"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici « Bonj....au revoir ! »  [ft. Alexander Breslin.] 2979874845 « Bonj....au revoir ! »  [ft. Alexander Breslin.] 1973890357
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« Bonj....au revoir ! » [ft. Alexander Breslin.]

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() message posté Mer 4 Juin 2014 - 20:23 par Invité
La belle vie ! Un vendredi tranquille, à la maison, interdiction d'aller travailler car il avait chopper la crève depuis une semaine – vive les arrêts maladie – et pour le cinquième jour de la semaine, un certain irlandais n'émergeait du sommeil qu'après treize heure, les cheveux en bataille, la bouche pâteuse – c'était ça de dormir la bouche ouverte – et les yeux encore remplis par les dernières traces de sommeil. Oh bien sur, il aurait encore put rester au lit, profiter de la chaleur des couvertures et envoyer quelques textos avant de s'endormir pour encore une petite heure, seulement un abrutit semblait s'acharner à frapper à sa porte. Qui que ce soit, il allait se le faire et ensuite lui demander ce qu'il voulait, dans cet ordre et si le coupable était encore capable de parler.

Ainsi avec un grognement fatigué, Jonathan finissait quand même par s'extirper de son lit et marcher vers l'entrée de son appartement. Bon il n'était pas une gravure de mode pour le coups, non porter un t-shirt de trois jours, tâché par endroit si l'on regardait bien, et arborer simplement un boxer pour le reste n'était pas du tout la façon dont il aimait se présenter mais si cela pouvait faire fuir les opportuns... pourquoi pas ? Tout de même armé d'un sourire, le jeune homme ouvrait la porte et commençait à vouloir saluer :

« Bonj... » avant de se figer. Non franchement, il était en plein délire fiévreux ? Un cauchemar éveillé ? Une hallucination ? Oui ce devait être ça, autrement la vie avait un drôle d'humour et son ressentit se fait rapidement savoir : « Et merde. Au revoiiiir il n'y a personne ici ! »

C'était impossible, Alexander ne pouvait pas être ici, il avait tout mis en œuvre pour que cet abrutit ne le retrouve pas, à commencer par partir sans rien dire à qui que ce soit – pas même leurs amis communs – et il était hors de question que cela change. Il ne voulait pas avoir ce type dans sa vie. Pas après ce qu'il avait fait. Pas maintenant qu'il avait réussi à refaire sa vie. Alors il avait ce geste de refermer la porte, de la claquer le plus rapidement possible. Mais avec sa veine naturelle, il y avait peu de chance que cela fonctionne.
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() message posté Sam 7 Juin 2014 - 17:59 par Invité



Alex s’était levé tôt ce matin. Il s’était décidé à aller voir Jonathan chez lui. Il voulait le voir, lui parler, s’expliquer avec lui. Il avait besoin de parler et de mettre les choses au clair mais surtout de le voir, de se dire qu’il était bien vivant et de montrer qu’il était là. Il avait pris la décision hier soir après une bonne bouteille et un mec qu’il avait foutu dehors a renfort de grand coup pied au cul. Il avait eu du mal à dormir, c’était lavé bien quatre à cinq fois à cause du stress. Et à six heures du matin, il était devant sa garderie comme une fille, à tenter de choisir sa tenue. Il mit plus de deux heures à choisir ce qu’il allait mettre. Il avait voulu mettre le t-shirt qu’il portait lorsque Jonathan c’était déclaré, puis c’était dit que c’était de mauvais gout, puis un costume cravate, mais c’était trop…

Tout ça pour dire que le châtain avait fini de se préparer à dix heures, il avait mangé, enfin si on considère qu’un quart de tartine avec deux grammes de pâte à tartiner au choco et un café est un déjeuner. Il s’était rendu chez son ancien amant en roulant en ralenti, se refaisant des dizaines voir des centaines de dialogues. Il s’était arrêter plusieurs fois, avait fait demi-tour et puis avait décidé qu’il devait aller le voir.  Tant et si bien qu’il était environ midi quand arriva dans la rue de Jonathan. Mais le calvaire n’était pas terminé. Et puis, il mit presque une heure à franchir les derniers cents mètres et frapper à la porte, en s’acharnant presque dessus. Il était plus que jamais décider. La porte s’ouvrir sur l’homme qui semblait malade et voulu s’empresser de la refermer, mais ‘Xander ne reculerait pas, il poussa la porte pour mieux voir l’homme de sa vie profitant un peu de la faiblesse évidente de ce dernier et la coinça avec son pied.

