"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici 'cause i'm your maid (milo) 2979874845 'cause i'm your maid (milo) 1973890357
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() message posté Lun 3 Aoû 2015 - 23:03 par Invité

'cause i'm your maid ✻ Milo et Léolyah

Le ciel londonien est éclairé d'un soleil éblouissant. Peu d'habitant de cette ville était habituée à un tel éclairage naturel. Habituellement, ils vivaient plutôt cachés par les nuages. C’est pour cette raison que, lorsque les rayons percèrent à travers les rideaux de la brunette, celui-ci eu l’impression, dans son rêve, de se retrouver au commissariat sous la lampe éblouissante d’un des officiers. Léo sort difficilement de son sommeil en se frottant les yeux. « Saleté de soleil … Je savais que j’aurais dû fermer les volets … » se dit-elle intérieurement. Au moins, elle n’était pas en garde à vue, ça la rassurait un peu. Se levant difficilement, elle reste assise au bord du lit pendant quelques minutes. Peut-être même s’est-elle endormie de nouveau. Peu importe. Elle est obligée de se lever lorsque Gucci, son husky, saute sur ses genoux. Certainement pour lui demander quelque chose. « Oh mais dégage ! » Léo adore son chien mais jamais le matin, pas au réveil. Elle était un peu antisociale avant son premier café et sa première clope. D’ailleurs, elle se lève et fait couler sa dose de caféine sans plus tarder. Allumant sa cigarette, elle tire sa première bouffée de la journée et sent aussitôt ses muscles se détendre au passage de la nicotine dans son sang. Ah, les addictions. Elle savait qu’elle devait arrêter tout ça mais bon, ce n’était certainement pas aujourd’hui qu’elle le ferait. Une fois sa tasse terminée, elle s’avance vers son chien pour la caresser. Celle-ci agite aussitôt la queue en réponse au passage de sa main. « Désolé mon bébé … » lui dit-elle comme pour se faire pardonner des mots qu’elle avait dit un peu plus tôt. Bon, elle était persuadée que sa chienne n’allait pas lui en tenir rigueur. Elle lui met un peu de croquette dans sa gamelle ainsi qu’un peu d’eau avant d’ouvrir la porte de la baie vitrée pour lui permettre d’aller dans le jardin. Le soleil lui brûle légèrement la peau à son passage. Léolyah reste ainsi, sous les rayons du soleil, jusqu’à ce que son téléphone la sorte de son état second. L’iPhone dans la main, elle fait glisser son doigt sur l’écran pour le déverrouiller en voyant qu’un nouveau message de Milo venait d’arriver. « Léo, j’ai besoin de toi, s’il te plait. » lit-elle à haute voix. Elle lève les yeux au soleil. Comme si elle ne le connaissait pas … Ce n’était pas la première fois qu’il lui faisait le coup alors … Décidant de ne pas lui répondre, elle dépose son téléphone sur la table du salon avant de retourner sur la terrasse. Elle sort tout le matériel nécessaire, se trouvant dans une boîte en métal trônant sur le meuble de la télévision, afin de se rouler un joint. Une fois celui-ci allumé, elle ne peut s’empêcher de repenser au message de Milo et surtout à ce que cela signifie. C’était plus fort qu’elle. Après avoir tiré deux bouffées, peut être trois, elle se lève, se dirigeant en vitesse vers la salle de bain. Dix minutes et une rapide douche plus tard, elle enfile un débardeur blanc ainsi qu’un sort noir et des baskets féminines avant de monter dans sa voiture, le reste de son joint à la main. Sans plus attendre, elle prend la direction de Camden Town, au nord de la ville, pour se rendre chez le brun. « P*tain … C’est mon seul jour de repos. Tu fais chier Milo. » se dit-elle en tournant sur la gauche, dans la rue du jeune homme avant de garer sa voiture. Elle sonne à la porte en redoutant ce qu’elle allait trouver derrière celle-ci …
crackle bones
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() message posté Sam 29 Aoû 2015 - 2:12 par Invité
