I'm a fantom of a desillusion.
One way or another I'm gonna see you I'm gonna meet you, meet you, meet you, meet you One day, maybe next week I'm gonna meet you, I'm gonna meet you, I'll meet you ✻✻✻Tout s'est écroulé comme au premier jour, tu n'avais pas ressenti ce mal depuis des années. Depuis ta rupture avec Delilah tu ne te sent plus poussé des ailes cette sensation te déchirait le cœur et tu avais besoin de sortir de cette routine assassine pour pouvoir revenir. Julian était un écrivain fou et tu ne voulais pas le déranger dans la bonté d'âme qui te faisait perdre la raison. Dans l'avion pour Rio, tu avais sentis ce malaise comme si ton cœur se renversait pour devenir encore plus faible qui ne l'était, tu entendais les son blafard des damnés qui t'attirait vers les méandres de la désillusion. Tu sentis des turbulences qui te faisait comprendre que tu pouvais perdre la vie a toute instant et cette sensation te donnait comme un réconfort. Tu compris que tu pourrais enfin ne plus avoir de sentiment être vide de tout sentiment. La jeune hôtesse de l'air voyant ta détresse demande si tu allais bien, tu ne répondis pas le simple tintement du glaçon dans ton verre te fit réagir, tu voulais un autre verre et tu lui tend dans l'espoir qu'elle te resserve ce whisky exécrable qui te fit déjà regretté ton départ. Quelques heures plus tard tu sentis l'avion descendre vers le Brezil. En sortant de l'aéroport tu sent tes yeux te piquer le soleil bien présent dans cette ville te rappel l’Espagne et ce souvenir désagréable de l'amour que tu avais pour ce pays. Tu profites de quelques jours de vacances a lire des romans et surtout Son roman que tu dévoras au moins une dizaine de fois... Tu aimais tellement sa façon d'écrire tu reconnaissais bien la patte de l'homme qui semblait te correspondre en tout point... Une larme coula sur les pages faisant onduler le papier pour faire baver l'encre du mot
love. Tu refermes le livre quand tu entends ton téléphone vibré, le guide semblait t'attendre depuis une heure tu était tellement perdu que tu en voyais pu l'heure passé, ta ponctualité légendaire t'étais inconnu maintenant, en attrapant ton sac et certain de tes outils tu prend un taxi pour arriver dans un petit aérodrome mal fagotté, tu vis un homme typé incroyablement seduisant se tenir là, barbu et les cheveux mi long attaché en queue de cheval, il avait cette odeur de tequila et de pomme acidulé «
Señior Mackinnon... dépéchons-nous d'y aller... Nous avons deux heures de vol avant d'arriver à Bueno aires.»
Tout doux mon beau un héros doit se faire attendre. tu le dévisages avant de monter dans l'appareil toi qui ne pensais arrivais là à ce jour, tu pensais ne pas faire comme l'an passé fuir pour mieu oublier. Y en qui serait tenter de boire, pour toi c'est l'évasion d'une pauvre vie misérable, une fois a bord de l'appareil tu tiens ton sac comme la prunelle de ta vie car tu as emporté la seule chose qui avait de la valeur à tes yeux, les mots de ton ami. Tu regardes le pilote d'un air de screugneugneu ne comprenant pas son charabia en portugais. Mais cela dit le guide te traduit qu'il allait décollé qu'il devrait mettre sa ceinture. tu soupires et tu fais ce qu'on te dit dans l'espoir d'en finir vite, une fois décollé tu admires le paysage... Tu le voyais partout, Julian te manquait et tu regrettes d'être partis comme ça après un si courte Au revoir. C'était ton ami... bien que vous vous considériez plus que cela mais tu avais tant de mal a lui dire cela...Ton coeur était beaucoup trop faible pour cela. Soudain tu apercois un gros nuage à l'horizon qui ressemble à ceux d'Ecosse qui prédit la fin de l'été pour passer aux orages annuelles. Tu serre un peu plus ton bagage contre ton ventre l'étant pas rassurer dans ce petit appareil, le guide pose sa main sur toi et te dit a travers le casque que tout vas bien se passer
Facille a dire connard c'est pas toi qui a peur des hélicos et surtout avec un pilote qui semble tout droit sorti de la croisière s'amuse... pensa tu alors que les premières turbulences faisait rage, cela secouait dans tout les sens et sentais cette odeur de Methane et de souffre ainsi que la téquila bon marché qu'à du ingérer le pilote. Tu tentais de te rassurer
Ce n'est qu'une attraction...Ce n'est qu'une attraction... Oui je me croyais à Disney, mieux vos un beau souvenir non? Soudain tu n'entendis plus les moteurs grondait, les hélices ne tourne plus et l'appareil pique du nez, vous vous trouviez au dessus de la jungle la queue de l'appareil s'arrache au premier contact des cimes des arbres... De la camelote ! pire que du carton, tu t'accroches fermant les yeux et tu perd aussitôt connaissance après avoir heurter le tableau de bord. L’hélico heurte les arbre un à un cela aurait était une parti de flipper le joueur aurait surement battu le record. Après quelques heures tu ouvres les yeux après le cri strident d'un perroquet au dessus de ta tête, les quelques rayons de soleil qui arrivait a se filtrer malgré la jungle dense de l’Amazonie équatoriale. une douleur te lance dans la jambe et ta tête te faisait affreusement mal encore sous l 'état de choc tu tente de te révéler, une odeur te prend le nez celui du porc carbonisé et de la fumée... Tu te frottes les yeux rapidement en remarquant les débris de l'hélicoptère et un corps gisant tu reconnus le pilote
