"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici pourquoi on s'emmerde ? a quoi ? a aimer les gens (cassie) - Page 2 2979874845 pourquoi on s'emmerde ? a quoi ? a aimer les gens (cassie) - Page 2 1973890357
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pourquoi on s'emmerde ? a quoi ? a aimer les gens (cassie)

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Dim 3 Jan 2016 - 21:18 par Invité
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
Et voilà que tu te retrouvais chez elle, allongé sur son lit. Elle se tuait à te soigner, mais clairement tu n'en n'avais fichtrement rien à faire de cette plaie sur la main, ce n'était pas la première fois, ni même la dernière. Quel impulsif tu étais. Au lieu de mettre des mots sur ce que tu pouvais ressentir, toi tu tâchais d'extérioriser en détruisant tout sur ton passage tel un cyclone retournant une ville à toute allure. C'était bien ça ton problème, tu pouvais traiter Cassie d'handicapée sentimentale, mais toi, tu étais un handicapé de la parole. Tu ne savais pas te comporter comme un adulte et parler, c'était bien trop compliqué pour toi, alors au lieu de ça, tu t'en prenais au monde entier, quittes à te blesser, ce n'était pas bien grave. Enfin tu en payais les conséquences, puisqu'au final tu te retrouves avec un bon nombre de cicatrices à seulement vingt cinq ans. Quoi qu'il en soit, tu as beau grommeler dans ta barbe cela ne change strictement rien puisque tu remarques que la belle blondinette ne se préoccupe absolument pas de ce que tu peux lui dire, puisqu'elle finit par te bander la main. Tu grimaces, ça te gênes et en plus, ça sert à rien, à part te compresser la main et t'empêcher de pouvoir bouger cette dernière, surtout que ce n'était pas bien grave -selon toi. Tandis que la fatigue prend le dessus, et que tu commences à couler sous cette dernière, Cassie te propose de prendre quelque chose à manger histoire d'éponger un peu les conneries que tu as pu t'enquiller au cours de cette soirée. Comme si tu avais une tête à manger, déjà qu'en temps normal tu ne manges que très peu alors ce n'était pas maintenant que tu allais t'enfiler quoi que ce soit. Dormir, voilà tout ce dont tu avais envie. C'est d'ailleurs ce dont tu lui fis part, en ajoutant que tu désirerais un doliprane, visiblement cela la fit sourire. En même temps, depuis quand monsieur le défoncé prenait un doliprane pour faire cesser un mal de crâne suite à un excès de drogue en tout genre. C'est dingue les effets que pouvaient avoir toutes ces substances, c'était quitte ou double. Seulement cela te le faisait souvent lorsque les effets se dissipaient, disons que tu étais en phase de redevenir quelque peu toi-même, mais jusqu'à quand ? Ca s'en était tout autre. Quoi qu'il en soit, tu devais te résoudre à t'endormir avec ce fichu mal de tête, en même temps c'était bien fait pour ta gueule, peut être qu'un jour tu... Non en fait, j'osais espérer qu'un jour tu puisses changer mais quand on voit que même après une overdose au cours de laquelle tu as failli y laisser ta vie tu recommences, je me rends compte qu'en fait c'est totalement impossible de te faire arrêter tout ce merdier. Visiblement tu arrêteras le jour où tu rendras l'âme à croire que c'est tout ce que tu cherches, crétin! Ne parvenant plus à lutter, tu finis alors par tomber dans les bras de Morphée. Dieu seul sait dans quel état nous te retrouverons demain. Quoi qu'il en soit, Cassie ne cessait de prendre soin de toi, à tel point qu'une fois le sommeil lourd, elle vint t'enlever le surplus de vêtements, ainsi que ta paire de chaussures, afin pouvoir dormir dans de meilleures conditions. Dans un murmure, elle te demandait de te redresser. T'ouvrais légèrement les yeux mais étant incapable de ne faire quoi que ce soit, tu la laissais disposer de ton corps. Tu n'avais plus la force de te battre ce soir. Tout ce que tu voulais c'était dormir et seulement dormir. Une fois qu'elle eut fait ce qu'elle avait à faire, tu te recouchais comme auparavant. Tu sentais ensuite une présence à tes côtés, étant en demi-sommeil. C'était elle, elle venait se coucher à tes côtés. On se serait cru un an auparavant. Quand tout allait encore bien entre vous, quand tu n'avais pas encore eu ton overdose. Doucement tu sentis quelque chose sur ton torse. Sa... Main ? Nul doute, c'était sa main puisqu'elle se mit à caresser ce dernier. A ce moment même t'avais l'impression que vous ne vous étiez jamais séparés, c'est comme si vous aviez toujours été ensembles. Pas de séparation, rien. C'est dingue comme l'impression que rien n'avait jamais changé été si forte. Alors que tu étais toujours allongé sur le dos, les yeux clos, entrain de retourner une nouvelle fois dans les bras de Morphée, tu sentis ses jambes s'enroulaient aux tiennes, une façon pour elle de se rapprocher de nouveau de toi, jusqu'à ce que tu sentes un souffle chaud venir se loger sur ton oreille ainsi que dans ton cou. Des frissons parcoururent ton corps tout entier. C'est dingue l'effet qu'elle te procurait malgré ce demi-sommeil. Et là, alors que tu t'apprêtais clairement à t'endormir profondément, les mots qu'elle te murmurait te glacèrent le sang. Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ces mots ? Et voilà qu'elle venait une nouvelle fois torturait ton esprit. A quoi jouait-elle ? Qu'est-ce qu'elle voulait exactement ? Pourquoi te torturait-elle de la sorte ? Ce n'est pas comme si tu ne l'étais pas déjà assez. C'était d'ailleurs la première fois qu'elle les prononçait et pourtant cela faisait des années malgré cette coupure que vous étiez ensembles, et jamais ô grand jamais elle ne les avait prononcé. Tu lui avais dis, deux fois, et les deux fois où tu lui avais dis, elle était restée planter là, la bouche fermée. Impossible de te dire ces mots là, alors comment pouvait-elle te les dire maintenant ? Pourquoi maintenant, alors que cela faisait un an qu'elle ne t'avais pas vu ou un peu moins, et qu'elle avait un copain. Pourquoi maintenant ? Pourquoi moi ? Et lui ? Tu ne pouvais t'empêcher de penser à cet homme qu'elle avait embrassé toute à l'heure. Lui avait-elle dit qu'elle l'aimait à lui aussi ? Maintenant tu étais littéralement perdu. Tu gardais les yeux clos. Paumé. A elle seule, elle rendait ta vie des plus compliquées qu'il soit. Mais visiblement t'aimais ça pour la garder dans ta vie. Tu ne peux pas tout avoir Cassie, je te comprends plus, c'est soit lui, soit moi, mais tu ne peux pas avoir les deux, ce n'est pas possible, lâches-tu dans un murmure. Tu n'avais même plus la force d'hausser le ton, tu n'en n'avais même pas envie tant tu étais fatigué. Mais là, avant de t'endormir, tu avais besoin d'avoir des réponses à tes questions. Tu ne lui demandais pas de te répéter ces mots, tu les avais entendu, elle semblait si sincère, non, nul doute, elle était sincère. Elle ne t'aurais jamais dit ça si elle ne le pensait pas, si elle ne l'était pas. Cassie avait beau être instable parfois, elle était authentique, et sincère. Tu avais juste besoin qu'elle te dise que c'était de toi dont elle avait besoin, que c'était à tes côtés qu'elle voulait s'endormir et voir ton visage à son réveil. Que tu étais le seul qu'elle aimait. Que l'autre, ce n'était rien. Qu'il n'était rien comparé à toi. Qu'elle ne l'aimait pas, qu'elle ne t'avait pas oublié durant ton séjour à l'hôpital. Que c'était toi et pas un autre. Et que ça serait toujours toi.© 2981 12289 0
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() message posté Mar 5 Jan 2016 - 22:53 par Invité

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kovu & cassie

