"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici going to jail for your best friend. that's the dream. (walt) 2979874845 going to jail for your best friend. that's the dream. (walt) 1973890357
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() message posté Sam 9 Mai 2015 - 14:00 par Invité
Il a longtemps hésité entre rester dormir à l'hôpital ou rentrer chez lui. Dans d'autres circonstances, il serait resté mais la présence de sa mère et de son beau-père ne lui donne aucune envie de passer la soirée avec eux. Il vient de passer les deux dernières heures à raconter des histoires à sa petite sœur et à visionner – pour la cinquantième fois, au moins – Frozen. Puis sa mère est arrivée. Il l'adore mais la perspective de devoir lui faire la conversation, à elle et son nouveau mari, l'encourage à quitter l'hôpital. Dans l'ascenseur, il échange quelques mots avec Monica, prenant le temps de demander des nouvelles de sa nièce qu'il sait qu'elle adore. Elle semble toujours contente de voir qu'il s'intéresse à sa vie, qu'il se souvient et ne semble pas faire semblant. Malgré le peu d'intérêt qu'il paraît donner aux autres d'habitude, Bo ne s'est jamais forcé à l'écouter, Monica. Ils se saluent simplement lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrent, laissant un Bo un peu dépité en voyant, au loin, une averse s'abattre sur Londres. Il avait cru que le printemps s'était définitivement installé, que l’été arriverait bientôt, pourtant, il n'est pas surpris de s'être trompé. Sur le moment, il ne sait pas trop ce qu'il peut faire, peu de choix s'offrent à lui. Rester ici jusqu'à ce que la pluie s'arrête ou se calme, ou rentrer chez lui malgré tout. En toute logique, un peu de pluie ne l'arrêterait pas, mais cette fois-ci, il doute pouvoir tenir toute la route avec son vélo. Il se rappelle alors que l'appartement de Walt n'est pas si loin. Après y être passé tous les jours pendant presque deux semaines, il sait parfaitement que c'est l'endroit le plus proche de l'hôpital où il pourrait être à l'abri. Il se met en route assez rapidement, regrettant la chaleur que lui offrait la chambre de sa sœur. Sur le chemin, il fulmine contre le vent qui le décoiffe et la pluie qu'il se prend en pleine figure. Il est obligé de faire un arrêt dans une épicerie, non pas pour consommer mais attendre que le vent ne s'arrête. Pourtant, il en profite pour acheter de la bière, lui qui d'habitude vient chez les gens les mains vides. Après quelques minutes à trainer ici et là dans le petit magasin, il en ressort, tout content, avec son sac plastique. La pluie n'a pas cessé contrairement au vent mais ce n'est plus aussi violent. Il reprend son vélo en mains, après s'être décidé à finir le trajet à pieds. Et finalement, en arrivant dans la rue où habite son ami, il réalise ne pas être beaucoup revenu depuis que celui-ci est de retour d'Australie. Une fois, peut-être, après l'affaire des braqueurs qui a frappé Londres. Mais les autres fois, ils s'étaient principalement retrouvés chez Bo, ou dans les bars. Arrivé devant l'immeuble, il ne s'attarde pas à appeler Walt à l'interphone, ni à se creuser la tête pour retrouver le code d'entrée puisqu'il a encore en sa possession les clés. Faudrait qu'il pense à les lui redonner d'ailleurs. Ça l'embête, un peu, de débarquer à l'improviste, pas son genre de ne pas prévenir. Dans le petit hall, il met un temps fou à y rentrer pour y garer son vélo. Des dizaines de cartons y sont stockés, bloquant le passage à toute personne voulant circuler. Une femme vient s'excuser du dérangement parce qu'elle emménage. Pas son problème. Il hausse les épaules avant de se proposer à porter un des cartons. Et lorsqu'ils s'arrêtent au deuxième étage, Bo fronce les sourcils, surpris de l'appartement qu'elle occupe. En venant régulièrement ici pour s'occuper des animaux de Walt, il se rappelle que c'est un homme qui habitait l'endroit. Un grand, brun, avec des lunettes et un sourire à se damner. Il est un peu dégoûté de ne plus avoir l'occasion de le croiser. Après un échange courtois, Bo reprend son sac et empreinte les escaliers qui mène à l'étage où habite son meilleur pote. Il tape quelques coups contre la porte, puis patiente, le temps qu'on vienne lui ouvrir. Avec un peu de chance, celui-ci sera seul. En tout cas, il l'espère. « Salut salut. » qu'il dit quand la porte s'ouvre enfin sur Walt. « Damnit, depuis quand il a déménagé le brun du deuxième étage ? J'espère que tu lui as refilé Beckham quand il est parti. » Sa question laisse penser que, ouais, le voisin lui plaisait assez. Mais pas le chat. Il ébouriffe rapidement ses cheveux trempés, ne se souciant pas réellement de l'image qu'il doit renvoyer. Après tout, c'est Walt qu'il vient voir, il n'a pas besoin de l'impressionner. Et puis, Bo part du principe qu'il est toujours canon à voir. Peu importe le temps, l'heure ou sa façon d'être habillé. « T'attendais personne ? Parce que j'ai ramené des amies sinon. » Il soulève le paquet de bières.
