"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Je n'ose pas y croire • Ethan 2979874845 Je n'ose pas y croire • Ethan 1973890357
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Je n'ose pas y croire • Ethan

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() message posté Ven 29 Mai 2015 - 17:09 par Invité

Je n'ose pas y croire

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Ethan & Olympe

 
Une nouvelle vie, voilà ce que représentais ce changement de ville, de pays même, j'avais longtemps réfléchit avant de venir ici, je savais que ce serait dur, il me faudrait retrouver des repères, retrouver également un travail et des amis, mais j'en avais besoin. Je ne supportais plus ma vie, cette vie que j'avais subit trop longtemps, j'aurais dût partir plus tôt, j'aurais dût quitter New-York au moment où j'avais appris pour ma grossesse, je n'aurais pas dût rester avec Dylan dans cette ville. Oui j'avais fait un tas de mauvais choix dans ma vie, mais c'était trop tard à présent et je ne pouvais pas continuer de ruminer tout ça, j'avais changer de ville, je devais changer de vie, oublier le passé, c'était finit, plus personne ne pourrait me faire du mal ou encore m'insulter, personne ne savait que ma fille était également celle d'un prof avec qui j'avais eu une relation durant des mois alors que c'était interdit. Nan, ici personne ne savait rien, je n'était qu'une fille qui avait eu une gamine trop tôt et qui devait l'élever seule, même si c'était dur, je m'en sortais et je préférais porter cette étiquette là. J'avais enfin l'impression d'être de nouveau libre, je pouvais vivre à présent, même si j'avais toujours la responsabilité de Dylan, j'avais tout de même plus de marge de manœuvre. Et puis, j'avais eu de la chance dans mon malheur, en cherchant un endroit pour vivre j'étais tombé sur Bambi puis sur Hope, deux filles formidables et qui surtout ne me jugeait pas, elles étaient de plus toutes les deux enceintes, si bien qu'on se comprenaient vraiment et je savait qu'elle était là pour moi, j'étais enfin entouré, pas comme avec ma famille, qui elle m'avait rejeté. Bambi me louait deux chambres de sa maison et ce pour une somme ridicule, je savais qu'elle me faisait une faveur et je lui en était reconnaissante, tellement, je ne saurait pas la remercier tellement cet arrangement m'aidait, sans ça je serait vraiment mal, je me battait déjà suffisamment avec mon budget pour garder la tête hors de l'eau, si j'avais dût payer un vrai loyer, j'aurais dût stopper mes études pour avoir assez d'argent . En parlant budget, je galérais actuellement, je comptais encore et encore la monnaie qu'il me restais pour être certaine de ne pas me retrouver comme une idiote à la caisse du magasin. Je regardais ensuite mon cadi, j'avais déjà réduit au strict nécessaire, la seule chose quelque peu superficielle que j'avais gardé était le paquet de bonbon préféré de Dylan, mais ça, je ne pouvait pas le sacrifier, je voulais que ma fille puisse avoir au moins quelques petits trucs en plus, sinon ce n'était pas une vie pour elle.  J'étais au bord de la crise, je ne supportais plus d'être ainsi, de ne pas avoir assez d'argent pour que ma fille grandisse comme n'importe quel enfant, il y avait des jours ou je m'en voulait, si elle vivait comme ça c'était ma faute, rien que ma faute. Je soupirais, c'était bon, je me dirigeait donc vers la caisse et regardais anxieuse les articles passer les uns après les autres, je croisait les doigts pour que je ne me soit pas trompé. Je tombais tout juste, je donnait ma myriade de pièce sous le regard noir de la caissière, je soupirait c'était l'argent des pourboires en grande majorité, il fallait bien que je l'utilise. Je rangeais les affaires dans les sac, heureusement Dylan était resté avec Bambi, faire les courses avec elle c'était compliqué. Je prenais les sac en soufflant et me dirigeais vers le parking où j'avais laissé mon vélo. J'étais perdue dans mes pensés aussi je ne fit pas attention et pris de plein fouet une personne qui arrivais face à moi, je tombais sur le sol, répandant le contenu de mes sac partout autour de moi. 