J'avais plus vraiment envie de me prendre la tête. Pas ce soir du moins, j'étais crevée, fatiguée et lassée de me torturer l'esprit. Maintenant, j'avais simplement l'envie de m'allonger près de lui et doucement me laisser emporter par Morphée dans son monde de rêves, mon corps collé à celui de l'homme que j'aime, que j'ai aimer comme une folle et aimerait jusqu'au restant de ma vie. D'ailleurs, ses quelques mots, ce "je t'aime" m'avait glisser des lèvres sans que je ne puisse le retenir, je n'avais pas vraiment essayer en même temps. A quoi bon lutter, me retenir, je le ressentais et il le ressentait également. Kovu m'avait déjà avouer ses sentiments, deux fois durant il avait prononcer à mon intention ses douces paroles, et deux fois durant j'étais restée là sans rien y répondre. Pas parce que je ne l'aimais pas autant, parce qu'il était évident que je l'aimais tout autant, mais simplement parce que je n'avais de toute ma vie durant prononcer ses mots là et je savais donc parfaitement que le jour où je le ferait il n'y aurait pas de retour en arrière, une fois dis on ne pouvait pas les reprendre. C'est cette permanence qui m'avait fait peur, mais ce soir j'avais surmonter cette peur et lui avait souffler ses mots doux à l'oreille dans l'espoir qu'ils le berçent dans son sommeil et qu'ainsi il les oublies aussi vite qu'il les avait entendus. Malheureusement, c'était Kovu dont nous parlions. Je continuais de caresser son torse avec tendresse quand il se mit à parler, à me demander pourquoi je lui disait maintenant et ce qu'il en était de "lui" en faisant référence à Zola. Il gardait les yeux clos et je ne cessait mon geste de douceur sur son corps tout en le regardant. Je fixait son visage fatigué, il était toujours aussi beau. J'eu envie de l'embrasser de nouveau. Les quelques secondes accrochée à ses lèvres tout à l'heure n'avaient clairement pas été suffisantes, il m'en fallait plus, j'avais besoin de plus. Ma main remontais son chemin le long de son torse jusque son visage, sans gêne aucune je balladais la pointe de mes doigts sur sa peau de bébé, sur son menton, ses lèvres que je frolais en sentant des frissons envahir mon corps tout entier. Puis ses joues, pour finir sa course dans ses cheveux que je replaçait correctement en arrière sans le quitter du regard. Il continuait de parler en me disant que je ne pouvait pas tout avoir, que c'était lui et Zola. Je pris ces paroles comme une sorte d'ultimatum, c'était censé me faire mal, mais non. Je pense que venant de Zola, je me serais mise en colère, mais c'était Kovu et Kovu avait tout les droits de dire de ce genre de choses. Je pris une légère inspiration. « Je ne l'aimerais jamais comme je t'aime. » Lui avouais-je alors. C'était la triste vérité, je le savais, pourquoi mentir ? Je me redressait afin de m'installer à califourchon au dessus de lui, une jambe de chaque côté de son corps en prenant soin de ne pas lui faire mal. Une fois cela fait, je plaquais mes paumes de mains sur son torse et il ouvrait doucement les yeux. A ce moment, j'attrapais son regard avec le mien. « Je finirait ma vie avec toi, je sais ça. Tout les deux contre le monde entier, dans un squat après une trop grosse dose de défonce. Toi et moi, pour toujours. » Je me penchais en avant, déposant un baiser tendre sur le coin de ses lèvres et murmurant : « Tu sais que je suis à toi, entièrement.. A jamais.. » Je déposais mes lèvres sur les siennes de nouveau, avec tendresse et envie, mes mains sur ses joues et ma poitrine écrasée contre son torse. Il devait être perdu et je ne l'en blâmais pas, mais je suivait mes envies, mes émotions, mon coeur pour la première fois de ma vie. Il devait me laisser faire. Je me détachais difficilement de ses lèvres, me redressait en me mordillant doucement la lèvre inférieur. « Regarde.. » J'attrapait sa main, relevait légèrement mon haut de ma main libre et plaçait ses doigts sur ma hanche droite, là où une petite lettre noir était tatouée. Un "K" en lettre majuscule. Kovu. Pour toujours. Je me l'étais fait tatouée le soir même où j'avais quitter la maison de mes parents pour m'enfuir avec lui, il était venu avec moi, j'avais souffert, mais j'adorais cette marque sur ma peau. Je voulais qu'il se souvienne d'à quel point nous étions heureux là, qu'il se souvienne que je n'avais peut être jamais été capable de lui dire les mots qu'il attendait à l'époque, mais que je ne me faisait pas tatoué la première lettre du prénom du premier venu sur la peau. Je reposais de nouveau mon regard dans le sien et lui souris légèrement. « Je suis à toi, Kovu. Pour toujours à toi. »
acidbrain
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() message posté Mer 6 Jan 2016 - 22:40 par Invité
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
Il ne t'avait fallu guère longtemps avant de sombrer dans les bras de Morphée. Il faut dire qu'avec le nombre de gramme de drogue que tu t'étais ingurgité, tu n'avais besoin que d'une seule et unique chose : une bonne nuit de sommeil, car on sait tous que le sommeil est réparateur. Alors même si au réveil tu ne serais surement pas au top de ta forme avec la soirée que tu avais passé, une chose est sûre, cela te ferais un minimum de bien, assez pour être au moins reposé. Cassie quant à elle était restée là, à tes côtés, à te regarder dormir. Et lorsque tu étais plongée dans un profond sommeil, cette dernière vint s'occuper de t'enlever le plus gros, à savoir tes chaussures ainsi que ton manteau, car il faut savoir que tu ne t'étais pas trop fait chier lorsque tu étais arrivé chez elle, tu t'étais laissé tomber sur le lit telle une grosse larve, de sorte que tu prenais presque toute la place sur ce dernier, et en prime, tu n'avais même pas pris le temps d'enlever ne serait-ce que ce que la blondinette était entrain de t'enlever. Disons qu'il faut dure que vu comme tu étais défoncé, du coup tu n'avais eu qu'une seule envie, celle de te poser, et encore heureux, tu  ne t'étais pas couché par terre, car cela t'étais déjà arriver de t'endormir par terre d'épuisement. Ceci dit, lorsque tu sentais que cette dernière te secouait un peu trop, en même temps, elle n'avait guère le choix, vu comme tu étais avachi sur son lit, tu ouvrais légèrement les yeux, et l'aider un minimum, mais très vite, tu refermais les yeux pour retrouver le sommeil. Cependant, tu n'y parvins pas tout de suite puisque tu sentis Cassie passer au dessus de toi afin de venir s'allonger à tes côtés. Sentir son souffle chaud dans le creux de ta nuque te fit instantanément frissonner. Tu essayais cependant de ne rien laisser paraître, bien que cela n'était pas facile. C'est fou comme on aurait dit que rien n'avait changé entre vous. C'est comme si vous n'aviez jamais été séparés. C'est dingue comme l'alchimie que vous aviez toujours eu été aussi présente. La savoir à tes côtés te rappeler bien trop de choses. Bien trop de souvenirs. Sa présence te faisais ressentir une multitude de sentiments à la fois. Notamment l'envie, l'envie de la retrouver comme avant, de l'embrasser, de la toucher, de sentir sa peau contre la tienne, de sentir son souffle chaud sur l'ensembles de ton corps, sentir son coeur battre contre tes poumons, de ne faire qu'un, d'entremêler tes doigts aux siens, de la regarder dans les yeux, lui dire combien elle a pu te manquer. Mais en même temps tu ressentais une certaine frustration, celle de ne justement pas pouvoir faire tout cela, puisqu'elle avait désormais quelqu'un. En réalité, tu ne faisais pas cela par respect pour cet homme, tu faisais au contraire tout cela pour te préserver, car tu savais qu'il suffirait d'une chose pour retomber dans ses bras. Déjà lorsqu'elle t'avait embrassé