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() message posté Dim 10 Mai 2015 - 12:14 par Invité
Depuis l'attaque du chien fou à hyde park, Walt se tapait un sale mal de genou, alors quand il s'était réveillé en début de semaine sans aucune douleur, il avait décidé de retourner à la salle de sport tous les jours. Ne pas pouvoir jouer avec ses petits protégés lors des entraînements l'avait suffisamment frustré et il avait besoin de dépenser de l'énergie. Sacré bonus de s'être traîné jusqu'à la salle de sport, il avait tchatché une nana canon, la nana typique qui va à la salle de sport régulièrement, un corps parfait. Puis finalement, il était reparti avec elle jusqu'à son appartement qui par chance ne se trouvait pas très loin de la salle de sport. Son affaire réglée, il s'était éclipsé en vitesse, sans laisser son numéro de téléphone. Classique Walt, encore une femme jugée non digne de son intérêt sur la durée. Retour à son appartement pour une session de football, objectif regarder tous les matchs qu'il a enregistrés et pas eu le temps de regarder encore. La tenue du jour : Caleçon et maillot de son joueur favoris Steven Gerrard. Malgré tous ses cris habituels devant la télévision, ce n'est pas lui qui fait le plus de bruit dans l'immeuble. Alors, il insulte abondamment ses voisins sans vraiment savoir ce qui se passe dans l'immeuble. On dérange sa quiétude, c'est suffisant pour le faire râler. Match terminé, il s'installe devant son ordinateur pour regarder la suite de la sitcom à la con dans laquelle à jouer Remy lorsqu'elle était petite. Surtout parce que ça l'emmerde et qu'il ne se prive pas de lui envoyer ses impressions par texto dès qu'il trouve quelque chose de ridicule ou lui envoyant des MMS avec sa tête lorsqu'elle a une gueule ridicule. La sitcom est naze, mais il ne s'en lasse pas. Soudain, on frappe à la porte et il s'imagine qu'un de ses voisins vient encore le soûler pour lui demander du beurre ou un truc tout aussi chiant. Du coup, il ignore et reste devant son ordinateur tranquillement, jusqu'à ce qu'on tape à nouveau et qu'il se décide enfin à se bouger pour aller ouvrir. « Salut salut. ». Un large sourire s'affiche en découvrant Bo, sans dire quoi que ce soit Walt retourne dans le salon, lui laissant le loisir de le suivre et de fermer la porte. « Damnit, depuis quand il a déménagé le brun du deuxième étage ? J'espère que tu lui as refilé Beckham quand il est parti. ». Walt hausse les épaules, pas certain de qui il veut bien parler. La seule voisine qu'il connaît c'est hot cop, les autres ne sont pas à son goût et il s'en contrefiche donc royalement. « J'ai une gueule à organiser des apéros entre voisins pour savoir ce genre de trucs ? ». Il ignore la remarque sur son chat, parce que Bo n'avait fait que de se plaindre de l'animal depuis qu'il était revenu d'Australie. Apparemment Beckham était le diable incarné, ce qui faisait doucement rire Walt. « T'attendais personne ? Parce que j'ai ramené des amies sinon. ». Il lève un pouce dans sa direction, le toisant un peu du regard d'un air moqueur. « Bo, faut que tu revois ta définition de l'amitié ça devient inquiétant, j'ai pas envie d'avoir à subir les réunions aux AA pour te soutenir. ». Néanmoins, il s'avance vers lui pour lui prendre le sac des mains, c'était sa marque préférée de bières, ce qu'il pouvait être attentionné avec lui ce Bo. Si seulement il pouvait comprendre qu'il n'avait aucune chance de séduire Walt de cette manière, parce que oui, malgré les années, Walt était toujours persuadé que Bo entretenait une flamme pour lui. Comment pouvait-il en être autrement quand on a l'occasion de traîner aussi souvent autour d'un être aussi beau et parfait que Walt. « Tu me fou le doute, mais je vois pas de type aussi canon que moi dans l'immeuble ! ». Oui, il avait quand même essayé de chercher dans son esprit qui pouvait bien être le voisin auquel il faisait référence, mais sans succès. Pour être digne de Bo, il fallait au moins être aussi beau que Walt, par conséquent aucun homme n'était jamais assez bien pour son meilleur ami. Walt trotte jusqu'à la cuisine pour mettre les bières au frais, puis revient dans le salon, en ayant conservé dans les mains. Il se tâte à en lancer une dans la direction de Bo pour tester une nouvelle fois ses réflexes supersoniques qui le laissaient toujours béat. « Alors, t'as testé de faire la course avec Olaf pour voir si tu courrais plus vite que lui ? Rassure moi t'as bien sorti le chien, tu l'as pas juste laissé pisser partout dans l'appartement et nettoyer derrière lui ? ». Son dalmatien, son chat et sa tortue étaient comme ses bébés, déjà qu'il suspectait Bo d'avoir martyrisé Beckham en son absence. Soudain il lance la bière à travers le salon dans la vague direction de son pote, remerciant Bo pour avoir eu la présence d'esprit de prendre des bières en canettes et pas en bouteilles.
