"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici leave it unspoken. (w/ lewis) (ce rp est terminé et déconseillé aux mineurs de moins de dix-huit ans *sbaff*)  2979874845 leave it unspoken. (w/ lewis) (ce rp est terminé et déconseillé aux mineurs de moins de dix-huit ans *sbaff*)  1973890357
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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 1:22 par Invité
leave it unspoken.

Kesington ou le quartier chic. L’endroit où il faut être pour exister, pour subsister. Seulement, je ne suis pas très fan de leurs vrais faux galas de bienfaisance. J’ai pas besoin de ça pour vivre sans remord, pour ne pas détourner le regard à la vue d’un clochard de Trafalgar Square. Je viens d’un milieu modeste, mon frère pourri en prison depuis X années, pas besoin de m'apitoyer sur le sort des autres. Il faut savoir avancer avec des oeillères parfois. Evidemment, comme je me fais rare dans ce coin il me fallait un moteur essentiel : le fric. Je ne suis pas particulièrement cupide mais quand je peux financer mes films facilement, j’essaie de m’arranger. Vous vous rendez compte que je suis quasiment payer à manger des petits fours ? C’est ça ma vie. Je souris et c’est tout. Une blague. Vingt-et-une heure, j’arrive en retard, il me faut bien dix minutes pour me changer dans la voiture. Non, je ne vis pas d’amour et de costumes hors de prix, je ne suis pas si snob que ça, juste un peu irresponsable par moment. Je sors, le silence me parvient alors comme une bénédiction. Je sais que le mal de crâne me guette. À l’intérieur, les couples présents me donnent la gerbe, je passe une fois de plus pour un gros blaireau, ou un homosexuel refoulé, c’est au choix. Coupe de champagne à la main, je bois pour feindre une quelconque occupation. Je m’ennuie déjà auprès cette l’élite londonienne, ils parlent mais je n’écoute pas, je me contente d’hocher la tête, béat. « Malcolm Newandyke ! Le seul, l’unique ! J’ai vu que tu avais divorcé récemment, j’espère que ton avocat brade ses prix, si tu continues, dans deux ans tu risques d’entrer dans le livre Guinness des records. » Je ris, jaune. J’ai bien envie de lui éclater sa sale tronche par terre. Heureusement, je ne suis pas un sanguin, j’ai de la retenue, peut-être trop à la rigueur Je feins l’indifférence, il est temps pour moi de m’éclipser. Cette soirée vire au cauchemar. Je me fige, à peine dégoûté de la tournure des évènements. Mon ex-femme me dévisage au loin, je passe désormais pour un gros connard. Parfait. Mauvais timing pour m’emmerder, ou pour faire une crise d’allergie à côté de moi.

Je le regarde s’étouffer pris au dépourvu, il s’agrippe à moi, tremblant de peur. Finalement, il finit par vomir à mes pieds. Je pousse un soupir déplacé avant de le repoussé aussi sec. Je suis frustré, je lui appelle une ambulance avant de m’éclipser dans la cohue générale. Comme si ce con risquait sa vie. Je vole une des coupes sur un des plateaux, une déjà entamée, il faut savoir relativiser en ce bas monde. « C’est qu’on a un héros parmi nous désormais. » Je me retourne, son visage m’est familier, il travaille dans le même cabinet que Lewis mais son prénom m’échappe. Il devait certainement s’appeler Hamilton ou une connerie dans ce genre. « J’ai risqué mon costard plus que ma vie à dire vrai. » Je ris, c’est qu’il arriverait presque à me faire oublier cette soirée merdique. Pourtant, presque inconsciemment, je cherche McAllister. Je suis pathétique mais, dans mon malheur, il n’est pas là pour admirer la sombre épave que je suis devenu au cours de ce gala. Je vais sur le balcon pour m’en fumer une, seul. Faire la discussion ne m’intéresse plus désormais, j’ai juste envie de descendre, de m’enfiler quelques pintes et de sombrer dans les bras d’une femme, d’un homme, peu m’importe. Je regarde de loin les débats houleux de mes pairs, les chuchotements secrets et les regards suspicieux. Ce monde n’est pas le mien. De loin, aussi, je peux aisément reconnaitre la silhouette élancée de Lewis, lui-même en pleine discussion. J’hésite à le rejoindre, à l’approcher. Je ne sais jamais sur quel pied danser en sa présence. Si notre relation évolue bien au-delà de son cabinet, si on se permet quelques écarts, j’ignore toujours comment l’aborder, plus encore dans une soirée mondaine comme celle-ci. Je ne veux pas lui paraître collant, lourd voir capricieux. Je termine ma cigarette, le mégot vient se perdre au milieu des nuées. Et puis non, je ne suis pas un être sage et subtile. Non, je ne vais renverser mon verre sur lui, je ne suis pas sans manière. « Oh pardon, pardon excusez-moi je ne voulais pas interrompre votre conversation. » Je me suis arrêté remarquant l’absurdité de la situation. « C’est chose faite à présent je suppose. Malcolm Newandyke bonsoir. Je tenais simplement à remercier le travail et l’implication de monsieur McAllister concernant mon assignation en divorce. » Je lui fis un sourire entendu avant de lui serrer la main et de vaquer à mes autres occupations. J'avais dans l'espoir qu'il vienne, au moins, faire un brin de causette.
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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 2:27 par Invité




