"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici “Got me lookin so crazy right now” w/Julian 2979874845 “Got me lookin so crazy right now” w/Julian 1973890357
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“Got me lookin so crazy right now” w/Julian

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() message posté Mer 24 Sep 2014 - 23:27 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Une fin de journée, sous le signe du swing. Nan je n’étais pas du genre à aller danser, ça nan mais cela dit j’en aurais bien besoin. 17 heures, je rentrai de mes cours exténué, cela dit je savais bien que ma journée n’était pas terminée loin de là. Quand je suis rentrée, j’ai décidé de retirer vite ma veste, un vieux manteau kaki que je posai sur le canapé, posant mon sac sur le canapé, j’allai vers ma chaine hifi pour mettre un peu de musique. Je tanguais appréciant la musique alors que je retirai mes chaussures, appréciant le contact du plancher… Cela en faisait vibrer mon cœur de bois. J’allai vers ma salle de bain voulant me détendre. Je profitai de ce moment, ma douche était des plus agréables. Je dois dire que j’ai lutté pour l’installer je n’étais pas habituer avec la nouveauté en matière de bricolage. Je suis sorti serviette autour de la taille filant dans ma chambre me changer, enfilant juste un pantalon. Un vieux Jeans troué au niveau des genoux. Alors que je séchai mes cheveux j’allais vers ma table. Je dois dire que je n’avais pas envie de travailler. Cela dit fallait s’y mettre. J’allai me chercher une bouteille de vin ainsi qu’un verre. Ayant des connaissances en France, j’avais le choix entre un bon bordeaux ou encore un merveilleux chardonnay. Cela dit le Bordeaux ira bien. Retournant m’asseoir sur le canapé, je me planchai sur mes copies. Soudain une chanson qui vient, j’eu un sourire une reprise de Crazy in love de Beyoncé, mais une version swing des années des chordettes. J’eu un sourire chantonnant alors que je mettais un D à un élève. Cela dit je dois dire que je me marrais plutôt bien à lire ses copies. Me demandant s’ils écoutaient mes cours. Je tombe sur la copie de Rory. Elle avait une écriture si magnifique un plaisir de lire ça. Soudain une envie de me gratter, montant ma main sur mon torse la cicatrice qui formait cette horloge me grattait, surement les effets secondaires de la chaleur. Je regardais un instant cette cicatrice qui était des plus affreuses quand j’y repense. Je bus une nouvelle gorgée de vin alors que je finissais mes devoirs. Soudain j’entendis sonner. Je me levai me demandant bien qui sa pouvait être, Kaspar était parti voir des amis pour une histoire de groupe de rock. Et Eira ma cousine était partie en Afrique pour une durée indéterminée. J’allais regretter ce que j’allais penser. Mais si c’était LUI, j’allais surement péter un câble. Je m’approchai de la porte posant mon verre de vin sur la desserte avant de regardant dans le Judas : « Julian ? » J’ai levé un sourcil, qu’est ce qu’il foutait là… Bizarrement c’était son habitude à Julian. Venir me voir quand ça se passe mal. Bon je ne suis pas contre la visite il est le bienvenue il le sait… Mais bon j’ai du taf moi ! J’ouvre la porte m’appuyant sur le bord croisant les bras : « Eh bien Mr Fitzgerald, que me vaut cette visite ?! » J’eu un sourire, quoi que J’avais du mal à me rappeler notre première rencontre, il me semblait que c’était à l’hôpital quand j’étais enfants pour ma deuxième opération. « Mais vas-y rentre et raconte tout a tonton Indiana ! » Je me reculai le laissant rentrer récupérant mon verre de vin. Buvant une gorgée, oui ce soir j’en aurais surement besoin. « Tu veux boire quelques choses peut être ? ».
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() message posté Jeu 25 Sep 2014 - 0:58 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” C’était inévitable : L’odeur amère de la pluie rappelait le souvenir des amoureux jamais amants. L’obscurité qui voilait le ciel retombait sur mes yeux meurtris, et tout était soudain plus clair : Je ne pouvais plus être l’amoureux déchu. Je ne pouvais plus être le pantin d’un sentiment anodin. Les doutes les plus terribles sont ceux du cœur, et le mien était brisé en mille morceaux. Je sentais l’ombre d’Eugenia, derrière moi. Elle frôlait mes bras avant de m’entrainer vers le bas. Je n’avais plus peur de la nuit. Je n’avais plus peur de la perdre : Elle était folle allier. Je serrais les poings en traversant le quai d’un pas claudiquant. Les craquements de mon genou éclopé berçaient ma démarche anormale. C’était une sensation douloureuse, mais que je ne changerais pour rien au monde. Je me sentais moins seul, comme si chaque pas me rappelait que j’existais encore.

Je trainais ma jambe défaillante hors de la station de métro avec application. Londres, majestueuse et brillante, se dérobait sous mes pieds. Mon corps tombait en lambeaux. La douleur sourde qui grouillait sur ma peau, était toujours fidèle au poste, accompagnant les lamentations de mon esprit. Je baissai les yeux vers le sol poussiéreux, le visage d’Eugenia me hantait tout le temps. Je déglutis avec lenteur. Elle ne me quittait jamais. Cette amitié que j’essayais de sauver me consumait de l’intérieur. Je mordais la poussière en l’aimant en secret. Mais comment vaincre les appels du démon, lorsque la damnation semble aussi exquise ? Le vent froid se leva, m’intimant le silence. Je redressai mes épaules avec insolence. Saloperie !

Je glissai sur le bitume jusqu’au quartier d’Ewan, le garçon au cœur mécanique. Une ombre de sourire se traça sur mon visage au souvenir de la première fois où j’avais entendu son histoire ridicule. Les murs livides de l’hôpital m’avaient tout à coup paru moins effrayants. Il s’appliquait à rendre sa maladie si extraordinaire que j’avais fini par y croire, et à envier son rang d’humain spécial. Son visage pâle et ses lèvres sèches, avaient fini par me hanter pendant des années jusqu’au jour où j’avais couché sur papier le destin fabuleux de l’enfant miracle d’Ecosse. Je fis la moue en entrant dans son immeuble. Je ne l’avais pas prévenu de ma visite, mais il devait s’attendre à me voir à tout moment, étant donné la fréquence de mes apparitions au pas de sa porte. Je sonnai avec impatience, comme si ma vie en dépendait. Je crois que j'avais besoin de son monde féerique à nouveau.

