“Got me lookin so crazy right now” w/Julian

Je ne comprenais pas ce qu'il se passait dans le plus profond de mon esprit, le voila qu'il m'embrasse d'une façon passioné et legerement brutal, d'un maladresse folle. Mais cela rendait le moment plutôt plaisant, je voyais pas pourquoi moi non plus j'entacherai pas le deuxieme pas et puis avec la tonne d'alcool que je venais d'ingurgiter m'enleva toute inibition. Cela dit alors qu'il reprenait place sur le canapé j'ai saisit mon verre pour boire une gorgée alors que je lui demandé le verdict, lui qui semblait si curieux de ça : « Il n'y a pas de verdict. » Il avait intriguer ma curiosité, je me demandais bien ce qui allait me sortir : « Embrasser ce n'a pas tellement de sens - c'est juste ... Embrasser.  » Il semblait perdu dans ses pensées, et je ne fus pas tellement d'accord pour cela, j'étais surement trop romantique sur le coup. Je tenta de lui expliqué tout de même : « Je ne suis pas tellement d'accord avec toi… Un baiser, le contact charnel… Peut avoir tellement de sens tout depend avec qui on se trouve. Si c'est une personne qu'on aime, on lui donne par se baiser l'expression de nos sentiments, tout ce joue sur un baiser, le regard, le toucher tout se mele pour ne former que l'instant magique d'un baiser. J'en ai partagé de nombreaux, mais ce que j'ai eu avec les femmes que j'ai aimé ont été les plus beaux et j'en rêve de certain… » A ces mots je repensais a elle, ma petite danseuse qui me hantait nuit et jour… Bien que j'avais l'impression de la voir dans les rues de Londres, je ne me suis jamais prit l'audace d'aller la voir, sans doute pour eviter de me prendre pour un fou. Un jeune diforme tel quasimodo qui recherche sa Esmeralda… Mais cela dit je fus pencher par autre chose, Julian commencait a hanter mon esprit, il creusa pour mieu s'y installer… Mes sentiments se sentirent chambouler ne comprenant pas trop où se placer, mon amitié pour lui était grande, j'aimais Julian comme un frère… Mais un frère qui m'embrasse n'est plus un frère, c'est une personne charitable a qui on voudrait apporté un semblant de bonheur malgré la detresse dont il preuve. Il fallait que je me change les idées, je me suis mis a le taquiner comme à mon habitudes, une sorte de retour en arrière qui me glifla de plein fouet « Je savais qu'il n'y aurait pas de second baiser - J'ai donc mis toute ma fougue dans ta seule chance. » Je me suis mis a sourire alors que je le vis s'ouvrir une nouvelle bière. Et je lui tendis le briquet en lui disant : « C'est tellement inutile… Tu m'as gacher le plaisir d'imaginer ce que tu aurais pu donner d'autres… Mais si tu as tout donné tout perd de son charme ! » lui disais-je en riant alors qu'il me demanda : « Je peux dormir ici ce soir ? » Je leva un sourcil en lui disant : «  Mais bien sur ! Tu sais bien que mon canapé est tien ! » lui disais-je avant de me lever finissant ma biere m'approchant alors d'une porte non loin du canapé. « Je vais me prendre une douche, ca va me reveiller et eviter d'avoir la gueule de bois demain… » Lui disais-je en riant ouvrant la porte avant de me glissant, alors que je la ferma je commencais a me deshabillait enfait j'ai retiré que mon jeans. Je manqua de trebuchait me rattrapant au lavabo ce qui entreouvrit la porte sans que je m'en rende compte , je m'approche pres de la douche qui fut du style a l'italienne, l'interstice qu'on pouvait voir du salon on pouvait m'appercevoir alors que je prenais ma douche. Mais je fut trop interesser par la chaleur de l'eau qui me fit du bien.

