(✰) message posté Mar 5 Jan 2016 - 22:53 par Invité
you made me mad. love isn't supposed to do that.
kovu & cassie
J'avais plus vraiment envie de me prendre la tête. Pas ce soir du moins, j'étais crevée, fatiguée et lassée de me torturer l'esprit. Maintenant, j'avais simplement l'envie de m'allonger près de lui et doucement me laisser emporter par Morphée dans son monde de rêves, mon corps collé à celui de l'homme que j'aime, que j'ai aimer comme une folle et aimerait jusqu'au restant de ma vie. D'ailleurs, ses quelques mots, ce "je t'aime" m'avait glisser des lèvres sans que je ne puisse le retenir, je n'avais pas vraiment essayer en même temps. A quoi bon lutter, me retenir, je le ressentais et il le ressentait également. Kovu m'avait déjà avouer ses sentiments, deux fois durant il avait prononcer à mon intention ses douces paroles, et deux fois durant j'étais restée là sans rien y répondre. Pas parce que je ne l'aimais pas autant, parce qu'il était évident que je l'aimais tout autant, mais simplement parce que je n'avais de toute ma vie durant prononcer ses mots là et je savais donc parfaitement que le jour où je le ferait il n'y aurait pas de retour en arrière, une fois dis on ne pouvait pas les reprendre. C'est cette permanence qui m'avait fait peur, mais ce soir j'avais surmonter cette peur et lui avait souffler ses mots doux à l'oreille dans l'espoir qu'ils le berçent dans son sommeil et qu'ainsi il les oublies aussi vite qu'il les avait entendus. Malheureusement, c'était Kovu dont nous parlions. Je continuais de caresser son torse avec tendresse quand il se mit à parler, à me demander pourquoi je lui disait maintenant et ce qu'il en était de "lui" en faisant référence à Zola. Il gardait les yeux clos et je ne cessait mon geste de douceur sur son corps tout en le regardant. Je fixait son visage fatigué, il était toujours aussi beau. J'eu envie de l'embrasser de nouveau. Les quelques secondes accrochée à ses lèvres tout à l'heure n'avaient clairement pas été suffisantes, il m'en fallait plus, j'avais besoin de plus. Ma main remontais son chemin le long de son torse jusque son visage, sans gêne aucune je balladais la pointe de mes doigts sur sa peau de bébé, sur son menton, ses lèvres que je frolais en sentant des frissons envahir mon corps tout entier. Puis ses joues, pour finir sa course dans ses cheveux que je replaçait correctement en arrière sans le quitter du regard. Il continuait de parler en me disant que je ne pouvait pas tout avoir, que c'était lui et Zola. Je pris ces paroles comme une sorte d'ultimatum, c'était censé me faire mal, mais non. Je pense que venant de Zola, je me serais mise en colère, mais c'était Kovu et Kovu avait tout les droits de dire de ce genre de choses. Je pris une légère inspiration. « Je ne l'aimerais jamais comme je t'aime. » Lui avouais-je alors. C'était la triste vérité, je le savais, pourquoi mentir ? Je me redressait afin de m'installer à califourchon au dessus de lui, une jambe de chaque côté de son corps en prenant soin de ne pas lui faire mal. Une fois cela fait, je plaquais mes paumes de mains sur son torse et il ouvrait doucement les yeux. A ce moment, j'attrapais son regard avec le mien. « Je finirait ma vie avec toi, je sais ça. Tout les deux contre le monde entier, dans un squat après une trop grosse dose de défonce. Toi et moi, pour toujours. » Je me penchais en avant, déposant un baiser tendre sur le coin de ses lèvres et murmurant : « Tu sais que je suis à toi, entièrement.. A jamais.. » Je déposais mes lèvres sur les siennes de nouveau, avec tendresse et envie, mes mains sur ses joues et ma poitrine écrasée contre son torse. Il devait être perdu et je ne l'en blâmais pas, mais je suivait mes envies, mes émotions, mon coeur pour la première fois de ma vie. Il devait me laisser