"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici “Got me lookin so crazy right now” w/Julian - Page 2 2979874845 “Got me lookin so crazy right now” w/Julian - Page 2 1973890357
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“Got me lookin so crazy right now” w/Julian

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Ven 26 Sep 2014 - 23:43 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Bon je me demandais franchement ce qu’allais donner cette soirée. Nan mais je voulais juste passer une soirée tranquille : Faire mes correction, me boire du vin et limite pourquoi pas regarder un film ou un documentaire. Un truc tranquille quoi. Et puis pourquoi ne pas me dévorer un truc entre deux… Cela dit, je devrais toujours prévoir un truc de rechange au cas où j’ai des squatteurs qui viennent un peu comme Julian se soir. Malgré que je lui avouai que je ne croyais que ce que je voyais… le pire c’est que cela m’étonnais même de moi alors que j’étais du genre à croire au légende un peu saugrenu.
« Toi, tu veux voir ! » Je l’entendais rire, je fis une tronche d’effaré en disant : « Nan mais nan ! Ce n’est pas une envie ! Simplement de mettre au point une certaine hypothèse… Tu sais bien mon côté Chercheur de trésor qui ressort. » Disais-je en roulant des yeux alors que je le vis à moitié plié de douleur le visage blême, il me faisait mal comme ça «Je ne crois pas que ce sera pour ce soir, en tout cas. » Je me suis mis à sourire : « Dommage, mais bon viens t’asseoir ! Tu seras mieux assis en tout cas. »

« Pour un végétalien tu m'as l'air bien obsédé par les animaux. Ne pourrais-je pas juste être humain et magnifique ? » Je leva un sourcil : « Je suis pour la cause des animaux crétin ! Et Humain peut être… Magnifique… Je dirais repasse quand t’auras un corps réparé. » Le taquinai-je alors que je le vis faire la grimace je posai mon stylo quand il me demanda : « Je pourrais te demander un peu de glace ? » Je rajoutai : « Non tu ne peux pas… je te ramène ça. » Je me levai allant dans la cuisine, allant chercher un sac congélation, allant vers mon frigo, j’appuyai sur un bouton ayant de la glace. Je refermai le sac revenant vers le salon le tendant à Julian : « Tien, mon petit homme en miettes. »

Vaniteux et en plus maniaque… Il en a d’autre des compliments à me faire part ? Je n’étais pas maniaque… Je me faisais même du mal pour tenir mon appartement dans un état potable. Et puis je n’étais pas vaniteux… Nan mais franchement… Le Déni nan mais il sait vu lui avec s’est histoire d’amour à dormir debout et celui qui vient me parler de Déni : « Déni… Déni tu n’as que ce mot-là à la bouche… Et j’aurais été maniaque j’aurais déjà jeté mon verre à la gueule pour le dessous verre et le faite que tu sois en caleçon sur ce fauteuil ! » Disais-je en souriant. Cela dit j’avais du travail moi. Alors que je profitai pour finir, Alors que notre conversation se finisse sur une note bizarre reliant le sexe avec le cannibalisme. Cela dit sa phrase avait un double sens encore plus bizarre : « Quand je suis enfermé, je suis excité comme une puce. » Je me suis mis à sourire posant alors mon stylo pour me lever et j’en profitai d’aller vers le bar en lui disant : « C’est très intéressant mais je pense qu’on devra arrêter de faire des doubles sens ça en devient malsain. » disais-je en riant bizarrement ça me plaisait bien alors que je sentais mon pantalon baisser. Je me retournai pour aller m’asseoir je te laisse imaginer la vision d’un pantalon qui descend sur Ewan… Cela dit en étant assis je portai à mes lèvres mon verre de rhum alors qu’il ajouta : « Tu as bientôt fini ta correction ? Parce que bon, c'est chiant de ne pas être le centre du monde. » Raillai-t-il. « Tu es un hôte terrible. Même pour un squatteur comme moi. » Je haussai un sourcil : « Oui j’ai fini mais ça tombe bien j’avais une pile de dissertation à corriger… » Disais-je d’un grand sourire, Oui j’aimais bien l’embêter. Je rangeai les copies dans une pochette en cuir que je rangeai dans mon sac. Au moins c’était fait pour lundi ! « Bon Monsieur je-veux-être-le-centre-d’intérêt… Je suis tout à toi maintenant !» Rallai-je, alors que je me mis en tailleurs sur le canapé grattant mon genou dénudé de mon jeans troué au genou. Je lui piquai une seconde cigarette que je portai à mes lèvres prenant mon verre attendant d’écouter les histoires de vagin aussi agressif que des fils barbelés.

© Gasmask    
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 0:23 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” J'avais pris l'habitude de débarquer dans l'appartement d'Ewan sans raison particulière. Au début c'était pour fuir les visites de groupe des copines d'Elliana, et m'évader dans un monde un peu plus à mon image : loufoque et masculin. Puis au fur et à mesure, j'avais fini par prendre goût à sa présence, et à ses histoires tordues. Je ne le croyais qu'à moitié, mais il y' avait quelque chose dans sa narration qui me captivait comme un petit garçon. Je lui souris.

