"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate. (Flora) 2979874845 There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate. (Flora) 1973890357


There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate. (Flora)

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() message posté Mar 20 Sep 2016 - 19:35 par Jamie E. Jones-Collins
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Flora & Jamie.

I think if I've learned anything about friendship, it's to hang in, stay connected, fight for them, and let them fight for you. Don't walk away, don't be distracted, don't be too busy or tired, don't take them for granted. Friends are part of the glue that holds life and faith together. Powerful stuff. ✻✻✻ L'été arrive à sa fin, malheureusement, et bientôt je vais devoir dire au revoir aux shorts, tongs, débardeurs et autres vêtements d'été. En attendant, je suis bien décidée à profiter des derniers rayons du soleil. Je dois bien être une des dernières à encore m'installer dehors sur une chaise longue pour me faire bronzer. Je suis allongée depuis plus d'une demi-heure maintenant et même s'il m'arrive d'avoir quelques frissons à cause du soleil qui joue à cache à cache, je suis décidée à rester encore un peu. Même si le temps n'est plus aussi chaud qu'au moins d'août, tant que nous ne sommes pas en automne, je refuse d'arrêter de rester dehors. Malheureusement, le soleil commence à se faire de plus en plus rare pour aujourd'hui et je me vois dans l'obligation d'abandonner ma séance de bronzage. Je rentre à la maison, exaspérée par ce temps qui a décidé de redevenir froid et humide. Dire que je déteste l’automne et l’hiver c’est encore être bien loin du compte. J’ai besoin de soleil pour être heureuse et malheureusement à Londres ce n’est pas la ville idéale pour moi. Pour me réchauffer et me détendre, je décide d’aller prendre un bain, tant que mon petit frère n’est pas encore rentré de l’école. Je suis seule à la maison, c’est donc le moment idéal pour cela. Musique, quelques bougies et beaucoup de mousse, voilà qui embellie mon après-midi. Je ne sors pas avant que l’eau soit froide et que ma peau soit toute fripée. Je suis un peu plus détendue, mais toujours énervée de ne pas avoir pu rester plus longtemps au soleil. Ma mère rentre avec mon frère, au moment où je termine de m’habiller. Même avec les températures qui ont baissé, je refuse de porter autre chose qu’une robe, même si celle-ci est longue. Après avoir embrassé mon petit frère et l’avoir écouté me parler de sa journée, je retourne dans ma chambre. Je n’ai pas grand-chose à faire aujourd’hui et je tourne rapidement en rond. J’envoie un message à Flora pour prendre de ses nouvelles et je lui propose rapidement de venir la voir. J’ai envie d’en savoir plus sur ses vacances, et j’aurais bien des choses à lui raconter aussi. On finit par se mettre d’accord, sur l’heure à laquelle je peux passer et je décide de venir avec de quoi manger. Autant prendre des forces en même temps. Sans m’en rendre compte, je finis par m’endormir pendant plus d’une heure et c’est mon frère qui me réveil en sursaut.
Il me faut quelques temps pour émerger, j’ai l’impression d’avoir la tête dans du coton, tellement je suis toute molle. Je n’aurais pas dû dormir, je suis généralement encore plus fatiguée après. Je m’étire dans l’espoir de me réveiller un peu mieux et tout ce que j’obtiens c’est un bâillement. Avec tout cela, il est trop tard pour prendre le bus pour rejoindre Flora. Il va me falloir demander à mon père de me déposer dans Londres. Histoire de ne pas perdre plus de temps, je prends mon sac, ma veste et enfile une paire de chaussure, de cette façon, je suis prête à partir. Après quoi, je descends à la recherche de mon père pour le supplier de me déposer en ville. Il faut vraiment que j’envisage d’autres solutions à l’avenir, comme celle de déménager de chez mes parents pour trouver quelque chose de plus proche. Je l’ai déjà envisagé et avec l’approche de mes trente ans, j’y songe vraiment de plus en plus. Je commence à avoir un peu de mal avec l’idée de vivre encore dans la maison familiale à mon âge. Seulement pour le moment je suis toujours ici. Mon père accepte de me déposer, sans trop de problèmes, mais cela ne l’empêche pas de râler, pour la forme. Comme je n’ai pas besoin de repasser dans ma chambre, nous partons rapidement et dix minutes plus tard je suis devant le traiteur chinois. Je me débrouillerais toute seule pour aller chez Flora à partir d’ici. Je commande la même chose que d’habitude, maintenant que nous avons trouvé ce que nous aimons et où nous aimons manger et je sors avec un gros sac qui sent bon. Avant de me rendre chez ma meilleure amie, je passe dans la pâtisserie qui fait les meilleurs macarons du monde. Je repars le porte-monnaie allégé, mais les mains pleines. L’odeur du sac, me donne faim et je dois me faire violence pour attendre d’être chez Flora pour manger. Devant chez elle, je sonne à l’interphone non sans difficultés avant de me glisser à l’intérieur. Il me faut encore une petite minute avant d’arriver devant elle, qui m’attend la porte ouverte. « Fais place, je suis chargée. » Mes mains sont prises et je n’ai qu’une hâte, pouvoir poser tout cela n’importe où. « Tu veux que je pose ça où ? » La cuisine, le salon, même dans l’entrée cela fera l’affaire, du moment que je puisse retrouver l’usage de mes mains.

