(✰) message posté Dim 11 Jan 2015 - 22:21 par Invité
Ai-je le droit d'aimer?
julius & nyx
Elle était triste comme jamais et sans savoir réellement pourquoi, je ne supportais guère cela. Je voulais la revoir sourire, comme lors de la soirée. Je voulais l'entendre rire. Même après avoir eu connaissance de son récit, de ce* souvenir qui la hantait et l'avait forgé ainsi. Je voulais qu'elle passe au dessus, qu'elle avance. Je voulais l'aider à y parvenir.
Après une légère étreinte dont je pu difficilement me défaire, je décidais que nous devions manger. Nous commencions, normalement jusqu'à ce que je décide de faire un peu... mon gamin. Mais on rirait bien. Alors je me lançais, je lui piquais un légume dans son assiette. J'écartais la mienne dès lors mais en se levant et passant au dessus de moi elle réussit à faire de même. A son tour, elle prit carrément son assiette, debout, s'enfuyant pour ne pas que je l'attrape et se mit à manger vite. « Arrête c'est pas bon pour la santé! » dis-je juste pour qu'elle revienne, que je me venge. Mais aussitôt je pris une grosse bouchée avant de courir derrière elle alors qu'elle ressemblait maintenant à un hamster russe. Je voulais rire mais j'allais m'étouffer, j'avalais vite ça avant de rire enfin aux éclats et d'essayer de la chopper. Elle finit tout avant que je l'attrape. « La plus forte? Tu es sûre Steele? » dis-je en la portant alors qu'elle avait encore assiette et fourchette dans les mains, je les prenais pour les déposer sur la table de salon tout en la tenant encore et je la portais jusque la salle de bain d'où elle était sortie plus tôt. Elle se débattait, en vain, nous rions aux éclats. J'allumais l'eau, j'obtenais en un coup de main que ce soit l'eau chaude et je la mettais dessous, encore en la tenant, en essayant de me tenir hors de là.
Chose pas si facile car rapidement, elle arrivait à me mettre la tête dessous et je criais faussement. Je pris le pommeau de douche que je retournais contre elle, elle mit sa main devant. Je l'entendais rire. J'étais trempé de la tête aux orteils, mais elle riait, et moi aussi. Il n'y avait plus le Julius tapé, le Julius qui a peur du noir, le Julius qui ne sait pas rire, le Julius qui ne connaît rien en la relation humaine. Il y avait Nyx et Julius, riant comme des enfants. Elle arrivait à couper l'eau pour ne plus le recevoir en pleine tronche. Nous riions encore un moment avant de nous rendre compte un peu de la situation. Nous étions face à face dans une douche, mouillés comme des poissons. Sa robe de chambre était maintenant transparente, laissant apparaître sa nuisette et ses sous vêtements dessous. Quelque chose m'envahit, je la regardais à nouveau dans les yeux, puis je remarquais que je la regardais d'une façon... Enfin. J'étais très troublé. Mon coeur battait vite, je m'en rendais compte. Cela n'était pas récent, ni ce regard, cette envie de la protéger, tout cela fit sens d'un coup dans mon esprit. Je ne connaissais pas cela et pourtant je comprenais de quoi il s'agissait. Mes yeux allaient des siens, magnifiques, à son visage que je scrutais. Je posais une main sur ce beau visage comme pour vérifier que tous ces traits étaient bien là et bien parfaits. Ils l'étaient. Mes lèvres s'approchèrent doucement. Je sentais son souffle sur mon visage. Je l'embrassais. passionnément. Mon coeur fit trois tours. Je ne savais pas ce que je faisais. J'agissais. Je l'avais vu dans des films, à la télé, mais je ne pensais jamais le vivre. C'était impensable. Moi, frappé presque à mort, violé, enfermé pendant trois ans. Je n'y avais jamais même pensé. Mais cela se produisait, j'embrassais une femme magnifique, qui me plaisait, qui me faisait rire, que je voulais protéger. Nos lèvres dansaient doucement ensemble, comme si elles avaient été faites pour cela. Ma main était toujours sur son visage. Je n'avais même pas pensé que si je voyais ses sous-vêtements, elle pourrait deviner avec le tee shirt moulant les cicatrices des coups qu'on m'a porté.
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(✰) message posté Dim 11 Jan 2015 - 23:18 par Invité
Encore, M. Hudson.
Nyx et Julius
Nous étions en train de rire aux éclats. C’était même quelque chose d’insensée. Je fais la femme la plus m’enfoutiste du monde juste pour le taquiner. Chose voulu, chose faites. Il était littéralement plaqué de rire, certainement par mes grosses joues. J’avais l’impression que ça faisait une éternité que je n’avais pas rigoler de cette manière, ce n’était qu’avec lui que j y arrivais, si.. Naturellement. Bien sur au travail, tout était purement professionnel, je ne pouvais tirer la tronche. Après avoir bien fini mon assiette rapidement je le voyais arriver derrière moi, me prenant dans ses grands bras. Je poussais des cris en rigolant, ayant peur même de ce qu’il pourrait faire. Par la même occasion, il me prit mon assiette et ma fourchette pour les déposer sur la table alors que je me débattais mais en vint. C’était sur que contre une masse de muscle, face à la masse, je ne pourrais le vaincre. Il m’avait bien dit au ton de sa voix qu’il allait se venger, juste en me demandant si j’étais sure d’être la plus forte.
