"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici how to disappear completely. (w/ lewis) 2979874845 how to disappear completely. (w/ lewis) 1973890357
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() message posté Mer 23 Avr 2014 - 1:46 par Invité
how to disappear completely.

Je ne pouvais pas me relever, j’étais pétrifié. Je n’avais jamais assisté à un braquage, non, moi j’étais le chauffeur, le guet. Toutefois, j’avais quitté cette vie de paria sans me retourner, sans regret, il y a de ça bien des années. L’incarcération de mon frère aidant. Aujourd’hui j’étais de l’autre côté, je pouvais voir l’envers du décor. Je n’aimais pas les toxicomanes, on ne pouvait jamais anticiper ou prévenir leurs actions. Ils étaient totalement imprévisibles. Je me suis planqué sous la table, j’étais loin d’être héros, je voulais juste sauver ma peau et si possible, sortir d’ici rapidement. Cette soirée était surréaliste. Si je manquais de courage, Lewis, lui, en avait à revendre. Non, lui, il s’avançait naturellement vers le tireur, les mains en l’air, non sans chercher à le raisonner. Pourquoi m’imposait-il ça ? Il voulait crever dans mes bras ou bien ? J’ai bien tenté de le retenir, d'attraper son pied mais il semblait décidé. Je ne comprenais pas. Il n’avait rien à prouver. « Tu crois que tu me fais peur. » J’ai avalé lentement ma salive. Pourquoi risquait-il sa vie aussi bêtement ? Ma tête était sur le point d’exploser, mon coeur de lâcher. Je me suis reculé un peu, je ne pouvais pas vraiment bouger d’où j’étais mais je devais le voir. Il le fallait. « Je suis avocat et je sais ce que je dis... » Il était complètement fou, fou à lier. C’était bien le moment de ramener sa science. Ce type se fichait éperdument de savoir qui il était ou non. Il voulait sa dose, point. Lewis, le pourfendeur. Je dois dire qu’il me prenait au dépourvu sur ce coup. L’homme ne semblait pas le porter dans son coeur contrairement à moi. Je pouvais le voir fusiller Lewis intérieurement. J’ai retenu ma respiration. J’étais vraiment pathétique. Lewis se tourna vers moi, première erreur. Il se prit un poing, une droite plus précisément. Je ne savais toujours pas quoi faire. J’avais envie de m’interposer mais je n’en fis rien. Lewis était un dur, un écossais. Il se releva, plus nerveux que jamais, je ne l’avais jamais vu dans un état pareil jusqu’à présent. Il lui décrocha un uppercut, un bon uppercut. L’homme tomba au sol, dans les vapes. Je n’en revenais pas. Comment avait-il fait ça ? L’homme était resté à terre, complètement assommé et à juste titre, j’avais presque mal pour lui. Presque. Je ne vis pas même Lewis désarmer sa femme, sa soeur, son amie. Elle pleurait déjà à chaudes larmes, abattue. Les sirènes se firent entendre, j’étais soulagé. On allait enfin pouvoir tourner la page sur cet incident. Lewis se précipita et me tendit la main. Je la pris encore sous le choc. J’avais encore du mal à réaliser. Il m’entraîna dehors. J’avais l’impression de reprendre vie. Il appela un taxi alors que les flics semblaient sur le point d’arriver sur les lieux. Je ne comprenais pas. Pourquoi s’enfuir ? Nous étions sans reproche dans cette affaire. Seulement, je n’avais rien à dire. Je ne pouvais que lui faire confiance. Je suis monté dans ce taxi, fébrile. Celui-ci roulait à vive allure. Direction Camden. Le quartier n’était mieux fréquenté, pourtant.