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() message posté Sam 16 Mai 2015 - 9:02 par Invité
« Tu devrais, une blonde vient d'emménager dans l'appartement du dessous. » Il lance un regard vers la porte et prend cet air nonchalant alors qu'il hausse les épaules. Un peu indifférent sur ses relations avec ses voisins. Surtout qu'il connait assez Walt pour savoir que le copinage avec les locataires de l'immeuble, ce n'est pas son genre. Il juge simplement bon de l'informer sur ce qui peut se passer autour de lui. D'un geste, il enlève sa veste complètement mouillée qu'il vient déposer contre une chaise, soulagé de voir qu'il n'interrompt rien malgré le fait qu'il vienne à l'improviste. Il fait un peu comme chez lui, depuis le temps qu'ils se connaissent, ils ont dépassé le stade de savoir si ils peuvent faire telle ou telle chose. Cela dit, il est surpris de ne pas retrouver Walt enfoncé dans son canapé devant un match de foot. C'est un classique d'habitude. « Bo, faut que tu revois ta définition de l'amitié ça devient inquiétant, j'ai pas envie d'avoir à subir les réunions aux AA pour te soutenir. » Nouveau haussement d'épaules. Rien à foutre, surtout que Walt ne se prive pas pour s'emparer du sac qui contient les bières. Pas alcoolique, mais il a toujours su apprécier boire une bière de temps en temps. A des années lumières de s'en soucier, il déambule dans l'appartement. Le chien vient enfin l'accueillir alors que Bo s'accroupit pour venir le caresser. Lui, il l'aime bien. En comparaison avec le chat, c'est facile d'aimer Olaf. Surtout qu'il espère sincèrement ne pas croiser Beckham, les marques de son attaque sont encore présentes sur son bras et la douleur également. « C'était soit les bières, soit je te proposais une amitié avec des extras. Mais j'ai pas assez de poitrine pour te plaire, c'est frustrant. » Il passe tout naturellement une main sur son torse avec une moue boudeuse. Il est clairement amusé d'aborder le sujet. Même après toutes ses années, Bo est incapable de s'en lasser. Voir son meilleur ami, persuadé, convaincu et fier comme un coq qu'il pourrait éventuel lui plaire. Même lors de leur rencontre, Bo n'avait rien vu de plus qu'un ami en Walt. Naturellement, lorsque les filles bavaient à la simple évocation de son prénom – ou accessoirement, en le voyant passer dans un couloir – Bo les comprenait. Difficile d'être indifférent mais pas au point d'avoir le béguin pour lui ou de s'imaginer plus que de l'amitié. Il n'y a que Walt qui s'imagine ça possible. « Tu me fou le doute, mais je vois pas de type aussi canon que moi dans l'immeuble ! » Il laisse son regard courir sur son ami en se disant qu'il n'a sûrement pas tort. « En ce moment, y'a moi mais après, l'immeuble est petit, ça te donne un avantage. » Si le bâtiment avait été plus grand, forcément qu'il y aurait eu plus de concurrents. Il continue de caresser le chien et de faire des mimiques étranges comme s'il parlait à un bambin. Ça le fait rire de voir l'animal courir partout juste pour deux, trois chatouilles sur le dessus de la tête. Il entend du mouvement autour de lui, suspectant Walt de ranger les cannettes de bières au frais. Et il relève finalement la tête après que son ami ait attiré son attention. D'un geste vif, il se saisit de la bière qui arrive dans sa direction. Pas du tout dérangé par le sous-entendu sur son manque d'implication pour s'occuper des animaux, Bo se remet debout pour s'approcher du canapé. Là, à demi-assis sur le dossier, il ouvre enfin sa canette. « Il est venu courir tous les jours avec moi. Ton bébé m'adore. Hein tu m'adores ? » Tout le monde adore Bo, qu'il se dit. Et aussitôt Olaf court à nouveau partout dans l'appartement. Il se retient d'ajouter « pas comme la boule de poils qui te sert de chat » ça serait méchant de sa part. En reportant son attention sur Walt, il se demande s'il doit prendre des nouvelles, savoir comment il va depuis l'incident survenu à l'hôpital. Pas tellement leur genre de s'attarder sur les moments douloureux de leur vie, alors il s'abstient. Peut-être qu'ils en parleront plus tard, mais pour l'instant, il n'a pas envie de le bombarder de questions sur l'évènement alors qu'il vient d'arriver. « Et toi, l'Australie, tu m'as rien raconté. Après, si t'es resté au lit avec une femme différente tous les jours, j'imagine que c'est normal que tu trouves rien à dire. » Trop de choses s'étaient passées pour qu'ils en parlent si peu, ils avaient principalement parlé des animaux de Walt et Bo n'avait fait que de se plaindre du chat. Une main dans la poche, l'autre tenant toujours fermement sa bière, il bouge à nouveau pour jeter un œil sur l'écran de l'ordinateur. Il se laisse tomber sur la chaise devant la table mais ne touche à rien. Il s'attendait à y voir un match de foot ou au moins quelque chose s'y rapportant mais ce qu'il voit lui fait hausser un sourcil. « Tu regardes quoi comme connerie ? »