Eh bien au moins un mec inutile en moins... Il n'aurait servit à rien tu essayes de te redresser tant bien que mal et puis tu sens une main sur ton épaule. tu tournes la tête avec du mal qu'en tu sentais cette odeur de musc qui te renversa l'estomac. C'est le guide, il te demande si tu vas bien tu hoches la tête quand tu te rend comptes que tu a débris de l'avion planter dans la cuisse... C'était donc cela la douleur qui te faisait grimacer, le guide tente de trouver de quoi te soigner et te tend un bâton en te disant le de le mordre tu accepte glissant le bâton entre tes dent et il te met en condition pour retirer le débris... Une violente douleur te prend d'un coup quand il le retire et il pris sa ceinture pour faire un garo désinfectant la plaie avec une bouteille d'alcool tu crias, tes cris fut étouffé par le faite que tu serres mes dents au maximum sentant ta mâchoire craquais sous la douleur. Après quelques minutes il te ramène un bâton pour t'en faire une béquille.Je tente de te lever et le faite d'avoir pris des anti douleurs puissant te faisais aller mieu, tu te relèves peu à peu dans l'espoir d'arriver à nouveau à marcher, tu y arrives finalement malgré la douleur qui te tiraillait tu pensais à Jules et son genou de canard boiteux, tu dois avouer que tu pouvais avoir une idée de sa douleur. Tu discutes avec le jeune homme en lui avouant qu'il nous faudrait de l'eau si on veut survivre et suivre l'Amazone que tu avais vu a quelques jours de marches vers l'ouest. et de le longer car comme tu le disais souvent la ou y a de l'Eau il y a généralement un Homme pour le puiser. Après deux jours de marche, tu tentais de positiver, mais il semblerait que tu étais coincé. Ta jambes te faisait souffrir et ta tête aussi, je ne parle pas du coeur. Sans tes traitement tu ne pourrais aller bien loin. la nuit tu observais le feu de camps, ces flammes dansèrent tel des millions de petites danseuse et tu pensais à lui. ses cheveux chatain mal coiffé son sourire et son odeur de joint que tu avais du mal a supporter... Tu te sentais mélancolique et ayant une nostalgie destructrice.
Quelques jours de marche, vous font arriver au large du l'Amazone, tu en profites pour te jeter dedans histoire de te faire une toilette dormir dans la boue et pour ta blessure a la jambe il fallait nettoyer la jambe, même si le fleuve était connu pour être aussi pollué que le Gange en Inde. quand soudain tu entendis le bruit sourd d'une flèche passer a coter de ton oreille quand tu te retournes tu vis le guide la flèche planter dans son torse, il s'ecroula aussitôt et tu leves les bras en l'air quand tu vis trois indigènes te menacant de leurs arcs... Ils parlaient d'un dialecte etrange familié a une langue que tu as connu il y a longtemps. Et soudain tu recois un coup de gourdin sur le crane et tu t'évanouie, tu te reveilles plus tard dans une hutte. et tu vois un homme qui semblerait être le chef vu la coiffe qu'il porte et son aiir superieur... Il parlait notre langue mais avec difficulté, il te demanda ce que tu faisais là et pour quoi "
homme roux" fait ici bien loin de chez lui... Tu lui expliques de façon clair que tu ne te souviens de rien. tu semblais sérieux et surtout totalement largué. Tu ne te souvenais de rire, ni de ton nom ni même de ton visage. Tout était noir et tu étais effrayé mais, l'odeur provenant du feu te fit voir trouble et te plongea dans l'inconscience pour te réveiller quelques heures plus tard dans une cage fait de bambou... Tu regardes autour de toi il y avais des femmes et des enfants ainsi que des hommes qui semblait soldat presque dans leurs postures. tu passais tes journées assis dans cette cage, chaque jour tu évitais le moindre émotions tu tentés de rester calme au maximum. Finalement après une semaine on te fait sortir de la cage, pour avoir ta liberté il faut que tu répondes à une sois disante enigme... Il y avais du Maïs, une beche, de l'eau dans un bol... Au depart tu pensais simplement a choisir le bon camps, mais tu reflechissais d'avantage et tu compris... La vie c'était ça la reponse, tu pris la beche pour creser une tranché, tu versa les graines de Maïs et tu refermis arrosant alors de l'eau dans le bol. Le chef fut ravi et te laisse la vie sauve. Après une semaine tu tombas amoureux d'une indigène qui semblait être la fille du chef. Tu admirais leurs courage et puis en allant un jour à la chasse tu tombes sur un groupe de touriste américain. Le bonheur t’embellissais de joie tu voulais retourner chez en allant les voir tu leur raconta ton histoire mais tu tombas devant eux... Tu fus transporter dans un hopital d'une ville qui vivait grâce à la déforestation.