- Bonjour et non pas au revoir. En plus tu as l’air malade. Et je parie que tu es tout seul et que personne ne s’occupe de ça. Laisse-moi au moins venir t’aider à faire quelque chose…

Non, Alexander Oliver Breslin ne tentait pas de faire comme si jamais rien ne s’était passé entre eux. Pas du tout ! Mais vous croyez quoi vous ? Bon d’accord juste un peu… Mais c’était surtout la manifestation de son angoisse de voir ainsi la personne qu’il aimait. Il ne supportait pas de voir ses proches malade et surtout seul et il fallait l’avouer, il trouvait que Jonathan avait une sale gueule. Peut-être se croyait-il un peu irrésistible au passage, ça il fallait l’avouer, il était persuadé que l’autre l’avait toujours en tête qu’il pouvait toujours faire partie de sa vie mais la vérité, c’était que c’était sans doute bien plus le contraire. On ne va pas se mentir non plus, il s’attendait à se prendre une porte dans la figure, à des commentaires acerbes et c’est pourquoi il avait tant hésité mais il n’avait pas pensé à le trouver malade. Et surtout si tôt. Il avait espéré être un peu seul devant la porte pour réfléchir, observer, penser, mettre en place une stratégie.
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() message posté Dim 8 Juin 2014 - 11:45 par Invité
La véritable raison de son échec pour la fermeture de la porte ? S'il s'était en effet adossé à cette dernière de toutes ses forces, Jon' avait dans le même temps envoyé un message de détresse à Declan, l'informant de l'arrivée qu'il désirait le moins en ce monde – et surtout en étant malade – à savoir celle de son ex. Bon, il avait été assez con pour mentionner sa possible fièvre dedans, alors qu'il trouvait des excuses bidons pour ne pas lui dire qu'il était malade – il avait une sainte horreur d'inquiéter les gens – mais bizarrement, le brun était plus que certain que ce lapsus passerait à la trappe en lisant le reste des nouvelles.

Très peu de temps après, son portable vibrait dans sa main. Tiens, Declan avait été rapide.... enfin, il ne pouvait pas répondre tout de suite, l'autre abrutit se tenait devant lui et refusait de partir, se servant du prétexte qu'il avait l'air malade – non sans blague – et qu'il voulait l'aider. Qu'est-ce qu'il pensait ce c*n ? Qu'il suffisait de débarquer comme ça, de faire celui qui s'inquiète et que hop ! Il allait lui sauter dans les bras comme si de rien n'était ? Effaçant au passage les dégâts qu'il avait causé avec son comportement ? Il se croyait au royaume tout rose et rempli d'arc en ciel des bisounours ou des petits poneys ?

« Je n'ai pas besoin de ton aide Breslin. J'ai quelqu'un qui vient me voir tout les jours, il est juste au travail pour le moment et si tu veux tout savoir, c'est avec lui que je suis maintenant. Alors si tu pensais tout reprendre comme avant, tu rêves... surtout que je ne reviendrais avec toi pour rien au monde, pas même si on me payais des millions. »

Et il était sérieux. Maintenant qu'il était enfin avec Declan, il n'avait aucunement l'envie de revenir en arrière. Après tout, il avait une stabilité avec lui qu'il n'avait pas avant, il n'avait jamais eu assez confiance en Alexander pour ne pas avoir peur de se faire tromper. L'inverse exact de ce qu'il vivait maintenant.

Sans un mot de plus, le brun laissait l'autre en plan ici. Il n'allait pas en plus rester en ''pyjama'' devant lui ! Aussi il s'enfermait dans sa chambre, changeant de vêtement assez rapidement et répondait également au message de Declan, affirmant que oui, c'était bien CET ex là qui venait de débarquer chez lui, mais qu'il allait tout tenter pour le mettre à la porte. Quand il revenait dans la pièce à vivre hélas, le châtain était toujours là et cela l'agaçait.