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I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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« Nous allons faire comme chaque soir Minus, tenter de conquérir le monde... » je n'aimais pas les murs trop fins de mon appartement, surtout que j'avais des voisins exécrables. Entre la mère célibataire qui vit au-dessus avec ses deux enfants ou BBC Child tourne en boucle. Le voisin sexy qui jouit comme un orignal... Et le petit vieux qui collectionne les culottes de la concierge. Cela dit je n'aurais pas cru qu'on pouvait trouver ce genre d'individu à Hammersmith. Cela dit, je savais que je n'allais pas rester longtemps. Je venais à peine de rentrer d'une audience au tribunal pour une affaire de corruption. Cela dit, une bonne douche s'imposait. Je me suis rhabillé d'un costume plutôt classique, veste et pantalon noir, chemise blanche et cravatai noir. Après m'être pouponné je suis partie... je dois dire que les rues qui longent Hammersmith sont calmes, mais bizarrement je sentais le coup venir. J'étais du genre à ne pas avoir de vie et bizarrement je le voyais... une boutique qui ferme, deux clochards qui se battent pour une bouteille de gnole. Je n'aimais pas tellement voir ça... Moi qui me bats pour essayer de rendre justice, c'est un peu blasant de se voir ce genre de chose. Cela dit ce n'est pas le moment de s'apitoyer sur son sort. Alors qu'il s'approchait de Kesington, son téléphone sonna. Une longue discussion avec un homme qui ne lui veut pas du bien, même s'il aime travailler solo, il y a bien des moments où on a besoin de ses talents. Arriver devant le lieu où se réunissait ce gala. Je me demandais bien ce que je foutais là encore, mais cela dit j'aimais me fondre dans la masse. De voir ses gens, ce bien faire voir auprès des futurs clients. En entrant je fus reconnu « Lewis ! Felicitation pour votre plaidoirie aujourd'hui vous étiez sensationnel comme d'habitude ! » Je me suis mis à rire, les gens étaient si crédule. Être beau parleur, menteur et encore joueur était si bon que ça dans le métier d'avocat . C'était bien une chose qui me plaisait, je m'enfonçais de plus en plus dans la foule. Une coupe en main je discutais avec un juge, nous discussion d'une ancienne affaire se rappelant de bon souvenir. Cela dit j'avais aperçu du regard, une bien magnifique tache qui se profilait entre les gens pour sortir. Malcolm... Ce bon vieux Malcolm. J'esquissais un sourire l'apercevant alors que le juge me demandait si j'allais bien je lui répondais simplement que le bon souvenir de cette audience me donner envie de sourire... Bien que les minutes passassent, je remarquais alors Malcolm s'approchait de nous pour nous interrompre d'une façon qui ne manqua pas de m'amuser : « Oh pardon, pardon excusez-moi je ne voulais pas interrompre votre conversation. » Je retiens juste un air amusé, le laissant continuer voyant bien que le jeune homme ne se sentait pas à l'aise dans ce genre de soirée. Cela se voyait et puis je le connaissais un peu quand même, ce n'est pas comme si je lui ai sauvé de bien des situations pendant des années. . « C’est chose faite à présent je suppose. Malcolm Newandyke bonsoir. Je tenais simplement à remercier le travail et l’implication de monsieur McAllister concernant mon assignation en divorce. » Le juge était comme abasourdit de tant d'importunent, cela fit me fit rire, je dois dire qu'il était different de tout le monde ici. Un peu comme un rouquin au milieu du brun... C'était quelque chose qui se remarque... Un outsider si on peut dire. « Eh bien mon cher Mc Allister, je vois que vous êtes toujours aussi demandé... »Je ne pouvais m'empêcher de rire en lui disant « eh bien vous savez, Mr Newandyke est peut-être celui dont je me suis occupé le plus de cas de divorce depuis que j'ai commencé ce travail, je dois dire que c'est ma poule de luxe » dite-il d'un grand sourire avant de continuer : « Veuillez me pardonner votre Excellence, j'espère que vous passerez une agréable soirée tout de même... » alors que le juge me laissa partir, je m'approchai de Malcolm, me glissant derrière son dos lui chuchotant à l'oreille : « eh bien, Malcolm quelle bien étrange façon de venir me voir... » il se glissa pour se poser en face de lui en ayant eu le temps d'attraper deux coupes de champagne pleines et il en Tenda une à Malcolm : « cela dit, tu as fait forte impression auprès du son Excellent le juge Andrews. Comment vas-tu ? Ne me dit pas que tu t'es pas encore remarié... Je n'ai pas envie d'en arriver à faire un prix du groupe quand même. » Dit-il amusé.

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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 11:54 par Invité
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Faire semblant d’avoir quelque chose à faire. Regarder le mur, le lustre et goûter au buffet gastronomique. L’heure tourne, la vente aux enchères se fera sans moi, j’ai suffisamment pris sur moi. « Eh bien, Malcolm, quelle bien étrange façon de venir me voir... » Je ne bouge pas d’un centimètre, cherchant à le sonder, amusé. Lewis n’est pas seulement un très bon avocat, non. Contrairement à moi, il sait parler et pas seulement dans le cadre d’une plaidoirie, non, Lewis obtient toujours ce qu’il veut, c’est un fait. Moi je me cache derrière des cadres ambitieux et c’est tout. Je suis plutôt lâche et maladroit. Sans le quitter des yeux, je fais bientôt l’acquisition d’une coupe bien remplie. Je bois une gorgée rapidement.« C’est possible, je m’ennuie tellement au milieu de toutes ces mondanités hypocrites. » Et puis, c’est pas comme si j’aimais la foule et ses flatteries insignifiantes. Je regarde ledit juge Andrews non sans curiosité, pauvre petite chose encore abasourdie. « Je me doute, je fais souvent forte impression. » Je ris. Je ne vais pas excuser mon comportement, ni maintenant, ni jamais. Un écossais digne de ce nom ne s’abaisse pas à ça. Néanmoins, il y avait de quoi surprendre Lewis, je ne suis pas si envahissant habituellement. Seulement, j’avais besoin de lui, j’avais besoin de lui pour être moi-même. J’ai bu une nouvelle gorgée, mon verre était quasiment vide, c’est aussi ça avoir une descente rapide. « Non pas encore pourquoi ? Tu souhaites me présenter à quelqu’un ? » Je feignis d’être enthousiasmé par cette idée mais je ne l’étais pas. Ma seule et unique préoccupation en sa présence pouvait se résumer en deux mots : Lewis McAllister. Comme s’il parvenait à me faire oublier le reste, ici cette soirée minable. « Si tu as besoin d’argent tu peux me le dire. Epargne-moi seulement le mariage avant le divorce. » Je ne voulais pas battre un record, j’aimais sincèrement chacune de ces femmes. Cette étiquette qu’on me collait, je la détestais. Comme souvent, on fait fausse route à mon égard. Je ne suis pas un beau parleur égocentrique. « Tu fais quelque chose après cette mascarade ? »