dans la rue toute à l'heure, tu étais à deux doigts de craquer, mais tu étais parvenu à te retenir. En temps normal, tu lui aurais presque sauté dessus, mais là, tu t'étais retenu. Tu essayais de préserver un semblant de ce qu'il restait de ton coeur, puisque cela faisait maintenant un moment qu'il était brisé. Car oui, Cassie avait été la seule à te faire réaliser que tu avais un coeur. Elle était tout simplement la seule que tu avais aimé d'un amour aussi immense, aussi passionnel, aussi obsessionnel. Cassie était ton obsession. Tu l'avais dans la tête. Tu l'avais dans le coeur. Tu l'avais dans la peau. D'ailleurs, tandis que tu te tuais à te battre contre toi-même, la blondinette vint t'achever en te prononçant les deux seuls et uniques mots qu'elle n'avait jamais réussi à te dire auparavant. Ceci dit, elle n'avait pas besoin de te le dire pour que tu le saches, car auparavant, tu savais pertinemment que malgré tout elle t'aimait, elle avait tout simplement du mal à les prononcer, mais aujourd'hui elle avait enfin osé te le dire. Seulement était-ce le bon moment ? Alors que tu étais tout simplement perdu. L'avoir vu avec cet homme t'avais littéralement retourné. Encore une fois tu étais passé par tellement de sentiments à la fois lorsque tu l'avais vu l'embrasser. La colère, la haine, la tristesse, la jalousie. Et j'en passe. Mais alors là, c'était le coup de grâce. Tu ne pouvais pas t'empêcher de reparler de lui. De le remettre sur le tapis. Tu avais juste besoin qu'elle te dise qu'au plus profond d'elle, elle se fiche de cet homme. Qu'il n'est rien pour elle. Que c'était seulement pour combler ton manque. Mais que c'était toi, et seulement toi et uniquement toi et ce pour toujours comme ça l'était pour toi. Tu l'aimais d'un amour si fort que cela te détruisais au plus profond de toi. Elle lui répondit alors au présent, au présent, cela voulait dire beaucoup de choses. Elle le rassurait aussi. Elle semblait être vraiment sincère. Tu la connaissais assez pour savoir qu'elle disait vrai.Tu avais tellement envie que ce soit vrai. Qu'elle ne te dises pas uniquement ce soir et que d'ici demain tout cela ne soit que des mots qu'elle puisse regretter. L'avantage entre elle et toi, c'est que contrairement à toi, elle était totalement sobre et lucide, alors que toi tu étais totalement défoncé, et encore les effets commençaient à disparaître doucement mais surement. Alors que tu t'apprêtais à ouvrir la bouche, cette dernière te stoppait dans son élan en prenant place sur toi de sorte que vous puissiez vous voir les yeux dans les yeux. Tu ouvrais alors les yeux pour la regarder. Tu l'admirais. Elle était belle. Elle n'avait pas changé. Tu t'en pinçais les lèvres. Bordel que tu l'aimes. C'est ta Cassie. La tienne. T'en as assez. Tu n'en peux plus. Tu poses l'une de tes mains sur sa joue, glissant le bout de tes doigts à l'extrémité de sa nuque pour caresser doucement cette dernière. Tu craques mec, tu craques. A quoi tu joues ? Tu n'as pas déjà assez souffert ? Tu n'es sûr de rien, et tu craques avant même d'être sûr de quoi que ce soit. Laisses le... s'il te plaît... lâches-tu difficilement et dans un murmure lorsqu'elle vient t'embrasser à la commissure de tes lèvres. Tu fermes les yeux, et tu te pinces les lèvres. C'est fou comme tu as du mal à lui résister. Les paroles qui suivent T'achèves littéralement, putain mais qu'est-ce qu'elle fou avec ce crétin. Ne me laisses plus alors, souffles-tu contre ses lèvres avant de craquer littéralement et d'accentuer son baiser avec passion et envie. Ta main glisse alors derrière sa nuque de sorte que tu puisses intensifier ce baiser que tu désirais tant. Seulement c'est elle qui vient rompre le baiser qu'elle t'as donné. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Tu te mords la lèvre inférieur. C'est bon, c'est foutu. Elle est pire qu'une drogue Elle est ta propre drogue. En réalité, elle a arrêté pour une raison particulière. Elle s'empare de ta main pour lui faire soulever son tee-shirt, tu remarques alors un petit dessin à l'encre noir, ce n'est pas n'importe quel dessin, mais l'initiale de ton prénom. Tu es encré dans sa peau. Tu t'en souviens comme si c'était hier, vous étiez littéralement défoncés, et elle était venue te voir, et telle une gamine elle t'avait entraîné avec elle, folle de joie, dans un squat où l'un de tes clients s'y trouvait, ce dernier était tatoueur, et contre un petit sachet de coke, ce dernier acceptait de tatouer ta belle. Elle était à la fois toute guillerette et morte de trouille. C'était son premier tatouage. On aurait pu croire qu'elle l'aurait regretté puisqu'elle l'a fait jeune et surtout défoncée, mais ce soir, elle te prouve qu'elle est loin de l'avoir regretté, et que ce tatouage a toujours autant d'importance si ce n'est plus que le soir où elle se l'ait fait faire. Tu te redressais alors légèrement. Et tu re-plaquais ta main derrière sa nuque pour l'entraîner vers toi, et l'embrasser une nouvelle fois, mordillant légèrement sa lèvre inférieur. Je t'aime Cassie, je t'aime comme un dingue putain, lâches-tu en rompant le baiser, laissant qu'un infime espace entre vos lèvres, juste assez pour avoir pu prononcé ces quelques mots. Quittes le, quittes le, je peux pas concevoir que tu puisses avoir quelqu'un d'autres. T'es à moi, et seulement à moi, j'ai pas envie que quelqu'un d'autre puisse te rendre heureuse à ma place. Je sais que je te rendrais jamais heureuse comme un mec normal, mais je sais aussi que tu ne l'aimes pas, et que tu ne l'aimeras jamais, et que quoi qu'il en soit, il n'y a qu'avec moi que tu puisses être heureuse et tu sais pourquoi ? Parce que je suis dingue de toi, et je t'aime comme jamais personne ne pourra t'aimer autant que je puisse t'aimer. Je sais que je ne suis pas adroit, je dirais même que je suis plutôt maladroit, j'ai une drôle de façon de t'aimer, mais c'est cette façon là qui rend notre relation et mon amour si unique. Je ne t'aime pas comme tout le monde, façon on a jamais été foutu de faire quelque chose de normal comme les autres, et c'est ce qui fait notre différence. Autant tu pouvais être con comme t'avais pu l'être toute à l'heure, autant la drogue pouvait tout comme l'alcool te faire dire la vérité. Et c'est quelque chose que tu ne lui aurais surement pas dit dans un état plus sobre, mais au moins, elle savait désormais tout ce que tu pouvais éprouver. Tu ne te souviendrais peut être pas de tout ce que tu venais de lui dire demain, mais une chose est sûre, Cassie elle s'en souviendrait. D'ailleurs tout ce que je dis n'a peut être aucun sens vu que je suis complètement défoncé, mais tu sais que les mots ne sortent pas toujours dans le bon ordre dans je suis défoncé. En plus de ça, tu te répètes, et bah on est pas sorti de l'auberge avec un abruti pareil, heureusement que Cassie te connait assez pour te comprendre. En plus de la drogue on y ajoutait la fatigue, alors autant dire que t'étais complètement barré. © 2981 12289 0
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() message posté Jeu 7 Jan 2016 - 17:03 par Invité

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kovu & cassie