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() message posté Sam 30 Mai 2015 - 18:14 par Invité

Je n'ose pas y croire

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Ethan & Olympe

 

Le jeune homme avait dû quitter le lycée dans lequel il enseigner car il était tombé amoureux d'une de ses élèves. Il avait entretenu une relation avec elle pendant un long moment, mais le proviseur l'avait apprit, et lui avait demandé de quitter les lieux et de ne pas y remettre les pieds. Depuis il été partit habiter à Londres. Il avait dans l'idée de prendre un nouveau départ. Il s'était installé dans un petit appartement au coeur de Londres. Il s'y sentait bien et c'était l'essentiel.

Ce soir là, en sortant de son dernier cour, qui s'était plutôt bien passé d'ailleurs, il devait se rendre au commerce le plus proche. Il devait faire des courses, son frigo était vide, et elles n'allaient pas se faire toutes seules. Il sortit de la salle de classe, ferma la porte, rangea ses clefs dans son sac et se rendit jusqu'à sa voiture. Il avait une jolie petite voiture rouge bordeaux. Il conduit jusqu'au super marché. Il se plaça devant les portes coulissantes, attendant qu'elles s'ouvrent. Elles s'ouvrirent et il entra dans le magasin. Il commença par le rayon des fruits et légumes. Il n'avait pas grand chose à y prendre, mais tout de même.

Il fit ainsi toutes ses courses. En se promenant de rayon en rayon, il crut apercevoir une jeune femme qu'il connaissait. Elle était blonde, grande, mais jeune. Il pensait à Olympe ... Olympe Campbell, l'élève de laquelle il était tombé amoureux dans son ancien lycée, et avec qui il avait entretenu une belle relation. Il ne savait pas is c'était elle, mais il en doutait. Pourquoi serait-elle venue habiter à Londres ? Vous allez me dire, pour le suivre. Mais ça aurait été compliqué, elle ne savait aucunement où il partait, il n'avait pas voulu lui dire, justement de peur qu'elle le suive.

A force de penser, les courses avaient passées, et il été arrivé à la caisse. Il avait remplit ses sacs et les portaient a bout de bras. Il marchait, la tête dans les nuages, sans s'apercevoir qu'une jeune femme se trouvait en face de lui. Il la percuta, sans le vouloir. Ses sacs tombèrent et vidèrent leur contenu sur le sol carrelé. Il revint à lui.

Olympe ! C'était elle. Oui, c'était Olympe. Il se baissa avec elle, et l'aida à ramasser ses affaires. Ils remontèrent tous deux, et se regardèrent dans le blanc des yeux. Il lui attrappa le bras.


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() message posté Jeu 4 Juin 2015 - 23:23 par Invité

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Ethan & Olympe


Je me mit à ramasser tout ce qui était tombé sur le sol, j’espérais que rien n'était cassé, si c'était le cas j'étais mal, tout ce que contenais ces sacs m'étaient essentiel et je n'avais plus un seul centimes. Je me mordillait la lèvre, je ne pouvais pas éclater en sanglot, j'allais être ridicule dans ce cas là. Je me secouait, ne pas craquer, ne pas craquer, ça allait aller. Je vit un jeune homme se pencher pour m'aider à ramasser, je n’osait même pas le regarder, j'avais trop honte, je fixait nos mains qui s'affairaient a tous ranger. Un détail sur ces mains attira mon attention, elles me semblaient familière, je secouait la tête, nan ce n'était qu'une idée, c'était juste impossible. Je soupirais et me relevais tout doucement, je finit par croiser son regard, un grand frison me pris alors, si, si c'était lui, Ethan se tenais devant moi. Je gardait le silence, que dire ? Que faire ? Je ne savais pas, on resta longtemps comme ça, à se regarder dans le blanc des yeux. Je me sentis tellement mal à l'aise, pendants quelques secondes je ne respirait plus, il était là et il me faisait toujours autant d'effet, si j'avais été encore la jeune fille qu'il avait rencontré je me serais jeté sur lui pour l'embrasser, mais j'avais grandit et mûrit surtout, j'avais grandit et j'étais devenue raisonnable aussi. Puis il me prit le bras, faisant naître une cascade de frisson tout le long de mon bras, nan il n'avait pas le droit de me faire cet effet là. Je n'osait cependant pas me dégager, au fond j'aimais qu'il me touche, oui j'adorais ça, je rêvait qu'il me prenne dans ses bras, qu'il m'embrasse dans le cou et qu'il me disse des mots doux ; Je secouais la tête, ce n'était vraiment pas le moment de penser à ça. Je le regardais encore, je ne savais pas quoi dire, je ne pensait pas le revoir un jour. Mes pensées sa tournèrent vers Dylan, elle qui réclamait son papa, je ne savait pas si en parler à Ethan était une bonne idée, j'aimais ma vie comme elle étais. Je regardais Ethan mal à l'aise, tiraillé par l'envie qu'il me lâche et celle de le supplier pour qu'il n'en fasse rien. Je finit par murmurer « Ethan ... je ne savait pas que tu étais à Londres » c'était vrai, quand j'avais fuit je ne m’étais absolument pas attendue à le voir ici. Mon regard alla sur ses doigts, à la recherche d'une bague, avait il refait sa vie ? Avait il des enfants ? Enfin hormis Dylan évidemment. J'avais envie de le bombarder de ce genre de question mais je n'en fit rien et baissa le regard pour fixer mes chaussures

