Chuck Lewis - Mr Lewis vous attend...

« Marcus ! MARCUS !!! Il arrive ! Comment qui ça ? ELVIS ! » Oui… j’ai bien faillit m’appeler Elvis… Elvis Lewis. Roh non la honte. J’ose imaginer à l’école… La maîtresse d’école qui évite de pouffer de rire en faisant l’appel… « Elliot ? El…Elvis ? » Non je ne pourrais pas supporter ça, je prierai Dieu Bouddha Allah Panda qui sais-je. Juste pour pas que l’on m’inflige ça… jamais. Jamais je n’aurais pu pardonner à cette oiselle au cœur trop légère de m’appeler ainsi, c’est peut-être ma mère mais rien que pour ça je porterai plainte contre la moralité et je l’enverrai au Tribunal des Prénoms pourris ! Finalement ma naissance fut aussi passionnante qu’un match de foot d’une équipe de poussin. Ce qui m’a marqué c’était cette chanson qui passait en boucle chez moi. Une chanson du groupe T-Rex : Cosmic Dancer. Cette musique est d’un calme magique, l’entendre me procure une sensation nostalgique, je me plonge dans un monde en l’écoutant, me plongeant dans l’instant magique des premiers jours… des premiers mois ceux qui semblent si parfait et paisible où on ne se rend compte de rien.

A Cardiff, il y a un quartier d’ouvrier. Le quartier Shelton, un monde à part. Il y avait des maisons mitoyennes. Tout le monde se connaissais, c’était une vraie communauté. On n’était jamais seul même chez moi. Il n’aura fallu que deux ans pour qu’un autre Lewis débarque… C’est à ce moment, que je commence à me créer des souvenirs, l’odeur du Pétrichor, cette dame au supermarché qui ébouriffe mes cheveux roux et qui sent la cannelle. Il y avait la meilleure amie de ma mère qui travaillait dans un salon de coiffure qui sentait bon les fleurs et la laque à cheveux. Elle avait un Brushing impressionnant digne d’une parodie de Hair. Les années passent et il y a deux enfants qui viennent. Une vraie famille de lapin. Je joue trop souvent au foot avec mes amis et il y avait cette fille, Sacha. Petite blonde au sourire chaleureux. J’avais 7 ans et je découvre ce que c’est l’amour.

Il n’y a rien de pire pour un enfant de perdre son père surtout pour un fils… Mon frère est encore trop jeune pour comprendre, il est aussi jeune qu’une canette de coca qu’on vient d’ouvrir… Et moi je commence à peine à pétiller… Ce jour-là il pleuvait des cordes, comment expliquer aux autres enfants que notre père ne sera plus là, que notre père était trop bourré pour mettre un pied devant l’autre, que jamais il ne reviendra. Ma mère pense que je suis le seul a pouvait supporter l’enterrement, les autres enfants eux étaient à l’école ou à la crèche. J’avais ce costume reprisé et d’occasion. Trop petit qui me serrer la cage thoracique. Je n’avais même pas assez de place pour pleurer et respirer. Le calme s’est abattu au cimetière. Ma mère pleurait en silence, il a plu sur son visage… L’enterrement ce n’est qu’un blabla sans nom. Un homme qui semble attirer l’attention des gens de par sa voix magistrale… J’ai préféré comptait le nombre de bougies non allumé trônait sur l’autel. Et puis vient le moment où je suis resté aligné auprès de ma mère, les gens passaient un à un pour nous souhaiter leurs condoléances… Condoléances ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Je ne savais pas, mais je vis ma mère pleurait encore… Je me demande si elle n’allait pas finir comme dans les cartons, toute desséché comme un pruneau. « C’est toi l’homme de la maison Chuck ! Protège ta famille… On a qu’une… » Je crois que cela fut les deux centièmes milliards de fois qu’on me dit ça… Je suis l’homme de la famille… A moi de protéger ma famille, mais je n’ai que Sept ans ! Je dois aller à l’école, apprendre les multiplications et manger trois fois par jours. Non être l’homme de la maison, je veux jouer éclater des fenêtres avec mon lance pierre, faire des bisous à Sacha et manger de la glace à 2£ sur les rebords de ma fenêtre. Aujourd’hui je n’ai plus de père, mais plus d’enfance j’ai l’impression.