Une question ouverte. Il ne l’ignorerait pas. J’avais besoin de prendre l’air, de sortir d’ici, de les quitter tous. Un verre de scotch s’imposait à moi et donc, forcement à Lewis. Néanmoins, oui, cette question était une invitation, ni plus ni moins. « Le lâche et son avocat. Je ne savais pas que tu t'intéressais aux oeuvres caritatives Malcolm, c’est une surprise. Nous retrouver tous les trois ici, c’est plutôt comique il faut l’admettre. » J’ai regardé la ciel quelques secondes. Pourquoi diable était-elle venue ? Je n’avais pas besoin d’elle dans les parages, encore moins de son ton condescendant. De qui se jouait-elle au juste ? Si seulement elle savait quel remarquable avocat Lewis faisait depuis notre houleux divorce. Cette situation était cocasse. Pire, elle était presque jouissive. Arborant mon sourire le plus hypocrite, j’ai médité sur les raisons de son mécontentement, juste quelques secondes avant de me reprendre. « Tu permets ? C’était une conversation privée entre mon avocat et moi. Merci. »

Quelques regards méprisants à mon égard. Je n’étais plus à ça près, je me fichais bien de connaître tout le dégoût que je lui inspirais. Finalement, elle est partie, elles finissent toujours par partir. Et c’est pas une constatation, non, c’est limite mathématiques. J’ai regardé Lewis à peine contrarié. Il ne connaissait pas ça lui, le remarquable avocat, à croire qu’il était blanc comme neige, qu’il n’avait rien à cacher, pas même une vie sentimentale chaotique. « Tu vois ce que j’ai à endurer ? Je ne te le souhaite pas. » Autrement dit, je n’aime pas les hommes mariés. Oui, je ne pense qu’à moi encore une fois, c’est mal, Lewis ne me doit rien ect. Conneries. Il est le seul, ou presque, à connaître mon petit secret et à ne pas parler. La discrétion est une qualité suffisamment rare, je ne suis pas sans l’ignorer. Si je peux éviter quelques scandales je ne dis pas non et puis, c’est pas comme s’il risquait d’être radié du barreau non plus. Mon verre, quasi vide, me laissa perplexe. « Tu ne voulais pas trinquer j’espère ? »  
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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 14:29 par Invité




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Tout pour échapper a cette mondanité cela était possible pour certain faut croire, bien que de le voir dans les nuages pouvait me faire sourire je ne pouvait m’empêcher d'ouvrir le dialogue. Cet être devant moi qui est aussi maladroit que Michael J. Fox sous Parkinson c'était une situation plutôt comique : « C’est possible, je m’ennuie tellement au milieu de toutes ces mondanités hypocrites. » je m'en sentais amusé, il était un de mes clients préférer par pour ce qu'on faisait derrière nos rendez vous, mais bien pour son caractère. Je lui avoua alors qu'il avait fait forte impression au prés du juge c'était bien une chose qui m'avais bien fait rire. « Je me doute, je fais souvent forte impression. » Je ne pouvais m’empêcher de lâcher un rire, je piqua un petit four que j’enfournai dans la bouche, avant de lui demander s'il s'était déjà remarié en si peu de temps quoi que vu le nombre de mariages qu'il a eu et encore heureusement qu'il n'y pas autant d'enfant que de mariage... Faudrait qu'il se reconvertisse en révérend et on refait 7th heaven. « Non pas encore pourquoi ? Tu souhaites me présenter à quelqu’un ? » J'aurais bien dit oui, mais qui ? Ce n'est pas Lockheart que je lui presenterai et puis si j'ai des femmes en vues se serait pour les mettre dans mon lit ce serait dommage de gacher une si bonne viant je lui avoua alors : « Non personne a te presenter, je vois pas pourquoi je leur presenterai un si mauvais parti. Je préfére les avoir encore dans mon lit. » ajoutai-je alors laissant echapper un petit rire. Alors que le jeune homme fit appel a cette argent que je ne manquais loin de là je dois dire que j'avais les comptes plutôt bien remplit : « Si tu as besoin d’argent tu peux me le dire. Epargne-moi seulement le mariage avant le divorce. » Je ne pouvais m'empecher de garder un air amusé, alors que je bu une gorgée de champagne alors que j'observait le regard du jeune homme, un truc que j'aimais chez lui c'est un putain de fucking de badass d'écossais. Je dois dire que je n'aimais pas tellement les petits bourges d'Edimbourg qui me faisait vivre un cauchemard à l'ecole tout ça parce que j'avais des reves peu orthodoxe. Qu'elle est le con qui a eu l'idée stupide de retrouver cette sensation, cette envie de plonger pour perpétuité dans la melancodramatique. Cette sensation qu'on peut éprouver avant sauter cette sensation d'envol. Bizarrement je pouvait me reconnaître en lui, cette langue bien trop pendu pour ce laisser distraire par ce monde pleine de cul serré... Cela dit je fut couper dans mon élan de nostalgique chocolaté et bulleuse : « Tu fais quelque chose après cette mascarade ? » Je me mis a sourire en lui ajoutant alors : « Eh bien je pensais rentrer chez moi après j'ai eu une longue journée au tribunal... bien que la douche de toute à l'heure mais bien reveiller... » par moment je detestait ce metier, je me demandais si je faisais était juste. Defendre un coupable pour lui faire risquer le moins, se faire prendre en traitre par un confrère oué ce métier pouvait être cruel. Soudain une intervention des moins discrete. Une des ex femmes de Malcolm... Je ne disais rien laissant couler, après tout cela n'étais pas mon affaire, mais je remarquai l'aigreur dans le regard de Malcolm, il avait ce sourire Hypocrite qui me faisait rire. Bizarrement a voir l'autre là, elle me faisait penser a cette petite princesse aux seins écrasé, le genre de petite femme qui te  fait miauler sans raison à en perdre haleine... Cela dit elle est partie bien trop vite que j'en ai perdu le fil de mes pensées :  « Tu vois ce que j’ai à endurer ? Je ne te le souhaite pas. » Je me suis mis a rire, le mariage, le 'couple' ce n'était pas pour moi, bien trop de vie a gerer pourquoi s'occuper de celle des autres ? Je me sens bien dans mes pompes actuellement je dois dire que je savais plaire et c'était plutôt cool a voir n'empêche je lui ajouta alors que je finissais a mon tour la flute de champagne : « Je ferais pas la bétises du mariage, c'est une bien drôle d'institution pour que j'y fourre quoi que se soit. » disai-je alors d'un air taquin et plutôt amusé. Alors que je remarqua a mon tour que nos flûtes étaient vide, je me suis mis a rire à l'intervention de Malcolm:  « Tu ne voulais pas trinquer j’espère ? » Je lui ajoutai alors : « On aura d'autre occasion de trinquer. » je fus interrompu par un son assez strident qui annoncait le début de la vente aux enchères, les gens se precipitait alors dans la salle : « Eh bien c'est pire que dans un abattoir ici... » La salle se vida, il ne resta que eux deux et deux trois employées de maison qui nettoya : «  Ca c'est vidé d'un coup je ne suis plus habitué a tout ça moi... Bon tu as avais l'air de proposer une solution de sortie je suis tout ouïe... » disais je alors de mon plus beau sourire, après tout j'enfournai un nouveau petit four j'avais faim et peu manger aujourd'hui. L'appel de la faim est encore plus terrible que celle du sexe. Nan mais c'est vrai hein !  