faire. Je me détachais difficilement de ses lèvres, me redressait en me mordillant doucement la lèvre inférieur. « Regarde.. » J'attrapait sa main, relevait légèrement mon haut de ma main libre et plaçait ses doigts sur ma hanche droite, là où une petite lettre noir était tatouée. Un "K" en lettre majuscule. Kovu. Pour toujours. Je me l'étais fait tatouée le soir même où j'avais quitter la maison de mes parents pour m'enfuir avec lui, il était venu avec moi, j'avais souffert, mais j'adorais cette marque sur ma peau. Je voulais qu'il se souvienne d'à quel point nous étions heureux là, qu'il se souvienne que je n'avais peut être jamais été capable de lui dire les mots qu'il attendait à l'époque, mais que je ne me faisait pas tatoué la première lettre du prénom du premier venu sur la peau. Je reposais de nouveau mon regard dans le sien et lui souris légèrement. « Je suis à toi, Kovu. Pour toujours à toi. »
acidbrain
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(✰) message posté Mer 6 Jan 2016 - 22:40 par Invité
(✰) message posté Jeu 7 Jan 2016 - 17:03 par Invité
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kovu & cassie
tout c'était enchaîner tellement vite. J'aurais voulu le fuir, j'aurais voulu lui dire que je ne voulais plus jamais le voir. que mon père avait raison, que lui et moi n'étions pas fait pour être ensemble et qu'il ne faisait que me détruire. mais je ne pouvait pas. mais je ne voulait surtout pas. depuis ma sortie de cure j'avais changer radicalement de vie, déjà majeur pas, je ne prenais plus drogues ni alcool, j'étais plus clean que je ne l'avais jamais été. mes relations avec les autres évoluaient grâce à cela, quand je me droguais tout ce qui m'importait était cette foutue merde et kovu, personne d'autres. maintenant j'avais quelques nouveaux amis, des amis sains, et puis je cotoyait ma famille de nouveau. mon père se disait très fière de moi et de mon évolution, il disait avoir retrouver sa petite princesse. il n'avait jamais porter kovu dans son coeur, à ses yeux c'était à cause de lui si j'avais commencer la drogue et était partie si loin dans mon délire. ce qui était totalement faux, je me droguais depuis l'âge de quatorze ans et avait rencontrer kovu à seize, il ne m'avait rien appris. il ne m'avais pas non plus calmer, dirons nous. mais ce que mon père ne comprenait pas c'était certainement que j'étais une grande fille désormais, une jeune femme avec ses propres démons. je n'avais pas besoin de kovu ou de personnes pour me détruire, j'y parvenait toujours, même seule. voilà la raison pour laquelle tout à l'heure j'avais tenter de le repousser et de fuir, parce que j'étais faible seule, mais face à lui je craquerais et j'en était complètement consciente. pourtant, je n'avais pas pu le laisser dans la rue et l'avait ramener. et ici, dans ce petit appartement rien que tout les deux je m'étais laisser aller, j'avais arrêter de trop réfléchir et avait laisser mon coeur décider de tout. de mes gestes, de mes paroles, et voilà que je lui avait dit l'aimer, voilà que je le pensais et l'acceptais. et voilà qu'il me suppliais de laisser zola.. sa voix était si suppliante, si douce, si triste, que j'eu malgré moi un pincement au coeur. tout n'était pourtant pas aussi simple, mais alors qu'il prolonge le baiser que je viens de déposer au coin de ses lèvres, je me laisse emporter. je plaque mes mains autour de son visage, l'embrasse avec tendresse et envie. puis je me stop, preuve de plus que je suis et serait éternellement à lui je lui montre de nouveau mon tatouage. celui qu'il connaisais que trop bien, celui qu'il passait des heures à caresser avant. il place sa main dans ma nuque et plaque violemment ma bouche sur la sienne, il me mords légèrement la lèvre et je sent mon corps tout entier vibrer contre le