"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici “There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate.” 2979874845 “There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate.” 1973890357
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“There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate.”

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() message posté Dim 26 Aoû 2018 - 19:54 par Invité
“There is nothing I would not do for those who are really my friends. I have no notion of loving people by halves, it is not my nature.” ― Jane Austen


Elle râle grandement au téléphone, pestant contre l’un de ses employés qui n’a encore pas respecté certains ordres qu’elle a donné. Ce n’est quand même pas compliqué d’appliquer une simple règle, surtout quand il s’agit d’un monument comme Big Ben. Ce n’est pas à la portée de tout le monde de participer à la rénovation d’un monument comme celui ci, c’est carrément une chance de pouvoir faire ses preuves, et espérer participer à d’autres grandes rénovations comme celle ci. Mais visiblement, son employé ne semble pas de cet avis et s’entête à faire n’importe quoi. Alors forcément, ça l’a fait râler parce qu’elle doit rattraper ses erreurs et ça lui bouffe une partie de son samedi. Ce n’est pas pour rien que le samedi fait parti du weekend, le but est de se reposer et de s’amuser. Et là en l’occurrence, ce n’est pas le cas, ce qui la fait râler. Son téléphone valse une énième fois sur le lit, prenant le risque une nouvelle fois que la vitre explose. Ce n’est pas comme si la vitre avait explosé trois fois par le passé, toujours par la faute de ce même employé. Son téléphone se remet une nouvelle fois à sonner et la jeune femme le récupère pour y voir un message de Jude. Celle ci lui propose un café du côté du parc à chien. Voilà de quoi raviver son après midi monotone. Elle répond rapidement à sa nouvelle amie qu’elle se met en chemin avec Ben, son fidèle chien. Les deux jeunes femmes se sont rencontrées il y a quelques semaines dans un parc à chien et ont très vite sympathisé. Depuis, elles se retrouvent régulièrement pour promener les chiens ensemble et se faire des sessions café ragots. « Allez Ben, on y va ! Jude et Apple nous attendent ! » Elle attrape la laisse, attache Ben et les deux prennent la direction du parc. Une quinzaine de minutes de marche leur permet d’arriver à côté du parc et au starbucks, où les deux jeunes femmes ont leurs petites habitudes. Si d’ordinaire les cafés refusent les chiens, ce starbucks accepte aisément les amis à quatre pattes. Ils savent très bien que la proximité avec le parc à chien attire énormément de personnes, et qu’il serait donc très préjudiciable pour eux de refuser les propriétaires de chiens. Peu de temps après être arrivé, Jude arrive en compagnie de son sublime Husky. « Comment vont mes deux partenaires de café préférés ? » Rigole-t-elle avant de prendre rapidement Jude dans ses bras. Apple a le droit aussi à sa petite caresse, tout comme Ben. Les deux jeunes femmes rentrent dans le starbucks et passent commande avant de ressortir en terrasse avec leur boisson. « Alors raconte moi. Comment se passe ton exploration de la ville ? » Il est vrai que Jude vient seulement d’arriver en ville et que Londres est une ville assez impressionnante et tellement grande. Blodwyn a déjà aidé Jude dans son exploration de la ville et continuera surement à le faire dans les prochaines semaines à vivre.
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() message posté Dim 16 Sep 2018 - 14:05 par Invité
C’est bien connu, Jude est une personne souriante et avenante. Elle n’a aucun problème à aller vers l’inconnu, ou se plonger dedans à pieds joints d’ailleurs. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle se trouve aujourd’hui loin de son pays natal qu’est la Nouvelle-Zélande et qu’elle a désormais décidé de prendre du recul avec cette vie où elle avait tout. Aujourd’hui, elle doit tout reprendre à zéro, dans une ville qu’elle ne connait pas et où elle ne connait qu’une, peut-être deux ou trois en comptant Blodwyn et Mila en plus de son patron. Un patron qui l’a kidnappée d’une vie un peu trop simple, pour la ramener à Londres en lui proposant une place et un nouveau challenge qui ont rapidement eu raison de la belle brune. Londres reste malgré tout une ville à découvrir aux heures perdues, une ville dans laquelle elle doit prendre ses marques et apprendre à connaitre. Elle apprécie le peu de ce qu’elle a déjà vu et si internet l’aide beaucoup dans cette exploration, elle vit cette nouvelle aventure avec le sourire et beaucoup d’optimisme.