« Le seul service que tu peux me rendre, c'est disparaître de ma vie. Tu y as fait bien assez de dégâts comme ça. Je n'ai pas besoin que le chaos revienne encore. D'ailleurs, je vois que tu es toujours aussi malsain, tu n'as eu aucun scrupule à tout mettre en oeuvre pour me trouver, si je l'avais voulu, j'aurais simplement dit où j'allais. »
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() message posté Dim 29 Juin 2014 - 22:36 par Invité



Alex n’était pas con et s’était bien rendu compte que Jonathan n’avait eu aucune chance contre lui lors de la fermeture de cette porte. Il ne s’attendait pas non plus à ce que Jonathan lui saute dans les bras, il voulait espérer sans trop y croire aussi, que l’amour de sa vie l’écouterais, écouterais ses excuses. Il était bien conscient d’avoir gâché bien des choses mais l’attitude de son ancien amant de vouloir tout refermer au lieu d’offrir une mine blasée lui laissait un espoir. C’était peut-être un peu con mais il ne voulait pas imaginer qu’il ne pouvait pas avoir une nouvelle chance avec l’autre brun. Lorsque que Murdoch lui dit que quelqu’un venait le voir tout les jours, il ne put s’empêcher de ricaner, il connaissait trop bien l’homme pour savoir qu’il mentait, déjà parce qu’il voyait le petit tic qu’il faisait quand il mentait mais ensuite mais ensuite, si un jour il avait indiqué qu’il était malade à quelqu’un, il y aura une date graver sur de la pierre. Alors pourquoi le ferait-il ? Il secoua la tête presque navré d’être pris pour pareil idiot. La suite de sa phrase aussi aurait pu lui faire secouer la tête mais en réalité cela lui faisait plutôt mal d’entendre ça. Oui, il avait l’espoir de récupéré son meilleur ami dans ce qu’il avait tout gâché mais il ne voulait pas tout reprendre comme avant. Il se rendait bien compte que jamais ne ce serait possible. Et puis, il voulait à long terme le demander en mariage. Oui… Vous avez bien entendu Alexander Oliver Breslin voulait demander quelqu’un en mariage et un homme en plus sans réfléchir aux possibilités légales.

- Tu me prend sérieusement pour un idiot Jon’ ? Je te connais par cœur et je sais donc que tu mens parce que pour commencer, je sais quand tu mens mais ensuite, tu ne préviens pas quand tu es malade, je sais que tu as horreur qu’on vienne jouer les petits infirmiers… Et je sais que jamais rien ne serai comme avant… je voulais commencer par m’excuser et ensuite parler…

L’informaticien savait bien qu’il ne serait pas pardonné d’avoir quitté son amant ainsi pour une poubelle mais il ne l’avait jamais trompé pour autant. Il avait parfois été limite avec d’autres personnes mais il avait toujours été comme ça. Ce n’était pas pour autant qu’il était comme ça, il est du genre fidèle et pensait l’avoir prouvé de nombreuse fois.

Il vit Jonathan renter dans la maison sans fermer la porte, il entra donc, sans se tracasser de savoir si l’autre était d’accord ou pas. Normal quoi ! Il s’installa presque tranquillement dans le salon de l’autre ayant bien compris qu’il allait se changer. Il avait mis du temps à se décider à venir ici, il n’allait pas abandonner aussi vite, non, ce n’était pas dans les projets de ‘Xander, il voulait expliquer toutes ses motivations et même s’il devait de nouveau passer par l’étape meilleure ami pour récupérer l’homme de sa vie et bien il le ferait. Les paroles de son ex le blessèrent et il oublia bien vite ses excuses

- Tu as vite fait de parler… Je te rappelle que tu n’as pas été mieux à tout le temps m’accuser que j’allais te tromper alors que même pour des gens ou je ne sentais rien je n’ai jamais trompé… Tu ne t’es même pas demandé pourquoi, je suis parti… Non c’était trop facile de rejeter la faute sur les autres, tu as toujours eu facile. Et tu sais très bien que quand je veux quelque chose rien ne m’arrête… et je voulais te parler, des explications entre nous… et tout en œuvre fut un détective pas bien doué… pas très cher pour l’occasion… fallait apprendre à mieux te cacher… que tu m’abandonnes OK mais tes amis… ça non…

Et il pouvait encore lancer plein de reproche, il n’était pas à cours. Chacun avait ses torts et Alex ne supportait qu’on rejette toute la faute sur lui seul.

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() message posté Dim 6 Juil 2014 - 18:52 par Invité
Est-ce que Jonathan prenait Alexander pour un idiot ? Il y avait de fortes chances en effet, pas que ce soit son genre – oh si peu – mais il avait plus envie de retourner son coucher que débattre avec un homme qui ne faisait qu’empirer le mal de crâne dont il souffrait déjà. Non franchement, pourquoi est-ce qu’il n’avait jamais dit à son ancien meilleur ami que l’entendre débattre sans cesse pour prouver par a+b qu’il avait raison était agaçant ? Ha oui, parce que justement, ils étaient amis et inséparables à l’époque. Bon sang, comme quoi on pouvait être très clément dans ce genre de cas.