✻✻✻
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() message posté Jeu 22 Sep 2016 - 19:08 par Invité
So many times when the city seems to be without a friendly face, a lonely place; it’s nice to know that you’ll be there if I need you. — Ses prunelles bleues fixaient son reflet dans le miroir. Le pinceau de son mascara noircissait ses cils et les rendait plus longs et plus volumineux. Ses cheveux étaient déjà séchés, et la serviette attachée autour d’elle ne cessait de glisser. Flora lâcha un soupire en la nouant une énième fois. Son front se plissa alors qu’elle remarqua quelque chose sur son bras. Elle détourna le regard du miroir pour regarder ce dernier, et un soupire s’échappa d’entre ses lèvres. Elle était en train de peler. Son bronzage s’en allait, sa peau hâlée par le soleil hawaïen se retirait pour laisser place à sa couleur de peau naturelle. Les vacances étaient donc belles et bien finies. La grisaille londonienne lui rappelait sans cesse qu’elle n’était plus sur le petit bout de terre américain. Là où il faisait bon de vivre, là où le soleil réchauffait la peau et le cœur. Les quinze jours passés là-bas avaient été trop courts à son goût. Aiden avait rendu le séjour plus agréable et plus magique. Là-bas, ils étaient dans leur bulle, où n’existaient qu’eux. Mais la réalité les avait vite rattrapé, leur rappelant qu’ils avaient une vie et un travail de l’autre côté du monde. Un bras autour de sa taille la sortit de sa rêverie. Le bras de l’homme qui occupait ses pensées. Son regard croisa celui d’Aiden à travers le miroir, et un sourire se dessina sur ses lèvres. Les mains de Flora glissèrent sur son bras et le caressèrent. Ses cheveux étaient légèrement ébouriffés, et une trace d’oreiller était parfaitement dessinée sur le côté gauche de son visage. Il était adorable. Flora se tourna dans son étreinte, déposant un baiser sur ses lèvres. C’était devenu une habitude pour eux, de passer la nuit chez l’un ou chez l’autre, dès qu’ils le pouvaient. Le temps passé avec lui était précieux. Son cœur battait chaque jour plus fort pour lui. C’était un sentiment qu’elle n’avait pas ressenti depuis des années, depuis la mort de son fiancé. Il lui avait montré que c’était possible d’aimer à nouveau. Elle quitta ses bras à contre cœur, pour aller se préparer. Si lui n’avait pas encore repris le travail, il n’en était pas de même pour elle. Son carnet de clients s’agrandissait de jour en jour, les rénovations et les rendez-vous se succédaient, il en devenait presque difficile pour elle de suivre la cadence. Les bienfaits de ses vacances au soleil s’évanouissaient sous sa masse de travail. La journée s’annonçait longue, jusqu’à l’arrivée d’un texto de sa meilleure amie. Elle avait l’impression que ça faisait une éternité qu’elles ne s’étaient pas vues. C’était probablement le cas. Avec tout ce qu’il s’était passé, sa rupture avec Jake, ses retrouvailles avec Aiden et son départ précipité pour Hawaï, Flora n’avait pas eu l’occasion de voir Jamie. Elle avait hâte de pouvoir tout lui raconter et de savoir ce qu’il s’était passé dans la vie de sa meilleure amie. Sans qu’elle ne s’en aperçoive, la journée touchait déjà à sa fin. Elle arpentait les rues de Londres, bien décidée à marcher au lieu de prendre son taxi habituel. Le vent caressait sa peau et faisait voler ses cheveux. L’été touchait à sa fin, même si le mauvais temps semblait s’être épris de sa ville natale. Le soleil pointait de moins en moins le bout de son nez, laissant place à des nuages et un ciel blanc ou gris. Arrivée chez elle, elle s’occupa jusqu’à ce que Jamie sonne à sa porte. Elle l’ouvrit, révélant une Jamie plus que chargée. « Fais place, je suis chargée. » Une odeur de nourriture chinoise s’échappait d’un des sacs qu’elle portait, lui rappelant qu’elle n’avait pas mangé depuis ce midi. Son ventre grogna légèrement, alors qu’elle tenta d’attraper un des sacs. « Tu veux que je pose ça où ? » Flora laissa échapper un rire et l’entraîna jusqu’à la cuisine. « Là. » Fit-elle, pointant du doigt le comptoir, qui servait aussi de bar. La cuisine était ouverte sur le salon. Même si elle possédait une vraie table pour manger, Flora aimait bien se poser au bar, c’était plus convivial, plus chaleureux. Elle commença à déballer la nourriture. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand elle tomba sur les macarons. « Ça me fait plaisir de te voir, j’ai l’impression que ça fait une éternité. » Déclara-t-elle dans un sourire. Elle sortit deux assiettes, des couverts, deux verres de vin et une bouteille fraîche du réfrigérateur pour les poser sur le comptoir. « J’ai cru comprendre que tu avais des choses à me raconter. » Finit-elle, sur un ton amusé.
