"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Would you let me see beneath your beautiful 2979874845 Would you let me see beneath your beautiful 1973890357
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Would you let me see beneath your beautiful

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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:22 par Invité
   
Sebastian Jayden Edenshaw
   
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Edenshaw, un nom noble et plein de promesses qui mourra sans doute avec moi au grand désarroi de mon père. PRÉNOM(S) : Sebastian "Bash" Jayden Calixte. Une jolie trilogie décrétée par Helen, ma grand soeur, irritée par l'indécision de nos parents. Depuis que j'ai passé la trentaine, elle est l'une des seules à évoquer encore mon surnom.  ÂGE : 42 ans. Passer la quarantaine est difficile mais une fois qu'on a plongé, on s'habitue vite. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 12 juillet à la Nouvelle-Orléans (Louisianne). Même si je l'ai quittée depuis des lustres, cette ville restera à jamais ma maison, elle m'a vu grandir et m'a bercé au rythme de son jazz effréné qui aujourd'hui encore s'accorde aux battements de mon coeur. NATIONALITÉ : Anglo-américaine. Mes parents sont né sur le "vieux continents" et les racines sont sacrées pour nous. STATUT CIVIL : Divorcé avant même d'avoir posé mes valises dans sa vie. Il n'est pas donné à tout le monde d'avoir le courage d'affronter les démons. MÉTIER  : Psychologue, une voie qui s'est imposée à moi sans vraiment me laisser le choix. TRAITS DE CARACTÈRE : forte tête, buté, idéaliste, borné, manipulateur, sûr de lui, généreux, charismatique, sarcastique, imprévisible, tolérant, parfois hautain, à l'écoute, intelligent, honnête, débrouillard, parfois renfrogné, rancunier, charmeur, ... GROUPE : The tube.
 


   
My style, my life, my name

   
Il ne s'en vante que très rarement mais Sebastian est un homme riche, il pourrait facilement se tourner les pouces et jouer avec les placements ou autres pour vivre. Néanmoins, c'est très loin de l'éducation qu'il a reçue × C'est un homme de lettres, instruit et pragmatique même s'il n'a pas tendance à étaler ses connaissances. Il préfère écouter en silence et analyser les gens × Il n'avait que 30 ans quand on lui a diagnostiqué la maladie de Parkinson, presque deux ans après qu'il ai commencé à perdre l'odorat. Aujourd'hui, il est à 75% d'anosmie × Il a vécu 18 ans à la Nouvelle-Orléans avant de rejoindre sa soeur expatriée à Londres, Helen. Il a toujours eu une grande complicité entre eux, elle est un peu comme sa deuxième maman. Depuis, il ne quitte Londres que pour quelques fêtes familiales et ses vacances annuelles dans le sud de l'Espagne × Il fait du triathlon depuis presque toujours et a découvert le rugby à son arrivée en Angleterre, il est un fan inconditionnel × Même si ce n'est pas un coureur de jupon et pourtant il a eu plusieurs relations qui s’éteignaient aussi vite qu'elles ne naissaient. Il a été marié une seule fois. Il ne sait pas s'il a jamais été amoureux. A moins qu'il ne l'ait été à chaque fois ? × Il a une passion pour le thé et ne jure que par ça. Pour lui, le café, à l'exception des expresso italiens, n'est qu'un simulacre, de l'eau colorée au charbon × Il dit toujours ce qu'il pense mais avec le tact nécessaire et le sourire qui excuse tous les mots × Il a une autre soeur, Mary, qu'il aime beaucoup malgré leur grande différence d'âge. Il a promis de veiller sur ses enfants expatriés eux aussi à Londres × Il a un lapin nain. La plupart de ses amis se moquent gentiment de lui à ce sujet, surtout quand il lui parle en semblant attendre une réponse × Comme la plupart des âmes touchés par cette maladie, il a mis du temps à accepter qu'il ne pourrait bientôt plus compter sur son corps. Néanmoins, il a une volonté de fer et il préfère vivre cette expérience avec le sourire en aidant autant de jeune atteint qu'il le peu. C'est grâce à cette vision de la vie, de la pathologie qu'il a fait une de ses plus belle rencontre × Le jazz a bercé son enfance et il ne passe pas un jour sans en écouter ou à défaut en "chanter" (parce que oui, il a une voix horrible et un sens du rythme douteux) × Il tient énormément aux enfants de ses soeurs, n'ayant pas eu lui même de gamins (en réalité, il a une fille de 16 ans dont il ignore l'existence). Il a toujours été bien plus proche de Olivia, une des filles de Mary et ils se soutiennent l'un l'autre, peu importe la situation × Il est ambidextre, "anomalie" qui l'a aidé tout au long de sa vie. Et d'autant plus aujourd'hui × Lorsqu'on lui demande si la perspective de voir son état se dégrader dans les dix ans l'effraie, il répond avec le sourire qu'il pourrait tout aussi bien mourir demain, fauché par un de ces fameux bus rouge × Dernièrement, il a été un peu dérouté par certains sentiments et il s'est remis à fumer après vingt ans sans toucher une cigarette × Même si c'est un homme sophistiqué, il a une large préférence pour le style jeans/t-shirt × Il boit énormément de whisky, de l'écossais évidemment × Il a toujours su charmer les enfants × Il habite un grand loft dans un coin tranquille de Londres × En gros... C'est l'homme parfait. Ou presque.  
PSEUDO : Marlow PRÉNOM : Maëlle. ÂGE : 23 ans. PERSONNAGE : scénario badass ♥️.  AVATAR : Nikolaj Coster-Waldau. CRÉDITS : Cripsow. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Bazzart. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: nope et empêchez-moi si jamais je veux en faire un  Would you let me see beneath your beautiful 902495459 .