sien. mh, que c'était bon. que ça faisait du bien. ses baisers violents, sa façon qu'il avait de me toucher, de faire ce qu'il voulait de mon corps, de mes lèvres, il rompt le baiser. à cette seconde prêt je n'ai qu'une envie : goûter à ses lèvres de nouveau, je ne pouvais plus m'en passer. je le regarde dans les yeux m'ouvrir son coeur, ses grands yeux noirs face au miens. toutes ses paroles me faisaient tellement de bien, me rendaient tellement heureuse. kovu, il était pas comme ça, quand on le trahissait ou qu'il était en colère il était très dur. têtu, une véritable tête de mule il refusait de s'expliquer. moi, je ne parlais pas sentiments, je détestais ce genre de discutions sérieuses. mais j'aimais quand lui me parlait. j'aimais qu'il m'explique encore et encore à quel point il pouvait m'aimer, me dire et me répété durant des heures que j'étais lui, que je lui appartenait. j'aimais ça, lui appartenir. j'aimais être à lui et l'entendre le dire à haute voix. j'aurais pu rester là des jours entier, à l'écouter, à le contempler, malgré que tout ce qu'il pouvait bien sortir était confus. malgré ses yeux fatigués, il était parfait. tout ce qui sortait de sa bouche me donnait envie de rester collée à lui pour l'éternité et l'aimer comme lui m'aimait. je voulais ressentir ce qu'il ressentais, je voulais l'aimer de façon aussi démesurée. Je pense d'ailleurs que c'était en bonne voie pour.. il expliquait que les mots ne sortaient pas dans le bon ordre vu qu'il était cassé, et je laissait échapper quelques éclats de rire. puis je posait mon index sur ses lèvres, caressant doucement ces dernières du bout des doigts, le sourire sur le visage. j'étais bien. je l'aimais. je voulais que ce moment dure éternellement. « chut, mon amour. » soufflais-je à mi-voix. je détachais mon regard du sien pour regarder ses lèvres, si parfaitement dessinées. c'est ces lèvres là que je voulais embrasser jusque le restant de mes jours, que je voulais sentir sur mon corps. mes mains glissaient avec douceur le long de son visage, de son cou, puis elles se glissaient sous son tshirt. je caressait son ventre, puis son torse de mes petites mains avec tendresse. son corps était tellement chaud, tellement mien. je le connaissais parcoeur, j'adorais ça. kovu se redressait légèrement et je lui retirait ce vêtement innutile. je l'admirait tandis qu'il se laissait de nouveau tomber en arrière, je me mordillais la lèvre. j'avais envie de ne faire qu'un avec lui de nouveau, comme avant, comme toujours. « je le ferait. » lâchais-je alors que mes yeux se reposaient dans les siens. je quitterais zola, je le ferait. « mais n'en parlons plus.. » ajoutais-je doucement. je me penchais en avant et déposait mes lèvres sur son cou, puis jusque son oreille. « fait moi l'amour.. » lui murmurais-je comme si seul lui ne pouvait l'entendre. je ramenais mon visage à la hauteur du sien, je lui sourit légèrement, puis je l'embrassait avec toute l'envie et le désire que je pouvait bien avoir pour lui à cet instant. contrairement à nos précédents baisers échangés dans la soirée cette fois j'ouvrais doucement ma bouche et laissait ma langue aller caresser ses lèvres toute aussi chaudes que le reste de son corps. elle se mit ensuite à jouer avec la sienne en parfaite harmonie. rapidement mon souffle se fit court, mes mains se plaquaient à l'arrière de sa tête où je les resseraient sur ses cheveux plus longs que l'an dernier. ma poitrine restait écrasée contre son torse, mon bassin collé au sien, en temps normal j'étais toujours très frileuse. mais à ce moment précis j'aurais pu jurer que l'appartement était en feu tellement j'avais chaud. par manque de souffle, je me décrochais quelques seconde de sa bouche. « fait moi l'amour, comme avant. je suis à toi. » soufflais-je avec une respiration saccadée.
