"Fermeture" de London Calling
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Intrigue / Groupe 2

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London is asking
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() message posté Dim 12 Avr 2015 - 11:50 par London is asking
Le casse du siècle

GROUPE 2 - La seconde banque





Il y a des centaines de raisons qui auraient pu vous pousser à franchir les portes de cette banque. Une demande de prêt pour cette belle voiture, le remboursement de cet appartement au plancher biscornu, l'ouverture d'un nouveau compte, l'appel angoissant du banquier, le retrait pour la paire de chaussures de votre vie. Des centaines de raisons, mais une seule vous poussera à vouloir fuir sans avoir vu votre découvert. Des coups de feu, des cris, des voix, des larmes que vous n'oublierez pas.
Cinq hommes cagoulés s'avancent sur le sol que vous avez foulé quelques minutes plus tôt et prennent le contrôle de la banque afin d'en vider les fonds. Vous vous cachez où vous le pouvez, même si certains ne pourront éviter les balles...  « QUE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP !  »

Rosa Hoffmann & Dilhan A. Flyleaf a écrit:
La peur s’empare de Rosa lorsqu’elle constate ce qui se passe sous ses yeux. Tout ce qu’elle arrive à penser est à propos les nombreux mois où elle était dans le coma et ne désirant pas y retourner, elle tente du mieux qu’elle peut de se cacher. Dilhan tente de faire pareil tout en protégeant Rosa, si fragile. Seulement rien de ce qu’on souhaite n’arrive véritablement et ils se retrouvent tous les deux au sol l’une pratiquement intacte malgré quelques égratignures sur le visage et aux mains pendant que l’autre semble s’être brisé le poignet en tombant lourdement sur le carrelage de la banque et saignant du nez. Rosa peut apercevoir la douleur dans les yeux de Dilhan, mais tout cela lui rappelle ses propres blessures.

Aiden T. Clifford & Rosemarie Greyson a écrit:
Rosemarie, en véritable geek qu’elle est, décide de sortir pour aller s’acheter la nouvelle console. Manque de bol, elle doit d’abord passer à la banque afin de retirer de l’argent, mais pendant le chemin elle croise celui d’Aiden. Ils se dirigent tous les deux vers la banque, mais impatients de voir leurs chemins se séparer. Jeunes et ignorants qu’ils sont, ils ne se doutent aucunement de la suite. Au premier coup de feu, ils tentent tous les deux de se cacher quelque part, mais se retrouvent rapidement au sol. Effrayé, Aiden tente de la réveiller pour rapidement constater du sang sur ses mains. En effet, après s’être cogné lourdement la tête sur le sol, Rosemarie a une plaie au niveau du crâne à cause d’un morceau de verre.

Victor Wilde & Dmitri Malejka a écrit:
Victor et Dmitri étaient là uniquement pour faire des blagues en disant qu’ils désiraient ouvrir un compte conjoint. Faire ça leur permettait de faire passer le temps et de les sortir de leurs ennuis mortels. Au moment où ils s’apprêtent à confesser leurs blagues, ils sont stoppés par les braqueurs ainsi que les tirs tirés. Rapidement, ils tentent de se rejoindre, mais un des tireurs, croyant voir un policier, tire en direction de Victor et l’atteint à l’omoplate ainsi qu'aubras. Ce dernier s’écrase au sol pendant que Dmitri accourt vers lui afin de le secourir. Du sang sur les mains, il ignore comment aider son pauvre Victor blessé par balle et stopper la douleur dans laquelle il se trouve.

Theodore L. Rottenford & Scarlett P. Hill a écrit:
Scarlett passait devant la banque et se dit qu'elle rendrait bien visite à une amie qui travaillait là bas et, pourquoi pas, déjeuner avec elle. Elle ne travaillait pas et elle se voyait mal rentrer chez elle si tôt. Quand à lui, Theodore était là à discuter avec un indic sur une enquête qu'il menait pour la mafia. Il vit Scarlett à travers la vitre d'un bureau à la fin de son rendez-vous, lorsque le premier coup de feu de ce second braquage se fit entendre. Il se rua sur Scarlett pour lui éviter des blessures.

Charlie J. Fitzgerald & Linaëlle P. Bradshaw a écrit:
Un couple c'est pour le meilleur comme le pire, ils se soutiennent lorsque l'un est à découvert. Et c'est ce qui est arriver pour Linaëlle, son banquier l'avait appelé pour faire le point sur ses  trop nombreuses dépenses récentes. Suite au coup de feu, un éclat de balle vint percuter Charlie alors qu'il tentait de se mettre à l'abri derrière des fauteuils avec Linaëlle, paniquée. L'éclat de balle avait frôlé son oreille, le faisant perdre son équilibre, et tomber sur le sol. Il perdit connaissance, l'oreille écorchée vive.