« Tu veux pas voir ?! » M'enquis-je à moitié offusqué. Il ne pouvait pas résister au charme de Julian Fi, je lui interdisais tous simplement. Je ne comprenais pas pourquoi cette obsession de plaire? Je pense que c'était lié au fait qu'il ait une orientation sexuelle douteuse, et que j'étais du genre à prendre tout ce qu'on m'offrait. J'haussai les épaules, boudeur. «J'ai la flemme de bouger.»

Je gigotai néanmoins, incapable de trouver le juste équilibre entre l'inflexion de mon genou et mon confort personnel. Je sorti la langue dans un dernier effort. En vain.

« Je croyais que tu étais adepte de la théorie de Darwin. L'Homme est un descendant du singe. L'Homme est un animal ... Tiens, c'est pour ça que tu ne manges pas d'humains ? » Lançai-je d'un ton sarcastique, juste pour l'embêter un peu. Il était tellement fier de ses légendes bizarres parfois ! « Et mon corps te dit bonjour. » Lançai-je en joignant les deux poings à la Ross Geller. Un geste que je regrettai lorsqu'il s'empressa de me ramener un sac de glaçons. J'étais un ami indigne. Je le regardai avec des petits yeux en posant l'elixir froid sur mon genou. Un son, à mi chemin entre le soulagement et la douleur, m'échappa, et je fermais les yeux pendant une fraction de secondes. « ça fait du bien, merci. »

Il resta silencieux quelques instants, et je devinais bien son monologue interne. Je jubilais en le voyant s'afférer dans sa tâche de professeur avec passion. Il boucla sa dernière copie.

« Critiquer le déni, c'est du déni. Pire encore, nier le déni, ça c'est du déni ! » J'éclatai de rire amusé par ma propre bêtise, avant de me pencher vers mon paquet de cigarettes. L'appartement commençait déjà à sentir la nicotine. C'était une odeur étouffante, mais à laquelle mes narines avaient fini par s'habituer. Je lançai un regard en biais à Ewan. Peut-être faudrait-il ouvrir la fenêtre ? Et s'il supportait mal ? Je secouai la tête dans un élan de lucidité, Pourquoi je m'inquiète pour lui d'abord ! « Je ne te fais aucun sous entendu. Je parle de manière enjouée, nuance ! Le seul malsain que je vois ici, c'est toi. C'est toi qui fait allusion à ton énorme appétit. »

Il rangea enfin sa pile de feuille - Bien sûr sans manquer de me sortir la blague de l'année " J'ai des disserts à corriger". Je soupirai, soulagé de l'avoir enfin pour moi. A vrai dire, la pensée que je puisse l'importuner ou couper cours à son travail, me dérangeait. J'étais plus à l'aise s'il était libre de jouer avec moi.

Ewan se retourna pour me faire face. Son genou dépassait de son jeans troué, et je me surpris à l'imaginer nu à nouveau. Il voulait du malsain ? ça c'était malsain ! Je tirai sur ma cigarette en le regardant au coin, ma bouche se courba tout à coup.

« C'est comment de coucher avec des hommes ?   » Lançai-je de but en blanc.  « Je suppose que c'est moins doux qu'une femme. Ton coeur arrive à tenir le rythme, MR-J'ai-encore-des-pavés-à-noter ? »

Je lui dis face à mon tour.
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 1:11 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
J’aimais tout de même les visites impromptues de Julian. Même si c’est juste un bâtard qui squatte, c’est le genre de mec qui peut me faire rester celui que je suis et celui que je veux être. L’homme horloge a tout de même excité au cœur de Julian et pour moi c’est un truc formidable. Car même si il connait qu’une partie de l’histoire. Il ne connait pas tout. Certaine chose sont resté trop sombre ou caché pour éviter qu’on me prenne pour le fils de Vincent Price. Le genre de truc a la Frankenstein qui faisait pâlir un génie robotique.
« Tu veux pas voir ?! » Je me suis mis à sourire alors que je fermais la porte pour lui avouer : « Je préfère me l’imaginer ce serait dommage que tu brises un fantasme Roh ! » Lui disais-je en le taquinant alors que je l’aidai à traverser le couloir pour qu’on rejoigne le salon.
« Je croyais que tu étais adepte de la théorie de Darwin. L'Homme est un descendant du singe. L'Homme est un animal ... Tiens, c'est pour ça que tu ne manges pas d'humains ? » Je fis de gros yeux, je venais d’halluciner sur ce qu’il venait de dire je ne pouvais pas m’empêcher de sortir : « Nan parce que tu croyais que je mangeais des gens ? Mec arrête de boire j’ai l’impression que t'as assez bu pour ce soir ! » Je me suis mis à rire tout de même alors que je prenais juste après une bouffé de cigarette, c’est dingue ce qu’on peut être accro à cette merde !
« Critiquer le déni, c'est du déni. Pire encore, nier le déni, ça c'est du déni ! » J’ai cru perdre la boule l’espace d’un instant, je faisais des gestes avec ma main pour qu’il arrête : « S… Stop Julian… Tu vas trop loin. » Lui disais-je d’un sourire avant de reprendre ma saloperie de correction. Alors que je lui demandai d’arrêter le sous-entendu ça devenait pénible à supporter surtout pour moi.  
« Je ne te fais aucun sous-entendu. Je parle de manière enjouée, nuance ! Le seul malsain que je vois ici, c'est toi. C'est toi qui fais allusion à ton énorme appétit. » Je suis mis à rire en lui disant : « A parce que tu crois que j’ai un profond appétit sexuel ? » J’allai prendre mon verre et avant de boire ma gorgée de rhum j’ajoutai : « Ça se pourrait bien » et je me noyai d’une profonde ivresse dans mon verre alors que je venais de ranger mes affaire je m’installai confortablement, alors que je voyais Julian dans ses pensées a quoi pensait-il ? Je me demandais bien…
« C'est comment de coucher avec des hommes ?   » Oh godnes il est sérieux en plus !   « Je suppose que c'est moins doux qu'une femme. Ton cœur arrive à tenir le rythme, MR-J ‘ai-encore-des-pavés-à-noter ? » J’ai failli recracher mon rhum. Toussotant j’essayai de retrouver mes esprits : « Tu veux vraiment parler de ça ? » Je n’en croyais pas mon esgourde. Cela dit va nourrir sa curiosité : « Coucher avec des hommes… C’est différent qu’avec une femme voit tu… Il peut y avoir de la douceur avec un homme autant qu’avec une femme… Le truc c’est que si l’homme s’y connait mieux… Personnellement je prends plus mon pied avec un homme… C’est tactile… Sauvage… Bestiale… très intéressant… Enfin après faut aimer hein !  Et mon coeur tien très bien c'est de la bonne ferraille tu vois ! Pourquoi cette question… Je te croyais pas si bi curieux que ça » disais-je en arquant un sourcil.

