"Fermeture" de London Calling
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[HOT] Il existe d'autres langages. (w/Nyx)

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Mar 13 Jan 2015 - 16:37 par Invité
J'ai envie de toi.

julius & nyx

Ma respiration était difficile, sacadée. Nos cris et gémissements résonnaient. J'entendais les siens comme des merveilles. Je n'arrivais plus à contrôler quoique ce soit. C'était extrêmement bon. Meilleur que tout ce que je pourrais vivre dans ma vie. Ma main sur son sexe, elle sur le mien, la température montait au fur et à mesure que nous nous découvrions. J'allais sous son bas découvrir sa fleur. Je prenais de plus en plus d'aise, elle gémissait de plus en plus et me découvrait de mon short pour se rapprocher de la peau de mon propre sexe. J'étais bien trop excité, il ne demandait qu'elle. Un de mes doigts se fit une entrée en elle et elle cria. Je gémissais en même temps qu'elle. Déjà parce que c'était une sensation très excitante là au bout de mon bras, et parce qu'elle insista sur mon sexe jusqu'à enlever carrément mon boxer pour découvrir mon sexe enfermé jusqu'alors, qui jaillit là devant elle.

Avec pas trop d'hésitation, elle le prit en main et commença des va et vient qui me firent lâcher un nouveau gémissement rauque. Elle faisait ça bien, même très bien, mon sexe se délectait de ce contact. Elle m'en redemanda, j'insérais un nouveau doigt là en bas alors que la température se faisait vraiment à son plus haut point. Ce souffle m'avait excité plus encore, et je n'en pouvais plus. Je la faisais basculer sur le côté, lâchant doucement son sexe de mes doigts et attrapant son visage contre le mien pour l'embrasser comme jamais. Ensuite, je plaçais une main sous sa cuisse pour la relever un petit peu. Je laissais mon visage près d'elle, comme pour dire que j'étais là et que je ne voulais pas lui faire de mal. Doucement, je pénétrais mon sexe en elle. J'allais de plus en plus loin, doucement pour ne pas qu'elle ait mal. Mais qu'est-ce que c'était bon. J'avais quelques cris rauques quand je pénétrais. Un peu de sang faisait surface mais elle n'avait pas l'air d'avoir mal ou en tout cas, ne me priait pas d'arrêter. J'allais encore doucement, jusqu'à ce que ça s'estompe. Je restais tendre. Puis quand je sentis que ça allait mieux, et qu'elle donnait de plus grands coups de reins, nous intensifions les va et vient et criions, ensemble. Je prenais sa main que je serrais dans la mienne, mêlées. Aucun moment ne pourrait être meilleur que celui-ci.


       
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() message posté Mar 13 Jan 2015 - 17:04 par Invité
Toi, et rien que toi.

Nyx et Julius

C’était tout simplement exquis, rien de plus. Mon corps répondait totalement au sien, par des frissons, des cris, son prénom. Il me touchait comme jamais personne auparavant ne l’aurait fais, il était doux et demandant à la fois, et j’adorais ces sensations qui faisait nouvellement irruption chez moi.

Je me donnais totalement à lui, je le caressais aussi, tout comme il me caresse, tout comme il me donnait du plaisir à en tomber par terre. Il avait l’air d’être à bout, j’étais moi-même à bout, mon corps ne demandait que le sien. Doucement, je sentais un deuxième doigt pénétrer en moi, je n’avais pas très mal, juste une petite sensation de mal à l’aise qui s’estompait assez vite. Il m’avait entendu, il avait entendu que j’en voulais encore, lui aussi en demandait, rien que par son corps. Il se mit de nouveau au dessus de moi en venant m’embrasser à nouveau avec fougue, avant de retirer ses lèvres de se baiser aérien, sans pour autant retirer son visage complètement. Il restait tout près de moi pour me rassurer. Je commençais légèrement à stresser alors que je sentais un corps étranger s’immiscer en moi. Véritablement, j’avais mal. Mes mains serraient le drap sur lequel j’étais alors que mon corps commençait petit à petit à s’habituer au sexe de celui-ci. Je n’avais plus vraiment mal, la douleur laissait place au plaisir, et quant à lui, Julius, il gémissait à en faire tomber plus d’une. Une main vint se poser sur sa joue alors que mes hanches se laissent aller dans ces vas et viens doux, devenant énergétique voire même brutal. Et c’était bon. C’était divinement bon. Mon pouce passait sur ses lèvres entrouverte pour ressentir leur chaleur, alors que des cris de plus en plus aigu s’échappaient de ma gorge. J’allais à la rencontre de ses vas et viens aussi rapidement que lui, allant très profondément en moi par des coups de butoir plus qu’achevant. Je mordillais mes croissants de chair alors que mes doigts remontaient jusque dans ses cheveux pour les attraper. Mon autre main se posait sur son épaule, puis sur sa nuque comme pour me tenir de ne pas m’envoler. Je sentais mon corps s’électriser, mon corps entier commençait à ressentir un plaisir inouï, mes cris se faisaient plus fort et plus rapide alors qu’un éclatement de plaisir se fit dans mon corps entier, faisant crier son prénom comme jamais. J’étais à bout de souffle, totalement à bout, mais j’adorais.




