"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici here we go again. (flora) 2979874845 here we go again. (flora) 1973890357
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() message posté Mer 12 Aoû 2015 - 11:27 par Invité

think i'll roll another number for the road, i feel able to get under any load. though my feet aren't on the ground, i been standin' on the sound of some open-hearted people goin' down.
Il émerge dans le lit, la couette entièrement sur son corps alors que nous étions en été. A vrai dire, il avait beaucoup de mal à s'adapter au soleil londonien, qu’il trouvait vraiment dégueulasse comparé à celui de la Californie. Il regarde l'heure, il est déjà onze heures trente. Il passe une main dans ses cheveux, pour les remettre en place, alors qu'ils tiennent juste en apparence, juste dans sa pensée. Il bouge quelques temps dans son lit, les jambes, puis les bras. Il a une flemme aiguë très présente et sa tombe bien parce que pour une fois, il était en congé. Il baille continuellement, cherchant une source de motivation pour son petit cerveau déjà bien embrumé. Il se redresse et laisse sa carcasse d'abrutit se relever avec difficulté du lit. En avançant vers la salle de bain, son pied se prend dans l'encadrement de la porte, murmurant par la suite quelques insultes. Il s’appuie contre la paroi de la porte et laisses ses mains venir au secours de son orteil, sans même aucune explication plausible. Juste une manie de l'être humain.  

Le jet d'eau se propulse sur le corps d'Owen qui est encore un peu dans les vapes. Il faut dire que le jeune homme a quand même passé toute la nuit à boucler un dossier pour son nouveau tournage qui débutait d’ici quelques jours enfin. Il profite de ce moment de tranquillité sous la douche, laissant couler l'eau un peu trop longtemps. C’est la première fois depuis de longues semaines qu'il prend un jour off, rien que pour lui. Étant un accro du travail, il n’avait jamais la conscience tranquille lorsque ses devoirs de producteur l’attendaient ou s’approchaient à grands pas. Malgré sa nature d’un jeune homme assez irresponsable, le travail est une des choses qui comptait le plus à ses yeux. Il a galéré pour en arriver là. Il a le boulot qu’il a toujours rêvé et il était hors de questions qu’il laisse échapper tout ce qu’il a construit depuis des années.

Midi bien entamée. Le jeune homme sort de la douche et seulement vêtue d'une serviette de bain se dirige vers le dressing présent dans cet immense appartement, trop immense à son goût. Malgré sa fortune, Owen était quelqu’un de simple. Il ne cherchait jamais le luxe. Les vêtements et les voitures hors prix, n’étaient pas sa tasse de thé. Pour l’appartement, il n’a à vrai dire, pas eu trop de choix. Tout ce qu’il voulait, c’était d’être près du centre de la ville. A part les immobiliers à prix à se casser le cul, il n’y a pas eu milles solutions. Il effleure du bout des doigts les quelques vêtements qui gisent sur les étagères et prends quelques secondes de réflexion. Il attrape alors un caleçon blanc et un short en molleton en laissant tomber sa serviette à terre.