Sam P. Oswald-Bower & Rhys Carstairs a écrit:
L'un des tireurs, maladroit et stressé, voit Sam bouger pour porter secours à l'un des blessés. Il lui tire dessus  pour l'arrêter et une balle vient se loger dans son épaule gauche. Rhys, qui était avec elle par pure amitié, fut pris d'horreur et la rattrapa tentant bien que mal de stopper l'hémorragie de la brune, mais sa peur du sang se réveillait et sa tête se mit à tourner à la vue de son amie si mal en point.

Heaven L. Howard-Clark & Charlotte Wilson a écrit:
Les deux filles se réfugièrent sous un comptoir lorsque les multiples coups de feu se firent entendre. Elles n'étaient pas seules mais Heaven était assise à côté de Charlotte lorsqu'elle sentit du sang toucher ses doigts. La cheville de Charlotte était enflée et saignait, à cause d'un gros bout de verre qui l'avait écorché quand elle avait rampé sur le sol.

Batholomew T. Lancaster & Alfie M.T. Archibald a écrit:
A force de vivre au crochet de ses soeurs et de dépenser sans compter, Barty avait un découvert assez important et s'était fait rudement tapé sur les doigts par sa conseillère, il avait même tenté de la séduire pour faire augmenter son découvert, en vain. En sortant du bureau, plus dépité que jamais, il fonça dans Alfie qui venait demander une extension de prêt pour l'une de ses recherches. Ils s'excusèrent quand le premier coup de feu retentit en écho dans toute la banque, ils se tentèrent de se mettre  à couvert du mieux qu'ils peuvent ils firent trop de bruit et un des braqueurs tira dans le pied de Barty, qui poussa Alfie la tête la première contre une glace par mauvais réflexe.

Ce sujet est un sujet commun. Celui-ci est un "mini-rp" : chaque post devra faire moins de 500 mots afin de faire avancer le sujet de façon plus claire.


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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 14:20 par Invité
Le casse du siècle

GROUPE 2 - La seconde banque





ROSA & DILHAN:
Je ne suis jamais entrée dans une banque. Tout l'argent que j'avais c'était plutôt au black si on peut dire, j'ai un tas de billets  froissés et de chèques que je ne pouvais pas véritablement utiliser. C'est Dilhan qui m'a convaincu de me faire un compte bancaire. Il s'y connait mieux que moi et maintenant que je touche un salaire fixe il est vrai que c'est bien plus logique. C'est naturellement avec lui que je m'y rend, je suis de bonne humeur ce matin, je ne travaille pas aujourd'hui et je peux profiter de lui, le retrouver m'a fait un bien fou, à moi et à ma mémoire qui remet de plus en plus de souvenirs en place avec lui. On entre dans le beau bâtiment, je suis toujours impressionnée par l'architecture comme celle ci, belle et ancienne, bien que je vive dans un palace et que je bosse dans un hôtel de luxe maintenant je me suis promis de m'émerveiller toujours devant ce genre de chose, je ne veux pas être de ces gens qui voient cela tous les jours. On se met dans une file d'attente et je pose pensive ma tête sur l'épaule du jeune blond. Doucement mes doigts titillent les siens mais s'écartent bien trop vite... Un coup de feu.. deux plusieurs je ne les compte pas. Je suis trop surprise pour crier, mais mon coeur va drôlement vite. D'instinct on part sur le coté avec Dilhan pour se planquer on se retrouve trop brusquement au sol.. mes mains ripent dans de petits éclats de verre, rien de grave ma jambe me lance sous l'effet de la chute mais je regarde immédiatement Je me tourne vers Dilhan le visage en sang, non, son nez saigne, je tente de ne pas paniquer mais je sens que je tremble de partout et que je pleure. Je l'aide à se caler contre un bureau plus ou moins à l'abris des braqueurs pour l'aide, il a mal et je peux le voir à son regard, je me cale contre lui. " ça va ? ton poignet ... " Il vire déjà au bleu.. " il faut qu'on parte d'ici..! " Je tente de me redresser pour voir la scène, du sangs, des blessés et des braqueurs apparemment déterminés. " mon dieu... on va jamais s'en sortir Dilhan.. " je panique trop tard, là je panique totalement je suis morte de peur. Surtout que j'ai reconnu Sam dans les blessés. J'aimerais aller l'aider mais pour le moment aucun mouvement ne semblent envisageables.