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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 17:13 par Invité
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Ainsi j’étais devenu un mauvais parti. J’ai manqué de m’étouffer. « Egoïste. » J’ai ris. Je n’avais pas son assurance, non. Je jouis d’une célébrité malsaine, on se déplace pour me voir, me parler, me séduire et quelques fois, dans le but de me faire les poches. Je suis peut-être trop naïf, sans doute. Je regarde Lewis amusé avant de venir gentiment lui taper l’épaule pour ne pas éveiller les soupçons. « Tu ne vas pas rentrer chez toi, pas dans l’immédiat du moins. » Je regarde mon ex-femme s’interposer entre nous, c’est à peine frustrant de l’entendre cracher son venin, plus encore dans des moments comme celui-ci. Je l’envoie valser plus loin, elle ne m'intéresse plus à présent. Qu’elle aille se taper son directeur d’agence, au pire. Mon regard vient se poser une fois de plus sur l'avocat qui me fait face, il semble plus taquin encore qu’à l’accoutumée. « Pourtant c’est sympa comme truc. Enfin, surtout les trois premiers mois, après c’est plus un guêpier qu’une bénédiction. » L’homme d’expérience que je suis avait parlé. Observant nos deux fûtes vides, je fis une mine désolée mais en l'occurrence oui, la soirée ne faisait que commencer et j’avais bien, en l'occurrence, deux ou trois idées en tête sur le déroulement de celle-ci.

Le son strident vient persifler à mon oreille, je les regarde dégoûté courir à leurs bonnes actions. Je n’étais pas très convaincu, en effet. Ils étaient tous plus égoïste encore que moi. Je resserre ma cravate à la manière d’un gamin espiègle en manque de sensations fortes. « Pas vraiment, non, je te propose en revanche de visiter les cuisines mon cher Lewis. » Je guette sa réaction, moqueur avant de sortir mon portefeuille non pas pour acheter Lewis mais pour acheter le silence des quelques employés présents dans la pièce. « C’est pour moi. » Le pire dans cette histoire ? Mon air totalement détaché et naturel. Je distribuais des pourboires mirobolants comme ça, presque pour le fun, et aussi, accessoirement pour les voir hors de ma vue. Ils déguerpirent aussi vite sans crier gare. Et puis, les mains dans les poches, j’ai commencé à arpenter les longs, voir interminables couloirs du bâtiment en question. J’avais soif, il devait forcément avoir un bar ou une cave au choix. Non, je ne suis pas alcoolique, je suis écossais, il faut encore saisir la nuance. Je jette un regard à l’intention de Lewis, il a l’air soucieux, ou alors désorienté, ou que sais-je encore je ne suis pas télépathe. « J’espère ne pas t’enlever à ton devoir de citoyen modèle. »

J’allume la lumière, les cuisines étaient vides, entièrement nettoyés. Je me suis retourné vers Lewis. « Regarde bien l’homme surprenant et plein de ressources que je suis. » J’ouvre un tiroir, un deuxième, un troisième. Je sors une bouteille de scotch. Je m’assoie sur un des plans de travail afin de m’en griller une. C’est chose faite. Je me sers un verre, puis un deuxième à l’intention de Lewis. « Je ne sais pas si tu comptes le boire ou non mais je t’en sers un quand même. C’est presque du vol après tout. » On croirait entendre mon frère, comme quoi, je demeure malgré tout sous son influence. Je commence à devenir aussi irresponsable que lui. J’ignore encore la tournure que va prendre cette soirée mais ce que je peux dire, c’est qu’elle va en s’améliorant. Contrairement à Lewis je ne travaille pas durant des heures, non, je fais ça à mon rythme en dehors des plateaux de tournage. Je suis encore loin d’espérer rejoindre les bras de Morphée. « Tu comptes toujours rentrer chez toi ? T’installer devant la télé et commander une pizza ? » Oui, ça sonnait étrangement comme un reproche. Non pas que le comportement de Lewis avait le don de m'agacer, j’ai toujours été très capricieux. Pourtant avant la reconnaissance de mes pairs j’étais loin de rouler sur l’or, je vivais sur l’argent sale de la vente de cocaïne de mon frère, on a vu mieux. Pourtant, au-delà de cette mise en scène presque grotesque, je m’étais attaché à Lewis. Sans parler d’amour et de sentiments surévalués on peut dire que je l’appréciais. 
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() message posté Jeu 17 Avr 2014 - 20:22 par Invité