« Nooon ! Lâche moi Julius Ha ha ! Je vais te le faire regretter ! »
J’étais littéralement explosée de rire. Je ne savais pas où il m’emmenait, mais très rapidement, ce fut une évidence lorsque je vis qu’on se dirigeait vers ma salle de bain. Je fis de gros yeux en voyant la salle. Je me faisais un facepalm royal en le voyant ouvrir l’eau pour vérifier si elle était chaude ou non, je me remis à crier de plus belle en essayant de me détacher de ses bras fort, mais c’était totalement impossible. « Non ! Pas ça ! Juliuuuuus ! » Je n’avais même pas fini mes supplication, qu’il me mit sous l’eau, comme un poisson. Et étant une gentille fille, je l’attrapais à mon tour pour le faire rentrer dans la douche. On était trempé comme pas possible alors que j’étais totalement morte de rire, lui de même. Il prit le pommeau de la douche pour avoir les jets en plein visage, me laissant respirer difficilement alors que je ne pouvais me retenir de rire. Une mains tentait d’attraper le pommeau mais sans succès, et l’autre cherchait à fermer le robinet, chose facile à faire. Lorsque l’eau ne m’assaillait plus le visage, j’explosais une nouvelle fois de rire ainsi que lui. Mais rapidement, je pris conscience de la situation, et lui aussi par la même occasion, il avait même arrêté de rire. Totalement, en me regardant. Je pouvais voir son torse magnifiquement bien dessiné à travers le tee shirt, je me mordillais inconsciemment la lèvre en voyant ce beau tableau. Mes yeux revenaient aux siens. Et là c’était certainement le plus grands déclic que je n’aurais jamais pu avoir dans ma vie. Nos yeux brillaient d’une.. Envie. Mon cœur battait à tout rompt, je ne savais pas vraiment ce qui se passait.
Je n’avais jamais eu une telle situation aussi délicate, mais c’était tellement évident, nos similarités, nos éclats, c’était tellement bon, c’était tellement ce qu’il me fallait, c’était de lui, et rien que de lui. Je voyais son visage s’approcher du mien alors que mes yeux se fermaient inconsciemment en se laissant aller dans ce doux baiser. C’était certainement la première fois, que je vivais un vrai baiser. C’était tellement magnifique, on aurait dit une sensation d’apesanteur.. Sa main touchait mon visage, le scrutait, comme pour se rassurer que j’étais bien ici. À mon tour, je laissais mes mains monter jusqu'à ses cheveux qui retombait désormais sur la nuque et son front. C’était vraiment un magnifique tableau. Certains bruissements sortaient d’entre mes lèvres afin de reprendre ma respiration, du moins je crois, alors qu’inconsciemment, mes mains déviaient vers ce corps d’Apollon, mais doucement, Julius m’attrapait les mains pour les entrelacer aux siens. C’était vraiment une sensation incomparable, que je n’avais jamais ressenti auparavant. Mes yeux s’ouvraient doucement pour le regarder, c’était même le plus beau spectacle qui s’offrait à moi, ses sourcils étaient légèrement froncés, certainement par concentration.
Je souriais légèrement contre ses lèvres avant de lui mordiller la lèvre inférieure, en le regardant toujours intensément, il ne suffisait même pas de mots pour se comprendre. On se parlait visuellement, et mes mains se resserraient sur les siennes, avant que je ne mordille moi même ma lèvre inférieur, venant par la même occasion remplir son visage de tendres baisers, dessinant sa mâchoire si bien dessinées avant de descendre sur sa nuque, puis l’os de la clavicule, je savais quelle sensation ça pouvait provoquer, on parlait souvent des ébats de mes collègues de travaille qui expliquaient avec tellement de détail ce qu’elles faisaient, me disant que je devrais vraiment tester. C’était vraiment exquis de le faire, et je n’osais même pas imaginer ce que je pouvais ressentir Julius. Je retirais doucement mon visage pour le regarder une nouvelle fois, mais par de là, ma respiration était plus saccadée qu’autre chose et mes yeux étaient mi-clos. Je ne savais pas si ce que je faisais étais bien pour lui ou pas, mais à en juger ses battements de coeur que je pouvais sentir contre mon épaule, je ne pouvais qu’être satisfaite. Je retirais une main de son emprise pour venir recoller mes lèvres contre les siennes. Je ne voulais vraiment plus le lâcher, je me sentais trop en sécurité, trop bien pour relâcher cette étreinte une nouvelle fois.
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(✰) message posté Lun 12 Jan 2015 - 18:18 par Invité
Laisse moi t'embrasser.
julius & nyx
Je ne comprenais pas ce qu'il se passait en moi. Tout se bousculait. Mes sens faisaient rage. Je n'avais jamais pensé à l'amour une seule fois dans ma vie. En même temps, l'âge où les garçons sont censés commencer à y penser fut l'âge où j'étais enfermé dans une cave par mon propre oncle, qui me frappait et me violait. Je n'existais plus pour le monde extérieur, et même plus pour moi-même. Comment aurais-je pu penser à tomber amoureux jusqu'aujourd'hui? Je n'y avais jamais songé. Je trouvai, cela fou, finalement, maintenant face à celle qui faisait faire des bonds à ce coeur meurtri. Nos lèvres dansaient ensemble, dans une valse folle.