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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 22:06 par Invité
Le casse du siècle

GROUPE 2 - La seconde banque





ROSA & DILHAN:
Je n'aurais pas dû être surpris de découvrir que jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais obtenu de compte en banque. Un compte bien elle, où personne ne pourrait prendre son argent. Ou elle était, la seule a dépensé ce qu'elle voulait, quand elle voulait. La seule à en bénéficier. Et j'avais tenu à l'accompagner, dorénavant dans les étapes, même banale de sa vie. À défaut, de ne pas avoir été présent, lors de son réveil. Je n'étais pas le mieux placer en ce qui concerner les finances, ou même les placements, mais il me semblait nécessaire qu'elle possède un compte. Depuis que je l'avais retrouvé, et compris la cause de son absence, les choses me semblaient plus faciles. Plus facile à comprendre, a accepter. Il m'avait semblé que ça soit le bon endroit... Je n'avais pas pris conscience de la réalité, jusqu'à ce qu'elle écarte sa tête et détache ces doigts des miens, même si cela était de courte durée. Le manque se faisait sentir. Le temps était suspendu durant un instant, loin d'être calme, puisqu'un mélange d'affolement, de coup de feu et de cris résonnaient autour de nous. Combien de temps, c'était-il écoulé ? Cinq secondes, trente ou peut-être une minute ?
Toujours est-il que le temps nous été compté. Si on voyait sortir indemne de cette situation, la meilleure des choses étaient de se planquer. Je suivais Rosa, dans la direction qu'elle avait empreinte, surveillant qui ne lui arrive rien, sur l'instant, c'était le plus important, même si entre aucun moyen de défense et face à arme, j'avais peu de chance entre nous. Jeter au sol, violemment, un bruit sourd et un éclair de douleurs parcouraient le long de mon bras. Bloquant un cri au fond de ma gorge pour dissimuler notre présence. Pourtant, l'envie ne manquait pas. Frappant dans par la même occasion, et dans l'action, mon nez contre le sol. La douleur se faisait vive et lancinante, mais ce n'était pas le moins de se plaindre, il y avait plus grave. Et surtout, je n'avais pas envie d'inquiéter Rosa. Mais c'était loupé. Avec son aide, je m'installais contre le bureau, jetant en même temps un coup d'œil sur les environs, et ce qui se passait. La douleur se faisait vive et lancinante, mais ce n'était pas le moins de se plaindre, il y avait plus grave. Et surtout, je n'avais pas envie d'inquiéter Rosa. Mais c'était loupé. Avec son aide, je m'installais contre le bureau, jetant en même temps un coup d'œil sur les environs, et ce qui se passait. Ma mâchoire se contacta sous la douleur, avant de plonger mon regard vers Rosa. « J'ai connu des jours meilleurs... C'est douloureux. Mais toi ça va ? »  Les coups de feu étaient en elle seule les témoins. J'acquiesçais à ces paroles. La peur, tous nous avaient gagnées. J'attrapais l'attraper de ma main valide, pour la tirer doucement vers moi. Pour la serrer contre moi. « On va s'en sortir... Des renforts, les tires ont attiré l'attention à l'extérieur » Quand j'avais regardé autour de moi, je n'avais reconnu personne, mais pourtant, on était tous dans la même galère. De ma main valide, je passais ma main sous le nez, pour constater et essayer un peu le sang qui s'y trouvait, collant mon poignet blessé contre moi, dans une grimace, le souffle coupé. « Le portable... » Même si on ne répondait pas, l'interlocuteur pouvait entendre ce qui se passer. Bien sûr, il y avait un risque de se faire découvrir.



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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 0:33 par Invité
La banque, autant dire antichambre de l'enfer, ça sera plus rapide. La petite touffe de cheveux crépue qu'était Charlotte y patientait depuis peut-être une heure, un de ses chèques en main. Oh elle aurait pu le déposer directement avec les autres remises de chèques, attendre un jour ou deux que la transaction soit faite et puis aller dépenser son argent durement gagné après ça. Sauf que non, la petite robe bleue du magasin de coin de la rue n'attendrait pas, il n'y avait plus qu'un article dans sa taille, et même si la jeune femme l'avait soigneusement cachée tout au fond de la pire étagère des fringues de la saison passée (ne faites pas semblant, on a toutes fait ça pour se garder une pièce dans un magasin) elle était persuadée que quelqu'un finirait par la dénicher avant elle. Alors merde, ce chèque devait passer, et aujourd'hui !

UE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP ! Charlotte, qui s'était perdue dans ses pensées sursauta en entendant crier. Elle ne captait aucun des mots, ne comprenait pas vraiment se qui se passait. Son premier réflexe fut de se retourner et là, face à elle, des hommes masqués, des fringues braqués. Tétanisée. Elle fut figée sur place, regardant sans la moindre expression ces types qui la menaçait, elle et le reste des clients et autres banquiers ici présent. Violée. Encore. Elle sentait la situation lui glisser entre les doigts, le contrôle lui échappait. Son coeur se tordit, s'écrasa, sembla pourrir dans sa poitrine. Elle se sentait livide.