I'll give you candy, give you diamonds. Give you pills, I'll give you anything you want. Hundred dollar bills ! Owen se laisse rapidement emporter par la musique qu’il a préalablement choisie, tentant de faire obstacle à toutes pensées  quelles qu’elles soient. En faisant son trajet jusqu’à la cuisine, il s’arrête net devant la petite table basse du salon. « Ne me regarde pas comme ca voyons ! » dit-il ironiquement en regard le sachet de weed posé. Il n’avait rien de prévu, personne à voir. Alors pourquoi ne pas commencer la journée en beauté ? Il attrape le sachet, le bang et le briquet tout en se laissant tomber dans le canapé. Il coupe la musique et s’empare de la télécommande en tirant quelques coups sur son bang. En allumant la télévision, il tombe directement sur les vieux épisodes de dessins animés de Batman. Parfait. Il se laisse alors emporter par les épisodes de l’homme chauve-souris et sa substance illicite jusqu’à ce que l'interphone se mette à sonner. Qui pouvait bien venir le voir? Lâchant un long soupir, il prit plusieurs secondes à se lever du canapé à son aise et à se diriger vers la porte. Il ne prend même pas la peine de répondre qu’il ouvre directement la porte. En attendant à ce que la personne monte les étages jusqu’à chez lui, il balaye son appartement du regard. Un vrai bordel. Entendant les bruits de plus en plus près, il ouvre sa porte d’entrée et s’appuie contre la paroi. Quand il aperçoit enfin de qui il s’agit, il se redresse. Il se demandait combien de fois il avait tiré sur le bang, à quel point il était défoncé, c’était bien juste d’la weed non ? Tant de questions traversent son esprit en un éclair, qu’il reste là planté comme un légume bouché bé. « Noa… ? Qu’est-ce que tu… ? » Il avait du mal à formuler des phrases correctes. Il se sentait tellement ridicule.
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() message posté Dim 16 Aoû 2015 - 21:21 par Invité
HERE WE GO AGAIN
OWEN & FLORA

Sa journée avait commencé comme d’habitude, avec un jogging. Elle était certaine que certains médecins lui diraient que ce n’était pas bon de courir autant, qu’il y avait d’autres moyens d’expulser ses pensées négatives et de se défouler. Certains diraient même que parler faisait du bien, que c’était bénéfique. Mais Flora aimait courir. Elle aimait sentir la fatigue musculaire, elle aimait sentir le vent dans ses cheveux, sur sa peau. Parfois elle croisait Jake, parfois non. Courir la relaxait et elle ne voyait pas comment parler pouvait être mieux que ça. Une fois rentrée, elle fila sous la douche histoire de rincer toute la sueur. Elle ne savait pas encore ce qu’elle ferait de sa journée. Tout était calme au bureau, les clients étaient pour la plupart en vacances donc elle n’avait pas grand chose à faire. Elle suppose qu’elle pourrait passer voir ses parents, ça faisait un moment qu’elle ne les avait pas vu et son père commençait à lui manquer. Sa mère ne lui manquait jamais, mais son père, c’était une autre histoire. Ils étaient tellement proches, tellement fusionnels. Elle était éternellement reconnaissante qu’il soit à l’opposé de ce que sa mère avait pu être, qu’il ait été plus laxiste, plus cool, moins stricte. Quand Flora avait ses leçons de piano (leçons qu’elle détestait, qu’elle ne voulait pas prendre mais qu’elle était obligée de prendre parce que sa mère estimait qu’une jeune fille bien élevée et d’un statut social comme le leur se devait d’apprendre le piano), son père avait pour habitude de l’emmener au parc après, pour se balader, manger une glace, nourrir les canards. C’était les seules fois où ils se retrouvaient réellement seule. Il travaillait beaucoup lui disant sans cesse qu’il le faisait pour elle, pour qu’elle ait une bonne vie, qu’elle ne manque de rien. En y repensant, Flora aurait préféré avoir un père plus présent, plus à la maison que de subir sa mère. Au fond, Flora était presque sûre que sa mère l’aimait. Mais à sa manière. Elle s’était souvent demandée ce que ça aurait fait de grandir avec une mère aimante et fière d’elle à chaque fois qu’elle faisait quelque chose. Rien de que d’y penser faisait monter la colère en elle. Peut-être que finalement, ce n’était pas une bonne idée d’aller voir ses parents.

