"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici leave it unspoken. (w/ lewis) (ce rp est terminé et déconseillé aux mineurs de moins de dix-huit ans *sbaff*)  - Page 2 2979874845 leave it unspoken. (w/ lewis) (ce rp est terminé et déconseillé aux mineurs de moins de dix-huit ans *sbaff*)  - Page 2 1973890357
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leave it unspoken. (w/ lewis) (ce rp est terminé et déconseillé aux mineurs de moins de dix-huit ans *sbaff*)

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Sam 19 Avr 2014 - 3:34 par Invité
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Ses gestes ne faisaient que transcender mon désir pour lui. J’avais honte d’avoir à cacher ça aux yeux du monde, vraiment. Mon ex-femme n’avait pas totalement tord à mon sujet, j’étais bel et bien un lâche, un dégonflé. Sa main baladeuse me rendait fou, dans le bon sens du terme. Ma respiration était saccadée, je prenais désormais de grandes inspirations entre deux à-coups. Intérieurement, je me languissais déjà de m’associer à lui encore plus intimement. Je pouvais encore sentir sa main sous mon caleçon, sentir sa main harponner mon fessier. Lâchant un soupir sonore, je continuais malgré tout à tâter hasardeusement le corps de Lewis, mes lèvres, elles s’aventurèrent plus loin encore. Je voulais qu’il prenne son pied autant que moi voir plus. Ma langue vint se perdre sur son intimité, mes lèvres également, j’agissais sans retenue alors que je descendais à présent son caleçon jusqu’à mi-cuisses. Mes mains rappliquèrent rapidement sur ses fesses musclés bien que le plan de travail sur lequel nous nous trouvions, pour une fois, déjouait mes fougueuses manoeuvres. Je pouvais entendre ses râles étouffés au dessus de mes épaules non sans satisfaction. Sa main me décoiffait les cheveux, j’en fus amusé. Sa main sur mon épaule m’ordonna, bien qu’indirectement, de stopper mon affaire. Mon regard chercha ses yeux azur, je pouvais encore me perdre dedans. Je pris une longue minute pour revenir goûter à ses lèvres. Notre baiser, plus fougueux, me transcendait encore davantage. J’étais heureux de partager ce moment avec lui et de m’exposer ainsi. Même dans une cuisine.

Alors qu’il me soulevait avec conviction, alors que son excitation était palpable, mon corps vint s’écraser sur le plan de travail. « À ton tour d’en profiter... » Accoudé sur l’inox glacial, je frémis sous ses baisers. Le voir faire est un réel supplice. Lentement je sens mon caleçon glisser vers le bas, levant les yeux au ciel, je sens Lewis prendre pleinement possession de mon corps. J’ai chaud. Et encore, c’est euphémisme. Lentement, je m’allonge entièrement non sans me cambrer, pris sous le joug et la langue experte de mon avocat. La bouche entrouverte, je lâche désormais gémissements plaintifs et râles sonores. Mes doigts viennent décoiffer Lewis inconsciemment, pour le reste, je demeure figé et entièrement sous son emprise. Me redressant légèrement, je l’invite à m’embrasser de nouveau. Ma main vient caresser son échine jusqu’à remonter lentement jusqu’à sa nuque. Je n’embrasse plus ses lèvres, je les dévore avec un appétit féroce. Le corps de Lewis ainsi penché au-dessus de moi m’apparaît plus imposant encore qu’à la normale. Je sens son corps collait au mien, je peux même sentir son bassin et son excitation qui n’est pas sans rappeler mon propre désir ardent. J’ai faim de lui. Mon regard vient interroger le sien non sans espièglerie alors que je constate que mon corps, brûlant, a déjà marqué l’inox visiblement. « T’en as une sur toi ? Dans le revers de ta veste peut-être ? » Je baisse les yeux vers sa virilité, presque contemplatif avant de me replonger dans ses yeux azur.