Elle attrapa mes cheveux, ça me lança une vague d'électricité que je ne pouvais expliquer. Rien avait été si merveilleux dans ma vie que cet instant. Je ne pensais plus à tout ce qui me faisait souffrir. Elle était là, et c'est ce qui m'importait en réalité. Elle voulut poser les mains sur mon torse mais je l'en empêchais. Je ne pouvais plus sentir un contact sur ma peau, cela me rappelait les atteintes de mon oncle.. Mais je ne repoussais pas Nyx, jamais. Je pris ses mains tendrement pour les lier aux miennes, elle ne s'en rendrait sûrement même pas compte. Je continuais ce baiser tendre, puis nous nous éloignions. Je ne savais plus quoi penser, j'étais dépassé par mes émotions, ce que je ressentais. Mon coeur battait tellement vite, ça faisait mal et en même temps tellement de bien. Je fronçais un peu des sourcils. Mais je souriais, la, contre son propre sourire à elle. Elle me mordillait la lèvre inférieur, encore une vague de sensations fortes. Elle se le fit, et encore. Puis, elle tourna la tête pour m'embrasser le visage, la mâchoire, la nuque, la clavicule. Le contact de sa peau sur la mienne électrisait jusqu'à ma moelle épinière. Ma peau frissonnait sous ses douces lèvres qu'elle ne connaissait pas, dont elle n'avait jamais été préparée. Je respirais difficilement maintenant. Elle lâcha une de mes mains. Elle me rattrapa les lèvres dans un nouveau baiser, plus profond que le premier. Je répondais bien évidemment. J'adorais ce contact, plus que tout. Je passais une main dans ses cheveux mouillés. Je la serrais contre moi, pour que rien ne nous sépare, que rien ne puisse l'atteindre et lui faire du mal.
Au bout d'un moment, je me dis qu'elle devait avoir froid et je m'éloignais, non sans mal de ses lèvres. Je sortais et l'aidais à sortir, mettant sa serviette autour d'elle. Je lui en empruntais une. Je la passais sur moi, tapotant pour prendre le maximum d'humidité. Puis, sans pouvoir le contrôler, mes yeux se reposèrent sur elle. Je souriais, je me rapprochais d'elle à nouveau, doucement. Mes pas n'étaient pas hésitants. Ils allaient naturellement vers elle. Je posais ma main sous son cou, de manière un peu possessive et j'attirais ses lèvres sur les miennes, dans un baiser fougueux. Elle me faisait sentir ce que je n'avais jamais ressenti. Je posais une main en bas de son dos, la serrant contre moi. J'abandonnais ma serviette, et elle la sienne. Rien ne nous séparait à présent. Je la reculais doucement contre le mur, prenant à nouveau une de ses mains pour la claquer doucement contre ce mur, alors qu'elle tentait à nouveau de poser une main sur mon torse. Aucun mots, aucun autres bruits.
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(✰) message posté Lun 12 Jan 2015 - 21:25 par Invité
Cooler than me.
Nyx et Julius
A vrai dire, je ne savais pas vraiment ce qui se passait, tout allait si vite, si bien aussi. C'était .. Intense et secrètement, c'était bon.
Le baiser était féerique, les sensations que j'éprouvais étaient tout simplement inédit, c'était tout nouveau pour moi, pourtant je savais pourtant très bien faire. Mon cœur battait vraiment à tout rompt. Il était clair que l'embrasser était la chose la plus belle qui ai pu m'arriver dans ma vie.
Je m'accrochais légèrement à ses cheveux blond-châtain pour intensifier le baiser, un baiser qu'il me rendait avec fougue. Tellement de fougue que je ne pouvais plus avoir de souffle, ce qui m'obligeait à retirer mes lèvres pour prendre un peu de ma respiration. Ma poitrine me faisait mal à force que mon cœur ne batte aussi fort, c'était indomptable. Mes mains voulaient se balader mais il m'avait rapidement attrapé mes mains pour me les serrer contre les siennes. C'était tellement, beaucoup, tellement intense. Mais je ne m'arrêtais pas là, j'explorais son visage grâce à mes lèvres jusque sa clavicule en sentant sa peau légèrement frisonner contre mes croissants de chair. Peu après, je commençais à avoir froid, c'était clair, on venait d'entrer dans une douche sous l'eau chaude, et maintenant plus rien. Il devait encore une fois lire dans mes pensées alors qu'il me faisait sortir de la douche pour, par la suite, me donner une serviette afin que je me sèche, ainsi que lui. On parlait pas, on se séchait seulement, et j'avais l'impression que ça durait une éternité. Mon cœur ne voulait absolument pas se calmer. Je sentais ma robe de chambre me coller et c'était une des sensations les plus désagréables que je pouvais avoir, je la retirais rapidement avant de remettre la serviette sur moi, comme pour me cacher.
