(✰) message posté Mar 26 Jan 2016 - 18:09 par Invité
Aiden Lincoln Reginald Arlington
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Arlington, un nom connu un peu partout dans le monde puisqu’il s’agit de celui d’une marque de montres de luxes, une entreprise créée par son arrière grand-père il y a 96 ans PRÉNOM(S) : Aiden ; Lincoln, prénom de son grand-père paternel ; Reginald celui de son arrière-grand-père paternel ÂGE : Trente ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 avril 1985 à York NATIONALITÉ : Anglaise STATUT CIVIL : Célibataire MÉTIER : Ingénieur d’étude en aéronautique TRAITS DE CARACTÈRE : froid + fière + parfois arrogant + intègre + débrouillard + rancunier + sérieux + solitaire + minutieux + maniaque + charismatique + joueur + idéaliste + ouvert d’esprit + méritant + peut se montrer désagréable GROUPE : Black cabs
My style, my life, my name
** Aiden est un grand passionné d’avion, passion qui lui a été transmise par son grand-père maternelle qui était pilote de ligne et qui possédait son propre avion de plaisance dans lequel il emmenait Aiden voler ** il n’aime pas tout ce qui est tatouages et piercing, il trouve cela vulgaire et inutile ** il a une cicatrice sur le côté extérieur du poignet droit, qu’il s’est fait en tombant lors d’une randonnée en montagne à ses huit ans ** il ne mange pas de sucreries et ne boit pas de soda. Il a été élevé dans un milieu où la bonne cuisine gastronomique était privilégié et si cela le dérangeait un peu étant enfant, il est maintenant content d’avoir une grande culture culinaire ** c’est un amateur de vin rouge, il participe souvent à des dégustations avec quelques amis ** le 13 mars 2014 le chauffeur de sa fiancée fait une attaque cardiaque au volant et perd le contrôle de la voiture. Valentina est amenée d’urgence en soins intensifs et les médecins annoncent à Aiden qu’il doit choisir entre sauver la vie de sa fiancée ou celui de l’enfant quelle porte. Incapable de prendre une telle décision, les médecins la prennent à sa place. Ce jour là il perd la femme qu’il aime et leur enfant. Aiden n’a jamais su qui de Val ou du bébé, les médecins avaient décidés de sauver et ne souhaite pas le savoir ** suite à son décès il a été suivi par un psychologue pendant quatre mois avant de décider brutalement d’arrêter les séances et de partir en France ** il est partit pendant un an et demi -revenant en Angleterre à de rares occasions- avant de revenir s’installer à Londres en début d’année ** durant tous ces mois où il s’est évadé, il a vécu en France, en Italie et en Autriche ** il a eu quelques aventures après la mort de Valentina, mais jamais rien de sérieux ** Aiden est polyglotte, il sait parler plusieurs langues différentes, dont le français et l’allemand ** il est allergique aux kiwis, ça lui donne de l’urticaire, des nausées ainsi qu’un gonflement de la langue
PSEUDO : Sweetjazz PRÉNOM : Priscilla ÂGE : 23 PERSONNAGE : scénarventé (un mixte entre le scénario et le personnage inventé ) AVATAR : Théo James CRÉDITS : .sassenach, bazzart COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : J'étais un dinosaure la dernière fois que je suis passé par ici. Il y avait quoi avant les dinosaures ? CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: 1+1+1 si mes calculs sont bons, ça fait déjà trois
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(✰) message posté Mar 26 Jan 2016 - 18:09 par Invité
At the beginning
- 13 mars 2014, Angleterre
J’avais cette idée préconçue que l’argent pouvait tout acheter, que je n’avais qu’à claquer des doigts pour obtenir ce que je voulais. Que l’argent n’avait aucune limite, qu'il ouvrait toutes les portes. Ce que je pouvais être con et naïf. Comme toute chose, l’argent avait ses limites et elles s’arrêtaient là où l’on en avait le plus besoin. Mon cœur battait si vite que j’avais la désagréable impression qu’il pouvait flancher d’un moment à un autre. Je poussai les portes, d’un souffle haletant, les unes après les autres pour me retrouver à chaque fois dans des couloirs tous aussi blancs que les précédents. Je sentais mon sang frapper mes tempes et une douleur vive traverser l’ensemble de mon crâne. Les larmes brouillaient ma vue au fur et à mesure que je m’approchais de la salle d’attende.