   

   
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:22 par Invité
At the beginning


   
"If you have the soul of a warrior, you are a warrior."
♛ by endlesslove.


12 juillet 1973 ; "Everybody loves to tell me I was born an old soul"
« Mary, tu peux aller chercher ta sœur ? » Elle leva doucement les yeux de son magazine avec une moue exaspérée qui s’évanouit à l’instant où elle croisa le regard affolé de son père. Souriant, elle se retint de lui rappeler qu’il devrait être habitué, après tout, c’était la troisième fois que cet « incident  se reproduisait sa vie tranquille et sans histoire. « Tu devrais respirer un coup, pa’, on dirait que tu vas nous faire une crise cardiaque. » Il l’entendit à peine, déjà précipité par cet instinct étrange auprès de sa femme. D’un calme olympien, elle vérifiait pour la énième fois sa valise, une main reposée sur son ventre rebondit. Des rires retentirent dans le couloir avant qu’Helen fasse irruption dans la chambre poursuivie par son ainée, restée une enfant du haut de ses dix-sept ans. « Et bien, heureusement que vous êtes là, je pense que votre père ne restera pas assez longtemps conscient pour m’emmener à l’hôpital ! » Trois gloussements typiquement féminins s’élevèrent dans les airs joyeusement, juste avant qu’une contraction fasse se plier en deux la plus âgée des trois perles de Louis Endenshaw. Il se précipita et entraina la troupe, sa femme dans les bras, vers la voiture. « J’espère que ce sera un garçon, histoire d’avoir enfin un allié dans cette maison ! » Bien sûr, les protestations ne se firent pas attendre, transformant l’habitacle de la Buick en souk africain alors qu’elle s’élançait dans la moiteur d’été de la Nouvelle-Orléans. Au dehors défilaient les réverbères entourés de halo d'insectes virevoltants, le jeu d'ombre et de lumière masquant les rides d'épuisements qui bordaient les yeux de la future maman.