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() message posté Ven 23 Sep 2016 - 18:41 par Jamie E. Jones-Collins
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Flora & Jamie.

I think if I've learned anything about friendship, it's to hang in, stay connected, fight for them, and let them fight for you. Don't walk away, don't be distracted, don't be too busy or tired, don't take them for granted. Friends are part of the glue that holds life and faith together. Powerful stuff. ✻✻✻ Sur le chemin qui me mène à ma meilleure amie, je me rends compte que cela pourrait être chouette d’avoir moi aussi mon propre appartement. Plus de comptes à rendre à mes parents, même si c’est assez rare. Je pourrais inviter qui j’aurais envie, faire ce que j’ai envie, pouvoir me promener nue si jamais le cœur m’en prenait. Oui, cela pourrait être vraiment bien. Cela voudrait aussi dire, ne plus voir mon petit frère tous les jours, devoir cuisiner moi-même et tout payer seule. Quoique l’argent ne soit pas un problème, je suis assez bien payé par cours. Il y a certainement du bon et du moins bon, il faudrait que j’envisage la chose entièrement et dans sa totalité. J’aurais surement besoin de Flora pour m’aider. Cela fait partie des choses qu’il faut que je lui raconte, parmi d’autres. Un sac glisse et je le relève tout en marchant. Je réalise, que cela fait bien une éternité que je n’ai pas débarqué de la sorte chez elle, les mains pleines de nourritures, pour que l’on passe la soirée ensemble. Elle m’a lâchement abandonné cet été et je compte bien rattraper ce temps-là. Je suis bien aussi partie quelques jours, pour mon anniversaire avec mes parents et mon frère, mais rien d’aussi excitant que ses vacances à elle. Et puis cela a duré bien longtemps. Résultat, nous ne nous pas vraiment vu durant l’été ce qui est un vrai crime. Les sacs commencent à vraiment me peser et je constate avec soulagement que je suis enfin arrivée. La prochaine fois, je prendrais un taxi ou le bus. Hors de question de retenter l’expérience à pied, les bras aussi chargés. Je rentre dans l’appartement rapidement, tout en suivant Flora pour poser tout ça. Je lâche avec soulagement le tout, satisfaite et fière de moi. La nourriture sent bon et cela me redonne faim. Je pose ensuite mon sac par terre, prenant soin de mettre mon téléphone dans ma poche, on ne sait jamais ce qui peut se passer. De toute façon, je suis totalement incapable de me séparer de mon téléphone. J’ai toujours un chargeur dans mon sac, hors de question d’être à plat. Je m’assoie, laissant Flora s’organiser comme elle le souhaite. Je dois aussi avouer que le trajet à pied depuis le traiter chinois, m’a légèrement crevé. J’en profite pour la regarder, elle a l’air plus blonde et bronzée. « Les vacances te réussissent. » Elle me semble encore plus belle, si cela est possible.