* * * * *
« Monsieur Arlington, calmez-vous, s’il vous plait. » Il posait une main sur mon bras, que je repoussai violemment. « Vous me demandez de me calmer ? » criai-je presque à bout de souffle. Ils me demandaient de me calmer, de m’asseoir et de prendre une décision. Je secouai la tête nerveusement. Je ne pouvais pas. Il m’était impossible de prendre une décision. Pas maintenant, pas comme ça. Pas tout seul. Je n’avais pas le droit de choisir et ils n’avaient pas le droit de me demander de le faire. « Vous êtes médecins bordel de merde. Vous êtes médecins… vous êtes médecins. Vous n’avez pas le droit de me demander de choisir, votre boulot c’est de les sauver. Toutes les deux. Alors sauvez-les. Faite-le. » J’haussai la voix au fur et à mesure que les mots sortaient de ma bouche. Comment choisir entre la femme que l’on aime et son enfant ? J’en étais incapable et plus ils essayaient de me faire entendre raison, plus je sentais la colère en moi s’amplifier. « Je vais devoir vous demandez de sortir monsieur Arlington… » Dans un élan de rage, j’attrapai la chaise posait derrière moi et la balançai à travers la pièce. Des mains virent me saisir par les bras et on m’écarta de la salle d’attente. Plusieurs infirmiers tentèrent de me calmer sans succès et au bout d’une quinzaine de minutes je sentis mon esprit s’embrouiller et ma vue devenir floue. Je me réveillais plusieurs heures plus tard dans un lit qui n’était pas le mien. L’odeur aseptisée qui régnait dans la pièce, m’indiquait que je me trouvais toujours à l’hôpital. Je papillonnai des yeux, tentant difficilement de les garder ouverts. Une silhouette se dessinait dans le fond de la chambre et lorsqu’elle s’aperçut que j’étais éveillé, elle s’approcha lentement de moi. Je reconnaissais la démarche assurée de ma mère. Elle déposa une main sur mon bras, une expression triste dans le regard. « Aiden, je suis vraiment désolé, elle… » Elle laissa échapper un sanglot et je me redressai. « Val… ou le bébé ? » demandai-je d’une voix presque inaudible. Elle releva la tête et son regard croisa le mien. Je compris. Quelque chose sembla se briser à l’intérieur de moi au même moment.
- Avril 2015, Italie
Doucement, mes doigts vinrent effleurer la peau nue de la jeune femme endormie à mes côtés. J’essayais de me souvenir de son prénom, mais au fond il m’importait peu. Une de plus. Une de plus qui ne parvenait pas à combler mes exigences. Peu importe la finesse de leurs traits, la beauté de leurs courbes aguicheuses. Il y avait toujours quelque chose qui manquait, toujours quelque chose qui me faisait reculer. Je tentais de retrouver un semblant de complicité avec l’une d’entre elles, mais quoi que je fasse, elles me paraissaient toutes plus futiles les unes que les autres. Toutes dénuées de personnalité et de charme qu’il leur était propre. Chaque fois que je tentais d’oublier les souvenirs de ma vie passée avec Valentina, dans les bras d’une autre, ces dits souvenirs refaisaient surface pour me hanter encore et encore. C’était un cercle vicieux dont je ne parvenais à m’échapper. Je posai les yeux sur le visage angélique de la brune, juste une dernière fois, mais rien. Elle n’était pas elle. Aucune de ces femmes ne l’étaient. Je relevai le drap et me levai avant d’entrer dans la salle de bain. J’allumai le robinet, attendant que l’eau se réchauffe avant d’entrer dans la douche. Valentina. Son nom hantait mes pensées chaque fois que je quittais le lit de l’une de ces inconnues. Je la cherchais partout. Dans chaque regard, chaque caresse, chaque sourire, que je recevais. Je la cherchais, mais je ne parvenais jamais à la trouver. Elle était nulle part, mais paradoxalement elle était toujours présente. Tel un fantôme hantant les murs d’une vieille bâtisse, Val