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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 2:59 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Il avait hanté mes souvenirs depuis notre rencontre à l'hopital. Je croyais qu'en le retrouvant à Londres, des années plus tard, cette obsession se serait dissipée ... mais plus je le regardais, plus je me perdais dans les méandres de mon âme. Je plissai les yeux en essayant de trouver la lumière, mais mes doigts crispées se fermaient sur le vide. Ewan était un mystère fantastique. Un roman inachevé, et je n'étais qu'en première page. Son secret me narguait tout le temps, mais il s'obstinait à ne m'offrir que quelques rencontres amicales. Je voulais tellement plus. Je voulais découvrir l'horloge mécanique et percer le coeur gelé. Je relâchai la pression sur mes épaules en le regardant, hilare.

« Je serais à la hauteur de tes fantasmes. Aie confiance ! » Soufflai-je avec assurance. «Le seras-tu ?»

Ce n'était pas le genre de débat dans lequel se lançaient deux amis ordinaires. Mais je me plaisais à croire que nous étions différents, de sorte à justifier notre relation ambiguë. Je me sentais bien dans cet appartement lumineux et propre. Il pourra dire ce qu'il veut : Ewan est maniaque! Je le fixai, et mon coeur eut un raté. J'étais immanquablement guidé vers lui, comme un lycéen aveugle. Mes hormones faisaient la loi sur ma raison. Je toussai en écrasant mon mégot dans le cendrier.

« Un écossais n'a jamais trop bu! » Me moquai-je. « Tu as un régime alimentaire tellement bizarre aussi! »Minaudai-je l'air de pas y toucher.

J'allais trop loin dans mes propos. Je m'en rendais parfaitement compte, mais je mettais tellement de passion dans mes débats et puis je voulais tellement avoir raison. Je souris, l'air penaud. Le déni du déni, c'était peut-être trop intelligent pour lui!

« J'avoue je suis allé un peu trop loin! » Acclamai-je grincheux.

Il parlait de son appétit sexuel tandis que je malaxais mon oedeme avec de la glace. La sensation de fraicheur avait fini par disparaître pour laisser place à un engourdissement désagréable. Déjà que j'avais perdu toute sensibilité cutanée après mes chirurgies! J'abandonnai le sachet sur la table, en soupirant.

« Je suis sûr que tu es sex addict et encore une fois ... Le déni mon ami. » J'éclatai de rire suite à cette dernière remarque. C'est fou ce que j'adorais l'embêter!

Il s'assit en face de moi, prêt à s'engager dans un débat philosophique douteux lorsque ma réponse le prit de court. Je m'amusais à le voir dans tous ses états. Moi, Julian Fi, le canard boiteux, j'avais faillit tuer Idiana robotique, à coup de fausse déglutition. Je souris, d'un air narquois. Le sujet était tout même intéressant. Je l'écoutais avec application, comme si chaque parole était une invitation secrète vers des landes qui m'étaient encore inconnues. Mon coeur eut un raté.

« J'ai un peu de mal à envisager qu'un homme puisse être doux et avenant ... Ma seule figure paternelle n'était que violence et colère. Je suppose que je devrais voir de mes yeux, moi aussi. »

Je souris en m'adossant au fauteuil. Je n'étais pas très informé sur le chose.