18 mars 1985 ; "You, the better half of me, the half I always need"
« Je t’interdis de pleurer ok ! Sinon, j’vais jamais partir ! » Je lui lançais un petit regard outré. Non, mais, comme si j’allais verser une larme. A douze ans, j’étais un homme, un vrai ! Et les vrais hommes ne pleurent pas. Enfin… Je jetais un coup d’œil à mon père, les yeux brillants, engoncé dans un costume trois pièces – les vestiges de la réunion qu’il avait écourtée pour amener sa petite fille chérie à l’aéroport – et, tout à coup, je n’étais plus si sûr de résister. Helen se pencha en avant pour déposer ses lèvres sur mon nez et je reculais vivement, choqué par ce petit geste tendre qui n’aurait jamais dû être rendu public. En m’écartant suffisamment pour éviter d’autre incident, je ne pus m’empêcher de la regarder avec attention, décryptant la raideur de ses gestes, ses lèvres pincées et la pâleur de son visage, tout comme la détermination dans son regard. « Bon, je crois que c’est pas la peine que je m’attarde… Je vous appelle dès qu’on atterrit. » Elle se tourna vers moi et je fronçais les sourcils provoquant une moue déçue. Si Helen s’attendait à un câlin d’adieu : pas question. Je lui en voulais bien trop de m’abandonner comme l’avais fait Mary quelques années plus tôt. Je n’étais pas fait pour être enfant unique, j’avais besoin d’interactions, de mouvements, de vie dans la maison… Notre père travaillait beaucoup depuis quelques temps, son agence immobilière ayant pris une renommée impressionnante. La grande demeure du XVIIIème me semblerait bien vide sans elle et cette idée fit se serrer mes petits poings, inconsciemment. De toute façon, ça ne changeait pas grand-chose, je serais déjà les dents, luttant pour ne pas pleurer. Je faillis lui courir après puis je réalisais que j’étais sensé boudé et je mis toute ma volonté dans le simple fait de garder les pieds rivés au sol. Elle se retourna une fois encore à cent mètre, près du guichet d’enregistrement et nous sourit, ma main se glissa dans celle de mon père. Tant pis si je perdais un peu de crédibilité. Puis la réalité me frappa, au mieux, je ne reverrais pas ma grande sœur avant Noël, mes yeux se remplirent de larmes. « Len !! Attend !!! » Abandonnant la main paternelle réconfortante, je m’élançais vers la jolie brune, le visage inondé de larmes avant de l’atteindre pour me jeter dans ses bras. J’en avais oublié ma rancœur et la foule mouvante autour de nous, les derniers appels pour des vols vers les quatre coins du monde, oublié que je n’étais plus un tout petit garçon qu’elle réconfortait chaque fois qu’un chagrin m’assaillait. « Tu sais, je peux me cacher dans ton sac, je ne prendrais pas de place, emmène-moi, emmène-moi ! », les mots déformés par les larmes sortaient par à-coup de ma gorge. Elle me berça un peu, un genou par terre, mon nez dans ses cheveux parfumés à la mandarine. « On se parle tout à l’heure Bashou et je reviendrais souvent promis… Mais tu sais ta place est ici et la mienne à Londres. Promis je ne t’oublie pas ! Sois bien sage chéri. » Hoquetant, je tentais de protester sans y parvenir. Une main se posa sur mon épaule et me tira doucement en arrière, je n’avais pas remarqué l’approche de mon père.   « Allais Helen, tu vas rater ton vol. Fais bon voyage ma belle ! » Il l’embrassa sur la joue et passa un bras autour de mon épaule, m’entrainant vers la sortie. Je marchais tel un zombie, la tête tournée vers elle, nos regards ne se lâchant pas jusqu’à la dernière seconde.

30 septembre 1991 ; "We used to believe in a lot of things, like forever and our dreams."
Sac à dos jeté sur l'épaule et sourire figé collé sur le visage, je me faufilais parmi les passant avant de déboucher sur une rue déserte. J'accélérais le pas, luttant pour retenir la colère qui bouillonnait en moi. J'étais arrivé à Londres depuis moins d'un mois et pourtant, je savais déjà combien je détestais être ici. Dire que j'avais cru retrouver ma soeur, celle qui m'avait presque élevé, ma deuxième mère, celle sans qui j'avais eu tant de mal à survivre au lycée. Au téléphone, elle m'avait toujours semblé constante, identique au souvenir lumineux que j'avais d'elle. Telle une amarre infaillible, elle avait écouté chaque fois que j'avais eu besoin d'elle. Elle était là sans être là. Et a présent que je la retrouvais enfin, personne physique, tangible, atteignable, je ne la reconnaissais plus. Je détestais son mari et la façon dont elle se métamorphosait quand il entrait dans la pièce. Ce n'était pas une simple jalousie, un complexe d’œdipe mal placé, non. Je haïssais l'homme. Il ne m'avait pas fallu une semaine pour me faire une idée sur lui... J'envoyais mon poing dans le mur gris que je longeais, étouffant un cri de douleur quand la peau de mes jointures se déchira. Planquant ma main contre moi, je me pliais en deux en jurant. C'était stupide et impulsif. Comme cette dispute avec Helen. Comme ma sortie théâtrale. Tout ce que j'avais gagné, c'était la mettre en pleur, me retrouver à la rue par orgueil et oublier mes clopes... Je ne pouvais même pas penser à retourner à la Nouvelle Orléans alors que le semestre avait commencé. Et puis, j'avais la chance d'avoir été accepté dans cette université alors que j'étais un "putain d'amerloc". En ramassant mon sac, je serais les dents avant de retourner dans la direction d'où je venais. Ravaler ma fierté, arrondir les angles et ne plus jamais abordé le sujet de notre discorde... Ce serait difficile d'éviter David Cavendish alors que je squattais sa maison pourtant. Impossible peut-être...