Sa chambre est un bordel sans nom, plus que d’habitude, et ça ne peut plus durer. Ce soir, il attend du monde, et il ne peut pas se permettre de laisser un tel désordre. Ca gâcherait l’image du parfait gendre qu’il se traine. Des vêtements trainent sur le sol, recouvrant certains cadavres de bière et quelques assiettes vides. Il lui suffit d’un coup d’œil pour être immédiatement découragé. La flemme le prend. Le ménage, sa terrible bête noire. Heureusement, Milo trouve toujours une bonne idée pour se sortir d’un mauvais pas pareil. Léo, j’ai besoin de toi, s’il te plait. Et sans plus attendre, il appuie sur le bouton « envoyer » de son portable. Il a utilisé le « s’il te plait » volontairement, en ajoutant un petit smiley de rigueur pour pouvoir l’amadouer. Si elle avait été en face de lui, il lui aurait lancé les yeux du chat potté. Elle aurait adoré. Il est un peu tôt, et il ne doute pas un seul instant qu’elle a surement autre chose à faire que de le rejoindre, alors il a fait un effort en se montrant adorable. Milo prend même la peine de préparer un plateau de petit-déjeuner qu’il lui offrira en récompense de son dur labeur. Il en profite pour piquer une tartine quand soudain, la sonnerie retentit dans la demeure. Ah, là voilà. Elle n’a pas tardé. Il savait qu’il pouvait compter sur elle. Si tentée qu’elle soit de le planter, Léo ne pouvait jamais s’empêcher de revenir vers lui, guidée sans aucun doute par son côté un peu trop maniaque. C’est une bonne chose, il y a du boulot et seul, Milo ne risque pas d’avancer. La tartine dans la bouche, il lui ouvre la porte. Les bras grands ouverts, il lui lance un sourire, qui se veut à la fois charmeur et chaleureux. « Léooooo » la salue-t-il, la bouche encore pleine, en l’étouffant de ses bras pour la serrer contre lui. Il se montre bienveillant, parce qu’il sait qu’elle risque de lui faire savoir comme elle aurait très certainement préféré rester chez elle plutôt que de jouer les femmes de ménage. Evidemment, il ne l’a pas seulement appelé pour qu’elle range sa chambre, parce qu’il est quand même heureux de la voir. Elle est cool comme fille, Léo. Elle sait comment passer un bon moment. « Entre, » lui dit-il en s’écartant pour la laisser entrer dans le salon. Il ne lui laisse pas le temps de le sermonner qu’il reprend avec un enthousiasme un peu trop exagéré. « Tu vas voir, ça va être cool ! » S’exclame-t-il en lui lâchant un clin d’œil suggestif. Tu parles que ça va être cool, elle va passer l’aspirateur dans sa chambre pendant qu’il l’observera dans un sourire innocent, mais il tente quand même de la motiver, comme un chauffeur de salle le ferait avant une émission ultra chiante. « Surtout avec la surprise que je t’ai préparé. » Il lui annonce la couleur en se faisant languir, sans en dire plus sur sa fameuse « surprise ». Ce n’est rien d’autre qu’un petit-déjeuner en sa compagnie, mais c’est toujours mieux que rien. Et si elle fait les choses correctement, elle l’aura peut-être plus vite que prévu. Il lui prend la main, l’amène déjà vers sa chambre dans un sourire énigmatique. « Mais tu la verras pas tout de suite, tu t’en doutes. » Qu’il lui dit innocemment. Il s’amuse avec elle et se laisse désirer, parce qu’il sait qu’elle est comme lui, qu’elle est plutôt impatiente comme fille. Ce ne serait pas drôle sinon. Et ainsi, elle a une bonne raison de se prendre au jeu. « Tu me sauves la vie, tu le sais ça ? » Qu’il lui demande en battant des cils, enroulant son bras autour de son cou. Il cherche à l’attendrir, à jouer de ses charmes avant qu’elle ne découvre le séisme qui a ravagé sa chambre. Certainement qu’elle ne s’en remettra jamais après ça.  Ils n'en sont pas encore là, Milo laisse le suspens jusqu'au bout, à tel point qu'il l'arrête devant la porte de sa chambre pour lui laisser le temps de s'y préparer psychologiquement.