J’ai regardé Lewis, dubitatif. J’ignorais quoi dire, quoi faire. J’étais totalement paumé et le mot était faible. J’avais perdu mon appétit. J’avais perdu le fil. Sa mâchoire semblait le démanger. Il devait souffrir. « Est-ce que c’est douloureux ? » Je me suis redressé pour identifier son mal seulement, j’étais loin d’être une infirmière aux mains douces. « Question conne pardon. » Le chauffeur se retourna vers nous à plusieurs reprises. Nous étions arrivés à Camden. Contrairement à Kesington, les rues ici étaient loin d’être désertes. Je me suis penché à l’avant du véhicule pour payer avant de sortir du taxi. Il ne connaissait aucun restaurant et pour cause, ils étaient tous pour la plupart fermés à cette heure avancée de la nuit. « Je ne vais pas m’en remettre de sitôt. » Fis-je dans un murmure. Mes yeux ne vagabondaient plus sur les enseignes, je savais la cause perdue. Je pris la direction de mon chez moi. Il y avait en bas, un petit pub aux couleurs criardes. Aucun plat gastronomique là-bas mais il servait l’essentiel : des frites et de la bière. J’ouvris la porte à Lewis, je n’osais pas en reparler. Ses risques débiles et ma culpabilité bidon. Tout un programme. J’avais pour l’heure envie d’oublier et d’oublier le plus vite possible. Je pris une pinte de Guinness au bar et un verre de vin - sans doute très mauvais - pour le héros de la soirée. Le pub était plutôt vide, j’étais sans doute un des rares habitués. Je m’assoie penaud à une des tables du fond avant. Je suis psychologiquement épuisé, une de mes mains soutient ma tête péniblement. « J’ai oublié de commander des frites je suis con. Je suis désolé, Camden fait pas trop dans la gastronomie. » J’ai regardé ma bière pensif avant de la finir quasiment d’une traite.
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() message posté Mer 23 Avr 2014 - 2:11 par Invité




Leave it unspoken
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I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Arriver dans le Taxi, je me tenais machoire avec ma main valide, je sentai un truc qui clocher comme un truc de coincer, si le connard ma peter une dent vas falloir que je règle ça assez vite...  « Est-ce que c’est douloureux ? » Je redressa ma tête en regardant Malcolm, il semblait encore tremblant, je posa ma main sur sa cuisse a coté de moi alors qu'il se rectifia : « Question conne pardon. »  Bien que le chauffeur était curieux j'avoua a Malcolm : « Ne t'en fais pas pour moi ca va... Je doit dire qu'il avait une sacré droite, mais bon le principale c'est que personne n'est rien eu... Et puis j'avais faim et que si on serait rester on aurait pas pu manger avant le lever du soleil... » disais-je alors en riant, je n'étais pas égoiste, mais bon j'ai laissé ma carte ils auront qu'à m'apeller demain au bureau se soir j'étais là pour lui pas pour des policier en jaune fluo et noir. Alors que nous étions arriver à Camden je le vis payer le chauffeur et non commencions a marcher.  « Je ne vais pas m’en remettre de sitôt. »  Je me suis mis a sourire posant ma main sur son épaule en lui disant : « Mais si tu t'en remettras... J'avais l'impression d'être dans un Tarentino c'était plutôt cool ! » Disais je en riant, on pouvait facilement me prendre pour un cretin naif et ne se mefiant qu'à sa force de persuation, mais dieu que mon ventre gargouiller entre la descente de l'adrenaline et la faim cela n'aidait pas alors nous allions dans un Pub, il commenda une Guiness et un verre de vin, nous allions nous installer au fond de la salle, je le regardais alors me demandant si nous allions manger. « J’ai oublié de commander des frites je suis con. Je suis désolé, Camden fait pas trop dans la gastronomie. »  Je me suis mis a rire : «  Ne t'en fais pas vas ! Attend j'y vais. » Je me leva alors pour aller au comptoir demandait une portion de frites avec du Ketchup oué c'est bon le ketchup... So, Je revenais alors a la table avec la portions de frite et le pot de ketchup : « Je dois dire que je prefere encore ce pub que le restaurant où on a était... » je regardais Malcolm en buvant de mon verre, pire qu'un ivrogne qui avait soif je buvais gorgée apres gorgées comme si je voulais étanché ma soif. Je posais mon verre presque vide et je regardais Malcolm un sourire comme satisfait les joues qui rougis un peu et un grand sourire : «  Ca fait du bien en tout cas... » disait il avant de rire, et puis voyant le verre vide de Malcolm je regardais le patron en levant ma main : « Deux Guiness patron ! » Le patron aquiesca alors, et je regardais Malcolm qui semblait dans les nuages : « Hey ca va aller ? Aller dernier verre et on vas chez toi okay ? » disais-je alors d'un sourire compatissant alors que je pris une frite pour la manger.

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() message posté Jeu 24 Avr 2014 - 16:19 par Invité
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Le plus important c’est qu’il n’avait rien. Il était bien le seul à avoir pris sur lui pour s’opposer à ces toxicomanes. La vie allait à présent reprendre son cours heureux, enfin, moi je l’espérais. « J’avais l’impression d’être dans un Tarantino. C’était plutôt cool ! » J’ai enfin décroché un sourire alors que je me repassais intérieurement et pour moi-même Reservoir Dogs. Je connaissais sans doute ce film par coeur. « Il te manque un sabre pour ça, à la rigueur. » J’avais envie de rire mais ma conscience m’en empêchait. Je continuais à imaginer le pire comme un gamin, apeuré, torturé. Et puis, j’ai tenté de chasser ces idées noires. Seulement, je continuais à être ailleurs, mon esprit vagabondait déjà loin.