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() message posté Sam 16 Mai 2015 - 11:23 par Invité
Tout ce qu'il a fini par retenir de leurs échanges sur le voisinage, c'est qu'une nouvelle blonde a débarqué dans l'immeuble. Il ferait peut-être mieux d'aller voir par lui-même si elle vaut le coup d'œil avant que quelqu'un ne lui dise de se méfier du dragueur de service. Lorsque Walt lui jette un regard admiratif devant la facilité avec laquelle il réceptionne la bière, avec Bo rien ne semble pas demander des efforts, mais pourtant il passe son temps à en faire le moins possible, un vrai mystère ce type. « Il est venu courir tous les jours avec moi. Ton bébé m'adore. Hein tu m'adores ? ». Walt l'observe câliner son chien avec une moue mi-boudeuse, mi-amusée. En voyant Olaf se remettre à courir pleine balle dans l'appartement comme un fou furieux, il se met à soupirer, parce que malgré que l'appartement soit grand, son chien a toujours le chic pour raser les meubles et tout striker sur son passage. « Je vais finir par croire que tu le préfères à moi ! Et arrête de l'exciter après il fait des conneries. ». D'habitude quand Walt allait courir, il essayait de prendre son chien le plus souvent possible, mais depuis la prise d'otage à l'hôpital il n'avait pas eu l'occasion de le faire à cause de sa blessure au genou qui s'était réveillée. Esquivant son chien qui fonçait droit sur lui, il vient se laisser tomber dans le canapé à côté de Bo. Il ouvre sa bière juste à côté de la tête de Bo, histoire que s'il est secoué, elle gicle partout sur lui. Malheureusement, sa bière se contente de faire un pschiittttt ridicule sans même envoyer un peu de mousse sur le brun. « Et toi, l'Australie, tu m'as rien raconté. Après, si t'es resté au lit avec une femme différente tous les jours, j'imagine que c'est normal que tu trouves rien à dire. » . Walt porte aussitôt la canette à ses lèvres en entendant la question, pour se laisser quelques secondes de répits pour réfléchir. Son meilleur ami avait déjà trouvé plus que suspicieux qu'il parte en vacances avec une femme en particulier, alors qu'il aurait pu avoir toutes les femmes qu'il voulait en partant seul. Alors, si en plus il lui racontait comment Remy l'avait planté pour partir avec un autre type et que malgré tout il n'en avait pas profité pour se taper tout ce qui bouge, Bo risquait de ne vraiment plus le lâcher avec ça. Walt n'était pas prêt à ce qu'on l'interroge sur sa relation avec Remy, il préférait continuer à prétendre qu'elle avait le même statut que toutes les autres. « C'était génial ! Le surf, le soleil, les koalas, les kangourous, le gros gros kiffe. Faudra qu'on y retourne ensemble un jour, tous les gens sur la plage ont l'air de sortir d'un magazine de vêtements t'en serais devenu fou ! ». Aucun mensonge, il avait seulement omis de mentionner certains détails pour ne pas être interrogé dessus. Olaf revient à la charge et Walt est content de constater que c'est vers lui que l'animal vient chercher des câlins et lui grattouille donc derrière l'oreille où son chien adore. C'est là que Bo se décide à vaquer en direction de son ordinateur, tellement d'efforts pour ne pas parler de l'australienne, alors qu'elle est actuellement sur l'écran de son ordinateur. « Tu regardes quoi comme connerie ? ». Évidemment qu'il allait demander. « Une vieille sitcom australienne, terriblement naze. ». Walt soupire parce qu'il sait que Bo ne se contentera pas de ça et qu'il risque de poser plus de questions, il ne s'amuserait jamais à regarder ce genre d'émissions sans une bonne raison, surtout quand il pourrait se regarder n'importe quelle match de foot à la place. « Remy, celle avec qui je suis partie, elle jouait dedans, c'est de la merde en barre donc je me fous de sa gueule. ». Rien de bien compromettant exposé comme