ses lèvres. Son odeur est toujours présente malgré les faits des circonstances et ça me rassure. Une larme glisse le long de ma joue, puis je stoppe notre baiser. « Comment tu veux que je t’aide ? » dis-je totalement affolée. La transpiration envahie tout mon corps, je ne me sens tellement pas bien. Pitié que les flics arrivent pour stopper toute cette horreur.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
London is asking
London is asking
MEMBRE
Intrigue / Groupe 2 - Page 6 Tumblr_p67xu422GW1qd2dewo6_400
» Date d'inscription : 29/05/2014
» Messages : 380
» Avatar : andy samberg.
» Âge : forever and ever.
() message posté Sam 2 Mai 2015 - 13:53 par London is asking
INTRIGUE GROUPE #2

LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS


Tout se passait comme ils l'entendaient. Tout se suivait selon le plan, selon celui qu'ils avaient mis des semaines à élaborer, eux, ceux que personne ne remarquait jamais. Mais aujourd'hui, on les regardait. Avec effroi, peut-être, avec dégoût, aussi, mais ils étaient regardés. Ils n'étaient plus les oubliés. Et ils seraient sacrément riches à la sortie.
Les premiers tirs avaient installé une cohue incontrôlable, qui s'était soldée par bien des blessés, parfois des morts. Des dommages collatéraux, comme ils les avaient appelé lors des réunions. C'était inévitable. Ils ne devaient pas y penser. Ils devaient penser au plan, au trésor qui se cachait derrière ces portes. Une vie sans soucis, une vie entière au paradis. Ils ne pouvaient pas penser à autre chose. Et lorsque les tirs cessèrent et que le silence se fit de nouveau, la suite put commencé. Stan fit un signe de tête à Harry et Adam, leur indiquant la porte du coffre fort au fond de la salle. Ce ne serait pas facile, mais, avec un peu de chance, les explosifs qu'ils avaient fabriqué suffiraient. Il regarda un instant ses deux coéquipiers poser les explosifs sur les portes blindées, avant que dans un signe de tête entendu, les trois autres malfaiteurs restant débutent leur ronde. Personne ne devait quitter les lieux, à moins de ne pas vouloir s'en tirer vivant. La mort leur importait peu. Ils n'étaient pas venus là pour tuer, mais n'étaient pas non plus nés pour avoir pitié. Ils suffisaient qu'ils réfléchissent, et qu'ils obéissent. Certains tentaient des manoeuvres, certains parlaient trop, d'autres se pensaient à l'abris. Mais les trois hommes les avaient tous dans leur ligne de mir. Ils devaient simplement les contenir jusqu'à ce qu'Harry et Adam réussissent leur coup. Le sol trembla un coup, puis deux, avant qu'une épaisse poussière apparaisse devant leur coéquipier. Boum. Les portes avaient fini par céder. Tout se déroulait selon le plan. Et cela devait continuer ainsi s'ils voulaient s'en sortir. Tout était prévu pour, malgré l'existence d'aléas incontrôlables.