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() message posté Sam 19 Avr 2014 - 4:16 par Invité




Leave it unspoken
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I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Je ne me demandais vraiment si tout ceci était juste, se cacher au yeux de tous alors que nos etreinte semblait si fusionnel. Un peu comme une premiere fois, c'est passioner tendre et fougueux une vraie partie de plaisir, j'avais pris les choses en main m'occupant de sa virilité l'ayant assis au préalable sur le plan de travail en inox. Je sentais ses mains ebourrifer mes cheveux c'était un peu comme une drogue pour moi, j'adorai ça. C'était comme une zone hérogène. Je dois dire que je ne m'attendais pas a cette fameuse main sur mon crane. Je le sentis me demandant de revenir. Je n'allais pas prier me collant a lui glissant une main sur son echine pour le coller a moi... Nos corps commencait a avoir chaud, la sueur luisait nos corps. Je l'embrassa un peu plus fougueusement. Sentir la chute de reins naissante du jeune homme me faisait frissonner je dois dire que je ne m'attendais pas à ça enfin a finir cette soirée ainsi... Et dire que ma télé doit surement s'ennuyer sans moi... Désolé Bill Maher se soir je te trompe !  « T’en as une sur toi ? Dans le revers de ta veste peut-être ? » Mais quel petit curieux celui la, j'esquissa un sourire alors je m'accroupissais donnant au passage un coup de langue sur sa virilité pour choper mon porte feuille ainsi recuperer l'objet utile dans ce genre de situation. Je me redressa. Embrassant le jeune homme tandis que j'arrachais le sachet pour proteger ma virilité... Une fois mis en place je rapprochais doucement Malcolm vers moi glissant une main vers l'entrée du desir subjuger... Je descendit mes baisers sur sa nuque le mordillant jouant de mes doigts pour preparer le terrain oué je sais c'est si joliment dit... Je me redresser en le regardant dans les yeux plongeant mon regard dans le sien, ses yeux bleu... Trop clair pour être vraie mais bon c'était bien le cas … Je me colla a lui sentant qu'il était prêt, j'y allais doucement : «  dis moi si je te fais mal » les gens trop habitué à ça ne me plaisait pas... c'est encore pire que de se faire une pute, c'est humide et tu sens encore l'odeur du dernier client... Nan pas agréable, pour lui c'était comme une premiere fois... Etroit et pourtant il avait l'experience... Dieu que j'aimais les gens ouvert d'esprit... A ne pas se focaliser sur une methode qu'ils sont doué de tout mais pas au summum... Nous nous unifions une nouvelle fois, je poussais des soupirs sentant des accoups dans mon bassin qui me faisait un mal bénéfique... Je vis de très leger vas et viens pour l'habitude... Sentant qu'il se sentais plus a l'aise je l'embrassa a nouveau mordillant sa lèvre... le collant doucement a moi... C'est dingue ce que je me sentais bien dans c'est moment là... Plusieurs de mes aventures me trouvent trop romantique... Je sais pas si ils ont raison... Après tout on ne peut pas tout savoir sur soi... Cet homme était une friandise, chaude et douce... il était presque parfait... Je donna des coups plus prononcé au fil du temps je me guidais au son de ses soupirs... Je me calibrais a sa frequence c'était tout un art, mais j'y prenais un plaisir fou. Les minutes passèrent comme des heures, j'ai l'impression que le temps s'arrete et pourtant nous continuons toujours je poussais des râles ettoufer alors que mes levres s'occuper de mordre la nuque du jeune homme. Je glissa ses jambes autour de ma taille... Quelques instant plus tard, nous changions de position, me voilà allonger sur le plan de travail et lui a cheval sur moi... Le voilà qu'il prenait les reines, je ne pouvais m'empecher de l'embrasser et de jouer a lui donner des contre coup dans ses mouvements...
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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 1:00 par Invité
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Il sourit avant de partir fouiller son portefeuille, je pouvais, presque, déjà, me sentir défaillir sous ses coups de reins. Je me redresse légèrement afin de l’embrasser à pleine bouche, à peine impatient de jouer à la guerre. Ses baisers et ses doigts ne faisaient qu’accroître, encore, mon désir alors qu’il réduisait à présent la distance de nos corps brûlants. Son regard hypnotique me sonda un court instant. Il était temps de s’étreindre. Bientôt, je le sentis. Il était là, en moi, sur ma peau, sous mes doigts. « Dis-moi si je te fais mal. » Je pouvais sentir mon corps se contracter. Un mal pour bien. Ma main vint agripper son épaule, ses cheveux. Désormais c’était lui et moi. Sans parachute. Sans pilote automatique. C’est dans ces moments que je regrettais amèrement la relation que nous entretenions. Il y avait comme un miroir entre nous. J’étais son client et il était mon avocat. Moi ? Je continuais à feindre une existence morne et monotone. Une vie normale, des sentiments normaux, une femme normale bien comme il faut. Lewis me poussait dans mes retranchements mais ses assauts ne furent que plus jouissifs encore au fil des minutes. « Tu fais ça divinement bien. » Fis-je le souffle coupé. Mon coeur se soulevait dans ma poitrine alors que je prenais mon pied. Où nous allions je m’en foutais, s’il se tapait d’autres mecs je m’en foutais. Ces moments étaient uniques, mystiques. Ses va-et-vient étaient indescriptibles, le plaisir que j’éprouvais également. J’avais entièrement lâché prise sur le reste pour me concentrer sur lui. Il vint m’embrasser, me mordiller la lèvre alors que je faisais de mon mieux pour étouffer mes râles. « Si tu t’arrêtes je hurle. » Je me sens partir, j’ai déjà un point de côté des deux côtés. J’aimais ces moments avec Lewis où le temps semblait s’arrêter, où on pouvait s’abandonner l’un à l’autre sans pudeur ni regret. J’avais une confiance aveugle en lui. Mon coeur claquait quand mes poumons manquaient d’air. Je vins embrasser ses larges épaules entre deux soupirs.

