"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici it is easier to forgive an enemy than to forgive a friend + louie  2979874845 it is easier to forgive an enemy than to forgive a friend + louie  1973890357
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it is easier to forgive an enemy than to forgive a friend + louie

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() message posté Mer 9 Sep 2015 - 2:39 par Invité
It is easier to forgive an enemy than to forgive a friend
LOUIE & FLORA

Les quelques semaines qui s’étaient écoulées, avaient été des plus mouvementées pour Flora. Elle s’était découvert sœur - une sœur jumelle, Raphael était de retour dans sa vie après sept ans d’absence, elle était tombée dans les bras (ou dans le lit, plutôt) de Jake et elle en passait. Sa vie habituellement calme avait été agitée et parfois par pour le meilleur. Le retour de Raphael avait ramené avec lui des secrets. De nombreux secrets. Comme pourquoi il était parti. Ce qui avait brisé encore plus le cœur de Flora. Elle aurait voulu qu’il reste, qu’elle puisse être là pour lui, pour le soutenir, pour l’aider, pour lui redonner le moral…juste être là. Mais il ne lui avait pas donné le choix, ne le lui avait pas laissé. Il était parti, laissant derrière lui une Flora avec un cœur brisé. Si aujourd’hui elle l’avait pardonné (il avait, après tout, une bonne raison, un cancer n’est pas quelque chose à prendre à la légère), elle n’en avait pas fait de même avec Louie. En apprenant la raison du départ de son premier amour, Flora avait aussi appris qu’il s’était confié à sa meilleure amie, qu’il lui avait dit pour le cancer et lui avait demandé de garder le secret. De ne surtout pas en parler à Flora. Si elle n’était pas aussi aveuglée par la colère et la trahison, Flora réaliserait sûrement que Louie a fait ce qu’elle pensait juste vis-à-vis de l’homme qu’elle considérait comme son frère. Mais le truc, c’est que Flora est rancunière. C’était dans son sang, dans ses gênes. Les italiens sont des personnes assez rancunières de nature et Flora n’était pas l’exception qui confirmait la règle. Pas du tout, même. Malgré le fait qu’elle soit à demie italienne. Ça jouait beaucoup, puis après tout, elle avait élevée en partie par sa mère. Son père étant souvent en déplacement ou absent pour son travail, elle s’est souvent retrouvée en tête à tête avec sa mère. Et pas pour son plus grand plaisir. Elle en a voulu des années à sa cousine pour avoir cassé sa poupée préférée. Des années. Alors oui, Flora était énervée, trahie et surtout, elle voulait une confrontation.

C’est dans cet optique que Flora héla un taxi en plein milieu d’un dimanche après-midi. Son teint était toujours hâlé de sa croisière en Grèce et ses cheveux redevenaient progressivement blonds. Elle ne comptait pas rester brune indéfiniment, de toute façon. La couleur lui avait plu au début, donnant un côté rafraîchissant à sa coupe. Puis c’était aussi une façon de se démarquer de sa jumelle, sa jumelle identique. Mais Flora ne ressentait plus ce besoin. Ces deux semaines avec elle sur le bateau lui avaient permis de la découvrir, de faire sa connaissance et de l’apprécier. Depuis son retour, cependant, elle avait évité les appels et SMS de Louie. Elle ne s’était pas sentie encore prête à lui parler, elle voulait se calmer et éviter de l’agresser dès que la jeune femme ouvrirait la bouche. Le taxi la déposa devant l’immeuble, à Chinatown. Flora était assez familière avec le quartier. L’ex de sa sœur (qu’elle avait rencontré de sa façon un peu insolite) et un de ses clients habitaient dans le quartier, donc elle avait eu l’occasion d’y mettre assez souvent les pieds ces derniers temps. Mais aujourd’hui, elle venait voir Louie. Appuyant sur le buzzer, Flora attendit patiemment que son amie (ex ?) lui ouvre la porte de l’immeuble. Une fois cela fait, elle monta les marches calmement jusqu’à se retrouver face à la porte d’entrée. Flora espéra que les nombreux colocataires de Louie ne seraient pas là aujourd’hui. Elle n’avait pas besoin d’une audience pour ce genre de conversation. Et de savoir qu’il y avait autant de gens dans l’appartement l’empêcherait sûrement de dire vraiment ce qu’elle pensait. Alors oui, elle espérait que personne ne soit là, à part Louie. Elle toqua deux fois et la porte s’ouvrit finalement. « Il faut qu’on parle. » Lâcha-t-elle, sans même un bonjour puis s’invita à l’intérieur.