Je sentais un regard sur moi, et en me retournant je ne pouvais voir que les yeux saphir de Julius qui me regardaient intensément, s'approchant de moi. Je me sentais un peu perdue sur le coup alors que mes jambes tremblotaient légèrement de froid, il ne me quittait pas des yeux, et à mon tour je le dévorais totalement par simple contact visuel. Il attrapait ma nuque pour ramener mon visage au sien, alors que de son autre main, il collait son corps au mien, laissant ainsi, les deux serviettes retomber à terre. Il nous bloquait au mur, complètement pour ne plus rien sentir d'autre que son corps et le mien collés. Une main dérivait une nouvelle fois dans ses cheveux pour intensifier le baiser alors que l'autre voulait toucher le torse de mon beau prétendant. ça avait l'air tout simplement impossible, et je l'avais compris lorsqu'il claqua ma main contre le mur, pour la bloquer. Mais au lieu de l’interroger comme je fais toujours, avec tout le monde, je continuais avec fougue le baiser, entremêlant ses doigts aux miens.
Je ne connaissais absolument rien aux sentiments, ni même à l'amour, le seul amour que j'avais pu porter dans mon cœur était celui de mes parents et rien d'autre. Et je pensais que toute ma vie ça serait le seul que je porterais, finalement, la vie en aurait décidé autrement.
Je retirais légèrement mes lèvres des siennes pour reprendre ma respiration. Je pouvais entendre dans cette vaste salle de bain, le bruit de notre respiration bruyante et coupée, se mêlant l'une à l'autre, c'était presque des petits gémissements que l'on pouvait entendre. La salle de bain n'était pas l'endroit qu'il fallait, pas du tout même, et à la sortie de la salle de bain on se retrouverait automatiquement dans ma chambre. J'étais légèrement gênée, mais je voulais tellement l'avoir toujours contre moi, dans ses bras qu'il me serait impossible d'arrêter à l'instant même. Je gardais sa main contre la mienne, revenant l'embrasser de nouveau, avec plus d'entrain, de fougue et de passion tout en le faisant sortir de la salle de bain, sans un bruit pour pénétrer automatiquement dans la vaste chambre qui était mienne. Je le faisais reculer jusqu'à la limite de mon lit, alors qu'un sourire se collait de nouveau à ses lèvres. Je le faisais toujours autant reculer, jusqu'à le faire tomber en arrière sur le lit, moi dessus.
Je savais ce que j'allais faire, j'étais une reine après tout non ? Je m'asseyais à califourchon sur lui, tout en me mordillant la lèvre, avant de prendre ses deux mains et les mettre au dessus de sa tête en souriant toujours. Je vins déposer un léger baiser sur ses lèvres avant d'en mordiller comme quelques minutes avant. « Alors, oui je suis sûre d'être la plus forte, mon cher M. Hudson » Murmurai-je à son oreille avec la voix la plus provocante que je n'aurais jamais pu faire dans un autre contexte que celui-ci. Je riais doucement, en revenant embrasser sa nuque, la mordillant aussi par moment tout en humant son magnifique parfum.
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(✰) message posté Lun 12 Jan 2015 - 21:57 par Invité
Je veux te sentir contre moi.
julius & nyx
Je la serrais contre moi dans ce baiser que j'avais lancé, juste après que nous nous soyons essuyé. Je ne pouvais pas résister à l'appel de ses lèvres, c'était plus fort que moi. Je la regardais d'abord, et je ressentais cette envie d'avoir mes lèvres collées aux miennes, sans réfléchir. Alors c'était ça? C'était ça qu'on ressentait quand on embrassait quelqu'un qu'on appréciait? C'était ça quand on avait... envie de quelqu'un? Car c'était ça. J'avais envie d'elle. Son rire, son sourire, sa peau, son odeur, sa façon de baisser le regard, de remettre une mèche en place, de se mordre la lèvre, tout cela me donnait envie d'elle, horriblement envie d'elle. C'était cela que j'embrassais. J'embrassais une femme qui m'avait conquis. Qui a réussi à conquérir un homme qui est perdu. Un homme qui ne sait même plus se définir. Elle l'avait conquis. Elle lui avait fait oublier tous ses tourments en un regard, en un baiser. Maintenant le troisième.