« A moi aussi. » Vraiment, le temps fut long sans se voir. Heureusement que l’on peut se parler tous les jours avec la nouvelle technologie. Je souris, quand elle me demande ce que j’ai à lui raconter. Pleins de choses en réalité, mais je n’ai pas envie d’être celle qui commence. Je suis pourtant l’investigatrice de la soirée, mais j’ai des sujets bien trop sérieux à aborder pour un début de soirée. « Rien qui ne puisse pas attendre, après que tu m’es racontée tes vacances ! » Mes histoires peuvent attendre encore un peu, mais ses vacances non. J’ai envie de tout savoir. Elle ne peut pas se sauver comme ça et espérer que je ne voudrais pas tout savoir avant le reste. J’ai déjà eu quelques échos, un léger preview, mais je suis loin de tout savoir et elle doit bien avoir des tonnes à me raconter. « Ah si, avant que j’oublie, le mec du Starbucks c’est trouvé être totalement intéressant. » Je ne sais pas si elle se souvient, je lui parle tellement souvent d’un homme différent tous les jours ou presque, que je ne lui en voudrais pas. Mais celui-là c’est avéré être totalement nul, sans parler d’être très égocentrique ce qui a rendu la conversation vraiment plate et ennuyante. Un vrai cauchemar. Il n’est malheureusement pas le seul dans ce genre-là. J’ai arrêté de les compter depuis longtemps, sinon j’aurais fini par arrêter de chercher. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche non plus à vrai dire. Je n’arrive pas à me poser avec quelqu’un, cela m’angoisse. Des problèmes que j’essaie de résoudre depuis longtemps, sans réel succès. Ma mère me dit toujours que lorsque je trouverais le bon cela changera tout. Mon souci, c’est que j’ai l’impression de trouver le bon tous les jours. Quand je vois les couples qui sont ensemble depuis longtemps, je me demande comment ils font. Cela doit quand même être barbant d’être avec la même personne depuis tout ce temps. Plus de surprises, plus de nouveautés. Les mêmes choses encore et toujours. C’est à me faire faire des cauchemars. J’ai besoin de nouveauté, de nouvelles expériences dans ma vie. Enfin, Flora est déjà au courant de tout cela. « J’ai quand même rencontrée un mec mignon il y a deux jours… » Encore un. Me voilà de nouveau à parler de mes histoires de mecs. « Mais c’est sans importance. Alors, tes vacances ? » Je ne dois pas oublier le sujet principal, ces vacances. Je suis vraiment incorrigible.

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() message posté Dim 2 Oct 2016 - 18:19 par Invité
So many times when the city seems to be without a friendly face, a lonely place; it’s nice to know that you’ll be there if I need you. — « Les vacances te réussissent. » Un sourire se dessina sur les lèvres de Flora, alors qu’elle laissa entrer son amie dans son appartement. Les vacances réussissaient, en général, à tout le monde. Jamie avait de la chance, son teint était naturellement hâlé. Elle avait bonne mine toute l’année, alors que Flora était plutôt blanche en hiver. La blondeur de ses cheveux tranchait avec la pâleur de sa peau Dans son malheur, néanmoins, elle n’était pas aussi blanche que la plupart des anglaises. Sûrement dû à ses origines italiennes. Flora guide Jamie jusqu’à la cuisine, où elle lui indique de poser les sacs pleins de nourriture. L’odeur était délicieuse, alléchante, alors que l’estomac de Flora grogna une nouvelle fois. Elle se charge de mettre la table, et de leur servir à toutes les deux du vin pour débuter leur repas. Une bonne soirée entre filles, ne se faisait jamais sans une bouteille de vin. C’était un classique. Elle prit place sur un des tabourets du bar, soutenant le regard de sa meilleure amie. « Rien qui ne puisse pas attendre, après que tu m’aies raconté tes vacances ! » Sa bouche s’ouvrit, prête à raconter les détails de ses vacances, mais Jamie reprit. « Ah si, avant que j’oublie, le mec du Starbucks s’est trouvé être totalement intéressant. » Flora laissa échapper un rire, attrapant le pied de son verre à vin. Son sourire ne quitta pas ses lèvres en repensant à ses vacances. Hawaï était une île magnifique, magique. Ses vacances s’étaient déroulées comme elle l’avait voulu. Là-bas, elle était dans une bulle de bonheur et de simplicité qu’elle n’aurait jamais voulu briser. Sa cousine avait eu une bonne idée en insistant pour que Flora vienne lui rendre visite, après tout ce temps sans se voir. Elle ne regrettait pas, et elle ne regrettait pas d’avoir emmené Aiden avec elle. « C’était parfait. Il faisait beau, et chaud. L’île était franchement à couper le souffle. Et Aiden…Aiden était parfait, lui aussi. » Elle baissa les yeux, replaçant une mèche de cheveux derrière ses oreilles. Son pouls s’accéléra en repensant au dîner qui avait peut-être tout changé. Leur relation n’a pas arrêté de prendre des tournants, depuis ce fameux baiser au moins de juin, depuis qu’il lui avait demandé de quitter Jake. Sortir