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« Égoïste. »  Un bien grand mot pour une si petite... Taille ? Oui bon passons les détails outrageant qui pourront me faire passer pour diffamation le voir rire, me fit sourire. J'avais une certaine assurance, c'est bien les années d’expérience... Caïd de la drogue ? Simplement un problème de sa maman... Pédophile ? Son papa n'a pas voulu le prendre quand il avait dix ans. Oui c'est dégueulasse je le conçois mais que voulais vous on est pas doué d'un sixième sens et le pire je peut me faire le double de votre salaire sur le dos d'un petit comptable véreux. Cela dit c'est compliquer tout de même, car la fatigue prend vite a un certain moment de la journée alors que je lui avoua que je voulais simplement rentrer chez moi après ça pour me poser je vis la frustration a même son visage bien avant l'arrivé de la Harpie : « Tu ne vas pas rentrer chez toi, pas dans l’immédiat du moins. »  Je me suis mis a sourire en lui disant : « Tout dépendra de ce que tu me proposes en échange... » Marchander toujours marchander, avoir le dernier mot des choses que je prenais a cœur voir même un peu trop. Même Lockhart en avait marre que je sorte ma queue a tout bout de champs mais bon que voulez vous... Il faut bien savoir ce détendre... Je serais sûrement une vue plus jeune de Brian Kinney de Queer as Folk... Finalement je ne savais plus trop. Et puis je viens a lui dire que le mariage était une institution qui ne me plaisait pas. Baiser toujours là même ? Pour l'instant ce n'était pas mon intention et puis après je la trompe et sa finit dans les journaux a scandale obliger de faire appel a l'autre juif pour régler le problème... Bref trop d'argent dans cet affaire : « Pourtant c’est sympa comme truc. Enfin, surtout les trois premiers mois, après c’est plus un guêpier qu’une bénédiction. » Je voyais ce qu'il voulais dire c'est pas comme si j'ai suivis ses affaires à la lettre depuis toutes ses années. Je lui avoua alors : « Trois mois de bonheur pour finir par reverser une pension alimentaire ? Excuse moi je préfère encore aller dans un sauna, c'est moins cher et je suis sur que je prend plus mon pied. » Disais je alors avec un grand sourire.

Ce son, bon dieu je tuerai celui qui a inventer le clairon, il y a plus archaïque comme façon de faire, je le vis alors resserrer sa cravate, je me suis mis a sourire posant mon chapeau (oui j'ai une chapeau *baf* ) alors que je lui demandais ce qu'il prévoyait de faire il semblerait qu'il attise encore plus ma curiosité : « Pas vraiment, non, je te propose en revanche de visiter les cuisines mon cher Lewis. »  Bizarrement je me suis mis a sourire encore plus ayant une petite voix me disant de ne pas le suivre je vais encore me retrouver dans des emmerdes, mais bizarrement j'avais soif... Je l'accompagna alors que je le vis jouer les gangs-ta rap, je ne pouvais m’empêcher de sourire glissant les mains dans les poches de mon pantalon, je l'accompagna... La vision était très bizarre. Le mafieux plutôt classe avec le Leprechaun Écossais c'était une vision plutôt amusé tiré d'un Looney toons. « J’espère ne pas t’enlever à ton devoir de citoyen modèle. » Je me suis mis a rire en lui disant : « Justement c'est mon devoir de citoyen de t'accompagner et de surveiller tes gardes, ce serait dommage que tu finisses en taule se soir non ? »