Elle voulait me toucher, mais c'était impossible, elle ne pouvait pas, je ne pouvais pas le vivre, ça gâcherait tout. Et je ne voulais pas. Je voulais que ce soit parfait. Absolument parfait. Je claquais sa main contre le mur derrière elle. Je l'embrassais toujours avec force et tendresse à la fois. C'était ça. Un sentiment violent mais plein de tendresse, de douceur, de volonté d'être heureux. Après un moment, elle me fit reculer vers, je le devinais, sa chambre. Je devinais un sourire sur ses lèvres et je le suivais. Je sentis le lit en bas de mes jambes, derrière moi. Je souris, je l'attrapais avec moi pour tomber dessus sur le dos. Je lâchais un petit rire. Elle prit mes mains pour les porter au dessus de ma tête. Je levais un sourcil, étonné et amusé. Je souris malicieusement après sa phrase provocante. Je la laissais déposer des baisers dans mon cou. Elle le mordait parfois, ce qui m'excitait encore plus. Ensuite, je la tournais, elle sous moi. Je souriais malicieusement. Je m'approchais, effleurant ses lèvres sans les embrasser. J'allais sur sa joue, son oreille, que je mordillais doucement. Je déposais des baisers sur tout son cou, et je descendais un peu son peignoir pour avoir accès à son épaule et je revins à son oreille. [volor=salmon]« Ne sous estimes pas ma force Steele. »[/color] répondis-je d'une voix aussi suave et provocante qu'elle auparavant. J'ouvrais son peignoir d'une main et je le faisais glissais de ses bras avec des baisers. Je caressais sa silhouette parfaite, effleurant ses seins. Je n'avais jamais fais ça et pourtant, je me laissais aller, me demandant ce qui lui ferait le plus de bien. L'important, c'était elle, plus rien n'existait en dehors de ça. J'allais embrasser ses magnifique jambes , relevant un peu sa nuisette avant de revenir à ses lèvres. Avec ma main droite, je continuais à relever sa nuisette pour sentir la peau de son magnifique ventre sous ma main, je passais sur ses seins, que je caressais doucement avant de me reculer pour faire passer sa nuisette au dessus de sa tête, la laissant en sous vêtement sous moi. Je ne m'étais jamais intéressé au corps féminin. Et là, ce que je voyais... Cela me faisait un effet... Je ne pouvais plus me contrôler. C'était la plus belle chose au monde, je crois. Je caressais ses jambes, je passais au dessus de son entre jambes pour profiter de son ventre magnifiquement sculpté, ses seins, son cou. « Tu es magnifique. » lui dis-je alors. C'était le premier corps que je voyais, j'avais le droit de lui dire. Et en plus de ça, je désirais ce corps, avec une folie ardente. J'étais un peu perdue, je perdais le contrôle.
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(✰) message posté Lun 12 Jan 2015 - 22:41 par Invité
I need more, more, more.
Nyx et Julius
Ma peau semblait s'enflammer, je ne me reconnaissais même plus dans ce que je faisais, je devenais totalement folle, folle de ce qui se tenait face à moi. Je savais aussi qu'il ne voulait pas que je le touche et ça me perturbais pas mal, mais cette perturbation s'évanouissait très vite face aux baisers ardents que l'ont se donnaient. J'en voulais plus, je savais pas vraiment comment tout ça devait se passait, mais je connaissais les films, et ce que mes collègues me racontaient, j'en connaissais peut-être pas mal, mais face à la chose même, je me sentais perdre tout ce que je savais.
Il riait un peu en tombant sur le lit alors qu'il semblait légèrement étonné et amusé lorsque je prenais ses deux mains pour les passer au dessus de sa tête, il y avait de quoi, comme si ma force pouvait l'arrêter comme ça. Je l'embrassais toujours autant, au niveau de sa nuque en lui susurrant des mots qui avaient l'air de le défier plus qu'autre choses. Et d'un seul coup, je me retrouvais en dessous de lui alors qu'un rire s'échappais de ma gorge, doucement. Il souriait, sûrement pour me signifier qu'il allait me rendre la pareille alors que ses lèvres frôlaient les miennes, puis mes joues et mon cou. C'était la zone la plus sensible de mon corps, du moins je crois; mon cou. Mon visage basculait en arrière tout en se mordant la lèvre pour ne pas sortir de bruits qui pourrait me faire honte. Il murmurait à son tour que je ne devais le sous-estimer, et c'était vrai, je ne devrais certainement pas le sous-estimer.
Ses mains ouvraient le peignoir qui m'entourait, ça allait encore, j'avais une nuisette qui cachait une bonne partie de mon corps, j'avais honte de montrer mon corps, je ne partais que rarement à la plage ou à la piscine donc j'étais pas habituée. Un léger gémissement sortait du fond de ma gorge lorsque ses mains commençaient leur parcours sur mon corps, et rapidement, mes deux mains vinrent étouffer ces gémissements, posant ceux-ci sur mon lèvres pour atténuer les bruissements. je ne savais même pas quoi faire, je ne voulais absolument rien gâcher, je voulais juste le laisser faire finalement, et j'adorais totalement être à sa merci. Mon visage basculait en arrière lorsqu'il ses doigts touchaient mes jambes, c'était une sensation tellement.. Insupportable, insupportablement magnifique. Je le sentais faire glisser ma nuisette jusqu'à la retirer alors que mes bras essayaient de cacher mon corps qui tremblait d'envie. J'avais honte, et peur, sûrement peur que mon corps ne lui plaisent pas, mais mes suppositions s'évaporaient automatiquement lorsqu'il m'affirmait que j'étais magnifique. Je souriais doucement alors que mon souffle devenait de plus en plus chaud et de plus en plus saccadé, j'avais follement envie de lui, c'était même écrit noir sur blanc.