du déni et enfin accepter de l’avoir pleinement de sa vie aurait dû être une évidence depuis le début. Elle se racla la gorge et releva la tête pour croiser le regard de Jamie. « Il m’aime. » Souffla-t-elle, timidement. Flora n’aimait pas trop parler de ses relations, en général. Elle était timide et réservée, quant à sa vie privée. Mais cette confession qu’il lui avait faite, méritait d’être partagée, d’être criée sur tous les toits, même. Aiden Arlington n’était plus l’homme froid et snob qu’elle avait rencontré en début d’année, et ça, elle était fière de pouvoir le dire. Elle bu une gorgée de son vin, avant d’agiter une main vers son amie. « Donc le gars du Starbucks était nul ? » Elle s’affaira à sortir les plats du sac pour les déposer sur le comptoir. Son estomac réclamait ce que Jamie avait acheté « J’ai quand même rencontré un mec mignon il y a deux jours… » Flora arqua un sourcil, amusée par la situation. Ces conversations étaient récurrentes. Jamie ne s’était jamais vraiment posée avec un garçon, par peur de l’engagement et tout un tas d’autres facteurs. Flora était habituée, et même si elle aimerait voir son amie trouver chaussure à son pied, rien ne servait de forcer le destin. Un de ces gars mignon finirait par être le bon. « Tu lui as parlé ? Tu l’as revu ? » S’enquit-elle. Ses baguettes attrapèrent méticuleusement des nouilles, qu’elle s’empressa d’enfourner dans sa bouche. « Peut-être que tu devrais essayer les sites de rencontres ? Tout le monde en parle, et apparemment, ça marche bien. » Déclara-t-elle, alternant son regard entre Jamie et ses nouilles. « Quoique, tu as déjà dû tester non ? » Demanda-t-elle, le front plissé. Flora n’était pas aussi au point sur toutes les applications qui existaient. C’était déjà un miracle qu’elle pense à mettre à jour son Instagram, de temps en temps.
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() message posté Lun 3 Oct 2016 - 16:18 par Jamie E. Jones-Collins
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I think if I've learned anything about friendship, it's to hang in, stay connected, fight for them, and let them fight for you. Don't walk away, don't be distracted, don't be too busy or tired, don't take them for granted. Friends are part of the glue that holds life and faith together. Powerful stuff. ✻✻✻ Si j’aime l’été pour la chaleur, le soleil, pour me faire bronzer, les nuits plus courtes et tout un tas d’autres raisons, j’aime beaucoup moins le fait de ne pas voir mes amis durant cette période. Rare sont les personnes qui ne partent pas durant l’été, moi-même j’ai quitté Londres quelques jours pour l’Italie. Seulement, j’ai toujours l’impression d’avoir raté un tas de choses à la rentrée. L’inverse est aussi vrai, j’ai l’impression d’avoir un tas de choses à raconter à Flora. Seulement, avant tout, ce sont ses vacances qui comptent, je n’ai rien d’aussi palpitant à raconter. Je ne peux cependant pas m’empêcher de lui parler du gars du Starbucks qui s’est avéré être totalement inintéressant. Encore un sur la liste qui s’est trouvé ne pas être le bon. Encore un qui a réussi à me lasser rapidement, c’est toujours la même chose. Je reviens à mon amie qui semble avoir plus de chances que moi de ce côté-là. « C’était parfait. Il faisait beau, et chaud. L’île était franchement à couper le souffle. Et Aiden… Aiden était parfait, lui aussi. » Je souris pour elle, l’entendre parler me donne l’impression que c’était réellement super. D’ailleurs vu la façon dont elle raconte ça, je ne doute pas un instant que ses vacances ont dû être bonnes. « C’était si bien que ça ? » Je ne peux m’empêcher d’être un peu jalouse, heureuse pour elle, réellement, mais un peu jalouse. Je prends mon verre de vin, pour une boire une gorgée, mais mon bras reste suspendus en l’air. « Il m’aime. » Je suis un peu surprise. J’avais cru comprendre que leur relation était un peu spéciale, mais de là à savoir qu’il était amoureux. En même temps comment pourrait-il ne pas l’être ? Flora est parfaite. Finalement je repose mon verre sans y avoir touché. « Il serait bête de ne pas le faire. Et toi ? » A la voir m’en parler et à l’entendre, j’ai bien l’impression que cela est réciproque, mais je voudrais en être sûre. Je ne suis pas forcément très douée pour cela. Savoir si je plais à quelqu’un, aucun problème, mais quand il s’agit d’amour, je suis dans le flou total. Cela ne m’est jamais arrivé, ce qui explique sans doute que je suis vraiment nulle dans ce domaine. Jamais aucun garçon ne m’a donné envie de finir ma vie avec, ou bien de passer tout mon temps avec, et toutes ses petites choses qui font que. Je n’ai jamais eu le temps de découvrir non plus si cela aurait été possible, je me lasse beaucoup trop vite à chaque fois. Une fois la phase de séduction passée, je ne trouve plus cela intéressant. Je vivrais cela par procuration, à travers ma meilleure amie.