ça. Sauf qu'il ne pouvait vraiment pas s'empêcher de textoter avec Remy et se foutre de sa gueule lui donnait un bon prétexte pour le faire sans qu'elle ne raconte qu'il était en manque. L'épisode à l'hôpital l'avait flippé, vraiment, de voir Remy se prendre une balle, de l'avoir qui se vide de son sang juste à côté de lui. Il avait eu peur, plus pour elle que pour sa propre vie et ça c'était vraiment flippant. Entre l'Australie et cet événement inattendu, Walt avait eu l'impression qu'ils étaient devenus beaucoup trop proches, sa peur de l'intimité l'avait rattrapé au galop. Depuis cette réalisation, il s'efforçait de rester éloigner de la jeune femme, comme pour se prouver quelque chose. Puis, il ne voulait pas montrer qu'il se souciait d'elle, plus qu'il ne l'avait déjà démontré à l'hôpital. Tout ce qui lui reste c'est changé de conversation pour éviter que son meilleur ami ne s'engouffre dans la brèche. « D'ailleurs je pensais, si t'y tiens tellement à ta poitrine, ils font des super implants pour les hommes aussi, j'ai un peu d'argent de côté, on dira que c'est ton cadeau de 30 ans en avance. Je garantis pas que je te saute dessus après l'opération, mais si ça te permet de te sentir mieux dans ta peau... ». Walt reprend une gorgée de sa bière comme si de rien était.
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() message posté Mer 27 Mai 2015 - 9:29 par Invité
Bo, il a toujours tout dit à Walt. En tout cas, les grands évènements qui ont marqué sa vie, il les connait. Peut-être pas toujours spontanément, ni même dans l'heure ou le jour qui suit. Loin de ressembler à ces femmes qui ont le besoin systématique d'être accrochée à leur meilleure copine. Mais il finit inévitablement par lui parler des péripéties qui animent sa vie. Il l'interroge alors sur l'Australie, plus ou moins intéressé par la réponse. Après tout, l'entendre se vanter du soleil, des femmes et de son bronzage alors que lui, il n'a eu le droit qu'à de la pluie et au mariage de sa mère, franchement, il avait connu mieux. « C'était génial ! Le surf, le soleil, les koalas, les kangourous, le gros gros kiffe. Faudra qu'on y retourne ensemble un jour, tous les gens sur la plage ont l'air de sortir d'un magazine de vêtements t'en serais devenu fou ! » Il est d'abord un peu décontenancé de ne pas l'entendre parler de ses conquêtes, lui qui ne loupe jamais une occasion de pouvoir se vanter. Mais en l'imaginant faire une excursion dans la forêt pour observer des koalas, Bo éclate de rire. Ça l'amuse assez de penser qu'il puisse s'être perdu pendant des heures dans les forêts australiennes pour apercevoir des animaux sauvages. Après tout, il n'a jamais vu Walt s'intéresser à tout ça. Il est tenté de lui demander ce qui s'est passé avec la blonde qui devait l'accompagner, mais ce qu'il voit sur ordinateur le distrait et l'intrigue beaucoup plus. « Une vieille sitcom australienne, terriblement naze. » Après les koalas, il découvre que son meilleur ami regarde volontairement des sitcoms oubliées. Il hoche la tête, simplement. Sa curiosité voudrait qu'il pose davantage de questions, qu'il demande pourquoi cette sitcom l'intéresse autant, lui qui d'habitude préfère son foot aux séries. Il connait assez Walt pour savoir qu'il ne regarde pas ça pour le plaisir de regarder, il a forcément une raison. Peut-être que c'est l'attaque du chien dans Hyde Park qui lui a refilé un virus pour le pousser à faire des choses qu'il n'aurait pas fait en temps normal. « Remy, celle avec qui je suis partie, elle jouait dedans, c'est de la merde en barre donc je me fous de sa gueule. » Il lève les yeux au ciel à la simple évocation de cette fille. Ce n'est pas qu'il la déteste – après tout, il n'a jamais su grand chose d'elle – il est simplement agacé de voir qu'elle a presque toujours un lien avec ce dont ils parlent. « D'ailleurs je pensais, si t'y tiens tellement à ta poitrine, ils font des super implants pour les hommes aussi, j'ai un peu d'argent de côté, on dira que c'est ton cadeau de 30 ans en avance. Je garantis pas que je te saute dessus après l'opération, mais si ça te permet de te sentir mieux dans ta peau... » Il secoue la tête et reprend une gorgée de sa bière. Savoir qu'il passera le cap de la trentaine l'année suivante ne l'enchante pas. Son âge ne l'a jamais dérangé, mais il n'aime pas pour autant qu'on le lui rappelle. « Négatif. J'ai