Lorsqu'Harry donna le signe que tout était ok, le silence se brisa, laissant de nouveau place à la panique. Stan tira deux coups de feu au plafond, souhaitant attirer l’attention de ceux qui étaient à présent leurs otages. « OYÉ OYÉ ! Si ces messieurs dames veulent bien se donner la peine d’entrer… » Un sourire narquois aux lèvres, il présente la salle des coffres d’une main, tout en pointant son arme sur les premières personnes venues (Rosa & Dilhan). Il leur fit signe de se relever, avant de les pousser vers les portes blindées avec son arme. De l’autre côté de la pièce, Drew sortit deux demoiselles de ce qu’elles pensaient être une bonne cachette (Heaven & Charlotte) avant de les attraper par les poignets pour les jeter au sol, les dirigeant par la même occasion vers la salle des coffres. August, plus en retrait, attrapa le col de celui qu’il surveillait depuis le départ (Theodore & Scarlett) et l’attira au milieu de la salle, où deux autres otages restaient à terre (Charlie & Linaëlle). « Toi la tête brûlée, aide-la à l’emmener à l’intérieur. » Il le forçait à s’agenouiller, gardant son arme pointée sur lui jusqu’à ce qu’il s’exécute et relève l’homme blessé. Revenu des coffres, Stan apprécia plus que de mesure cette montée d’adrénaline, lui faisant presque oublier qu’ils devaient faire vite. Chaque minute comptait. Soit ils obéissaient, soient ils mourraient. Il se dirigea vers deux autres victimes (Sam & Rhys), posant le bout de son arme sur le front de l’homme. « Emmène-la aux coffres si tu ne veux pas que je m’en charge. Crois-moi, je serais beaucoup moins délicat. » Il n’attendit aucune réponse, il n’y avait pas le temps pour cela. Il les contourna pour rejoindre Drew, occupé à crier sur deux autres personnes (Victor & Dmitri). Il pose une main sur l’épaule de son ami, lui intimant le calme, avant de se baisser pour être à la hauteur des deux têtus. « Je crois qu’il leur faut une petite motivation… » Sans attendre, il attrape le bras blessé d’un des deux hommes, le serrant assez fort pour lui rappeler la douleur du passage de la balle. Plus loin, August pointait son arme sur deux jeunes gens (Aiden & Rosemarie), leur intimant d’obéir aux ordres. Il ne voulait pas tuer, s’y était tenu jusque là, mais n’aurait pas d’autre choix. Il souleva la jeune fille blessée, avant de la trainer jusqu’aux portes blindées et de l’allonger dans la salle remplie d’otages. Il gardait son arme chargée et pointée vers eux, le temps que ses collègues reviennent. Stan ne tarda pas à arriver, un sourire mauvais toujours aux lèvres, levant son arme, près à tirer sur n’importe lequel d’entre eux. Drew revenait dans la même direction, avant qu’il ne se stoppe en remarquant deux derniers otages (Bartholomew & Alfie). L’un avait le pieds en sang, tandis que l’autre pouvait aisément se déplacer. Il attrapa le bras du blessé, l’obligeant à se relever malgré la peine, et n’attendit pas que le deuxième le suive pour les entrainer vers la salle, son arme pointée dans leur dos.

Ils étaient tous réunis dans cette salle, là où les cinq braqueurs pouvaient garder un oeil sur chacun tandis que les deux cerveaux de la bande tentaient de décrypter les codes des coffres. Ils leur restaient peu de temps avant l’arriver de la police. Mais au moindre son, au moindre geste, ils n’auraient qu’à fermer les portes.


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 2 Mai 2015 - 19:37 par Invité


