"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici milo - not on drugs.  2979874845 milo - not on drugs.  1973890357
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milo - not on drugs.

Anonymous
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:36 par Invité

Milo Ippolito Calabrese

London calling to the faraway towns
NOM(S) : calabrese, typiquement italien. PRÉNOM(S) : milo. ippolito. il déteste son second prénom, alors forcément, luna s'amuse parfois à l'utiliser pour l'agacer. ÂGE : vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : écrire ici. NATIONALITÉ : italienne. STATUT CIVIL : célibataire, pas très pressé de se poser. MÉTIER  : pour l'instant, glandeur professionnel, mais il va très vite trouver de quoi s'occuper. TRAITS DE CARACTÈRE : loyal, franc, bout-en-train, sarcastique, narcissique, protecteur, possessif, serviable, joueur, observateur, extraverti, culotté, gourmand, passionné, curieux, emmerdeur. GROUPE : double-decker.



My style, my life, my name

sa chambre ressemble à un champ de bataille, qu'il camoufle quand il reçoit une jolie fille en jetant toutes ses affaires sous son lit. (+) il s'arrange toujours pour ne pas faire le ménage et jusqu'ici, il y est toujours parvenu. (+) grand gamin, milo continue à bouder quand on ne le satisfait pas, à tirer la langue après une mauvaise remarque, ou à construire des tentes avec ses draps lorsqu'il n'arrive pas à dormir. (+) la gourmandise est sans doute ce qui le caractérise le mieux. il a toujours faim, et ne refuse jamais des frites, même à trois heures du matin. (+) à la minute où il commence son café, il devient soudainement une vraie crème. (+) il tombe amoureux tous les quatre matins, mais ça dure aussi longtemps qu'une partie de jambes en l'air. (+) il dit qu'il ne fume plus, mais c'est faux, c'était juste une occasion pour séduire une fille qui lui plaisait beaucoup trop. il continue de piquer des cigarettes à luna derrière son dos. (+) il boit comme un trou, et tient très bien l'alcool, même s'il avoue le contraire (ça lui permet de les laisser se saouler pour ensuite les prendre en photos dans des postures compromettantes qu'il publie dans les réseaux sociaux). (+) il s'attache très vite aux gens, aussi bien pour leur personnalité, que pour un petit détail futile comme un grain de beauté sur le menton. (+) c'est un sale gosse, qui passe son temps à expérimenter de nouveaux plans foireux, à s'aventurer dans des soirées louches pour vivre de nouvelles aventures et à piéger ses amis dès que l'ennui le prend. (+) il a un problème avec l'autorité, et n'écoute que son instinct et ses envies du moment. autant dire qu'il est mal parti dans la vie. (+) il a un chien, un gros colosse, qui est aussi affectueux que le maître, c'est dire s'il est collant. (+) en amitié, milo donne tout, et sans doute un peu trop. prêt à tout quitter pour une âme en peine, c'est le meilleur ami du super-héros, présent dans les bons, comme dans les mauvais moments, sans jamais rien demander en retour.
PSEUDO : eachann. ÂGE : vingt ans. PERSONNAGE : scénario.  AVATAR : julian schratter. CRÉDITS : smmg (avatar) & lequa (icons). COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : bazzart. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: nope.



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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:37 par Invité
At the beginning