« Tu es trop romantique, Soulmate. » Trop romantique ? Était ce la un défault ? Je savais que je pouvais me faire défault de ma maladresse romantique, le cascadeur que je suis pouvait se perdre de par ma maladresse et mon manque de confiance. Je lui avais fait une tirade, je pensais a Gisel qui dansait et qui chantait tel un oiseau de feu. Son commentaire me heurta de plein fouet alors que je lui avoua que j'en revait de certain, je pensais certainement a Gisel, bien que Julian faisait aussi place dans mes rêves, c'était un homme séduisant qui avait quelques chose qui me plaisait enormement, je voulais le proteger. Je connaissais presque tout de lui étant celui qui fut son refuge quand il était dans un état aussi déplorable qu'une mouette dans une marée noir. Je le connaissais par coeur, cette fameuse fille dont il m'avais parler. Je parirai que cela lui hante tel un fantome du passé. Je l'ai déjà aperçu dans le passé, cela remonte a quelques mois. Elle était dans ce char d'assault metallique. Elle semblait aussi abimé que julian. On voit rarement des personnes en fauteuil roulant dans la ville surtout dans le quartier. Je ne la connaissais pas comme ça, mais je pouvais comprendre ce que Julian lui trouvait, elle était une belle fille… Elle semblait aussi perdu que lui… Cela dit il me perdit dans mes pensées alors qu'il les interrompit : « Tu ne rêveras pas de moi alors. Tu ne dois pas assez ... M'aimer... » Je me suis mis a sourire en lui disant : « Comment oses tu penser ça de moi... » Lui disais je rejoignant son air taquin pour continuer : « Ne pas assez t'aimer… C'est un affront que tu me fais… Tu sais bien que tu es quelqu'un d'important pour moi et que quoi qu'il puisse arriver ou que sais-je… Je serais toujours là pour toi ! » Tien voila que je t'en donne du romantisme cretin ! Je pris ma bière pour en boire une nouvelle gorgée alors que lui alluma sa cigarette alors qu'il semblait si perdre dans la fumée.

« Tu me connais. Je suis très compétitif. Une vraie bête. Ne me tente pas - je pourrais transgresser toutes les règles de bienséance juste pour te prouver que tu as tord de me sous estimer. » J'accompagna son sourire, voila qu'il me laisser tenter, j'aimerais tant pouvoir te prouver que j'ai raison. De te sous estimer a ce point, j'en fus plus que combler de le voir sur les chapeaux de roues. « Oh ne me tente pas Julian… J'aime la compétition aussi… Ce serait dommage de ne pas vouloir te tenter… » Lui disais je d'un air taquin alors qu'il continua : « Tu ne devrais pas autant commenter un baiser. Tu gâches le moment - C'est du passé maintenant. » Je soupirai buvant une nouvelle gorgée en repliquant : « Du passé certes… »

« Encore ! » Je me suis retourner l'espace d'un instant en riant… Je venais de me salir en faisant a manger et je venais d'avoir differente suer alors que l'alcool ne m'aida pas et puis je ne voudrais pas puer le phoque demain matin si je dois aller a l'université en urgence. Je n'était ni friand de la gueule de bois. Alors que je sentais l'eau sur ma peau. J'avais entendu dire que pour bien profiter et enlever le stress de sa journée. Il fallait ne penser a rien sous la douche, juste sentir l'eau sur notre peau… Depuis que j'ai appris cela, je dois dire que je passe de très long moment sous la douche, mais cette sensation était delectable, sentir les filets d'eau filer sur chaque courbes de mon corps… Cela dit j'entendis au loin : « Tu te rend compte que je peux te voir d'ici ? » Je me retourna me retrouvant face à Julian. Me mettant a rire malgré mes joues qui ont virer au rouge  « Et je suis pas prude, je te vois venir ! » Je lui dit alors : « J'ai rien dit et puis si ca te derange retourne toi ! J'en ai pour pas longtemps.» Je me retourna alors que je me savonna en écoutant : « Tu es nu, c'est frustrant! » Je me suis mis a sourire je lui ajouta : « Roh… j'aime pas entendre de la deception dans ta voix ! » Riais je aux eclats sous la douche avant de fermer le robinet, je sortis de la douche prenant une serviette blanche que j'utilisa pour me secher, je regardais par moment dans l'interstice avant d'enrouler la serviette autour de ma taille, je sortis de la salle de bain regardant Julian. Je m'approcha de la table prenant ma biere pour boire une gorgée voyant l'état de son genoux : «  Dit tu veux rien pour ton genoux voila qu'il vire au rouge… Tu comptes nous faire toutes les couleurs de l'arc en ciel… Fais gaffe sinon je t'apelle Rainbow Dash comme le petit poney ! »

« Tu es trop romantique encore !!! »Rho mais qu'il change de disque non d'un chien, si je peut plus faire une déclaration digne de ce nom sans qu'il puisse jouer les comiques. Cela dit je n'avais même pas envie de retorquer.  « Rho arrête ... Je prend le risque de perdre. » Je me suis mis a rire, était il serieux, je ne le savais pas si défaitiste et surtout d'abandonner si vite. Je lui avoua : « Je savais pas que tu abandonnais si vite ! Ca me déçois beaucoup » Lui disais-je faisant la moue alors que je m'approchais de la salle de bain. Alors que je prenais ma douche, je ne pensais même pas au faite que la porte était ouverte. Etait ce là un simple geste de négligence ou je cherchais peut être tout simplement a charmer Julian. Je ne savais pas finalement cela dit je pouvais entendre ses remarques au-delà de la porte et du bruit de l'eau.