Nous arrivions alors dans cette cuisine, mazette ! Qu'elle grande cuisine, des piano partout, tout briller de mille feu, je m'approcha alors le voyant prendre ses aises« Regarde bien l’homme surprenant et plein de ressources que je suis. » Je le vis alors jouer les... Chiens flic ? A la recherche de la moindre drogue douce bonne pour s'éclaircir le gosier ? Je le laissa faire regardant un peu les lieu alors qu'il sortit une bouteille de scotch, cette marque m'étais inconnu, quand on goûte au nirvana du scotch on a du mal a s'en passer même si il faut qu'on en passe par virer la moitié d'une paye pour une bouteille. «  je regarde et je remarque que j'étais au courant de cet qualité chez toi » disais je alors en riant alors qu'il alla s'asseoir sur un plan de travail, Je m'approcha face à lui prenant le verre regardant son contenu : « Je ne sais pas si tu comptes le boire ou non mais je t’en sers un quand même. C’est presque du vol après tout. » Je laissa pousser un petit rire en lui disant : « Mais ce serait du gâchis de ne pas le boire tu es pas d'accord ? » disais je alors que mon regard croisa le sien un air taquin sur le bord de mes lèvres , je bu une gorgée ce n'était pas le meilleur cru mais cela passa tout de même pour ce genre de soirée.   « Tu comptes toujours rentrer chez toi ? T’installer devant la télé et commander une pizza ? » Je le prenais pour une sorte de déception comme un reproche... Bizarrement je sentais qu'il ne voulais pas que je parte, je dois dire que je m'étais attaché à Malcolm c'est un être unique en son genre, même si c'est le plus gros con que je connaisse je dois dire qu'il est très intéressant ce n'est pas un humain ordinaire, je bus une gorgée en piquant alors la cigarette qu'il eu entre ses lèvres, tirant alors une bouffé avant de cracher la fumé derrière son épaule. Il regarda la jeune homme en lui disant : «  Je pense que je vais rester ici, mais vas falloir m'occuper mon cher... parce que mon plan A me semblait fort plaisant d'un coup... » disais je alors en le complimentant. Je bu une nouvelle gorgée et je re glissa la cigarette entre les lèvres du jeune homme... Ce n'était pas très bon qu'ils soit seuls dans un endroit comme celui là... C'est jamais bon signe de toute façon. «  Cela dit on dirait une bande d’adolescent qui se cacher pour fumer et boire... C'est assez nostalgique. » disais je alors en riant.
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() message posté Ven 18 Avr 2014 - 2:13 par Invité
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Il n’avait pas totalement tord dans le fond. Je déversais des sommes astronomiques pour des femmes qui ignoraient jusqu’à l’orthographe du mot travailler. Heureusement que Lewis était là pour amoindrir mes frais. Enfin, je me demande quand même comment il fait pour se satisfaire de ça, pour ne pas s’impliquer un minimum. Parfois, il m’arrive de l’envier, j’aimerai avoir son recul sur les choses. Si j’étais pas si con. Bref, le couloir est long, je n’en vois pas la fin. « Justement, c'est mon devoir de citoyen de t'accompagner et de surveiller tes gardes, ce serait dommage que tu finisses en taule  ce soir non ? » J’esquisse un sourire. Je me revois encore faire le guet, je revois encore ces billets glissaient sous mes doigts et le sang de mon frère sur la chaussée le lendemain. Mon visage s’assombrit. Je me contente d’un rire nerveux. « J’aurai peut-être un co-détenu bandant va savoir. » Je continue jusqu’aux cuisines sans rien dire. Je préfère mettre un terme à cette discussion. Comment je me suis retrouvé quelques minutes plus tard avec une queue, et en l'occurrence, celle de Lewis dans la bouche ? C’est une bonne question.

« Je regarde et je remarque que j'étais au courant de cette qualité chez toi. » Je ris avec lui, j’aime bien surprendre mon monde ouais, peut-être même un peu trop souvent. Je le regarde boire à peine satisfait. On trinquera une prochaine fois. Pourquoi se presser ? Je vis à sa grimace qu’il était un habitué des bonnes choses. J’avais l’étrange impression de faire goûter à un français du vin italien. Je le regarde faire sans rien dire amenant à mes lèvres mon propre verre. Je pris sur moi pour ne pas grimacer, le scotch était infect. Sûrement la réserve personnelle d’un commis de cuisine sous-payé. Peut-être un modeste écossais. Ou alors un anglais sans palais. Surpris, je regarde silencieux ses doigts s'emparer de mon bien. Son petit numéro fonctionnait, comme quoi, il avait une technique bien étudiée. Je ne dis rien. Je me surprends juste à réévaluer la propreté de cette cuisine une deuxième fois. « Tout dépendra de ce que tu me proposes en échange... » Avait-il dit quelques minutes auparavant. Il se foutait bien de moi avec sa belle gueule. Je récupère ma cigarette avant de tirer une bouffée, dans la foulée, je termine mon verre. S’il voulait une occupation, soit. « Tu n’as plus le choix j’en ai bien peur. Tu ne peux pas me laisser seul et ivre dans cette cuisine. Dieu seul sait de quoi je suis capable. » Je tire une latte, la dernière. « Je ne suis pas nostalgique. C’est de la préservation. » Je ne suis pas un grand fan des hôtels, généralement, c’est qu’on a quelque chose à cacher. Aucune envie de faire la une des tabloïdes une fois de plus. Et puis, non, être le porte-parole des gays, lesbiennes et bisexuels de Londres ne m’intéresse nullement. Très vite, pourtant, les mots me manquent. Je pense qu’on a fait le tour de la question ou plutôt, je l’espère. J’accroche son regard un instant, il ne m’en faut pas plus pour craquer le premier. Doucement, je viens capturer ses lèvres, ça sonnerait presque comme un aveu de faiblesse. Je me retire presque aussi vite afin de le débarrasser de sa veste. Je déboutonne bientôt sa chemise entièrement. Je ne pense pas qu’il fera marche arrière à présent, du moins j’en doute. Je viens embrasser son torse sans me faire prier. Haut les coeurs. Mes lèvres viennent se déposer sans retenue sur sa peau quand ma main, elle, s'affaire déjà à masser son service trois pièces avec la rage d’un mercenaire sous crack. Je viens embrasser ses lèvres une seconde fois, plus longuement. « Ton plan B ne vient-il pas de prendre l’ascendant sur ta pauvre soirée pizza ? » Je le regarde à peine rassasié avant de dénouer ma cravate. Ma main vient déboutonner son pantalon afin d’accéder au graal tant espéré. C’est plus comme si Lewis allait se refuser à moi maintenant. J’esquisse un sourire et décide enfin de me bouger, ou plutôt, de reposer pied à terre. Je plaque Lewis contre le plan de travail non sans un peu de violence - il faut bien le secouer de temps en temps - avant de caresser son zob un peu moins étroitement.
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() message posté Ven 18 Avr 2014 - 2:50 par Invité




Leave it unspoken
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I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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« J’aurai peut-être un co-détenu bandant va savoir. »Je me suis mis à rire, même si je n'aimais pas l'idée de mettre mes clients en taules ou qu'ils soit carrement en taule, mais pour Malcolm se serait different une certaine emotion naissait une jalousie mal placé... Je me sentais bien dans cet esprit de 5à7 de plaisir sans se prendre la tête et bizarrement le faite de l'imaginer avec un co detenu plutôt seksy un peu comme Alfie... Cela le dérangeait mais la conversation fut terminer la dessus. Les voilà arriver dans la cuisine encore une chose que je fus surpris.