Il était parti se chercher à manger. Il devait avoir faim. Le pauvre, il attendait littéralement depuis des heures et des heures. À croire que le monde s’y opposait. Il revint rapidement avec une bonne portion de frites et un pot de ketchup. L’odeur n’attisa pas plus mon appétit. Mon regard se posa sur Lewis, il buvait son vin comme de la bière, il me faisait doucement rire. « Deux Guinness patron ! » C’est qu’il lisait dans mes pensées en plus de ça. « Hey ça va aller ? » Non. Peut-être. Oui. Je ne savais quoi lui répondre. J’étais ailleurs, dans un confort relatif loin de l’épisode Bordeaux & escargots. Le ton détaché de Lewis me rendait mal à l’aise, comme si il cherchait à dédramatiser l’incident. « J’ai eu peur pour toi. » Voilà j’avais crever l’abcès, enfin. Il ne pouvait pas l’ignorer, il ne pouvait pas mentir, minimiser les faits. Faire passer ça pour une petite rixe sans importance. « Derniers verres et on va chez toi ok ? » J’ai hoché la tête. Après tout, on n’allait pas non plus s’éterniser ici. On avait bien mieux à faire chez moi. Enfin, à priori. Je me suis affalé sur la banquette alors qu’on venait nous apporter deux nouvelles pintes. « Je suppose qu'on peut toujours trinquer à cette folle soirée. » J’avais pas la force de tourner la page et pourtant j’en avais envie. Le gala, les cuisines, mon ex-femme et pour finir ce braquage. J’avais comme l’envie d’en finir avec ce bordel. Je n’aimais pas particulièrement vivre dangereusement. J’ai planté mon regard dans celui de Lewis avec comme un demi-sourire. « J’ai été ridicule tu peux le dire. » J’ai baissé les yeux tristement avant de poser ma main sur sa cuisse et puis, j'ai étanché ma soif, encore. Je ne voulais pas spécialement casser l’ambiance mais je ne pouvais résolument pas faire semblant. Après tout, je n’étais que réalisateur, je ne savais pas joueur la comédie. J’ai jamais été un très bon menteur non plus. Je ne recherchais pas le pardon, juste un peu d’indulgence et de compréhension. Mais quoi dire à Lewis ? Lewis, le héros de la soirée. Lewis, qui grignotait tranquillement ses frites en face de moi. J’avais comme l’impression d’être aux côtés d’un autre homme. J’étais crédule et je me faisais des films, oui.  
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() message posté Ven 25 Avr 2014 - 14:10 par Invité




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J'aurais pu faire un carnage dans un Tarentino n'empeche, j'adore ce que faisait cet homme... Cela dit ayant la musique Little Green Bag dans la tête je me suis mis a sourire :  « Il te manque un sabre pour ça, à la rigueur. » Et cela enchaina un rire, Je me voyais mal dans la tenue de Uma Thurman dans Kill Bill... Surement trop moulante et le jaune ne me vas pas du tout d'après mon couturier... Cela dit l'idée du sabre me tenté... : « Avec un fond sonore comme Twisted Nerve... » Disais je en riant m'en allant chercher sifflant alors la musique...