Un coup de feu. Si la balle passa à côté, Charlotte avait l'impression de se la prendre en pleine gueule. Elle poussa un hurlement incontrôlé et se jeta à terre, instinctivement. Des larmes avaient envahi ses joues sans pour autant qu'elle ne s'en aperçoivent. Elle était simplement par terre, à plat ventre. Et c'était comme si le temps s'était arrêté. Elle n'entendait plus personne. Ni les cris, ni les menaces, ni les coups de feu à répétition. Non, elle ne voyait personne; plus rien. Tout ce qu'elle voyait c'était le comptoir, le petit renfoncement à quelques mètres qui lui semblait être l'endroit le plus sûr du monde à l'heure actuelle. Alors, elle y rampa péniblement. Elle pleurait encore sans même s'en rendre compte, dans sa tête elle ne pensait qu'à Alex. Si seulement il était là. Si seulement elle pouvait l'avoir, là, juste à côté. Lui saurait quoi faire, quoi dire, comment réagir.

Enfin, elle était contre le comptoir, elle s'y adossa, se redressant assise et là elle prit une profonde inspiration. Tout son corps tremblait, c'était incontrôlable. Elle avait l'impression de faire une crise d'angoisse, quoi que ce n'était peut-être pas une impression. Charlotte regarda autour d'elle, à ses côtés une jeune femme la regardait également, enfin la dévisageait. Cette femme leva sa main pleine de sang, Charlotte écarquilla les yeux, pensant d'abord que cette femme était blessée. Mais non, lorsque baissa la tête, elle s'aperçut que c'était elle, sa cheville avait morflé, elle était à peine reconnaissable. Charlotte écarquilla les yeux, elle ne sentait ni douleur, ni rien du tout. Putain, rien. Alex, aide moi. Elle se mordilla les lèvres pour s'empêcher de faire du bruit, ayant trop peur d'attirer l'attention des malfaiteurs. Elle prit entre ses doigts tremblant le pendentif en forme de croix qu'elle portait autour du coup. Pria.
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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 10:08 par Invité
Le casse du siècle

GROUPE 2 - La seconde banque





ROSA & DILHAN:
Les coups de feu m'écartent de Dilhan. J'entend les gens hurler, paniquer, je ne cherche qu'une solution fuir, nous cacher... On se jette un peu au sol; aie, je ne sais pas comment j'arrive à n'avoir rien de casser, juste ma jambe, celle accidentée, elle me lance terriblement mais j'ai l'habitude et j'arrive à faire abstraction. J'ai même perdu ma canne dans toute l'histoire, parfois je la prend et c'était l'un de ses jours où je n'avais pas assez confiance en moi. Je l'ai prise mais vite perdue dans la cohue. Je vois l'état de Dilhan avec moi, je commence à culpabiliser, j'aurais dû y aller toute seule, seulement il a tenu à être là et j'étais trop heureuse qu'il vienne pour lui refuser sa présence. Mais maintenant son poignet vire au bleu et son nez saigne. Je n'ai rien de grave, quelques égratignures qui ne semblent pas du tout graves. J'aide mon ami à se protéger et s'installer contre un bureau de banque pour ne pas être dans le champ de mire ou de vision des braqueurs. Je lui demande comment ça va, mais je crois que j'ai la réponse. J'ai envie de l'aider. Je lui fais oui de la tête pour lui dire que je vais bien. Je ne veux pas qu'il s'inquiète, il est assez mal comme ça. Je regarde rapidement la scène qui semble être celle d'un film d'horreur, des gens blessés, morts de peur, du sang... je déglutis et je me replace vite aux cotés de Dilhan, il faut que l'on parte, vite ! mais je ne sais pas, pas comment, pas comment si on peut y arriver. Je suis morte de peur, je veux sortir de là. Je me laisse aller contre lui en laissant couler mes larme.s. Je suis morte de peur et j'ai l'impression que le sort s'acharne. Je regarde Dilhan et j'entend alors ce qu'il murmure. Je me presse alors de chercher le mien, celui que Julian m'a offert à mon réveil, c'est lui que j'appelle mais son téléphone sonne dans le vide c'est un échec, je m'énerve " Merde ... pourquoi il répond pas ! " il me répond toujours... la police, il faut appeler la police, je suis bête, je pense toujours à Julian avant. Je fais le numéro et je laisse sonner, je planque le portable sous le bureau, impossible de parler sans se faire repérer. Je serre la main valide de Dilhan et je niche mon visage dans son cou. " j'ai la police au téléphone, j'espère qu'on va s' en sortir. " j'embrasse légèrement son cou. Je prend la manche de mon gilet et j'essuie encore un peu le sang de son visage doucement pour éviter de lui faire mal. " je n'aurais pas dû te laisser venir... " je culpabilise, j'aurais été seule ça aurait été qu'une suite évidente de ma vie, mais avec lui... j'ai peur, j'ai peur qu'il s'en sorte moins bien que moi.