Je pouvais le voir me donner des contre-coups, il était fourbe en plus de ça. Je vins traquer ses lèvres comme un damné. Le sentir sous mon poids était tout aussi plaisant. Il n’y avait pas deux hommes comme Lewis. Lewis était une denrée rare, un esprit libre, un diamant impossible à polir. J’ai continué mes va-et-vient, je le sentais à l’aise, nous avions échanger les rôles depuis quelques minutes déjà. Amenant au-dessus de mon épaule l’une de ses jambes, l’empoignant fermement, je cherchais désormais à lui rendre la pareille. Ma respiration saccadée vint se joindre à la sienne alors que ma langue s’aventurer sur sa peau brûlante. Je fis au mieux, m’adaptant à son rythme, à ses soupirs étouffés. Poussant un ultime râle rauque et sonore, je vins m’écrouler sur le corps encore chaud de Lewis quelques minutes plus tard. Embrassant tour à tour ses lèvres, son torse et même ses tétons, je me sentais plus vivant que jamais.

Des talons. Je pouvais les entendre claquer, elle devait se trouver au bout du couloir qui donnait sur la cuisine. Mon sang ne fit qu’un tour. Mon regard suppliant vint se planter dans celui de Lewis. Je vins finalement me planquer derrière le plan de travail, accroupi mais surtout paniqué. Elle ne pouvait pas tomber mieux cette pute que maintenant. Nos fringues formaient un petit tas à quelques centimètres de moi. J’ai balancé à Lewis son pantalon avant de ranger son portefeuille dans lequel je m’étais servi moi aussi quelques minutes plus tôt.
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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 1:32 par Invité




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I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Je perdis la subtilité de mes sens, nan mais c'était quelque chose que j'avais du mal a controler de base. Cette sensation de voler, enfin dans les deux sens du thermes... Quand je prenais cette envol je la ressentais dans ce entreinte... De perdre le fil du temps. Partir pour un nouvel horizon. Je l'embrassais, je le griffais, je renforcais notre etreinte je faisais en sorte qu'il prenne autant de plaisir que moi j'en accumulait a cette instant precis... Essouflé, extenué je n'en pouvais plus... Les jambes qui tremblent, le jeune homme allongé sur moi je l'enlaca tandis qu'il m'embrasser encore et toujours et la le bruit de talons vint a mes oreilles, nous nous cachions... le cœur qui sauta en même temps que ma tête, je regardais le jeune homme me balancer mon pantalon. Bon je regardais autour de moi... J'enfila mon pantalon et je pris la chemise j'ouvrir le placard trouvant un sceau de sauce marinara... Mon dieu... Cette sauce était dégeulasse le genre de sauce qu'on sert pour les repas de famille... je l'ouvris en vitesse en jetant sur la chemise je regardais Malcolm en lui disant : «  Ne bouge pas je m'en charge. » Pantalon attaché, j'avais encore mes chaussures, je sortis l'air de rien avec la chemise taché, je vis alors une femme c'était l'ex femme de malcolm... : «  Oh Bonsoir ! Je viens d'avoir un terrible accident, je voulais emprunter la sortie pour la cours pour fumer une cigarette et voilà le resultat ! » la jeune femme me demanda comment c'était arriver, la cuisine était censé être deserte... Je me suis mis a faire mon plus beau sourire un peu gené tout de même en pensant a Malcolm qui se cachait derrière le plan de travail... «  Oh j'ai trébuché... Une flaque sur le sol, je vais me plaindre a la maitresse de maison cette cuisine et aussi dangereuse que le garage d'un mecanicien... » je recupera ma veste ainsi que ma cravate et le chapeau... «  Mais vous êtes resplendissante ma chere, les enchères sont elles déjà finit ? Dommage j'étais interessé par ce vase Ming... Que diriez vous de prendre un verre ? » nous nous ecartions de la cuisine j'enfila ma veste sans la chemise la gardant a la main... Limite je la jeta dans une poubelle de toute façon elle était fichue rien ne resiste a la sauce marinara... Arriver devant la salle je pretexta de ne pas m'attendre j'avais oublié mon porte feuille dans la cuisine. Une chance surement de retrouver mon amant. Je retourna alors dans la cuisine : « Malcolm ? » je le chercha alors ne perdant pas mon temps prenant mon porte feuille, me demandant bien où il se trouvait.