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() message posté Lun 22 Juin 2015 - 17:18 par Invité

Je n'ose pas y croire

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Ethan & Olympe

 

La jeune femme se releva. J’étais heureux d’enfin revoir la jeune fille qui ne cessait de hanter mes pensées depuis quelques temps. Elle était toujours aussi belle, mais je sentais qu’elle avait changé. Elle m’aurait sauté dans les bras et m’aurais embrassé avant que tout ça n’arrive. Mais elle n’en fit rien. Je mourrais d’envie de m’approcher d’elle, de la serrer dans mes bras, de l’embrasser, de lui dire à qu’elle point j’étais heureux de la revoir. Mais je me dis que le moment était sans doute mal choisit.

Elle ouvrit la discussion en disant:

- « Ethan ... Je ne savais pas que tu étais là. »

- « Je ne savais pas non plus que tu étais là, Olympe. Tu ... Tu vas bien ? »

Je ne savais pas comment m’y prendre avec elle. Je voulais vraiment la prendre dans mes bras, mais j’avais peur qu’elle me rejette. Je décidais de me lancer. Il fallait que je le fasse. Je fis un pas en avant, et lança mes bras autour de son coup. Je la serrais fort dans mes bras. Elle m’avait énormément manqué. Je n’ai pas pu résister.

J’approchais mes lèvres de son oreille, et lui murmurait les mots suivants:

- « Tu m’as manqué. »

Je voulais qu’elle me réponde que moi aussi je lui avait manqué, alors j’attendais. Je me reculais ensuite, la regardais dans les yeux, et dit:

- « Désolé. »

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() message posté Mar 23 Juin 2015 - 11:31 par Invité