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() message posté Dim 30 Aoû 2015 - 0:37 par Invité

'cause i'm your maid ✻ Milo et Léolyah

Après avoir sonné à la porte du jeune homme, celui-ci ne mit à peine une demi-seconde pour venir l’ouvrir. La bouche pleine, il tenta de crier mon nom avant de me serrer dans ses bras comme si sa vie en dépendait. « Miloooo » Répondis-je, en caricaturant sa voix avant de sourire légèrement face à cet excès de chaleur humaine. Il fait uniquement ça parce que tu vas encore lui faire son ménage ! J’ignore ma conscience qui me toise en tapant du pied. Milo me lâche enfin et je me permets de jeter un coup d’œil dans le salon. Visiblement, ce n’était pas si grave que ce que j’aurais pu imaginer. A vrai dire, j’avais connu pire carnage dans son appartement. Il m’invite à entrer en se décalant. Je me demande intérieurement où se trouve le lieu du crime. Je le connaissais assez pour savoir qu’il ne m’avait pas invité de la sorte pour pouvoir partager un café avec moi. « Tu vas voir, ça va être cool ! » Tu parles. Ça va être cool pour qui ? Pour lui ou pour moi ? « Surtout avec la surprise que je t’ai préparé. » A vrai dire, même si je sais que ce ne sera pas réellement une surprise comme pourrait l’entendre le commun des mortels, cela intrigué légèrement ma curiosité. « C’est quoi comme surprise ? Un costume de soubrette ? » Dis-je en levant les yeux au ciel avec exagération avant de laisser un léger rire s’échapper d’entre mes lèvres. Même si je savais ce qui m’attendait, sa bonne humeur était contagieuse et puis, de toute façon, je ne pouvais pas laisser un être humain vivre dans un bordel comme savait le mettre le jeune homme. Il l’attire vers sa chambre en lui prenant la main. Un instant, je me demandais s’il m’avait vraiment invité à faire le ménage. Puis, je me remémorais son SMS où il m’avait indiqué qu’il avait besoin de moi en ajoutant un « s’il te plait », ce qui ne pouvait signifier qu’une seule chose. « Mais tu la verras pas tout de suite, tu t’en doutes. » Arquant un sourcil, j’avais un peu perdu le fil de la conversation. Ah, la fameuse surprise. Je secoue la tête de gauche à droite tout en patientant pour qu’il se décide enfin à me montrer ce que j’allais devoir faire. Et puis, plus vite j’aurais vu, plus vite je me mettrais au travail, et plus vite j’aurais le droit à cette « surprise » qu’il me resservait en laissant tant de suspens concernant sa nature. « J’espère que j’aurais au moins le droit à un bisou après. » Dis-je, accompagné d’un clin d’œil. Mon pied tapotait légèrement contre le sol de l’appartement sous l’impatience. « Tu me sauves la vie, tu le sais ça ? » Quel beau parleur celui-là ! Et qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour que je lui fasse son ménage. Je souris en voyant ses cils danser devant ses yeux tandis que son bras se posait autour de mon cou. Une fois devant la porte de la chambre, il s’arrête un instant avant de l’ouvrir. Bon, il compte me faire attendre encore longtemps ou quoi ? Je m’échappe de son étreinte avant d’avancer vers la porte me séparant encore du lieu de son crime. Une fois celle-ci ouverte, mes yeux sortent de leurs orbites face au désastre de sa chambre. « Mais merde Milo … » J’étais à court de mot. Comment un homme pouvait-il foutre autant de bordel dans une seule pièce ? Et puis cette odeur, ce n’était pas vivable. Enjambant plusieurs tas de vêtements, de chaussure et de reste de nourriture disposé sur le sol, j’ouvre la fenêtre afin de prendre une grande bouffée d’air. « Tu aurais pu me prévenir que la troisième guerre mondiale avait eu lieu dans ta chambre Milo. Comment tu fais pour faire ça ? » Dis-je, encore sous le choc, en montrant sa chambre vaguement.
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() message posté Dim 30 Aoû 2015 - 22:05 par Invité
Milo connait son rôle par cœur. Il joue les lovers avec son sourire Colgate et il est tactile – parfois trop sans le vouloir – en se montrant chaleureux et accueillant avec la demoiselle. La technique est bien rôdée, puisqu’utilisée et peaufinée depuis des années. Chacun de ses gestes est en réalité parfaitement calculé et cadré à la personnalité qui se trouve devant lui. C’est plus facile avec une frangine – il s’en sert comme cobaye. Heureusement que Luna ne voit pas ce qui se trame dans l’appartement, elle aurait bien fait de se moquer de lui et de ses effusions sentimentales. Léo, c’est une fille qui apprécie les contacts humains, qui ne refuse jamais un petit câlin ou un baiser perdu au coin de la lèvre. Forcément, Milo s’en donne à cœur joie, à tel point qu’elle n’hésite pas à se moquer un peu de lui. Elle imite parfaitement son timbre de voix qui tire vers les aigus quand il cherche à attendrir quelqu’un, ce qui le fait sourire un peu plus. Elle fait semblant, mais il est certain qu’elle apprécie beaucoup son petit