était toujours présente. Elle était là pour désapprouver chacune de ces histoires sans lendemain, elle était là pour faire semblant de rire aux blagues douteuses que je faisais, elle était là pour m’accompagner dans chacun de mes voyages et pour me renvoyer la balle sur le court de tennis. Aujourd’hui encore elle avait le monopole de mes pensées. Elle l’avait toujours eu. Je glissai hors de la douche et attrapai la serviette posée sur un meuble, que j’attachai autour de ma taille. D’un geste lent j’ouvrai la porte pour voir si la jeune femme était toujours endormie. Je laissai échapper un soupir en constant que c’était effectivement le cas. Je refermai la porte et m’habillai avant de ressortir de la salle de bain. Attrapant un morceau de papier qui trainait, je griffonnai un mot et vins le déposer sur la table de nuit. Cette nuit a était très agréable. Fait comme chez toi et donne la clé à la réception avant de partir. J’attrapai mes affaires et sortis de la chambre en silence. En passant devant la réception, je saluai Elisa en souriant et empruntai la grande porte de l’hôtel pour sortir. Dehors le soleil brillait et la douceur du mois d’avril incitait les gens à sortir de chez eux et à arpenter les rues de Florence. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres. La beauté de cette ville contrastait avec mon humeur, morose. Je m’élançai dans une petite ruelle pour emprunter le même chemin que j’empruntais depuis mon arrivée ici il y a quelques semaines. A chaque nouvelle ville que je visitais, j’entrais dans une routine simple et éphémère. Je m’établissais quelques temps, trouvant de nouvelles habitudes, de nouveaux lieux de prédilections, avant de me lasser et de me m’évader une nouvelle fois, pour un nouveau lieu, qui pourrait m’offrir ce que l’ancien n’avait pas réussi à m’offrir. Comme chaque matin, le Caffè Gilli m’ouvrait ses portes et j’y passai une partie de la matinée à lire les nouvelles locales et à gribouiller des plans de fuselage d’avion sur des serviettes en papiers. Chaque journée se ressemblait et presque chaque soir je retrouvai une chambre vide et silencieuse. C’était très bien ainsi. Je me contemplais dans ma solitude.
- Janvier 2016, Angleterre
Je posai les pieds sur le sol britannique après six mois d’absence totale. L’air froid de Londres à cette époque de l’année me fit frissonner et je plongeai les mains dans les poches de ma veste en continuant d’avancer à travers le parc. J’avais beau tenter de me persuader que ces mois d’absence avaient étaient bénéfiques, qu’ils m’avaient aidés à faire mon deuil, je constatai en traversant les rues de Londres que l’Angleterre m’avait manquée bien plus que je n’avais osé l’admettre. J’étais parti bien trop longtemps et il était temps pour moi de me poser une bonne fois pour toute et de reprendre le cours de ma vie, là je l’avais abandonné plusieurs mois auparavant.
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(✰) message posté Mar 26 Jan 2016 - 18:09 par Invité
EDIT: il est lààààààà
bon, tu sais déjà ce que je pense de toi , puis de Theo , et de Reginald il est parfait, même si bon voilà quoi, monsieur le jamais content bref, j'ai trop hâte de lire ta fiche et de pouvoir exploiter notre super lien
rebienvenue btw
Olivia Andrews
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(✰) message posté Mar 26 Jan 2016 - 18:11 par Olivia Andrews
theo et hâte de découvrir le personnage (re)bienvenue à la maison et bon courage pour ta fiche tu sais où on est si t'as une questions
Margot Bernstein-Woolf
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(✰) message posté Mar 26 Jan 2016 - 18:21 par Margot Bernstein-Woolf
Le pseudo + theo + le titre je viendrai réclamer un lien re-bienvenue sur LC & bonne chance pour ta fiche