Oula QUOI ? Il était plus atteint qu’il ne le pensait par la fièvre ou Alex venait de dire qu’il n’était venu que pour parler et s’excuser ? Non sérieusement ? Il avait abusé des cachets pour faire baisser la fièvre ? Enfin en tout cas – et à regret – il devait admettre que pour une fois, le second irlandais de la pièce avait raison, ce n’était pas son genre du tout que de prévenir ses proches lorsqu’il était malade, il avait même plus tendance à les fuir jusqu’à être pleinement remis. Autant dire que lorsqu’il était cloué au lit une semaine, cela marchait plutôt bien, mais plus longtemps… jamais.

« Hum point pour toi. Mais sauf que cette fois, mon infirmier est assez séduisant pour que je veuille qu’il vienne s’occuper de moi. » et avant que l’autre homme ne voit cela comme une ouverture, Jon’ se dépêchait de rajouter : « Et je ne parle pas du tout de toi ici, mais de mon compagnon. »

Ouais maintenant qu’il y pensait, avoir le blond comme infirmier serait même très intéressant, surtout s’il ne portait rien sous sa tenue de docteur. Oula… Jon, concentre toi sur ce que tu fais et sur la personne en face de toi, le moment n’est clairement pas le meilleur pour essayer d’imaginer Declan en train de vouloir prendre ta température avec son thermomètre. Vous trouvez cette pensée salace ? Bande de dégoûtants, il n’y a aucun sous-entendus ici.

Enfin qu’à cela ne tienne, entre temps, le brun s’était rendu plus présentable avec des vêtements et écoutait avec attention son ‘’invité forcé’’ avant d’ouvrir des yeux ronds. Il rêvait ou Alexander lui rejetait tout sur le dos, en plus il aurait dût se demander pourquoi il était partit avec l’autre fille ? Il n’avait pas que ça à faire ! Il n’était pas le genre d’homme qui va ramper auprès de son ex pour savoir le pourquoi de leur rupture et le supplier de revenir. Non, il avait sa fierté d’irlandais et hors de question de laisser un homme changer cela. Jamais il ne changerait ce fait d’ailleurs, plutôt avaler de l’huile de foie de morue !

« Alors écoute-moi bien toi. Je ne dis pas que je suis sans tort, j’aurais dû prévenir mes amis avant de partir, je le sais, mais ne vient pas me dire que j’aurais dû essayer aussi de comprendre pourquoi tu avais agis de la sorte. Je ne m’abaisserai jamais à ce genre de chose. Tu as voulu tenter cette histoire avec elle ? Tant mieux, ce n’est plus mon problème. Tu veux t’expliquer ? Très bien, je t’écoute. Explique donc la noble raison qui t’as faits partir avec elle. Je sens que ça va être larmoyant à souhait, comme toutes les histoires bidon que nous avons inventées étant jeunes. »

Parce que oui, ils avaient été les rois des bobards dans leur adolescences, il fallait l’admettre ça ! Mais ce serait le seul aveu de l’irlandais. Tout en écoutant donc, le plus jeune gardait son portable à portée de main, il avait déjà tapé un message pour demander à Declan de venir, si besoin, il appuyait sur le bouton et le sms partait et aucun doute, Declan ne serait pas long à arriver.
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() message posté Mar 29 Juil 2014 - 20:29 par Invité



Alexander n’aimait pas vraiment être pris pour un idiot, encore moins lorsque c’était Jonathan qui le faisait. Il savait bien que sur ce point il avait raison, même si John aurait du mal à l’admettre. De toute façon, pour lui, c’était le plus grand défaut de son ex : Il ne voulait pas admettre ses torts. Lui avait aussi un peu le même mais bien évidemment, il ne le reconnaitrait pas. Il ne lui avait jamais dit non plus parce qu’il l’aimait qu’il ne voulait pas se prendre la tête avec lui pour une raison aussi bête que celle-là. Oui, il devait l’admettre, il pouvait être un sacré cas et vraiment un casse-pied quand il s’y mettait surtout quand il ne lâchait pas l’affaire, persuadé qu’il avait raison.