       
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() message posté Mar 13 Jan 2015 - 17:48 par Invité
J'ai envie de toi.

julius & nyx

J'allais doucement au début, parce que je sentais qu'elle se tendait. Je ne voulais pas qu'elle ait mal. Pas le moins du monde. Elle s'accrochait aux draps parce qu'elle devait avoir mal, je ralentissais. Puis, sa main passa sur ma joue, ça me réconfortait, et ça me donnait envie d'elle. J'avais envie de lui faire du bien. Puis elle passa son pouce sur mes lèvres, je la laissais faire. Mes lèvres étaient entre-ouvertes afin de laisser passer mes gémissements. Elle dansa avec mes hanches, alors nous y allions plus franchement, je gémissais plus et elle criait. Oh que c'était bon, elle était tellement belle, c'était très excitant. De plus en plus. Je sentais que ça montait. Mes va et vient était tantôt rapide tantôt plus tendre. C'était un moment exquis.

Elle s'accrocha à mon épaule, et à ma nuque. Je ne la quittais pas. Elle cria mon nom, je serrais sa main dans la mienne. Je n'en pouvais plus, mais c'était trop bon. Je ne pouvais plus m'arrêter. Ses cris, ses gémissements, son corps contre le mien. C'était beau. J'imprimais son image. Je n'avais jamais pu imaginer voir, vivre une chose pareille. Et pourtant, elle était là avec moi. Et nous le faisions. Nos corps étaient en parfaite harmonie. Jusqu'à ce que j'éjacule plus tard. A bout de souffle, je me mettais à côté d'elle, elle qui avait du mal à reprendre son souffle aussi. Je ne disais rien, il n'y avait rien à dire. Ma peau frémissait encore. Je la regardais, encore respirant fortement, je souriais. Je remettais une de ses mèches en place. Sa peau était tellement douce. Au bout d'un moment, j'arrivais à sortir quelques mots. « Tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivé. Je n'aurais jamais cru vivre ça un jour. » lui dis-je sincèrement, à bout de souffle. Je lui caressais la joue du bout du doigt.

Je remettais mon boxer et mon short ensuite, attrapant un peu froid. Je faisais gaffe à ne pas lui tourner le dos, pour ne pas qu'elle voit. Je remettais rapidement le tee shirt. Je la regardais ensuite, debout, hors du lit. « J'ai envie de te raconter mon histoire... »


       
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() message posté Mar 13 Jan 2015 - 18:39 par Invité
Toi, et rien que toi.

Nyx et Julius

C’était de plus en plus bon et de plus en plus fort. C’était tout simplement exquis, une douceur dont je ne connaissais pas réellement avant aujourd’hui. Son corps me parlait vraisemblablement, et mon corps lui répondait. On ne faisait plus qu’un. (Note pour toi : Le roi lion, nous sommes un :okjesors : ) Je sentais mes jambes flageoler sous tant d’amour et de plaisir, c’était tellement bon que mon propre corps se laisser aller.