tout c'était enchaîner tellement vite. J'aurais voulu le fuir, j'aurais voulu lui dire que je ne voulais plus jamais le voir. que mon père avait raison, que lui et moi n'étions pas fait pour être ensemble et qu'il ne faisait que me détruire. mais je ne pouvait pas. mais je ne voulait surtout pas. depuis ma sortie de cure j'avais changer radicalement de vie, déjà majeur pas, je ne prenais plus drogues ni alcool, j'étais plus clean que je ne l'avais jamais été. mes relations avec les autres évoluaient grâce à cela, quand je me droguais tout ce qui m'importait était cette foutue merde et kovu, personne d'autres. maintenant j'avais quelques nouveaux amis, des amis sains, et puis je cotoyait ma famille de nouveau. mon père se disait très fière de moi et de mon évolution, il disait avoir retrouver sa petite princesse. il n'avait jamais porter kovu dans son coeur, à ses yeux c'était à cause de lui si j'avais commencer la drogue et était partie si loin dans mon délire. ce qui était totalement faux, je me droguais depuis l'âge de quatorze ans et avait rencontrer kovu à seize, il ne m'avait rien appris. il ne m'avais pas non plus calmer, dirons nous. mais ce que mon père ne comprenait pas c'était certainement que j'étais une grande fille désormais, une jeune femme avec ses propres démons. je n'avais pas besoin de kovu ou de personnes pour me détruire, j'y parvenait toujours, même seule. voilà la raison pour laquelle tout à l'heure j'avais tenter de le repousser et de fuir, parce que j'étais faible seule, mais face à lui je craquerais et j'en était complètement consciente. pourtant, je n'avais pas pu le laisser dans la rue et l'avait ramener. et ici, dans ce petit appartement rien que tout les deux je m'étais laisser aller, j'avais arrêter de trop réfléchir et avait laisser mon coeur décider de tout. de mes gestes, de mes paroles, et voilà que je lui avait dit l'aimer, voilà que je le pensais et l'acceptais. et voilà qu'il me suppliais de laisser zola.. sa voix était si suppliante, si douce, si triste, que j'eu malgré moi un pincement au coeur. tout n'était pourtant pas aussi simple, mais alors qu'il prolonge le baiser que je viens de déposer au coin de ses lèvres, je me laisse emporter. je plaque mes mains autour de son visage, l'embrasse avec tendresse et envie. puis je me stop, preuve de plus que je suis et serait éternellement à lui je lui montre de nouveau mon tatouage. celui qu'il connaisais que trop bien, celui qu'il passait des heures à caresser avant. il place sa main dans ma nuque et plaque violemment ma bouche sur la sienne, il me mords légèrement la lèvre et je sent mon corps tout entier vibrer contre le sien. mh, que c'était bon. que ça faisait du bien. ses baisers violents, sa façon qu'il avait de me toucher, de faire ce qu'il voulait de mon corps, de mes lèvres, il rompt le baiser. à cette seconde prêt je n'ai qu'une envie : goûter à ses lèvres de nouveau, je ne pouvais plus m'en passer. je le regarde dans les yeux m'ouvrir son coeur, ses grands yeux noirs face au miens. toutes ses paroles me faisaient tellement de bien, me rendaient tellement heureuse. kovu, il était pas comme ça, quand on le trahissait ou qu'il était en colère il était très dur. têtu, une véritable tête de mule il refusait de s'expliquer. moi, je ne parlais pas sentiments, je détestais ce genre de discutions sérieuses. mais j'aimais quand lui me parlait. j'aimais qu'il m'explique encore et encore à quel point il pouvait m'aimer, me dire et me répété durant des heures que j'étais lui, que je lui appartenait. j'aimais ça, lui appartenir. j'aimais être à lui et l'entendre le dire à haute voix. j'aurais pu rester là des jours entier, à l'écouter, à le contempler, malgré que tout ce qu'il pouvait bien sortir était confus. malgré ses yeux fatigués, il était parfait. tout ce qui sortait de sa bouche me donnait envie de rester collée à lui pour l'éternité et l'aimer comme lui m'aimait. je voulais ressentir ce qu'il ressentais, je voulais l'aimer de façon aussi démesurée. Je pense d'ailleurs que c'était en bonne voie pour.. il expliquait que les mots ne sortaient pas dans le bon ordre vu qu'il était cassé, et je laissait échapper quelques éclats de rire. puis je posait mon index sur ses lèvres, caressant doucement ces dernières du bout des doigts, le sourire sur le visage. j'étais bien. je l'aimais. je voulais que ce moment dure éternellement. « chut, mon amour. » soufflais-je à mi-voix. je détachais mon regard du sien pour regarder ses lèvres, si parfaitement dessinées. c'est ces lèvres là que je voulais embrasser jusque le restant de mes jours, que je voulais sentir sur mon corps. mes mains glissaient avec douceur le long de son visage, de son cou, puis elles se glissaient sous son tshirt. je caressait son ventre, puis son torse de mes petites mains avec tendresse. son corps était tellement chaud, tellement mien. je le connaissais parcoeur, j'adorais ça. kovu se redressait légèrement et je lui retirait ce vêtement innutile. je l'admirait tandis qu'il se laissait de nouveau tomber en arrière, je me mordillais la lèvre. j'avais envie de ne faire qu'un avec lui de nouveau, comme avant, comme toujours. « je le ferait. » lâchais-je alors que mes yeux se reposaient dans les siens. je quitterais zola, je le ferait. « mais n'en parlons plus.. » ajoutais-je doucement. je me penchais en avant et déposait mes lèvres sur son cou, puis jusque son oreille. « fait moi l'amour.. » lui murmurais-je comme si seul lui ne pouvait l'entendre. je ramenais mon visage à la hauteur du sien, je lui sourit légèrement, puis je l'embrassait avec toute l'envie et le désire que je pouvait bien avoir pour lui à cet instant. contrairement à nos précédents baisers échangés dans la soirée cette fois j'ouvrais doucement ma bouche et laissait ma langue aller caresser ses lèvres toute aussi chaudes que le reste de son corps. elle se mit ensuite à jouer avec la sienne en parfaite harmonie. rapidement mon souffle se fit court, mes mains se plaquaient à l'arrière de sa tête où je les resseraient sur ses cheveux plus longs que l'an dernier. ma poitrine restait écrasée contre son torse, mon bassin collé au sien, en temps normal j'étais toujours très frileuse. mais à ce moment précis j'aurais pu jurer que l'appartement était en feu tellement j'avais chaud. par manque de souffle, je me décrochais quelques seconde de sa bouche. « fait moi l'amour, comme avant. je suis à toi. » soufflais-je avec une respiration saccadée.
acidbrain
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() message posté Jeu 7 Jan 2016 - 20:12 par Invité
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
C'est dingue comme la situation avait prit une tournure totalement différente de celle que l'on aurait pu penser. Pour ma part, j'imaginais bien le moment où tu aurais violenté la jeune fille, ne supportant pas qu'elle puisse avoir un "amant" et que cette dernière ne se serait pas laissée faire en te giflant, et en plantant ses ongles dans ta peau, je parle en connaissance de cause bien entendu. Ce n'est pas comme si on ne connaissait pas votre histoire. Cassie et toi êtes loin d'être deux tendres. Disons que vous avez le sang chaud, et il vous était à de nombreuses reprises arrivé de vous foutre sur la gueule, c'est sans doute ce qui explique le pourquoi du comment. Mais allons savoir pourquoi, tu avais réussir à t contenir. Tu devais surtout être tellement surprit de lui faire face, tu ne t'attendais même plus à la revoir. Connaissant son père, il aurait bien été capable de déménager de sorte que vous ne puissiez plus avoir un quelconque contact. Ah il est clair que son géniteur ne pouvait pas te voir en peinture, s'il aurait pu t'anéantir, ou te payer pour quitter la ville, il l'aurait fait. Pourtant ce n'était pas ses moyens qui l'en empêchait, friqué comme il l'était. Quoi qu'il en soit, amoureux comme tu pouvais l'être à l'époque -et comme tu l'es toujours d'ailleurs- tu n'aurais jamais accepté une quelconque sommes d'argent venant de sa part. Il t'était tout simplement inconcevable de quitter ta belle. Tu aurais tout donné pour elle, mais tu n'aurais jamais rien prit pour t'en