En revenant je bu d'une traite mon verre de vin avant de commander de nouvelle pintes, je demandais au jeune si ça aller... Je pouvais comprendre qu'il se sente encore troublé parce qu'il venait de se passer. C'est pour ça que je prenait cette air decontracté... Mes jambes en trembler encore cela dit, mais je faisais mine de rien. « J’ai eu peur pour toi. » Je fus surpris qu'il crève aussi vite l'abcès.. J'eu un petit sourire compatissant posant ma main sur la sienne, la caressant de mon pouce lui disant tout doucement : « Merci d'avoir eu peur pour moi... » je lacha sa main pour reprendre une nouvelle frite. Le Ketchup était épicé j'en sentait ma langue me chatouiller alors que les deux pintes fut posé sur la table : « Je suppose qu'on peut toujours trinquer à cette folle soirée. » Je me suis mis a sourire... J'avais soif, ma langue me faisait mal je lui dit : « Et que cela ne se reproduise plus... » disais je en ricanant avant de faire tinter mon verre contre le sien et de boire une gorgée, cela calma l'inflamation de mes papilles... Je regardais Malcolm qui semblait vraiment perdu, je me sentais mal pour lui... Plusieurs hypothèses... Soit il s'en voulait de ne pas être intervenu aussi et de cette caché... Ou...Non je vois pas d'autre hypothèses :  « J’ai été ridicule tu peux le dire. » Je plongeais litteralement mon regard dans le siens je posais ma pinte essayant mes mains et la posant sur celle de Malcolm en lui disant : « Mais non tu ne l'as pas été Malcolm... On ne peut jamais prevoir notre reaction dans ce genre de cas... Ca se trouve cela aurait pu être l'inverse, je dois dire que jt'aurais trouvé incroyablement sexy a leur prendre tête... Mais maintenant c'est passé... Et tu sais quoi ? Il y a quand même une bonne chose... Je vais pouvoir dormir un peu plus, je sens que je vais recevoir un appel demain matin pour aller au poste de police... Donc bon c'est un mal pour un bien... » Je me suis mis a sourire carressant tentant alors de le rassurer et de lui redonner le sourire je mangeais une nouvelle frite et je bus une gorgée de bière... Je me redressa comme repu... Bizarrement je n'avais plus fin... Cette histoire m'a coupé presque l'appetit n'empêche. Nous finissions nos verres, je me leva lui disant : « Je vais au toilette et on y vas ? » Je me dirigeai alors vers les toilettes, faisant la comission et puis me laver les mains j'avais horreur d'avoir les mains graisseuses mon dieu je pourrais jamais bosser dans un fast food, alors que je secha mes mains je repartit dans la salle. Passant par le comptoir pour deposer un billet de 20£ et je retournais vers Malcolm : « Si votre Altesse est prête nous pouvons monter dans ses appartement... » disais-je d'un sourire.
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() message posté Dim 27 Avr 2014 - 2:11 par Invité
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Il n’y avait rien à remercier. Je ne pouvais qu’avoir peur, pour lui, dans un cas comme celui-ci. J’ai beau être d’un optimisme énervant, il m’arrive d’avoir mes moments de faiblesse. C’était un de ces moments délicats. Un moment, un cauchemar, peu importe. Je devais désormais passer outre mes maux. Je sentis sa main, il devait se sentir mal, je devais sans doute l’ennuyer. Malheureusement. Si seulement je pouvais me perdre ivre dans ses bras, là, tout de suite. Nos verres sonnaient faux, à la manière d’un carillon désaccordé. L’alcool et l’adrénaline avait déjà raison de moi. « La vie et ses surprises. » Fis-je dans un murmure. Lewis ricanait de bon coeur, son rire était, contre toute attente, communicatif. Il m’amusait, il arrivait à me vider la tête comme il arrivait à me consoler. Néanmoins, je n’étais pas un saint, j’étais un sale lâche égoïste, un planqué égocentrique. Un beau parleur sinistre et sans courage. Lewis, comme à son habitude parlait peu mais parlait bien. « C’était juste pas le premier braquage Lewis. » Est-ce que j’allais en dire plus ? Certainement pas. Un de mes frères avait trouvé la mort, l’autre était toujours en prison et Lewis ne devait pas l’ignorer. Moi j’étais le miraculé, le guet qui s’était barré. Aucune fierté à planter les siens de la sorte, non, juste de la culpabilité. « Et j’en ai tiré aucune leçon. Je me suis débiné une nouvelle fois. » Puis, j’ai fermé ma gueule, le regard de Lewis me déstabilisait. Je ne savais pas quoi lui répondre dans l’immédiat. À l’entendre, cet intermède arrangeait ses plans et par conséquent, les miens. Son raisonnement se tenait. « Quel avocat dévoué tu fais, c’est presque admirable. » Je me suis repris, je n’avais pas envie de pourrir la soirée que nous partagions Lewis et moi. Je ne le voyais pas si souvent que ça, malheureusement j’ai envie de dire. J’ai caressé sa main doucement, comme pour le prévenir de mon retour triomphant auprès des vivants. « Je vais aux toilettes et on y va ? » J’ai hoché la tête avec un sourire, léger. Est-ce que l’appartement était vide ? J’en savais foutrement rien. Sa silhouette disparue bientôt à l’angle du bar alors que je m’affalais, désormais, sur la banquette, la bière à la main. Comme si j’avais derrière moi des années d’alcoolisme, quoique. Mon verre se vida entièrement moins de trente secondes plus tard, Lewis fit son come-back