« Crève - Control freak ! » Je me suis mis a rire, ce mec était plein de surprise c'est bien vrai, alors que je me suis retournais l'apercevant affalé sur le canapé, j'avais un grand sourire sur les lèvres. « Tu es un traître à ton sang. Je vais porter plainte à l'union de protection des écossais désabusé ! » je lui fit un fuck majestrale avant de lui repondre : « Oh mais oui vas y ! vas ! Porte plainte parce que tu as vu un confrère nu comme un ver ! » Lui disais je en riant alors que je finissais de me rincer pour sortir, j'entoura une serviette autour de ma taille alors que je me frottais les cheveux avec une autre. Je la posa sur l'épaule.
« Je croyais que tu t'étais lavé uniquement pour pas avoir la gueule bois ! » Je me suis mis a sourire alors que je bus une nouvelle gorgée avant de la poser sur la table : « Avoue, tu voulais juste m'emmerder ! » je leva les yeux au ciel en lui disant : «  Je vois pas du tout de quoi tu parles… Et puis d'abord il faut combattre le mal par le mal… Sinon ce n'est pas drôle ! » Lui disant en riant alors que je remarquai la couleur nefaste de son genou, je lui demanda alors ce qu'il voulait pour aider a le soulager : « De la glace. » Eh bien je me demandais si il me restait de la glace dans le congélateur, étant donner que je lui avais déjà fait un baillon en début de soirée.« Je n'ai pas tellement mal. » Je m'approcha de la cuisine prenant en même le baillon humide et remplit d'eau que je lui avais donné tout a l'heure : « Je vais te chercher ça my little pony ! » Lui disais je en lui tirant la langue avant de m'approcher de la cuisine et j'entendis alors sa remarque : « Voir ton cul à tout bout de champ, est mille fois plus douloureux! » Je me suis mis a eclater de rire en lui disant : « Mon pauvre j'en connais d'autre qui dirait tout le contraire » sifflai-je en remplacant l'eau par la glace dans le baillon, je me suis retourner pour reprendre place dans le salon, je lui donna le baillon et il me dit : « Tu as de la chance que je sois handicapé. Je me serais levé pour te donner un coup de pied ... » Je me suis mis a rire : « Oh oui donne moi un coup de pied ! Cela dit evite d'en perdre la jambe ! » Ajoutai-je d'un majestueux tirement de langue je me glissa derrière le canapé m'approchant de lui en lui disant : «  Je vais aller me changer et te ramener de quoi dormir… Et après je ne bouge plus et je pourrais encore mieu te torturer a ma guise... Après tout n'est ce pas le devoir de tout traitre en son sang ? » Lui disai-je d'un air méprisant avant de m'approcher d'un escalier en spirale en fer forgé. Je monta les escalier arrivant alors dans ma chambre qui fut en faite une mezzanine qui donnait vu sur le salon, je m'approcha de l'armoire laissant descendre la serviette que je posa sur le dossier d'une chaise. Je pris un calecon que j'enfila et un bas de jogging qui m'allais mieu que le jeans. Je saisissa un oreille et une couverture dans mon armoire et je descendit les escalier posant alors tout cela sur le dossier. Je pris place a coté de Julian sur le canapé, prenant pour domicile l'un des angles de canapé me mettant en tailleur : « Eh voila ! Je suis tout a toi maintenant ! » Lui disais-je d'un grand sourire pour l'embeter d'avantage sans doute !

Je venais de sortir de la douche, je me sentais propre et bizarrement l'hygiène était importante pour moi. J'ai voyagé pas mal de temps et il m'est arrivé de me retrouver sale ou de ne pas me laver pendant quelques jours. J'avais des Toc du à sa, la salté était vraiment un truc que j'avais du mal à supporter, mais bon ce n'était pas la pire que j'avais : « Le seul mal que je vois ici ... » Je pouvais l'entendre ricaner, j'eu un sourire alors que je remarquais que son regard se porta sur mes fesses je prenna ma bière en me disant que cela ne devait pas être un mal a ce que je venais de goûter pendant ses baisers. J'avais cette envie de me blottir dans ses bras… Je ne savais pas, j'avais cet envie de le réconforter. D'être la pour lui… Mes pensées se perturba le temps de : « Enfin, bois mon ami !» J'eu un sourire alors que je bus la fin de ma bière avant de la poser sur ma table.