éloigner. D'ailleurs, si le père O'Cean savait qu'elle t'avait fait venir chez elle ce soir, il aurait surement été capable de commettre un meurtre : le tien, précisément. Le problème c'est que même si tu n'étais pas la meilleure fréquentation qui soit pour sa fille, vous étiez tout deux amoureux l'un de l'autre, et donc rien ni personne ne pourrait vous séparer, quitte à vous voir en secret, à l'abris des regards indiscret. De toutes les façon, tu étais prêt à tout pour pouvoir la voir encore et encore. Même si les choses avaient quelque peu changé entre vous, enfin... C'était un bien grand mot, car très vite on avait justement l'impression que rien n'avait changé. Peut être seulement le statut social de la demoiselle. Et encore, vous pensez vraiment qu'elle aimait ce mec ? Rassures toi Kovu, si vraiment elle aimait ce mec, elle ne se serait jamais comportée de la sorte encore toi, et elle ne t'aurait encore moins avoué ses sentiments à ton égard. Entre nous, si elle avait été prête aujourd'hui à te dire qu'elle t'aimait, alors une chose est sûre, c'est qu'elle ne t'avait jamais oublié. Ce mec est seulement arrivé au moment où elle avait le plus besoin d'affection, et il lui a apporté l'affection dont elle avait besoin, mais te retrouver était sans doute la meilleure chose qui puisse lui arriver, tout comme à toi. Car malgré tout, à cet instant même, tu ressentais tout ce que tu pouvais ressentir auparavant. C'est comme si tu retournais un an en arrière. Tu étais toujours aussi con, toujours aussi défoncé, stone, et elle, elle était toujours aussi belle, la seule chose aujourd'hui c'est que contrairement à toi, elle était clean. Toi ce mot ne te parlais pas. Quoi que, plus le temps passait et plus les effets se dissipaient, jusqu'à la prochaine rail de coke ou jusqu'au prochain joint. D'ailleurs, on sentait bien que les effets se dissipaient car tu étais littéralement fracassé, et ainsi chaque mot qui sortait de ta bouche avait du mal à trouver sa place dans ta phrase. Résultat, ce que tu venais de dire à Cassie était quelque peu confus, mais bon elle t'avait assez pratiqué pour parvenir à te comprendre un minimum. Toujours assise en califourchon sur toi, et tes mains toujours calées derrière sa nuque, tu mourrais d'envie de l'embrasser de nouveau. Elle était ta dépendance. Tu en étais accro. Tu étais accro au son de sa voix, au goût de ses lèvres, à la douceur de sa peau, à son regard si envoûtant, aux courbes de son corps, dont tu mourrais d'envie de redécouvrir, à elle tout simplement. Tu avais de plus en plus de mal à te contenir. Tes envies te rendais complètement barge. Tout ce que tu avais envie, c'était de la retrouver comme avant. De pouvoir la toucher, l'embrasser comme bon te semble. De la marquer. De faire d'elle tienne comme auparavant. Elle ne semblait visiblement pas contre, puisqu'elle te demandait de te taire, en te rappelant comme avant par ces petits surnoms affectifs. Elle reprenait possession de tes lèvres, alors tu l'embrassais avec une telle intensité. Au diable la retenue. Tu te fichais de ce pauvre mec, il ne valait rien face à toi, il ne t'arrivait même pas à la cheville. Tu glissais l'une de tes mains dans sa douche chevelure, tandis que des frissons parcouraient l'intégralité de ton corps. La température de ce dernier commençait à augmenter subitement, tandis que les battements de ton corps se faisaient de plus en plus vite. Sentant surement la chaleur augmenter dans la pièce, Cassie prit l'initiative de venir glisser ses petites mains sous ton tee-shirt enfin de te l'enlever, il valsait alors dans la pièce Désormais torse nu, tu te sentais beaucoup plus libre de tes mouvements et une légère vague de frais envahi ton corps, c'est dingue comme cela faisait du bien un peu de frais dans ces moments là. Seulement très vite, la chaleur prit le dessus de nouveau. Elle te rendait complètement dingue, et l'envie d'elle se faisait de plus en plus présente. Tu la désirais plus que tout, et c'était également le cas de son côté puisqu'elle vint te murmurer au creux de l'oreille de lui faire l'amour. Il ne fallait pas te le dire deux fois. Tu la fis légèrement basculer sur le côté pour te retrouver au dessus d'elle. Tu attrapais ses poignets que tu remontais au dessus de sa tête, et tu l'admirais un instant, tes yeux noirs vinrent se plonger dans les siens plus clairs, elle ne pouvait que voir la flamme qui brulait d'envie dans tes yeux. Tu te mordais légèrement la lèvre inférieur, avant de plonger ta tête dans sa nuque pour lui déposer des baisers, tu relevais légèrement ses cheveux d'une de tes mains tandis que l'autre tenait toujours l'un des poignets de ta belle, et tu te mis à aspirer un peu de peau afin de la marquer avec envie et désir. Le désir te brûlait la peau. Tes mains vinrent ensuite lui ôter son haut que tu lançais en arrière, pour ensuite glisser ses dernières sous son dos, la relevant légèrement, collant par ailleurs sa poitrine contre ton torse pour lui dégrafer son soutien-gorge et le lui enlever également. Tu parsemais par la suite sa poitrine de baisers, jouant avec l'un de ses tétons du bout de la langue. L'envie était tout aussi présente, sinon plus qu'avant, pour la simple et bonne raison que quelques mois vous avez séparé. Et donc les retrouvailles étaient d'autant plus ardentes. Vous ne perdiez pas de temps à vous enlever mutuellement vos vêtements, tant vous aviez envie l'un de l'autre. Tu avais envie de retrouver la sensation de ne faire qu'un avec elle. Tes lèvres se retrouvant désormais qu'à quelques millimètres les unes des autres, Cassie prit soin de briser cette distance, ainsi vous vous embrassiez une nouvelle fois, mais différemment cette fois-ci puisque sa langue vint retrouver la tienne pour entamer une danse endiablée. Tu l'aimais, c'était indéniable, et à cette instant même tu brûlais d'envie de ne faire qu'un avec elle, c'est pourquoi tu la pénétrais enfin en lâchant un souffle de plaisir, c'est ainsi que débutait tes premiers vas-et-viens en elle. Tu commençais alors doucement, tu avais tellement envie d'elle, mais en même temps, tu voulais lui prouver que malgré tout tu pouvais être doux, tu l'avais déjà été mais plus souvent vos rapports étaient assez corsé tant votre amour est aussi passionnel. Ca te faisait un bien fou de la retrouver de la sorte. Tes mains quant à elle se balader le long de son corps, tu redécouvrais chaque parcelles de son corps. Tiens, ton doigt effleurait la fameuse lettre de ton prénom ancré sur sa hanche. Comme le tatouage n'était pas bien vieux, on pouvait sentir le relief sous ta peau. Elle était à toi, bien et bien à toi, et ce pour toujours. Rien ni personne ne pourrait vous séparer, jamais. Etonnemment, tu n'avais eu de rapport avec personne, cela faisait donc presque un an que tu n'avais pas eu de relation physique, c'est comme si tu étais voué à n'être qu'à elle, et uniquement à elle. Il n'y avait qu'avec elle que tu pouvais passer un moment aussi fabuleux et magique, elle était la cause de ce bonheur. Tu espérais seulement une chose : que rien ne changerait demain. Tu n'avais qu'une seule envie, figer le temps, et rester là, heureux, à ses côtés et ce jusqu'à la fin de ta vie. Jusqu'à ce que ton coeur ne cesse de battre. © 2981 12289 0
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() message posté Ven 8 Jan 2016 - 14:13 par Invité

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kovu & cassie