presque aussi rapidement. Ou bien je ne voyais plus le temps passer. « Si Votre Altesse est prête nous pouvons monter dans ses appartement... » C’est qu’il peut vraiment être con quand il s’y met. Pire qu’un gosse. J’esquisse un sourire, avant de passer devant lui, amusé. C’est pas comme si il ne connaissait pas mon appartement mais bon, pourquoi pas. Nous étions approximativement à 200 mètres maximum de celui-ci. Un grand immeuble dont la façade était enlierrée. Evidemment, j’habitais au dernier étage, sans ascenseur. Montant les marches deux par deux, je vis la fin du périple s’arrêter là, devant ma porte d’entrée. Mon paillasson indiquait : « Oh no ! Not you again. » Je m’en amusais peut-être trois à quatre fois par jour. Le moins qu’on puisse dire, c’est que je savais recevoir mes invités. J’ouvris la porte en la martelant plusieurs fois, la serrure neuve me jouait des tours, comme toujours. En ouvrant, j’eue le plaisir d’entendre l’intégral de The Rolling Stones. C’était presque un peu trop bruyant. M’aventurant un peu plus loin, je pris le soin de couper le son. Je devais vraiment être dans la lune pour partir en laissant ça derrière moi. « Bon bah tu peux faire comme chez toi en attendant. » Ma main vint se poser sur sa joue alors que je pouvais enfin goûter de nouveau à ses lèvres. Quelques secondes à peine. J’ai ensuite enlevé ma veste et déboutonné ma chemise négligemment, histoire d’être à l’aise. Mon appartement était des plus impersonnels mais je m’y sentais bien. J’aimais ce blanc immaculé et cette luminosité aveuglante. « Je te propose pas à boire tu m’en voudras pas ? »  
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() message posté Dim 27 Avr 2014 - 23:00 par Invité




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Alors qu'on trinquait, il semblait comme perdu... Ca me m'était mal à l'aise, je me sentais mal pour lui j'essayais tout de même de detendre l'atmosphère :  « C’était juste pas le premier braquage Lewis. » J'arquais un sourcil, je ne connaissais pas tellement sont passé. Je savais que son frère était en prison pour quel raison je ne suis pas tellement sur. Je lui dit assez nostalgique dans mes mots : « Eh bien ce n'était pas le premier pour moi non plus... » Je ne savais pas s'il fallait que je lui dise que moi aussi je me trouvais de l'autre coté... Le braqueur et non le braqué... Mais je ne faisait pas ça comme un faible toxico... J'allais a une soirée de gala d'art... J'annonçais qui j'étais... Et que j'allais les cambrioler, generalement on ne me croyait jamais finalement j'arriver a sortir de là avec ce que je voulais comme quoi le monde est bien fait.  « Et j’en ai tiré aucune leçon. Je me suis débiné une nouvelle fois. »  je serra doucement sa main, je sentais bien qu'il allait vraiment mal... Il partait trop loin je ne comprenais pas tellement. Je decide alors de jouer mes tirades.  « Quel avocat dévoué tu fais, c’est presque admirable. » Je me suis mis a sourire, en buvant de ma biere en lui disant juste après : « J'aime me plié en quatre pour mes clients que veut tu... » Disais je d'un sourire voyant que le Malcolm que je connaissais bien revenait a grand pas... Cela me rassurait. Je finissais ma bière et nous quittions l'endroit pour l'appartement de Malcolm... je connaissais son appartement je le trouve rustique enfin c'était bizarre comme appartement mais j'aimais bien. Quelque part il avait quelques point avec le mien. Bon la facade ne ressemble pas du tout cette lierre grimpante donne un coté très maison de Hobbit, par contre la verrière sur le toit... j'aimais son salon avec tout ses livres... je pourrais passer ma vie a tous les lire et y a interet que se soit des bons. Cela dit après avoir monter les escalier nous arrivions chez lui. Bien que la pancarte « Oh no ! Not you again ! » je pointais la pancarte du doigt en disant : « C'est l'Anti ex femme c'est ça ? » Disais je ne l'ayant jamais remarqué avant. Surement que je n'ai jamais était très sobre quand j'étais chez lui surement. Alors qu'un bon son me parvient au oreille et qu'il alla l'arreter pour revenir pres de moi. Monsieur se mis vite à l'aise en me disant :  « Bon bah tu peux faire comme chez toi en attendant. » Je retira alors ma veste la posant sur un chaise et denouant un peu ma cravate posant le chapeau sur un meuble je le vis s'approcher de moi pour m'embrasser, je glissa une mains sur sa joue pour prolonger le baiser un peu plus. Mon autre main se glissant naturellement sur sa hanche.  « Je te propose pas à boire tu m’en voudras pas ? » Je me suis mis a sourire le serrant un peu plus contre moi : « C'est pas a boire que je veux actuellement... » disais-je glissant ma main sur le joli petit fessier de malcolm, l'embrassant a nouveau. Pour une fois que je peut en profiter faut pas m'en vouloir. Nous reculions jusqu'à à arriver vers son Salon. Je lui dis alors : « J'aime toujours autant ton appartement... » Disais je en souriant avant de glisser mes baiser sur sa nuque et ses épaules, tandis que mon autre main descenda jusqu'au bas de son dos sentant un duvet que j'aimais beaucoup. Je lui demanda alors : « Que veux tu qu'on fasse à present ? » disais je me sentant alors à ses ordres... Fallais bien lui remonter le moral.