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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 3:59 par Invité
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Et dire qu’il m’avait prévenu. J’étais vraiment borné et con. Je suis resté accroupi un long moment, j’étais paralysé à l’idée que mon petit secret fasse la une des journaux, que mes films ne soient interprétés qu’à travers ma sexualité. J’ai remonté mon caleçon à la hâte, je ne voyais plus Lewis, je ne voyais plus rien. « Ne bouge pas je m'en charge. » Intérieurement, je m’en voulais de lui imposer ça. Une odeur infecte m’envahit, elle éveilla ma curiosité. Je ne m’y connaissais pas en cuisine, pour moi, c’était un répulsif pour rats et souris, rien de plus. De ma planque, j’imaginais l’air faussement embarrassé de Lewis. Il avait un don pour manipuler son monde, un don que je lui enviais jalousement. Je n’osais pas remettre mon pantalon, j’étais bloqué. J’avais peur de me faire surprendre, d’anéantir le jeu d’acteur, sans faille, de Lewis. Pourtant, entendre cette femme me fit louper un battement. J’ai levé les yeux au ciel, si elle découvrait la vérité, j’étais fichu. Autant prendre congé au Tibet. Je la connaissais par coeur et elle était mauvaise. Elle pouvait bien avoir un joli cul en plus d’un charme fou, le fait est qu’aujourd’hui, j’étais loin de la porter dans mon coeur et inversement. J’étais troublé. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien foutre ici ? Les questions se multipliaient dans mon esprit. Et si elle savait déjà ? L’excuse trouvée par Lewis était totalement bidon, j’ai manqué de m’étouffer. Je le vis alors se saisir du reste de ses vêtements, il était tout proche de moi mais dans un angle mort. J’ai prié intérieurement pour qu’elle revienne sur ses pas, le plus vite possible. « Mais vous êtes resplendissante ma chère, les enchères sont-elles déjà finies ? Dommage, j'étais intéressé par ce vase Ming. Que diriez-vous de prendre un verre ? » Quoi ? Comment ça boire un verre ? Cette phrase sonnait vraiment très bizarrement, surtout dans un tel contexte. Terrorisé à l’idée de me redresser, je suis resté accroupi un bon moment à boutonner maladroitement ma chemise. Je ne savais pas si je devais attendre le retour de Lewis ou partir précipitamment. Après un certain temps à tergiverser, je me suis relevé lentement, l’endroit était vide, dépeuplé, j’étais seul. J’ai enfilé mon pantalon et ma veste rapidement. J’étouffais dans ces vêtements mais je devais bien m’y coller. J’essayais de rassembler le peu de lucidité dont je disposais. Peine perdu. J’ai glissé ma cravate dans ma poche, oubliant le portefeuille de Lewis sur le plan de travail. Je ne pouvais pas me permettre de me faire prendre ici à mon tour. Quittant la cuisine, je ne vis pas le glorieux retour de Lewis. En revanche, j’eus la chance inouïe de tomber sur mon ex-femme, une fois de plus. Elle avait les bras croisés, elle devait attendre quelqu’un, sûrement Lewis. Son regard méprisant se posa sur moi et mes cheveux bruns à peine décoiffés. « Tu as brillé par ton absence une fois de plus Malcolm. Je te félicite. » J’ai haussé les épaules d’un air indifférent et pourtant, j’avais la boule au ventre. « Je pensais que nous étions fraîchement divorcés, c’est fou ça. Depuis quand j’ai des comptes à te rendre ? » Je vis Lewis revenir à nous, son portefeuille à la main, je lui fis une mine désolée. Elle ne semblait pas faire le lien entre nous mais nous étions probablement suspects à ses yeux. 