en fait, je pensais plus à rien à ce moment précis. mon père, zola, le reste du monde n'existait tout simplement plus dans mon esprit. tout ce qui restait du monde était cette chambre, ce lit et surtout ce garçon contre moi que j'avais envie d'aimer pour le restant de mes jours. kovu me fit basculer, mon dos heurtais le matelas tandis qu'il se retrouvait à son tour au dessus de moi. il saisie mes poignets et mon corps tout entier commençait à frissonner au contact de sa peau contre la mienne. il laissait ses lèvres glisser dans mon cou et je me mordillais la lévre inférieur en soupirant de plaisir, mon corps semblait être en flammes tellement il brûlait de désir et d'envie. cela faisait plus d'un an que kovu n'avait pas caresser ma peau de la sorte, de ses lèvres, plus d'un an et je n'en pouvais plus d'attendre. je le voulais contre moi, en moi, tout de suite. il avait été le premier garçon avec qui j'avais jamais coucher et à ce jour il restais le seul. il restais le seul homme au monde à jamais m'avoir fait l'amour et j'aimais cette idée. il me fit un suçon dans le cou et je sourit légèrement à ce geste, rapidement il retirait mon haut, puis mon sous-vêtement et je me perdais dans mes soupires alors qu'il portait sa bouche et sa langue à mes seins. je fermais les yeux, appréciant au maximum, mes mains se crispaient alors qu'il les tenais toujours au dessus de ma tête. mon corps tremblait, ma poitrine se levait et descendait du à mon souffle court, mon corps tout entier était recouvert de frissons, ça faisait tellement de bien de me perdre dans ses bras comme avant. quand il ramenais son visage près du mien je ne pu vraiment retenir mes envies et collait ma bouche à la sienne pour l'embrasser langoureusement, mes mains s'étant plaquées à l'arrière de sa tête. nous nous débarassions rapidement de nos derniers moments beaucoup trop pressés pour prendre le temps de le faire calmement. puis sans me prévenir et alors que sa bouche se trouvait encore sur la mienne il me pénétrais. mon souffle se coupait durant quelques secondes et mes mains qui c'étaient descendus sur son dos se crispaient. mes ongles se plantaient légèrement et doucement dans sa peau alors que mon corps se cambrait sous ses premiers mouvements. je détachais mes lèvres des siennes quelques secondes pour laisser échapper quelques gémissements. les yeux ouverts, un large sourire s'affichait sur mon visage alors que je posait mon front contre le sien et le regardais de nouveau dans les yeux. ça faisait tellement de bien, mais pas uniquement le sex, le fait d'être avec lui et de ne former plus qu'une seule personne avec lui. le fait d'être dans les bras de mon premier et seul amour de nouveau. je n'avais pas envie de penser à autre chose qu'à ce moment, je voulais me concentrer sur ce qu'il pouvait bien me faire ressentir à cet instant, je voulais laisser mon corps lui appartenir comme il lui avait toujours appartenu. je déposait mes lèvres sur les siennes avec plus de tendresse, je remontait légèrement mes jambes pour les enroulées autour de sa taille et ainsi l'aider dans ses mouvements qui se faisaient un peu plus rapides et qui me décrochaient des gémissements un peu plus important. mes mains se balladaient sur son corps pour revenir se placer autour de son visage, dans l'action ses cheveux lui retombaient devant les yeux, alors je les ramenait en arrière avec douceur. il était tellement beau, mon dieu ce qu'il pouvait être beau. ce que je pouvait avoir envie de lui. nos corps étaient tellement chauds tout les deux qu'une légère couche de sueur commençait à les envahirs, bordel je crevais de chaud. « je te laisserais plus jamais. plus jamais. » soupirais-je à mi-voix alors que mon front restait collé au sien. je le regardais dans les yeux comme lui faire une promesse que seul lui pouvait comprendre, puis je l'embrassait de nouveau et me rendais compte d'une chose très importante : je l'aimais tellement fort que les mots n'étaient même pas assez forts pour le définir. j'aurais voulu passer littéralement ma vie entière dans ses bras, avec lui. je ne voulais rien faire d'autre de mon temps qu'être à lui, tout le temps et peu importe ce que diront le reste du monde.
acidbrain
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() message posté Jeu 14 Jan 2016 - 18:46 par Invité
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
C'est comme si rien ne s'était passé. Comme si ton overdose n'avait jamais existé. Comme si votre pseudo séparation n'avait jamais eu lieu. Comme si l'année qui venait de s'écouler n'avait jamais fait surface. Vos coeurs étaient liés. C'était indéniable. Vous étiez raide dingues l'un de l'autre, et ça personne ne pourrait vous faire changer d'avis. Elle était tout pour toi. Tu donnerais tout pour elle. Son bonheur avant le tien, ta vie pour la sienne. Tu humais son odeur, bon dieu qu'elle t'avait manqué. Tu la serrais aussi fort que tu le pouvais contre toi. Tu ne voulais plus la lâcher. Tes mains parcouraient son corps, comme si elles le découvraient de nouveau. Rien n'avait jamais. Toujours ses aussi belles formes. Une main vint s'entremêler dans sa chevelure dorée. Ses lèvres sur ta peau te font vibrer. Tu la marques dans le cou avec une telle envie. Tu veux montrer au monde entier qu'elle est à toi, tu veux que le monde entier comprenne qu'elle t'appartient comme tu lui appartiens. Avant de la rencontrer, tu étais loin d'imaginer que c'était possible d'être aussi dépendant d'une personne. Pourtant, toi, tu l'étais indépendant. Mais quand vos regards se sont croisés pour la première fois, c'est comme si tu étais pris au piège. Et que tu étais voué à finir ta vie à ses côtés. Ce qui ne tue pas nous rend plus fort. C'est bel et bien vrai. Regardez-vous ? Regardez les étoiles qui scintillent dans vos yeux. Regardez l'envie qui vous brûle la peau. Ecoutez le rythme de vos coeurs. C'est comme s'ils allaient bondir de vos poitrines. Je crois qu'il n'y a aucun mot qui puisse décrire votre relation. Elle est si particulière. Vous vous aimez d'un amour inconditionnel. D'un amour légendaire. Vous êtes désormais de nouveau liés. Et ce à jamais. A jamais ne cesse-t-elle de te répéter. Tes vas-et-viens en elle se font de plus en plus intenses, La blondinette vient faire danser son bassin contre le sien, t'aidant dans tes mouvements. Les battements de ton coeur s'accélère dû au plaisir intense que vous êtes entrain de vivre, ainsi ta respiration devient saccadée. Tu lui fais l'amour comme si c'était la première fois. Tu pousses des râles de plaisir. Tu poses ton front contre le sien, tandis que vous arrivez au summum du plaisir. Tes lèvres s'emparent des siennes pour un baiser à la fois passionné et fougueux. Le baiser prit fin, et Cassie te regardait droit dans les yeux, prononçant une phrase qui te faisais tellement plaisir. Qui te réchauffait le coeur. Plus jamais, murmures-tu contre ses lèvres, tandis que tu réduis la cadence de tes mouvements pour ensuite sortir et t'allonger à ses côtés. A cet instant même, tu avais la sensation d'être heureux, et rien ni personne ne pourrait briser ce moment de bonheur. Cela faisait longtemps que tu n'avais pas ressenti tous ces sentiments à la fois. C'est comme si elle était parvenue à raviver la flamme qui s'était éteinte à l'intérieur, c'est comme si tu étais entrain de revivre. Tu passais tes bras autour d'elle pour la serrer fort contre toi. Tu vins l'embrasser sur le front. Tu m'as tellement manqué, parvins-tu à murmurer bien que tu sois quelque peu essoufflé. Tu fermais les yeux, dans le but d'apprécier le moment qui s'offrait à toi. Une chose était désormais sûre: les seuls moments où tu parvenais à être heureux étaient ceux où tu étais auprès de ta blonde.© 2981 12289 0
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() message posté Dim 17 Jan 2016 - 20:23 par Invité

you made me mad.