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Margot Bernstein-Woolf
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() message posté Sam 3 Oct 2015 - 17:39 par Margot Bernstein-Woolf
though those are betrayed do feel the treason sharply, yet the traitor stands in worse case of woe ✻✻✻ On sonna a la porte, personne ne bougea dans l’appartement, alors Louie se leva. Elle trainait des pieds jusqu’à l’interphone. Dieu qu’elle détestait les dimanches. Tout était trop calme. Le loft et ses habitants se remettaient tous d’une sacrée cuite dans leurs chambres, à moitié amorphe, tandis que Louie, miraculeusement intacte essayait tant bien que mal de s’occuper sans pour autant les déranger. Qu’est ce qu’elle pouvait rêver de sauter dans le lit de Nevaeh, juste pour l’embêter, ou d’aller raconter des blagues à Teddy. Elle n’était pas si proche des autres colocataires, donc elle ne se sentait pas réellement l’envie de les déranger. Même si bon, elle était plutôt du genre à s’en foutre. De son point de vue, elle préférerait largement se faire déranger par quelqu’un qu’elle connaissait. Et puis, il valait mieux éviter tout sujet à embrouille dans une colocation. Vivre seule n’était pas pour elle, et pour retrouver un non-inconnu avec qui habiter, et devoir à nouveau déménager alors qu’elle n’était même pas la depuis un mois ? Non merci.
Lou aperçut que c’était Flora en bas de l’immeuble grâce à l’interphone. La dernière fois qu’elles s’étaient vues, c’était lorsque Flora avait appris à Louie que Raphael, le premier amour de l’un et le meilleur ami de l’autre, était de retour à Londres après sept années d’absences. Depuis, Lou n’avait pas réellement eu de nouvelles. Ses messages étaient apparemment passés inaperçus. Est-ce que c’était fait exprès ? Louie n’avait pas réellement chercher. Elle n’était pas une mania des technologies, enfin de la communication de nos jours et puis c’était l’été : Flora avait du partir. Voilà ce qu’elle s’était dit. Mais à vrai dire, de la voir en bas de son immeuble sans avoir prévenu, inquiéta un peu Lou. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien vouloir, un dimanche après-midi. Et surtout, pourquoi n’avait-elle pas prévenu ?
Louie attendit devant la porte d’entrée, simplement vêtue d’un vieux jogging et d’un vieux t-shirt du groupe de son père. Ni coiffée, ni maquillée, à nouveau blonde cendrée, il ne fallait pas que Flora s’attende à ce qu’un top model lui ouvre la porte : elle venait un dimanche, sans prévenir. Flora toqua deux coups. Lou lui ouvrit presque immédiatement la porte.
« Il faut qu’on parle. » Flora rentra alors dans l’appartement. Louie fit alors la moue, intriguée. « Bonjour? »  lui dit-elle comme espérant qu’elle s’excuse. Louie referma la porte d’entrée et suivit alors Flora vers le salon. La blonde semblait énervée.
Il fallut alors quelques secondes à Louie pour deviner pourquoi Flora était ainsi, et surtout, pourquoi elle ne décrochait pas un mot, comme si elle attendait que Louie trouve toute seule. La dernière fois qu’elles s’étaient vues, c’était à propos de Raphael et…
Le sans de Louie ne fit qu’un tour. Elle croisa les bras, et presque aussi énervée elle se mit à parler : « T’es là à cause de Raphael, c’est ça ? »  Ou plutôt, à cause de ce qu’elle avait gardé pour Raphael. Louie se rapprocha alors de Flora. « Et pourquoi tu m’en veux ? T’as une logique à ça ? »
Bien évidemment, Lou avait deviné pourquoi Flora était énervée et ce qu’elle avait pu apprendre. Mais elle n’avait fait que son devoir après tout…

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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 1:45 par Invité
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LOUIE & FLORA