« Donc le gars du Starbucks était nul ? » Nous revoilà sur un terrain que je maîtrise. Je hoche la tête pour confirmer, avant de réellement boire une gorgée de mon verre cette fois-ci. L’air de rien, je lui parle d’un autre que j’ai croisé il y a deux jours près de chez mon frère. Je doute que cela aille plus loin, ne sachant rien de lui. « Tu lui as parlé ? Tu l’as revu ? » « Non. Je l’ai juste croisé en bas de chez mon frère, mais je n’en sais absolument pas plus. Il faut dire que mon frère était là, et tu sais très bien comment il est… » Je crois que mon frère a une vision de moi totalement fausse. J’ai l’impression qu’il me prend pour une fille parfaite qui ne s’intéresse pas aux garçons, seulement à la danse. C’est sans aucun doute beaucoup plus facile pour lui de cette façon, mais il est loin, très loin de la réalité. J’aurais aimé plus jeune pouvoir lui parler de tout cela, ça m’aurait peut-être évité certaines erreurs, mais les garçons et les relations en générales ne sont pas des sujets que nous abordons ensemble. Pour cela j’ai Flora et mes amies. Tout en parlant, je commence à me servir, avant que la nourriture ne soit froide et pour que mon estomac arrête de faire du bruit. « Enfin, peut-être qu’il aurait été ennuyeux lui aussi. De toute façon, il y a toujours le nouveau danseur au studio. Lui je ne lâche pas. » Depuis qu’il est arrivé cet été, j’ai bien dû déjà lui en parler une bonne dizaine de fois. Mais un gagnant de « Danse avec les stars » aux États-Unis, ce n’est pas non plus n’importe qui. Et puis un danseur, cela nous fait déjà forcément une chose en commun, ce qui me semble beaucoup mieux que la plupart des garçons que je rencontre d’ordinaire. « Peut-être que tu devrais essayer les sites de rencontres ? Tout le monde en parle, et apparemment, ça marche bien. » J’arrête de manger pour la regarder. Je ne sais pas si son idée est une bonne ou une mauvaise chose. J’ai l’impression que cela fait un peu désespéré quand même. « Quoique, tu as déjà dû tester non ? » « Peut-être une fois, voir deux, mais non. J’ai la sensation que ça donne vraiment l’impression de se vouloir se caser à tout prix. » Soudain je réalise, que c’est peut-être l’impression que je lui donne. « Oh mon dieu ! C’est l’impression que je donne, hein ? Je fais si désespérée ? Pathétique ? » Je sais bien que j’ai tendance à toujours parler d’un nouvel homme, mais il est assez rare que cela aille plus loin, il faut dire que ce n’est pas souvent, qu’ils m’en donnent l’envie.

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() message posté Ven 16 Déc 2016 - 22:48 par Invité
So many times when the city seems to be without a friendly face, a lonely place; it’s nice to know that you’ll be there if I need you. — « C’était si bien que ça ? » Flora croise le regard de sa meilleure amie, avant d’hocher doucement la tête. Elle replace une mèche de cheveux derrière son oreille, alors qu’un sourire timide se dessine sur ses lèvres. « C’était différent, c’était de vraies vacances. » Passer ces deux semaines à Hawaï était ce qu’il lui fallait. Elle avait besoin de se ressourcer, de faire le point sur sa vie, d’oublier le travail et les complications de son quotidien londonien. Flora accordait beaucoup trop d’importance à son travail. Son implication était telle que, parfois, elle en oubliait presque de déjeuner le midi. Même si les clients étaient exigeants, cela n’enlevait rien au fait qu’elle ne changerait de travail pour rien au monde. Mais sa trêve sur cette magnifique île était plus que nécessaire. Cependant, les vacances étaient finies, et le train-train quotidien avait repris de plus belle. Sauf qu’aujourd’hui, elle avait le privilège de pouvoir partager ce quotidien avec un homme qu’elle ne pensait