"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici i'm the dark in need of light / robin 2979874845 i'm the dark in need of light / robin 1973890357
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() message posté Mer 26 Avr 2017 - 16:53 par Invité

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/ sparks will fly, they ignite our bones,
but when they strike, we light up the world /

Le dossier de son siège lui rentrait péniblement dans le dos. L'assise trop dure, trop plate, était inconfortable au possible. Ses doigts jouaient machinalement avec l'alliance à son doigt, avec le diamant étincelant de sa bague de fiançailles. Les sourcils froncés et le regard posé sur une tâche sur le carrelage blanc, Victoria était perdue dans ses pensées. Elle n'écoutait pas, n'écoutait plus. Elle avait perdu le fil, une vingtaine de minutes plus tôt. Les problèmes des autres ne l'inquiétaient en rien. Pas quand ses propres problèmes lui embaumaient l'esprit. Pas quand Clay occupait la majorité de ses pensées. Son sourire brillait, dans sa mémoire. Brillait, et brillait, c'était aveuglant. Ses yeux, d'un bleu profond, lui souriaient avec malice, alors que ses bras l'enveloppaient dans une étreinte réconfortante, protectrice. Mais ses souvenirs étaient tâchés, ternis par les événements, par de mauvaises décisions, par trop d'alcool, trop de pression. Les blâmes étaient nombreux, mais convergeaient tous vers son époux. Celui dont elle portait le nom, celui qu'elle avait juré d'aimer jusqu'à la mort. Cette promesse semblait tellement difficile à ne pas briser, encore plus maintenant. Seulement, elle ne souvenait pas. Pourtant, elle imaginait. Elle arrivait à imaginer le pire, alors qu'il y a quelques mois, c'était inenvisageable. La voix de son meilleur ami se jouait en boucle, lui racontant encore et encore la scène, le soir de l'accident, sa visite au commissariat. Même si elle ne voulait pas y croire, même si elle préférait se dire que son mari était encore l'homme qu'elle aimait aussi profondément qu'au premier jour, elle ne pouvait pas ignorer la vérité. Les choses avaient changé, évolué vers une inconnue qui lui faisait peur. Le bruit des pieds en ferraille des chaises, la ramena à la réalité. Une thérapie de groupe. C'était ridicule. Elle n'avait pas besoin d'en parler, pas besoin de partager sa vie avec des inconnus. Ils avaient beau vive le même traumatisme d'une manière ou d'une autre, elle ne voulait pas être là. Mais le sourire bienveillant de sa mère, ses paroles douces et implorantes l'avaient poussé à accepter, à se déplacer aujourd'hui. Cependant, le cœur n'y était pas. Les thérapies de groupe étaient plus déprimantes qu'autre chose, à ses yeux. Ressasser n'aidait pas à avancer, au contraire. Elle se leva, enfonçant ses mains dans les poches arrière de son jean. C'était l'heure de la pause, l'heure de se restaurer un peu, de parler d'autre chose que de l'amnésie. Elle scanna la pièce rapidement. Les visages n'étaient pas familiers. Si d'habitude, elle n'était pas réticente à l'idée de faire connaissance avec de nouvelles têtes. Parce qu'elle voulait retrouver une vie normale, dans penser aux conséquences de son accident, sans se dire qu'elle ne se rappellerait peut-être jamais l'année qu'elle a perdu. D'un pas lent, elle se dirigea vers des tables dressées au fond de la pièce. Dessus, se trouvait une multitude de petits snacks, sucrés ou salés, et des boissons. Rien ne semblait appétissant, mais elle avait soif. Elle se retrouva accoudée aux côtés d'un homme qui, malgré lui, occupait la place en face de la boisson de son choix. Mécaniquement, elle tendit le bras pour essayer d'attraper la bouteille de soda, mais il n'était pas assez long. Lâchant un soupire, elle leva la tête pour tenter d'interpeller l'inconnu qui la gênait. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement en se posant, pour la première fois de la journée, sur un visage familier. C'était lui, la drama queen du night club. Robin. Elle souffla un rire, étonnée de le voir ici. L'idée de faire demi-tour lui traversa brièvement l'esprit, mais l'envie de le charrier était plus forte. « Je vois que votre nez va mieux, »  lança-t-elle, attirant son attention. « Après tout, ce n'était qu'un bleu, » finit-elle, un léger sourire aux lèvres.
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Robin T. Lawford
Robin T. Lawford
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() message posté Jeu 18 Mai 2017 - 16:25 par Robin T. Lawford