2 février 2003 ; "You wake up in the night and you feel like everything around you is surreal."
"Comment tu peux me faire ça ?" Je la regardais ahuri, ma fourchette suspendue en l'air. Elle avait gardé le silence toute la journée et elle décidait MAINTENANT de discuter de ça ? Je crispais un poing sous la table, luttant contre le tremblement naissant de mes muscles incontrôlable. "Lise, je ne suis pas sûr que ce soit le moment..." Ma fourchette se mit à osciller au-dessus de mon gâteau et je la posais précipitamment avec un petit raclement de gorge à l'intention de mon boss et de sa femme. "Ah non ? Alors quand ?" Je ne pus retenir un regard noir. Dire que j'avais tenté de lui annoncer avec tact ce matin, tentant en vain de la faire parler de ce qu'elle ressentait. Cette maladie nous détruirait, je l'avais su à l'instant même où le médecin avait ouvert la bouche et prononcé le mot "Parkinson". "A la maison... Merci Madame Perkins, le repas est délicieux et ce gâteau au chocolat est une pure merveille !" C'est à ce moment que la situation m'échappa et je reçus avec à peine un frémissement le contenu du verre de ma femme dans la figure. Je me levais lentement avec une moue résignée. "Désolé.. Je crois que c'est le signal du départ", glissais-je, tentant de faire une pointe d'humour. Pourtant, je n'en avais pas le coeur. Depuis moins d'une semaine, je savais que mon espérance de vie en pleine capacité de mes moyens avait été réduite à une peau de chagrin. Et en plus, celle qui prétendait m'aimer me rendait la tâche ardue. Quelle tâche ? Celle de vivre le plus longtemps possible sans me laisser abattre, sans laisser cette saloperie diriger mon existence. J'empoignais la jolie rousse par le coude et la trainait vers l'extérieur avec autant de calme et de retenue qu'il était possible, ma gorge était en feu de retenir la colère qui montait en moi. Je l’asseyais de force dans le taxi avant de me glisser à ses côtés, les mains prises d'un tremblement incontrôlable. Elle leva vers moi des yeux horrifiés. "Contente ?", lâchai-je avec amertume avant de m'enfermer dans un mutisme concentré, bagarrant contre mes propres muscles, mes propres influx nerveux. J'en aurais hurlé de rage et de dépit.

Une fois à la maison, je la bousculais un peu, incapable de maintenir ma voix un ton plus bas. "Merde Lise ! Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ?! J'ai jamais eu aussi honte de ma vie ? Pourquoi il a fallut que subitement, tu parles de ça ?! Et puis de cette façon ?! Tu crois que je le fais exprès ? Que j'avais envie d'avoir cette putain de maladie ? Tu crois que je suis content ? Tu crois que je ne sais pas que demain matin tu auras mis les voiles ? Enfin c'est pas comme si c'était la première fois !" Elle éclata en sanglot, agitée autant que mes doigts, marmonnant des paroles inintelligibles. Je savais qu'elle n'avait pas les épaules pour ça. Je savais que ce mariage était mort avant d'avoir existé. Pourtant je l'aimais. Du moins, cela ressemblait-il à l'amour. Au coup de foudre en réalité. Il y a cinq ans, nos regards s'étaient croisés et malgré nos violentes disputes et nos longues séparations, j'avais eu gain de cause. Elle avait dit oui. Si j'avais su qu'à peine quelques mois plus tard, j'étais condamné à être emprisonné dans mon propre corps, jamais je n'aurais sorti cette alliance de ma poche... Je m'approchais d'elle, lui relevant le menton. Ses yeux verts brillants de larmes me scrutèrent, effleurant mon âme et je lâchais prise, l'embrassant doucement, profitant d'une dernière étreinte. Cette nuit-là, nous fîmes l'amour avec ce fébrile désespoir, cette tendresse intense qui goute amèrement l'adieu.