. KNOCK KNOCK KNOCKING ON HEAVEN'S DOOR . Son état empirait au fur et à mesure que les minutes défilaient. Elle sentait son bras mollir, malgré l'énergie qu'elle mettait à faire bouger ses doigts afin de garder la sécurité d'une circulation sanguine suffisante. Elle continuait jusqu'à ce que le pouce ne réponde plus à l'appel, et que ça gorge se serre en ravalant une bouffée d'émotions. Elle ne pouvait pas être faible ici, pas maintenant, pas quand ces hommes n'étaient venu là que pour ça. Inspirer la peur et la peine. Elle pouvait entendre ceux qui pleuraient sur les corps des morts, et ceux qui priaient pour les vivants. Elle ne pleurait pas, ne priait pas, se concentrait sur sa respiration pour ne pas laisser ses émotions l'envahir. « Tu as le droit de dire que ça ne va pas. » La main de Rhys toujours posée sur son front, Samantha parvint à esquisser un non de la tête. Non elle ne pouvait pas dire que ça n'allait pas, comme elle ne voulait pas mentir et dire que tout allait bien. Elle n'avait jamais connu le droit de se plaindre, alors qu'elle pensait encore aujourd'hui qu'elle avait été chanceuse dans sa vie. Elle n'était pas riche, n'avait pas une belle maison avec une grande famille, ni un passé sentimental glorieux. Mais elle ne pouvait pas ne pas penser que dans un sens, elle avait été chanceuse. Elle avait sa soeur. Elle aurait seulement aimé être sûre qu'elle irait bien si jamais il lui arrivait un jour quelque chose. C'était ça, la seule chose qui n'allait pas. « J’espère en avoir un bon prix pour les droits d’adaptation, ça pourrait t’aider à rembourser tes dettes. » Un fin sourire se dessina sur ses lèvres alors que ses yeux se fermaient doucement. Elle n'eut pas la force d'en débattre, et se laissait emporter par un sommeil qui se faisait lourd sur ses paupières. Elle se laissait un instant de répit, autorisait son corps à prendre une décision, pour une fois. Ses membres se firent lourds alors qu'elle s'endormait contre Rhys, avant qu'un brusque sursaut ne la tire de ses songes. Le premier tir n'avait été que lointain, alors qu'elle était encore prisonnière du sommeil, mais le deuxième lui fit ouvrir des yeux inquiets. Elle se sentait encore plus faible qu'à l'instant où elle l'avait quitté, mais elle parvint à se décaler pour remonter ses yeux vers Rhys. Inconsciemment, elle avait eu peur qu'il ait été touché, qu'il ait été visé par ses tirs. Ses yeux parcoururent son corps à la recherche d'une possible blessure, mais elle fut rassurée de voir qu'il n'avait rien. Elle reposa l'arrière de sa tête sur son torse, cherchant à calmer son rythme cardiaque pour retrouver une respiration normale. Elle força ses yeux à se fermer, se concentrant sur les battements de son coeur, sur toutes les émotions qui traversaient son corps en si peu de temps. Elle resta un moment ainsi, avant qu'une ombre passe sous ses yeux. Avant qu'elle ne sente une autre présence à leurs côtés. Ses yeux bleus croisèrent ceux d'un inconnu cagoulé, et suivirent son bras jusqu'à voir son arme pointée sur le front de Rhys. Son souffle se coupa alors que l'homme parlait derrière son masque. « Emmène-la aux coffres si tu ne veux pas que je m’en charge. Crois-moi, je serais beaucoup moins délicat. » L'homme disparut de son champ de vision et c'est alors qu'elle remarqua l'agitation alentours. Des gens pleuraient, d'autres peinaient à se relever, mais tout le monde s'engouffrait au même endroit. Une salle fermée, blindée. Mauvaise idée. Mais avaient-ils vraiment le choix ? Elle ne tenait pas à faire d'esclandre et risquer de faire tuer Rhys. Ils ne pouvaient qu'obéir, et avec un peu de chance, certains s'en sortiraient. Elle se redressa pour regarder Rhys, se retenant sur son bras valide. « Ça va ? » Bien sûr que ça n’allait pas, il venait d’être menacé par une arme. Question idiote, mais elle n’avait jamais été très douée pour rassurer les gens. Elle n’était pas très douée dans les relations humaines tout court. Pensant qu’il avait eu sa dose jusqu’ici, elle esquissa un geste pour se relever, s’aidant du meuble contre lequel ils s’étaient laisser tomber. « Je vais marcher. Viens. » Elle faisait preuve d’un calme olympien alors qu’un bordel monstre régnait dans sa tête. Elle s’appuyait un instant sur le meuble, canalisant sa douleur, avant de tendre sa main valide vers Rhys. Il fallait qu’il bouge, qu’il se lève, avant que le braqueur ne revienne pour eux.
Revenir en haut Aller en bas
i’m only afraid of what i want
Gabrielle Rowena
Gabrielle Rowena
i’m only afraid of what i want
Intrigue / Groupe 2 - Page 6 Tumblr_inline_prf8tj7TT81wclz64_1280
» Date d'inscription : 18/05/2014
» Messages : 15379
» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : blanca suárez
» Âge : 30yo
» Schizophrénie : alycia & jamie
() message posté Dim 3 Mai 2015 - 2:05 par Gabrielle Rowena
Le casse du siècle
event commun