L’irlandais savait que son ancien petit ami continuait de mentir et cela avait tendance à le rendre de mauvaise fois et il avait encore plus envie d’accuser l’autre. Son intention de présenter ses excuses commençait à s’oublier. Il voyait bien que l’autre se moquait de lui. Il était loin d’être idiot et il le connaissait depuis leur plus jeune âge. Il voyait bien aussi à quel jeu l’autre jouait. Pourquoi sentait-il autant le besoin de préciser qu’il s’agissait de son compagnon, il fronça les sourcils quelques instants, signe que cette attitude le laissait perplexe. Il n’était pas certain de vouloir savoir toute la pensée de son interlocuteur. Il secoua la tête très légèrement signe qu’il se reprenait.

- Sauf que tu oublies encore une fois que je te connais autant que moi et que je sens exactement quand tu mens. Et tu penses, comme toujours que tu peux me prendre une un idiot sans que je ne dise rien. Comme je te connais, tu viens de le faire. Tu n’as jamais appelé personne et vu ta tête, ça n’as pas commencé.

Pour lui, il était certain que Jon aurait du venir lui demander pourquoi, aurait du réagir, faire quelques choses mais il n’avait rien fait, il avait tenté de se dire qu’il n’était pas fait l’un pour l’autre que si c’est comme ça qu’il l’aimait et bien, il n’avait rien perdu. Mais au final, il ne pensait qu’à lui, il n’arrivait pas à oublier son amant, il n’arrivait pas à penser à quelque chose de sérieux avec un autre que lui. Leur passé, son idée, sa présence lui manquait, son absence se faisait sentir.

Il grogna à la fin de la phrase de l’autre, comment pouvait-il se moquer de la sorte ? Alors qu’il était on ne peut plus sérieux. Il avait envie de lui mettre une bonne baffe pour lui remettre les idées en place. Il sera le poing et s’efforça de garder son bras le long du corps, se mordant la lèvre pour tenter de ne rien dire qu’il regrettait, il du faire appel à tout son sang froid pour ne rien faire, il baissa les yeux, les ferma même quelques instants et pris une grande bouffée d’air et rouvrit les yeux afin de regarder Jonathan dans les yeux, il voulait lui faire comprendre qu’il était sincère et qu’il n’inventait pas de mensonge, de continuer son but, même s’il avait du mal.

- Je suis parti parce que tu ne me regardais pas, parce que c’était comme si tu ne m’aimais pas, parce que j’aurais fait n’importe quoi pour toi, et encore maintenant, bordel Jonathan, je suis raide dingue de toi et tu n’en avais rien à faire quand je t’ai quitté, tu as trouvé le prétexte pour partir mais tu n’es même pas venu demander pourquoi ! Pas pour t’abaisser, pas pour ne pas entendre une soit disant réponse fausse et stupide ! Parce que tu n’en avais rien à faire voilà la réalité. Je ne t’ai jamais donné une seule raison de donner une seule raison de douter de mes dires ! Hors tu as toujours fait croire que si…

Il n’arrivait pas à rester calme, à tenter de s’expliquer, la douleur refaisait surface, il tenta de maintenir le contact mais fini par détourner le regard, serrant les mâchoires, il était clair que ce n’était pas facile et la seule chose pour laquelle ‘Xander n’était pas doué, c’était pour jouer le dramatique, la douleur et la peine. Il n’avait jamais su et ne saura pas à son avis.

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() message posté Sam 30 Aoû 2014 - 21:52 par Invité
Oui bon, Alexander connaissait très bien Jonathan, mais peut-être pas au point de pouvoir savoir comment il avait évolué et sur ce point, le brun était fier de lui. Il avait peut-être refusé que Declan vienne, mais… ce dernier avait sans doute compris dans son message qu’il était malade – il n’était pas idiot – et il n’avait qu’à appuyer sur une touche pour que le blond déboule chez lui et vienne dire à l’irlandais bis ce qu’il pensait de son retour soudain ici. Ça pourrait être amusant à voir, deux hommes qui se battent pour lui… un air rêveur passa sur le visage du malade pendant un moment, avant qu’il ne secoue la tête et ne darde son regard noir sur l’homme ne face de lui, avant de lui montrer son téléphone et le message qui n’attendait qu’à être envoyé. Un simple appui.

— Tu vois, tu es encore tranquille parce que je le veux bien. Declan sait que tu es là, si tu continues à m’agacer de la sorte, il débarque avec ses frères et te fous dehors avec un bon coup de pied aux fesses. Alors ? Qui ment déjà ? Si tu estimes que je suis de mauvaise foi, tu l’es tout autant que moi cher ami.