acidbrain
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(✰) message posté Jeu 7 Jan 2016 - 20:12 par Invité
(✰) message posté Ven 8 Jan 2016 - 14:13 par Invité
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kovu & cassie
en fait, je pensais plus à rien à ce moment précis. mon père, zola, le reste du monde n'existait tout simplement plus dans mon esprit. tout ce qui restait du monde était cette chambre, ce lit et surtout ce garçon contre moi que j'avais envie d'aimer pour le restant de mes jours. kovu me fit basculer, mon dos heurtais le matelas tandis qu'il se retrouvait à son tour au dessus de moi. il saisie mes poignets et mon corps tout entier commençait à frissonner au contact de sa peau contre la mienne. il laissait ses lèvres glisser dans mon cou et je me mordillais la lévre inférieur en soupirant de plaisir, mon corps semblait être en flammes tellement il brûlait de désir et d'envie. cela faisait plus d'un an que kovu n'avait pas caresser ma peau de la sorte, de ses lèvres, plus d'un an et je n'en pouvais plus d'attendre. je le voulais contre moi, en moi, tout de suite. il avait été le premier garçon avec qui j'avais jamais coucher et à ce jour il restais le seul. il restais le seul homme au monde à jamais m'avoir fait l'amour et j'aimais cette idée. il me fit un suçon dans le cou et je sourit légèrement à ce geste, rapidement il retirait mon haut, puis mon sous-vêtement et je me perdais dans mes soupires alors qu'il portait sa bouche et sa langue à mes seins. je fermais les yeux, appréciant au maximum, mes mains se crispaient alors qu'il les tenais toujours au dessus de ma tête. mon corps tremblait, ma poitrine se levait et descendait du à mon souffle court, mon corps tout entier était recouvert de frissons, ça faisait tellement de bien de me perdre dans ses bras comme avant. quand il ramenais son visage près du mien je ne pu vraiment retenir mes envies et collait ma bouche à la sienne pour l'embrasser langoureusement, mes mains s'étant plaquées à l'arrière de sa tête. nous nous débarassions rapidement de nos derniers moments beaucoup trop pressés pour prendre le temps de le faire calmement. puis sans me prévenir et alors que sa bouche se trouvait encore sur la mienne il me pénétrais. mon souffle se coupait durant quelques secondes et mes mains qui c'étaient descendus sur son dos se crispaient. mes ongles se plantaient légèrement et doucement dans sa peau alors que mon corps se cambrait sous ses premiers mouvements. je détachais mes lèvres des siennes quelques secondes pour laisser échapper quelques gémissements. les yeux ouverts, un large sourire s'affichait sur mon visage alors que je posait mon front contre le sien et le regardais de nouveau dans les yeux. ça faisait tellement de bien, mais pas uniquement le sex, le fait d'être avec lui et de ne former plus qu'une seule personne avec lui. le fait d'être dans les bras de mon premier et seul amour de nouveau. je n'avais pas envie de penser à autre chose qu'à ce moment, je voulais me concentrer sur ce qu'il pouvait bien me faire ressentir à cet instant, je voulais laisser mon corps lui appartenir comme il lui avait toujours appartenu. je déposait mes lèvres sur les siennes avec plus de tendresse, je remontait légèrement mes jambes pour les enroulées autour de sa taille et ainsi l'aider dans ses mouvements qui se faisaient un peu plus rapides et qui me décrochaient des gémissements un peu plus important. mes mains se balladaient sur son corps pour revenir se placer autour de son visage, dans l'action ses cheveux lui retombaient devant les yeux, alors je les ramenait en arrière avec douceur. il était tellement beau, mon dieu ce qu'il pouvait être beau. ce que je pouvait avoir envie de lui. nos corps étaient tellement chauds tout les deux qu'une légère couche de sueur commençait à les envahirs, bordel je crevais de chaud. « je te laisserais plus jamais. plus jamais. » soupirais-je à mi-voix alors que mon front restait collé au sien. je le regardais dans les yeux comme lui faire une promesse que seul lui pouvait comprendre, puis je l'embrassait de nouveau et me rendais compte d'une chose très importante : je l'aimais tellement fort que les mots n'étaient même pas assez forts pour le définir. j'aurais voulu passer littéralement ma vie entière dans ses bras, avec lui. je ne voulais rien faire d'autre de mon temps qu'être à lui, tout le temps et peu importe ce que diront le reste du monde.