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Je continue de le fixer incrédule ayant encore du mal à me dire que de toutes les villes dans lesquelles j’aurai put atterrir je suis précisément dans celle où il se trouve. Je ne croyais pas vraiment au hasard mais je ne croyait pas non plus au destin mais là il fallait bien avouer que c'était gros, très gros même. Je croise son regard, celui qui avait toujours eu le don de me faire fondre, et ça n'avais pas changé, je me retrouvais de nouveau à sourire comme une idiote, brûlant d'envie de lui sauter dessus pour l'embrasser et ne plus le lâcher. Je croisait son regard, quoi pouvait il bien penser ? Je ne savais pas. Il me répondit alors qu'il ignorait lui aussi que j'étais là, évidemment comment aurait il pût ? On n'avait eu aucun contact depuis qu'il avait été viré, il était partit en me laissant seule, je lui en avait voulut mais je l'avait compris et en ce moment je ne lui en voulais plus du tout. Il me demanda alors comment j'allais. Je ne sût pas quoi répondre, je ne voulais pas lui étaler tout mes soucis, ma galère au niveau financier, avec les études et puis les tas de question de ma fille. Nan je n'avais pas envie de me plaindre car au fond c'était moi qui avait choisit cette vie là, je n'avais pas le droit de me plaindre au fond. Et puis si je disait seulement la moitié, il poserait trop de question, je ne voulais pas prendre ce risque. Mais si je mentais, je savais qu'il le devinerais, on se connaissait que trop bien, je ne pouvais pas lui mentir, il saurait que je lui cachait quelques choses. Je finit par hausser simplement les épaules avant de répondre « Je m'en sort » c'était la stricte vérité au fond, ce n'était pas toujours rose mais ça allait, avec mes efforts Dylan et moi nous nous en sortions. J'allais lui retourner la question quand il me prit dans ses bras . Tout de suite je me sentis bien, je fermais les yeux et inspirait profondément son odeur, ça m'avais tellement manqué. Je ne voulais plus qu'il me lâche, j'avais envie de l'embrasser encore et encore, j'avais envie de lui murmurer plein de mots doux et puis je voulais pleurer dans ses bras, pour le temps perdu. Il me dit alors que je lui avait manqué, ça finit de m'achever, cette fois je ne pût pas retenir mes larmes. Lui aussi il m'avait manqué, plus que tout, il n'avais pas idée, il m'avait manqué le jour où j'étais resté durant des heures a fixer le petit plus sur le test de grossesse, il m'avait manqué pendant la première échographie quand j'avais vu cette petite forme dans mon ventre, il m'avait manqué pendant l'accouchement et quand j'avais découvert ma petite fille, il m'avait manqué les nuits où elle hurlait pendant des heures à cause de ses dents ou encore quand elle avait été malade pour la première fois, il m'avait manqué pour les premier pas de Dylan ou pour ses premier mot et il m'avait manqué quand je dormait, seule, sans son corps chaud contre le mien. Mais surtout il manquait à Dylan. Je le regardais à travers les larmes avant de murmurer « Tu m'a encore plus manqué, t'a pas idée » Je ne pût me retenir, je me rapprochais de nouveau de lui et mes lèvres vinrent se poser sur les siennes, j'en mourrais d'envie. Je me détachais de lui et finit par murmurer « Ne t'excuse pas, tu es déjà pardonné. » Je me collais à lui, le visage toujours plein de larme, mais souriante. Je finit par lui demander « Et toi comment tu vas, tu devient quoi?» J'avais peur qu'il me dise qu'il avait tourné la page, qu'il avait une femme, qu'il allait être papa, qu'il était fou d'elle et que je n'étais plus rien.

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() message posté Mar 23 Juin 2015 - 12:41 par Invité

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Je sentais que je lui avait aussi beaucoup manqué. Je le sentais à sa manière de me tenir près d’elle, à sa manière de m’embrasser, à sa manière de se blottir dans mes bras, ainsi que dans sa voix. Je sentais les épreuves qu’elle avait du traverser, les malheurs qu’elle avait dû endurer, et les nuits qu’elle avait du passer à pleurer. Elle pensait sans doute que pour moi ça avait été plus facile, mais c’était faux ! J’en mourrais. Ne plus la voir, ne plus la sentir, de plus l’entendre. Je ne le supportais plus, et même si depuis quelques temps j’avais réussit à « l’oublier » un peu, elle demeurait dans mes pensées.

Sans que je n’eut le temps de rajouter quoi que ce fût, elle me demanda ce que je devenais. A vrai dire, je ne devenais pas grand chose. J’étais toujours professeur de littérature dans un lycée, et j’étais toujours seul, sans attache, ni famille ni amis. Je désespérais à l’idée de ne jamais trouver quelqu’un d’aussi bien qu’Olympe.

- « En fait ... Rien n’a changé. Tu sais, je suis toujours professeur de littérature dans un lycée, et depuis que j’ai été viré, je suis toujours célibataire, sans attache. Et toi ? »

J’espérais qu’elle me dirais que pour elle il en était de même. Qu’elle était toujours seule, qu’elle avait avancé dans ses études et que je lui avait manqué, et qu’elle voudrait bien se remettre avec moi. A vrai dire, je pense que si elle me disais autre chose, quelque chose du genre « Je suis mariée, j’ai des enfants, et je suis heureuse dans ma nouvelle vie de famille. », j’en mourrais.

