(✰) message posté Jeu 15 Jan 2015 - 17:57 par Destiny Tynged
awkward situation.
Jonathan M. Murdoch & Alexander O. Breslin
Vous (Alexander) décidez de prendre une marche afin de prendre l'air et vous calmez suite à une impasse sur un problème informatique. L'air vous fera peut-être du bien, qui sait. Alors, vous sortez de chez vous et le vent est froid, mais soutenable pour un mois de janvier. Tout de même, après plusieurs minutes, vous décidez de vous arrêter au café le plus près pour acheter une boisson chaude afin de vous réchauffer. À ce moment-là, vous prenez conscience que dans votre hâte vous avez oublié votre porte-monnaie. Vous commencez donc à jeter des regards paniqués autour de vous jusqu'à ce que votre regard s'arrête sur une silhouette familière. Alors, vous prenez votre courage à deux mains et vous vous approchez de cette silhouette tranquillement pour demander à cet inconnu (Jonathan) s'il a la courtoisie de payer votre consommation déjà commandée.
Il n'y a pas d'ordre défini dans ce RP. Ce RP est issu du système "Le RP est aveugle"
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(✰) message posté Sam 17 Jan 2015 - 23:43 par Invité
awkward situation
Pourtant, je ne l’ai pas cherché
Alex avait décidé d’aller marcher et respirer un peu le bon air dehors, il ne comprenait pas le souci de cet ordinateur, le pc de son client avait attrapé un virus qui faisait apparaître des publicités. Il était venu vers lui parce qu’il avait tenté de le supprimé comme il avait trouvé sur internet, chargé des séries d’anti-virus, de spyware, de machin et de bidule soit disant capable de le supprimé, à tel point que des programmes étaient rentrés en conflit. Bref, le gars même qu’on a envie d’assommer quand il arrive en disant « Salut, mec, j’viens te voir parce que tu dois être plus douée que moi ». Déjà la première phrase te met de bonne humeur mais quand il continue en disant « J’me suis choppé un de ces virus de m***e, il me prend des pubs... je ne sais plus comment il s’appelle, c’est marqué partout », ça continue mal, mais bon limite on se dit que c’est juste une personne un peu plus simple que certains… Et puis, il continue « J’ai tenté de l’enlevé », cela doit sans doute être la phrase la plus crainte des informaticiens. Alexander s’était enquis de savoir comment et à chaque information, il cherchait un siège et imaginait une façon de punir l’inconscient. Le pire c’est qu’il annonçait ça avec un sourire en disant qu’il avait fait tout ce qu’il avait trouvé sur internet. Le châtain avait fini par lui sortir qu’il allait tenter de sauver ce malheureux pc et que la prochaine fois il ne tentait pas de suivre tout en même temps et qu’il préférait qu’il appel pour un conseil. Il avait supprimé une partie des programmes qui n’avaient rien à faire dans l’histoire et puis s’était attaqué au virus mais il ne trouvait pas son emplacement, pourtant au final c’était simple… il fallait aller chercher dans la suppression des programmes… sauf si avec tout ce qu’il avait fait, il l’avait déplacé ou cacher… mais il ne trouvait pas la solution. Il eut envie d’appeler le client et de lui crier dessus pour lui faire passer l’envie de faire des conneries mais il prit une grande inspiration et se décida qu’il ferait bien de faire un tour, la solution viendrais quand il n’en penserait sans doute plus.
Il enfila donc son manteau beige (oui oui, celui du Docteur) et ferma la boutique un instant avant de se promener dans les rues, après plusieurs minutes, il vit un café, il décida de s’arrêter et de boire un café pour se réchauffer, il commanda observant les personnes autours, il se demandait s’il pourrait prendre une autre boisson, il voulut prendre son portefeuille pour voir s’il avait assez de monnaie et puis se rendit compte qu’il ne l’avait pas, il l’avait laisser à la boutique. Il se dit qu’il devrait se faire payer le café ou alors demander qu’on lui prête l’argent et qu’il rembourse, il observa alors les clients et une silhouette lui sembla familière, il s’en approcha donc et une fois à son niveau un petit gémissement s’échappa de sa gorge, il se demanda s’il pouvait parler de chance ou de malchance, tomber sur Jonathan maintenant, sans argent… Il décida de tenter le tout pour le tout.