so i'm gonna love you like i'm gonna lose you. i'm gonna hold you like i'm saying goodbye. wherever we're standing,i won't take you for granted, 'cause we'll never know when, when we'll run out of time. ✻✻✻ Le temps passait, mais rien ne semblait changer. Les braqueurs étaient toujours là, les gens n'osaient rien faire et j'avais cette impression que le pire était encore à venir. Ils ne pourraient jamais sortir de la banque comme si de rien n'était, cela me semblait assez impossible. Et forcément, il se passerait quelque-chose d'horrible pour nous. Je ne pouvais rien faire, même pas aider Charlie qui saignait toujours autant. Vraiment, je ne servais à rien et cela me rendait malade. Nous étions ici par ma faute et je ne pouvais absolument rien faire pour l'aider avec sa blessure. De toute façon, j'avais bien trop peur pour pouvoir faire quoi que ce soit. Un seul geste ou mot de travers, pouvait bien avec de terribles conséquences. Je devais broyer la main de Charlie à force de la serrer, mais j'étais incapable de le lâcher. Sa présence, me calmait un peu et surtout, il m'aidait à ne pas me savoir seule. Au moins, nous étions dans cette galère ensemble. J'essayais de me rapprocher de lui, après qu'il me l'ai demandé, mais j'avais peur d'attirer l'attention sur moi. Sa déclaration me donna l'impression d'être une de ces déclarations avant que l'une des deux personnes du couple meurt. Je commençais sérieusement à trop paniquer. Je serrais sa main encore un peu plus, en fermant les yeux. J'aurais donné n'importe quoi à ce moment même, pour être ailleurs. Malheureusement, ce n'était pas possible, nous étions toujours dans la banque, Charlie était toujours blessé et les braqueurs étaient toujours là. « Je t'aime aussi. » Peut-importe si cela me donnait l'impression que l'un de nous deux allaient y passer. Je priais fort pour que tout se passe bien pour nous et les autres personnes ici présentes si possible aussi.
Soudainement, les braqueurs se mirent à bouger. De l'action, ce qui forcément n'allaient pas être bon pour nous. Qu'est-ce qui allait nous arriver maintenant ? J'avais peur, vraiment peur. Deux coups de feu se firent entendre, ce qui me fit sursauter et paniquer encore plus. Ce n'était pas bon. Pas bon du tout. Ils voulaient nous faire bouger, pourquoi ? Je n'eus malheureusement pas le temps de chercher à comprendre, qu'ils se mirent à bouger vers les otages, nous y comprit. Un se dirigea vers un couple, avant de venir vers nous, son arme pointait sur l'homme. « Toi la tête brûlée, aide-la à l'emmener à l'intérieur. » Je n'aurais pas pu aider Charlie seule, c'était évident, mais j'aurais largement préféré essayer. À aucun moment je ne lâchais sa main, ne voulant pas être séparée de lui. Je fis de mon mieux pour l'aider à se lever, avec l'aide de cet homme. Voir l'arme pointait en direction de lui et donc tout près de nous, me fit trembler. Je doutais que mes jambes puissent me porter, tellement je tremblais. Pourtant, je suivis le mouvement et rejoignis les autres personnes dans cette autre salle. Qu'est-ce qui allait nous arriver maintenant ? Charlie était désormais debout, ce qui me permit de me serrer contre lui. La tête cachait contre son torse, pour tenter de fuir la réalité du moment. Le pauvre devait souffrir le martyr, mais jamais je ne l'entendis se plaindre. « Est-ce que ça va ? » Certes, j'étais terrifiée, mais lui était blessé.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 3 Mai 2015 - 22:48 par Invité
Alors que je m'apprêtais à répondre aux douces paroles d'Aiden, je le sentit se contracter. Quelques choses n'allait pas. Le bruit produit par les autres personnes présentes s'était calmé. Ce qui est étrange. Même si je n'ai plus vraiment le cerveau connecté et que je suis légèrement dans les vapes , je n'étais pas non plus ignorantes. Malgré les précédentes paroles du bouclé, je me redressa légèrement et blêmit d'un coup en voyant l'un des braqueurs pointer son arme sur nous. Je serais automatiquement la main que je tenais encore du jeune homme et sentit mon rythme cardiaque repartir de plus belle. Allait-il nous tué, la, maintenant ? L'homme menaçant s'avançais de plus en plus vers nous et je regarda rapidement Aiden du coin de l’œil, totalement effrayé. Je ne fit aucune résistance lorsque le braqueur me porta dans ses bras. Que pouvais-je faire de toute façon ? Je suis certaine d'être incapable de tenir debout. Mes yeux s'ancrèrent dans ceux de la personne que je pensais, il y a encore quelques minutes, détesté au plus profond de mon cœur. Je ne voulais pas qu'il agisse de manière trop impulsive. Qu'il n’obéisse qu'aux ordres. Sans quoi, il pourrait s'attirer de gros ennuis qui pourrait lui être fatale. Je fis un peu la moue lorsque je fus redéposer au sol et ne tarda pas à refermer les yeux, priant pour qu'Aiden se fasse discret et, éventuellement, vienne a mes côtés. Lorsqu'il est là, je me sent moins vulnérable, plus forte. Je me sent bien. Malgré les circonstances. Il est capable de me redonner espoir. Sans lui, je ne sais pas ce que j'aurais fait à cet instant. J'y serais peut être y rester. J'ouvris difficilement les yeux et balaya la pièce du regard, cherchant une masse de cheveux bouclé. Mon poux avait augmenter une fois de plus, je m'inquiétais réellement pour lui.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9  Suivant
» Intrigue / Groupe 1
» Intrigue / Groupe 3
» Intrigue / Groupe 4
» Le lancé de dé de l'intrigue.
» Nouvelle intrigue : inscriptions.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-