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() message posté Mar 23 Juin 2015 - 23:05 par Invité

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Ethan & Olympe


Je reste un moment contre lui sans rien faire d'autre que de sourire et sentir son odeur, car je l'aime bien cette odeur, elle m'a manqué, je retrouve tout ce qui m'a fait fondre chez lui. Je reste accroché a lui, je ne veut plus le lâcher, je n'ai pas envie de le perdre encore une fois, c'est impossible, je ne le supporterais pas. Je collais ma tête sur son épaule, je ne savais même pas si il ressentais la même chose que moi, peut être qu'il allait m'envoyer bouler mais je voulais profiter de lui, au maximum. J'avais tellement pensé a lui, le revoir était la plus belle des choses pour moi, même si j'avais essayé de me convaincre qu'une vie sans lui aurait été plus simple. Je sentis ses mains sur moi et je fut bien, c'est tout ce que je voulais, qu'il soit là pour moi. Il me répondit alors, il m'avoua que rien n'avais changé, qu'il était toujours prof, toujours célibataire, sans enfants. Il ne savais pas toute la vérité, il avait bel et bien des attaches comme il disait, il l'ignorais simplement, il ignorait qu'il y a avait sur cette Terre une petite fille blonde avec ses magnifiques yeux qui m'appelait maman et qui me demandais quasiment tous les jours où était son papa. Nan ça il n'en savais rien et pour le moment je ne savais pas encore comment j'allais lui dire, je ne savais même pas si je devais lui dire pour le moment. Je restais sur son épaule, souriant toujours en sachant qu'il ne m'avais pas oublié, pas vraiment en tout cas, ça pouvait sembler plutôt égoïste mais c'était ainsi, j'avais encore une chance de retrouver ce que j'avais perdu, ce que dont j'avais tellement envie. Il me demanda ensuite ce que ma vie à moi était devenue à présent. Je réfléchit longtemps avant de lui répondre « J'ai eu deux trois histoires mais rien de sérieux, je suis célibataire maintenant. Je suis rentré en fac de médecine, je suis en quatrième année et puis je travaille aussi, beaucoup. » Je ne parle pas de Dylan, je n'en trouve pas la force, alors je fixe le sol puis mes mains prennent les siennes, oui toutes mes histoire n'ont jamais aboutis à rien, non pas à cause de Dylan mais à cause d'Ethan, car je n'arrivais pas à l'oublier. Je croise son regard avant de murmurer « Je t'aime toujours autant » Je rougit face a cette déclaration quelques peu niaise mais je sais qu'il ne vas pas se mettre a rire, pas lui ce n'est pas son genre. Je laisse mes mains dans les siennes et continue de sourire quand mon portable se met à sonner, j'ignore cependant l'appel, rien d'important j'en suis sûre.