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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 4:20 par Invité




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La stupidité de ma crédulité sonnait comme une douce mélancolie, alors que le silence fut present quand j'apella Malcolm il semblerait bien qu'il soit déjà partie, enfournant mon porte feuille dans ma poche. Je partis alors de la cuisine apercevant le jeune homme de dos avec la jeune femme... Son ex diabolique, d'un sourire je suis revenu vers eux alors que je sentais que la tension était palpable... Le regard haineux de Malcolm envers son ancienne épouse : « Me revoila je suis désolé de vous avez fait attendre ma douce, Oh Malcolm je pensais que vous étiez dans la salle de la mise aux enchères. » J'aurais pu être comédien je sais, mais quand on a le talent mieu vaut l'utiliser pour quelque chose qui nous rend fier et contourner les lois étais ma passion... Accepter les defis de la justice, me rendait heureux... Je sortis mon téléphone pretextant un appel : «  McAllister j'écoute ? Quoi ? Maintenant ? Où ça ? Bien j'y suis dans 15 minutes... A de suite Malicia. » Je fit une mine deplorable, je leur dis alors : «  Excusez moi, je dois vous laisser... » « Rien de grave j'espère ? » disait alors la jeune femme, Je me suis mis a sourire en lui disant : «  Rien de grave, une de mes clientes est actuellement en garde à vue... Hum eh bien j'espère vous revoir bientôt » je lui fis un baise main, je regardais alors Malcolm gardant ce sourire, je partis en direction de la sortis prenant mon téléphone pour envoyer un sms à Malcolm 'Rejoins moi dehors et lache ton harpie.' je sortis dehors voyant le voiturier entrain de fumer. Je lui demanda alors une cigarette... Je profitais alors de cette bouffer, j'ai l'impression de sortir d'un concert de Rag Time dans ce costume italien, malgré que je n'ai pas de chemise, j'ai l'impression plus de sortir d'un club de chippendale, jouant avec le chapeau je regardais le ciel qui était clair. Malgré les éclairages de la ville on pouvait profiter de quelques étoiles je me cacha dans un coin pour eviter de tomber sur la jeune femme trompé... C'était Malcolm que je voulais, desfois je me demandais toujours pourquoi le jeune homme se laissa apater par le mariage par ses croqueuses de diamant aussi perfides que des oies. Finalement un peu de calmer après ce quart de folie. Je me suis adossé dans une ruelle sombre ayant vu sur la sortis de la salle d'enchère... J'observais tranquillement tandis que je fumais tranquillement... M'amusant a faire des ronds de fumées. J'étais pire qu'un enfant quand je suis seul ,soit je travail sur mes mefaits ou de mon travail, mais cela dit quand je fais rien je suis pire que quand j'étais enfant... Courir sauter, voler... C'était un peu mon antibiotique de la vie d'adulte, ca me permettait de rester les pieds sur terre, mais avec Malcolm je perdait cette notion... Il était un medicament bien différent, mais il faisait autant de bien...

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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 5:44 par Invité
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Il jouait si bien la comédie. Pourquoi était-il parti se perdre dans des plaidoiries interminables ? Ce potentiel était gâché. En attendant, ma caméra pouvait toujours se languir d’un acteur expérimenté. Je le regardais à présent avec indifférence lui aussi. J’avais pourtant du mal à me contenir, à ne pas sourire. La situation était plutôt comique. « Oh Malcolm. Je pensais que vous étiez dans la salle de la mise aux enchères. » Je ne pouvais pas le regarder, non, je la regardais elle. Ou plutôt, je la dévisageais. « J’ai trouvé mieux à faire finalement. » Elle se retourna vers moi avec tout le mépris dont elle était capable. Trois secondes plus tard à peine, je vis Lewis décrocher son téléphone. Sûrement une mise en scène. Ou pas. J’étais perdu. « Rien de grave j'espère ? » J’ai levé les yeux au ciel. Elle me sortait littéralement par les yeux. D’ailleurs, elle s’intéressait de bien trop près à Lewis. Elle était vraiment sans gêne. Son baisement ne fit qu’accroître ma jalousie. Il avait le bon rôle là-dedans, c’est presque s’il ne partait pas sauver la veuve et l’orphelin quand je restais là à subir son regard inquisiteur. « Bon. C’est quoi le problème ? » Mon téléphone vibra dans ma veste, un message de Lewis sans doute. Je sortis mon téléphone rapidement afin de lire le contenu dudit message. Mon sourire s’élargit. Mes yeux se reposèrent sur elle, je