pas aimer un jour. Leur rencontre avait été plus qu’atypique. Leur divergence d’opinion et de caractère les avait séparés, pour au final les rapprocher. « Il serait bête de ne pas le faire. Et toi ? » Elle connaissait désormais la sincérité de ses sentiments et pouvait confirmer qu’il n’était pas le seul à les ressentir. « Oui. » Souffla-t-elle doucement. Elle ne pensait pas aimer quelqu’un, comme elle avait aimé Matthew. On pense toujours que ce genre d’amour n’arrive qu’une fois dans la vie. Flora se considérait chanceuse. Chanceuse de pouvoir aimer et être aimée comme ça. C’était presque trop beau pour être vrai, mais pourtant. Elle se racla la gorge, avant de prendre une gorgée de son vin. Elle n’avait pas honte de parler de ses sentiments, mais elle ne voulait pas trop s’étaler sur le sujet. Sa meilleure amie n’avait pas eu cette chance, elle ne voulait pas trop se venter, trop s’exposer pour ne pas la blesser. Elle savait que Jamie n’avait pas la patience de laisser évoluer quelconque relation. Mais elle se demandait, si quelque part, elle ne cherchait pas réellement l’amour. Alors elle sortit sa nourriture du sachet pour commencer à manger, et entamer la discussion sur un sujet plus neutre. Les coups de cœur de Jamie. « Non. Je l’ai juste croisé en bas de chez mon frère, mais je n’en sais absolument pas plus. Il faut dire que mon frère était là, et tu sais très bien comment il est… » Dire qu’il était un peu trop protecteur serait un euphémisme. Il ne réalisait pas que Jamie était devenue une femme, une vraie, avec des envies et des besoins. C’était presque agaçant, mais ça ne la regardait pas. Elle était fille unique, elle ne réalisait pas vraiment ce que cela voulait dire d’avoir un grand-frère. « Tu crois qu’un jour il réalisera que tu n’as plus quinze ans ? » S’enquit-elle sur un ton taquin. Elle sortit un rouleau de printemps, qu’elle déroulera de son emballage plastique, avant de le tremper dans la sauce prévue à cet effet. Elle écoutait Jamie avec attention, parler d’un danseur dont elle ignorait pour l’instant l’existence. « Un danseur ? Quel danseur ? » Elle arqua un sourcil en croisant le regard de sa meilleure amie. Flora avait toujours été amusée par la situation. Si elle était plutôt du genre à se caser, à chercher le grand amour, à préférer la stabilité, ce n’était pas le cas de Jamie. C’est comme si elles créaient une sorte de balance à elles deux. « Peut-être une fois, voir deux, mais non. J’ai la sensation que ça donne vraiment l’impression de se vouloir se caser à tout prix. » Flora plissa le front. « Oh mon dieu ! C’est l’impression que je donne, hein ? Je fais si désespérée ? Pathétique ? » Elle haussa les sourcils, avant de laisser échapper un rire. « Oh non, non ! Mais c’est peut-être plus facile de rencontrer quelqu’un comme ça ? » A vrai dire, Flora n’avait jamais tenté les applications de rencontres. Ce n’était pas son truc, mais peut-être que c’était le cas pour Jamie. « Puis, j’ai entendu dire que la plupart des gens qui sont sur ces trucs ne cherchaient pas du tout à se caser. » Continua-t-elle, prenant une bouchée de son rouleau de printemps. Pour une raison qui lui échappait, elle avait l’impression de s’enfoncer plus que de rassurer sa meilleure amie.
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Jamie E. Jones-Collins
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these violent delights, have violent ends
There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate. (Flora) B273b9a249344e683b51f6b38e5dce06055ee851
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() message posté Ven 30 Déc 2016 - 18:32 par Jamie E. Jones-Collins
There is nothing better than a friend, unless it is a friend with chocolate.
Flora & Jamie.