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() message posté Mar 29 Avr 2014 - 4:04 par Invité
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C’était la soirée des révélations, décidément. Peut-être même que j’en savais trop, ou pas assez justement. Lewis était comme moi, à savoir mystérieux. Je n’aimais pas me confier, avec ou sans énigme. Probablement plus encore à Lewis, je n’avais pas envie de l’ennuyer avec toutes ces conneries, celles de mon frère surtout. J’étais promis à bien plus que des barreaux, bien plus qu’une cage de 7m². Seulement, Lewis avait attisé ma curiosité et pas qu’un peu. « J'aime me plier en quatre pour mes clients que veux-tu... » Le voilà à recommencer son irrésistible numéro, je me surpris à me mordre, inconsciemment, la lèvre inférieure. Cependant, il n’avait pas faux, en plus de faire ça très bien. Sur le pas de la porte, il me fit rire une nouvelle fois. Je n’y avais même pas pensé. Surprenant. C’était un chouette avertissement pourtant. Mon appartement n’était pas bien grand mais il était amplement suffisant. Je vivais encore avec une colocataire à trente-trois balais, c’est pas le meilleur plan, en théorie, pour inviter du monde. Enfin, du monde, un homme en l'occurrence, Lewis. Sa main vint se poser sur ma hanche alors qu’il resserrait notre étreinte. « C'est pas à boire que je veux actuellement... » Je la sentais venir celle-ci bizarrement. Serré contre lui, ma main vint dénouer entièrement sa cravate avant de la jeter négligemment en arrière sur un des meubles de l’appartement. « Comme c’est étonnant. » Ma main vint effleurer le col de sa chemise alors que nous reculions doucement mais sûrement jusqu’au salon. « J'aime toujours autant ton appartement... » Il se fichait bien de mon appartement. Evidemment qu’il était chouette mais la question n’était pas là, tout simplement. Ses lèvres se perdirent bien vite sur ma nuque et mes épaules. Peut-être même trop vite. Un frisson me parcourra, pourtant, de part en part. J’avais l’impression de déconner, un peu comme un vieux flipper défectueux, en fin de vie. Le braquage m’avait calmé, en quelque sorte. Bizarrement. Je ne me l'expliquais pas. Ma main, pourtant, vint caresser sa nuque, ses cheveux, doucement. « Je ne sais pas. » J’étais parfois trop spontané. La réponse était sortie, là, sans prévenir. J’ai retiré ma main de la tignasse brune de Lewis non sans gêne et sans grimace. Le lieu était propice, pas l’instant, pas maintenant. Je ne savais quoi lui dire. J’ai donc opté pour la solution la plus simple, quoique. « Je te propose... » Un karaoké, une douche, un golf, un massage, un épisode de Breaking Bad, un coït. Non. « Je vais prendre un truc pour la tête. Je reviens. » Mes pas étaient lourds, mes gestes contrôlés. L’aspirine n’était pas bien difficile à trouver, j’avais ma planque personnelle dans la cuisine. Je revins mon verre d’eau à la main, l’aspirine au fond, la gueule dans le coaltar. « Je t’invite à t’assoir sur le fauteuil dans mon extrême bonté. » Je vins m’enfoncer dans celui-ci, ou plutôt, m’y jeter corps et âme. Je bus l’intégrité de mon verre, rapidement, avant de venir le poser sur la table basse. Mon regard se tourna immédiatement vers Lewis, je pris un air naturel, décontracté et innocent. Non, je ne voyais pas du tout où il voulait en venir. Je me surprenais moi-même à souffler le chaud et le froid. Je n’avais pas cette mauvaise habitude généralement. J’ai caressé sa cuisse machinalement avant d’allumer la télévision.