« Tu dors ? » Autour de lui, le silence. Il se tourne vers le corps inerte à sa gauche, s’allonge sur son flanc pour être plus à l’aise. Appuyé sur sa main, il  observe la petite fille qui semble dormir à poings fermés. Doucement, un doigt vient toucher sa joue. Parfois, elle fait mine d’être assoupie pour l’agacer, et depuis, il n’est plus vraiment dupe. Elle joue bien la comédie, mais il commence à connaitre ses petites habitudes. A son contact, elle ne bouge toujours pas. Alors il s’approche de son visage, son oreille tourné vers ses narines à la recherche d’une quelconque anomalie. « Tu dors pas. » Assure-t-il en posant une nouvelle fois un doigt sur sa joue. Pour toute réponse, elle fronce des sourcils et lui tourne le dos, mais elle ne répond toujours rien. Elle a l’air bien endormie, la petite. Milo lâche un long de soupir de désespoir, puis retombe sur le matelas. Il ne cherche pas à la réveiller, il connait le sort qu’elle lui réserverait. Ses yeux accrochent plutôt le plafond décoré d’étoiles superficielles. Il a encore du mal à se faire à sa nouvelle vie. Le silence n’est pas une mélodie qu’il a l’habitude d’entendre. Autour de lui, dorment normalement une dizaine d’autres enfants, comme lui, sans attaches, sans noms, avec pour seule identité un prénom. Lorsqu’il ne parvenait pas à trouver le sommeil, il lui suffisait d’écouter plus attentivement les ronflements d’Alessandro, et ça finissait par l’apaiser. Il avait pour rituel d’entendre les mêmes bruits, les mêmes sons. Les pas des sœurs qui traversaient le couloir à cette même heure, alors que Leandro se jetait littéralement dans son lit, de peur de se faire attraper la main dans le sac. Comme s’il était chez lui, ses petites habitudes avaient un côté rassurant. Il connaissait tout de cet endroit pour y avoir vécu de longues années. Il savait comment se comporter à telle ou telle situation, à qui parler, ou qui éviter en cas de problèmes. Et lorsqu’il était prêt à retrouver Morphée, Luna se glissait dans ses draps. Elle savait contrer les interdits pour retrouver Milo. Aussitôt, il perdait le sommeil, et l’écoutait lui raconter ses histoires de petites filles incomprises. Luna, elle était marrante comme fille et avec elle, il trouvait toujours le moyen de s’amuser. Evidemment, quand ils se faisaient prendre par l’une des sœurs, c’était moins drôle, mais pour Milo, ça valait le coup. Au moins, il savait à quoi s’attendre.

Aujourd’hui, il est encore un peu perdu. Nouvelle famille, nouveaux parents, nouvelle chambre. S’il n’aimait pas beaucoup son quotidien parfois morose, il réalise qu’il était toutefois attaché à sa routine. Heureusement, Luna est toujours là. Et puis, ses parents sont plutôt sympas dans leur genre. La mère est un peu bizarre, mais elle se donne un genre. Elle a peur que Milo ne l’apprécie pas, alors elle joue les femmes cools, qui le laissent tenter ses propres expériences, qui se disent que c’est mieux de faire des erreurs par soi-même pour les comprendre plutôt que d’interdire des choses sans qu’il n’en comprenne le véritable sens. Elle veut lui faire découvrir les joies d’avoir une vie confortable, alors elle n’hésite pas à en faire un peu trop, plutôt que pas assez. Son mari, lui, est plus sévère, mais il ressemble à un gros nounours, alors il n’est pas très crédible. Il est plus doué dans le rôle du papa poule qui lui propose une partie de football. Milo l’aime bien, même s’il a décidé qu’il préférait sa femme, parce qu’elle est moins intrusive. Lui, n’arrête pas de répéter qu’ils sont mignons Luna et lui, et c’est parfois pesant pour un petit garçon comme Milo, qui clairement, trouve cette idée plus que ridicule. Il trouve ça même, de ses propres mots « dégueulasse ». Non mais vraiment, on aura tout entendu dans cette maison ! Et puis finalement, en réalisant que de part cette idée saugrenue, ses parents étaient très ouverts à l'idée de le voir passer du temps avec elle, il ne proteste pas.

Force est de constater qu'il n'y aura jamais rien d'autres entre eux qu'une profonde affection, le père Calabrese abandonne bien vite l'idée qu'ils finissent un jour ensemble. De toute façon, Luna et sa mère déménagent. Milo hurle et pleure toute la soirée en apprenant la nouvelle, et promet de les suivre en se cachant dans la valise de la petite fille, ce qui, évidemment, ne parvient pas à convaincre ses parents de les rejoindre au Royaume-Uni. On lui dit que s’ils s’en vont eux aussi, d’autres pleureront son départ, mais rien ne semble changer l’humeur massacrante du petit garçon. Luna, c’est la dernière personne qui le rattache à son passé, et c’est aussi la plus importante. L’enlever, c’est lui ôter une partie de lui-même. « Vous pourrez toujours vous appeler et vous envoyer des lettres, » qu’on lui répète toute la journée, mais pour Milo, cette phrase a autant de sens qu’une possible fin du monde. Il boude, décide de faire la grève de la faim (qui ne dure pas plus longtemps que quelques heures) et finit par accepter la séparation des semaines plus tard, réalisant bien que se morfondre ne changera pas les choses. Plutôt que de déprimer dans son coin, il lui écrit régulièrement des lettres, et tous deux en viennent même à se vanter de leur écriture. Milo lui raconte comme les boucles de ses « l » sont belles, ce à quoi elle répond que de toute façon, y’a que les filles qui écrivent encore comme ça. En contrepartie, il lui dessine une tête de mort, amenant un nouveau jeu qui les occupent plusieurs mois. Ce n'est plus vraiment pareil maintenant qu'elle n'est plus là, mais on peut faire mine que c'est toujours le cas.