Flora détestait les menteurs, détestait la trahison. Elle avait vu sa mère manipuler, mentir et trahir les gens toute sa vie. Sa mère était une femme à qui on ne refusait rien, à qui on ne pouvait pas dire non, à qui il n’était même pas envisageable d’être en désaccord avec. Les gens avaient peur de sa mère, peur de ce qu’elle ferait si le mot non sortaient de leurs bouches. Il paraît qu’elle n’avait pas toujours été comme ça, qu’à une époque, elle était complètement différente. Flora avait du mal à y croire. La mère qu’elle avait toujours connue était accro au pouvoir, accro aux privilèges qu’elle possédait. Son père lui avait expliqué qu’elle s’était battue pour les avoir, qu’elle n’avait pas eu la chance de grandir dans une famille aisée. Il lui avait aussi expliqué que c’était la raison pour laquelle sa mère insistait pour que Flora ait une grande carrière. Dans son malheur, Flora avait eu de la chance qu’elle choisisse chirurgienne et pas politicienne, ou grande avocate. Au final, ça n’avait pas grande importance puisque Flora avait choisi la voie qu’elle voulait. Quoiqu’il en soi, grandir avec une mère pareille avait fait détesté à Flora tout ce qui ressemblait de près ou de loin à du mensonge. L’honnêteté était importante. C’était la base de toute relation, amicale ou romantique. La confiance aussi. Alors quand Flora avait appris que Louie, une personne qu’elle considérait comme son amie, lui avait menti, elle avait été furieuse. Il lui avait fallu plus de deux semaines avant de pouvoir enfin entrer en contact avec elle (la croisière en Grèce avait joué pour beaucoup dans ce délai, elle avait tellement été détendue et relaxée, qu’en rentrant, il lui avait fallu quelques jours avant de revenir à la réalité).

Peut-être qu’elle n’aurait pas du faire ça un dimanche. C’est le jour du seigneur après tout, le jour où les gens se reposent et passent leur journée affalés dans le canapé devant des séries B ou des téléfilms diffusés sur les chaînes locales. En tant que fille assez dynamique, dimanche était un jour comme les autres pour la jeune femme. Il y avait bien des dimanches qui étaient l’exception. Des dimanches où elle en profiter pour faire une bonne grasse matinée, à lire un bon bouquin, à bloquer le monde extérieur. Ces dimanches là étaient rares, mais appréciés quand même. Elle s’était rendue chez Louie d’un pas décidé, ferme, prête à mettre au clair toute cette situation. Les marches jusqu’à l’étage de son amie avaient semblé interminables. Louie lui ouvrit la porte, vêtue d’un jogging. Peut-être qu’elle aurait vraiment du choisir un autre jour pour venir agresser la jeune femme. Mais elle travaillait, son temps libre était limité. Elle remarqua également que Louie avait changé de couleur de cheveux. Le blond cendré lui allait bien. Elle nota dans un coin de sa tête qu’il fallait qu’elle lui fasse la remarque, plus tard, quand elles auront parlé. Flora ne pris même pas la peine de dire bonjour, à quoi bon ? « Bonjour? » Elle pouvait entendre la voix de sa mère dans sa tête, en train de la réprimander pour oublier les formules de politesse. Tant pis, elle n’en avait pas le cœur, alors elle hocha brièvement la tête. Louie compris rapidement la raison de la venue imprévue de Flora, et son comportement changea du tout au tout. Elle croisa les bras, presque aussi affrontée que Flora, ce qui la fit froncer les sourcils. Elle n’avait aucun droit d’être énervée. « T’es là à cause de Raphael, c’est ça ? » Raphael, ou l’homme qui avait toujours été entre les deux. Non pas, qu’il y avait de la concurrence entre les deux jeunes femmes, loin de là. Leurs relations avec le jeune homme étaient totalement différentes. Mais là, en l’occurrence, il était l’homme qui les liait. « Et pourquoi tu m’en veux ? T’as une logique à ça ? » - « Une logique ? » Répéta-t-elle, aberrée. « Tu m’as menti. Pendant sept ans ! Peu importe ce que Raphael t’a demandé de faire, je pensais que tu me faisais un peu plus confiance. » Déclara-t-elle. Flora n’était pas n’importe qui, après tout. Louie aurait pu dire quelque chose.