Il apparut devant moi, les cheveux mouillés et le regard perçant. Je déglutis en le fixant d’un air intrigué. Je me plaisais à croire qu’il y’ avait toujours un peu de magie qui entourait son personnage. Mes yeux se posèrent sur sa cicatrice et je réalisais pour la première fois, que mon compte de fée n’était que confusions. Je ne pouvais songer que cette horloge soit vivante, sans avoir subi de souffrances. Je lui tendis la main, en plissant les yeux.

« Je ne croyais pas que j’avais besoin d’un raison pour débarquer … » Raillai-je en l’empoignant amicalement. Mon cœur eut un raté lorsque mon visage frôla le sien. Je me retirais aussi dignement que possible, en le regardant au coin. Je rentrai suite à son invitation, ma jambe claqua avant de fléchir. Je cachai une grimace. « Quelque chose de fort. Pas de vin … » Me moquai-je en pointant son verre du doigt. « So not scottish! »

Je me laissai tomber sur le fauteuil.

« Tu devrais peut-être mettre un T-shirt en corrigeant tes copies, ce n’est pas très professionnel de ta part. » Fis-je remarquer en posant mon paquet de cigarette sur la table basse. « Ou bien tu devrais abandonner tes responsabilités, et venir t’amuser avec moi. » Je ris légèrement.
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() message posté Jeu 25 Sep 2014 - 1:51 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Quand je vis Julian, j’avais soudain l’impression de voir cet humain sans trucage. Un truc en lui faisait qu’il était diffèrent de moi… Surement ce cœur mécanique en moins. Je dois dire que je vivais dans un drôle de monde que je lui en apporte quelques parcelles de ma vie. Les Fée lustre ou encore les histoires de rouages d’horloge qui se brise à chaque contact de miss Acacia qui a des épines qui sortent d’elle surement une peur irréversible de l’amour. Nous avions des points commun lui et moi et encore je me demande s’il s’en rend compte. Il semblait mal en point. Cela ne m’étonna pas cette homme était aussi en miette que moi c’était plutôt bon à voir. Je n’ai pas revu l’hôpital de puis cet été. Mon expédition en Mongolie, m’a fait perdre les aiguilles de mon cœur dans le désert, mon cœur s’emballer un peu trop ses dernier temps. Entre Nate et se voyage perdu au bout du monde. D’après les médecins j’aurais sans doute des peines de cœur. Je ne voulais plus de ce cœur, il me rendait malade m’enfermer tel un oiseau en cage. Et je détestais être enfermé. Alors que je demandais ce que cet oiseau moqueur faisait ici... Eh bien même si c’est à son habitude ce n’était pas à la mienne de recevoir un homme sans trucage aussi abimé que moi à venir aussi souvent que ça. Je fus aussi surpris de sa réponse : « Je ne croyais pas que j’avais besoin d’un raison pour débarquer … » Je me suis mis à rire, sa grimace me rendez encore plus heureux de continuer à l’embêter je ne savais pas pourquoi… « Simple façon de t’accueillir… Roh que tu es rouillé mon pauvre Julian. » Je me suis mis à sourire avant de reculer avant de le laisser rentrer, avant que je me rende compte qu’il s’approcha un peu trop de mon visage. Mes joues virent aux rouges dû à la chaleur du corps de Julian qui expira de par sa bouche. Soudain je sentais mon cœur déraillé l’espace d’un instant ce fut la panique mécanique de mon cœur, elle fonctionnait tel une vielle locomotive à vapeur qui voulait me faire passer un message qui semblait aussi indigeste que le reste de mes pensées. J’en voyais même pas le bout encore un soubresaut de souvenir navrant d’une passion navrante quel est mon histoire. Je lui demandai alors s’il voulait quelques choses à boire quelque chose de fort ou bien plus léger tel que le vin. Cela dit je m’attendais déjà à sa réponse : « Quelque chose de fort. Pas de vin … » Alors il pointa son doigt vers mon vers, tel un doigt dénonciateur d’une chose blasphémateur j’avais l’impression d’avoir fait le crime de l’humanité le genre de truc comme si c’était moi le chasseur qui a tué la mère de Bambi ! « So not Scottish! » Je me suis mis à sourire, ayant un rire qui se plaça très mal me remontant le cœur au niveau de la gorge, je lui répondais alors : « Je sais que si je bois du bourbon je risque de noter n’importe comment… Déjà que certain ont une écriture illisible… » Je me suis mis à rechigner tel un enfant de primaire. Qui chercherai alors la pire excuse pour la pire bêtise. Cela dit j’ai remarqué un bruit qui ne convenait pas à mon corps… un bruit étranger et pourtant commun de mes oreilles. Je le vis faire une grimace comme si on venait de lui arracher un souvenir de force. Cette homme pouvait se bourrer de mystère que je me demanderai toujours ce qu’il peut avoir derrière la tête… je ne sais pas pourquoi mais sa tête d’oiseau à grand pied me faisait de la peine… Il semblait finalement avoir mal surtout de la façon où il s’est échoué sur le fauteuil non loin du canapé. « Tu devrais peut-être mettre un T-shirt en corrigeant tes copies, ce n’est pas très professionnel de ta part. » Nan mais j’hallucinais voilà que monsieur se permet de critiquer ma tenue de travail… Je n’aimais pas avoir quelques chose sur le dos surtout quand je sors de la douche, la sensation du mouillé sur mon t-shirt me rappelle de très mauvais souvenir en Argentine…  « Ou bien tu devrais abandonner tes responsabilités, et venir t’amuser avec moi. » Je suis parti vers le buffet, ou j’ai sortis deux verres à whisky et une vielle bouteille de Scotch qu’un professeur m’a offert pour mon retour de Mongolie. J’en versai deux doigts dans un verre et le déposa sur la table voyant le paquet que Julian jeta comme un malpropre… enfin jeta quoi ! Je déposai un cendrier sur la table. Je n’étais surement pas le genre  de gars pette couille à interdire de fumer chez… Mon appartement pouvait sentir le vieux cigare que mémé fumais à la fenêtre avant que j’emménage ici. Cela dit, je savais bien que mon appartement était un peu la caverne de solitude pour lui un peu comme superman et sa forteresse en plein antarctique. Je déposai alors le verre sur la table finissant pour verre de vin avant de lui dire : «  Déjà de une… Ma tenue est très bien pour corriger des copies… Et de deux… M’amuser avec toi ? Ah bon ! On s’amuse avec toi ? Nan sérieusement, je verrais en fonction de ce que tu proposes… Je ne m’aventure pas dans le genre d’aventure de la dernière fois… Ça m’a couter l’envie de me suicider cette histoire où on finit en cellule de dégrisement enfin en enfer parce que tu as dit à un mec qu’il ferait mieux de baiser sa femme au lieu de venir faire te faire chier alors qu’on venait de finir notre troisième bouteille de scotch ! » Me rappeler cette histoire c’était comme rouvrir une vielle bouteille de merlot… Bizarrement tu n’as pas confiance en la couleur mais quand tu commences à la boire tu as l’impression d’être un autre homme… Oui un peu comme avec l’épinard c’est vrai ! « Cela dit j’aurais bien aimé finir de noter ses copies… Sinon j’ai une tribu d’élèves qui vont me kidnapper et me faire cuir alors que je leur ai dit que je n’étais pas comestible… » Je pouvais partir loin… Serait-ce dû au deuxième verre de vin ? Non je ne crois pas je pense que c’est mon état naturelle d’oiseau moqueur en sa compagnie.
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() message posté Jeu 25 Sep 2014 - 4:35 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Il était d’une prestance incroyable. J’hésitais à nommer cette aura bizarre qui entourait son corps dénudé. Il m’apparaissait tantôt comme un preux chevalier, tantôt comme un être complètement dérangé. Je le fixai, d’un air songeur. Il était d’une beauté étrange. Son regard lointain était prisonnier d’une histoire que je ne connaissais pas mais que je mourrais de découvrir. Mon instinct de journaliste surement! Je lui souris d’un air mauvais. Ewan était plus qu’un ami à mes yeux. Je me raccrochais à lui comme la part de magie qui rendait le monde différent. C’était ridicule, il fallait l'avouer, mais c'était ma première impression de lui. Et le cœur d’un enfant n’oublie jamais. Je baissai les yeux en remarquant ses joues cramoisies. Je retins une moquerie, en songeant au feu qui embrasait mes propres pensées. Ce serait comme l'hopital qui se fout de la charité!