(...)

Cachés derrière un mur, Milo et Simone gloussent en tentant vainement de retenir leurs rires. Face à eux, le nouveau voisin de son meilleur ami, décontenancé après avoir éteint le feu naissant sur le paillasson et s’être pris une giclée d’excréments de chien. Voilà comment le duo démoniaque souhaite la bienvenue dans le quartier. L’homme d’une quarantaine d’années grogne, et maudit celui qui a eu cette idée, jetant des coups d’œil à droite et à gauche en espérant secrètement tomber sur les chenapans. C’est à ce moment-là que Milo retient sa respiration, tandis que Simone ne parvient pas à retenir le nouvel éclat de rire qui lui échappe. Oups. C'était si bien parti pourtant. Le jeune homme d’une quinzaine d’années le frappe à l’épaule pour lui intimer de cesser immédiatement au risque d’être découvert, mais trop tard, le nouveau voisin se dirige vers eux avec la ferme intention de les corriger. Attrapant alors le bras de son acolyte, Milo court dans la direction opposée. Commence alors une course poursuite dans les rues de l'Italie alors que les deux adolescents rient de leur bêtise. C'était probablement une mauvaise idée de s'attaquer à un homme aussi athlétique que monsieur Cochello mais Milo ne regrette rien de ce coup monté. Habitué à se jouer des autres, il est loin de manquer d'endurance et le jeune homme, accompagné de son compagnon, parvient finalement à le semer après quelques tours. Ils soufflent comme des bœufs mais ils ont réussi leurs coups. Cet adversaire était de taille. Tandis qu'ils tentent de reprendre un rythme cardiaque normal, Simone pose soudainement une main sur la bouche de l'italien, mimant un geste avec l'autre qui lui demande de ne plus bouger. Derrière eux, des pas se font entendre. Monsieur-je-suis-baraqué n'a pas fini de se faire entendre, mais pour l'heure, il ne fait que passer près d'eux, sans s'apercevoir de leur présence. Après qu'il ait disparu de leur champ de vision et probablement quitté le parc, Milo s'autorise à se détendre. « J'ai cru qu'il nous lâcherait plus, » qu'il annonce entre deux rires, euphorique. Il n'entend pas la réponse de son meilleur ami qu'on le percute si violemment qu'il en fait perdre l’équilibre à son interlocuteur. « Eh ! » A peine baisse-t-il les yeux qu’il tombe sur une demoiselle à la longue chevelure blonde, habillée d’une petite robe rouge. Un vrai cliché ambulant. Le genre de filles qu’on ne croise que dans les films américains romantiques. Elle a les yeux verts, et quand elle lui lance un regard noir, Milo passe nerveusement une main dans les cheveux. Simone, lui, rit dans son coin, ce qui a le don d’agacer l’adolescente. « C’est quoi ton problème ? » Qu’elle lui demande, plus qu’irritée. Néanmoins, elle accepte quand même la main tendue du garçon pour se relever. « C’est toi qui t’amuses à me percuter à chaque coin de rue. » Qu’il rétorque tandis qu’elle sort de son sac un paquet de fraises tagadas. Aussitôt, les deux billes de Milo s’illuminent, mais s’éteignent bien vite lorsque celle-ci le lui refuse avec un sourire sardonique. « Tu vois, ça ? » Qu’elle dit en agitant le sachet devant sous les yeux globuleux de son ami. « Et bah, pour la peine, t’en auras pas. » Feignant une mine vexée – la bouche ouverte, les sourcils froncés – Milo croise des bras et sans un mot de plus, commence à s’en aller dans la rue opposée. Si cette attitude ne marcherait pas avec un autre, Norma saute à pieds joints dans le piège. Comme à chaque fois, elle revient aussitôt vers lui, se jetant littéralement sur son dos pour s’agripper à son torse comme un koala le ferait avec une branche. Sans avoir eu le temps de réaliser le poids sur lui, il en tombe à la renverse et tous les deux finissent sur l’herbe après le cri ultra masculin de Milo. Elle l'embrasse sur la joue, et après un temps, qui semble être une éternité pour le jeune éphèbe, elle se redresse grâce à l'aide de Simone, qui vient ensuite enlacer tendrement la petite blonde. Le problème quand on sort en trio, c'est que y'en a toujours un qui finit par tenir la chandelle. Sur ce coup-ci, Milo s'est toujours retrouvé sur le banc de touche, même alors que Norma était d'abord intéressée par lui, avant de se jeter sur son meilleur ami. Si seulement il s'était décidé plus tôt, les choses auraient été différentes.  