Son ton moqueur semblait avoir fait son petit effet et rien que pour cela, Jonathan était diablement fier de lui mais finissait par écouter Alexander et afficher un air sérieux – qui ne lui allait pas du tout – pour faire comprendre qu’il était en train d’écouter chacun de ses mots, même s’il s’en fichait royalement, comme de son dernier hot-dog avec supplément fromage. Non vraiment, il était loin le temps où ces deux-là étaient du genre à être d’accord.

— Je ne te regardais pas ? Et bien… ce qu’il ne faut pas entendre ! Quand je suis avec quelqu’un, je suis plus du genre à manquer de le faire fondre à force de le regarder qu’à le frustrer parce que je l’ignore. Là tu es un sacré menteur, permets-moi de te le dire.

La suite fit serrer les poings au malade – malheureusement pour lui – avant qu’il ne se lève et affiche un air de dédain qui était bien rare chez lui, généralement pour l’un de ses pires ennemis, mais rien d’autre. Hors cette fois, Alexander l’avait mis hors de lui. Le moyen de le savoir ? Il venait d’envoyer son poing dans la figure de l’autre irlandais.

— Parce que tu t’attendrais vraiment à ce que je demande des explications en plus ? Mais si tu es tellement persuadé que je n’en avais rien à fiche, pourquoi j’aurais perdu ce temps ? C’est amusant… comme tu penses me connaître, et au final… je vois que pour un ami d’enfance, tu me connais au moins autant que ma famille que je déteste. Je pense que tu devrais partir maintenant… tu as… allé… maximum dix minutes avant que l’on ait de la visite et que tu ne comprennes pourquoi je suis si bien ici maintenant. J’ai tout ce que je n’avais pas avec toi, un semblant de famille, de la stabilité et surtout… je l’avoue, j’ai plus confiance en lui qu’en toi.

Mêlant le geste à la parole, le message était envoyé. En un sens, ce n’était pas plus mal, surtout s’ils en venaient aux mains. En même temps… avec le passé de Jonathan, qui avait quand même du mal à gérer ses pulsions, il ne fallait pas s’étonner qu’il démarre aussi rapidement à ce qu’il jugeait être une provocation. S’il était doux comme un agneau, il n’aurait jamais fait de prison.
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 22:34 par Invité



Alexander se fichait de la visite de son rival, il comptait prouver à Jonathan qu’il était amoureux de lui mais surtout le récupérer. Et la fureur de ce dernier le mettait malade de douleur, de jalousie, de colère aussi, d’accord il ne s’était pas attendu à le voir sauter de joie mais quand même, il ne s’attendait pas à ce que tous les torts du couple et même de l’amitié et encore d’autre tort lui tombe dessus ! Il voulait bien admettre avoir des torts, comme tous le monde, certes, mais uniquement si on ne l’accusait pas de tout exactement comme en cet instant. Son ton hautain, moqueur le choquait. Son ancien amant aurait-il changé à se point ? A faire appel à quelqu’un pour se défendre alors qu’auparavant il en était trop fier ? Depuis quand avait-il aussi peur d’Alex ? Il se posait bien la question, car il n’avait jamais levé la main sur lui ou donné une raison de le craindre. Mais li aussi avait des répliques en réserve, après tout, si Alex était connu c’était surtout pour avoir le dernier mot à chaque fois ou quasiment.

- Quoi ? Tu as peur de moi au point d’appeler quelqu’un ? Ou tu as peur de craquer et de le tromper ? Tu sais bien que je me fiche des autres. Traite moi de menteur tant que tu y es ! Tu me fait passer pour me monstre de l’histoire mais tu n’était pas mieux et tu es encore pire aujourd’hui : Regarde toi dans un miroir c’est tellement plus difficile que d’accuser les autres dans l’ignorance, visiblement ce que tu ne sais plus faire aujourd’hui.

Pour ceux qui connaissaient un tant soit peu Alex, on aurait compris qu’il souffrait plus qu’il n’était en colère, il se protégeait en quelque sorte. Et les paroles de Jo’ en rajoutait une couche. Oh oui quelques fois il l’avait regardé comme ça mais tant de fois il lui avait semblait que son amoureux de l’époque regardait ailleurs, c’est d’ailleurs pour ça qu’après avoir tenté d’attirer son attention il avait fuit pour ne pas trop souffrir. Il était sorti avec la première personne stable qu’il semblait avoir trouvé, c’était la vision des choses du châtain.