pas besoin d'une poitrine pour te draguer si j'veux. C'est juste un détail. » Un détail qui semble avoir beaucoup d'importance, même s'il aime penser le contraire. De toute façon, il ne compte pas savoir si son pouvoir de séduction a un impact sur Walt puisque son ami ne l'intéresse pas de cette façon. Mais le faire croire, il est doué pour ça. « D'ailleurs, je suis presque déçu que tu aies loupé le mariage de ma mère, tu étais mon premier choix pour être mon cavalier. » Il tourne la chaise vers Walt, un regard un peu triste lorsqu'il ose le détailler de la tête aux pieds. Comme s'il prenait conscience d'avoir loupé la chance de sa vie pour se rapprocher de son ami. Il rit, trouvant la situation particulièrement ridicule. A vrai dire, il est bien content de pouvoir sous-entendre tout ce qu'il veut sans que ça n'ait d'impact sur leur amitié. Peut-être que Walt le pense sérieux, mais Bo n'en a rien à foutre. Il se remet face à l'ordinateur et clique sans demander, sur l'épisode affiché à l'écran. Il a besoin de se faire une idée du niveau de cette sitcom. Nouvelle gorgée de sa bière alors que ça reprend au milieu d'une scène. Les dialogues suffisent déjà à arracher un grand sourire moqueur à Bo, il manque de s'étouffer avec sa boisson. Son regard s'attarde sur les décors typiques des années 90, tout comme les costumes et les coiffures. Il n'y a rien d'étonnant à ce que Walt s'en moque. Il rit lorsque la gamine blonde entre en scène pour faire son sketch. C'est vraiment mauvais. « Et sinon, t'as vu des koalas, c'est cool. Mais les australiennes, elles sont comment alors ? » Façon pas très subtile de revenir doucement sur le sujet qui l'intrigue. « Rassure-moi, t'es pas resté tout le temps avec la blonde ? » Au même moment, il pointe l'écran pour indiquer de qui il parle. Bo n'avait pas réellement compris pourquoi son ami avait souhaité partir avec une femme et là encore, il ne comprend toujours pas très bien. De ce qu'il sait de leur relation, il n'avait pas vraiment de raison de lui proposer ce voyage. Ce n'est sûrement pas pour son talent d'actrice, puisqu'elle n'en a pas. Il s'enfonce dans la chaise pour mieux être installé alors. « Pourquoi t'es partie avec elle d'ailleurs ? »
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() message posté Lun 1 Juin 2015 - 17:35 par Invité
« D'ailleurs, je suis presque déçu que tu aies loupé le mariage de ma mère, tu étais mon premier choix pour être mon cavalier. ». Pas étonnant, Walt était déjà canon en temps normal, alors en costume Bo serait probablement tombé à la renverse. Malgré qu'il avait profité à fond de ses vacances, le fait d'avoir loupé le mariage l'ennui un peu. D'abord, parce qu'il apprécie la mère de Bo, puis c'était toujours facile de draguer quand il se trouvait en présence de Bo. On les prenait parfois pour un couple, lors d'un mariage cela n'aurait pas fait exception, après avoir expliqué qu'il était seulement le meilleur ami hétéro, les femmes avaient tendance à s'intéresser encore plus à lui. À croire que le statut de meilleur pote qui soutient son ami gay a toujours la côte auprès des nanas. Il ne prend même pas la peine de se plaindre quand il appuie sur l'ordinateur pour reprendre la lecture de l'épisode, il a l'habitude de faire tout ce qu'il veut chez lui de toute façon. Alors, Walt s'accroche à sa bière ricanant lorsque la sitcom est vraiment affligeante. « Et sinon, t'as vu des koalas, c'est cool. Mais les australiennes, elles sont comment alors ? ». Walt fait mine de ne pas avoir entendu sa question, cherchant quelque chose pour se sortir de cette galère. Peut-être interrogé le brun sur l'identité de son cavalier au mariage, il avait laissé entendre que Walt était son premier choix, mais il n'avait pas mentionné qui il avait emmené au final. « Rassure-moi, t'es pas resté tout le temps avec la blonde ? ». Il suit le doigt de son ami et affiche une mine outrée, difficile de faire autrement quand il repense à ses parties de jambe en l'air avec l'australienne et qu'on lui montre une version d'elle beaucoup plus jeune et surtout mineure. « Dit pas ça comme ça, on dirait que je suis un pédophile ! ». Pour accentuer ce qu'il dit, il prend une expression dégoûtée, priant pour que la discussion prenne un tournant différent. « Pourquoi t'es partie avec elle d'ailleurs ? ». Walt braque son regard vers Bo, essayant de déchiffrer