Avant la mort de mon père, je travaillais bien à l’école j’essayais de m’en sortir. Je voulais rendre fier mes parents et être un ensemble pour le reste de ma famille. Les années 90 est une période terrible. Le Royaume unis se remet de Tatcher et le bouleversement qui a atteint ma famille la brise. Maintenant je n’arrive plus à suivre les cours. Je tente de faire face tant bien que mal, ma mère dort souvent trop souvent. Elle a du mal à faire face, je tente de faire face pour deux, je m’occupe de tout. J’apprends à me débrouiller seul : Les courses, le ménage, l’éducation des trois enfants. Toute ma vie se résumé à ça. Mais à l’école, j’étais un sale gosse. Je ne voulais pas qu’on me prenne pour le pauvre Charles, le pauvre enfant sans père. La pitié est pour les faibles et je ne voulais pas la charité. Je savais que j’en étais capable, j’avais l’œil du tigre ! J’ai fracassé des nez et détruit des cartouches d’encre dans les cheveux. J’étais mesquin et brutal. Je connaissais par cœur le chemin pour aller chez le Directeur…

Le Lycée la période la plus pourrie de l’histoire de l’humanité. J’étais encore pire qu’à l’école. J’ai redoublé deux fois à cause de mes mauvaises notes, je ne voulais pas être séparé de ma famille et qu’on appelle les services sociaux. Alors je plaignais être débile, c’est plus facile de jouer les débiles alors qu’on l’est pas tant que ça. Silas fut plus grand, j’ai du mal à déléguer, mais lui aussi commence à vouloir prendre ses responsabilités Mon frère est plus dangereux que moi, il est stupide et ne prend pas conscience des risques. Il se met à voler, ma mère a du mal à toucher les deux bouts. On n’a pas bouffé de la bonne nourriture depuis des années. Mon frère était doué, mais je m’en voulais qu’il devienne le criminel de la famille. Quand à mes sœurs, elles étaient tout pour moi. L’une était intelligente et semblait bien se débrouillait à l’école et l’autre Indiana était l’artiste de la famille, avec Silas on lui a rafistoler un vieux piano pour quel puisse apprendre à jouer et satisfaire notre mère. Ma mère, cela fait des années qu’on ne l’a pas entendu parler. Elle ère tel un fantôme, une jolie infirmière aussi sexy qu’une prof de math, viens s’occuper d’elle. C’est une voisine, on la paye en nourriture ou en service. Le troc est une nouvelle façon de payer à Shelton.

Il y a cette Fille, Sacha. Ma meilleure amie, je la connais depuis que je suis tout petit, elle a toujours été là. J’en était amoureux jusqu’à la mort de mon père. Il m’aura fallu du temps pour redécouvrir ce sentiment et ne plus avoir ce sentiment de porter le monde sur mes épaules. « Tu t’es encore battu avec Fitzgerald ?! Mais sérieux Chuck t’a quel âge ? Tu vas finir par avoir des problèmes… » Le nez en sang, la pommette éclatée Un bel œil au beurre noir et une cote cassé… Avec ce mioche, ça rigolait jamais, je ne sais pas pourquoi mais ce Julian me tapait sur les nerfs. Il avait un air de chien battu qui me désespéré. Il me ressemble, on a vu trop de chose… On a grandi trop vite sans doute, mais il m’énerve tellement… Il reluque cette fille toute la journée et puis il a ses airs de cocker. Ça m’énerve voilà ! Je la vois, cette petite blonde sexy au regard perçant. Elle était un ange tombé du ciel, un oiseau dans ses grands airs d’arbre en fleur… Cette sensation d’avoir bu un coca, j’en étais ivre. Peut-on être ivre avec une canette de coca ? J’en ai la conviction « Il l’avait cherché ! Et puis je l’ai bien amoché aussi... Il ravalera son air de dépressif. » Elle ravale ses pleurs, je suis allongé dans ce lit d’hôpital alors que je suis en traumato. « Tu aurais pu te faire tuer… » Je sens qu’elle va pleurer, je pose ma main ensanglantée et qui me faisait un mal de chien sur sa joue… « Un jour… on partira d’ici. Je te le promets… » Une promesse, allais-je la tenir je ne savais pas. Mais je savais qu’un jour j’épouserai cette fille. Qu’on aura des enfants et que j’aurais mon entreprise que j’aurais monté seul. On sera Riche, ma mère ira mieux, mes frères et sœurs auront ce qu’ils voudront… Qu'elle utopie n’empêche.