Je me mordillais la lèvre en l'entendant dire, rougissant certainement même. J'étais contente, terriblement contente. Je passais mes mains sur son visage pour évaluer tout ses traits, pour m'assurer que c'était bien lui finalement avant de sourire une nouvelle fois. « Tu es tout simplement magnifique aussi, Julius... ». Je me redressais légèrement pour l'embrasser, avant de passer mes deux mains dans ses cheveux, l'attirant totalement contre moi. Je jouais avec sensualité, mes lèvres contre les siennes, puis avec mon membre rose qui scrutait toute sa dentition, touchant timidement la sienne, avant d'entamer un baiser plus assuré. Si je ne pouvais le toucher pour lui faire ressentir ce que je ressentais, je voudrais au moins faire ça, pour lui.
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(✰) message posté Lun 12 Jan 2015 - 23:08 par Invité
Tu auras tout ce que tu voudras.
julius & nyx
Je pense que je voulais qu'elle se sente belle. La plus heureuse au maximum. Je voulais que mes doigts, en caressant sa belle silhouette lui disent qu'elle est belle, que j'aime son corps, que j'ai envie d'elle. Je l'attirais contre moi. Je la collais à moi. Je découvrais son corps magnifique, petit à petit. J'enlevais peignoir, nuisette et je me redressais pour la regarder. Je n'y croyais pas mes yeux. C'était la première fois que j'observais un corps féminin. Et oui on pouvait dire que ça me faisait de l'effet. Et ce n'était qu'un euphémisme. Son corps était... Je n'ai pas de mots pour le décrire. Il y avait cet odeur... Cet odeur qui me rendait déjà fou, que son corps émanait. Il y avait une lueur sur sa peau, elle brillait, elle était douce sous mes doigts. Je la caressais en l'observant, en essayant d'imprimer tous les détails, de connaître ce buste par coeur. Je ne pouvais pas, c'était trop beau, trop parfait pour ma mémoire.
Elle se redressa, porta les mains à mon visage, me scrutant. Elle me rendit mon compliment, je souriais alors comme jamais. J'étais heureux. Pour la première fois depuis neuf ans. Et même comme jamais de ma vie. Elle me rendait heureux. Même mon propre père ne me reconnaîtrait pas aussi souriant que ça. Je l'embrassais alors en même temps qu'elle. Nos lèvres s'entrechoquèrent dans un nouveau baiser. Différent, moins timide, plus engagé. Nous dépassions nos craintes, nos limites. Nous prenions confiance en le corps de l'autre, petit à petit, en le découvrant. Je retirais alors mon tee shirt. Je ne voulais pas qu'elle le touche mais, ce serait affreux de ne pas le retirer alors qu'elle... Et puis, tant qu'elle ne voyait pas mon dos, tout m'allait. J'avais une cicatrice sur le torse, certes, profonde mais quand même moins importante que celles de mon dos, qui finissait en haut de mon épaule : elle le verrait peut-être, ça. Je jouais aussi avec sa langue, ce baiser était tout à fait communicatif : nous avions envie l'un de l'autre. Aussi naturellement que possible. C'était la simple envie de l'une et de l'autre. Il fallait juste y aller, ne pas avoir peur.
Après cela, je dégageais mes lèvres des siennes pour recommencer à embrasser sa peau divinement parfumée. Je profitais de cette douceur, de cette volupté. Mes mains caressaient sa peau sans relâche, avec tendresse et passion. Je retirais, avec le moins de gêne possible une de ses bretelles de soutien gorge. J'embrassais alors son épaule nue comme la meilleure des friandises. Je descendais doucement, découvrant petit à petit sa peau plus tendre de son sein. Comme si je savais parfaitement ce que je faisais, ma main caressa d'un doigt la forme de son autre sein, retirant doucement, comme mes lèvres de l'autre côté, son soutien gorge. Finalement, je le décrochais dans son dos pour l'enlever totalement. J'embrassais, comme je pensais qu'il lui plairait le plus ses seins. J'aimais l'entendre gémir, et je voulais toujours et encore qu'elle gémisse, voire plus. Je passais ma langue le long de son sein, ainsi qu'autour de son bouton, qui grossissait et durcissait doucement sous mon contact. Elle aimait cela, et moi aussi. C'était splendide. Sa poitrine était magnifique. Je me mettais sur le côté ensuite pour observer encore son corps, je caressais du bout des doigts encore son sein et son ventre, je descendais vers son bas, que je commençais à caresser par dessus le vêtement. J'avais de plus en plus de mal à me contrôler, à respirer, mon coeur battait à la chamade. J'avais très très envie d'elle, sans avoir jamais eu cette sensation.
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(✰) message posté Mar 13 Jan 2015 - 13:10 par Invité
I just want you.
Nyx et Julius
En vérité je tremblais de partout, frissonnait, encore et encore. Et je ne parlerai même pas des gémissements qui pouvaient sortir d’entre mes lèvres sans mon autorisation. J’adorais ça, j’adorais le fait que ses grands doigts aient autant d’emprise sur moi, il pouvait même me faire mal, je m’en rendrais même pas compte tellement ses doigts étaient douces..