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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 20:44 par Invité
C'est d'un pas rapide que je me dirigeais vers la banque. Déjà parce que je mourrais d'envie de m'acheter la toute dernière console de jeu qui promettait des tas de choses passionnante et des jeux encore plus évolué qu'avant mais aussi, et surtout, pour que je me débarrasse au plus vite de mon pot de colle ambulant et vulgaire. J'ai nommé Aiden. Autant avant, il me lançait des petits piques et puis partait, alors que maintenant, il n'hésite pas à me suivre un peu partout. Je pensais que le fait de venir ici allait le dissuader, mais apparemment, j'ai bien tord. Même si, jamais je ne serais prête à l'avouer a voix haute, sa compagnie ne me déplaît pas plus que ça. Au contraire. Je me sens bien a ses côtés, alors qu'il n'y a pas vraiment de quoi. J'entre dans l'immense bâtiment et regarde un peu partout autour de moi, clairement perdu. Je me tourne vers Aiden, en faisant un petit peu la moue et m'apprête à lui demander son aide. Il doit bien connaître se genre d'endroit après tout. Mais alors que je m'apprêtais à ouvrir la bouche, un grand coup de feu retentit et me fit sursauter. Je pense même que j'ai crié sous le coup de la peur. Enfin, j'en sais rien, mais je pense n'avoir jamais eu aussi peur de ma vie. « QUE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP !  » je sent ma gorge se serré et les larmes me monté aux yeux. Instinctivement, j'attrape le bras d'Aiden et me colle contre lui, tremblante. Je le regarde, implorante, espérant qu'il est une idée pour nous sortir de la rapidement et sans encombre. Sauf qu'aucun son ne peut sortir de mes lèvres, je suis comme paralysé. Pourtant, je le suis vers des tables avec hâte. Je suis prête à le suivre n'importe où. Les cris des braqueurs nous stoppent rapidement et nous ne tardons pas à nous mettre rapidement au sol. Trop rapidement. Ne contrôlant plus mon corps et encore moins mes pensés, je me suis littéralement laisser tomber sur le sol. Je pense même que j'ai cassé mes lunettes hideuse. Une douleur intense se manifeste au niveau de ma tête. Tellement intense que je ne distingue pratiquement rien. Je ferme les yeux, priant pour que la douleur cesse et pensant que comme ça, elle passerais plus rapidement. Je me sens lourde et à la fois légère. Je ne prête plus vraiment attention a ce qui se passe autour de nous, je me sens comme emporté dans un tourbillon infernal.
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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 23:13 par Invité
Je ne savais pas vraiment quoi faire et arpenter la ville était devenue une bonne idée. Je n'aimais pas ne rien faire, mais l'appareil photo en main, j'avais décidé de prendre quelques clichés dans les rues pour mon club de photographe. Club auquel je n'allais pas vraiment beaucoup. Il faisait beau, tout le monde avait laisser les manteaux pour faire place aux petits pulls. Lunettes de soleil sur le bout du nez, je ne savais pas encore où j'allais me retrouver et ce que j'allais bien pouvoir prendre en photo. Mon appareil autour du coup, je continuais mon chemin tranquillement jusqu'à ce que mon attention soit piquée au vif. Je fus content de voir qu'encore une fois Rosemarie était sur mon chemin. J'allais encore bien m'amuser en sa compagnie, qu'elle le veuille ou non. Je pris alors deux trois photos de loin, avant qu'elle ne me voit. Mais une fois en face d'elle, je lui fis mon plus beau sourire. Vous voyez, nous étions destinés à sortir ensemble, même si je n'étais pas vraiment du genre à sortir avec quelqu'un. Mais elle ne le voulait pas et moi j'avais toujours très envie de passer du bon temps avec elle si vous voyez ce que je veux dire. Mais elle était très difficile en affaires, mais je ne baissais certainement pas les bras.  « quel plaisir de te voir ici Rosemarie, ou vas tu ? » je savais très bien qu'elle n'allait pas me répondre mais j'allais bien évidemment la suivre, j'aimais faire çà surtout quand je voyais qu'elle se mettait en colère ou bien que tout çà l'agaçait au plus haut point. Oui, ce n'était pas très gentil de ma part mais j'adorais çà et puis j'étais certain qu'elle appréciait que je sois là. Elle ne pouvait pas dire le contraire, je le voyais très bien. La suivant alors, je ne parlais pas, faisant alors comme elle, je continuais mon chemin en sa compagnie même si moi j'appréciais sa compagnie, elle c'était certainement tout le contraire mais tant pis. Alors qu'elle semblait s'apprêter à dire quelque chose, un coup de feu retenti et j'entendis alors une voix sourde « QUE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP! » je n'eus même pas peur pour moi mais bel et bien pour la jolie blonde qui était près de moi. Je n'avais pas envie qu'il lui arrive quoique ce soit. Je sentis rapidement Rosemarie se coller contre moi et je plaçais alors mes mains autour d'elle pour la protéger. Je ne savais pas si je pouvais faire grand chose mais tant qu'elle était près de moi, c'était tout ce qui importait. Je la tire alors vers des tables, le plus rapidement possible mais les voix des braqueurs continuent de faire peur à tout le monde. Finissant par nous voir bouger, ils arrivent rapidement à nous stopper et nous tombons rapidement au sol. Je vois Rosemarie fermer les yeux et voit rapidement du sang.  « Rose !! » murmurais-je alors sans même prendre la peine de l'embêter à l'appeler par son prénom entier  « Rose, ne t'endors pas, ouvre les yeux !! » je regarde partout et découvre une plaie à la tête. Apeuré, je ne savais pas quoi faire, j'enlève alors le bandana que j'avais sur la tête pour le placer là où je découvre le sang de la jeune femme. Je finis par appuyer fort tout en regardant autour de moi. La plaie ne semble pas profonde mais il y'a un bout de verre et je ne veux pas me risquer à l'enlever j'appuie alors doucement tout autour  « Rose s'il te plait » je passais alors ma main sur son visage, mon cœur battait à une allure que je ne lui connaissais pas.
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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 23:41 par Invité
Quand il avait vu Sam Oswald-Bower au milieu de la file de clients, Rhys n’avait pas hésité une seule seconde. La voilà, la technique afin de gagner de précieuses minutes. Au diable leur dernière dispute, au diable ses bonnes résolutions, il fonça vers elle, n’hésitant pas à dépasser une dizaine de personnes qui protestèrent alors contre lui. « Holà, guapa. » Pas de doute, si son teint halé ne le montrait pas assez, ses vacances au Mexique l’avaient rendu encore plus en forme que d’habitude. « J’ai une blague à te faire. » Et alors qu’il s’apprêtait à raconter sa fameuse plaisanterie, un bruit sourd se fit entendre. Sursautant légèrement, Rhys se retourna pour découvrir les malfaiteurs. « QUE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP !  » Sans déconner. Des types cagoulés avec des armes à la main, il ne fallait pas avoir fait un doctorat pour comprendre qu’il ne s’agissait pas du carnaval. Désorienté, le brunet ne réalisa pas trop ce qu’il passait autour de lui et au bout de quelques secondes qui parurent des minutes entières, il réalisa que Sam n’était plus à ses côtés. Il balaya la salle du regard, tentant de la retrouver dans cet élan de panique générale. Et enfin, lorsque ses prunelles se posèrent sur sa silhouette accroupie aux côtés d’un homme visiblement blessé, Rhys vit le coup de feu frôlant l’épaule de Sam. « Sam ! » Comme soudainement animé par un déclic, il la rejoint rapidement, s’abaissant pour être à sa hauteur. Frappé d’horreur, le journaliste se sentit suer à une vitesse ahurissante. Ses mains tremblaient, son cœur s’affolait et plus il restait inactif, plus la zone rouge gagnait des centimètres de diamètre sur le tissu de la brunette. Il fallait agir, et vite. Mais comment ?! « Putain, ça pisse le sang. » lâcha-t-il d’une voix inhabituellement enrouée, avant de tenter de se rattraper. « I mean… C’est pas aussi grave que ça, je ne suis juste pas accoutumé à ce genre de vision. » Et surtout, il n’avait pas les capacités nécessaires pour soigner Sam. Il ne s’était jamais intéressé à la médecine, et même s’il avait effectué un stage de secourisme au collège, il avait absolument tout oublié. « Tu fais pas de sieste, hein ? Je suis là, je reste avec toi. Ne t’endors pas, t’es belle quand on voit tes grands yeux. Si tu t’endors, je serais obligé de te donner des claques et j’ai pas envie de t’amocher. » Il enchaînait, enchaînait et enchaînait pour tenter d’oublier le fait que plus il voyait le sang qui coulait de la plaie de Sam, plus il se sentait malade. Et puis, c’était aussi une façon de lui dire de ne pas perdre connaissance car malgré tout, il tenait un minimum à elle. Détournant les yeux pour tenter de calmer sa panique, Rhys fit un effort conséquent pour essayer de reconnecter son cerveau et trouver une solution. Il fallait stopper l’hémorragie.
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() message posté Mer 15 Avr 2015 - 1:03 par Invité