Il me sourit d’un air chaleureux. Il avait cette façon de m’accueillir qui me créait l’illusion d’avoir une famille qui m’attendait quelque part. Je ris légèrement.

« Tu as plus de chances d’être rouillé que moi, étant donné les boulons que tu as à la poitrine. » Lançai-je en haussant les épaules. « Un pacemaker ça sonne à l’aéroport ? » M’enquis-je en prenant des faux airs intelligents.

Il s’approcha de moi en tenant son verre de vin ridicule. Je ne pus m’empêcher de me pencher pour renifler le breuvage. L’arôme était délicieux, mais par principe, je me refusais de déguster un alcool que je venais de critiquer. Ma langue claqua contre mon palais avide de saveurs sucrées, mais je mettais un point d’honneur à garder le contrôle.

« Tu devrais être plus généreux avec les élèves … » Répondis-je d’un ton dégagé. « La première fois que j’ai eu une note en dessous de la moyenne c’était en histoire-géo. J’en garde encore des séquelles psychologiques. Je zappe à chaque fois que je tombe sur National geographic. » Je marquai un léger silence. « Tu as de la chance que j’aie eu un coup de cœur pour toi, bien avant que tu ne choisisses ton orientation de carrière. Mais qu'est-ce qui t'as pris ? » Lui demandai-je faussement horrifié.

Je tendis la jambe gauche afin de soulager la tension sur mon ligament douloureux, avant de me redresser vers mon paquet de cigarettes. Il y’ avait quelque chose de réconfortant dans le fait de sentir le contact de la nicotine contre mes paumes. Mon addiction avait sûrement dépassé les limites ! Ewan s’approcha avec deux fonds de whisky. Je lui souris d’un air ravi. C’était exactement ce qu’il me fallait pour calmer les ardeurs de mon genou.

« Tu as bien des points à discuter on dirait. » Lançai-je avant de pouffer au souvenir de cette soirée. Je passais décidément beaucoup de temps en cellule de dégrisement ! « Je suis un habitué maintenant, je connais tous les flics du centre-ville. Je peux te brancher ... »

Je marquai un silence.

« Mais ce con n’avait qu’à pas venir me chercher ! On interrompt pas un chien qui mange, et on interrompt pas écossais qui boit ! » M’exclamai-je d’un coup avant de reprendre mon calme. Je ramenai une cigarette à mon bouche, afin de tirer une longue taf. Mes muscles se détendirent presque instantanément, enivrés par les senteurs de fumées et de poisons variés.

« Retourne corriger tes dernières copies. Je viderais ton stock d’alcool en attendant … » Commençai-je. « Mais si tu restes torse nu, je me donne le droit d’enlever mon pantalon. »

Je posai ma cigarette sur le cendrier avant de me lever. Je fis glisser mon jeans, afin de rester en caleçon.

« Mon genou me tue et il fait une putain de chaleur chez toi. »

Je le regardai d’un air charmeur.

« Je sais que c’est pas une compétition mais moi aussi j’ai des cicatrices super cool. » Raillai-je en lui montrant mon genou charcuté à force d’interventions ratées.