Il me disait à quel point j’étais magnifique, et ses caresses prouvaient ses dires, je le sentais excité, il découvrait ce que cachait une femme. Une vague d’excitation me prenait aussi lorsque je me mis à l’embrasser sensuellement. C’était ça finalement, l’envie de l’autre, j’en avais même des papillons dans le ventre qui me faisaient encore plus frissonner qu’autre chose. Après avoir enlevé ma nuisette pour me laisser en sous-vêtements, il retira à son tour son tee shirt pour dévoiler son corps.. Magnifique.. Je ne savais même pas comment décrire ce corps qui se tenait devant moi, mais en le scrutant de mes yeux de photographe, j’avais bien remarqué une profonde cicatrice au niveau de son épaule. Je ne savais ce que c’était, mais je sentais mon cœur se resserrer à cette vue. Julius ne me laissait pas vraiment le temps d y réfléchir alors qu’il revint m’embrasser avec fougue, descendant ses baisers sur ma peau nue, retirant une bretelle de mon soutien. J’avais honte de dévoiler ce que je n’avais dévoilé à personne auparavant, je ne savais pas comment me comporter. Mais ce fut très rapide, parce que ses caresses ma retirèrent toute les idées de ma tête pour faire place à un plaisir inouï. Mon cœur battait à la chamade alors que ses caresses sur ma poitrine s’intensifiait. Il allait jusqu’à même utiliser sa langue pour explorer ce qui se dressait devant lui. Et bien entendu, rien que des gémissements suivit de son prénom gémissant sortait de ma bouche.
Julius se mettait de côté pour observer mon corps, alors que je mordillais la lèvre d’envie, mes jambes se serraient lorsque sa main descendait un peu plus bas, jusqu’à mon bas ventre pour me caresser. Un petit cri étouffé sortit à nouveau sans mon autorisation, alors que mon corps se mit, lui aussi de côté pour regarder Julius droit dans les yeux, nous étions tous deux à bout de souffle, plein d’envie de l’un et de l’autre. Je m’approchais de lui pour coller mon corps contre le sien, venant embrasser la cicatrice que je voyais avec tendresse et amour, avant de remonter à ses lèvres, plongeant de nouveau mes doigts dans sa chevelure pour les serrer par envie.
J’en voulais encore, ça se voyait même, et lui aussi, je le sentais. Au niveau de ma jambe, je sentais quelque chose de dur que je ne saurait qualifier. Je faisais en sorte que ma jambe frotte la chose pour savoir ce qu’elle était avant de comprendre, lorsqu’un gémissement rauque sortit de la bouche de Julius. Je me mordillais à nouveau la lèvre en descendant une main jusqu’au short, restant au dessus tout en venant passer ma main sur la bosse qui devenait plus proéminente. C’était incroyable, je n’avais jamais vu ça, j’en avais juste entendu parler, c’était tellement incroyable que ma main explorait cette bosse, toujours par dessus le short, pour comprendre. Et je savais qu’il aimait ça, je l’entendais simplement gémit de plus en plus, et j’adorais l’entendre. Je continuais mes caresses en venant embrasser sa nuque, tout en murmurant doucement. « Encore Julius, j’en veux encore.. Je-je veux t’entendre encore.. » Je vins lui mordiller le lobe de son oreille tout en continuant de frotter cette bosse qui ne cessait de grossir, et qui ne cessait de monter l’excitation en moi.
FICHE PAR ROMANOVA
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(✰) message posté Mar 13 Jan 2015 - 14:20 par Invité
J'ai envie de toi.
julius & nyx
Je me délectais de sa peau. Son odeur qui émanait arrivait droit dans mes narines et avait l'effet de m'anesthésiait de toute la douleur, la souffrance dont j'étais atteint. Tout disparaissait pour laisser cette excitation, ce plaisir exquis m'envahir de tout mon long. Je n'avais jamais vécu ça, alors je prenais le temps de la regarder, de la contempler même. C'était une magnifique créature, je n'avais jamais vu cela. Elle avait des formes magnifiques, des traits divins. Cela me faisait encore plus tomber sous son charme. Je n'en avais peut-être jamais vu mais je sentais que sa beauté était rare. Que ces seins étaient précieux. Que je devais en prendre soin, que je devais les embrasser et les exciter. Je l'entendais gémir, ce qui m'excitais d'autant plus. J'aimais l'entendre recevoir du bien, grâce à moi. Elle susurrait même mon prénom, chose qui multiplia mon excitation.
Lorsque je me mis à caresser ce qu'il y avait de plus précieux chez elle, son entre-jambes, elle serra les jambes et émit un petit cri incontrôlé. Je souriais alors qu'elle me regardait dans les yeux et se mit aussi de côté, elle rapprocha son corps, ma main se serra un peu sur son sexe caché par son bas. Je regardais rapidement ses seins, que je trouvais encore une fois divins, et elle m'embrassa l'épaule. Là, sur la cicatrice qui dépassait. Cela ne me gêna pas du tout. Au contraire, ça m'attendrissait. C'est comme si elle voulait m'en guérir, et j'aimais ce geste. Elle remonta ensuite vers mes lèvres, attrapant fortement mes cheveux, c'était encore plus excitant. Ce baiser était fou, incontrôlé. On mêlait langue, dents, lèvres.