Blodwyn fait partie de ces petites nouveautés Londoniennes. Certes, la demoiselle est un peu plus jeune, mais ça n’enlève en rien ce petit coup de foudre amical éprouvé lors de leur rencontre dans un parc où plusieurs habitants de la ville semblent prendre plaisir à y laisser vagabonder leurs amis à quatre pattes. De même pour la néo-zélandaise, accompagnée d’Apple, son husky qui est très probablement la seule chose de Nouvelle-Zélande, qu’elle a accepté d’emmener avec elle. Ce matin-là, autant dire que l’ennuie avait pointé le bout de son nez et si autrefois le samedi sonnait comme un jour de travail pour elle, aujourd’hui il en était tout autre. En effet, étant sous contrat, Jude est soumise à un horaire, qu’elle n’hésite pas à déborder mais toujours est-il qu’elle n’a pas à débarquer au bureau un samedi matin comme elle le ferait un lundi à la première heure. Voila donc quelque chose dont elle n’a pas l’habitude, working girl dans l’âme, et qui la déroute très facilement.

Finalement, c’est en proposant un café à Blodwyn qu’elle décide de meubler son temps, un peu dans le but de nourrir ce rituel qu’elles ont eu l’habitude de prendre depuis plusieurs semaines maintenant. C’est une occasion pour elle de sortir le nez de son appartement, ainsi que de permettre à Apple de se dégourdir les pattes. Finalement, c’est au Starbucks qu’elles se retrouvent, le sourire aux lèvres lorsqu’elle s’apprête à étreindre la jeune femme face à elle. Heureusement pour elles, les animaux son autorisés dans l’enceinte du café sans doute avec pour condition que ceux-ci soient attachés et se tiennent tranquille. Pour ce qui est de la chienne de Jude, elle reste relativement tranquille pour le moment, mais probablement que d’ici ce soir, sans avoir pu se dépenser un peu, ce sera une autre paire de manches. « On va bien ! Et toi comment tu vas ? » au même moment, Jude caresse le chien de son amie tout en gardant Apple entre ses jambes dans l’espoir de ne pas déclencher aux deux canidés une envie soudaine de jouer.

Se dirigeant vers la terrasse avec leur commande, les deux jeunes femmes s’installent. Jude est plutôt agréablement surprise de voir les deux chiens dans une bonne entente, bien que depuis qu’elles se connaissaient, elles n’ont jamais vraiment eu de problèmes concernant l’entente entre Ben et Apple. « Ca va, j’ai galéré à trouver le chemin pour l’hôpital la semaine passée, mais j’y suis arrivée. J’aurais pu demander le chemin à la secrétaire de mon patron, mais je suis sûre qu’elle m’aurait indiqué le chemin pour une décharge municipale ou un hôpital psychiatrique » Autant dire que l’entente entre elles étaient totalement autre que celle avec Blodwyn, et pour une raison que Jude semble ignorer. « Et toi, ton boulot ça se passe bien ? »
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() message posté Dim 30 Sep 2018 - 1:12 par Invité
“There is nothing I would not do for those who are really my friends. I have no notion of loving people by halves, it is not my nature.” ― Jane Austen


La vie à Londres est finalement un réel bonheur pour la jeune femme. Après avoir grandi dans une ville à une taille un peu plus humaine telle que Liverpool, Blodwyn avait une véritable peur de se sentir noyée dans la masse et de ne pas trouver sa place au sein d’une si grande ville. Pourtant, la jeune femme s’était immédiatement bien intégrée dans la ville, et même si Liverpool serait toujours sa ville de coeur, Londres était définitivement devenue une de ses villes favorites. Alors forcément, Blodwyn s’épanouit au mieux, et avoir ses deux compagnons à quatre pattes à ses côtés, l’aident à apprécier un peu plus la ville. C’est d’ailleurs grâce à Ben qu’elle a découvert