son comportement vis-à-vis de cette question. Il se demande si Bo est simplement curieux de savoir ce qu'il se passe avec Remy ou s'il est tout simplement jaloux qu'une femme puisse avoir plus d'importance que lui. Il trouve ça plutôt amusant même si les constantes questions le mettent un peu mal à l'aise et sur la défensive. « Parce qu'elle pose pas autant de questions que toi ! ». La vérité c'est qu'il avait proposé à l'australienne de l'accompagner sur un coup de tête, puis son meilleur ami n'était pas disponible, quasiment jamais d'ailleurs. Walt ne lui reprochait pas, il avait été sportif de haut niveau, il savait qu'entre les entraînements, les compétitions, c'était quasiment impossible de prendre des vacances sans les planifier longtemps à l'avance. « Et c'est quoi ton obsession pour les femmes d'un coup ? Je sais que t'es gay, mais je croyais que tu connaissais les bases de l'anatomie quand même. Elles ont deux bras, deux jambes, un vagin et des seins. Les australiennes ont rien de particulier à part leurs bronzages. ». Walt fait mine de bouder du fond de son canapé, reprenant une large gorgée de sa bière, histoire de montrer à son meilleur ami qu'il n'appréciait pas de subir un interrogatoire de la sorte. D'habitude Bo râlait quand Walt passait son temps à parler de femmes, alors il trouvait ça étonnant que d'un coup il se mette à le questionner sur le sujet avec autant d'acharnement. « J'espère que t'as pas changé de bord en mon absence ? Me dit pas que t'as ramené une gonzesse au mariage de ta mère juste parce que tu pouvais pas avoir le magnifique Walt Fowler à ton bras. ». Il ricane tout seul, essayant de s'imaginer son meilleur ami avec une femme. Les deux hommes se connaissaient depuis l'adolescence et l'athlète n'avait jamais caché son amour pour les hommes déjà à l'époque. Lorsqu'il était passé footballeur professionnel, son agent lui avait d'ailleurs conseillé de ne pas s'afficher trop souvent avec son ami pour ne pas faire la une des médias, l'homosexualité étant toujours un sujet délicat dans le football. Pourtant, Walt n'en avait fait qu'à sa tête, refusant de prendre ses distances avec son pote, puis au final il avait eu raison, les tabloïds s'occupant plus de ses multiples conquêtes que de créer de fausses rumeurs en lien avec son meilleur ami. « Sinon t'as réussi à m'obtenir des places pour les championnats du monde d'athlé ? Que je puisse encourager ta petite personne ! ». Les championnats du monde avaient lieu à Pékin à la fin de l'été, pour une fois que Walt était libre pour se rendre à une compétition de son meilleur ami, il comptait bien le faire. Cependant, il n'avait pas réussi à se procurer de tickets, s'y prenant trop tard. Pékin était loin d'être la ville de ses rêves, s'il ne pouvait pas se rendre au stade pour le voir courir, il n'avait aucun intérêt à y aller.
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() message posté Sam 27 Juin 2015 - 8:56 par Invité
« Parce qu'elle pose pas autant de questions que toi ! » S'ils ne font que coucher ensemble, pas étonnant qu'elle ne pose aucune question. Il imagine qu'elle n'a pas le temps de parler. Bien sûr, Bo garde la remarque pour lui mais le pense très fort. Comme à chaque fois. A vrai dire, il s'en fout un peu et il ne sait pas trop à quelle réponse il s'était attendu. Certainement pas à des grands aveux. Une histoire de visa périmé, sans doute et il avait voulu l'accompagner. Mais rien de plus. Non pas qu'il ne s'intéresse pas à la vie sentimentale ou la vie en général de son meilleur pote, seulement, le refrain sur les femmes, c'est toujours le même avec Walt. Elles vont, elles viennent, il les jette. Donc forcément qu'il a été surpris de le voir prendre des vacances avec une fille en particulier. De ce qu'il sait, Walt n'a jamais été l'homme le plus attentionné envers la gent féminine. Il ne comprend pas trop pourquoi il n'a, dès lors, pas le droit d'être un peu étonné. « Et c'est quoi ton obsession pour les femmes d'un coup ? Je sais que t'es gay, mais je croyais que tu connaissais les bases de l'anatomie quand même. Elles ont deux bras, deux jambes, un vagin et des seins. Les australiennes ont rien de particulier à part leurs bronzages. » Il secoue la tête, plus amusé qu'exaspéré par sa remarque. Ne prenant même pas la peine de s'excuser de lui faire subir un interrogatoire, Bo hausse les épaules, l'air