C’est la Terminale ! Enfin, j’en pouvais plus… Je passe mes nuits entre les révisions et mon travail. J’ai un petit boulot dans le supermarché où bossait l’ami de ma mère. Je suis caissier, j’arrive à payer la bouffe et économiser pour mon grand rêve, mon utopie, mon verre de whisky, ma journée sous l’odeur du Pétrichor. Il ne manquait plus que la destination. Tout semblait bien allait, je passe mon premier examen, je stresse… Mes regards jetaient en douce à Sacha dans la salle me rend coupable… Comme si je commettais la pire des infractions… J’aimais ce danger et puis la porte s’ouvre d’un fracas : « Charles Lewis ? La police vous demande, vous pourrez reprendre votre examen… » La police ? Que me voulait-il ? Je me lève je psychote en douce… Je vois les deux agents. Ma mère encore en pyjama en pleure dans les bras de l’un des agents… « Maman ? » Je suis surpris de la voir en dehors de la maison « Mr Lewis… Vous venez d’avoir dix-huit ans n’est-ce pas ? » j’affirme d’un hochement de tête… « Très bien suivez nous monsieur. » J’avance je vois tous les visages se portaient sur moi… Je sors et on m’emmène au commissariat… On ne me dit rien sur la route, comme si j’étais coupable… Je stress et je bégaye Je délire même ! « Monsieur ! Je vous assure que je ne le referai plus… Elle est juste si magnifique… Je n’ai pas pu m’en empêcher… » et l’agent me coupe la parole « De quoi parlez-vous ? » Je me rends compte de ma connerie je rougis comme un enfant en faute je suis intimidé… « Je ne sais pas… » Ma mère est stoïque elle regarde le paysage…  « Depuis quand votre mère est dans cette état ? » Je soupire posant ma main sur son épaule « Depuis la mort de mon père… Elle souffre de SSPT et elle ne veut pas en décrocher… Vous pouvez m’expliquer ce qui se passe ? » Disais-je d’un air convaincant… Le policier prend une pause : « On en parlera au poste… » On y arrive plus vite qu’il me fallut pour dire Quidditch… On sort du véhicule, j’aide ma mère et je lui prends la main on arrive dans une salle : « Avez-vous de la famille en plus ? » J’hoche la tête : « Oui ils sont à l’école, mon frère est au garage il y travaille vu qu'il est en vacances depuis quelques jours. » On entre dans une salle d’interrogatoire et on s’assoit… « Monsieur Lewis… C’est au sujet d’Indiana Lewis votre sœur… » Mon cœur se serre d’un coup… « Oui ? » Il ne prend pas de pincette et cela me fait peur : « Elle vient d’être admis à l’hôpital St Joseph, Un carambolage a eu lieu lors des manifestations… Elle a été percutée par un chauffard… Elle est actuellement au bloc opératoire… ». Ma mère sa réaction fut choquante… Elle se mit à hurler, pour le policier se fut juste une mère qui pleure sa fille, mais pour moi ce fut le cri du cœur… La première fois que j’entendis ma mère hurler depuis 11 ans. « On vas vous emmener la voir…» je sens les larmes me monter, mais je dois rester fort je ne dois pas craquer… « Je peux téléphoner ? » Il faut que j’appelle Sacha, j’ai besoin d’elle…