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() message posté Mar 30 Juin 2015 - 19:46 par Invité
Elle m’annonce qu’elle non plus n’est pas en couple. Je suis vraiment soulagé. J’avais peur qu’elle soit en couple, qu’elle ait des enfants, ou même pire, qu’elle aime son mari plus qu’elle ne m’a aimé. Mais non, rien de tout ça n’est arrivé. Elle m’avoue avoir eu quelques petites histoires, mais rien de bien sérieux, et qu’en ce moment elle est célibataire. Je suis vraiment rassuré. Je l’aime tellement. Elle me sert dans ses bras sans jamais me lâcher. Elle a l’air de beaucoup tenir à moi aussi, et c’est tant mieux parce que je l’aime plus que tout au monde. Elle est la femme de ma vie. Je voudrais me marier avec elle, là, maintenant, à l’instant, et je voudrais que nous ayons beaucoup d’enfants ... Elle m’annonce également qu’elle est en 4 eme année de médecine, ce qui est très très bien ! Je suis fière d’elle. Elle a toujours eu beaucoup d’ambition et c’est tant mieux pour elle. Elle se recule, m’attrape les mains, et me fixe dans les yeux. J’en fais de même. Son regard est très doux et très profond. Elle me dit qu’elle m’aime toujours autant. Je suis très touché. Mon coeur bat très vite, trop vite ! Il faut que je me calme. Je reprends mon souffle et essaye tant bien que mal de respirer doucement. Si elle savait à quel point je l’aime ! Je ne pourrais hélas jamais le lui faire comprendre, il n’y a pas de mot assez fort pour que je le lui fasse comprendre. Je me contente de la regarder dans les yeux, et de ne rien dire. A vrai dire, je ne sais pas quoi lui dire, comment lui expliquer, comment lui faire comprendre à quel point je l’aime. J’ai envie de l’embrasser. De l’embrasser fougueusement, de la serrer dans mes bras et de ne plus jamais la laisser en sortir. Je ne veux plus la quitter, je ne veux plus la laisser partir. J’approche mes lèvres des siennes, doucement, et je l’embrasse, comme j’en avais l’habitude avant. Je reste mes lèvres sur les siennes durant quelques secondes. Je me recule avant de la regarder de nouveau dans le profond de ses yeux, et lui dit : « Je t’aime toujours autant moi aussi, et même plus qu’avant. » Je ne pouvais pas lui expliquer à quel point je l’aimais, mais je pouvais au moins essayer de lui faire comprendre. « Au fait, je suis très fière de toi pour tes études de médecine. C’est vraiment bien ! Bravo. » Je voulais qu’elle vienne chez moi, que nous passions la soirée ensemble, voir même la nuit. Je ne savais pas si elle accepterais, mais je le voulais vraiment. « Tu ... Est-ce que tu accepterais de venir dîner chez moi, disons ... ce soir ? » Je ne voulais pas qu’elle me sorte une de ses excuses dont elles ont le secret du genre « J’ai beaucoup de travail », ou « Je suis prise ce soir, une autre fois », ou encore « je ne me sens pas très bien aujourd’hui ». Je voulais simplement qu’elle me réponde d’un simple oui, qu’elle me dise que ce serait avec plaisir et qu’elle me suive.
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() message posté Mar 30 Juin 2015 - 23:51 par Invité

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Ethan & Olympe


J'étais bien là, je retrouvais mes marques, comme si on avait jamais été séparé, même si c'était faux, évidemment qu'on avait été séparé, même qu'entre temps j'avais eu une petite fille, sa fille et qu'il n'en savais rien et je ne savais toujours pas comment lui dire. Je le regardais et sourit de nouveau en me pressant contre son corps. Nan j'avais plus envie de le lâcher. Il me sert contre lui aussi et je sent que on ressent la même chose, nos cœur sont jumeaux, ils battent au même rythme et c'est bien. Il m'embrasse et de nouveau je fond, je me sent encore la femme qu'il aime. Je le ressert un peu plus et je souffle dans son cou. Il me dit que lui aussi m’aimait encore et même plus qu'avant. Je sourit encore et mon cœur continua d’accélérer, comme il m'avait manqué, il n'avait aucune idée de ce manque en moi. Il me dit qu'il était fier de moi et ça me fit du bien d'entendre ça, car personne d'autre ne m'avais dit ça, jamais mes parents m'avaient regardé et m'avait déclarer que je les rendait fier, nan, ils ne faisaient que des reproches, c'est tout. Je murmurais « Merci, ça me touche, personne ne m'a jamais dit ça, mes parents m'ont jeté » Je soupire et regarde le sol, oui j'ai honte, je me suis fait jeter à la rue comme une malpropre avec mon ventre énorme, sans ma sœur j'aurais été très très mal. Il me caresse la joue puis il me demande si je veut venir chez lui, ce soir, je le regarde, je ne sais pas quoi répondre, j'ai Dylan, Dylan, il faut que je lui dise, je ne peut pas lui mentir, mais j'ai peur de me faire jeter. Je réfléchit avant d'avoir une idée, autant la jouer carte sur table, je vais venir oui mais avec Dylan, si il veut la jeter alors je quitterais sa vie, mais il ne pourras pas me reprocher de lui avoir caché ça. Je finit par murmurer « Avec plaisir, mais il faut que je fasse un saut chez moi. » Je montrais mes sac de courses en souriant avant de prendre mon tel « Donne moi ton adresse, je te rejoint promis et puis j'aurais un truc important à te dire ! » Je la notais et l'embrassait doucement avant de le quitter en promettant de le rejoindre vers vingt heures sans faute. Quelques heures plus tard je sonnait à sa porte, Dylan accroché à mon cou, la tête enfouie sur mon épaule. Elle était fatigué et puis elle se demandais où nous étions. Je stressais, j'avais peur qu'il me jette, enfin qu'il jette Dylan surtout, ou qu'il ne croit pas au fait que Dylan soit sa fille, même si elle avait exactement les mêmes yeux craquant que lui. Je caressait le dos de ma fille pour l’apaiser et j'attendis que la porte s'ouvre.