- Salut … je crois que je te dois des excuses. Est-ce que tu accepterais de parler un peu avec moi…
Il prit une petite moue désolée, oui, il pensait qu’il devait présenter ses excuses mais sans doute pas pour la scène de la dernière fois, pour bien avant… il se fichait sur l’instant que Jonathan comprenne, il espérait qu’il accepterait de lui parler. Il gardait la tête baissée, preuve qu’il regrettait vraiment quelque chose mais au fond, il espérait aussi qu’il accepte et peut-être accepterais d’au moins lui avancer sa boisson si ce n’est pas lui payer. Au pire, il voulait bien lui rembourser, même une fois arrivé au magasin…
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(✰) message posté Jeu 29 Jan 2015 - 10:26 par Invité
awkward situation
Bon bah... prend un croissant hein!
[excuse pour le temps de réponse ^^’]
Jonathan avait eu besoin de sortir aujourd’hui, après avoir été de service de nuit, il s’était dit que prendre une collation dans un café était tout destiné, pour tenir éveiller d’une part, mais aussi et surtout pour remettre ses idées en ordres. Cette nuit, il y avait eu l’arrivage d’une personne qui avait tenté de se tuer… en prenant des laxatifs… même si ce n’était pas très professionnel, Jonathan n’avait pût s’empêcher d’éclater de rire et – en allant nettoyer la chambre de ce patient – qu’il y avait des morts quand même moins ‘merdique’… au moins, il avait réussi à arracher un sourire à cet adolescent dont les parents n’étaient même pas venu prendre des nouvelles. Peut-être était-cela aussi son secret, il arrivait à détendre les gens dans les pires situations et ce gamin lui avait demandé de revenir le voir, ce qu’il comptait faire. L’irlandais ne comprenait pas que l’on puisse ainsi laisser des gosses, livrés à eux-mêmes et sans se soucier d’eux, certes la vie du petit n’était pas en danger, mais quand même !
Enfin du coup, maintenant, l’agent d’entretien était en train de boire un chocolat avec de la cannelle – il adorait cela depuis qu’il était gosse – et passait un moment de calme incroyable avec les viennoiseries du gérant du bar, quand un étrange bruit lui fit froncer les sourcils. Quelqu’un venait de… d’avoir un gémissement ? En s’approchant de sa table ? Ok, il était très séduisant – dixit un certain blond – mais de là à provoquer cette réaction. Pourtant en relevant les yeux, il voyait la dernière personne sur qui il aurait aimé tomber… Alex. Qui voulait… hein ? Lui présenter des excuses ? Il était tombé dans la 12ème dimension ou quoi ? Non, pas la 4ème, littéralement la 12ème. Alexander ne présentait jamais ses excuses, enfin… normalement… sans doute après cette bonne journée bien chargée, mais aussi par la fatigue, le jeune homme désignait d’un vague geste de la main la chaise libre face à lui. Pour avoir connu l’informaticien depuis toujours, le brun savait à l’expression de ce dernier qu’il était sincère, du moins, qu’il se reprochait réellement quelque chose… alors non, il n’allait pas encore se borner dans cette idée, pour une fois.
« Je veux bien t’écouter, mais si ça commence à faire comme notre dernier échange, je te laisse ici et je rentre. »
Cependant, pour ne pas avoir l’air de dire cela en guise de première attaque, il se hâtait de rajouter avec ce qui était l’ombre d’un sourire :
« C’est pas contre toi hein, mais je viens seulement de finir ma journée, alors je n’ai pas envie de me prendre la tête avec qui que ce soit, même pas toi. »
Pourtant avant, même en étant ensemble, ils se chicanaient parfois pour la forme, juste histoire de…
Entre temps, le serveur avait déposé une boisson devant l’autre homme et Jon grimaçait. Il avait toujours eu une sainte horreur de l’odeur du café, même s’il carburait à cette boisson au travail. Le matin, il ne pouvait juste pas supporter, il lui fallait son petit chocolat avant de pouvoir avaler autre chose, sinon il devenait grognon comme un enfant que l’on réveille trop tôt.
« Alors le travail… ? Tu n’as pas envie de t’arracher les cheveux parfois ? Je me souviens que tu pétais les plombs parfois, quand tu voyais que les gens bousillaient leur pc comme des grands. »
Au moins, il montrait ainsi que tout était posé. Ce qui n’était plus arrivé depuis longtemps. Depuis avant son départ d’Irlande.