Nos mouvements devenaient de plus en plus rapide et brusque, je l’entendais gémir de tout son soul, il aimait ça tout autant que j’aimais ça. Sa main attrapait la mienne contre le lit pour la serrer fortement alors que petit à petit le plaisir monter considérablement dans nos deux corps, je le sentais qu’il allait pas tarder à exploser. Et finalement c’est ce que l’on fit, on explosait tout les deux dans une vague de plaisir intense. J’étais à bout, et je me sentais bien aussi. Il se retirait de moi, et malgré ça, j’avais un peu mal, mal à toute mes articulations. Il me serait un peu contre lui en m’annonçant que j’étais la plus belle chose qui lui soit arrivé, je souriais, toute heureuse de ce qu’il venait de me dire alors que je vins lui donner un petit baiser sur ses lèvres « Toi aussi Julius.. » Il se levait du lit pour se rhabiller alors que je pris le drap de mon lit pour le passer sur ma poitrine, essayant de me relever. C'était pas vraiment possible, mon corps me lâchait directement quand j’essayais de me lever du lit alors qu’il venait de m’annoncer qu’il voulait me raconter son histoire. « Oui.. Je t’écoute, je veux te connaître.. » Je me relevais difficilement en essayant de venir vers lui tant bien que mal. « Excuse moi, j’ai un peu de mal à marcher du coup, je sens plus mes muscles » dis-je en riant un peu. Je venais pour m’accrocher à son bras doucement pour ne pas tomber à nouveau, tout en tenant le drap par peur qu’il tombe. Je posais une main sur son visage en souriant un peu tout en plongeant mes yeux dans les siens pour le rassurer. « Je suis là Julius, je suis avec toi, aujourd’hui et demain.. Je veux être la force sur laquelle tu peux te reposer, je ne veux pas te voir souffrir.. » Je déposais un autre baiser sur ses lèvres en souriant. Je ne voulais pas qu’il souffre, je savais qu’il fallait qu’il parle, si me parler pouvait le réconforter, je serais même prête à porter sa douleur dans mon cœur, pourvu qu’il ne souffre pas encore.
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 11:42 par Invité
A mon tour de me confier.

julius & nyx

Ce que nous venions de vivre dépassait tout les bonheurs, les tendresses, les souvenirs du monde. Nous ne nous étions pas poser de questions, nous avions suivis nos instincts, nos ressentis. Nous avions été là l'un pour l'autre, physiquement. Nous avions désiré l'autre au plus profond de nous-même, et nous n'avions fait qu'un durant cet instant. C'est ainsi que je le ressentais. Une communion de deux corps dans tout ce qu'ils ont de similaires et de différents, dans ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre, ce qu'ils veulent donner à l'autre. Je voulais la protéger. Voilà. Je voulais être là pour elle. Je voulais qu'elle soit heureuse. Je voulais la voir rire comme ce soir, avec moi, dans mes bras. Je voulais sa peau, son odeur, sa voix avec moi, à moi. Je la voulais. Je voulais la connaître par coeur, savoir quoi faire quand elle a mal là ou là, savoir quand elle a peur et qu'elle ne le montre pourtant pas, savoir ce qu'elle aime manger, faire, pour la surprendre, la rendre heureuse.

Je me rhabillais avec ces idées, quand je la regardais, une fois mon dos recouvert, me disant qu'il fallait que je lui apprenne ma douleur. Après tout, elle s'était confiée à moi plus tôt, c'était à mon tour de le faire. Je lui devais bien ça. Et puis, j'avais envie de lui dire. Pour la première fois, j'allais mettre des mots sur mon passé, sur mon traumatisme, sur ma souffrance. Elle allait savoir pourquoi je n'aime pas qu'on me touche le buste, pourquoi je vais lui demander de ne pas me mettre dans le noir quand on dormira, pourquoi simplement je suis ici, à Londres, pourquoi j'ai peur de jouer du violon maintenant, pourquoi je n'avais jamais vécu l'amour, ni même connu l'amour, ni même pensé à l'amour. Elle allait tout savoir. D'un certaine façon, elle faisait déjà tout ce qu'il fallait pour que je passe à autre chose avec elle. Elle se leva, enroulée du drap, elle tituba un peu mais je m'approchais et elle prit mon bras pour s'accrocher. Je l'attrapais pour être sûre qu'elle ne tombe pas. Elle posa sa main sur mon visage. Ce contact m'apaisait, m'aidait. Elle souffla des mots qui vinrent directement résonner dans mon coeur. Je les entendais s'infiltrer en moi, ça me faisait tellement de bien. Elle m'embrassait tendrement et je caressais sa joue. Je lui souris doucement, mais en repensant à ce que j'allais lui conter, je perdis mon sourire. Je l'emmenais vers le lit pour que nous puissions nous asseoir, je ne voulais pas qu'elle titube encore.