Ce fut le silence, ma mère était sous le choc et moi je regardais par la vitre… Il a plu encore une fois, la pluie a des odeurs de mort maintenant… Ma sœur… Une fois arrivée à l’hôpital, un médecin vient nous voir, en tenue de bloc opératoire… Mon cœur se resserre, je demande à ma mère de rester avec le policier et je rejoins le chirurgien : « Mr Lewis… Votre sœur va bien, mais elle a subi d’énorme dégâts, on a fait tout notre possible, mais elle ne récupèrera jamais l’usage de ses jambes… » Je soupire, ce fut un soulagement un énorme soulagement. Je ne voulais qu’une chose, la voir… Le médecin nous conduit à la salle de réveil, de voir les cheveux roux de ma sœur et entendre les bips de l’ECG. Ce qui m’a surpris c’est la venue de ma mère, elle s’est approché d’Indiana et elle a parlé pour la première fois depuis longtemps. Ma mère retrouve peu à peu l’envie de vivre, ne pas vivre depuis 11 ans c’était dur… Je suis sorti de la chambre et j’ai vu Sacha. Je me suis effondré depuis la mort de mon père je n’ai plus jamais craquer, mais là c’était trop d’émotion à supporter. C’est à ce moment, dans cet hôpital que je lui ai demandé de m’épouser… J’attendais le bon moment, le signe et réentendre la voix de canari de ma mère fut le signe qu’il me fallait… « … On ira à Londres, on aura notre vie et je ferai mes études de droit et tu feras tes études d’enseignante… On aura même un chien ! tu sais c’est chien trop beau avec les yeux très clair.  Oui les bergers Australien ! On l’appellera comme tu veux. » Elle a fini par dire oui et dans quelques mois j’allais déménager de Cardiff. Mais avant il fallait que j’aide ma mère pour Indiana, réadapté la maison pour son handicap et aider ma mère a se réinséré dans le monde normal.

J’ai mon diplôme et j’ai obtenu une bourse pour faire des études de droit. J’ai pris le temps d’aider ma famille avant de partir. Sacha elle trouva un moyen de nous loger à Londres, elle a trouvé un petit appartement sur Camden. Nous voilà sur la route, je conduis plutôt bien alors que notre voiture est remplie de ce qui fait de nous ce que nous sommes : « Il fait beau t’as vu ça… C’est un bon signe » J’étais optimiste, je le savais… L’amour me rend stupide « T’es trop optimiste… » disait-elle alors qu’elle fumait sa vogue à la fenêtre : « Je t’emmerde… ça va je fais assez dans l’optimiste là ? » disais-je d’un ton sérieux avant d’avoir un fou rire en simultané avec elle. Nous voilà en Angleterre, adieu le pays de Galle… Tu ne me manqueras pas. Notre appartement était poussiéreux, mais très chaleureux. Il y avait une mezzanine qui menait à notre chambre. J’ai plus galérer à monter le lit là-haut que le reste de nos affaires. Je trouve un job, un emploi de magasinier dans une grande surface, le soir je prends mon costume d’étudiant et je file à l’université pour suivre mes cours du soir. Remise à niveau et début du droit. Chaque mois j’envoie 300£ à ma famille pour leur prouver que je suis toujours avec eux. On se marie quelques mois plus tard, deux cons devant le maire et rien d’autres. Trop pauvre pour se payer un véritable mariage à l’ancienne. Sacha était devenue Madame Lewis…