. KNOCK KNOCK KNOCKING ON HEAVEN'S DOOR . Elle allait passer sa seule journée de repos à la banque. C'était ce que lui avait confié son banquier un peu plus tôt dans la semaine alors qu'il étalait au téléphone le montant de la dette qui s'élevait à présent sur son compte. Tout revenait d'un coup ; les traitements de Lexie, le loyer toujours payé en retard, les frais d'hôpital. Elle croulait sous un tas de dettes qui lui semblait insurmontable. Alors elle faisait la queue, pestant contre le monde qui avait décidé de se pointer ce jour-là à la banque pour faire leurs petites affaires. Elle jetait un coup d'oeil à sa montre avant de pousser un soupire. Elle en avait pour des heures. « Holà, guapa. » Pour des siècles, en fait. Le visage enjoué de Rhys se dessina sous ses yeux et elle ne put empêcher un second soupire. Sa journée était un vrai calvaire. Ils n’avaient pas eu l’occasion de se reparler depuis leur dernière dispute, et elle ne comptait pas réellement relancer la discussion. « I must be cursed… » Elle marmonnait suffisamment bas pour qu’il n’entende pas, alors qu’elle fixait un point imaginaire face à elle. Sam n’était pas du genre boudeuse ou quoi, mais la présence de Rhys alors qu’elle allait discuter de ses dettes d’ici quelques instants ne la mettait pas très à l’aise. Et peut-être que leur dernière entrevue lui restait encore en travers de la gorge. « J’ai une blague à te faire. » Elle le regarda de nouveau, lui lançant un vague sourire hypocrite et remarquant au passage qu’il avait le teint plus foncé qu’à l’habitude. Monsieur avait pris des vacances, elle était heureuse pour lui. « Magnifique, j’ai hâte d’entendre ça. » Son ton était teinté d’ironie alors qu’elle regardait à nouveau sa montre. Elle pestait contre l’heure avant qu’un bruit sourd n’attire son attention. « QUE PERSONNE NE BOUGE CECI EST UN HOLD-UP ! » Tout alla très vite. Les coups de feu commencèrent à fuser de tous les côtés, des gens se mirent à crier, et dans la cohue son sac à main termina bien trop loin pour qu’elle ne puisse songer à prendre son arme de service. Et il y avait cet homme qui criait de douleur. Il gisait à quelques mètres. C’était risqué, mais c’était aussi son job. Elle s’agenouilla à côté du blessé avant d’appuyer sur sa blessure, tentant de stopper l’hémorragie. Une vive douleur secoua son bras alors qu’elle laissait échapper un cri sans pour autant lâcher l’homme qui ne respirait déjà plus. Elle n’entendait pas l’appel de Rhys, ne le voyait pas, ne voyait plus grand chose. Et puis il apparut à ses côtés, et elle le maudit d’être aussi inconscients. Elle manqua de le lui faire remarquer mais ravala ses mots ; elle n’était pas sûre que c’était l’endroit pour une autre dispute. « Putain, ça pisse le sang. » Le son de sa voix la fit doucement revenir à la réalité alors qu’elle suivait son regard jusqu’à son épaule. Une tâche rouge maculait son t-shirt alors qu’elle faisait enfin attention à son propre état. Ses yeux s’écarquillèrent petit à petit au fur et à mesure que le sang coulait. « i mean… C’est pas aussi grave que ça, je ne suis juste pas accoutumé à ce genre de vision. » Elle l’était. Elle en voyait tous les jours. Mais elle n’en avait jamais été victime auparavant. Elle n’avait jamais été victime de grand chose à vrai dire. Seule la cicatrice du don pour sa soeur marquait son corps. Mais il y avait tellement de sang. Et tellement de personne qui avait besoin d’aide. Mais elle s’en savait incapable. La pièce tournait, elle ne trouvait pas même la force de s’inquiéter pour les ravisseurs. Ils pouvaient débarquer près d’eux n’importe quand, et Rhys restait là. Il était vraiment idiot. Elle finit par lâcher le corps inerte du blessé pour s’asseoir à même le sol, tentant de calmer les battements de son coeur. « Tu fais pas de sieste, hein ? Je suis là, je reste avec toi. Ne t’endors pas, t’es belle quand on voit tes grands yeux. Si tu t’endors, je serais obligé de te donner des claques et j’ai pas envie de t’amocher. » Elle sourit faiblement malgré elle, alors que le débit de paroles de Rhys était assez exceptionnel vu les circonstances. Rire lui faisait mal, mais compte tenu des circonstances, ça ne lui semblait pas si déplacé. Elle avait du mal à se concentrer mais finit par comprendre qu’elle devrait le guider si elle ne voulait pas se vider de son sang. « Est-ce que tu peux… Est-ce que tu peux trouver une ceinture, ou un lacet, n’importe quoi pour faire un garrot… » Elle avait du mal à s’exprimer alors que la douleur devenait de plus en plus forte. « Et mets-toi à l’abris Carstairs, je veux pas être responsable de ta mort. » Elle le disait sur le même ton cynique que d’habitude, mais elle le pensait. Elle ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose au fond. Peut-être qu’au fond, quelque part, elle tenait un minimum à lui et à sa sécurité. Elle parvint à s’appuyer contre un meuble non loin de là ; ce n’était pas une superbe cachette, elle était presque complètement à découvert, mais elle était prête à parier que ce meuble serait un bon support quand elle déciderait de tourner de l’oeil.  « Et j’ai pas des grands yeux, je te signale. J’ai des yeux dans la norme. » Même une Sam blessée restait une Sam. Même si une Sam blessée tentait de camoufler la peur qui lui prenait le coeur depuis qu’une balle avait atteint son bras.