Je fis la moue en reprenant ma cigarette.
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() message posté Jeu 25 Sep 2014 - 5:22 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
On dit souvent de moi que je suis un peu le port d’attache… Le cœur sensible à qui venir quand on ne va pas bien… La première personne a me l’avoir sorti c’était Eira ma cousine… Cela dit je ne l’a croyait pas… Nous étions ‘marié’ depuis nos 4 ans. Cela dit quand Sheena m’avait sorti ça à notre 3eme rendez-vous j’ai commencé à me poser des questions sur ma position sur la chose. Cela dit j’étais plutôt content de savoir que j’apportais mon aide sans le vouloir. Malgré que le canard boiteux avait tendance à aller un peu trop loin. Mais cela dit j’en gardais toujours le sourire en pensant sincèrement que j’allais surement le tuer avant la fin de la soirée.
« Tu as plus de chances d’être rouillé que moi, étant donné les boulons que tu as à la poitrine. » Je me suis mis à sourire jaune… En lui disant « Mais moi au moins je ne confonds pas une baie vitrée quand elle est fermée ! » Oui je parlais de son genou quoi on parle des blessures de guerre il joue un jeu dangereux tout de même alors qu’on s’approchait du salon il me demanda : « Un pacemaker ça sonne à l’aéroport ? » Je posai ma main sur son épaule en lui disant : « Et ta connerie aussi elle sonne à l’aéroport ? » Question con répond par une autre question con dont la réponse est oui sa connerie doit surement la faire sonner vu qu’elle est aussi incassable que barre de fer. Au moins elle est tordante celle la (faut que j’aille me coucher moi >>)
Alors que je lui expliquai que quand je suis avec mes élèves j’ai l’impression de faire un saut dans le Jumanji. Je profitai pour boire une gorgée de scotch. Me demandant bien ce qu’il allait répondre à ça, alors que je prenais mes aise sur le canapé : « Tu devrais être plus généreux avec les élèves … » Je commençais à faire une mine horrifié en laissant échappé : « Est-ce que moi je te dis comment faire ton boulot de toutou du Times ? » Cela dit je ne tardais pas à écouter son histoire je posai mon coude sur l’accoudoir prenant un air de oui je t’écoute mais putain j’en ai rien à foutre... « La première fois que j’ai eu une note en dessous de la moyenne c’était en histoire-géo. J’en garde encore des séquelles psychologiques. Je zappe à chaque fois que je tombe sur National géographique. » Il marqua un léger silence. « Tu as de la chance que j’aie eu un coup de cœur pour toi, bien avant que tu ne choisisses ton orientation de carrière. Mais qu'est-ce qui t'as pris ? » Je me suis mis à rire : « Eh bien l’archéologie c’est comme une bonne partie de jambes en l'air… Plus tu creuses plus tes sur de trouver des trésors ! » Acquiesçai-je alors d’un grand sourire allez manger mon petit c’est digeste ! Alors que je bus une nouvelle gorgée fière de ma connerie, après tout ce n’était pas totalement fausse. J’ai choisi l’archéologie pour le désir de découvrir les merveilles cachés. Quand j’ai voyagé à travers l’Europe, j’ai découvert de ses choses. Les fées lustres et d’autres légendes telles que la déesse de Toulouse ou bien les nains des volcans d’Islande. Bien des choses qui me faisait passer pour un fou, mais moi j’étais fan… Un peu comme les inventions de mon père.
« Tu as bien des points à discuter on dirait. » L’écoutai je alors que je venais de démontrer en deux poing que je me demandai bien ce qu’il allait me demander de faire pour qu’on s’éclate et de mon envie irrépressible de ne pas finir ma soirée en cellule de dégrisement. « Je suis un habitué maintenant, je connais tous les flics du centre-ville. Je peux te brancher ... » J’arquai alors un sourcil, buvant à nouveau une gorgée lui avouant : « Ecoute les flics de cette ville je préféré encore me taper mon concierge… Les flics c’est comme les croque mort sa porte la poisse de baiser avec ! »Et cela étant dit je n’ai jamais couché avec ni l’un ni l’autre je tenais à le préciser !
« Mais ce con n’avait qu’à pas venir me chercher ! On n’interrompt pas un chien qui mange, et on n’interrompt pas écossais qui boit ! » Je me penchai tenter par l’odeur délectable de cette cigarette, je n’étais pas un grand fumeur. Je fumais de temps à autre, mais bizarrement avec lui je fumais pas mal. Au moins je taper dans son paquet, la flemme de chercher le mien qui doit être dans un de mes tiroirs prenant son paquet j’en attrapai une en lui disant : « D’une ton expression ne veut absolument rien dire… Et de deux Ce con avait bien fait dans un sens vu que tu n’arrêtais pas le dévisager… O.K.A.Y Il avait un énorme poireau sur la gueule, mais tu pouvais au moins fermer ta gueule… je sais bien qu’on est écossais mais quand même ! La cellule de dégrisement j’aurais préféré resté dans une back room je me serais plus éclaté. » Disais-je alors d’un grand sourire je savais que Julian ADORAIT Mes histoire de culs… T’façon tous les hétéros adore ça c’est bien connu *sors loin*
« Retourne corriger tes dernières copies. Je viderais ton stock d’alcool en attendant Mais si tu restes torse nu, je me donne le droit d’enlever mon pantalon. » Je me redressai retournant sur la copie alors que le vis glisser son jeans, il resta alors en boxer. J’écarquillais les yeux… surtout en voyant les genoux de Julian devenu Aubergine… Oh godnes sainte mère de dieu il est énorme… son genoux… Oui bon d’accord mais bref, alors que je virais rouge l’espace d’un instant je retournai sur ma copie écoutant son excuse ridicule :
« Mon genou me tue et il fait une putain de chaleur chez toi. » Je n’avais même pas envie de répondre à ça nan franchement… Il fait pas chaud chez moi je vis sous les comble c’est une nuance qui ne faut pas oublier ! Cela dit : « Au faite ! E.T. A téléphoner et il veut que tu lui rendes son doigt… » Disais-je en pointant son genoux du doigt… Je ne pouvais m’empêcher de sourire.
« Je sais que c’est pas une compétition mais moi aussi j’ai des cicatrices super cool. » Je le regardais en mode ‘T’es sérieux mon petit quand tu me dis ça ?’ Je fumais une première bouffé sur cette cigarette la posant ensuite dans le cendrier… Lui avouant alors que je griffonnais au rouge sur une copie : « Cicatrice qui montre ton incapacité à faire la différence entre une sortie et une fenêtre… Ce qui change de la mienne je pense à être né avec le cœur gelé… » Je retournai la feuille prenant mon verre pour ainsi finir la correction : « Et puis t’façon que tu traines en caleçon ici… Tu sais bien que t’es comme chez toi ici… Cela dit m’en veut pas si dans la soirée je retire le mien hein. » Un avertissement qui n’en vaut pas deux c’est sûr !

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() message posté Jeu 25 Sep 2014 - 17:07 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Je le regardai d’un air amusé. Ma bouche se courba subtilement, trahissant l’éclair de perversité qui traversait mon esprit. C’était un bras de fer ridicule, mais étrangement amusant. Je me penchai vers lui avec insolence. Je savais que son cœur mécanique était un sujet délicat, mais je n’étais pas homme à plier face à la difficulté. J’étais curieux de découvrir ses secrets les plus tordus et de baigner dans les divagations saugrenues de son esprit double. Ewan était un homme particulier qui tanguait entre deux rives. Il était tantôt un professeur instruit et hautain, tantôt l’enfant rêveur qui n’avait jamais grandi. Je déglutis en plissant les yeux. Il ne se rendait sans doute pas compte de l’effet qu’il avait sur mon intellect. Il me troublait comme une muse, me charmait comme une nymphe et me réconfortait comme une âme damnée réconforte une autre âme damnée. Je lui souris.

« C’est assez juste. » Esquissai-je face à sa réflexion. J’avais été pris dans le feu de l’action. Mon impulsivité avait eu raison de mon genou et j’en payais les frais en trainant un membre boursouflé et douloureux. J’arquai un sourcil en me redressant avec nonchalance. « Ce n’est pas ma connerie qui sonne. Mon engin par contre, ne passe pas inaperçu. Spécialement quand les hôtesses sont à mon gout… » Raillai-je avec un ton provocateur.