Plus tard, les lèvres contre son oreille, je murmurais doucement, essayant une dernière fois de la retenir, de la garder. "On a surmonté la perte de notre enfant... On peut survivre à ça. Je t'en prie..." Je ne vis pas ses yeux s'emplir de larmes ni la douleur passer dans son regard, ses lèvres se pincer au point de devenir blêmes, torturée par son mensonge. Le lendemain, elle était partie.


8 novembre 2010 ; "This is not everything you are"
J'écrase une clope distraitement, le cendrier déborde. Je fronce le nez avant de me détourner de la catastrophe à venir, les cendres ne risquent pas de faire le moindre dégât. Je poursuis mon rapport, concentré, changeant de main lorsque ma main gauche se prend l'envie de danser une gigue. Je jure mais persévère. Je soulève ma tasse de thé et empêche de justesse un mouvement saccadé. J'avale un nouveau comprimé. Depuis des jours, je cherche en vain la dose, la fréquence, le meilleur timing pour prendre mon traitement. J'ai beau jouer les hommes parfaits lors des réunions d'entraide : je n'en mène pas plus large que les autres... Je sais juste une chose : si je veux, je peux. Ma volonté est plus forte que Parkinson. Toute mon attention se fixe sur les soubresauts incongrus et lentement mais surement, je les maitrise. Un sourire se dessine sur mon visage, la fatigue et la détresse s'envole. Je suis plus fort que toi, vermine. Ici, c'est moi qui commande. Je ne me résume pas à ma maladie. Je. Suis. Plus. Fort.  

1 janvier 2015 ; "Following the map that leads to you"
"On se voit la semaine prochaine Thomas ?! Bonne soirée" Je refermais la porte derrière lui avant de me pincer l'arrête du nez avec un petit soupire. Ce type était une véritable énigme pour moi. Et je ne pouvais me résoudre à rester dans la perplexité : pas avec l'importance qu'il avait aux yeux d'Elsa. Pas alors que la curiosité me rendait malade. Je me laissais tomber dans mon fauteuil et jetais un coup d'oeil par la fenêtre. Sur la rue, une jolie blonde se jeta sur mon patient et je grimaçais. Elsa. Je ressentais pour elle bien plus que de l'amitié ou cet instinct protecteur qu'ont tous les parrains de l'association pour les Parkinson précoces. J'allumais une cigarette, ouvrant en grand ma fenêtre et regardant le petit "couple" s'éloigner sur le trottoir. C'était irrationnel, mais j'aurais donné beaucoup pour être à la place de ce type étrange, avec elle accrochée à mon bras avec tout le désespoir du monde. Il était son roc. Moi, j'étais juste celui qui la gardait sur les rails et j'étais déjà reconnaissant pour ça. De toute façon, depuis Lise, je me gardais de faire le moindre pronostic sérieux à propos des femmes et de leurs attachements. Je souris, ma cigarette aux lèvres quand on frappa à la porte. "Docteur Edenshaw ? Je sais que je n'ai pas rendez-vous mais j'ai vraiment besoin de parler." Je hochais la tête et désignais le salon où je recevais mes patients assis (je suis contre ces conneries de mise en confiance ect). J'écrasais ma cigarette sur le rebord de la fenêtre.  