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() message posté Mer 1 Juil 2015 - 0:18 par Invité
Ce que je lui avait dit la touchait. Elle me confia que personne ne lui avait dit qu’il était fier d’elle. Même pas ses parents. Elle ajouta qu’ils l’avait mise à la porte. Mais pourquoi donc l’auraient-ils mise à la porte. En général, pour que vos parents vous mettent à la porte il faut que vous soyez un enfant vraiment très désagréble et qu’ils ne vous supportent plus, que vous ayez 40 ans, ou que ... ou que vous soyez une jeune fille enceinte d’un enseignant. Et a mon avis, c’était le cas ici. Ethan se rappelait d’une chose qu’on lui avait dite, mais dont il ne voulait rien savoir. En effet, Georges, son meilleur ami, était professeur, quelques années auparavant, dans le même lycée qu’Ethan. Il avait même dit mainte et mainte fois à Ethan que ce n’était pas une bonne idée de sortir avec l’une de ses élèves, mais ce dernier ne l’avait pas écouté. Lorsqu’il fût partit, alors qu’il était encore en contact avec son ami, il lui avoua avoir vu Olympe, enceinte. Ethan ne voulait pas le croire. Il se doutait que si c’était vrai il ne pouvait qu’être le père, mais il pensait à une blague de mauvais gout de la part de son ami. Il était donc possible que son vieil ami ne lui ai pas mentit. Il chassa cette idée de son esprit. La jeune femme lui annonça qu’elle voulait bien venir dîner chez lui, mais qu’il fallait avant tout qu’elle face un petit saut chez elle. Elle lui demanda son adresse et promis de passer dans les environs de 20h. Le jeune homme était aux anges, il était tellement heureux qu’il ne fit pas attention quand la jeune femme lui dit qu’elle aurait quelque chose à lui dire le soir venu. Elle le sera une nouvelle fois dans ses bras. Il lui rendit son etreinte avant de lui rendre son baiser et de la regarder s’éloigner. Il regardait la rue tout en rentrant chez lui. En arrivant il se hata de prendre une douche et de bien s’habiller. C’était une grande occasion. Il se mit ensuite aux fourneaux. Il devait préparer quelque chose de convenable pour l’élue de son coeur. Une entrée toute aussi délicieuse que le reste du repas l’attendait. 20h approchait. Le jeune homme était impatient. Soudain on sonna à la porte. Il se précipita pour ouvrir tout en prennant le soin de vérifier dans le mirroir à coté de la porte qu’il était présentable. Il ouvrit la porte, sûre de lui, avant de tomber nez-à-nez avec le dos d’une petite fille qui reposait dans les bras d’Olympe. Qui était-ce ? Avait-il raison ? C’était sans doute son enfant, sa fille. Il n’en croyais pas ses yeux. Soudain les mots de la jeune femme lui revinrent. C’était donc elle la chose importante qu’elle devait lui dire. Et bien, je dois dire que pour une chose importante, c’en était une. Il éprouvait de la colère pour Olympe, la colère de ne le lui avoir dit plus tôt, avant d’éprouver de la compation pour tout ce qu’elle avait dut endurer, puis de l’affection et de la joie pour cet enfant qui allait sans doute les rapprocher. « Comment s’appelle t-elle ? » demanda t-il, d’une voix calme et apaissée. « Donne la moi, je vais l’allonger sur le canapé, elle pourra dormir si elle le souhaite, il y a aussi ma chambre, elle est au bout du couloir, nous n’aurons qu’a aller la voir de temps en temps, pour s’assurer que tout va bien. » Il ne voulait pas qu’elle pense qu’il voulait se débarasser de la petite fille. Il voulait simplement que les deux femmes de sa vie se sentent à leur aise chez lui. Il voulait aussi, à travers ses quelques mots, qu’elle comprenne qu’il était prêt à s’occuper d’elle, comme un père doit le faire. Il voulait rattraper le temps perdu.
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