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() message posté Jeu 12 Nov 2015 - 12:57 par Margot Bernstein-Woolf
though those are betrayed do feel the treason sharply, yet the traitor stands in worse case of woe ✻✻✻  Louie aurait pu s’y attendre. Elle aurait même du s’y attendre. Elle avait enfui au plus profond d’elle le secret que Raphael lui avait confié, et elle l’avait caché par la même occasion à Flora. Mais merde, elle ne s’attendait pas à ce que Raphael dise concrètement à Flora qu’elle avait gardé son secret. En même temps, il avait été déjà assez difficile pour elle de réaliser et d’accepter que Raphael les avait laissé -surtout elle et sa phobie de l’abandon- parce qu’il avait un cancer. Elle avait respecté ce qui aurait pu être une de ces dernières volontés. Voilà, c’était ainsi qu’elle le voyait, pas autrement. Pas comme une façon de se sentir supérieure ou plus importante que Flora. Elle l’avait fait pour Raphael, et Dieu que ces sept années avaient été difficiles.
Flora était énervée. Mais sûrement chamboulée aussi. Après tout, Louie n’aurait pas apprécier non plus si ça avait été le cas inverse. Ca lui aurait fait sûrement encore plus de mal. Au moins, même s’il l’avait abandonné, il lui avait prouvé qu’il tenait à elle en lui donnant les raisons de son départ. Mais damn, ce n’était pas comme s’il n’avait pas tenu à Flora, alors il aurait très bien pu l’informer. MERDE. Lou était perturbée par la logique de son meilleur ami. Logique qui la foutait actuellement : dans la merde.
« Tu m’as menti. Pendant sept ans ! Peu importe ce que Raphael t’a demandé de faire, je pensais que tu me faisais un peu plus confiance. »   Louie leva les yeux au ciel. OUI. Elle avait menti. Elle ne pouvait clairement pas contredire Flora. Lou lui avait menti en lui disant qu’elle ne savait pas pourquoi Raphael était parti comme ça, du jour au lendemain. Comment pouvait-elle le lui dire ? Il est parti parce qu’il a un cancer et qu’il a peu de chance de s’en sortir. Il ne veut pas qu’on le voit dépérir. Et si elle l’avait dit ? Qu’est-ce que ça aurait provoqué ? Sûrement de la jalousie. Pourquoi il te la dit à toi et pas à moi ?! Autant de chose qu’elle aurait voulu éviter. Louie elle même essayait parfois de faire abstraction qu’elle connaissait la raison de son départ. Elle partageait le même chagrin que Flora. Elles avaient été toutes les deux dans le même bateau, et elles étaient devenues plus proche. N’était-ce pas une belle façon de voir les choses.
« Oui je t’ai menti. »   Louie acquiesça, avant de se laisser tomber sur le canapé, fixant Flora. Elle pouvait ressentir toute la colère de Flora dans son regard. Elle ne l’avait jamais vu comme ça. Ca la mettait mal à l’aise. Elle décevait une amie. Mais si elle ne l’avait pas fait, elle en aurait déçu un autre. Son meilleur ami ne passait-il pas avant elle ? C’était cruel à dire… « Je t’ai menti Flora. Effectivement. »  Hardy-Botwin avait un ton sérieux à présent. Un ton, un air sérieux qui ne lui collait pas à la peau. Le petit de rayon de soleil toujours plus heureux que tout le monde ne prenant rien au sérieux devait être sérieuse à ce moment là. Elle était calmement sérieuse. Prête à faire comprendre à Flora pourquoi elle avait fait ça. Elle devait comprendre. Elle avait respecté Raphael.
« Je t’ai menti, parce que Raphael me l’a demandé. Ca aurait pu être une de ces dernières volontés. Ca a été son choix de te protéger de ça. Ca a été mon choix de respecter ce que mon meilleur ami m’avait demandé. »   Elle retroussa ses manches et fronça les sourcils. Bien évidemment, Flora ne pourrait pas comprendre. Elle était dans un état colérique, elle en voulait à Louie. Et son sens de la logique était sûrement altéré par cet état. « Tu préfères quoi Flora ? T’être dis pendant sept ans qu’il était parti pour refaire sa vie avec une autre personne, ou bien te demander tous les jours, te torturer tous les jours, pendant sept années, s’il est encore en vie ou bien si il est en train de pourrir sous terre ? »   Pendant un instant, Louie se mit à envier Flora. Elle avait pu continuer dans la vie, ne pensant à Raphael que comme quelqu’un qui l’avait abandonné, aller de l’avant, rencontrer de nouvelles personnes. Elle n’avait pas eu la même pensée, tous les matins en se levant : est-ce qu’il est vivant ?
« Il n’est aucunement question de confiance. Mais de respect. Et peut-être un peu de protection. »  

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