Son portable vibra sur la table basse, la sortant de ses pensées. C’était Sam. Il semblerait qu’elle venait de trouver ce qu’elle allait faire de sa journée. Elle venait de lui texter l’adresse de cet homme – de ce fou – qui l’avait embrassé et prise pour une certaine Noa l’autre soir dans un des bars de la ville. Il avait clairement été plus que saoule, l’attrapant par le bras et lui déballant sa vie, lui disant qu’il était désolé, qu’il avait été un vrai con. Flora n’avait aucune idée de qui il était, ni de quoi il parlait. Elle secoua la tête en repensant à ce soir là. Il avait fini par se faire virer du bar par la sécurité mais il en avait perdu son portefeuille dans la bataille. Flora l’avait ramassé et avait essayé de rattraper les agents de sécurité mais le bar était rempli à craquer. Quand elle avait enfin réussi à sortir l’homme avait disparu. Elle s’était dit qu’elle aurait pu le laisser au bar, que peut-être il viendrait le récupérer ici mais une petite voix lui disait que ce serait plus simple de lui rapporter. Peut-être même qu’il s’excuserait. Evidemment, c’était sans compter que sur sa carte d’identité, la seule adresse qu’il y avait était une adresse en Californie. Un peu loin, quand même. Alors Flora avait téléphone à Sam, une vieille amie qui travaille dans la police, à qui elle a demandé une faveur, à qui elle a demandé de trouver où cet Owen résidait. Flora balayait un doigt sur l’écran de son téléphone pour ouvrir le texto. Ah. Il habitait Chinatown. Un quartier avec lequel elle était devenue familière du à son travail. Enfilant rapidement un short en jean et un haut simple, Flora attrapa son sac, le portefeuille et se mit en chemin.

Le taxi la déposant pile devant l’immeuble. Flora le paya et le remercia puis descendit. Pendant une minute, elle considéra déposer le portefeuille dans la boite aux lettres et héler un autre taxi. Elle n’était pas sûre de vouloir ravoir une conversation avec cet homme. Il ne lui avait pas laissé une bonne impression, après tout. Elle appuie sur l’interphone, attendant impatiemment qu’il lui ouvre. Au bout d’une minute, Flora soupira d’impatience. Toujours rien. Alors qu’elle était sur le point de sonner à nouveau, la porte s’ouvrit finalement. L’immeuble en soi était assez banal. Un immeuble comme elle en voit des dizaines et des dizaines avec son travail. Etant claustrophobe, elle opta pour les escaliers. En chemin, elle sortit le portefeuille de son sac, voulant aller assez vite pour repartir dans la foulée. Elle arriva enfin à l’étage, constatant qu’Owen l’attendait sur le pas de sa porte. « Noa… ? Qu’est-ce que tu… ? » Non mais, c’est une blague. Ses sourcils se froncèrent. Elle se planta devant lui et secoua la tête « Noa ? Non, écoutez, je sais pas qui est cette…Noa mais je vous ai déjà dit que ce n’était pas moi. » Elle soupira. « Moi c’est Flora. » Dit-elle lentement. Peut-être que si elle parlait lentement, il comprendrait. Il avait l’air un peu à l’ouest et ses yeux étaient un peu brumeux. Apparemment, il ne se rappelait pas de la soirée au bar. Tant mieux. Elle pourrait partir plus vite. « Vous avez perdu votre portefeuille l’autre soir au Barfly, je voulais juste vous le ramener. » Lâcha-t-elle en lui tendant l’objet.