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() message posté Mar 29 Avr 2014 - 4:36 par Invité




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Je dois dire que je ne m'attendais pas a ce genre de soirée, alors que nous venions d'arriver a son appartement, j'en profita pour le serrer contre moi. Sentir son corps contre moi et profiter de gouter de nouveau à sa peau avec mes baiser... Bizarrement Malcolm fit l'innocent voulant alors prendre quelque chose pour son mal de tête. Je me demandais si ca allais passer, Tandis qu'il allait chercher son aspirine, J'en profita pour deboutonner quelques boutons de ma chemise en regardant les ouvrages dans sa bibliothèque, elle était vraiment bien remplit je reconnaissais quelques themes et autre ouvrage que j'avais déjà lu. Quand il revint il me proposa de m'asseoir, je me suis mis à sourire m'asseyant à mon tour a coter de lui. Il bu son verre sentant sa main sur ma cuisse, j'eu un sourire alors que je glissa mon bras derriere son dos je le vis allumer la télé... Je m'installa confortablement dans le canapé, posant ma tête sur l'accoudoir ayant retiré mes chaussure un peu avant. Je regardais Malcolm qui semblait absorbait par les images... Bizarrement j'étais fatigué, toutes les emotions revenait au galot. Je glissa ma main sur son dos nu comme si j'étais dans mes pensée, ce n'était pas bon signe... Reflechir était un peu trop pour moi, je regardais Malcolm... Je me posais de drôle de question sur ma relation avec lui, je pensais au ennuis qu'on pourrait avoir... Bizarrement je pensais aussi a Eira... Vas savoir pourquoi, mais j'essayais de me consacrer a autre chose j'effleurai la peau de son dos, ayant un sourire en voyant son corps réagir, je me redressa un instant lui proposant : « Dit moi tu veux un massage ? Ca aidera surement a faire passer ta migraine? » J'étais surement un peu trop prevoyant mais de voir son dos nu ne me laissa certainement pas indifferent et fallait que je m'occupe si je voulais pas finir a me poser les mauvaises questions. Je deposa un baiser sur son épaule en regardant brievement les images a la télé, Ca me fait rire c'est que Eira dit que je suis un romantique refoulé... Bizarrement je vois pas le mal, j'aimais cette situation être posé avec quelqu'un que tu apprecie,,, le contact de sa peau qui m'electrisa comme un incendie volontaire. Je glissa mes mains le long de son dos jusqu'à ses épaules manipulant doucement mes pouces en le massant... On verra si il me dira oui j'était très bon masseur c'est vrai Eira m'en disait que du bien et pareil por mes anciennes conquêtes.
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() message posté Mar 29 Avr 2014 - 18:11 par Invité
how to disappear completely.

Mon cerveau se faisait retourner par ces programmes abrutissants, me détournait de Lewis, me fatiguait. Je l’ai regardé un bref instant, il s’était confortablement installé sur le canapé et il avait raison. Sa main caressait mon dos alors que son esprit semblait vagabonder loin d’ici. Je ne sais pas à quoi il pensait, je ne saurais probablement jamais mais il était soucieux, c’était un fait. Je ne sais pas pourquoi nous faisions ça. Je ne pouvais pas même qualifier notre relation. Nos vies étaient incompatibles, nous n’étions pas sans l’ignorer. La rupture, le point de non-retour était proche et pourtant, inéluctablement, je me sentais de plus en plus proche de lui. J’avais l’impression de faire une connerie, de m’investir dans une relation vouée à l’échec. Sans me l’avouer, secrètement. Sa main sur mon dos me faisait un bien fou, je me sentais comme apaisé, en paix avec moi-même. « Dis-moi tu veux un massage ? Ça aidera sûrement à faire passer ta migraine ? » Sa proposition ne pouvait pas mieux tomber, il lisait littéralement dans mes pensées pour le coup. Je me suis avancé un peu pour lui laisser une place derrière moi. Il déposa alors un baiser sur mon épaule avant de glisser ses mains le long de mon dos. Ce contact m’électrisa complètement. C’est qu’il était habite, pour ça aussi. Je me sentais détendu sous ses doigts experts. Ses pouces venaient me tirailler la peau. C’était douloureux. C’était exaltant. J’ai caressé doucement ses cuisses. Je ne voulais pas qu’il s’arrête en si bon chemin. Je ne me souciais plus de la télévision. J’avais presque, à la rigueur, envie d’appuyer sur mute. « Pourquoi je découvre ce talent seulement maintenant ? » Je l’ai regardé par-dessus mon épaule en souriant. C’est qu’il en cachait des choses. J’étais loin d’égaler son talent, pour une raison que j’ignore mes gestes se