Bien qu'il tenta de me narguer avec cette jolie blonde qui se glissait au bord de ses lèvres, je me disais bien que fumer était mal, mais surtout quand j'utilisais de tel stratagèmes sans le vouloir, je ne crois pas que cela retenu contre moi, alors que je buvais cette liqueur infecte que je préférais encore oublier, je fus placer entre les jambes du jeunes hommes alors que je lui avoua qu'il fallait me proposer un echange équivoque à sa proposition : « Tu n’as plus le choix j’en ai bien peur. Tu ne peux pas me laisser seul et ivre dans cette cuisine. Dieu seul sait de quoi je suis capable. » Je me suis mis a sourire comme quoi il cherchait tout pour me garder avec lui j'aimais l'attention :  « Je ne suis pas nostalgique. C’est de la préservation. » Je me suis mis a rire, comme quoi il était quand même un bon plaidoyer. Je finissais mon verre en preferant encore oublier cette histoire de scotch... Même le champagne avait meilleur goût, je dois dire que je ne m'attendais a qu'il craque aussi vite, nos regard s'interchangeait. Il avait un beau regard, mais peut étre était cette roussitude de sa barbe qui me perturba de plus belle. Je ne sais pas finalement le voilà qu'il m'embrasse, j'ai été agréablement surpris, mais ce fut tellement vite. Je n'ai pas pu en profiter d'avantage, mais rien qu'au contact j'ai sentit mon esprit faire trois fois le tour de la terre sans s'arreter même pas dopé ou quoi... Une sorte de Migraine du au poppers mais avec la sensation chaude et agreable, mais ce n'était que ses mains celle qui retira ma veste je posa mon chapeau sur le plan de travail alors que mon autre main se glissa sur sa cuisses, sentir ses mains sur mon torse me fit l'effet d'un choc electrique, un effet bienfaiteur, bizarrement il agitait comme ce genre impulsif... Bizarremenet il me faisait penser a moi, a moi quand j'avais douze ans ce genre de comportement que j'avais quand je voulais arpenter une buté pour pouvoir la descendre a coup de Cerceuil accompagné par mes platinis. Des œufs qui cachait au fond de leurs coquilles les souvenirs des souvenirs important. L'impulsivité de descendre. Crier hurler, rire, pleurer tout ca en même pas 10 secondes. Je le laissa faire il semblait tellement être interesser par ce qui embrasser et carresser, je ne pouvais rien faire, j'étais piéger. Une de ses mains carressa ses cheveux, et l'autre carressa doucement sa cuisse alors il me dit : « Ton plan B ne vient-il pas de prendre l’ascendant sur ta pauvre soirée pizza ? » je me suis mis a rire alors c'était ça une investigation contre la mal bouffe ? Il denoua sa cravate, j'en profita pour l'attirer un instant vers moi tirant sur cette cravate pour lui dire : « De toute façon je n'aime pas la pizza » je l'embrassa un peu plus longuement alors qu'il deboutonna mon pantalon, je senti sa langue se frotter contre la mienne comme une delicieuse sucrerie a devorer doucement. Alors qu'il me plaqua contre le plan de travail. Il semblait être attiré par ma preuve de virilité masculine, j'esquissais un sourire alors je glissa mes levres sur sa nuque alors que je le debarrassais de sa veste, je pouvais reprendre le contrôle... J'aimais prendre le contrôle c'était une sensation agréable. Alors que sa veste rejoigna la mienne sur le sol. Je déboutonna sa chemise juste deux boutons pour glisser mes mains a l'interieur, les boutons se déboutonnèrent seuls alors que mes mains redecouvrer le buste du jeune homme, mes levres descendirent sur ses epaules au fur et a mesure que sa chemise tomba au sol.... « Je vois que monsieur aime les endroits improbable... N'as tu donc pas peur qu'on nous surprennent?» Disait il alors que ses mains se glissa le longue de son dos se glissant doucement sous le pantalon du jeune homme sentant la peau fraiche du jeune écossais, je redressa doucement ma tête pour l'embrasser sentant sa respiration se sacader au fil du temps poussant de petite gemissement... Cela dit il me controler, il contrôlait mon corps a sa guise... Il pourrait me faire crier, augmenter mon rythme cardiaque... Il a bien de la chance quand même. Mes mains reviendra doucement vers le soucis du pantalon les boutons, j'en denoua un tirant fermant pour force l'ouverture du reste carressant a mon tour ce qu'il faisait de lui un homme, trouvant l'excitation du jeune homme bien elevé... je ne savais pas qu'il lui faisait tant d'effets... j'en profita pour masser cette forme qui deformer le calecon du jeune homme... Il faisait chaud dans cette cuisine beaucoup trop chaud. alors que mes lèvres joua de nouveau à Indiana jones avec celle du jeune homme.
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() message posté Ven 18 Avr 2014 - 15:23 par Invité
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Agrippant ma cravate, agrippant mon désir accru aussi, Lewis vint m’embrasser plus longuement. Mes paupières étaient mi-closes, mes lèvres entrouvertes, je frissonnais déjà de cette ardente et douce étreinte. Le gala n’existait plus, la cuisine également. Nous n’étions plus que deux corps avides de sexe. Pourtant, loin de moi l’idée de précipiter le détournement de ce plan de travail à nos fins. J’avais envie de goûter à chaque parcelle de son corps afin de le redécouvrir encore et encore. Le fait est, que Lewis, semblait être sculpté dans la pierre. Comment pouvait-il, ainsi, me laisser indifférent ? Evidemment que je ne l’étais pas. Ma veste rejoignit la sienne sur le sol. Je pouvais maintenant sentir ses mains se frayer un chemin jusqu’à mon torse. Un sentiment de vertige me maintenant en vol. Je ne désirais aucun homme comme je le désirais lui. Voilà pourquoi je n’arpentais pas plus que ça les saunas et autres clubs de la capitale. Le contact de ses lèvres sur ma peau. J’étais en paix avec ça, à jamais. C’était comme jeter un corps brûlant à la mer. Comme retrouver Ayr et les joies de l’anonymat. Ma chemise glissa et, de mes épaules, paracheva sa course folle sur le parterre de la cuisine. « Je vois que monsieur aime les endroits improbables. N'as-tu donc pas peur qu'on nous surprenne ? » J’ai relevé les yeux vers lui, amusé soit, mais néanmoins soucieux. C’était une vraie question. « Je te laisse choisir la prochaine fois si tu veux. » Intérieurement, j’avais peur, peur de me faire attraper ici dans une position équivoque. J’ai freiné mes caresses un instant, laissant entrevoir ma paranoïa croissante avant de plonger mon regard dans celui de Lewis. « Ne déconne pas avec ça je. » Je sentis surtout sa main parcourir mon échine, je me sentais comme pris dans ses filets. Sa main s’aventura sous mon pantalon alors qu’il revenait m’embrasser une fois de plus. Moi ? Je ne voulais pas quitter ses lèvres, je ne voulais plus quitter cette pièce. « On s’en fou. » Fis-je le souffle encore un peu court alors qu’il entreprenait de me défaire de mon pantalon.