la narguais presque. « Tu me passes son numéro ? » Je m’étouffais à présent, les yeux ébahies. Est-ce qu’elle se foutait de moi ? J’ai rangé mon téléphone rapidement. Elle était sérieuse et moi, stupéfait par son audace. J’ai hoché naturellement la tête avant de lui tourner le dos. Putain. Tout penaud, j’ai marché jusqu’au bout du couloir prenant le chemin précédemment emprunté par Lewis. Arrivé au bout, je me mis à courir jusqu’à la sortie dans l’espoir de le rattraper. La nuit était clairement tombée, on pouvait même distinguer quelques étoiles entre les buildings. Le vent frais me fit un bien fou, j’étais encore essoufflé. Un sifflement me parvint pourtant, il n’y avait qu’une personne pour faire ça ici et maintenant. En me décalant un peu, je vis Lewis adossé contre le mur, il était déjà en train de s’en griller une. Je vins à sa rencontre, je ne savais pas quoi lui dire une fois de plus. J’avais bizarrement perdu ma langue, et pourtant, il était là, lui, à s’amuser comme un gamin. Je me suis adossé à côté de lui, amenant à mes lèvres une de mes cigarettes. « Je suis désolé pour tout ça. » Peut-être pas pour tout, soit. J’ai allumé ma cigarette, nerveux avant de tirer une latte méritée et puis, j’ai déboutonné ma chemise, histoire de ne pas fondre sur place. Lewis ne portait même plus de chemise, j’ai haussé un sourcil. « T’avais si chaud que ça ? » Mon regard était lointain, je regardais les enchères sans m’y intéresser vraiment. Leurs vases, leurs tableaux, leurs sculptures. Je n’avais aucun attrait pour ces collections privées et hors de prix. Je n’y connaissais rien. Je connaissais bien Van Gogh et Francisco de Goya mais l’histoire s’arrêtait là. « Oh et oui. Mon ex-femme m’a demandé ton numéro. Je peux la poursuivre en justice pour ça tu crois ? »  
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() message posté Dim 20 Avr 2014 - 20:05 par Invité




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 J'attendais alors Malcolm adossé contre ce mur, finalement cette soirée était bien mieux ce que j'avais prévu... Alors que je le vis sortir, je siffla un petit coup ayant vu que je n'apercoive qui s'approcha de moi, il s'en grilla une bizarrement la lueur des lampadaires le rendais encore plus roux, je le trouvais cela dit plus séduisant : « Je suis désolé pour tout ça. »  Je me suis mis a rire, me demandant bien de quoi il était désolé, bien que son ex femme était une vrai peau de vache, je ne pouvais pas lui en vouloir pour ça surtout lui en vouloir de ses erreurs après tout il profite de sa jeunesse il a bien raison. Soudain je fus amusé quand je le vis arquais son sourcil je me demandais bien ce qui se passais.Je lui dis alors en m'approchant de lui : «  Ce n'est pas grave je me suis bien amusé tout de même... » disais je alors en riant alors qu'il semblait perturbé je jeta ma cigarette dans le caniveau. « T’avais si chaud que ça ? » Je me suis mis a sourire, grattant ma nuque prétextant une gêne quelconque, bien que je n'étais pas si gêné et je n'avais pas si froid. Ma veste me portait chaud c'était plutôt agréable je lui dit : « Il fallait bien trouver un moyen de la distraire... » Disais je en riant et puis ce qu'il ajouta me fit réagir : Oh et oui. Mon ex-femme m’a demandé ton numéro. Je peux la poursuivre en justice pour ça tu crois ? »   Je me suis mis a rire et je m'approcha un peu plus en lui disant : « Tu veux la poursuivre sous quel motifs ? Vol d'amant à l'étalage... Elle risque de prétextait à la jalousie ce serait dommage... » dis-je alors en glissant mes mains sur la taille du jeune homme monta une main sur sa nuque... Je craquais a mon tour je l'embrassa langoureusement.... Peut être était ce une preuve pour le rassurer. Quand le baiser s’arrêta je lui dis alors : « Dis moi... Que veux tu faire maintenant que nous avons fuis ton ex femme ? » disais-je alors que mon regard ce plongea dans le sien, j'eu un petit sourire... Je ne savais pas si c'était la fatigue ou quoi, mais j'étais fatigué sûrement trop d'exercice et l'ambiance était calme. Je me sentais bien bizarrement avec Malcolm et le voir si stresser et énerver devant son ex femme m'avais fait rire on aurait pu voir ses poils se dressait sur sa tête... Un vrai petit félin... Je profitait alors de cette instant de répits pour nicher mes lèvres sur la nuque de Malcolm glissant mes mains sous sa chemise ressentir cette peau qu'il avait adoré sentir encore dans cette cuisine.

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() message posté Lun 21 Avr 2014 - 0:47 par Invité
leave it unspoken.