Je la regardais alors, me disant que de lui dire tout cela en la regardant dans les yeux, ça m'aiderait, et en effet, je réussis enfin à mettre des mots sur un cauchemar. « J'ai une soeur jumelle. Elle s'appelle Cassia. Et elle vit ici. Je suis venu du Canada ici pour elle, en fait... Mais elle ne sait pas que je suis si près d'elle. En fait... Elle me pense... mort. Elle est dans une réelle dépression et.... je n'ose pas aller vers elle à nouveau de peur qu'elle se pense doublement... folle et qu'elle... enfin voilà pourquoi... Quand nous étions petits, j'étais très proche d'elle. Nous faisions tout ensemble, douche, dodo, jeu, école. Jusque nos 9 ans. Là, notre père a décidé que c'était abusé qu'à nos âges nous étions toujours si inséparables, il trouvait ça je sais pas... peut-être incestueux... J'en sais rien. » Je dégageais un petit rire nerveux, parce qu'encore aujourd'hui je ne comprenais pas cette réaction. Je baissais les yeux, jouant avec mes mains, et je relevais mes yeux bleus vers les siens. « Alors il a voulu nous séparer. Différente chambre, différente école à partir de nos 11 ans. J'ai haïe mon père comme personne. Cassia n'était pas tout à fait d'accord avec moi et ne m'a pas suivi dans ma crise contre mon père, radicale. Je le détestais de nous faire ça. Je faisais tout pour le contredire et passer tout le reste de mon temps avec elle. Maman aussi avait du mal avec l'avis de Papa. Enfin voilà. A l'âge de 15 ans, papa trouvait encore que nous étions trop proches alors il a décidé de nous faire aller en vacances séparément. Je suis resté travailler avec lui alors qu'elle est parti chez... notre oncle. » J'avalais fortement, avec peur de continuer. Mais la main de Nyx me donna la force de continuer, mes yeux brillaient de tristesse. Ma voix se fit un peu fébrile. « Quand elle est revenue, je sentais que quelque chose n'allait pas. Elle était renfermée, triste, elle ne voulait plus qu'on la touche... Puis j'ai compris. Notre oncle l'avait... violée quand... quand elle était là-bas. Alors, j'avais 15 ans quand je suis parti en furie chez mon oncle pour la venger... Et j'avais 15 ans quand il m'a enfermé dans sa cave, me détenant sans que je puisse rien faire. Il passait ses journées à me jeter de la nourriture à la figure, à me taper, même abuser de moi sexuellement il... » Je baissais la tête, je mis ma main sur le front pour me calmer puis, je relevais la tête. « Il m'a pris mon adolescence. Jusque mes 18 ans, il m'a gardé là enfermé dans le noir ensanglanté. A mes 18 ans, j'ai réussi à sortir de la cave, à me libérer une main quand il était parti. Mais quand je retrouvais enfin la lumière, je vis son ombre rentrer et me voir. On s'est battu, je l'ai presque tué... Je suis allé directement à la Police, arrêté, en garde à vue. Papa est venu me chercher quand je passais au Tribunal. Heureusement, j'ai échappé à une erreur de justice et il a été foutu en prison. Je voulais rentrer reprendre ma vie avec papa mais... Il avait annoncé à tout le monde, pour ne pas trop souffrir de l'attente que je revienne que... j'étais mort. Cassia était partie à Londres pour reprendre sa vie en main, maman travaillait ailleurs au Canada, il n'y avait que Papa. On a décidé de me changer de nom, je me suis appelé Tobias pendant quatre ans. Il m'a appris comme il pouvait ce que j'avais raté. Je n'ai plus touché à mon violon pendant deux ans. Parce qu'il me rappelait trop Cassia. Et j'ai encore du mal aujourd'hui. J'ai fais croire à Papa que je voulais voir le monde, sans qu'il sache que je savais où était Cassia, et je suis venu ici dans le secret pour tenter de retrouver ma vie, retrouver ma soeur pour qui je voulais tuer... » Je finissais mon histoire en serrant sa main, de peur qu'elle prenne peur de moi ou quoique ce soit. « C'est pour cela que je préfère éviter qu'on... me touche à nouveau. Enfin je... Ça va prendre du temps. Surtout avec les traces qu'il m'a laissé à vie... » lui avouais-je donc pour répondre à pourquoi je repoussais doucement ses mains.