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kovu & cassie

je m'étais perdue dans ses bras, abdonnée à cet amour passionnel qui faisait vivre une multitudes de frissons dans mon corps entier, de la tête aux pieds. rien au monde ne pouvait me faire me sentir mieux, ne pouvait me faire sentir plus aimer qu'être dans les bras de kovu. sentir ses mains sur moi était à chaque fois une bouffée de bonheur, de plaisir si intense que j'aurais voulu ce sentiment éternel. ses mouvements se faisaient plus rapides, plus profonds, plus intense et je gémissait de plaisir, perdant le contrôle de mon propre corps à chacun de ses coups de reins. mes ongles se plantaient légèrement dans son dos, lui laissant quelques griffures qui dureront quelques jours. avant ça, avant tout ça jamais le dos de kovu ne pouvait être lisse. chaque jour, nos ébats fougueux me faisait tellement de bien que de nouvelles marques s'affichaient sur sa peau, signe qu'en gros il faisait bien son boulot. en réalité je n'avais jamais coucher avec un autre garçon dans ma vie que lui, seul lui avait goûter à mon corps et je n'avais goûter qu'au sien. je ne m'en plaignais pas, à mes yeux aucun autre homme au monde ne pourrait me procurer autant de plaisir que lui, si pour le restant de mes jours je ne devait donner mon corps qu'à un seul homme se serait lui, lui sans aucune hésitation. il connaissait quel endroit caresser, où poser ses lèvres pour m'embrasser, le rythme pour me rendre folle. il plaquais son front contre le mien et ses derniers mouvements m'arrachaient un cris de plaisir rapidement étouffer contre les lèvres de kovu qui m'embrassait avec envie. je répondis à ce baiser, tandis que mes lèvres étaient pendues aux siennes une vague de plaisir me submergeais entièrement, ça faisait tellement de bien que je mordais la lèvre inférieure de kovu assez fortement. je n'avais aucune idée de comment j'avais réussi à tenir plus d'un an sans ça. le sex faisait parti de notre quotidien, presque chaque jour il y avait une dispute qui se terminait en partie de jambes en l'air. aujourd'hui n'échappait pas à la règle. un large sourire s'affichait sur mon visage quand finalement il relâchais mes lèvres et se retirait pour s'allonger à côté, je tentais de reprendre un rythme cardiaque normal et une respiration tout aussi normale, ce sourire béa ne quittait pas mon visage alors qu'il glissait ses bras autour de moi et me confiait que je lui avait manquer. je déposait mes lèvres sur son torse et lui fit à cet endroit un baiser humide, replaçant quelques méches de cheveux rebelles en arrière, je me mise ensuite à caresser son torse du bout des doigts. « mhh, je te quitte plus désormais. » je déposait à nouveau mes lèvres sur sa peau, remontant par la suite d'un geste rapide sur son cou, puis sa joue pour enfin attraper ses lèvres avec amour. je me redressait ensuite, relevant en même temps un drap sur nous et m'installait à califourchon au dessus de lui. « en fait j'ai penser que.. » je me penchais pour coller ma bouche à la sienne. « mhh.. que tu pourrait venir t'installer.. » lâchais-je entre deux baisers avant de l'embrasser de nouveau puis finit par terminé ma phrase. « ici avec moi. » je le regardais ensuite avec attention, penchant ma tête sur le côté pour ne rien rater de sa réaction. « je sais qu'on vient de se retrouver, mais je veux pas passer une seconde sans toi kovu. plus jamais. » je lui sourit, sincère comme jamais. à vrai dire je n'avais jamais prononcer de telles paroles envers lui, je ne m'étais jamais aussi ouverte à quelqu'un. « je veux me réveiller le matin dans tes bras, et m'endormir le soir avec ton joli visage en face du mien. je veux que tu me cuisine des gauffres le matin, même si tu les rate comme tu le faisait avant. » je ris doucement, posant mes mains dans ses cheveux que je plaçait avec douceur en arrière. « je veux que tu me fasse l'amour dans ce lit, tout les soirs. » je frôlais ses lèvres, sans quitter ses yeux. « je veux qu'on fasse notre vie ensemble, kovu stewart. toi et moi, pour toujours. » je sais pas trop ce qui me prenait, un élan d'amour et de positivité, mais je savais que si on le voulait on le pouvait. il était l'homme de ma vie et je voulait changer pour lui, je voulait qu'il change pour moi aussi. voilà pourquoi je passait doucement mes mains sur l'intérieur de ses bras, les traces de piqûres et je pris un air un peu plus sérieux. « et je veux que tu arrête cette merde. que tu ne te drogue plus qu'à moi.. »
acidbrain
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() message posté Dim 17 Jan 2016 - 23:05 par Invité
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
Sentir sa peau brûlante contre la tienne te provoquer un bien fou. Ses lèvres sur ta peau te provoquer une multitude de frissons. Pour la première fois depuis un an, tu te sentais revivre. Tu te sentais bien, t'avais la sensation d'être heureux. Il n'y avait rien de plus beau que de ne faire qu'un avec l'être aimé. Cela faisait tellement longtemps que tu avais attendu ce moment, celui de la retrouver. Durant tout ce temps, c'est comme si tu t'étais éteint, mais il n'avait fallu qu'un baiser de sa part pour raviver cette flamme en toi. Tes mouvements en elle se faisait de plus en plus intense, tandis que tes mains quant à elles parcouraient tout son corps, ne manquant pas une seule parcelle de ce dernier. C'est dingue comme elle était la seule à pouvoir te faire passer par tant d'émotion. Elle était ce pansement qui pouvait guérir toutes tes blessures, ce médicament qui pouvait soigner n'importe quelles maladies, cette drogue qui pouvait te faire tout oublier. Ton monde tournait autour du sien. Elle était ton pilier. Ta drogue. La prunelle de tes yeux. Ton repère. Ton monde tout simplement. Tandis que tu humais son odeur, tes lèvres vinrent se poser sur son cou, l'embrassant par-ci, par-là. Tu avais envie de crier à la terre entière qu'elle était tienne. Qu'elle était la femme de ta vie. Elle était ton premier amour, ta première fois, et elle serait ton dernier amour et ta dernière fois, ton dernier baiser, tes dernières caresses, tes derniers battements de coeur et tes dernières pensées. Désormais allongé à ses côtés, tentant en vain de reprendre ton souffle, tu l'entourais de tes bras musclés et marqué à la fois de cicatrices dû aux nombreuses scarifications, mais également aux piqûres d'aiguilles. Tu étais complètement malade. Tu la serrais alors aussi fort que tu le pouvais, comme si quelqu'un s'apprêtait à te l'arracher. Ton front collé au sien, tu ne pus te retenir de lui lâcher quelques murmures dans un essoufflement. Dû à tes problèmes de coeur, tu avais un peu de mal à reprendre rapidement ton souffle. C'est pour cette raison que tu fermais un instant les yeux pour essayer de te poser. Tes cachets. Tes fichus cachets, voilà que tu les avais encore oublié, pour pas changer. Le bout de ses doigts vinrent gambader sur ton torse découvert, ce qui eu pour effet de te faire dresser les poils le long de ton coeur, ah les frissons ne cessaient de te trahir. C'était quelque chose dont tu n'étais pas capable de contrôler. Aujourd'hui et pour l'une des rares fois depuis que tu la connaissais tu avais l'impression qu'elle s'ouvrait enfin à toi. Comme si elle avait enfin réaliser qu'elle ne pouvait clairement pas faire sa vie sans que tu en fasses parti. Et tu étais heureux de savoir que c'était réciproque, tu avais besoin de ça, après ce que tu avais vu. Tu l'aimais tellement que tu lui avais déjà pardonné cette incartade. Tu aurais pu lui pardonner n'importe quoi finalement du moment que c'était toi qu'elle aimait. Tout ce qu'elle pouvait te dire te faisait le plus grand bien, et ne cessait de te faire réaliser ô combien tu étais sûr d'une chose, que c'était elle et pas une autre. Que si le destin l'avait placé sur ton chemin, ce n'était pas pour rien. Pourtant, lors de votre rencontre, rien ne laissait présager un tel futur pour vous deux, pour la simple et bonne raison qu'entre vous cela à très mal commencé, d'autant plus que vous étiez tellement différents, tu étais le pauvre type, tandis qu'elle était la petite princesse. Tu étais la bête et elle était la belle. Avec le décor échangé. Elle vivant dans ce magnifique château avec son père, et sa mère, père qui au passage ne pouvait pas te sentir. Tandis que tu étais cette bête vivant dans cette petite cabane en bois, t'éclairant avec la flamme de ton briquet. Et pourtant, ne dit-on pas que les contraires s'attirent ? Vous en êtes la preuve formelle. Ses lèvres dans ton cou vinrent te sortir de tes rêveries. Elle se plaçait ensuite en califourchon sur toi, et tout te faisant une proposition, cette dernière était pendue à tes lèvres. Tu appréciais chacun de ses baisers, remontant