Je me reveilla perdu. entre des murs blanc un medecin au allure du guide tu regardas autour de toi a regulateur de morphine et d'autre outillage que je connaissais aque trop bien le medecin m'avoua qu'ils ont retiré mon pacemaker me mettant sous assistance cardiaque. mais tu ne comprenais pas... Pourquoi un pacemaker mais qu'était ce un pacemaker. Je fus appellé John Doe. Car personne ne connaissais mon nom et la seule personne était morte d'une fleche dans le thorax et surement entrain d'être finit de manger par les Piranha. Quelques jours ont passé avant qu'on me dise que je doit subir une greffe. J'avais peur, peur de mourir et surtout dans incompréhension. On m'avoua qu'un medecin pourrait me prendre en Charge en France, car le toubib semblait Francais vu comment il engueulait sa femme au téléphone...d'après lui je serais anglais du a semblant d'accent que tu as du perdre a cause de l'amnésie, d'après le psychiatre tu souffrais d'une amnesie global temporaire et du syndrome de l'Anatopisme... D'avoir l'accent d'un indigène et d'avoir perdu ton accent natale sans aucun souvenir de ton enfance... Chaque nuit tu sombras dans un sommeil lourd du a ton coeur fragile. Jusqu'au jour où ton coeur s'arrête pour de bon pendant ton sommeil... Te plongeant dans un sommeil semi eternelle.
Je me réveille dans un lit, familier... Je me lève je reconnaissais cette endroit je me souvenais de tout... Mais l'histoire était bizarre... J'étais bien à Londres, mais j'étais ambulancier et non Archéologue, tout me semblait comme un rêve, enfin mes souvenir semblait réel et pourtant cela ne semblait pas l'être, mais une chose me frappa sonnant les coup de 7 heures, un parasite sur ma poitrine, cette vielle démone qui m'en faisait voir des coucous par le passé... J'étais à nouveau sous les fils de cette horloge qui me paralysait de tout sentiment du moins je le croyait, car je pouvait voir des photos sur les meubles... Julian...? Soudain je me rappelles de tout notre rencontre a l'hopital quand j'étais enfant, quand je le retrouve à son lycée pendant mon premier jour. le Jour où il m'a avoué son amour... Notre première nuit... Je devais me préparer pour le boulot... Soudain ce fut comme un jour ordinaire, Julian était entrain de vivre de sa passion et moi je subissais mon travaille... Le soir, je rentre chez moi quand un medecin m'appelle... Julian avait eu un accident de voiture... La douleur me transperca et la tristesse m'envahit, je n'avais plus envie de vivre sur l'instant, mais semblerait qu'une lettre était avec lui.' Soulmate, je ne suis désolé si tu lis cette lettre c'est que surement je suis mort... Mais je veux que tu vives accepte ce dernier présent... Ainsi nous serons réunis pour n'être qu'une seule âme... PS: I love you soul' ' Le medecin m'avoua alors que je pouvais subir une greffe... C'est a ce moment que je tombe a nouveau dans l'inconscience...Tu te réveilles et tu sens l'odeur de l'anticeptique, tu étais dans un hopital quand tu ouvris les yeux tu apercu par la fenetre la Dame de fer... tu étais à Paris ! Et la on te parles de mots bizarre qui n'ont aucun sens à tes oreilles, mais tu n'arrivais pas a comprendre et pourtant une nouvelle...
Monsieur, nous avons une nouvelle, un de nos medecins vous a reconnu d'après les analyses il semble qu'il ai raison... Vous vous appellez Ewan Mackinnon vous êtes un Archéologue réputé et connu. Nous avons contacté l'université dans lequel vous travaillez... Votre assistant prend le premier train pour Paris. Tu lui demandes son nom... Kaspar?
Quel nom ridicule tu te met a rire mais cela te fit gemir de douleur les cicatrice était fraiche:
Monsieur Mackinnon faites attention... vous venez de subir une greffe cela fais trois jours maintenant mais le faites que vous reveniez parmis nous cela veut dire que vous devez rester allongé... Tu soupires, tu ne savais pas pourquoi il te fallais une greffe... Mais bon...
Quelques heures plus tard tu entends frapper et tu invites la personne à entrer. c'étais surement ce Kaspar qui semblait me connaitre...
✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.