Collée à moi, mon sexe gonflé se frotta contre sa jambe alors que ma main droite était encore contre le sien. Elle leva doucement la jambe, le frottant. Je lâchais un gémissement rauque malgré moi. C'était bon. Magnifiquement bon. Je brûlais d'envie pour elle. De plus en plus, ça montait. C'était sans compter sur le fait qu'elle alla poser sa main sur ma bosse, et elle frotta doucement. Je gémissais encore, c'était plus fort que moi. Je découvrais quelque chose. La meilleure chose qui puisse m'arriver. Du moins corporellement parlant. Nos deux corps s'appelaient. Sans m'en rendre compte vraiment, alors qu'elle m'embrassait dans le cou, ma main se fit plus insistante au dessus du tissu. Quand elle murmura cette phrase, je gémissais encore plus. Elle allait me rendre dingue. J'exécutais ses désirs en laissant ma main passer maintenant sous son bas pour caresser ce sexe doux que je découvrais. J'atteignais une partie sensible, le clitoris, que je titillais doucement pour l'entendre gémir plus fort. Ensuite, je descendais plus bas, pliant mon poignet j'atteignais le vagin, humide de plaisir et de désirs. Elle était prête à m'accueillir. Je l'excitais. J'aimais ça. Je retirais son bas sans lâcher cette main de dessus, je la caressais de plus en plus franchement. J'apprenais à lui faire plaisir physiquement, je faisais des expériences et si elle gémissait, je retenais mes gestes. Mes doigts caressaient encore et encore, clitoris et vagin. Quand un d'entre eux se glissa doucement entre ses lèvres pour aller caresser en elle. Je n'avais jamais fais ça mais son cri étouffé fit encore gonfler la bosse davantage. Mes lèvres attrapèrent les siennes, avides d'envies. Je voulais lui faire du bien, le plus possible. Rien ne pouvait m'arrêter. Je ne lui ferais pas mal. Je faisais très attention. Je serrais ses cheveux dans mon autre main.
FICHE PAR ROMANOVA
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(✰) message posté Mar 13 Jan 2015 - 15:47 par Invité
Moi aussi.
Nyx et Julius
Mes gémissements devenaient des cris, et mes cris criaient presque son prénom. J’étais vraiment à bout. J’embrassais doucement sa cicatrice alors qu’à son tour, il forçait sur mon bas ventre, à travers ce petit tissu. Je me forcer à ne pas crier fort alors que mes mains se faisaient plus avides d’envies, en se fourrant sous le short pour rencontrer son boxer. Mais la bosse était toujours là, plus prononcée que par-dessus le short. Je me mordillais la lèvre en sentant cette excitation chez lui tout en embrassant sa nuque. Mais le pire, c’est que malgré cette envie, je jouais encore la maligne. Alors qu’il pénétrait sa main sous ma culotte pour titiller encore plus mes envies, un gémissement sensuel et plus sexy encore m’échappait juste tout près de son oreille, exprès à vrai dire. Je souriais un peu alors qu’un de ses mains vint retirer mon petit tissu blanc.
J’en fis de même avec son short qui m’agaçait plus que tout, et dans la grande maison on ne pouvait entendre que nos gémissements et nos cris. C’était totalement intense et bon. Il reprit mes lèvres aux siennes alors que le baiser était encore plus fou que les précédents, mon cœur faisait des bonds encore plus grands alors que ma main s’accélérait dans ses frottements, je voulais lui donner encore plus de plaisirs qu’il ne m’en donnait. Mais c’est sans appel lorsqu’il touchait l’un des plus grands points sensible de la femme ; le clitoris. Il venait de toucher quelque chose qui était tellement intense qu’un gémissement plus aigu prit le temps de s’échapper contre ses lèvres. Mon corps entier ressentait ce plaisir, mon corps entier s’engourdissait, tellement que tous mes membres ne pouvaient bouger, sauf ma main, qui à son tour se montrait plus arrogante pour pénétrer à l’intérieur du boxer. Et là, c’était certainement la chose la plus folle qui me soit arrivée dans ma vie. Son membre était dressé comme pas possible, et c’était dur, tellement dur que ça m’impressionnait presque. Ma main le caressait toujours avant de le prendre en main et d’entamer des vas et viens sur toute sa longueur. Quant à ses doigts, qui me caressaient de tout part et que ma voix ne pouvait qu’exprimer son plaisir, l’un d’eux se frayait un chemin entre les lèvres de mon sexe, qui visiblement n’attendait que lui. Et là, c’était le comble, je ne pouvais même pas retenir mes cris de plaisir, c’était tellement.. Jouissif que je ne pouvais rien faire à part gémir de plus en plus. Lui aussi, gémissait, on gémissait lèvres contre lèvres alors que nos mains faisaient ce qu’elles devaient faire. Je sentais sa main se serrer contre mes cheveux, et j’en fis de même, c’était soit ça, soit des griffures sur son épaules, et je ne voulais pas lui griffer son beau corps. Entre deux gémissements, mon corps en voulait encore, et encore plus, c’était sans pareil lorsque ma voix exprimait cette brûlante envie avec une voix aussi… Sans pareil. « Encore.. » C’était presque inaudible au vu des gémissements et du murmure, c’était un murmure pour moi-même finalement.
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