l'une de tes mains jusque dans sa chevelure dorée, que tu prenais soin de caresser délicatement, en faisant attention à ne pas lui tirer les cheveux. Tu essayais de te remettre les idées en place, et de remettre en ordre tout ce qu'elle venait de te dire, tu buvais ses paroles. Et lorsque tu parvenais enfin à tout remettre en ordre, tu réalisais qu'elle venait de te demander de venir vivre chez elle. Elle semblait si sûre d'elle. Tu faisais glisser l'une de tes mains sur sa joue, tandis que ton regard se perdait dans le sien. Tu... Tu es sûre de vouloir vivre avec moi ? la questionnes-tu. Tu sais combien tu es loin d'être facile à vivre. Vivre avec elle ? Ca serait ton plus grand bonheur, qu'elle soit ta dernière vision le soir avant de t'endormir et ta première le matin au réveil. De pouvoir t'endormir avec elle dans tes bras, de pouvoir être avec elle pratiquement tout le temps. Au final, c'est ce que vous avez toujours voulu, vivre ensembles, faire votre vie ensembles, ce n'est pas comme si ça serait la première fois, seulement là, ça serait un environnement plus propre, plus sain contrairement au squat dans lequel vous avez déjà vécu, ou encore dans celui que tu vis actuellement. C'est comme si s'était un nouveau départ. Une fois dans ta vie, ne gâches pas cette chance de pouvoir débuter une vie stable, avec la femme que tu aimes. Rien ne me ferais plus plaisir que de me réveiller chaque matin à tes côtés, de te préparer tes gaufres ratées, et d'aller chercher de la viennoiserie en compensation, de pouvoir t'embrasser quand bon me semble dis-tu avant d'attirer son visage près du tien pour lui dérober un baiser, tu te mordillais par la suite la lèvre inférieur. prendre ma douche avec toi, te démêler les cheveux après chaque shampoing, te faire des papouilles pour t'endormir, te faire des pancakes tartinés au nutella à trois heures du matin, ajoutes-tu avec autant de sincérité. Ta lucidité était enfin de retour, tu réalisais alors que ce n'était pas un rêve tout ça. Pourtant tu n'avais pas encore dormi, et tu étais mort de fatigue, mais tu voulais tout simplement la retrouver, comme avant, avant de pouvoir être sûr de t'endormir sereinement. Cependant, cette dernière t'évoquais quelque chose qui te stoppa net. Tu te redressais alors légèrement, tournant la tête légèrement sur le côté. Arrêter la drogue ? C'était bien trop compliqué. Ce que tu me demandes, je peux pas t'en faire la promesse, je suis qu'un faible, je suis qu'une merde, pas même une overdose m'a permit d'arrêter, pas même cette cure de désintoxe, j'y arrive pas Cassie, je n'y arriverais jamais... Tu avais peur, peur qu'elle revienne sur sa décision, qu'elle t'en veuille, qu'elle ne veuille plus de toi. Tu avais peur une fois de plus de tout briser. Tu sais bien que la drogue qui circule dans mes veines et alimente mon coeur c'est toi, mais ce que tu me demandes, d'arrêter l'autre merde... J'ai peur de ne pas pouvoir tenir ma promesse. Tu sais que la seule promesse que je peux tenir, c'est celle de t'aimer comme un dingue et ce jusqu'à la fin de ma vie, le reste je ne suis pas, tu sais pertinemment que je ne suis qu'un incapable. Manque de confiance en toi, en gros manque de confiance en toi. Tu avais du mal à imaginer que tu puisses devenir une bonne personne. Tu étais loin d'être tout ce dont tu pensais de toi. Tu étais bien plus intelligent que ce que tu pouvais penser. Tu savais parler correctement, tu avais d'énormes connaissances. Si tu te donnais la peine d'essayer, si tu te donnais les moyens d'essayer, je suis sûre que tu pourrais devenir quelqu'un de bien. Mais pour ça, il faudrait que tu te files un coup de pied au cul, et que tu essais. Tu n'as rien à perdre. Seulement te prouver le contraire de ce que tu peux penser de toi, depuis bien des années maintenant. C'est le moment ou jamais de te donner une chance d'y arriver, de te donner une chance de prendre un nouveau départ. © 2981 12289 0
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() message posté Jeu 21 Jan 2016 - 13:04 par Invité

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love isn't supposed to do that.
kovu & cassie

c'était peut être précipité, on ne faisait que se retrouver. notre relation n'était clairement pas des plus calmes, pourtant j'y croyais déjà. je voulais une nouvelle vie, un nouveau départ. je tenais à zola et il m'avait beaucoup aider, mais la vérité était là : c'est kovu que j'aimais. c'est kovu que j'aimerais éternellement et avec lui que je voulais faire ma vie. lui avec qui je voulais me réveiller tout les matins, lui que je voulais à mes côtés jusque la fin. lui et moi, pour toujours. il me demandais si j'étais sûre de moi, après toutes mes paroles il était plutôt évident que oui. certes, c'était une décision prise sur un coup de tête, mais je savais que si l'on s'en donnait les moyens on pouvait réussir. mes mains placées autour de son visage l'y caresser doucement, je replaçait avec douceur quelques petites méches rebelles en arrière, me mordillant la lèvre. quand il répondait positivement, je ne pu réprimer un large sourire et le laissait alors embrasser mes lèvres, un long frisson prit possession de mon corps quand il me mordait la lèvre inférieure, je laissait échapper un léger gémissement alors qu'à son tour il me fit par de tout ce qu'il voulait vivre avec moi, tout ses moments qui semblaient annodins et qui pourtant me remplissaient de bonheur, j'enfouis mes doigts dans ses cheveux et me retenait de ne pas coller ma bouche à la sienne de nouveau, tellement heureuse, euphorique de cette nouvelle vie qui nous était ouverte. j'avais hâte, hâte de vivre tout ça, hâte d'être heureuse de nouveau dans ses bras, comme avant. enfin, presque. je ne voulais plus de disputes, plus de cris, plus de drogue. je savais que l'on pouvait être bien sans ça, rien que tout les deux. les yeux plantés dans les siens je le fixait attentivement après lui avoir demander d'arrêter de se droguer, son comportement changea de suite et un pincement au coeur se fit ressentir quand il se redressait pour tourner le visage sur le côté. je restais là, les mains dans le vide que je finit par laisser tomber sur le matelas. je l'écoutait alors me dire qu'il n'en était pas capable, qu'il ne pourrait pas ce passer de ça, je bougeais ma tête de gauche à droite à ses paroles parce que je savais qu'il pouvait le faire. je savais qu'il était plus fort que ce qu'il pouvait bien penser, qu'il pouvait y arriver, pour lui, pour moi, pour nous. je me redressait à mon tour, je posais de nouveau mes mains autour de son visage et le forçait ainsi à me faire face, à me regarder. je plongeais mon regard dans le sien avec tendresse, je caressait ses joues. je penchais doucement ma tête sur le côté, puis après quelques secondes je plaquais mes lèvres sur les siennes et l'embrassait avec douceur, mettant tout l'amour que j'avait à son égard dans ce baiser qui fut bien trop bref à mon goût, mais je reculais à peine mon visage pour admirer ses yeux de nouveau. ses beaux et grands yeux noirs, ceux qui me faisaient craquer depuis des années maintenant, j'admirait sa beauté, sa fragilité. oui, kovu était fragile, et c'est cette fragilité qui me faisait l'aimer d'avantages. parce qu'il pouvait aussi être fort, il pouvait se surpasser, il n'y croyais simplement pas et personne n'avait jamais vraiment cru en lui. personne à l'exception de moi. j'avais toujours penser qu'un jour il ferait de grandes choses, je n'avais jamais cesser de le penser et c'était toujours le cas. de plus, désormais je voulais qu'il le fasse pour nous, parce que je l'aimais et s'il continuait la drogue je ne pourrait pas rester avec lui.. je ne pouvait pas ruiner tout les efforts que j'avais fait.  « je n'ai jamais aimer personne comme ça, kovu. je n'ai jamais imaginer vivre ma vie avec quelqu'un d'autre. finir ma vie vielle, dans les bras d'un garçon que j'aurais aimer de toutes mes forces et après avoir vécu une existence entière à ses côtés. personne dans ce monde ne m'a jamais entendu lui dire "je t'aime".. personne excepté toi. » l'une de mes mains glissait le long de son visage et vient caresser du bout des doigts ses lèvres, d'une voix douce je continuais doucement :  « je veut qu'on soit ensemble pour toujours, comme un véritable petit couple niais à souhait, j'aurais jamais cru dire ça un jour, mais tu es l'homme de ma vie. mon grand amour. s'il te plaît ne fuit pas ça.. n'empêche pas ça.. » je collais mon front au sien, fermait un instant les yeux et murmurais :  « je sais que tu es fort. je sais que tu peut le faire kovu. je sais que tu peux arrêter mon amour, pour moi. pour nous.. je t'en prit, laisse nous une chance.. »
acidbrain
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