révélaient toujours trop abrupts. Je me suis retourné vers lui, pas entièrement, mais suffisamment pour venir l’embrasser de nouveau, ma main avait dans son élan agrippé le dossier du canapé, l’autre tenait fermement sa cuisse droite. Lewis était définitivement surprenant. Il était plein de ressources, je ne pouvais pas le nier. Ma main se détourna de sa cuisse pour remonter lentement le long de son torse. Oui, je devais absolument le défaire de sa chemise. Il ne pouvait pas profiter du spectacle gratuitement. J’ai déboutonné sa chemise entièrement, d’une main. C’est fou comme mes gestes pouvaient être contradictoires parfois. Agrippant finalement sa nuque, je vins prolonger notre baiser avant de reculer non sans un sourire aux lèvres. « Je crois que t’es dans la merde maintenant avec ça parce que je suis pas prêt de l’oublier. » Autrement dit, j’allais forcément en redemander, tôt ou tard. J’ai posé mon regard sur lui un instant, sans rien dire. J’étais bien avec lui, cette relation n’avait aucun sens mais elle avait au moins le mérite de me libérer de ma morne existence et des contraintes qui s’imposaient à moi jour après jour. « Tu sais quoi ? Je crois bien que ma migraine s’est envolée miraculeusement. »
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() message posté Mar 29 Avr 2014 - 19:30 par Invité




Leave it unspoken
feat Malcolm & Lewis
I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Je n'aimais pas trop devoiler mes talents, même que mes peintures très peu les ont vu, Même Malcolm... Alors qu'on entretenais... Enfin voilà on entretenais cette liaison. Alors que mes doigts jouerent une salsa endiablé sur la peau de Malcolm, je sentis des nœuds que je m'amusa a dénoué : « Pourquoi je découvre ce talent seulement maintenant ? » Je me suis mis a sourire alors que je vis tourner sa tête vers moi, je lui dit alors avec un petit rictus : « Peut être que tu n'as jamais eu de migraine au paravant » C'est bien vrai que je ne l'avais jamais vu ainsi ayant une quelconque migraine, je dois dire vu la soirée qu'on venait de passer cela me semblait normal, Il se retourna alors sentant sa main remonter le long de mon corps pour se poser sur mon torse je glissa mes mains sur son torse alors qu'il defit ma chemise, Je ne savais pas que j'avais ce talent iné pour qu'il puisse me sauter dessus a nouveau... Il m'embrassa, je prolongea le baiser passionement remontant une de mes mains sur sa nuque alors qu'il recula je sentais encore son souffle sur mes lèvres, mes joues avait pris un rouge plutot terne, j'eu un petit sourire et il me dit : « Je crois que t’es dans la merde maintenant avec ça parce que je suis pas prêt de l’oublier. » Mon sourire s'aggrandisser ainsi que mon amusement alors je fis une petite moue genre totalement effrayer « J'ai peur... » Nous nous regardions, ce regard était plein de sens... je me demandais vraiment si cette relation était benefique ou destructeur... Je ne savais pas ce que je voulais, mais actuellement j'aimais bien être avec lui...  « Tu sais quoi ? Je crois bien que ma migraine s’est envolée miraculeusement. » Il me fit sourire a nouveau me delogeant de mes pensées je ne pouvais ironiser la chose : « Ah bon ? Eh bien je me savais pas aussi doué. » Je me redressa un peu m'approchant de lui ne quittant pas son regard en lui disant doucement : « J'aime bien ce genre de regard... Ce regard qui précede ceci... » Je m'approchais doucement de ses lèvres l'embrassant d'une façon plus tendre alors que ma main descendit le long de sa nuque. Je ne pouvais pas m'empecher de jouer les romantiques c'etait plus fort que moi. Cela était pas le genre de la maison après tout... Bien qu'avant on disait que j'étais le Don Quichotte... Surnom qui m'allait plutôt bien je trouve... Ma main se glissa le long de l'abdomen de Malcolm se retrouvant alors avec sa cuisse. Le baiser continua et fallait bien que je respire je glissa mes baiser le long de sa machoire descendant alors à sa nuque. Sa peau était délicieuse, aussi douce que possible... Même le son de la télé me paraissait en muet alors que pourtant elle était toujours allumer les lumieres qui jaillissait du catalyseur donner de jolie nuances sur sa peau on aurait dit un festival de couleur... Pour un artiste tel que moi c'était quelque chose de plaisant je lui dit : « Je pense que c'est un bonne chose que tu ne sois plus souffrant... Ce serait dommage que tu tombes malade quand même ! » disais levant mes yeux vers lui un sourire alors que je me redressa le regardant a nouveau.
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