       
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 12:51 par Invité
Je suis là pour toi.

Nyx et Julius


On venait passer une nuit dont je n’oublierai jamais l’existence. Nos deux corps s’étaient entremêlés l’un contre l’autre pour faire finalement, plus qu’un. Mon cœur tambourinait encore jusqu’à mes oreilles. C’était vraiment quelque chose. Je le voulais lui, lui et son tout. Lui et son histoire, ses blessures, ses malaises, ses défauts et ses atouts. Je le voulais tout entier.

Alors que je peinais à marcher, il me rattrapait pour ne pas que je tombe à nouveau, ça serait certainement trop marrant. Je lui souriais tendrement pour qu’il prenne plus confiance en lui tout en lui caressant la joue, c’était une chose qui l’avait, à l’évidence, rassuré plus qu’autre chose. Il sourit à son tour avant de me déposer sur le lit pour ne pas avoir trop mal déjà, en restant trop debout, mais même en m’asseyant j’avais un peu mal, c’était horrible, mais ça me faisait repenser à la nuit qu’on venait de passer. J’essayai de prendre une position pour ne pas avoir trop mal, chose faites. Il commençait à me conter son histoire. Je ne le sentais pas très bien après m’avoir raconté qu’il a une sœur jumelle. Je prenais sa main contre la mienne tout en entrelaçant ses doigts aux miens pour le rassurer. Je souriais légèrement pour le mettre à son aise, mais mon sourire s’effaçait aussi rapidement lorsqu’il me racontait la suite. C’était tellement horrible, tellement triste, pour sa sœur, Cassia. Mais ça ne s’arrêtait pas qu’à là, j’étais encore plus… Énervée et attristée en entendant ce que son salop d’oncle avait pu lui faire. Je voyais totalement la scène se dérouler devant mes yeux. Et je ne pouvais m’empêcher d’avoir quelques larmes aux yeux. Je vins lui déposer un doux baiser sur ses lèvres avant d’embrasser sa cicatrice qui apparaissait légèrement au-dessus de pull. Des larmes silencieuses ne pouvaient s’empêcher de couler alors que je venais le prendre dans mes bras, avec douceur sans m’empêcher de l’embrasser la nuque comme pour le rassurer que j’étais là. « Oh mon dieu.. Je.. Suis terriblement désolée.. » Je ne savais pas quoi dire de plus, je voulais lui parler, mais trop d’émotions s’émanait de moi, je le prenais dans mes bras, mes bras qui lui disaient tout sans qu’un mot ne sorte de mes lèvres. Je comprenais maintenant pourquoi il ne voulait pas que je lui touche son corps, je comprenais tout même si je me doutais de quelque chose. Je vins doucement lui retirer son pull pour découvrir son torse, je voulais tout connaitre de lui, absolument tout. Je scrutais son torse visuellement, alors que mes lèvres revenaient se poser sur sa cicatrice, doucement. Je me levais du lit, en lui faisant signe de rester assis. Je voulais tout voir, j’avais tout vu, sauf son dos.

Je me retournais doucement vers son dos pour découvrir toute  ces cicatrices aussi profondes les unes que les autres, longues ou petites. Mes jambes me lachaient totalement, pour me retrouver par terre en montant mes mains à mes lèvres, par le choc, les larmes s’accumulaient dans mes yeux, mais je ne voulais pas plus l’attrister plus qu’autre chose. Je voulais toute les embrasser, une par une, mais il ne le supporterait certainement pas. Je me levais doucement en m’appuyant sur le lit, embrassant le haut de sa nuque où se trouvait aussi une petite cicatrice en venant l’enlacer de nouveau, par derrière, à la nuque, en fermant les yeux. « Je suis là, Julius, je te promets que je ne te lâcherais jamais, c’est promis.. » Ma main venait doucement tourner son visage vers le mien pour l’embrasser doucement. Il fallait que je lui fasse penser à autre chose, même s’il devait être très tard, je ne voulais pas le laisser dormir sans avoir vu un sourire radieux sur son visage. Je vins devant lui pour m’asseoir sur ses cuisses avant de croiser les miennes et croiser par la suite mes bras, en prenant un air autoritaire en essayant de ne pas rire. « Et bien alors M. Hudson ? Mademoiselle Nyx Steele vous bat toujours à plate couture ! Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? » Je lui tendais mon poing comme si ça pouvait être un micro, en riant légèrement avant d’hausser les épaules. « Ou bien, vous êtes tellement subjugué par la belle Nyx, que vous n’avez rien à dire pour votre défense ? » Je ne pouvais me retenir de rire aussi avant de me dire à moi-même « Quoique, Nyx aussi n’a pas résistée à ce spécimen ! » Je riais de plus belle, vraiment pour lui faire oublier toute cette douleur, comme il me l’avait fait.