Mon pied claquait nerveusement sur le carrelage blanc, dans un rythme lent et régulier. Je ne parvenais pas à rester immobile, à attendre, calmement, que le temps s’écoule et que la réunion prenne fin. Ici, le temps semblait figé, dans une atmosphère pesante et déstabilisante. C’était comme ça à chaque fois, ces réunions n’avaient rien de réconfortantes, elles me mettaient mal à l’aise. Rester assis, à écouter ces personnes raconter leur histoire, leurs problèmes, ne m’aidait pas à accepter sa maladie. Au bout du compte, elle allait finir par oublier, par m’oublier. C’était inévitable. Ces réunions ne pouvaient pas changer ça. Olivia en avait conscience, elle avait accepté ce que je refusais encore d’accepter. Ce groupe de soutien était son idée, elle pensait qu’échanger avec des personnes qui vivent la même chose que nous pouvait m’être bénéfique. Elle avait tort. Aucune des histoires que j’avais entendues jusqu’ici ne ressemblait à la nôtre, aucune autre personne ne se retrouvait dans notre situation. Pas aussi jeune. Pas à trente ans. Mon regard croisa celui de l’animateur, et je secouai la tête avant de venir perdre mon regard dans le vide. Je préférais passer mon tour, encore. Je ne me confiais pas à mes proches, je n’avais aucune raison de le faire avec de parfaits inconnus. Je n’assistais pas assidument à ces réunions, pourtant, je continuais de venir, comme si une part de moi cherchait un semblant de réconfort là où je savais ne pas pouvoir en trouver. Mon regard se posa sur les silhouettes des participants, qui commençaient à se lever pour s’éloigner vers le fond de la salle. C’était l’heure de la pause, quinze minutes de latence, avant que les témoignages ne reprennent. C’était le moment idéal pour s’éclipser et ne pas avoir à subir la deuxième partie de la thérapie. Un soupir passa mes lèvres, la moitié du temps s’était écoulée, je pouvais rester jusqu’au bout. Au moins pour cette fois. Je me levai pour rejoindre le reste du groupe, qui commençait à s’agglutiner devant les tables où était disposée la collation. Mon regard passa en revue ce qui était posé sur ces dernières. Tout ici était déprimant, de l’ambiance à l’apparence des snacks qui nous étaient réservé. J’attrapai un biscuit, le seul aliment qui semblait ne pas dater d’une semaine. « Je vois que votre nez va mieux. » Je fronçai les sourcils en tournant la tête vers la personne qui m’adressait la parole. La surprise laissa place à un sourire lorsque je reconnus la jeune femme du night club. Victoria. Elle était surement la dernière personne que je m’attendais à voir ici. A vrai dire, je ne m’attendais pas à croiser un visage connu. J’espérais ne pas en voir. « Après tout, ce n'était qu'un bleu. » Je me retournais complètement pour lui faire face. « Alors ça veut dire que l’opération a été un succès. C’est pas mon nez, on m’en a greffé un autre. » Plaisantai-je, en croquant dans le biscuit. Ma réaction, ce soir-là, avait été excessive, elle ne m’avait pas volontairement cogné le nez, à deux reprises. Je lui devais probablement des excuses pour m’être énervé ainsi, elle avait raison, ce n’était qu’un bleu. « Si vous êtes venue frapper quelqu’un d’autre, vous vous trompez d’endroit, les gobelets sont en plastique ici. » Déclarai-je, un sourire moqueur traversant mes lèvres. « J’y suis allé un peu fort je crois, l’autre soir. » Je grimaçais en repensant à mon attitude alors qu’elle s’était excusée. « J’aurais pas dû m’énerver comme ça, j'suis désolé. » Soufflai-je, doucement.