Il me tendit un verre d’alcool et je sirotais ma première gorgée avec lenteur. Je n’étais pas connaisseur, mais je préférais m’imprégner des senteurs exquises d’orge et de maltes avant de m’abandonner à la douce ivresse. J’avalai lampée après lampée, les yeux pétillants. Ma douleur s'engourdissant et mon esprit avec.

« Tu ne peux pas me dicter ma façon de faire mon travail. C’est en dehors de ta juridiction. » Répondis-je avec calme. « Les critiques positives prouvent que je suis à l’aise dans mon domaine. Ne t’inquiète pas ; si je suis un toutou, je préfère sans doute lécher que mordre. »

Je le fixai avec intensité. Je n’étais pas du genre à m’abaisser dans ce genre de commentaires, mais Ewan attisait en moi une flamme passionnée à laquelle il m’était difficile de résister. Je me positionnai avec plus d’aisance sur son fauteuil. Il me donnait l’impression d’être idiot et insouciant, or j’avais abandonné ses traits de caractères afin d’arborer un masque de froideur et de suffisance qui me valait le respect de tous mes collègues au journal.

« Ta définition est pourrie, elle pourrait s’appliquer à n’importe qu’elle domaine … Pour trouver un trésor, il suffit de regarder en face de soi.» Je fis la moue en buvant le reste de mon verre d’une traite. L’arôme de la cigarette, mélangé à léthargie passagère de l’alcool, me donnaient l’illusion d’être un être humain à nouveau. Je fis la moue en m’attardant sur le plafond. Je voulais conquérir le monde, mais le ciel bloquait mon ascension fulgurante, et mon cœur de glace me ramenait face contre terre. Je fermai les yeux afin de chasser mes pensées.

« Je sors avec une flic ! » Précisai-je. « Et je me permets de réfuter ta théorie. » Je pris une grande inspiration. « Les menottes au lit, c’est tout un plaisir. »

Ma langue claqua contre mon palais, tandis que je me recevrais un autre fond de whisky.

« Comment les irlandais osent-ils clamer avoir inventé le whisky. C’est nous ! » M’exclamai-je en remplissant mon verre. « Tu m’en veux vraiment pour cet épisode de la cellule. » Riai-je en le regardant au coin. « Je croyais que tu aurais été plus excité que ça de te retrouver en captivité avec moi. J’ai une belle gueule, et je suis facilement corruptible. »

Je baissai mon pantalon avant de retrouver la froideur du cuir. Le fauteuil grinça au contact de ma peau brûlante et je jetai un coup d’œil rapide à mon genou : Saloperie de baie ! Elle m’avait pas raté. Je lançai un regard froid à Ewan lorsqu’il commenta l’état de mon articulation.

« Tu as le téléphone d’E.T ? Tu es encore plus ringard que ce que je croyais … C’est Schrek qui est à la mode ces temps-ci. »

Il retourna sa feuille, et je ne pouvais m’empêcher de détailler chacun de ses gestes. Il dégageait un sex appeal, bizarre. Mon cœur se serra à la vision de ses biceps toniques. Il était bien gaulé, pour un handicapé du cœur ! J’écrasai ma cigarette à moitié finie sur le cendrier avant de me lever.

« Je viens de dire que c’est pas une compétition ! » Riai-je avec douceur. « La cicatrice montre plus mon incapacité à gérer une situation de crise. J’accepte d’endurer toutes tes moqueries, je l’ai bien mérité. »

Je repensai au visage en sang d’Eugenia, et à mon comportement impulsif à chaque fois qu’elle sonnait l’alarme. J’étais un pantin pour elle. Un chien errant qui n’oubliait pas la main réconfortante qui l’avait un jour nourri. Je soupirai.

« Tu es chez toi. Tu retires ton caleçon et je trouverais un moyen de te faire regretter tes affronts … » Sifflai-je d’un air charmeur. « Je pourrais avoir envie de voir ta mécanique de trop près. Et tu sais que je suis maladroit avec les cœurs. »
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() message posté Ven 26 Sep 2014 - 0:41 par Invité
Got me lookin so crazy right now
   feat. Julian & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
J’avais l’impression de vivre un Bird’n’roll avec Julian. Je dois dire qu’on se complétait plutôt bien, il était un peu ce qui me manquait depuis des années… Celui qui croit en mes rêves et mes histoires abracadabrantesque. On dirait encore un enfant qui a envie de quitter son monde Gris pour rejoindre un monde haut en couleur. Je l’appréciais pour ça. On a vécu des choses qui nous donnent envie de partir dans mon monde… Ou les oiseaux danse le Bird’n’roll en pondant des œufs comme un clocher sonnerai le glas. J’ai quitté un peu trop vite mes pensées alors qu’il était parti dans une toute autre direction… Parlant de son engin… J’ai écarquillé les yeux à ce moment-là… Surpris de lui… Quoi que pourquoi m’étonnais-je finalement ?
« Ce n’est pas ma connerie qui sonne. Mon engin par contre, ne passe pas inaperçu. Spécialement quand les hôtesses sont à mon gout… » Je ne pouvais m’empêcher de sourire… Ce mec était d’une prétention, il pourrait en faire rougir la Joconde je pense… Je n’aimais pas ce tableau… Nan elle me dévisage et surtout je ressens cette prétention de cette putain qui courtisait les plus farouches de Florence. Ne jamais faire confiance à une putain vous en perdrez votre portefeuille et vous récolterez que des morpions ! « Petit prétentieux en plus… Bizarrement j’ai du mal à croire à ton histoire de troisièmes jambes… »
« Tu ne peux pas me dicter ma façon de faire mon travail. C’est en dehors de ta juridiction. » Il semblait si calme, je trouvais cela hallucinant. Cela dit quand il ajouta : « Les critiques positives prouvent que je suis à l’aise dans mon domaine. Ne t’inquiète pas ; si je suis un toutou, je préfère sans doute lécher que mordre. » Il était de plus en plus crus dans ses phrases, ça me laissait certes songeur sur la capacité de léchouille. Mais cela dit je vais éviter de le prendre pour un Pokémon je risque de lui jeter mon verre le prenant pour un Pokémon… Cela dit, il serait ridicule en Pokémon… Canardboiteu ! Nan pitié aussi ridicule que Canarticho ! « Lécher ? Toi… Ah ! Laisse-moi rire… Je te vois plus en petit caniche inoffensive qu’un labrador léchouilleur. » Petite pique que voilà elle repassera par là et finira dans les bois !
« Ta définition est pourrie, elle pourrait s’appliquer à n’importe qu’elle domaine … Pour trouver un trésor, il suffit de regarder en face de soi.» Je posai un instant mon stylo pour boire une gorgée alors que je l’écouté… Je me suis mis à soupirer : « Dit dont… Normalement c’est moi qui parle de chose incompréhensible… Des fois tu me fais peur à m’imiter » disais-je alors buvant alors ma gorgée prenant mes aises sur le canapé.