AVENGEDINCHAINS
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:31 par Invité
eh beh, ça a été rapide x)

bienvenue et bon courage pour ta fiche Would you let me see beneath your beautiful 1922099377
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i am every word i ever said.
Jake O. Cavendish
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:33 par Jake O. Cavendish
oh god, il a été pris super rapidemeeent Would you let me see beneath your beautiful 3903491763 en même temps, le scénario gère Would you let me see beneath your beautiful 878725457
excellent choix donc, TONTON EDENSHAW Would you let me see beneath your beautiful 1942225346 Would you let me see beneath your beautiful 1942225346 Would you let me see beneath your beautiful 2823179453
bienvenue sur LC et bon courage pour ta fiche Would you let me see beneath your beautiful 1922099377 Would you let me see beneath your beautiful 1973890357
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:41 par Invité
OMG DEJA Would you let me see beneath your beautiful 878725457
Bienvenue à toi & excellent choix de scénario Would you let me see beneath your beautiful 3209449636 Would you let me see beneath your beautiful 1973890357

Bon courage pour ta fiche & n'hésite pas à nous contacter en cas de besoin Would you let me see beneath your beautiful 208687334
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:43 par Invité
le scénario et l'avatar. Would you let me see beneath your beautiful 3585889792
bienvenue parmi nous. Would you let me see beneath your beautiful 2107231163
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:45 par Invité
Primrose B. Lewis a écrit:
eh beh, ça a été rapide x)

bienvenue et bon courage pour ta fiche Would you let me see beneath your beautiful 1922099377
On fait ce qu'on peut  Would you let me see beneath your beautiful 3903491763
Merci  Would you let me see beneath your beautiful 2237618149

Jake O. Cavendish a écrit:
oh god, il a été pris super rapidemeeent Would you let me see beneath your beautiful 3903491763 en même temps, le scénario gère Would you let me see beneath your beautiful 878725457
excellent choix donc, TONTON EDENSHAW Would you let me see beneath your beautiful 1942225346 Would you let me see beneath your beautiful 1942225346 Would you let me see beneath your beautiful 2823179453
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Plus rapide que la lumière, rendez-vous tous ou se sera la.. Enfin on a compris  Would you let me see beneath your beautiful 902495459 Merci mon petit neveu  Would you let me see beneath your beautiful 3729335241

Elliana J. C. Hawkins a écrit:
OMG DEJA Would you let me see beneath your beautiful 878725457
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Merciiiii Would you let me see beneath your beautiful 2894325006
Si je suis là c'est en grande partie grace à toi : j'ai calé pendant 20 minutes sur ta signature GG sur Bazzart Would you let me see beneath your beautiful 1303875830 Du coup j'ai zyeuté LC Would you let me see beneath your beautiful 955919189


IVANA : merci Would you let me see beneath your beautiful 1922099377 Would you let me see beneath your beautiful 1922099377
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:50 par Invité
OMG ce service express. Je meurs Arrow
Bienvenue et très bon courage pour ta fiche, si t'as des questions sur le scénario, hésite pas à me mp Would you let me see beneath your beautiful 1973890357
Bref, love I love you (et un peu de hate aussi parce que Thomas Arrow )
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:54 par Invité
OMG service express Would you let me see beneath your beautiful 1922099377 Would you let me see beneath your beautiful 1922099377 I am dead Would you let me see beneath your beautiful 4094582668 Would you let me see beneath your beautiful 4094582668

Bienvenue parmi nous et merci de tenter notre scénario Would you let me see beneath your beautiful 148846623 Je suis très contente qu'il ait pu attirer ton attention Would you let me see beneath your beautiful 1942225346 Si tu as la moindre question n'hésite pas à aller embêter Thomas (Would you let me see beneath your beautiful 3903491763 ), moi c'est juste pour les jolies choses genre Would you let me see beneath your beautiful 2507724822 :limon: You made our day Would you let me see beneath your beautiful 705448254 puis le titre de la chanson - laisse tomber Would you let me see beneath your beautiful 3209449636

Hate de découvrir ta fiche. Make LC like home Would you let me see beneath your beautiful 3309736386
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() message posté Dim 14 Juin 2015 - 18:59 par Alycia Hemsworth
Service plus qu'express Would you let me see beneath your beautiful 878725457.
Bienvenue Would you let me see beneath your beautiful 1922099377, bon courage pour ta fiche Would you let me see beneath your beautiful 208687334.

En attendant d'être validé tu peux venir papoter sur la cb ou faire un tour dans les jeux & le flood pour faire plus ample connaissance avec nous Would you let me see beneath your beautiful 2336905461.
Et si tu as besoin, n'hésite surtout pas Would you let me see beneath your beautiful 1973890357.
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