Trois ans plus tard, j’apprends que je peux bénéficier d’un an à la Sorbonne pour me perfectionne dans le Bijuridique. Ce qui met notre mariage dans le collimateur, Sacha ne veut pas que je parte. Je ne sais pas quoi choisir, mais quelques semaines j’apprends qu’elle a fait la pire des boulettes. Elle m’a trompé avec un enseignant. Ce fut la goutte d’eau, une trahison… Je ne le prenais si bien que ça, je lui dis alors si notre amour était pour elle un moyen de fuir et du coup elle se tape d’autre mec… Si c’était ça, autant arrêter là… Qu’elle fasse sa vie, moi je me barre en France sur un Skate Board et on en parle plus. Je fais mes valises, je romps le bail de l’appartement et Sacha part vivre chez ce mec. Me voilà seul… C’est bien la première fois que je me retrouve seul… Cette sensation de solitude me pèse, mais je tente de ne pas craquer… Une fois en une vie cela suffit. Je fais mes valises je rencontre alors un jeune homme. Il veut l’appartement, il est étudiant en Archéologie et semble bien déterminé. Mackinnon ? Ce nom me donne de l’urticaire j’ai toujours eu un problème avec les Ecossais. Je lui donne les clefs et je prends le premier train pour Paris. A moi la Sorbonne.

Une petite chambre de bonne place d’Italie, le métro pue la mort. J’ai l’impression d’être coincé entre quatre murs, je place la plus grande partie de mon temps à l’université et dans un cabinet d’avocat Français. Je veux en finir vite, je n’aime pas cette ville, ça pue et franchement j’ai du mal à m’habituer avec cette solitude qui me pèse, je finis pas découvrir la jeunesse qui me perd, les femmes et les hommes je découvre des gens qui sont séduit par mon accent de patate chaude et mes cheveux roux. Je découvre des gens, des corps… Le physique m’attire… Un Spring Break qui dure un an… J’ai mon diplôme, j’ai mis quatre ans à avoir mon Master alors qu’on doit l’avoir en sept, c’est la magie des étudies pluri juridique. Je rentre à Londres, un nouveau moi débarque. Costume et une nouvelle philosophie…

« Redfox ! Viens la ! Viens mon chien ! » Oui mon arrivé à Londres j’ai décidé de me prendre un animal, j’avais besoin de compagnie et puis ça fait des années que j’en voulais. Un berger Australien, je trouve ces chiens magnifiques. J’ai fait mes premières armes dans un cabinet prometteur Lockheart & McAllister, Lewis l’un des associés a été mon modèle. Ce mec avait une classe internationale, je voulais avoir ce talent. Lockheart était la pire garce que j’ai rencontrée et pourtant elle méritait mon respect. C’est un monde Requin ! C’était clair et net… A moi d’en devenir un maintenant ! Je n’y suis resté qu’un an et puis on me propose un poste chez Lerman&Koffman. Au départ je n’étais qu’un larbin, mais bon c’est ça quand on début. Lerman, Addison de son prénom est une femme remarquable mais Koffman est un connard finit. Un petit prétentieux qui méritera que je lui fasse ravalé mon poing. Le genre de mec qui semble avoir tous les pouvoir parce qu’il a eu une bonne vie. Au bout de trois ans, il se fait virer à cause d’une faute professionnelle. J’étais Associé junior à l’époque et me voilà tendu parce que je vais surement passer Senior à 27 ans… Me voilà promu, je décide de voir ma famille, mon frère a ouvert son garage et Izzy finit ses études de médecine… Quand à Indiana, elle a subi une opération lourde pour récupérer l’usage de ses jambes, ça risque d’être long et douloureux. Mais ma mère a de l’espoir.

Nous sommes en Mars, il y a cette stagiaire qui m’obsède. Je ne sais pas quoi en dire, j’ai fait la pire connerie que je peux faire, coucher avec une fille et qui semble le lendemain devenir ma stagiaire. Minerva, quel nom pourrit pour une jeune fille aussi sexy, mais ça me fait trop rire… On se demande bien ce qui va se passer… La vie nous le dira.