Il pouvait bien s’en amuser, j’en fis de même. J’étais désolé mais surtout, j’étais satisfait. J’avais beau connaître Lewis depuis des années maintenant, je ne savais pas toujours à quel saint me vouer. J’avais l’impression de le connaître depuis toujours, je me sentais bien avec lui. Seulement, il avait ses problèmes et j’avais les miens. Nous étions condamnés à nous cacher. « Ce n’est pas grave je me suis bien amusé tout de même... » J’ai baissé la tête en souriant avant de tirer une dernière latte. Il me faisait doucement rire. Cette soirée avait été agitée pourtant, agitée et rocambolesque jusqu’au bout. « Il fallait bien trouver un moyen de la distraire... » Le moins qu’on puisse dire, c’est que la sauce avait prise. Elle avait tout avalé. Il fallait être franchement conne pour ça, l’histoire de Lewis ne tenait pas debout une seule seconde. « Crois-moi ta dégaine de chippendale n’est pas passée inaperçue. Autant pour elle que pour moi. » J’esquisse un large sourire, amusé. Je ne sais pas si c’est une bonne idée de continuer à lui tourner autour comme ça. J’appréhende sa lassitude, il aime sa liberté et je me connais aussi collant qu’indépendant. Je jette ma cigarette avant de venir l’écraser aussi vite. Il continue à me faire rire malgré tout. Mon ex-femme était aussi stupide que cupide. Si seulement elle pouvait me lâcher la grappe, aller voir ailleurs ou même se faire engrosser, j'en serai ravi. Je le regarde en souriant, j’ai presque envie de faire machine arrière maintenant. De repartir visiter cette cuisine. « Je pense qu’elle peut l’être, jalouse. » Ses mains vinrent saisir ma taille, j’eus un soubresaut léger. Il vint m’embrasser langoureusement alors que j’étais très certainement au comble de l’inconfort. Je ne m’attendais pas à ça et surtout, certainement pas en pleine rue. Ok, elle était quasiment vide et nous étions dans un coin peu exposé mais quand même. « Dis-moi. Que veux-tu faire maintenant que nous avons fui ton ex-femme ? » Je l’ai regardé un instant, me plongeant une nouvelle fois dans le bleu abyssal de ses yeux. J’avais bien envie de remettre ça moi. Je pris sur moi pour réfléchir plus posément à cette question. Lewis ? Il vint m’embrasser une seconde fois, ses lèvres avaient déjà trouvé refuge sur ma nuque, ses mains expertes sous ma chemise quand je pris la décision de le repousser non sans hésitation et regret. « À quoi tu joues ? » J’avais moi aussi envie de regoûter à ses lèvres et à son corps tout entier, mais pas ici. Pourtant, je ne voulais pas le brusquer ou le mettre dans l’inconfort. « Tu veux passer la nuit chez moi ? » Je l’ai regardé droit dans les yeux, il n’avait qu’à dire oui pour me faire appeler un taxi. Ma chemise était quasiment défaite mais je ne pensais qu’à une chose : l’atteindre une nouvelle fois. Grattant ma barbe rousse, ne cachant désormais plus mon embarras, j’ai inspiré longuement. « Je préfèrerais te garder pour moi, encore un peu. » J’ai levé les yeux ciel. « Je peux même t’inviter chez l’italien du coin avant si c’est ce que tu veux. »  
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Anonymous
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() message posté Lun 21 Avr 2014 - 1:54 par Invité




Leave it unspoken
feat Malcolm & Lewis
I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Son ex femme était une harpie de la pire espèces, le genre d'oiselle que je n'aimerai pas couver dans mon nid, encore moins seduisant que la vielle concierge de mon immeuble... Je pense franchemend que mon petit instant de charme n'était qu'une pure comédie, certe elle pourrait paraître séduisante, mais les sirènes aussi sont censé être séduisante mais quand on y reflechit bien, ce ne sont que des mi-femme mi-thon, cela doit puer la marée quand tu t'y approches trop et pourtant les cheveux doit être vraiment pourris a cause du sel non on ne me l'a fait pas a moi, et pourtant avoir cette image de sirène dans ma tête me donnait encore plus envie de me serrer contre Malcolm... je continuais ma clope tranquillement, jouant de la fumer en ecoutant attentivement ce qu'allais me dire le jeune homme : « Crois-moi ta dégaine de chippendale n’est pas passée inaperçue. Autant pour elle que pour moi. » Je ne pouvais pas m'empecher de rire, cela dit je me suis mis a rougir, cela ne se voyait pas a cause de la pénombre, je m'approcha doucement de lui en jettant pas cigarette dans le caniveau. Chippendale ? Bien une chose que je n'ai jamais fait, cela dit j'en ai fait des choses. Le Roi du train fantôme par exemple, faire peur dans la penombre, porté une horloge sur le cœur pour effrayer a cause du tic tac... Un tic tac des plus engoissant, j'aimais passionement