« Je sors avec une flic ! » Précisait-il. « Et je me permets de réfuter ta théorie. Les menottes au lit, c’est tout un plaisir. » Je me suis mis à rire, Voilà qu’il me parlait de ses abats avec sa satanée flic, je détester les flics… C’était toujours eux qui me mettaient dans de drôles de situation généralement… ‘Monsieur vous ne pouvez pas rentrer chez les gens pour réparer leurs horloges en plein milieu de la nuit.’ Mais je fais un devoir d’état je sauve mon frère ! Bon cela dit, connaissant les histoires de cœurs de Julian. Je me doutais bien que sa Flic devait être exceptionnel elle aussi. « Oui mais je déteste les flics… Pour moi ce n’est juste que des emmerdeurs de première comme les inspecteurs académique ! » Je bus une nouvelle gorgée alors que je le vis s’en resservir un.
« Comment les irlandais osent-ils clamer avoir inventé le whisky. C’est nous ! » Je dois dire que Julian était l’exemple type de l’écossais. A détester le reste de l’humanité a par les Ecossais c’était noble et surtout stupide. Il m’arrivait d’avoir ce trait de caractère, mais j’ai découvert les plaisirs des autres pays… Ca a changé ma vision du monde… Alors que je lui parlai de nouveau de cette soirée il me répliqua aussitôt : « Tu m’en veux vraiment pour cet épisode de la cellule. Je croyais que tu aurais été plus excité que ça de te retrouver en captivité avec moi. J’ai une belle gueule, et je suis facilement corruptible. » Je ne pouvais pas m’empêcher de rire. Ce mec n’avait aucune inhibition avec moi… Il cherche à m’atteindre sur ça c’était d’un pathétique : « Si je veux être en captivité avec toi je n’ai qu’à fermer la porte à clef et jeter la clef par la fenêtre… Je ne vois pas pourquoi aller dans un endroit qui pue la pisse et les vomis j’ai assez de la rue à coter du pub niveau sensoriel. » Je me suis mis à rire avant d’arquer un sourcil alors que le vis descendre son jeans… fait chaud chez moi c’est vrai… C’était encore plus bizarre. Cela dit, Malgré la betterave qu’il avait sur les genoux je dois dire qu’il était quand même sexy le jeune homme. Je n’ai pas pu m’empêcher
« Tu as le téléphone d’E.T ? Tu es encore plus ringard que ce que je croyais … C’est Schrek qui est à la mode ces temps-ci. » Je pris un air hautain alors que j’ai reposé mon stylo sur la table alors que je comptais bien lui sortir : « Schrek ? Nan mais tu es sérieux ? Mais ce qui est à la mode mon cher ! C’est la poulette ! Eh oui ! La poulette est super ! La poulette est géniale ! La poulette est Super génial ! Sinon ce ne serait pas la poulette ! » Bon okay c’est lui qui a commencé a dit que ET était démodé… C’est un assassin de rêve d’enfant… Je pouvais le haïr autant l’apprécié… je retournai à ma correction, après une fiche je la retourner continuant alors… Profitant pour finir mon verre. Je profitai pour reprendra la cigarette qui fuma dans le cendrier pour fumer une deuxième bouffé alors que je la reposai aussitôt… Il me restait deux copies à m’occuper, ça ira surement vite. Je le vis alors se lever, je jetai un œil aussi en lui disant que s’il retira son jeans, qu’il s’étonne pas que je retire le mien au cours de la soirée…
« Je viens de dire que c’est pas une compétition ! La cicatrice montre plus mon incapacité à gérer une situation de crise. J’accepte d’endurer toutes tes moqueries, je l’ai bien mérité. » Je le regardais, il semblait soucieux… J’oubliais par moment que derrière son sarcasme à la Hugh Laurie se cache un mec qui a bien souffert quand même. Je n’osai pas m’aventurer sur ce chemin. Cela dit mes pensées sont passé au-dessus : « Comme si j’avais que ça à faire de m’acharner sur un canard boiteux. » soupirai-je alors je glissai une main dans mes cheveux me grattant l’arrière de la nuque. Cette copie était bourré de faute d’orthographe. « Nan mais je rêve ! L’ère Edo en chine ! Nan mais n’importe quoi » rallai-je alors annotant alors des menaces de mort sur la copies alors que j’écoutais
« Tu es chez toi. Tu retires ton caleçon et je trouverais un moyen de te faire regretter tes affronts … » Je me suis mis à rire remarquant son air charmeur. « Je pourrais avoir envie de voir ta mécanique de trop près. Et tu sais que je suis maladroit avec les cœurs. ». Je me redressai le regardant posant à nouveau le style attrapant mon verre pour boire une nouvelle gorgée lui disant d’un air charmeur à mon tour : « Huuum tu sais à quel point j’aime les défis Fitzgerald. » Disais-je alors déboutonnant les boutons de mon jeans sans pour autant le descendre… Je prenais ses menace à mot je levai un sourcil un petit sourire qui apparait. Cela dit je brisai son rêve de me voir nu. Je me penchai vers la table finissant ma correction après quelques minutes je lui avouai : « Alors déçu ? » acquiesçai-je d’un sourire.

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() message posté Ven 26 Sep 2014 - 18:35 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Je me cachais derrière mon humour sarcastique pour détourner son attention de mes blessures. Si son cœur était mécanique, le mien était élastique, incapable de conquérir des émotions aussi lumineuses et exquises que l’amour. Le visage d’Eugenia me percuta à nouveau, surlignant chaque blanc dans mon esprit. Elle me tuait à petit feu. Les souvenirs de Cardiff me ramenaient des années en arrière, sur les plaines verdoyantes et les plages dorées du Pays de Gale. Je m’étais découvert libre pour la première fois à ses côtés. Et pour une raison qui me dépassait, j’étais incapable de me détacher de son emprise. C’était un mauvais sort, une sorte de malédiction. Je déglutis avec lenteur.