Alex était vraiment content que Jonathan accepte de lui parle et semble même faire table rase de ce qui s’était passé la dernière fois, c’était assez sensationnel dans un sens. Il était si heureux que les choses se passent ainsi, il avait envie de le serrer dans ses bras de bonheur, mais il préféré éviter de faire ce genre de geste et de le mettre de mauvaise humeur. Il observa l’homme et s’assit donc en face de lui, il devait présenter des excuses.
- Je suis sincèrement désolé, je n’aurais pas dû être aussi agressif, la rancœur de David m’as sans doute un peu touché… je me rends compte que j’ai fait une grosse bêtise en partant parce que j’ai été un trouillard. Je me doute que je t’ai blessé… Je n’ose imagine comment… pour ne pas te mentir, oui, je t’ai reproché de ne pas venir me rechercher… mais je n’aurais jamais du te plaquer, même pour la « poubelle »… j’ai été un idiot. Le pire dans tout ça, c’est que je t’aime encore… toujours, je n’arrive pas à t’oublie. Je n’ai pas envie de te mentir… j’espérais toujours plus avec toi, mais ce dont j’ai le plus besoin c’est de ta présence, j’apprécierais vraiment si on peut retrouver une certaine amitié même si je me doute que tu ne sauras plus m’offrir la place que j’avais dans le passé. Je vois que tu es fatigué et je ne suis pas sûr que tu ais besoin de ça, mais je devais te le dire. Et je te rassure, je comprends, tu as l’air épuisé.
Il n’osa pas lui demandé comment c’était passer sa journée, il fit une petite moue compréhensive alors que le café arriva, il savait, se souvenait que cette boisson ce n’était pas toujours son truc et l’avais vu grimacer, il éloigna la tasse le plus loin possible de lui. Et il eut de nouveau un sourire et envie de le prendre dans ses bras alors qu’il lui demandait s’il s’énervait toujours sur les gens qui cassait leur pc tout seul, il se souvenait, toutefois, il ne fit pas ce geste d’affection mais il éclata de rire, de bonheur mais aussi parce que c’était drôle dans un sens étant donné ce qui venait d’arriver.
- Oh oui ! Toujours, ils sont champions ! Encore un ce matin… il arrive pour me déposer un ordinateur portable, il commence déjà par « Salut mec, je viens te voir parce que tu dois être plus douée que moi ». La phrase qui me fait déjà me dire que j’suis dans les emmerdes. Parce que ça veut dire qu’il a bien fait le crétin pour résoudre son souci alors qu’il savait pas… et j’avais gagné… il s’est choppé un virus de merde…. Sauf que monsieur à tout tenter en même temps… en même temps… non mais c’est du n’importe quoi ! On tente une chose, on tente l’autre, l’un à la suite… pas en même temps… Il se souvenait même plus du nom de son virus alors que c’était écrit partout… Et il a tellement bien tout fait… que le virus n’est plus traçable… J’avoue sécher sur l’instant mais sans doute un peu de colère envers cet abruti. T’imagine… non mais le pc peut-être le meilleur ami de l’homme et lui, il casse tout parce que monsieur veut faire le malin.
Il s’arrêta soudain d’une manière assez nette. Il se rendait compte qu’il était en train de s’énerver et de s’emporter et ce n’était pas ce que son ami avait besoin. Il se mordit l’intérieur des joues et baissa la tête, preuve qu’il avait compris de ce qu’il venait de faire et qu’il le regrettait un peu.
- Pardon, je parle, je parle et en plus je m’emporte. Tu n’as sans doute pas besoin de ça en ce moment. Et toi ? Le travail comment ça va ? Et dans le reste de la vie d’ailleurs. On n’a pas eu beaucoup l’occasion de parler je crois. Un peu de ma faute.
Oui Alex culpabilisait vraiment mais surtout d’avoir perdu Jonathan et d’avoir agis comme un crétin, de pas être resté naturel et amoureux, d’avoir fui. Il regrettait pas d’avoir voulu le récupéré et il ne cesserait pas, il irait d’une manière bien plus subtile, en douceur et en tendresse, en terrain caché, guettant la moindre faille.
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(✰) message posté Ven 27 Fév 2015 - 11:33 par Invité
awkward situation
It's my life...