« Je ne dirais pas que je suis bi et curieux. Je suis une âme en quête de savoir et c'est ton devoir en tant que prof ... Vous prêtez un sermon d’Hippocrate comme les médecins? »

Je me mordis la lèvre inférieure, sans le quitter des yeux.
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 3:29 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
« Je serais à la hauteur de tes fantasmes. Aie confiance ! » Soufflât-il avec assurance. «Le seras-tu ?» Je le regardais d’un air vaniteux : « Oh Sweet heart… Ne parle pas de chose dont tu ne sais absolument rien… Tu te fais du mal… Je serais plus qu’à la hauteur voyons ! Je suis vraiment désirable que veux-tu… » Lui disais-je pour le narguer un peu… Après tout c’est mon droit non ? Il venait de me parler de son engin gigantesque alors que je n’avais qu’une envie depuis quelque temps c’est d’avoir un Orgasme Gargantuesque le genre de truc qui me retournerai le cœur et me ferait comprendre qu’il est temps de rendre les armes et de casser l’horloge ! « Un écossais n'a jamais trop bu! Tu as un régime alimentaire tellement bizarre aussi! » Je le regardais pensant vraiment qu’il était sérieux. Je ne pouvais pas m’empêcher de rire au point de sentir mon cœur faire trop de rebond à l’intérieur je lui dis : « Ca je suis d’accord pour l’autre… Mon Régime ? Eh bien c’est simple… Alcool… Sexe et bouffe… Sans viande et ce parfait ! Je n’ai jamais eu un corps aussi sain ! Même mon Horloger…Enfin mon cardiologue est étonné de mon résultat d’analyse ! J’ai le foie d’un jeune puceau et le cœur d’un jeune de 15 ans et les poumons d’un non-fumeur ! » Soudain entre deux conversation je lui avouai mon appétit sexuel… Je ne vois pas où était le mal. Cela dit j’étais bien calme je connaissais bien pire que moi… Le professeur de lettre par exemple… Vous la verrez à la Elizabeth Hurley dans Endiablé… Le genre de truc qui… Flairait bander n’importe quel étudiant conscient de son corps. Cela dit j’entendis sa remarque « Je suis sûr que tu es sexe addictif et encore une fois ... Le déni mon ami. » Je me suis mis à rire : « Ce n’est pas du Déni… j’aime les bonnes choses de la vie… C’est la principale ! » Lui disais-je un sourire taquin sur les lèvres alors que je finissais mon verre. Soudain malgré que j’ai fini mon travail et qu’ils voulaient discuter je fus étonner de la conversation le voilà qu’il voulait qu’on parle de sexe. Bien que j’étais calé je ne comprenais pas sa curiosité la dessus c’est tellement rare chez les mecs hétéro. « J'ai un peu de mal à envisager qu'un homme puisse être doux et avenant ... Ma seule figure paternelle n'était que violence et colère. Je suppose que je devrais voir de mes yeux, moi aussi. » Je m’approcha faisant mine de me concentrer sur ce qu’il disait alors que j’écrasai ma cigarette… surtout que j’avais un peu trop les penser ailleurs, je le regardais… Ses yeux le trahissaient et pourtant il avait un visage charmant… Je descendis le regard, il avait tout de même un beau corps malgré ce genou… Je secouai un instant la tête pour lui répondre : « Si tu commences a comparé tes partenaires masculin de figure paternel tu risques d’être déçu… Cela dit je peux te l’assurer que ça existe… Généralement je suis comme ça ça dépend avec les hommes que j’ai fréquenté, Il y a toujours le dominant et le dominé ça marche aussi chez les hétéro bon généralement le mal est dominant et la femelle dominé… Si tu veux voir de tes propres yeux… Bah j’espère que tu tomberas sur un bon gars ! » Je me suis mis à sourire alors qu’il continua après « Je ne dirais pas que je suis bi et curieux. Je suis une âme en quête de savoir et c'est ton devoir en tant que prof ... Vous prêtez un sermon d’Hippocrate comme les médecins? » Je me suis mis à sourire rigolant un instant alors que je prenais une nouvelle gorgée : « Sache qu’Hippocrate est un connard… Et que non en tant que prof je ne prête pas serment… Et puis je suis Archéologue à la base ! » Ronchonnai-je avant de continuais « Et puis t’façon… Et puis si il faut que je te parle théorie faut aussi te parler pratique j’imagine ? » lui disais-je en souriant avant de me poser sur le dossier du canapé soupirant un instant me détendant un peu plus que tout a l’heure oui parler de sexe c’est cool mais quand même faut pas abuser !

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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 22:59 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Le ton vaniteux d'Ewan m'amusait beaucoup. Il clamait être humble, mais je savais que c'était un prétentieux dans le déni. Mon démon intérieur faisait une danse bizarre, que je me plaisais à appeler : Victoire.

« Je ne suis pas sûr de te désirer de la façon que tu sous-entend... » Sifflai-je, songeur. «Néanmoins, tu es une assez bonne source d'inspiration.» Avouai-je d'une voix posée.

Je pensai tout à coup je ne lui avais jamais fait lire mon premier essai à propos de son coeur mécanique. En même temps j'étais si jeune et inexpérimenté, mes écrits ont dû bien évoluer depuis. Je me plaisais à choisir des expressions plus imagées, souvent plus ténébreuses. Je réalisais avec stupéfaction que mon domaine de prédilection était très obscur. Une ombre se traça sur mon visage, afin de ternir mon expression sereine. Je regardai Ewan, amusé.

« Tu es un herbivore... » Le taquinai-je peu convaincu par sa tirade. Je ne le jugeais pas, mais je gardais mes opinions tranchées. C'est vrai, je ne comprenais pas les gens qui se privaient de protéines animales, alors que c'était parfaitement normal de subvenir aux besoins de son corps sans avoir recours à des substituts. Un vampire qui se nourrit exclusivement de sang de bêtes sauvages à la limite, je pouvais comprendre. Mais un humain qui faisait la fine bouche... J'arquai un sourcil : Tanpis pour lui, ça en ferait plus pour moi . « Tu as bien du courage. Enfin je ne suis pas sûr de vouloir te décrire comme ça mais bon. » Je souris.