certains endroits de Londres, qu’elle n’aurait réellement pas connu sans un chien. Au fond, les parcs, si l’on a pas d’enfants ou d’animaux, on a peu de raisons de s’y rendre, s’il n’y a pas d’évènements particuliers. Évidemment, Hyde Park, le plus célèbre des parcs londoniens, organise régulièrement des évènements, des concerts, des expositions alors difficile de passer à côté de ce parc. Mais bien d’autres sont totalement inconnus, primrose hill et sa super randonnée est un endroit parfait pour balader son chien, et c’est certain que sans Ben, Blodwyn n’aurait pas découvert cette sublime colline. Et finalement, ce n’était pas surprenant que la jeune femme rencontre de nouvelles personnes grâce à ses amis canins. Autant dire que Jude a été une véritable révélation pour la Carpenter, et rencontrer quelqu’un d’aussi passionnée par les chiens qu’elle, lui a fait réellement plaisir. Alors ces petits rendez-vous réguliers qu’elle se donne lui apporte beaucoup de joie à chaque fois. Et évidemment, que seraient leurs rendez-vous sans leur passage au starbucks ? « Ca va très bien ! Toujours quand je peux enfin être en weekend ! » Rigole-t-elle, réellement ravie d’être en weekend. Parce que même si elle adore son travail, il est particulièrement prenant, et Blodwyn ne refuse jamais un peu de repos. Les deux nouvelles amies se dirigent vers la terrasse, leurs adorables amies à quatre pattes s’installant gentiment à leur pied, comme si tout allait bien. « Ah merde, tu ne t’entends pas avec ton patron et sa secrétaire ? Les gens sont pourtant si amicaux à Londres en temps normal. C’est d’ailleurs une chose qui m’a surpris la première fois que j’ai débarqué à Londres. Les gens sont toujours prêt à t’aider ! » Et c’était vrai. Les londoniens sont toujours ouverts et agréables, toujours prêt à vous donner des indications, le bon sens. « Mais ce premier jour s’est bien passé malgré tout?L’hôpital t’a bien accueilli ? » Blodwyn boit une gorgée de son café et jette un œil à son téléphone qui vibre. Un message de sa mère lui intimant de répondre au message d’invitation pour le prochain gala. Bordel de merde. Encore un qu’elle pense, avant de reposer son téléphone sans répondre. « J’ai le plus beau métier du monde à mes yeux ! Même si je reconnais que mon équipe me tape parfois sur le système à ne pas suivre mes ordres et mes recommandations. Mais, qui peut dire qu’il rénove Big Ben hein ? Pas grand monde ! » Rigole-t-elle tout en continuant de boire une gorgée de son café. « Tu t’es déjà décidée sur ta prochaine découverte londonienne ? »
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() message posté Jeu 11 Oct 2018 - 9:18 par Invité
Toutes les personnes connaissant Jude depuis des années savent pertinemment que sa passion pour la Laponie va jusqu’à la race de son chien : un husky. Elle avait longtemps hésité, étant toujours en Nouvelle-Zélande, à prendre un animal à quatre pattes. Au fond, elle travaillait beaucoup et ne restait pas souvent chez elle. Une chance, la brunette avait pris l’habitude de déposer Apple chez ses parents avant de se rendre au bureau alors qu’elle était encore jeune, évitant ainsi les hurlements de son chiot à l’époque, à ses voisins. Aujourd’hui qu’elle se trouve à Londres, à des milliers de kilomètres de sa famille et de ses amis, elle n’a plus sa mère pour s’occuper de son chien et pourtant, Apple semble s’y accommoder. Il faut dire qu’en étant employée et plus freelance, elle suit l’horaire de bureau et à peine rentrée, elle emmène son animal à quatre pattes faire une longue balade pour que ce dernier puisse se défouler. C’est très probablement ce qui lui a permis de connaitre les alentours de Londres et la nature qui s’y rapporte. Jude profite également de ces moments pour couper son portable, bien qu’elle ne doute pas que ce n’est pas William qui va la surcharger de travail alors qu’elle a quitté le bureau. Elle aurait pu tomber sur pire patron, comme sur plus moche. Finalement, il reste un repère pour elle dans cette ville, après tout c’est bien lui qui l’a fait venir à Londres, non ? Une chance qu’ils se connaissent depuis quelques années maintenant.  