Il fallait que je m'écarte, fallais que je me retrouve seul, j'en profita pour aller dans ma chambre. Montant les marches et je decida alors de me changer optant pour un vêtement plus confortable. Je repensais a tous cela… Ce baiser avait reveiller en moi un sentiment étrange… Cette nostalgie, cette envie, cette mélodie qui me tourne sans cesses en boucle. Je suis redescendu dans l'espoir de ne plus y penser de pouvoir me consacrer à Julian. Je posa les affaires sur le dossier du canapé m'asseyant a coté de lui. Lui avouant alors que j'étais tout a lui, phrases plutôt tendancieuse, je ne fit même pas attention. « Tout à moi ?» je pouvais voir la surprise dans ses yeux, qu'est ce qui pouvait le surprendre a ce point :« Plus de copies à corriger ? Plus de fesses à montrer ? Plus de douches à prendre ? Tu es sûr ? » Je me suis mis a éclaté de rire, je me redressa pour mieu me lever et commencer a prendre les cadavres de bieres, je lui avoua alors : « Tu arrives à l'improviste aussi… j'y peut rien moi… » Disais en souriant alors que j'allais un instant dans la cuisine deposer tout ca. Je ferais surement un petit coup de ménage après mon sport de demain. Je suis revenu au salon et je vis Julian allongé sur le canapé, enfin plus demi allonge. Sa Jambe attrophié était allongé sur la canapé la poche de glace dessus, les bras entourant sa tête je m'approcha derriere lui, m'accroupissant, posant ma tête sur la sienne en l'écoutant : « C'est trop d'honneur, mais il se trouve que c'est mon heure de dormir.» Je regardais l'heure sur une de mes horloges mural, il était tard effectivement… plus je vieillis plus je me couchais tôt … Nan c'est sur c'est pas beau de vieillir. Je pouvais comprendre qu'il était fatiguer… Surtout que ca doit empirer avec la douleur lacente qu'il doit ressentir au niveau de sa jambes. Je pouvais souvent ressentir cela quand je suis en bradicardie, cette sentir de me noyer et de mon coeur qui m'oppresse comme si j'étais perturbé par une certaine pression : «Je ne suis pas sûr de pouvoir tenir une conversation après tout ce que tu m'as fait boire ... » Je me releva alors m'approchant de la bibliothèque me retournant vers Julian: « Hum est bien c'est pas grave, repose toi... » Lui disai-je d'un sourire compatissant, je sortis une petite boite en bois, je l'ouvris sortant deux flacons. Prenant une pillule de chaque rangeant la boite je me retourna avalant les pillules… Et oui quand on a un coeur qui ne fonctionne presque plus, medicament je dois prendre… Et surtout jusqu'à la fin de ma vie… je me suis approché de julian trouvant un place sur le bord du canapé, je m'assois en faisant attention a sa jambe, Je ne le quitta pas des yeux… Se silence était, bizarre… Agréable, j'était comme attirer par les yeux expressifs de Julian… Tantôt triste, tantôt joyeux. Je pourrais le confondre à une girouette, je posa ma main sur lui en lui demandant : « Tu n'as besoin de rien sinon ? » Lui disais-je comme tout bon hôte qui se respecte, je prend soin de mes invités. Même si Julian est invités qui connaît la maison comme sa poche je prefere tout de même lui demander… Je m'investissais tellement que de devenir une peluche pour la nuit ne me dérangerait pas.

Je ne savais pas tellement ce que signifait tout ce bordel dans mon cerveau. Je me sentais bien, la sur ce canapé, mais plus je regardais Julian plus j'avais l'impression de ressentir autre chose. Un autre sentiment qui m'envahissait. Pour Julian était mon ami, l'un de mes admiratteur depuis que je suis enfant, j'ai toujours voulu le proteger, il m'était précieux, après tout c'était le seul dont j'avais encore un lien avec l'Ecosse. Je ne voulais ni le perdre… Je voulais lui donner mon affection, je connais tout de lui… je sais ce qu'il a vécu et lui donnait cette tendresse, me fit du bien a moi aussi. Je sentis sa tête tombé sur mon épaule j'eu un sourire passant mon bras derrière lui carressant lentement son bras.« J'ai besoin d'un doudou pour dormir ... » Je le sentis s'enrouler autour de mon torse, par instinct je deposa un baiser sur tête, trouvant son comportement adorable. Et puis il me dit :« Ne bouge pas. Je veux écouter ton coeur ... Il est tellement mou, on dirait un berceuse.» Je me suis mis a rire, voila qu'il me compare à une berceuse… Je me suis mis a sourire en lui disant : « Tu sais que t'es vraiment adorable... » quand tu le veux mais je n'osais pas lui dire, j'aime cette sensation d'être indispensable pour lui, mon coeur accelera a peine et cette sensation m'oppressa mais ce fut tout a fait agréable.