Il niait à nouveau, toute addiction sexuelle en clâmant que l'essentiel c'était d'apprécier les bonnes choses de la vie. Je dû esquisser d'un signe de la tête. J'étais bien d'accord sur ce point, même si je m'obstinais parfois à m’interdire quelques plaisirs pervers. Ewan s'enfonçait dans ses pensées, et plus je m'imaginais dans la situation, moins j'envisageais de sauter le pas. Les doutes s’immisçaient en moi comme une onde virulente, bloquant chacune de mes divagations. Je n'étais même pas sûr d'être bisexuel. Je n'avais jamais eu de rapport avec un homme, je n'avais même jamais réellement eu de contact inapproprié du même sexe. Mes pensées impures étaient la seule infraction que j'avais commis. Je déglutis : Cet idiot était tellement beau. Je fermai les yeux afin de reporter mon attention sur le décor spécial de l'appartement : ça sentait l'archéologue partout !

« Je suis sûr d'une chose, ce sera difficile de me faire ployer. Je n'aime pas être dominé. Même si je suppose que certains plaisirs sont mesquins. »

Je réfléchissais à haute voix. Le gout amer des céréales fermentés brûlait ma gorge avant de couler vers mon estomac contracté. Je me mordis la lèvre inférieure en ravalant ma salive.

« Archéologue - prof - connard ... Franchement, je vois pas beaucoup la différence. » J'éclatai de rire d'un air taquin.

Je me raidit en entendant sa proposition ... Pratique. Je me raclai la gorge dans un effort vain de concentration, peut-être ainsi pourrais-je déceler la taquinerie ou la blague dans ses propos. Mais son sourire était impénétrable. Il se laissa aller sur le dossier du fauteuil, à mes côtés et j'eus un frisson d'appréhension.

« Je garderais ta proposition en mémoire, sous scellée. » Murmurai-je en fermant les yeux.

Quelles étaient ses intentions réelles ? Je connaissais les miennes. Je savais exactement ce que je cherchais en réfugiant dans ses quartiers, mais lui, quelle raison obscure le poussait-il à m’accueillir à chaque fois ?
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() message posté Mar 30 Sep 2014 - 23:34 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Bien que j’étais plutôt bien installé sur le canapé, je profitai un instant pour refermer mon pantalon, pas que j’étais pudique mais au moins un peu de décence non ? Je profitai pour reboire une gorgée cela dit un truc me fit avaler de travers :
« Tu es un herbivore... » Les soucis avec ce genre de personne, c’est qu’il ne comprenne pas totalement pourquoi je fais ça, la capitalisation du monde actuelle nous force à manger de la viande et sa depuis des milliers d’années. Notre corps n’était pas fait pour manger de la viande c’était véridique. Tube digestifs trop long et une mâchoire moins adapté. Et bien d’autre encore, La viande n’apporte que des problèmes, La protéine animal n’est pas essentiel, elle apporte même des conneries avec elle. Et mon Médecin est véridique la dessus il préféré que je sois végétalien que Omnivore, ayant le cœur trop sensible manquerait plus que je me choppe une connerie à cause du Cholestérol ou bien une artère boucher… Ce serait la fin de moi et ça je ne voulais pas. Cela dit m’appeler Herbivore était un peu étonné… : « T’es sérieux ! Tu me prends pour un bovin ? » Je me suis mis à rire alors que je prenais une énième bouffé de cigarette alors qu’il continua : « Tu as bien du courage. Enfin je ne suis pas sûr de vouloir te décrire comme ça mais bon. » Je me suis mis à sourire : « Non mieux vaut pas effectivement ! »
« Je suis sûr d'une chose, ce sera difficile de me faire ployer. Je n'aime pas être dominé. Même si je suppose que certains plaisirs sont mesquins. » Je faisais mis de réfléchir a ce qu’il disait : « Après tu sais… Que le couple soit Hétéro, Lesbien ou encore Gay. C’est la même galère quoi qu’il arrive… Le sexe est différent sur la pratique c’est vrai… La libido est différente, mais cela dit la relation… C’est la même… Il y a toujours cette différence… Elle peut être minime comme immense… Le dominant et le Dominer… C’est ça depuis la nuit des temps… Le caractère fort et faible… Même si au monde d’aujourd’hui on dit que c’est la femme… C’est une bien belle connerie. Une étude a démontré que cela ne dépend en aucun cas du Sexe, de l’Age ou bien du Caractère et de l’éducation… C’e purement psychique et psychologique… Je prends exemple de Sheena et moi… J’étais le dominant… C’était minime, mais j’avais l’aspect du pilier. Contrairement quand je sortais avec ce gars-là… C’était diffèrent… J’étais le dominé… Cela dépend tu t’en rends pas compte tout de suite. .Mais c’est véridique ! »
Alors qu’on parlait d’Hippocrate… Enfin l’hypocrite… c’est là qu’il ajouta. « Archéologue - prof - connard ... Franchement, je ne vois pas beaucoup la différence. » Je pris mon coussin pour lui envoyer dans la gueule : « Voilà ce qu’il fait le Connard… Cela dit je dois dire que Auteur Journaliste ce n’est pas tellement mieux qu’un prof. » Cela dit je me suis posé sur le dossier confortablement ne m’empêchant pas de sourire juste pour le déstabiliser… Un plaisir incommensurable on va dire ! Cela dit sa réponse me laissa perplexe :
« Je garderais ta proposition en mémoire, sous scellée. » Etait-il sérieux ? Je me demandais encore voyez-vous cela dit en prenant mon verre de rhum pour en boire une gorgée en lui posant une question : « As-tu déjà ressenti… Du désir pour un homme ? » Question sensible, mais cela m’intriguait de le savoir… Bizarrement on verra bien s’il est honnête.