acidbrain
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(✰) message posté Jeu 14 Jan 2016 - 18:46 par Invité
(✰) message posté Dim 17 Jan 2016 - 20:23 par Invité
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kovu & cassie
je m'étais perdue dans ses bras, abdonnée à cet amour passionnel qui faisait vivre une multitudes de frissons dans mon corps entier, de la tête aux pieds. rien au monde ne pouvait me faire me sentir mieux, ne pouvait me faire sentir plus aimer qu'être dans les bras de kovu. sentir ses mains sur moi était à chaque fois une bouffée de bonheur, de plaisir si intense que j'aurais voulu ce sentiment éternel. ses mouvements se faisaient plus rapides, plus profonds, plus intense et je gémissait de plaisir, perdant le contrôle de mon propre corps à chacun de ses coups de reins. mes ongles se plantaient légèrement dans son dos, lui laissant quelques griffures qui dureront quelques jours. avant ça, avant tout ça jamais le dos de kovu ne pouvait être lisse. chaque jour, nos ébats fougueux me faisait tellement de bien que de nouvelles marques s'affichaient sur sa peau, signe qu'en gros il faisait bien son boulot. en réalité je n'avais jamais coucher avec un autre garçon dans ma vie que lui, seul lui avait goûter à mon corps et je n'avais goûter qu'au sien. je ne m'en plaignais pas, à mes yeux aucun autre homme au monde ne pourrait me procurer autant de plaisir que lui, si pour le restant de mes jours je ne devait donner mon corps qu'à un seul homme se serait lui, lui sans aucune hésitation. il connaissait quel endroit caresser, où poser ses lèvres pour m'embrasser, le rythme pour me rendre folle. il plaquais son front contre le mien et ses derniers mouvements m'arrachaient un cris de plaisir rapidement étouffer contre les lèvres de kovu qui m'embrassait avec envie. je répondis à ce baiser, tandis que mes lèvres étaient pendues aux siennes une vague de plaisir me submergeais entièrement, ça faisait tellement de bien que je mordais la lèvre inférieure de kovu assez fortement. je n'avais aucune idée de comment j'avais réussi à tenir plus d'un an sans ça. le sex faisait parti de notre quotidien, presque chaque jour il y avait une dispute qui se terminait en partie de jambes en l'air. aujourd'hui n'échappait pas à la règle. un large sourire s'affichait sur mon visage quand finalement il relâchais mes lèvres et se retirait pour s'allonger à côté, je tentais de reprendre un rythme cardiaque normal et une respiration tout aussi normale, ce sourire béa ne quittait pas mon visage alors qu'il glissait ses bras autour de moi et me confiait que je lui avait manquer. je déposait mes lèvres sur son torse et lui fit à cet endroit un baiser humide, replaçant quelques méches de cheveux rebelles en arrière, je me mise ensuite à caresser son torse du bout des doigts. « mhh, je te quitte plus désormais. » je déposait à nouveau mes lèvres sur sa peau, remontant par la suite d'un geste rapide sur son cou, puis sa joue pour enfin attraper ses lèvres avec amour. je me redressait ensuite, relevant en même temps un drap sur nous et m'installait à califourchon au dessus de lui. « en fait j'ai penser que.. » je me penchais pour coller ma bouche à la sienne. « mhh.. que tu pourrait venir t'installer.. » lâchais-je entre deux baisers avant de l'embrasser de nouveau puis finit par terminé ma phrase. « ici avec moi. » je le regardais ensuite avec attention, penchant ma tête sur le côté pour ne rien rater de sa réaction. « je sais qu'on vient de se retrouver, mais je veux pas passer une seconde sans toi kovu. plus jamais. » je lui sourit, sincère comme jamais. à vrai dire je n'avais jamais prononcer de telles paroles envers lui, je ne m'étais jamais aussi ouverte à quelqu'un. « je veux me réveiller le matin dans tes bras, et m'endormir le soir avec ton joli visage en face du mien. je veux que tu me cuisine des gauffres le matin, même si tu les rate comme tu le faisait avant. » je ris doucement, posant mes mains dans ses cheveux que je plaçait avec douceur en arrière. « je veux que tu me fasse l'amour dans ce lit, tout les soirs. » je frôlais ses lèvres, sans quitter ses yeux. « je veux qu'on fasse notre vie ensemble, kovu stewart. toi et moi, pour toujours. » je sais pas trop ce qui me prenait, un élan d'amour et de positivité, mais je savais que si on le voulait on le pouvait. il était l'homme de ma vie et je voulait changer pour lui, je voulait qu'il change pour moi aussi. voilà pourquoi je passait doucement mes mains sur l'intérieur de ses bras, les traces de piqûres et je pris un air un peu plus sérieux. « et je veux que tu arrête cette merde. que tu ne te drogue plus qu'à moi.. »
acidbrain