Mes yeux meurtris se baladèrent sur la moquette avant de rencontrer le visage d'Ewan à nouveau. J’esquissai un demi sourire, comme pour le rassurer sur mon état d’esprit. Je ne voulais pas l’inquiéter outre mesure, mais plutôt m’évader dans son monde fantastique. Je crispai mes doigts sur mon verre.

« Je suis prétentieux, mais tu y croiras quand tu verras. » Répondis-je d’un air narquois. « Je sais que tu es un homme pragmatique. L’évidence agrémentera mes dires. » Raillai-je avec un ton provocateur.

Il se concentrait sur quelques copies, sans perdre le fil de notre conversation. Je trouvais sa capacité de concentration remarquable. Il m’était tout bonnement impossible d’écrire quoi ce soit en présence d’une tierce personne. J’arquai un sourcil lorsqu’il me visualisa en chien. Il fallait avouer que l’image en soi n’était pas très glorifiante, mais je forçai un sourire sans le quitter des yeux.

« Si c’est ça ton fantasme, pourquoi pas être un teckel tant qu’à faire. » Susurrai-je avec détachement. Je n’étais pas le genre de personne à prendre le chou pour si peu. J’étais même amusé, qu’il réponde à mes piques avec autant de classe. En général, les gens ployaient face à mes sarcasmes. Ewan était un adversaire à ma taille et un ami que je chérissais bien plus qu’il n’y paraissait. « J’ai beaucoup de défauts mais je ne suis pas inoffensif. » Corrigeai-je après quelques instants de silence.

J’haussai les épaules en prenant une seconde cigarette. Les effets de l’alcool s’évanouissaient peu à peu, et je n’étais plus d’humeur à brûler mon palais. Je regardais mon verre fraîchement rempli, en me promettant d’y revenir aussitôt ma dose de nicotine ingérée. J’allumai ma tige en fermant les yeux. C’était un petit rituel ridicule, auquel je ne pouvais me dérober. J’inhalais mes poisons avec délectation. Mes pensées tanguaient, étourdies par la fumée grise, et mes débâcles philosophiques. Je soupirai amusé, par ses propos. Si je devenais incompréhensible à ses côtés, c’est que sa connerie devait déteindre sur moi.

Son aversion pour la police me laissait sans voix. Je ris à sa remarque.

« Tu as vraiment des soucis avec l'autorité. Tu fais un complexe mon chat ? Parce que je peux t’apprendre à devenir vaniteux, ça va être rapide. » Je lui fis un clin d’œil complice, avant de me reconcentrer sur ma cigarette.

Son regard azur me troublait dans mes réflexions. Je me retins de plonger dans les eaux troubles qu’il cachait en papillonnant des yeux. Je me surprenais à envisager le contact chaud de sa peau, ou la saveur délicieuse de ses lèvres gercées. Ewan était un jeune homme très séduisant, mais il y’ avait quelque chose de sombre dans son personnage qui m’attirait immanquablement vers le bas. Je voulais partager ma solitude mais il me semblait parfois si décalé, si différent. Je souris.

« Je ne te savais pas très porté sur l’hygiène… » Fis-je remarquer, en sucant presque le filtre de ma cigarette presque éteinte. « Je ne suis pas du genre à aimer les contraintes spatiales, même si cela suggère ta charmante compagnie pour l’éternité. » Me moquai-je. « Tu ne supporterais pas mon caractère très longtemps. »

Le contact froid du fauteuil soulageait ma sensation de brûlure, je me retournai vers mon whisky à nouveau avant de remarquer que mon jeune interlocuteur avait posé son stylo pour se lancer dans un débat saugrenu sur des créatures imaginaires, dont je n’avais de toute évidence, rien à faire. Je plissai les yeux.

« D’accord on gardera E.T comme référence. » Lançai-je avant d’éclater d’un rire sonore. Son ridicule frisait la folie, et c’était un aspect de lui que j’appréciais beaucoup à vrai dire. Je le trouvais distrayant.

Il retourna à la correction de ses copies en marmonnant. Je me doutais des merveilles qu’il pouvait bien trouver sur ces papiers. Les adolescents de nos jours pouvaient être tellement insouciants! Je me redressai légèrement pour jeter un coup d’œil à son écriture, en vain. Je m’allongeai de nouveau, les yeux rivés sur le plafond. Le temps se consumait à une vitesse vertigineuse, et je me sentais prisonnier de mon propre corps. Je tentai de me relever pour effectuer quelques pas dans le salon, mais mon ligament me lança de plus belles, me rappelant à l’ordre. J’étais une marionnette sans ficelles, inerte et sans aucun intérêt. Un soupir m’échappa. Ewan reporta son attention sur moi. Sa voix douce rythmait mes sens engourdis. Qu’est-ce que je lui trouvais au juste ? Je me concentrai sur cette question pendant quelques minutes avant de daigner lui répondre :« Tu aimeras moins ce défi lorsque tu auras perdu. » Claquai-je plein d’assurance.

Je souris d’un air penaud.