© Gasmask    
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() message posté Mer 1 Oct 2014 - 2:48 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Je fermai les yeux pendant quelques instants, enivré par les senteurs de fumée et de poisons qui flottaient dans les airs. Mon genou engourdi se détendait peu à peu. J'étais perdu et abusé par un coeur qui battait dans le vide. Le visage terne d'Eugenia me revenait comme un cauchemar récurent, me rappelant toutes mes désillusions. Depuis mon retour à Londres, les choses avaient pris une allure tellement différente. Elles s'étaient déviés de la trajectoire que je m'étais tracé. Et je me retrouvais pieds et poings liés face à la même fatalité. Je me penchai afin de vider les restes d'une bouteille de Scotch. Eugenia était ma perte dans les ténèbres. Mon élément déclencheur. La cause de tous mes troubles comportementaux et cognitifs. Pourtant il m'était impossible de simplement me détacher de son emprise. Je soupirai en jetant un regard à mon ami. Il avait enfin boutonné son jeans : Big time, revelation, Dieu existe ! Je lui lançai un regard moqueur, prêt à me lancer dans une nouvelle vanne pourrie lorsqu'il s'exclama , indigné par mon opinion caricaturée sur les végétariens.

« Je suis un grand fan des vaches » Raillai-je. «Même que Milka c'est ma préférée.»

A ma plus grande surprise, il se lança dans une longue tirade sur le concept de domination dans un couple. Je le regardai, perplexe, dans un premier temps, avant d'arquer un sourcil. D'abord j'étais pas d'accord avec son blabla psychologique juste comme ça, pour pas être d'accord. Puis je n'avais aucunement besoin de cours d'éducation sexuelle. J'étais peut-être nul sur le plan relationnel mais pas à ce point !

« Oula, bientôt tu vas commencer à philosopher à la Freud.» Lançai-je à moitié amusé. «Ne me raconte pas tes histoires de cul avec Sheena et le typelà ... Qui est un très joli prénom soit disons passant.» Je marquai un silence. «Mon esprit ne supporte pas toutes ses images choquantes de toi tantôt chevauchant, tantôt chevauché.»

Je fis de grands signes de la main afin de donner un côté plus dramatique à mon dialogue. Je feins, un air offusqué pour la forme, puis je me redressai sur mon siège, non sans lancer un gémissement de douleur. Foutu genou à la con ! Je tendis la main afin de lui prendre sa cigarette à la volée. Après une dernière taff, j'écrasai le mégot dans le cendrier.

«Je sais que c'est l'hopital qui se fout de la charité... Mais à chaque fois que tu fumes, j'ai peur que tu fasses un arrêt.» Commençai-je d'une petite voix. «Je sais que c'est surfait, ridicule et injustifié, mais c'est comme ça. Je m'inquiète peut-être pour toi, vas-y savoir.»

Je le fixai du regard lorsqu'il me lança un énième pique. Je reçu un oreiller en pleine tronche. J'étais amusé qu'il compare mon travail à celui de professeur, qui était de tout évidence plus noble et bien plus profiteur pour la société, mais qui malgré tout n'arrivait pas à me tenir en haleine. La presse et son milieu de requins, c'était ma vie.

«Tu cherches la guerre ?» Menaçai-je en brandissant le même oreiller. Je ris avant de le reposer. «Tu es cardiaque je ne veux pas t’essouffler.» Je fis la moue en me penchant dangereusement vers lui. Ewan me semblait tout à coup trop intéressé par mon orientation sexuelle. Etais-je à ce point prévisible ? Ou avait-il, contre toute attente, réussi à percer ma carapace ? Je retins mon souffle. Je ne savais pas si je courrais à ma perte en côtoyant le diable. Ce n'était pas un couteau aiguisé, mais un million de lames qui menaçaient de trancher ma vanité. Je déglutis. J'étais comme un enfant mal luné, avide d'essayer tous les parfums que proposait le magasin de glace. Je n'avais aucun avis tranché. Je repensais à toutes ces filles que j'avais regardé ou touché avec passion. Puis je pensais aux hommes que je trouvais trop beaux pour que mon sentiment soit désintéresse.

«Oui.» Avouai-je d'une voix soutenue. «Il se pourrait même que je ressente du désir pour toi aussi.»

Mon visage fut traversé par un éclair insalubre. Ma bouche se courba, trahissant l'expression de mon profond mal être. La vérité c'est que je ne savais pas ou j'en était exactement. Et ce coeur brisé, qui continuait de battre, ne me facilitait pas la tâche.