Jude sourit face à Blodwyn : une belle rencontre dans cette ville, avec une passion partagée pour nos amis les bêtes. Elles ont au moins ça en commun, bien qu’elles apprennent toujours un peu plus à se connaitre et Jude ne doute pas des autres points communs qu’elles découvriront avec le temps. « Le week-end ça me stress. Mais je crois que c’est parce qu’être employée, c’est nouveau pour moi. » dit-elle. C’est vrai qu’avant, en étant son propre patron, elle ne pouvait que travailler H24 et 7j/7. « Tu exerces ton métier depuis longtemps ? ». Jude s’installe à la terrasse avec sa commande et offre toute son attention à son interlocutrice. « Avec mon patron si, je crois que c’est même ça le problème pour sa secrétaire. Elle a du mal à comprendre pourquoi il est venu me chercher en Amérique et elle le vit plutôt mal. Je soupçonne le cliché de la secrétaire folle de son patron, tu vois un peu ? Mais je ne me formalise pas, je trouve ça marrant. C’est pas une harpie non plus, mais quand il s’agit de William, elle sort les griffes » Faut dire que William a de la prestance et du charme et que depuis qu’elle le connait, Jude n’a jamais vraiment été indifférente à l’élégance de l’anglais. « Tu sais, c’est le genre classe anglaise et haute société bourré de charme. Forcément, ça ne peut que plaire » explique-t-elle en souriant. Malgré tout, elle a bien géré, tout comme elle a bien trouvé son chemin. « Oui oui, j’ai réussi à trouver mon chemin. De toute façon, je pense que pour connaitre une ville, on n’a pas le choix que de devoir se jeter dans la gueule du loup sans attendre de l’aide à gauche ou à droite. » Jude écoute Blodwyn parler de son métier avec beaucoup de passion. Rares sont les personnes qui peuvent le faire, et pourtant il est important de devoir être épanouie dans son travail. Diriger une équipe à son âge relève du véritable challenge que Jude ne peut qu’admirer. Passionnée par ce que lui dit son interlocutrice, elle ouvre la bouche d’ébahissement : Big Ben c’est pas rien, autant dire qu’en plus ça lui fera une bonne pub, paroles d’agent de comm’ ! « Ah ouais, Big Ben c’est pas rien. C’est chouette parce que ça reste un monument réputé dans le monde, avec ça tu auras ta réputation de faite. Comment mieux faire décoler sa carrière ! Et j’imagine que la rénovation ça va prendre du temps non ? » Jude sourit face à un souvenir qui lui vient en tête « Tu sais je n’étais jamais venue à Londres avant maintenant. Je suis déjà allée à Paris, à Rome, l’Australie, la Laponie ou les USA, mais Londres jamais. Et la seule image que j’avais de Big Ben c’est celle du dessin animé Peter Pan. Tu sais, La scène où il  se pose sur les aiguilles ? Et quand je suis arrivée ici, je n’ai pas pu m’empêcher d’y penser, c’était bluffant la ressemblance avec la réalité. » La néo-zélandaise imite son interlocutrice en portant sa boisson à ses lèvres et réfléchit à la question… « Mmmh non. Je suis invitée pour l’inauguration d’un nouveau bar en tant que Dir’ comm’ mais ça n’entre pas vraiment dans le cadre de mon boulot étant donné que je travaille pour une maison d’édition. Mais je trouve ça sympa d’y aller. Sinon je ne sais pas. J’aimerais aller au British Museum, mais le dimanche j’ai souvent la flemme… Tu as des endroits à me conseiller ?»