« Je suis plutôt soulagé. » Murmurai-je, en le voyant ouvrir les boutons de son jeans sans le baisser. « Je n’aime pas les filles faciles … Je suppose que cela va de même pour les garçons. » Je ris doucement. « Déçu que je ne sois pas déçu ? »
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() message posté Ven 26 Sep 2014 - 21:29 par Invité
Got me lookin so crazy right now
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Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Mon dieu des horloges, que cette homme était comment dire… Au lieu d’être le genre de mec, calme enfin sans problème ce mec était d’une prétention inégale au P.I.B du Bangladesh, cela dit quand il me parla du faire que je ferai moi le malin quand je le verrais, je me suis mis à sourire dans ma tête ce fut genre oh oui laisse-moi voir, cela dit je ne pouvais m’empêcher de dire : « Moi Pragmatique ? Han ! Nan mais de tout façon tu sais bien je ne crois que ce que je vois ! » Nan ce n’était pas une invitation à voir ça cela dit ça cassera le mythe de mes fantasmes hivernale.
« Si c’est ça ton fantasme, pourquoi pas être un teckel tant qu’à faire. J’ai beaucoup de défauts mais je ne suis pas inoffensif. » J’ai arquai un sourcil, faisant une grimace plutôt bizarre nan je ne le voyais pas en teckel bien qu’on son côté mélange des couleurs dans les cheveux pour donner un coté Teckel… Mais non trop saucisse sur pate… je le vois plus finalement en… « Cocker ! Non non enflait tu ressembles plus à un cocker avec ton regard triste. et tes petit bouclettes diforme » Je lui tirai la langue ! Ça t’apprendra à jouer le vantard
Bien que nous continuions notre discussion qui diverge sur une expérience que je préférais oublier. Oui mon contact avec les forces de l’ordre était comment ne dire… oui c’était pas la franche rigolade, entre les tapages nocturnes ou bien les visites impromptues à l’hôpital. Je dois dire qu’il ne me kiffait pas tant que ça : « Tu as vraiment des soucis avec l'autorité. Tu fais un complexe mon chat ? Parce que je peux t’apprendre à devenir vaniteux, ça va être rapide. » J’arqua un sourcil en rajoutant : « M’apprendre à être vaniteux ? Je te trouve bien courageux ça ne te ressemble pas. » Lui disais-je alors que je continuai à boire mon scotch. Je continuai alors à lui dire que la cellule était beaucoup trop poisseuse, cette odeur de vomit me donnait envie presque de bruler le commissariat.
« Je ne te savais pas très porté sur l’hygiène… » Je fis une drôle de tête en le voyant sucer son filtre, il avait des attitudes vraiment étrange quand même : « Je suis bien civilisé c’est tout je ne suis pas maniaque ! » Je l’écoutai répondre a ma proposition de l’enfermer et jeter la clef par la fenêtre. « Je ne suis pas du genre à aimer les contraintes spatiales, même si cela suggère ta charmante compagnie pour l’éternité. » se moqua-t-il. « Tu ne supporterais pas mon caractère très longtemps. » Je me suis mis à rire : « Tu penses vraiment ça ? Je tenais à te dire tout de même que c’est surement toi qui aurais du mal à me supporter… J’ai horreur d’être enfermer et quand je m’ennui… j’ai faim… » Ce long silence voulait presque tout dire alors que je finissais de corriger la deuxième copie.
« Je suis plutôt soulagé. » Cela répondait bien à mon interrogation… Les Défis allaient surement fuser avant la fin de la soirée. Alors que je déboutonnai les boutons de mon jeans. Le seul petit hic il parlait de caleçon, les soucis c’est qu’actuellement je n’en portais pas. Mais oui je vous rappelle je sors de la douche chacun c’est petite habitude. « Je n’aime pas les filles faciles … Je suppose que cela va de même pour les garçons. » je riais à mon tour. « Déçu que je ne sois pas déçu ? » Je pris un air hautain l’espace d’un instant pour reprendre le fil de ma correction : « Déçu ? Non. Satisfait ? Humm peut être. » Je me suis a mis à sourire alors que je finissais la cigarette et finisse alors de corriger la dernière copie, je me tournai vers lui, me levant et allant vers le bar me retrouvant dos a lui mon pantalon se baissa a peine laissant apercevoir mes fesses. Je me servai alors un rhum histoire de changer un peu avant de revenir m’asseoir.


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() message posté Ven 26 Sep 2014 - 22:56 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Ewan avait du répondant, ça c'était sûr. Je le regardai amusé. Il avait cette once de taquinerie qui me laissait perplexe parfois. Je doutais en mes capacités de suivre toutes ses conversations, comme si chacune de ses paroles était un nouveau challenge. Je levai les yeux au ciel avant de le pointer du doigt.

« Toi, tu veux voir ! » Je ris à gorge déployé en ramenant ma tête en arrière. Mes jambes bougèrent avant de croiser la table basse. La douleur me stoppa dans mon élan de jovialité et je me redressai, le visage blême. «Je ne crois pas que ce sera pour ce soir, en tout cas. » Lançai-je dans un murmure.

Ma main fendit l'air vers ma boisson ambrée. Je posai délicatement le fond du verre sur mon genou boursouflé. Le contact n'était réellement froid, mais les gouttelettes humides avaient suffit à apaiser mes maux. Tout du moins, momentanément. Je soupirai. Je n'aimais vraiment pas cette comparaison avec des toutous petites race, il était peut-être temps pour moi de manifester mon dédain à être réduit à quatre pattes? J'arquai un sourcil en le fixant.

« Pour un végétalien tu m'as l'air bien obsédé par les animaux. Ne pourrais-je pas juste être humain et magnifique ? » Hasardai-je l'air de ne pas y toucher. Je fis la moue, avant de me pencher vers mon membre engourdi. Saloperie ! « Je pourrais te demander un peu de glace ? » M'enquis-je tout à coup, avec beaucoup de politesse. Trêve de plaisanterie. Je devais bien me comporter pour qu'il accepte de me servir. Cette idée me tira un rire d'enfant.

Il continuait de feuilleter les copies d'examens sans couper cours à notre échange bizarre. Je tiquai lorsqu'il se moqua de moi.

« J'oubliais tu n'as pas besoin d'apprendre, tu es vaniteux à souhait! » Fis-je remarquer. « Tu es juste dans le déni. »

Je le regardai hautain. Il parlait de la cellule de dégrisement comme si c'était un enfer sur terre, or je trouvais le lieu quelconque. Je devais être trop soual pour me rendre compte des odeurs de vomi, ou pire encore, c'était peut-être mon propre vomi qui sentait ! Je plissai les yeux dans un effort vain de me reconstituer les événements de la soirée. Mes souvenirs étaient flous et incertains. Je me mordis la lèvres inférieure : Zut !

« Encore le déni ! » Le taquinai-je. « Tu es trop propre pour un gars standard, c'est le dawa chez moi. Et je t'interdis de penser que je suis dégelasse ! » Je prenais le devants.

Je souris à la pensée qu'on puisse être en captivité ensemble. L'idée de me faire bouffer par Ewan me semblait bizarre. Comment devais-je prendre ? Manger comme on mange une pomme ? Ou manger ... Manger ? Je lui lançai un regard inquisiteur.

« Quand je suis enfermé, je suis excité comme une puce. »

Il se leva pour se servir un nouveau verre. Je le vis s'avancer vers le mini bar d'un pas lent. Son jeans déboutonné, glissait au gré des balancements gracieux de son corps. Je le fixais comme hypnotisé. Il s'arrêta et je pus apercevoir la raie de ses fesses. Cet idiot, ne portait pas de caleçon ? Pas de boxer ? Pas de slip kangourou ? Même pas un string ?! Je déglutis. J'étais peut-être gêné par la situation ... Mon coeur battait la chamade. C'était en effet une mauvaise idée à l'inciter de retirer son seul vêtement. Je me redressai tant bien que mal afin de reprendre le dessus sur mes émotions.

« Tu as bientôt fini ta correction ? Parce que bon, c'est chiant de ne pas être le centre du monde. » Raillai-je. « Tu es un hote terrible. Même pour un squatteur comme moi. »
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