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() message posté Mer 1 Oct 2014 - 3:46 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Je dois dire qu’à me prendre pour une vache, je commençais à le devenir avec lui, cela dit je me demandais bien ce qu’il allait me sortir comme vacheries à son tour. Je n’étais pas prêt pour partir dans un débat sur ça. Je me suis dit qu’il faudrait que je lui conseil de voir un doc juste pour qu’il voit ma vision des choses sans pour autant vouloir le changer ce qui n’est pas ce que je veux faire.
« Je suis un grand fan des vaches » J’arquai un sourcil, voilà que je lui trouve un coté Sexy zoophile que je ne m’imaginais pas sur l’instant : «Même que Milka c'est ma préférée.» Je me suis mis à rire, cette bonne vielle vache violette qui a conquérir le cœur des enfants. Malheureusement j’étais plus fan de Wonka que Milka… Ce n’est pas très connu sur mon coin d’île perdu entre deux marrées. « Certes, mais je ne suis pas une vache ! Nan mais dit ! Tu me cherches ?! ». Lui disais-je en empoignant le coussin à mes côtés prêt à l’utiliser s’il me cherche trop l’écossais.
Je suis parti dans une longue théorie. Mais cela dit étant mon point de vue. Je me doutais bien que cela allait l’offusquer, après tout je vis dans un monde un peu à part comparer à l’humain de ce monde. Perdu entre des êtres imaginaire ou bien partit dans une longue tirade amoureuse que je vis depuis mes 8 ans, sans jamais l’avoir abouti. Finalement Julian et moi avions plus de point commun que nous le pensions.
« Oulla, bientôt tu vas commencer à philosopher à la Freud.» J’eu un sourire, cela dit il finisse jaune… Je ne voyais pas le rapport entre un Psychothérapeute tel que Freud qui prônaient le sexe dès l’enfance. Le désir de s’accoupler avec son parent du sexe opposé et qu’un couple séparé prône la sexualité déviante de l’enfant : «Ne me raconte pas tes histoires de cul avec Sheena et le type là ... Qui est un très joli prénom soit disons passant… Mon esprit ne supporte pas toutes ses images choquantes de toi tantôt chevauchant, tantôt chevauché.» J’arquai un sourcil. Je ne savais pas si je devais prendre cela pour de la jalousie ou du pudisme, cela m’étonne de lui pour le pudisme. Je commence à me poser des questions cela dit. Pourquoi est-il jaloux… Pourquoi toutes ses questions sur le sexe entre homme… Je bus une gorgée alors que j’observais ses gestes démesurées… Cela dit le voir se redresser et se tordre de douleur. Je me redressai posant ma main sur l’accoudoir pour le soutenir. Mais le fourbe en profita pour prendre la cigarette des mains pour en prendre le dernier bouffé et l’écraser… Je me suis mis à sourire :
«Je sais que c'est l'hôpital qui se fout de la charité... Mais à chaque fois que tu fumes, j'ai peur que tu fasses un arrêt.» Oooh il s’inquiétait pour moi, il est rien cute cette enfant… «Je sais que c'est surfait, ridicule et injustifié, mais c'est comme ça. Je m'inquiète peut-être pour toi, vas-y savoir.» Je le fixai à mon tour… Je voulais au moins le rassuré mais cela dit il était beaucoup trop changeant pour que je dise quelques choses de véridique : « Mon cœur vas très bien… Et tu sais bien que je ne suis pas un grand fumeur… Vu que je fume généralement quand tu es là… Ou quand je fume le cigare par moment avec mon père… Donc bon… Je pense que c’est toi qui devrais faire attention… Ce serait dommage que tu ajoutes une merde en plus à cause de ça… » Oui je n’aimais pas les gens qui fumait, mais cela dit je sais c’est hypocrite, cela dit je m’inquiétais pour lui il était déjà assez mal en point comme ça. Alors qu’il me compara à Hippocrate, je n’ai pas pu m’empêcher de lui balancer le coussin au visage. Il l’attrapa à son tour. Même pas peur d’un canard boiteux !
«Tu cherches la guerre ?» Je me suis mis à rire en acquiesçant de la tête. Oh oui je cherche la guerre et je sais que je gagnerai. «Tu es cardiaque je ne veux pas t’essouffler » Je fis l’air choquer, posant une main sur mes cicatrices je lui dis : « Tu me prends pour une chose trop fragile Fitzgerald, je peux te battre tu me crois trop fragile c’est bien dommage… Je suis plus résistant que tu penses croire. » Cela dit, il me faisait penser a quelque chose… Mes huit ans, je pouvais encore me souvenir du son de cette instrument que je venais de découvrir, un son si magnifique qui semblait aussi complexe que les rouages que me servait d’ ‘horloge’, un instrument qui me servait à donner des émotions tout comme moi à mon âge. Et ce fut surtout le jour où j’ai rencontré ma petite danseuse… Mon cœur se réchauffa d’un coup rien qu’à la pensé de cette fille, la fille dont je suis amoureux depuis 19 ans… Je ne l’ai jamais retrouvé même en allant en Andalousie je ne l’ai pas retrouvé. Pensant avoir eu des pistes sur une fête foraine… Cela dit je suis revenu à mes moutons quand je vis l’air ambiant changé quand je lui ai demandé quelques choses de fatidique. S’il avait eu des attirances pour un homme. Cela dit je commençais à avoir de sérieux doutes sur certaine chose… Sa jalousie, sa curiosité tout me faisait comprendre certaine chose mais je voulais en avoir le cœur net.
«Oui.» Je me posai mieux sur le canapé, m’approchant pour mieux m’intéresser a ce qu’il disait : «Il se pourrait même que je ressente du désir pour toi aussi.» Je me suis mis à rougir, j’avais un drôle de chaleur… C’était comme un compliment, mais cela dit je pris mon verre pour boire à nouveau… Que devrais-je faire, je pourrais lui dire qu’il se pourrait que moi aussi j’ai ce genre de désir en son égard. Mais qu’est-ce que cela vas apporter avec ceci. Ou je peux le rembarrer… Je peux soit briser une bonne amitié… ou passer de bon moment… « Je… vois… » Oh putain Ewan, arrête de trembler et trouve une solution : « Je dois bien t’avouer que je m’attendais pas à ça… Mais… » Je rebus une gorgée en l’avalant de travers je m’installai en tailleur en lui avouant : « Il se pourrait que tu ne mets pas indiffèrent non plus… Cela dit… » Je marquai une pause assez embarrassé, voir même comblé. Mais du coup je ne savais pas tellement comment réagir… Ça aurait été quelqu’un sans problème dans sa tête ou sa vie, je lui aurais déjà sauté dessus, mais je connaissais Julian. Je savais ce qu’il vit en ce moment et je savais bien que lui ajoutait ça ne serait que le mettre encore plus dans la merde. Je bus une nouvelle gorgée ayant finit mon verre, l’atmosphère fut tendu, il fallait que je fasse quelques choses : « Bon dit moi est ce que tu as faim ? Perso je meurs de faim. »