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() message posté Sam 29 Aoû 2015 - 17:09 par Invité
Se retrouver si soudainement face à la femme qui, selon ses dires, n’est absolument pas Noa, le fait littéralement perdre pieds. Il est pourtant sobre. Il a pourtant bien dormi. Bien que l’effet de la marijuana lui est monté au cerveau, son état est beaucoup plus clair que le soir où il a croisé cette.. Flora. Et il faut avouer que c’était juste catastrophique. Il n’est pas apte à reconstituer tous les morceaux du puzzle mais il sait qu’il a déconné. Pour ne pas changer. Des flash lui reviennent de temps à autres et il est de plus en plus honteux de sa gaffe. Un discours lamentable, un baiser, un coup de poing dans son visage et viré du bar. Il aurait préféré tout oublier et prétendre qu’il ne s’était rien passé. Pourtant, là, il n’a plus le choix. C’était plus qu’une situation embarrassante. C’était bizarre. C’était louche. Okay. Donc Noa n’est pas Noa mais Flora. Et Flora qui n’a aucune idée de qui il est. Tant d’hypothèses viennent à son esprit qu’il arrive à peine réfléchir. Est-ce que Noa avait une sœur jumelle ? Non impossible. Il connaissait presque tout de la vie de la jeune femme et cette solution lui était juste impossible. Et pourtant. C’est peut-être bien le cas. Mais comment bordel ? Ou est-ce son esprit lui joue des mauvais tours ? Il a beau à se défoncer à toutes sortes de saloperie mais il ne dépassait jamais les limites. Il n’est pas fou. Puis il pense à cette théorie qui disait qu’on n’était pas unique dans le monde. Que chaque personne a au moins un sosie quelque part dans le monde. Sauf qu’il y a des coïncidences. Est-il possible que les sosies se ressemblant comme deux gouttes d’eau ? Que Noa soit à Londres tout comme Flora ? Ses yeux ne peuvent s’empêcher d’analyser son visage. Comme s’il allait trouver les réponses qu’il cherchait. Un visage qu’il connait tellement bien et qui lui fait remonter une foule de souvenirs.   « J’ai l’impression que tu te fou royalement de ma gueule Noa. » A cette remarque, la jeune femme esquisse un sourcil interrogateur, presque vexée. Sourire forcé aux lèvres, il rajoute. « … Ou il y a vraiment un truc louche et je ne comprends plus rien à ma vie et vous êtes vraiment Flora. » Le regard foudroyant de cette dernière, le pousse à se rattraper sur les mots. Il aperçoit son portefeuille dans la main de la jeune femme qu’elle lui tend ensuite. « Je vous remercie. » Depuis le soir au Barfly, il a la tête ailleurs. Pourtant il était persuadé qu’il trainait quelque part dans son bordel. Il devait reconnaître que son acte était très sympathique et courageux. En pensant au soir-là, il se sentit quand même embarrassé face à la situation. « Ecoutez, je tenais à m’excuser pour ce qu’il s’est passé au Barfly.  Et ne croyez pas que je suis fou ou autre conneries de ce genre de choses. C’est juste que...  » Il cherche minutieusement ses mots. Les bons mots. Mais c’est raté. « Ça vous est déjà arrivé de vouloir expliquer une chose alors que vous-même n’y comprenez rien ? » Ajoute-t-il  dans la rapidité et surtout dans ce flou complet. On a presque l’impression qu’il se parle lui-même à voix haute. Il ignore si la jeune femme y comprend quelque chose à la question. Comme s’il n’avait pas assez de se faire passer pour un con. Torse nu et cheveux en bataille, il se tient dans l’encadrement la porte, vêtu seulement d’un short gris. Mal à l’aise, il croise machinalement ses bras. Bon après il faut avouer qu’Owen a un corps bien entretenu et agréable à regarder.  D’un geste, il l’invite à rentrer.   « Promis, je ne suis pas un serial killer. » Peut-être qu’au final, elle a bien les réponses à ses questions.
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() message posté Mer 9 Sep 2015 - 2:02 par Invité
HERE WE GO AGAIN
OWEN & FLORA