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Gabrielle Rowena
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() message posté Mer 15 Avr 2015 - 1:53 par Gabrielle Rowena
Le casse du siècle
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so i'm gonna love you like i'm gonna lose you. i'm gonna hold you like i'm saying goodbye. wherever we're standing,i won't take you for granted, 'cause we'll never know when, when we'll run out of time. ✻✻✻ Tout ceci est de ma faute ! Je ne sais plus très bien ce qui se passe. Les cris, la peur, la confusion sont les seules choses que je perçois désormais. Nous étions venus à cause de moi. Moi et mon découvert, et voilà que désormais nous étions en train de vivre le pire jour de notre vie. Du moins, je vivais le mien. Un hold up ! Aujourd'hui, pile au moment où nous étions là. Et nous étions ici tous les deux par ma faute. La mienne à moi. Cela ne fait que quelques minutes et pourtant, j'ai l'impression d'être ici depuis des heures. Je n'arrive pas à penser, je ne sais pas ce qui se passe, ni ce qui va nous arriver. Nous avons tenté de nous mettre à l'abri, lorsque les coups de feu ont commencé. J'ai pensé que c'était bon pour nous, que nous serions protégé, mais lorsque je me suis aperçue que Charlie ne bougeait plus, j'ai eu l'impression que la fin du monde était arrivé. Non, ce n'était pas possible, il ne pouvait pas être mort. « Charlie... » Je ne peux même pas crier, de peur de me prendre une balle directement dans la tête. Lentement, j'essaie de revenir vers lui, qui est à peine à quelques centimètres heureusement. La panique se fait sentir chez tout le monde. Il y a du sang à terre, des cris, des coups de feu et ces personnes masquées qui veulent prendre l'argent. « Charlie... » Je parle un peu plus fort, espérant qu'il va me répondre que tout va bien. Seulement, il ne répond pas et il ne bouge pas. Il respire, ce qui me donne envie de pleurer. Je n'aurais pas pu supporter qu'il puisse être mort. Mais il y a forcément quelque-chose pour qu'il ne me réponde pas. J'ai peur de le regarder. Peur de bouger encore plus. Peur que toute cette histoire se termine mal pour nous tous. Je suis morte de peur et la seule personne qui pourrait m'aider à être moins terrorisée, est inconsciente. La peur au ventre, je bouge encore un peu, en prenant soin de regarder qu'ils ne me voient pas. Je ne dois pas être bien importante, puisqu'ils semblent être préoccupés par d'autres personnes et l'argent. Malheureusement, lorsque je regarde Charlie, je m'aperçois qu'il y a du sang à côté de lui. Non, non, non, non, non, il ne peut pas être blessé, pas lui. « Charlie. » Je n'ose plus bouger, je ne sais pas quoi faire. Il est blessé. Il ne peut pas mourir. Je doute cependant, qu'ils aient quelque-chose à faire des personnes qu'ils ont pu blesser. Qu'est-ce que je suis supposée faire ? Je ne suis pas faite pour les situations de stress. Sans m'en rendre compte, des larmes coulent désormais sur mes joues, mais je m'en moque. Je veux seulement qu'il me réponde que tout va bien et qu'il ne faut pas que je panique. Mais non, il est toujours allongé sur le sol, inconscient. S'il vous plaît mon dieu, faite que ce ne soit qu'un cauchemar.

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