totalement indifférent. Il observe l'écran avec attention, l'épisode continuant de jouer alors qu'ils poursuivent leur conversation à côté. Sans même le dire, il referme tout naturellement le sujet. Visiblement ça agace Walt et il n'a plus trop envie de chercher pourquoi de toute façon. « J'espère que t'as pas changé de bord en mon absence ? Me dit pas que t'as ramené une gonzesse au mariage de ta mère juste parce que tu pouvais pas avoir le magnifique Walt Fowler à ton bras. » Il sourit d'avantage en l'écoutant se vanter. Ils ne sont peut-être qu'amis et ne ressentiront jamais rien de plus que de l'amitié l'un pour l'autre, mais le sportif a toujours reconnu qu'ils formeraient un couple canon. Ce n'est pas rare que les gens pensent ainsi et lui, ça l'éclate. Il fait mine de toussoter. « Sinon t'as réussi à m'obtenir des places pour les championnats du monde d'athlé ? Que je puisse encourager ta petite personne ! » Il se souvient, tout à coup, de cette chose qu'il pensait avoir oublié en quittant son appartement le matin-même. Les places. Celles qu'il souhaitait offrir à Walt et les deux autres tickets destinés à sa mère. Ce n'est pas urgent, mais il préfère ne pas les garder trop longtemps, le risque de les perdre étant toujours trop grand avec lui. Son sourire s'élargit alors qu'il pose sa bière sur la table, à côté du clavier d'ordinateur. « Tu vas crier mon nom, j'avais raison de garder espoir pour nous deux, t'es fan. » Il s'enfonce dans la chaise et croise les bras contre son torse. Un air malicieux collé au visage, il détaille Walt pendant une minute comme s'il évaluait son ami, donnant une vulgaire impression de juger si oui ou non, l'ancien footballeur le méritait. Walt devrait savoir que Bo n'est ni amoureux, ni attiré par lui, mais son ami parait y croire avec force depuis des années. Loin d'être gêné par la situation, Bo s'en amuse. « Tu sais que je pars bientôt en Italie avec Louie. N'oublie pas de venir t'occuper des plantes. Et je veux une photo tous les jours. » Des vacances planifiées quelques semaines avant le nouvel an. Les premières depuis des années et son entraineur n'appréciait ni cette d'initiative, ni cette prise de risque, deux mois avant les championnats. Bo n'a jamais eu besoin de leçon de morale ou de reproches pour savoir qu'il fait une connerie, lui qui ne néglige, d'habitude, jamais son entrainement. Il affiche un grand sourire malgré tout, tout fier ce con de pouvoir retourner la situation à son avantage. Walt s'était foutu de sa gueule pendant qu'il bronzait sous le soleil d'Australie, l'athlète n'a pas l'intention de le laisser tranquille avec cette histoire de photo. « Avec un peu de chance, je vais rencontrer un italien ou une jolie italienne. » Il reprend sa bière, évitant le regard de Walt, et en boit une longue gorgée. Décidément, il a bien choisi les bières. Première fois qu'il ose sous-entendre qu'une femme pourrait le conquérir. Les demandes de rencards ne manquent pas après tout, et il se fait assez draguer pour savoir qu'il peut plaire aux femmes. Seulement, ce n'est pas réciproque. Autant il reconnaît que les femmes sont belles, autant son corps n'éprouve ni envie, ni désir pour elles. Il essaie de s'imaginer accompagner d'une fille, de l'inviter à un rendez-vous, de partager éventuellement un moment intime avec elle. Mais c'est ridicule, il ne pourrait jamais. Il peut inviter une femme, mais certainement pas dans le but de la séduire. « Sinon, j'y suis allé avec Siobhan au mariage. Du coup j'ai décidé de ne me fermer aucune option en attendant que tu te lasses de ta blonde. Peut-être que je suis destiné à finir avec une femme. » Impossible que ça dérape entre eux. Et impossible qu'il se laisse charmer par les courbes d'une jolie fille. Il a surtout envie de voir si ça emmerde Walt qu'il puisse, éventuellement, changer de bord et ne plus être sous son charme, à lui. A vrai dire, Bo ne sait pas réellement pourquoi il se justifie, lui qui estime avoir le droit d'inviter qui il veut pour l'accompagner à un mariage. En y réfléchissant, il aurait préféré y aller avec Walt, parce qu'il a toujours le don pour se moqueur et apprécier, à la hauteur, ce genre d'événement. Mais avoir une femme comme cavalière, c'est le meilleur moyen pour qu'il reste sage tout le temps du mariage, réception comprise.
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