Flora avait l’impression d’être au milieu d’une scène scénarisée. Jetant un rapide coup d’œil autour d’elle, elle se demandait si quelques caméras n’étaient pas cachées dans des recoins sombres du couloir. Cet homme – qui qu’il soit, Flora ignorait toujours son prénom et elle n’avait pas fouillé dans ses papiers pour le découvrir – croyait dur comme fer qu’elle était une autre. Une certaine Noa. Certes. Qu’il y croyait avec quelques grammes d’alcool dans le sang était compréhensible, mais maintenant ? C’était tout bonnement inconcevable. Et pourtant. « J’ai l’impression que tu te fou royalement de ma gueule Noa. » La jeune femme arqua un sourcil et résista à l’envie de croiser les bras au dessus de sa poitrine. Pour qui se prenait-il. La blonde commençait à perdre patience. Elle était venue ici, chez lui, dans l’optique de lui rendre ses papiers, de faire une bonne action puis de repartir vivre sa vie. Peut-être qu’il cherchait son portefeuille depuis quelques jours déjà, peut-être qu’il y avait des papiers importants dans ledit portefeuille. Qu’en savait-elle. En tout cas, elle jugeait responsable et nécessaire de lui remettre en mains propres, malgré le fait qu’il s’était passé ce qu’il s’est passé au Barfly. Flora pouvait comprendre les chagrins d’amour. Raphael lui avait causé des mois et des mois de cœur brisé, elle n’en était donc pas étrangère. Mais son comportement était grossier. Il a du le remarquer puisqu’il força un sourire avant de continuer. « … Ou il y a vraiment un truc louche et je ne comprends plus rien à ma vie et vous êtes vraiment Flora. » Elle lui jeta un regard de tueuse russe. Il fallait lui épeler ou comment ? Flora poussa un soupire irrité. Agitant sa main de nouveau, il remarqua enfin le portefeuille qu’il attrapa dans la foulée. Au moins, il a eu la décence de la remercier. Il n’était pas si mal élevé après tout. Son père lui avait répété sans cesse qu’il ne fallait pas juger un livre à sa couverture. Il avait sûrement raison. Ils étaient sûrement partis sur de mauvaise base, mais Flora n’était pas d’humeur à tenter de réparer les dégâts maintenant. Il la prenait clairement pour une personne qu’elle n’était pas, alors à quoi bon. Flora remonta la anse de son sac sur son épaule, prête à repartir quand ce dernier brisa le silence. « Ecoutez, je tenais à m’excuser pour ce qu’il s’est passé au Barfly.  Et ne croyez pas que je suis fou ou autre conneries de ce genre de choses. C’est juste que...  » Il cherchait soigneusement ses mots et Flora se dit que ce n’était pas plus mal. « Ça vous est déjà arrivé de vouloir expliquer une chose alors que vous-même n’y comprenez rien ? » Le jeune homme avait vraiment l’air perdu. Vraiment, vraiment. Le regard qu’elle lui jetait – un peu foudroyant, un peu suspicieux – s’adoucit légèrement. Bien sûr que ça lui était déjà arrivé. Des centaines de fois, même. La dernière en date était sûrement pourquoi cet homme la prenait pour un autre ou comment le sosie presque identique de son fiancé mort avait croisé son chemin. Décidant que ça ne servait à rien de continuer à prétendre qu’elle lui en voulait, Flora murmura un, « oui, évidemment. » Elle le dit tellement bas qu’elle ignorait si il l’avait entendu. Croisant son regard, Flora se rendit compte qu’il était toujours torse nu, habillé juste d’un short gris. Il du le remarquer aussi puisqu’il croisa ses bras. Il avait l’air embarrassé. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres de la jeune femme mais ce dernier s’effaça rapidement quand il l’invita à rentrer. Jetant rapidement un coup d’œil à sa montre, elle réalisa qu’elle avait quelques heures à tuer avant son rendez-vous en ville avec un client. Elle le regarda puis regarda l’appartement derrière lui au dessus de son épaule. « Promis, je ne suis pas un serial killer. » Flora pouffa un petit rire. « J’ai bien du mal à y croire. » Mais rentra tout de même dans l’appartement. L’endroit était assez grand et spacieux, quoiqu’un peu bordélique. Enfin…bordélique selon les critères de la jeune femme. Quelques affaires traînaient ici et là. Mais pour une maniaque comme elle, c’était tout de suite Tchernobyl. Se tenant au milieu de la pièce, Flora ne savait pas trop quoi faire. Elle n’était pas chez elle, après tout. Finalement, elle lui tendit la main. « Flora, Flora Parsons. Architecte d’intérieur. » En espérant que cette fois, il comprenne bien qu’elle n’était pas cette Noa.

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