Plongé dans son silence quasi habituel, Jon écoutait ce que pouvait bien avoir son ex à lui dire. Il était désolé… ça, il s’en était douté dès le départ mais ne le fit pas remarquer, le laissant s’expliquer comme il semblait le vouloir. La Poubelle… quelle bonne appellation, surtout en ce qui concernait cette greluche qu’ils avaient tout de même détesté l’un comme l’autre durant des années, en sales gosses qu’ils étaient à l’époque. Elle avait été fière d’elle en les séparant, pour la forme, Jon aurait adoré voir sa tête quand il l’avait lâché, elle qui se pensait si belle, si parfaite, la petite princesse à son papa, qui n’avait jamais rien foutu de sa vie. Oh bien entendu, les paroles de l’informaticien pourraient l’énerver aussi, après tout, il était celui l’ayant plaqué et lui sortit qu’il avait toujours espéré plus était un peu insultant, surtout maintenant qu’il avait quelqu’un, mais il n’en fit rien. Quand on vous dit que la fatigue fait des miracles.
« Tu sais que je ne peux plus te rendre ce que tu éprouves pour moi, mais peut-être que je peux faire l’effort de t’offrir une amitié comme la complicité que nous avions autrefois. Bon… Declan risque d’être jaloux, il te déteste purement et simplement… il faut dire que je ne lui ait pas dressé un portait très élogieux de toi, mais si tu fais des efforts, il en fera aussi. Ne le provoque pas, c’est tout. Je tiens à lui, et je ne veux pas que tu viennes tenter de tout gâcher, si le moindre doute devait survenir, je te jure que tu quitteras ma vie une seconde fois, sans aucune dernière chance. »
Il n’était pas dupe après tout, l’irlandais connaissait assez son ex pour se douter que malgré ses belles paroles, il n’allait pas lâcher l’affaire aussi facilement. Seul un fou pourrait le croire, hors, il n’était ni fou, ni idiot. Juste crevé, comme venait de le faire remarquer Alex dans toute sa sagesse. Vous saisissez l’ironie dans ses propos hein ? Parler informatique n’avait pas été une bonne idée se dit soudainement Jonathan, surtout en voyant l’autre s’emporter alors que lui, il tentait de se faire tout petit sur sa chaise avec son chocolat, se donnant un air de petit garçon qui avait posé une question stupide et s’en flagellait déjà mentalement. Au moins, il s’en rendait compte et après avoir bu un peu de son chocolat – non sans se lécher les babines comme un bienheureux – pouvait se permettre de lui répondre en se sentant mieux.
« Tu as raison, je suis k.o. On a eu un sacrée nuit au travail. »
Rien que d’y penser, ses mains se resserrait sur sa tasse en revoyant le visage triste du gamin quand il lui avait dit qu’il s’en allait car son service était terminé. Il n’avait pas d’amis, d’après ce qu’il savait, et ses parents n’étaient jamais présents pour lui. Peut-être qu’il aurait été pareil s’il n’avait pas eu d’amis dans sa jeunesse ? Un gosse sans espoir ?
« Un adolescent a tenté de mettre fin à ses jours, j’ai horreur de ce genre de chose. C’est un gamin, il devait être occupé à faire d’autres conneries, comme se prendre sa première cuite, se bagarrer avec ses amis, se prendre des râteaux… même faire des tags dans la rue. Mais pas s’arrêter de vivre. »
L’air de rien, c’était désormais lui qui était en train de monopoliser la conversation et il continuait sur sa lancée.
« J’ai l’impression de me reconnaître en lui par moment, peut-être que c’est pour ça que j’ai été touché par son histoire. Ses parents ne sont même pas venu le voir, tu te rend compte ? Ils sont totalement inconscients ! De ce que j’ai entendu, quand ils ont été contacté, ils ont simplement dit qu’on garde leur gosse aussi longtemps qu’on le voulait, que ce n’était pas important ! »
Et cette-fois, c’était lui qui s’énervait avant de secouer la tête et avoir l’air de s’excuser pour sa petite crise, façon de parler.
« Désolé. Comme tu vois, on a aussi nos moments durs, même quand notre boulot est simplement de passer le balai. Je ne sais pas comment font les médecins… »
Le reste de sa vie ? Cette question ramenait un sourire chez l’agent d’entretien qui se passait une main dans les cheveux, nerveux et ravi en même temps. Il était facile de voir qu’il était heureux en fait, et il n’allait pas le cacher.
« Tout va plutôt bien, je me suis fait des amis depuis mon arrivée et puis… comme tu le sais, je suis avec quelqu’un qui a tendance à s’assurer que je vais bien, même quand je tente de lui faire mon petit numéro pour qu’il n’apprenne pas que je suis malade. Franchement, il est plus borné et plus jaloux que tu ne peux l’être, et je pensais pas ça possible, parce que tu as un sacré niveau. »
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