I think if I've learned anything about friendship, it's to hang in, stay connected, fight for them, and let them fight for you. Don't walk away, don't be distracted, don't be too busy or tired, don't take them for granted. Friends are part of the glue that holds life and faith together. Powerful stuff. ✻✻✻ « C’était différent, c’était de vraies vacances. » J’ai l’impression d’avoir raté une tonne de chose dans la vie de Flora pendant ses vacances. Je ne lui en tiens pas rigueur pour autant, bien au contraire, je suis contente qu’elle ait pu profiter pleinement de ses vacances. Et puis comment pouvoir être en colère, quand je la vois si heureuse. Elle semble vraiment flotter sur un nuage, ce qui me rendait bien un peu jalouse. Je ne peux m’empêcher de lui demander si elle l’aime aussi, après m’avoir confié qu’il lui avait avoué ses sentiments. A la voir, ça ne fait pas de doute, mais peut-être que je me trompe aussi. Je ne suis pas forcément la meilleure pour les sentiments et relations. « Oui. » Je suis vraiment heureuse pour elle, elle mérite d’être avec quelqu’un qui l’aime et inversement. Je ne peux pourtant pas m’empêcher de penser que j’aimerais bien moi aussi pouvoir dire la même chose un jour. Je me sens horrible de penser à cela maintenant, après notre conversation, mais c’est plus fort que moi. « C’est super. Je suis vraiment heureuse pour toi.» Et je le suis vraiment. Je lui souris, avant de boire une gorgée à mon tour. Tout cela me laisse songeuse et rêveuse. Peut-être que je m’y prends mal, je ne sais pas. Mais est-ce que j’ai vraiment envie de passer tout mon temps avec la même personne ? Je n’en suis pas sûre. Je ne sais pas, la question ne sait jamais réellement posée de toute façon. Je n’ai jamais eu de relation vraiment longue, et jusqu’ici cela ne m’a jamais posé de problème. Je peux au moins profiter et avec tous les hommes qu’il y à Londres, cela serait dommage de ne profiter que d’un seul. Peut-être plus tard, quand je serais plus vieille. Ou bien si je rencontre le bon un jour. Finalement, nous changeons de sujet, pour justement discuter de mes rencontres récentes. Je ne sais même plus de qui je lui ai parlé ou non. Ce n’est pas de ma faute, avec l’été, il y a toujours plus de monde de sortie, et donc plus de possibilités. Possibilités rapidement éloigné quand mon frère est dans le coin. Voilà pourquoi je refuse de vivre avec lui, comme il me l’a souvent proposé. « Tu crois qu’un jour il réalisera que tu n’as plus quinze ans ? » Je hausse les épaules, ne sachant pas la réponse. « Je crois que non. Et puis quinze ans, tu es bien gentille. Parfois j’ai l’impression qu’il me voit toujours comme une gamine. » Je secoue la tête, légèrement énervée à cause de cela. Je sais qu’il veut seulement me protéger, mais parfois c’est vraiment trop.
Finalement, je commence à manger, n’y tenant plus. Porter tout cela, en sentant l’odeur, m’a donné faim. Je continue cependant, de lui raconter mes aventures, bien moins romantiques qu’elle. « Un danseur ? Quel danseur ? » Je m’arrête, baguette en l’air, en fronçant les sourcils. Je suis étonnée de ne pas lui en avoir parlé. « Je ne t’en ai pas parlé ? C’est un nouveau professeur au studio, un ancien gagnant de la version Américaine de Danse avec les stars. » J’enfourne finalement mes pâtes, que j’avale avant de continuer. « Le genre, qui te donne envie de pratiquer plus que la danse. » Je lui souris innocemment, avant de prendre mon verre pour prendre une gorgée. Je ne doute pas un seul instant qu’il se passera quelque-chose, même si comme souvent je serais lassé tout de suite après. Cela se passe toujours comme cela, pourquoi cette fois-ci serait différente ? J’espère seulement, que Flora n’en a pas marre de toujours m’entendre parler de la même chose. Quoique, je suis sûre qu’elle ne se gênerait pas pour me le dire, c’est comme ça qu’on reconnaît les vrais amis. Elle finit par me demander si j’ai déjà tester les applications et autres sites de rencontres. Pour rigoler c’est sympa, mais je ne crois pas que ce soit vraiment fait pour rencontrer quelqu’un. Enfin si, mais pas pour une vraie relation. Aussitôt je me demande, si je lui parais si désespéré et pathétique. J’ai bien conscience que je parle souvent de garçon, et bien souvent ce n’est jamais les mêmes, mais jusqu’ici je ne m’étais jamais demandé l’image que cela pouvait renvoyer de moi. « Oh non, non ! Mais c’est peut-être plus facile de rencontrer quelqu’un comme ça ? » Peut-être. Je n’ai jamais compté dessus pour rencontrer quelqu’un. Je préfère encore une rencontre par hasard. « Puis, j’ai entendu dire que la plupart des gens qui sont sur ces trucs ne cherchaient pas du tout à se caser. » Je suis bien d’accord avec elle. Mais je ne peux m’empêcher de me demander, si elle n’essaie pas de me faire passer un message. « Tu crois que je devrais réellement essayer ? » J’ai toujours espoir de rencontre l’homme de ma vie, parmi tous les hommes que je rencontre, pour finalement me rendre compte que ce n’est pas le cas. Jusqu’au suivant. « Non, je crois que je ne pourrais pas. Et avec ma chance, je tomberais que sur des types chelous qui ne ressemblent pas du tout à leur photo. » Ça serait bien ma chance. Je m’édite un instant là-dessus, recommençant à manger. Soudain je me rappel d’une chose dont je voulais lui parler. « Ça me fait penser, tu sais qui j’ai rencontré cet été ? Jake. » Je guette sa réaction, ne sachant pas vraiment comment elle va réagir. Il est peut-être un peu tôt pour parler de lui, mais je ne me vois pas lui cacher cela non plus.

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