- C’est l’hôpital qui se fout de la charité ? C’était moi les regards de braiser, moi qui réclamait les attentions, moi qui réclamait les câlins et encore plus quand on était avec les autres : C’est toi le menteur sur ce coup ! Tu te servais juste de ton regard pour que je fasse ce qui te plaise ! C’est pour ça que j’ai préféré partir avec quelqu’un d’autre, pour éviter de continuer à souffrir, sauf que je n’arrive pas à penser à quelqu’un d’autre qu’au c*****d que tu es !

Il se recula sous le choc du point avec encore une envie de cogner et encore plus quand la suite arriva. Il ne voulait pas demander d’explication !? Pour l’irlandais cela voulait tout dire. Ce fut lui qui lui écrasa son poing dans la figure cette fois.

- La preuve que tu ne m’as jamais aimé ! Tu viens de la dire ! Tu ne voulais même pas savoir pourquoi je t’avais quitté ! Tu n’as jamais cherché ! Perdu du temps ! Je commence à douter ! Tes paroles parlent suffisamment ! Peut-être d’ailleurs que tu cherchais d’autre chose et que j’étais la solution facile en attendant ! Ou bien même encore que tu avais envie de d’amuser ! C’est plutôt toi qui devrais répondre à la question ! Tu te permets de me juger exactement comme cette famille qui est la tienne et que tu dis détester, en réalité tu n’es pas mieux qu’eux, peut-être même pire ! Tu critiques, tu accuses, tu jettes tout sur la tête des autres sans reconnaître aucun tort, à t’entendre tu es parfait ! Exactement comme ta famille que tu dis détester ! Tu dis que je suis proche d’eux que je leur ressemble mais tu leur ressemble encore bien plus que moi ! Tu fais ta victime exactement comme ce qu’ils font ! Tu parles que tu recherchais la stabilité ! C’est moi qui la recherchait et toi qui ne l’a jamais voulu alors que je n’ai jamais donné aucune raison de douté alors même que nous étions amis et que je draguais ! Je n’ai jamais eu qu’une personne à la fois et en couple, je ne draguais personne d’autre ! Alors soit tu te mens à toi-même ou alors tu es un abruti ou même un c*****d ! Et sérieusement, tu crois que je vais partir pour un SMS ? Tu dis que je ne te connais pas mais tu es encore pire ! A ce demandé si tu m’as connu un jour parce que je n’ai pas changé MOI !

Alex se fichait de tout, surtout en ce moment, il avait mal, plus mal que tout et même si sur l’instant, il voulait lui faire aussi mal qu’il avait mal, il voulait surtout lui faire comprend et le récupérer malgré tout ce qui venait être balancé d’un coté comme d’un autre. Même s’il avait plus que mal des paroles de l’autre, justement parce qu’il en était encore amoureux. Il ne comprenait pas, ne comprenait plus, ne le comprenait pas ou plus, il ne pouvait pas avoir changé à ce point, si ?
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() message posté Dim 5 Oct 2014 - 14:29 par Invité


”Bonj… au revoir!"
Nice, je suis énervé maintenant !

Ils étaient devenus radicalement opposés avec le temps. Jonathan savait, enfin… il avait compris en tout cas, que les possibilités de recréer un lien quelconque avec Alexander étaient plus que réduites. Ce n’était d’ailleurs pas un problème en soit, car à mesure que la discussion allait, il avait réellement l’impression de ne plus avoir l’impression de se retrouver face à son pire. Pourtant il ne se mura pas dans le silence, même si cela aurait sans doute mieux valu.

« Je n’ai pas peur de retomber dans tes bras, je sais que ça n’arrivera pas, à moins que je deviennes subitement amnésique. Seulement quand j’ai la crève, je n’ai pas envie de me prendre la tête et encore moins de me fatiguer à te mettre moi-même dehors. »

Tout aurait pût rester plus calme si Jonathan avait eu le bon sens de ne pas frapper son ancien petit-ami, seulement ces nerfs étaient à vif et il s’en fallait de peu pour perdre son sang-froid, pourtant, il ne s’était pas attendu à se recevoir un coup en retour. Ce qui expliquait sans doute qu’il n’ait pas prévu de se protéger le visage, et qui causa sans doute le craquement qu’il entendit et un peu du sang qui s’écoula de l’une de ces narines. Non mais c’est pas vrai ! Il n’avait pas besoin de cela en prime et bien entendu, cela lui renvoya en tête la période où il se battait rapidement et son côté sang-chaud revenait à la charge. Son regard bouillonnait de rage et il peinait à garder le contrôle de lui-même.