       
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 14:30 par Invité
Merci.

julius & nyx

Je la regardais tendrement, essayant de ne pas faillir à mes mots. Ils étaient bien plus difficiles à prononcer que ce que je pensais. Je ne l'avais jamais raconter, à personne. Le psychologue l'avait compris, mon père connaissait déjà l'histoire avant. C'était les seules personnes qui étaient au courant. Nyx était la première devant qui je prenais le courage de prononcer ces mots. Elle fut très compréhensive et me tenais la main, comme je le voulais, comme j'en avais besoin. Elle était là, simplement, et c'est la meilleure chose qu'elle ait pu faire pour moi.

Je finissais mon discours, elle ne savait pas quoi dire, et je ne lui en voulais pas, c'est normal. Il n'y avait rien à dire, juste tout à savoir pour me connaître vraiment, c'était tout. Elle avait les yeux brillants, comme les miens d'ailleurs. Elle vint m'embrasser sur les lèvres, puis ma cicatrice avant de me prendre dans ses bras. je me nichais dans ses cheveux, pour avoir son odeur, pour m'apaiser. Elle prononça des mots hésitants et pleins de tristesses. Je ne répondais pas. Son étreinte me suffisait, je n'avais rien besoin de plus que d'elle. Elle retira alors mon pull. J'avais eu du mal à la laisser faire, mais je la laissais tout de même. Elle regarda la citatrice sur mon torse et celle qui dépassait de mon épaule. Comme je le craignais, elle voulut voir mon dos. Je ne disais rien, je ne bougeais pas. Je tremblais un peu, parce que j'avais peur de sa réaction. Je n'entendais rien, juste son souffle haletant. Je fermais fort les yeux, ne bougeant toujours pas. Puis elle vint me prendre dans ses bras de derrière, m'embrasser la nuque et me souffler ces quelques mots qui atteignirent mon coeur sans obstacles. Elle tourna ma tête pour m'embrasser, ce qu'on fit.

Puis elle me fit face, s’asseya sur mes genoux et changea tout à fait de sujet. Elle fit un petit jeu de mime qui me fit sourire à la première réplique, puis rire à la deuxième. Je n'avais même pas eu le temps de parler. Jea riais de plus belle à sa troisième réplique, avec elle. Elle voulait me changer les idées, me faire rire. Rien que ça, ça faisait apparaître mon sourire. Je ne répondais toujours rien. Je la regardais, en souriant. Puis je l'embrassais tout à coup, j'embrassais comme cela son rire, son sourire, son bonheur, que j'aimais. Je la faisais basculer sur le lit en l'embrassant puis, je la prenais dans mes bras de derrière elle, liant nos mains à nouveau, ma tête au dessus de la sienne, au dessus de son oreille. Puis, dans cette position, j'eue une idée malicieuse. J'embrassais son oreille, la serrait - pas trop fort - dans mes bras et je dis : « Doudou. » et je souriais, me retenant de rire à ma blague. Je faisais genre de fermer les yeux, je ne la lâcherais pas.


       
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 15:16 par Invité
C'est normal.

Nyx et Julius


C’était vraiment triste, même terriblement triste. Je voulais absolument voir ce qu’il me cachait et ce fut un réel choc. Même plus, je ne savais pas quoi dire, j’ai tellement été choquée que mes jambes m’avaient totalement lâchées. Je maudissais son oncle, je le haïssais, je ne le connaissais pas et heureusement. J’espérai secrètement qu’il pourrirait en taule. Je me levai doucement pour le prendre dans mes bras tout en venant l’embrasser. Un baiser qu’il me rendait bien évidemment.