© Gasmask    
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 1:31 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” C'était amusant de voir Ewan bouleversé par chacune de mes bêtises. Mes enchaînements devaient vraiment être encore plus bizarre que les inventions loufoques dont il avait l'habitude. Son visage changeait d'expression, à mi-chemin entre l'indignation et l'amusement et tout ce que je pensais en le voyant se résumait en un seul mot : sex. Je secouai la tête afin de reprendre mes esprits. J'arquai un sourcil dans un effort vain de concentration.

« Je t'ai déjà trouvé, et j'ai découvert que tu ne servais à rien. A quoi bon te chercher à nouveau ? » Raillai-je en lui faisant un clin d'oeil. « Mais je pourrais changer d'avis si tu me servais un verre de ton Rhum. »

Je fis la moue. Je ne voulais pas qu'il m'explique en long et en large comment se devaient d'agir un couple. C'était un sujet sensible, qui me renvoyait immanquablement vers le visage blême d'Eugenia. Cette image était à présent devenue douloureuse. Je fermais les yeux, et je me retrouvais seul, au milieu d'une terre de ruines et de cendres. Il y 'avait de l'amour partout dans l'air, pourtant il me semblait si amer. Je voulais courrir à sa rencontre, et traverser les landes désertes d'Ecosse pour me raccrocher à mes souvenirs. Mais quelque chose en moi s'était brisé. Tout avait changé, et j'étais hors de moi. Je soupirai, en feignant une douleur au genou. J'espérais que mes maux cachés, resteraient à tout jamais tapis dans le noir et que mon ami ne verrait qu'un gémissement dû à ma blessure.

Je regardai Ewan d'un air dégagé. Je lui avais retiré sa cigarette dans un élan d'inquiétude fugace. J'étais moi-même surpris par une telle sollicitude.

« C'est justement parce que tu ne fumes qu'en ma présence que je suis réticent. Je détruis tout ce que je touche, mon ancienne meilleure amie est éclopée. Je me demande ce qui pourrais t'arriver.» Lançai-je avec lassitude. « Je ne sais pas ... Je dépasse peut-être certaines limites ... » Je finissais par me résoudre à cette éventualité. Je soupirai avant de lui sourire. «Désolé, l'alcool me monte à la tête.»

Je voyais bien que ma révélation l'avait perturbé. Tout du moins, je n'arrivais pas à cerner son expression mitigée, et je me demandais si la teinte cramoisie qui ornait ses joues étaient dû à ma possible bisexualité, ou à l'éventualité qu'il puisse me plaire. Je plissai les yeux, flatté. Sa réponse confirma mes doutes, et pour une raison qui me dépassait, je souris de toutes mes dents. Je marquai un léger silence, lors duquel je permis quelques divagations erratiques : Serais-je dominant ou dominé lors d'un contact charnel avec Ewan ? Je me mordis la lèvre inférieure. Son expérience le plaçait en position de force, mais j'étais sûr que mon démon intérieur ne se laisserait pas miner pour autant.

Il se détendit sur le canapé avant de boire une gorgée d'alcool. L'atmosphère était tout à coup plus pensante. L'avais-je mis mal à l'aise ?Parce que j'étais parfaitement normal. Comme si de rien n'était. Je lui souris, afin de le conforter dans ses doutes sans pour autant oser un rapprochement.

«Tu me proposes de manger ici ?» M'amusai-je. «Il n'y a rien de comestible dans ton frigo, selon moi. Je serais incapable de déguster tes plats. Ce n'est pas fait pour moi.»

Je le fixai d'un air coupable.

«Je peux commander ?» M'enquis-je en roulant des yeux.

No offense dude !

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