« Pas le nez ! C’est quoi votre délire à toujours viser le visage? Je vais être défiguré maintenant ! Si je me vide de mon sang, t’auras ma mort sur la conscience espèce de ***** »

Oui il devrait réellement revoir l’ordre de ses priorités. Même furieux, Jon’ pensait surtout au fait de ne pas être trop amoché, il avait peur de se retrouver avec le nez de travers ou autre… Comme toujours, Alexander se présentait en victime, même quand lui avouait à mots couverts avoir également ses torts, ce qui était un énorme effort lorsque l’on connaissait le gaillard. Enfin bref… comme cela a été dit plus haut, Jon’ perdait le contrôle et saisissait son ex par le cou pour le plaquer contre le, ignorant le fait qu’il s’était pour sa part cogné le genou dans un meuble au passage. Il voulait jouer à cela ? Très bien, il n’était plus temps de parler alors… comme il disait à l’époque, quand il s’énervait tellement que seuls Alexander – à l’époque – et l’un de leurs amis pouvaient tenter de le calmer sans qu’il ne les réduise en pièce :

« C’est l’heure de l’échauffement dans ce cas… deary… »

Le premier coup partait aussitôt après… suivit d’autres… et dire que sa journée avait normalement pour but d’être au calme…


Sauney de Never Utopia



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Anonymous
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 22:43 par Invité



Don't mess with my boyfriend, mate.
Journée somme toute assez normale pour lui aujourd'hui. Une réunion de travail en milieu de matinée qui s'était soldée par un repas d'affaire plutôt concluant puisqu'il avait décroché ce nouveau contrat et ensuite, répondre aux mails, rappeler certains clients et renvoyer certains documents... Son lot quotidien quoi -enfin celui de sa secrétaire en général mais ces derniers temps bizarrement, il était bien plus productif, sans doute parce qu'il était toujours de bonne humeur grâce à un certain irlandais dont je tairais le nom ici-. Il savait ce dernier malade chez lui et vu comment il pouvait être dans ces cas là, il préférait le laisser végéter la journée tout en vérifiant de temps à autres s'il vivait encore en lui envoyant un message ou en téléphonant. Mais quand il reçu le message de Jon lui disant que son ex était chez lui et qu'il ne voulait pas décoller, son sang ne fit qu'un tour. Ce type n'avait pas idée de la merde dans laquelle il venait de se mettre. Composant le numéro de Rory et Aaron -Joshua serait contre l'idée de régler tout ça par la violence alors autant s'éviter de l'entendre lui faire la morale pour la peine-, il leur dit de rappliquer chez Jon pour aller faire comprendre à Alex de quoi il en retournait.

Oui, c'était sans doute exagéré comme réaction, surtout qu'il n'avait aucune idée de ce qui se passait réellement chez le brun pour le moment mais là dans l'instant, il n'y avait pas réfléchit. Comme quoi, il avait bel et bien changé depuis qu'il était avec Jon. Quelques années auparavant, il se serait sûrement contenter d'un message disant qu'il s'en fichait. Forcément vous me direz puisque c'était toujours lui qui mettait fin à ses relations. Mais là, tout était différent. Cette fois pas question de faire le con ou de perdre Jon maintenant qu'ils étaient enfin ensemble, surtout pour ce fameux ex qui l'avait tant fait souffrir par le passé. Donnant rendez-vous à ses frangins en bas de l'immeuble où vivait Jon, il dit à Dawn qu'il devait y aller, une urgence et il quitta en trombe l'agence pour venir rejoindre le brun chez lui au plus vite. Il s'imaginait le pire, pas parce qu'il n'avait pas confiance en Jon mais parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher de se dire que comme sa mère des  années auparavant, ce dernier pouvait très bien partir sans lui ou retomber dans les bras de son ex. Ça ne serait pas le premier à le faire, soyons honnêtes. Une fois à destination, il rejoignit ses frères et monta 4 à 4 les marches jusqu'à son appart, ayant donner comme instruction à Aaron et Rory de rester sur le palier en attendant. Sortant le double des clés de l'appart qu'il avait avec lui à présent, il entra sans prévenir dans l'appartement, le regard noir et l'air clairement prêt à en découdre si besoin. « J'peux savoir ce qui se passe ici ? » lâcha-t-il d'emblée, scannant la pièce du regard pour trouver les deux autres dans la foulée. Comment allait-il réagir en voyant Jon blessé ? Ça on le saura bien assez tôt...

© charney

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