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() message posté Dim 4 Juin 2017 - 18:40 par Invité

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Victoria était curieuse. Elle adorait les potins, elle adorait commérer, écouter, rapporter. C’était dans les gênes. Une famille de commères. Jake était le seul à exploiter correctement, ce qu’elle considérait comme un talent. Il mettait à profit sa curiosité au service de son travail. Vicky, elle, se contentait de raconter sa vie aux clients les plus fidèles du café. Du moins, ceux dont elle se souvenait le nom et le visage. Certains apparaissaient surpris, presque vexés. Mais elle n’y pouvait rien, ne contrôlait pas son amnésie. Ils prétendaient tous se mettre à sa place, se remémoraient des matins où la migraine et le trou noir les avaient rendus amnésique le temps d’une demi-journée. Seulement, aucun ne pouvait comprendre, pas vraiment. Elle avait oublié un an. Douze mois de sa vie. Elle avait oublié le pire, et ne se souvenait que du meilleur. Elle essayait d’imaginer, quand son regard se posait sur Clay, les violences qu’il lui avait infligées. Sa négligence, l’échec de leur mariage. Elle essayait d’oublier, de taire ses sentiments. Mais elle n’y arrivait. Elle ne voyait que l’homme qu’elle aimait, depuis deux ans – trois maintenant. Celui qui, un soir pluvieux, avait su la conquérir, la séduire avec ses discours enflammés sur la littérature, les muses et les histoires d’amour. Dans ses yeux bleus, elle arrivait encore à se perdre, et à imaginer un futur à deux. Sauf qu’il n’était plus le même homme. La prison avait creusé des rides sur son visage. Une expression fatiguée et coupable ne le quittait plus. Et Vicky ne savait pas l’apaiser, parce qu’il ne la laissait pas. Alors elle s’éloignait, sans le vouloir. S’éloignait, et se retrouvait à ces stupides réunions. Son regard scanna la pièce avec lassitude. Ils comprenaient, eux. Ils avaient vécu la même chose, ou avaient un proche qui traversait la même histoire. Ils souffraient, comme elle avait pu souffrir à son réveil. Aujourd’hui, elle s’était faite une raison. Elle avait fait le deuil de ses souvenirs. L’heure de la pause était la bienvenue. Ses fesses devenaient légèrement engourdies. Les chaises n’étaient vraiment pas confortable. Le genre de chaise qui rendait la séance encore plus longue et douloureuse. Son choix ne se porta pas sur les différents snacks et biscuits sucrés, mais sur une bouteille de soda. Elle avait soif, terriblement soif. La surprise colora les traits de son visage, quand ses yeux se posèrent sur Robin. Elle ne s’attendait pas à le voir. A vrai dire, elle ne s’attendait pas à voir quelqu’un de familier. Les personnes vivants des traumatismes similaires au sien, ne couraient pas les rues. « Alors ça veut dire que l’opération a été un succès. C’est pas mon nez, on m’en a greffé un autre. » Un rire sincère passa ses lèvres, alors qu’elle plissa les yeux pour regarder son nez. « J’avoue, c’est plutôt bien réussi. La médecine est surprenante de nos jours ! » La vérité était que sa maladresse avait pris le pas ce soir-là. Elle avait heurté son nez, deux fois, et il en avait fait toute une histoire. C’était ridicule en y repensant. Elle secoua doucement la tête, attrapant finalement la bouteille de soda. « Nan, je préfère les endroits sombres, » souffla-t-elle, versant le liquide pétillant dans son gobelet. « Vous savez, pour qu’on évite de trop me reconnaître après, » déclara-t-elle, sur un ton taquin. Elle croisa son regard, après avoir déposé la bouteille sur la table. « J’aurais pas dû m’énerver comme ça, j'suis désolé. » Elle hocha la tête, acceptant ses excuses, même si elle ne lui en tenait plus rigueur. « C’est pas grave, on a tous nos moments, » souffla-t-elle, haussant doucement les épaules. Elle porta le gobelet à ses lèvres, laissant le liquide glisser le long de sa gorge. Les bulles la chatouillèrent légèrement, alors qu’elle reporta son attention sur Robin. « Vous aussi, vous avez des problèmes de mémoire ? » S’enquit-elle, presque dans un murmure. C’était sûrement personnel – trop personnel – de poser la question. Mais après tout, ils étaient là pour ça. Pour discuter.
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() message posté Mar 1 Aoû 2017 - 0:57 par Robin T. Lawford