Je pouvais sentir son souffle sur mon torse, la chaleur qu'il dégageait me satisfaisait amplement, je l'entendait gemir et l'entreinte me satisfaisait. Ma main remonta se plassante dans ses cheveux, je plongea mes doigts dedans. Je soupirai d'aisance a mon tour, je me detendais et je sentais la fatigue venir. De mon autre main je saisissai la couverture elle se deplia quand je la posais sur Julian. Je ne voulais pas qu'il attrape froid...

« Tu peux parler si tu veux ...» Je me suis mis a rire le sentant se tortillait. Je continua alors en lui disant : « Mais si je parle… Tu ne suivras rien, t'es entrain de t'endormir… Je vais te raconter une histoire... » Je leva les yeux au ciel reflechissant a ce que je pouvais lui raconter. Soudain il me vient une idée : « Il était une fois, un jeune garçon de 16 ans qui a décidé de quitter sa ville natale pour retrouver sa petite danseuse, le premier bateau qu'il prit l'emmena en Islande. Il se demandait bien ce qu'il trouverait labas. Mais la curiosité était impressionante. Quand il est arrivé au port, il s'est arreté dans un petit restaurant… Il avais très faim, il consomma son repas, alors qu'il vis entrer deux hommes très bien habiller, on aurait dit qu'il sortais tout droit des vieux films d'espions. Ils parlèrent à l'un des serveurs, c'était des representant Kinder, ils sont venus ici pour trouver de nouvelles idées pour les jouets des kinder suprises. Le jeune garçon avait l'impression d'halluciner face à leur paroles, Ils étaient si persuadé de trouvés des choses… Pour eux l'islande était une suprise grouillant de magie, malgré les volcans, les craquelures, les glaciers et les sources chaudes. Ils ne pourraient que trouver des surprises vivantes. Le jeune homme est aller les voir. Il voulait voir les surprises, après maintes reprises. Ils acceptèrent et emmenèret le jeune homme… le jeune homme ecrivit son aventure… Il rencontra des êtres, des elfes pour être exactes. Ils en vivaient des tas labas. Le jeune homme fut attitrer porteur, il porta tout un tas d'objet : Un thermos, une glaciaire tout ce qu'il pouvait contenir quelque chose a temperature initial . Le premier elfe qu'il rencontra ce fut l'elfe à la mode. Elle était fringuant, elle mesurait deux centimêtre de haut elle essayait les fleurs qui pousseaient sur le dos du volcan « Snaefellsjökull », les petites cloches que representait la fleur faisait de très bonnes robes pour les elfes disait elle. Le jeune homme était stupefait comme admirait par cela. Elle disait que ce volcan était son préféré et qu'elle adorait s'habillait la. Elle avait une voix magnifique, une petite voix comme un appeau à oiseau. Quand le jeune homme lui proposa de devenir un surprise de kinder. Elle lui fit un bras d'honneur et lui cria des jurons indiscriptible. Et elle s'enfuya dans le labyrinthe d'un caillou de lave. Le deuxieme elfe qu'il rencontra fut un elfe gourmand. Il disait souvent que le vent qui passe entre les volcans et les glaciers avait un goût de caramel... » Je me pencha vers lui, voyant qu'il s'était endormit, je me demandais depuis quand. J'eu un sourire deposant à nouveau un baiser sur sa tête je calla l'oreille dans le coin du canapé posant ma tête gardant Julian contre moi, il était bouillant. Il me tenait chaud, j'aimais cette sensation. Je fermis les yeux. Me demandant ce qu'il se passais… Pourquoi j'aimais cela… j'avais du mal a trouver le sommeil… Je regardais Julian qui était loin d'ici… Enfaite je comprenais ce qu'il m'arrivait… Je commençais a tomber amoureux de lui...