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(✰) message posté Dim 17 Jan 2016 - 23:05 par Invité
(✰) message posté Jeu 21 Jan 2016 - 13:04 par Invité
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kovu & cassie
c'était peut être précipité, on ne faisait que se retrouver. notre relation n'était clairement pas des plus calmes, pourtant j'y croyais déjà. je voulais une nouvelle vie, un nouveau départ. je tenais à zola et il m'avait beaucoup aider, mais la vérité était là : c'est kovu que j'aimais. c'est kovu que j'aimerais éternellement et avec lui que je voulais faire ma vie. lui avec qui je voulais me réveiller tout les matins, lui que je voulais à mes côtés jusque la fin. lui et moi, pour toujours. il me demandais si j'étais sûre de moi, après toutes mes paroles il était plutôt évident que oui. certes, c'était une décision prise sur un coup de tête, mais je savais que si l'on s'en donnait les moyens on pouvait réussir. mes mains placées autour de son visage l'y caresser doucement, je replaçait avec douceur quelques petites méches rebelles en arrière, me mordillant la lèvre. quand il répondait positivement, je ne pu réprimer un large sourire et le laissait alors embrasser mes lèvres, un long frisson prit possession de mon corps quand il me mordait la lèvre inférieure, je laissait échapper un léger gémissement alors qu'à son tour il me fit par de tout ce qu'il voulait vivre avec moi, tout ses moments qui semblaient annodins et qui pourtant me remplissaient de bonheur, j'enfouis mes doigts dans ses cheveux et me retenait de ne pas coller ma bouche à la sienne de nouveau, tellement heureuse, euphorique de cette nouvelle vie qui nous était ouverte. j'avais hâte, hâte de vivre tout ça, hâte d'être heureuse de nouveau dans ses bras, comme avant. enfin, presque. je ne voulais plus de disputes, plus de cris, plus de drogue. je savais que l'on pouvait être bien sans ça, rien que tout les deux. les yeux plantés dans les siens je le fixait attentivement après lui avoir demander d'arrêter de se droguer, son comportement changea de suite et un pincement au coeur se fit ressentir quand il se redressait pour tourner le visage sur le côté. je restais là, les mains dans le vide que je finit par laisser tomber sur le matelas. je l'écoutait alors me dire qu'il n'en était pas capable, qu'il ne pourrait pas ce passer de ça, je bougeais ma tête de gauche à droite à ses paroles parce que je savais qu'il pouvait le faire. je savais qu'il était plus fort que ce qu'il pouvait bien penser, qu'il pouvait y arriver, pour lui, pour moi, pour nous. je me redressait à mon tour, je posais de nouveau mes mains autour de son visage et le forçait ainsi à me faire face, à me regarder. je plongeais mon regard dans le sien avec tendresse, je caressait ses joues. je penchais doucement ma tête sur le côté, puis après quelques secondes je plaquais mes lèvres sur les siennes et l'embrassait avec douceur, mettant tout l'amour que j'avait à son égard dans ce baiser qui fut bien trop bref à mon goût, mais je reculais à peine mon visage pour admirer ses yeux de nouveau. ses beaux et grands yeux noirs, ceux qui me faisaient craquer depuis des années maintenant, j'admirait sa beauté, sa fragilité. oui, kovu était fragile, et c'est cette fragilité qui me faisait l'aimer d'avantages. parce qu'il pouvait aussi être fort, il pouvait se surpasser, il n'y croyais simplement pas et personne n'avait jamais vraiment cru en lui. personne à l'exception de moi. j'avais toujours penser qu'un jour il ferait de grandes choses, je n'avais jamais cesser de le penser et c'était toujours le cas. de plus, désormais je voulais qu'il le fasse pour nous, parce que je l'aimais et s'il continuait la drogue je ne pourrait pas rester avec lui.. je ne pouvait pas ruiner tout les efforts que j'avais fait. « je n'ai jamais aimer personne comme ça, kovu. je n'ai jamais imaginer vivre ma vie avec quelqu'un d'autre. finir ma vie vielle, dans les bras d'un garçon que j'aurais aimer de toutes mes forces et après avoir vécu une existence entière à ses côtés. personne dans ce monde ne m'a jamais entendu lui dire "je t'aime".. personne excepté toi. » l'une de mes mains glissait le long de son visage et vient caresser du bout des doigts ses lèvres, d'une voix douce je continuais doucement : « je veut qu'on soit ensemble pour toujours, comme un véritable petit couple niais à souhait, j'aurais jamais cru dire ça un jour, mais tu es l'homme de ma vie. mon grand amour. s'il te plaît ne fuit pas ça.. n'empêche pas ça.. » je collais mon front au sien, fermait un instant les yeux et murmurais : « je sais que tu es fort. je sais que tu peut le faire kovu. je sais que tu peux arrêter mon amour, pour moi. pour nous.. je t'en prit, laisse nous une chance.. »