(...)

« Tu devrais vraiment t’en aller. » Silence glacial entre les deux anciens meilleurs amis. Plusieurs années sont passées, Milo est toujours resté bloqué sur Norma, malgré plusieurs histoires qui lui ont plus ou moins marqués. C’est compliqué de passer à autre chose quand cette personne vient vous dorloter toute la journée sans aucune arrière-pensée. Il a fait avec. Comme le parfait gentleman qu’il est, il a regardé ses deux meilleurs amis s’embrasser aux soirées, danser collé-serré ensemble sans même se rendre compte de l’impact que cela pouvait produire autour d’eux. Et puis, ils ont grandi. Simone a délaissé Norma au profit d’autres filles, d’autres soirées. Faut dire que ça devenait presque platonique. Elle est devenue jalouse pour un SMS, un regard, pour un rien, pour tout et n’importe quoi et lui, ça l’amusait parce qu’au moins elle réagissait, alors il a continué. Ils se sont déchirés, puis aimés à nouveau, et encore et encore. Milo a assisté à leurs nombreuses ruptures, aux pleurs de la blonde, aux coups de gueule du brun, sans jamais pouvoir se positionner. L’éclate totale. Jusqu’à ce soir. Elle est venue frapper à la porte de Milo, comme à chaque fois qu’elle a besoin de parler de ses sentiments envers Simone. Elle lui a dit que ce n’était qu’un con, qu’elle ne comprenait pas pourquoi est-ce qu’elle l’avait choisie au détriment de celui qui avait toujours été auprès d’elle. « C’est pas bien », qu’il lui a répondu, mais trop tard, à peine commençait-il à reculer qu’elle l’avait embrassé et qu’elle était déjà prête à s’offrir à lui. Le voilà dans la pire situation qui puisse exister. Ce n’est pas lui, le problème, il le sait, et pourtant, il s’en veut de n’avoir jamais pu tourner la page, d’avoir entretenu ce qu’il n’aurait jamais dû. Alors il est face à elle, comme un idiot, et il est perdu. A la place, il lui a demandé de s’en aller, sans trop savoir où ça les mènerait dès la porte refermée. « Je suis désolée. » Ouais, bah, tu ferais bien. Il aimerait bien pouvoir le lui dire, mais plutôt que de commencer une dispute, il hoche de la tête. Ouais, je sais, qu’il lui fait comprendre et puis c’est tout. Elle s’en va, après un dernier regard échangé. C’est con, parce que même après ça, il l’aime quand même, sauf qu’il ne peut pas.

Il tourne en rond dans son appartement, rumine la mauvaise aventure, puis décide de tenter - vainement - de penser à autre chose. Il appelle une vieille connaissance et il apprend que Luna n’est pas au plus haut de sa forme et que ce serait bien s’il avait un remède contre la déprime. Il en oublie Norma et ses problèmes pour immédiatement joindre Luna. Ce qui est bien avec elle, c’est que même alors que ça fait des semaines qu’ils n’ont plus discuté, elle répond quand même à son appel sans lui poser une quelconque question. « Salut Luna. » Elle tarde un peu à ouvrir la bouche, et lorsqu’elle le fait d’un simple « salut Milo, » elle n’a pas l’air dans son assiette. Les doutes se confirment finalement bien plus vite qu’il ne le pense. Milo fronce des sourcils, convaincu que quelque chose s’est passé. On lui en avait raconté, mais il ne pensait pas que cela puisse être aussi important. Il n’a pas besoin de l’avoir sous les yeux pour lire en elle comme dans un livre ouvert. Son ton est un peu mou, comme lorsqu’elle tombe malade ou qu’elle est triste. C’est rare que de telles occasions se présentent alors quand cela arrive, tous ses sens sont en alerte. Il aimerait bien pouvoir la rejoindre, ou l’avoir en face de lui pour qu’ils puissent vraiment discuter sans devoir parfois se répéter. A la place, ils n’ont droit qu’à quelques heures d’usage un peu formel, des « ça va », « oui et toi ? », des « tu me manques » et autres formules qu’ils ne prononcent même plus. Plus besoin de le faire, c’est si peu intimiste. Plutôt que de la rejoindre là-bas alors même qu’il ne peut vraiment quitter Rome en cette période de l’année, une toute autre idée lui est venue en tête. « J’ai besoin que tu me rendes un service. »  - « Quoi ? »« Tu veux venir à Rome quelques temps ? » La conversation est aussi simple qu’un bonjour. Pas le temps de discuter, pas le temps de savoir si son emploi du temps le lui permet. On s'en fout, soyons un peu fous. Elle hésite quelques secondes. Elle pèse peut-être le pour et le contre, qu’il pense. « Ouais. »    
(...)