Et maintenant, il fallait juste oublier, oublier et passer par-dessus. Je me devais de le faire rire, c’était même une obligation, je ne voulais pas le laisser avec toute ces émotions encore dans la tête. Il avait pris son courage à deux mains pour m’avouer son histoire, et je lui en étais plus que reconnaissante. Je venais m’asseoir sur lui et jouer un peu avec lui. Ça avait de fonctionner, il rigolait à toute les phrases que je sortais, et j’en faisais de même, j’étais vraiment débile sur le coup, mais si ça pouvait le faire rire, ce n’était certainement pas un souci. Tant qu’il riait, ce n’était aucunement un souci. Je faisais la miss hyper sérieuse, mais c’était limite pas possible, son rire et sourire éclatant me donnaient tout simplement envie de rire aussi. Quelle fut ma surprise lorsqu’il attrapa mes lèvres contre les siennes, d’un seul coup, sans crier gare. Je souriais toujours contre ses douces lèvres, décroisant mes bras pour les passer dans ses cheveux alors qu’il me fit basculer sur le lit, j’exprimais mon étonnement par un cri avant de rire doucement alors que ses lèvres revenaient contre les miennes. C’était doux, chaud et réconfortant. Il entremêlait ses doigts aux miens, en me serrant fort contre lui. On se regardait comme ça, c’était une magnifique sensation, d’avoir quelqu’un qui nous prenne dans ses bras, de sentir la chaleur d’un autre corps. Je serrais ses mains à mon tour avant qu’il ne me serre de nouveau comme si j’étais une peluche. « Doudou ». Je riais faiblement en l’entendant dire, il était clair que j’étais totalement fatiguée, je le serrais à mon tour dans mes bras en déposant un petit baiser sur sa joue en la lui mordillant légèrement. « Il se fait tard Julius, on devrait dormir, demain je ne travaille pas, on passera toute notre journée ensemble ? A part si tu as des choses à faire… » Je fermais à mon tour mes yeux, tout en embrassant sa nuque qui s’offrait à moi, j’adorais l’embrasser à cette endroit, si tendre, si chaud et si sensible.





       
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() message posté Sam 17 Jan 2015 - 15:42 par Invité
Merci.

julius & nyx

Je venais de lui raconter mon histoire. Toute mon histoire. Je n'avais rien laissé de côté. Je tenais à ce qu'on connaisse parfaitement tous les deux. Et dans nos bons et mauvais moments. Elle s'était confiée à moi et ça avait été à mon tour de le faire. De toute façon, d'un certain sens, je savais qu'à présent, maintenant que j'étais avec elle, qu'elle me regardait de cette façon que j'aimais tant, et que je pouvais la regarder de cette façon que j'aimais tant, les malheurs iraient loin derrière moi et y resteraient. Je sentais que je prenais un nouveau départ avec Nyx à partir de maintenant.

Je la prenais dans mes bras comme s'il s'agissait de mon doudou, d'ailleurs c'est ce que je lui dis, alors qu'elle m'embrassait tendrement sur la joue. Elle avait réussi à me faire rire après une telle confession. Elle avait sûrement voulu voir ce sourire, au lieu de la tristesse qui l'avait remplacé durant ce court instant. Exactement comme je l'avais fais lorsqu'elle m'avait avoué son passé. Cela me faisait du bien, j'étais un peu libéré d'un poids. Je ne l'avais jamais dis à personne, jamais. Je n'avais jamais montré ces cicatrices à personne, ainsi que de la même manière, personne n'avait jamais fait pour moi de si grands actes d'amour, de tendresse à mon égard. Elle me redonnait de l'espoir, de la chaleur de vivre.

Elle était là, contre moi et je ne voulais plus la lâcher. Je me le promettais, là, de toujours pouvoir la tenir dans mes bras, la faire rire, tant qu'elle aura besoin que je sois là pour elle. Elle se recula doucement et annonça qu'on devrait dormir. C'est vrai, elle avait raison, j'étais exténué et elle semblait l'être aussi. Ce serait bien de s'assoupir à présent. Nous avions la bonne position pour. C'était parfait. « Je serais là demain. Et quand tu auras besoin de moi. Dors bien. » Elle embrassait mon cou. Moi j'embrassais son front tendrement, la serrant doucement contre moi. Un léger filet de lumière passait entre ses rideaux, parfait pour moi, qui ait peur de dormir dans le noir. Je pouvais maintenant fermer les yeux, dormir avec l'odeur d'une femme dont je me suis épris aujourd'hui, dormir avec cette odeur que j'imprimais dans mon esprit, cette odeur que je n'oublierais jamais.


       
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