Je me mis à caresser son torse de ma deuxième main, je pouvais sentir mon état d'excitation s’accroître au fil des minutes. Sa main sur mon sexe me fit lâcher un soupir de satisfaction, ou de plaisir, au choix. Si j’avais peur de me faire surprendre, le jeu en valait aisément la chandelle. Je me mis à mordre sa lèvre inférieure avant de reprendre notre baiser passionné. Il n’avait pas tord, j’avais une impression de déjà-vu, de retomber dans mes travers adolescents. Affranchissant la preuve de sa virilité hors de son caleçon, je me permis un bref sourire avant de venir m’étendre sur ses lèvres. Si je continuais à prendre soin de sa verge, mes lèvres s’attardèrent bientôt sur les épaules du brun puis sur son torse une nouvelle fois. J’aurais pu m’y loger des heures durant sans dire un mot. Lewis me tenait comme je le tenais mais je voulais qu’il s’abandonne plus encore à moi. Je pris enfin l’initiative de lui enlever sa chemise, laissant à ma vue le plaisir de le voir si peu vêtu avant de poser un genou à terre. Voilà comment je me suis retrouvé avec la queue de Lewis dans la bouche. Mes mains caressaient ses cuisses fébrilement et lentement alors que je le savais à ma merci.
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() message posté Ven 18 Avr 2014 - 18:45 par Invité




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Je n'étais pas du genre a être soucieux du détails dans ma vie privé, mais vu la relation que j'entretenais avec Malcolm était spécial... Je ne voulais pas le dénigrer pour le autant c'est pour ça que cette question était posé, par peur de sa notoriété... Ce serait dommage de faire les tabloïds. « Je te laisse choisir la prochaine fois si tu veux. » Je sentis alors qu'il se frenait dans son élan dommage je ne voulais pas le déranger dans sa manipulation. Alors qu'il était si doué de ses mains. Les miennes commencèrent a parcourir le bas de son dos « Ne déconne pas avec ça je. » Je me suis mis a sourire, glissant mes mains dans son pantalon je vint à l'embrasser d'un façon passionner, ma respiration se saccadait a chacune de ses initiative. Je sentais litteralement mon corps se sentir trop a l'etroit dans ses vêtement « On s’en fou. » Je me suis mis a sourire, laissant echapper un rire entre de soupir. Je defis alors son pantalon qui rejoigna le sol glissant mes mains sur ses fesses et revenant doucement vers l'avant.
Pantalon sur les chevilles j'étais partit loin dans mes pensées, enfin je n'en avais plus cela dit je sentais l'excitation grandir en moins, l'un de ses mains se posa sur mon torse provoquant un dechainement d'electricité statique, une de mes mains se glissa sous son calecon empoignant doucement cette jolie petit peche douce qui lui faisait office de fesse. Nous echangions ses baiser même une de mains se calla dans les cheveux du jeune homme. Soudain le voilà pris d'initiative, ses baisers glissèrent le long de ma nuque et de mon épaule... Je voulais qu'il continue a explorer tel un Indiana Jones de la pureté, ma chemise tomba sur le sol me voilà a moitié nue devant lui, je sentis le froid de l'inox se frotter contre mes fesses qui me donna quelques coup de choc du à la fraicheur. Ses mains partaient loin et ses baiser descendirent jusqu'au point qu'il pose un genoux à terre... Le voilà qu'il prenait contrôle sur mes sens à nouveau, ma main ne quitta pas sa chevelure je le laissa entierement faire... Il savait s'y prendre, sentir cette partie s'humidifier me donna envie de gravir l'everest, je ne pu m'empecher de pousser des soupirs de plaisir se glissant parmis quelque Râle ettoufer pour eviter de trop faire de bruit. Et puis quelques minutes plus tard, alors que je n'en pouvais certe plus, je le forca a remonter l'embrassant fougueusement alors que je le porta pour le poser sur le plan de travail. Ma virilité se frotta au calecon du jeune homme. Je glissa mes baisers sur son oreilles lui susurrant : «  A ton tour d'en profiter... » disais-je alors entre de soupir, je descendit mes baiser sur son torse retirant son calecon doucement... Je joua avec ma langue et entreprit alors une douce fellation, entre deux coups de langue. Je caressais sa cuisses et son bas ventre. J'aimais ce genre de moment avec lui, j'avais la sensation qu'il m'appartenait et que je lui appartenait a son tour... C'est ce genre de moment qui me fait dire que j'aime ma vie.
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