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() message posté Mer 14 Nov 2018 - 18:28 par Invité
“There is nothing I would not do for those who are really my friends. I have no notion of loving people by halves, it is not my nature.” ― Jane Austen


Ces derniers temps, la jeune femme ressent le besoin de s’évader, de se changer les idées. Les choses sont loin d’être aussi évidentes depuis quelques semaines. Et la jeune femme fait tout ce qu’elle peut pour se changer les idées, oublier le quotidien, et les démons qui l’habitent. Ce n’est guère une surprise. Blodwyn s’y attendait depuis que son père lui a appris les prémices de sa maladie. Sur l’instant, la Carpenter n’a pensé qu’à une seule chose, aider son père du mieux qu’elle peut, l’accompagner à ses rendez-vous médicaux, lui changer les idées à lui aussi, et surtout, l’aider du mieux qu’il peut à éviter les questions indiscrètes de la matriarche Carpenter, qui n’a absolument aucune idée de la maladie de son mari. Cette folle est suffisamment atteinte de folie du contrôle, que découvrir la maladie de son époux serait la goutte d’eau. Elle serait capable de tout pour gâcher le Parkinson du Carpenter aux yeux de tous. Parce que seuls la gêne et l’embarras s’emparerait d’elle, et non la peine et le chagrin. C’est pourquoi Blodwyn est prête à tout pour aider son père dans la cachoterie. Mais depuis quelques jours, une autre question trotte dans la tête de la jeune femme, après avoir écouté le médecin parler à son père. La malade montre de nombreux signes d’une maladie génétique, et pourrait potentiellement atteindre un jour Blodwyn. Si au début, la seule chose qui lui importait était les soins de son père, petit à petit, cette question lui est venue en tête. Va-t-elle un jour développer la maladie ? Et si oui, à quel moment de sa vie ? Autant de question qui reste sans réponse, et qui amène Blodwyn a s’interrogé sur sa vie à venir. Elle est encore jeune et pleine de vie. Pour autant elle ne sait plus ce qu’elle veut pour son futur. Parce qu’apprendre qu’elle pourrait développer la maladie, l’inciterait aisément à vouloir des enfants peut-être plus rapidement, à avoir une vie plus stable, une véritable vie de famille. Et à l’inverse, avoir un enfant dans ce monde si compliqué, tout en sachant qu’il y a une possibilité de lui transmettre cette maladie est là aussi particulièrement compliqué comme réflexion. Alors forcément, dès que la jeune femme a la possibilité de s’évader, de se changer les idées un minimum, elle le fait dans la mesure du possible. Et ce rendez-vous avec Jude est le moment idéal pour oublier tous les tracas du quotidien. « C’est vrai que c’est un gros changement quand on se retrouve avec un supérieur hiérarchique sans en avoir eu l’habitude. » Blodwyn en parle en toute connaissance de cause. Elle a l’avantage d’être devenue d’une certaine manière son propre patron. Elle gère son équipe toute seule et les seuls comptes à rendre sont à la couronne d’Angleterre qui gère Big Ben. « J’ai eu mon diplôme il y a 3 ans, et depuis j’exerce. Le meilleur que l’on puisse rêve avec mon diplôme. » Et il est vrai que tous ses anciens camarades de classe n’ont pas eu le même genre d’emplois qu’elle, c’est finalement Blodwyn qui a décroché le jackpot. Et elle espère que c’est pour ses qualités et non son nom de famille. « Je vois le genre de secrétaire oui ! Je n’ai jamais compris ce genre de femmes d’ailleurs » Ces femmes là sont de vraies croqueuses de diamants, et n’apprécient pas avoir de la concurrence. « Mais dis donc, n’aurais-tu pas un petit crush pour ton patron ? » A la façon qu’a la jeune femme de décrire son patron et son côté british, nul doute qu’il y a anguille sous roche. « Je pense qu’après ce boulot, toutes les portes me seront ouvertes donc je suis vraiment contente. » Mais pour le moment, il y a suffisamment de travail pour plusieurs années avec Big Ben, laissant la jeune femme à l’abri du besoin pendant encore longtemps.  « C’est vrai que c’est l’image qu’ont beaucoup de gens de Londres, mais à juste titre ! Peter Pan a toujours donné une bonne image de la ville. » Même si ce n’est pas son dessin animé préféré, la jeune  femme a toujours aimé qu’un dessin animé montre avec précision la beauté de sa ville de cœur.  « C’est toujours un bon moyen de faire des rencontres, même si ce n’est pas trop ton milieu ! » Autant que Jude profite de cette occasion pour rencontrer du monde. Elle n’est pas en ville depuis longtemps, ce serait donc le meilleur moment. « Je dirai que Notting Hill est un super quartier à visiter avec une ambiance assez particulière. Et sinon Camden avec son côté hippie est assez fou. » Même si le quartier français est le préféré de la jeune femme, Blodwyn aime se balader dans notting hill et son côté si romantique.
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