La voix d’Olivia hantait mes pensées, encore et encore. Chaque fois que je me retrouvais dans cette salle, à me demander ce qui m’avait poussé à venir assister à ces réunions, ses paroles se frayaient un chemin jusqu’à mon esprit. Essaye au moins, Robin. Tu ne perds rien. Essaye. C’était la seule chose qu’elle m’avait demandé et, probablement, la raison pour laquelle je continuais de venir. Entendre des inconnus partager leur histoire et les voir affronter les difficultés l’avait aidé à accepter sa maladie. Savoir qu’elle n’était pas la seule dans cette situation était, selon elle, bénéfique. J’avais envie d’y croire, mais je restais septique, Livy et moi étions différents, à bien des égards, elle croyait au pouvoir de la parole alors que je me murais dans le silence. Ma peine n’appartenait qu’à moi, je ne ressentais ni le besoin, ni l’envie de la partager avec de parfaits inconnus. Le silence laissa place à un léger brouhaha lorsque ce fut l’heure de la pause. Si je préférais rester en retrait par rapport au reste du groupe, j’avais, néanmoins, pu remarquer que des amitiés s’étaient formées depuis la première séance à laquelle j’avais assisté. La plupart des personnes présentent ici se soutenaient et s’entraidaient, certaines d’entre elles avaient même retrouvées le sourire, c’était assez agréable à constater. Un soupir quitta mes lèvres alors que je m’approchais du buffet pour prendre un biscuit. Au moins, ces réunions n’arrivaient pas à me couper l’appétit. La surprise colora les traits de mon visage en apercevant celui de la jeune femme qui s’était adressée à moi. Après l’incident qui avait eu lieu au bar, je pensais ne jamais recroiser son chemin, et pourtant, elle était là, juste en face de moi. Et aussi surprenant que ça puisse l’être, j’étais content de tomber sur un visage familier. De tomber sur elle. Elle fixa mon nez et, instinctivement, je vins passer une main sur ce dernier. Le coup qu’elle m’avait accidentellement porté n’avait laissé qu’un gros bleu sur ce dernier, un bleu qui avait disparu au bout de quelques jours. En y repensant, je réalisais à quel point je m’étais conduit comme un con ce soir-là. Un sourire étira mes lèvres lorsqu’elle se mit à rire. C’était étrange, que son rire soit la chose la plus réconfortante qu’il m’ait été d’entendre à ces foutues réunions. « J’avoue, c’est plutôt bien réussi. La médecine est surprenante de nos jours ! » Je hochai tête, exhibant fièrement mon nez. « Ils font des miracles, maintenant. » Déclarai-je, en lui adressant un clin d’œil. Je ne la connaissais pas, pas vraiment. Dans mon esprit elle n’était que cette jeune femme rencontrée dans un bar, qui avait eu la malchance de tomber sur moi. Une inconnue parmi tous ceux qui nous entouraient, aujourd’hui. Pourtant, une part de moi voulait apprendre à la connaître, juste un peu plus. Elle dégageait une certaine aura, bienveillante et authentique. Je m’en étais rendu compte au moment où elle avait décidée de mettre fin à notre querelle en me présentant une poignée de main. Je ne m’étais pas vraiment excusé auprès d’elle, alors c’était l’occasion de me rattraper. Un faible sourire traversa mes lèvres lorsqu’elle affirma que ce n’était pas grave. En effet, nous avions tous nos mauvais moments. Un grognement de mon estomac me rappela que je tenais toujours la moitié de mon biscuit dans une main. Je portai ce dernier à ma bouche pour m’en débarrasser. « Vous aussi, vous avez des problèmes de mémoire ? » Je levai les yeux vers la jeune femme, mon regard se figeant dans le sien. Elle allait forcément me poser la question, c’était inévitable, pourtant je ne m’y attendais pas. « Non. » Soufflai-je, en venant m’appuyer contre l’une des tables. « J’ai pas oublié que vous m’avez frappé. » Déclarai-je sur un ton taquin. Les plaisanteries étaient faciles, beaucoup plus que ce genre de conversation. Mon regard vint se perdre dans le vide alors qu’un flot de pensées envahissait mon esprit. Parler de la maladie d’Olivia était au-dessus de mes forces, parce qu’en parler signifiait accepter la fatalité. Et je n’étais pas prêt pour ça. Je me raclai la gorge, tournant la tête vers la jeune femme. « Je suis là pour ma femme… c’est elle qui a des problèmes de mémoire, pas moi. » Ma voix était basse, calme comme s’il s’agissait d’un secret. « Pourquoi vous êtes là ? » Demandai-je dans un murmure.

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