« Wah, mais c’est quoi cette baraque ? » Milo en est tout retourné de voir un endroit aussi cool que l'appartement dans lequel Luna vient de l'emmener. Il savait qu'elle servirait à quelque chose un jour ou l'autre, il avait décidément bien fait de la garder comme amie. Le temps de poser ses bagages sur le sol, il lui suffit d’un regard vers elle pour qu’ils se mettent à courir dans toutes les pièces – sans même en profiter pour observer la vue – à la recherche de la meilleure chambre. Ils chahutent, se jettent des oreillers et se hurlent dessus sans que l’un ne puisse comprendre l’autre tant ils rient. Forcément, ils se battent presque lorsqu’ils se retrouvent coincés dans le couloir, l’un comme l’autre, cherchant à se glisser vers la dernière salle. Elle se jette à son cou pour l’écraser de tout son poids mais Milo tient bon et parvient à entrer le premier dans l’antre. Evidemment, il réalise bien vite que la meilleure chambre est la première qu’ils ont visitée, mais trop tard, Luna le dépasse en un rien de temps. C’était bien la peine de faire tout ce cinéma pour avoir une petite chambre. Mais c’est pas si grave, parce qu’ils sont ensemble, et qu’en plus, ils sont à Londres – ce qui ne l’empêchera toutefois pas de bouder toute la soirée, en vain. Il n’avait jamais mis les pieds à Londres avant d’y aller avec Luna. Force est de constater qu’il avait fallu d’un décès pour qu’il visite le pays dans lequel elle a grandi, Milo est cependant satisfait de l’avoir suivi. Après tout le chemin qu’ils avaient parcouru, de leur cohabitation à Rome durant quelques semaines à la découverte des parents biologiques de Luna, il était hors de question que ce nouvel événement les sépare. Elle en avait besoin, et lui aussi. C’était l’occasion de rattraper le temps perdu, et d’être présent pour elle. Et puis, il fallait bien avouer que l’ambiance électrique entre ses deux amis ne lui manquait pas depuis qu’il était parti. Il ne voulait être nulle part ailleurs.
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:38 par Invité
Aah, le fameux Milo milo - not on drugs.  1922099377 (si je me trompe pas sur qui ton perso est XD)

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche ;)
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:39 par Invité
Bienvenue parmi nous. milo - not on drugs.  1973890357
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:39 par Invité
Bienvenue I love you
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:40 par Jake O. Cavendish
bienvenue sur LC et bon courage pour ta fiche milo - not on drugs.  1922099377 milo - not on drugs.  1973890357
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Hazel J. Chase
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:45 par Hazel J. Chase
Bienvenue !! Bon courage pour ta fiche !! milo - not on drugs.  2406027045
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:48 par Invité
Le scénario de Luna milo - not on drugs.  3209449636
Bienvenue parmi nous milo - not on drugs.  1922099377
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 21:50 par Invité
merci tout le monde milo - not on drugs.  208687334

Kaspar F. Hansen a écrit:
Aah, le fameux Milo milo - not on drugs.  1922099377 (si je me trompe pas sur qui ton perso est XD)

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche ;)
c'est bien le fameux milo, j'étais attendu ? milo - not on drugs.  3585889792
merci I love you
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() message posté Mar 12 Mai 2015 - 22:01 par Invité
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. milo - not on drugs.  2941632856 Si tu as des questions on est là. milo - not on drugs.  1973890357
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