jouer des rouages de cette horloge aussi vielle que ma grand mère, qui faisait egorger le coucou lui donnant des faux airs de ptérodactile. Cela dit ce qui me plaisait c'était le costume, ce grand chapeau haut de forme un  peu diforme, ce maquillage un peu speciale un melange de vampire et de squelette, et ce long Tresh noir qui me laisse me fondre dans la masse... Aller dans les wagons pour voler des baisers au jeunes filles effrayé... J'étais le Gangster des baisers à l'époque un peu comme une envie irrévocable, un genre de Don Quichotte... Cela dit je lui repondais : « Eh bien... Je saurais quoi prendre pour une réorientation de carrière... » disais-je alors en souriant, m'imaginant déjà sur scene à remuer du derrière tel un ivrogne dans le quartier de Camden. C'était un peu du n'importe quoi n'empêche. Alors que nous parlions de poursuivre son ex femme, je me demandais pas sous quel motifs alors ce fut la precision du jeune homme qui eclaircissa mon jugement : « Je pense qu’elle peut l’être, jalouse. » Je me suis mis a sourire je l'embrassa alors pour le faire taire sans doute, mais j'en avais drôlement envie je lui dit alors après ce baiser : « Je le pense aussi... Après tout je finis cette soirée avec toi. » disais je d'un sourire, alors que je glissa mes mains sous son chandail nichant ma tête dans sa nuque... Je voulais juste un petit moment calme tendre, mais il me repoussa, je le laissa faire je ne voulais pas le brusquer. Je pensais que cela ne l'aurais pas déranger, la petite ruelle ou nous étions caché etait deserte et nous étions dans le noir le plus sombre.. Cela dit sa remarque me fit comme un coup : « À quoi tu joues ? » J'enleva mes mains alors de dessous son chandail en lui disant : «  eh bien je voulais juste t'embrasser rien de plus... Après si tu veux... » mais je fut interrompu « Tu veux passer la nuit chez moi ? » Eh bien c'était de la proposition ça, je reflechissais alors : « Eh bien pourquoi pas, mais faudrait que je me trouve une chemise pour demain... Ca te derange si nous passions avant chez moi que je prenne au moins une chemise ?» disais je alors me demandant si le métro ou bien les taxis rouler encore à cette heure là, bien que mon appartement n'étais pas très loin, je savais que Malcolm vivait à Camden Town, j'étais pas habitué a aller chez lui , mais cela dit ce n'était pas la porte d'a coté non plus. Alors que je fut persecuté dans mes pensée « Je préfèrerais te garder pour moi, encore un peu. » Quel révélation je me suis mis a rougir en souriant alors en lui disant m'approchant doucement posant ma main sur sa joue : «  Je suis tout a toi alors... » ajoutai-je avec un baiser pour finir cette replique en beauté diront nous alors que Malcolm lui fit une proposition des plus alléchantes : « Je peux même t’inviter chez l’italien du coin avant si c’est ce que tu veux. » je ne pouvais m'empecher de sourire, je sentis mon ventre gargouiller, bizarrement j'avais faim, je lui repondis alors : « Eh bien pourquoi pas, j'ai l'impression de m'être beaucoup dépenser... Mais cela dit passons par chez moi, je pense pas que je peut rentrer dans un restaurant ainsi... » disais je en riant. Alors que je m'ecartais de lui je sortis de la ruelle pour revenir sur la principale en lui disant : « Tu viens ? » disais je d'un sourire et nous partions a pied pour marcher sur quelques paté de maison pour arriver a mon immeuble, j'ouvris la porte principale grace au digicode et je salua le gardiens qui se trouvais dans la cabine c'était un grand immeuble assez luxueu je pouvais me le permettre... Je vivais dans un grand loft, c'était une ancienne maison de gros bourge ici, le Loft était un ancien bar clandestion... Arriver au dernier étage grace à l'ascenceur j'ouvris la porte, en entrant je lui dit : « Je fais vite... » j'alla vers ma gauche ou on pouvait voir un grand lit. J'ouvris une porte qui se trouvais a coté de la cheminer pour rentrer, ici se trouvais ma penderie avec quelques cartons de paperasse et autre souvenir, je trouvais alors mes chemises... Le miroir était a demi teint quand je vous disais que c'était un bar clandestin. Je pris alors une chemise et je revena dans la piece principale j'alla vers la table et j'enleva ma veste ainsi que la cravate pour enfiler la chemise... Je jeta un coup d'oeil vers Malcolm un sourire au lèvre, je renoua ma crava remis ma veste et j'attacha la pince de la cravate dans ma chemise, je repositionna le chapeau j'était fin prêt, je m'approcha de lui par derrière glissant mes mains en lui disant : «  Je suis prêt on peut repartir... » lui disais-je voulant moi aussi profiter de la soirée.

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