ménage. Elle en redemanderait presque. Presque, parce qu’il ne l’a pas convié pour ce genre de choses – quoiqu’ils pourront toujours en débattre après le ménage fait. Il rit avec elle lorsque l’idée du costume de soubrette se dessine dans son esprit. Ah ouais, carrément, mais pas pour lui, pour elle alors. Ca ne le dérangerait pas de se trimballer dans une tenue pareille – entre amis, il a fait bien pire – mais ce serait tout de même plus intéressant de voir une jolie fille comme elle dans cette situation. « Non, mais on peut s’arranger. » Lui répond-il, clin d’œil à l’appui. La journée ne fait que commencer, ils auront tout le temps de passer par un magasin de farces et attrapes pour acheter quelques déguisements. Avec Leo, en plus de s’y prêter au jeu, il ne doute pas que l’histoire puisse se pimenter d’une autre manière. A peine pense-t-il à cette possibilité qu’elle met les pieds dedans. Elle n’en manque pas une. Elle veut des baisers ? Elle en aura des tonnes – forcément, Milo est quelqu’un de serviable, il ne se permettrait jamais de le refuser à une fille qui en a si envie – mais pas tout de suite. « Je deviendrai même ton esclave sexuel si tu veux, » rétorque-t-il sur le même ton. C’est dit, elle est prévenue. La caresser dans le sens du poil pour qu’elle lui sauve la mise ? Facile pour Milo, c’est sa spécialité. Et en plus, il y gagnera autant qu’elle dans cette récompense. Pas bête, hein. Lorsqu’ils arrivent devant sa porte, il lui laisse le temps d’y réfléchir à deux fois avant de lui ouvrir son antre. Elle peut toujours changer d’avis et s’en aller, il ne lui en voudra pas – même s’il ne préférerait pas, mais Léo, sans peur, entre dans sa chambre et le regard qui se dessine malencontreusement sur son visage fait glousser Milo. Ouais, c’est pas très glorieux. Mais c’est pas de sa faute, il n’aime pas faire le ménage. C’est chiant, et puis, c’est quand même une perte de temps sur son emploi du temps si chargé. A sa question, il hausse des épaules, toujours aussi amusé par le ton si dramatique qu’elle a employé. « J’sais pas. Ça me vient naturellement. Tu crois qu’à ce stade-là, c’est un don ? » Plus qu’un don, pour sûr. Il serait payé à foutre le bordel, il serait riche depuis tellement longtemps. Il préfère en plaisanter plutôt qu’en pleurer. Il lui a montré pire, c’est relativement soft aujourd’hui. Il s’approche d’elle pour poser sa tête sur son épaule, un grand sourire sur les lèvres. « Tu comprends mieux pourquoi est-ce que j’ai besoin de toi ? Tu vas m’aider, hein, dis ? » Il se comporte comme un adolescent, et il n’en a même pas honte. Avec son sourire innocent et ses grands yeux mélancoliques, elle ne peut qu’accepter. « Promis, t’auras tous les bisous du monde. » Il se redresse, glisse jusqu’à son oreille, et ajoute dans un murmure : « …et même plus. » C’est tentant, non ? Il ne peut pas faire mieux, il lui a sorti tous les arguments du monde.
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() message posté Lun 31 Aoû 2015 - 16:24 par Invité

'cause i'm your maid ✻ Milo et Léolyah

Je connaissais suffisamment le jeune homme pour savoir qu’il était prêt à tout pour que je lui fasse son ménage. Et aujourd’hui ne faisait pas exception à la règle : son comportement était absolument exagéré. Ses excès de chaleur humain, sa voix attendrissante, ses promesses de surprise à la fin de mon œuvre. Tout cela était uniquement pour que je ne prenne pas mes jambes à mon cou une fois que j’aurais vu le carnage qui m’attendait. Sa remarque concernant le costume de soubrette me fit sourire légèrement. Tu m’étonnes qu’on puisse s’arranger. Quel homme refuserait qu’une jeune femme face son ménage en costume de soubrette ? C’était une scène digne d’un film pornographique. D’ailleurs, il me semble que Jayden en avait un de la sorte sur son ordinateur quand je vivais encore en Australie. « Je deviendrai même ton esclave sexuel si tu veux, » Je me mords la lèvre inférieur en plongeant mon regard dans le sien. Vu de l’extérieur, la scène qu’ils étaient en train de vivre devait certainement ressembler à une mauvaise comédie à petit budget. « J’y compte bien Milo ! » Dis-je, la voix remplit de sous-entendue. Bon, pour le moment, je n’étais pas venue pour ça. Quelque chose d’autre m’attendait. Et c’était beaucoup moins une partie de plaisir. Je n’étais pas sûre que Milo tienne ses promesses après, mais de toute façon, je ne sais même pas si j’aurais encore le courage de faire quoi que ce soit de sexuel une fois que j’aurais rangé son appartement. Et puis d’ailleurs, ce ne serait pas vraiment une récompense uniquement pour moi mais aussi pour lui. Il était vraiment intelligent ce mec. En plus de lui faire son ménage, il gagnerait une partie de jambe en l’air. En ouvrant la porte de sa chambre, je tombe enfin nez à nez avec mon programme pour l’heure suivant. Ou même pour le reste de la journée. Utilisant un ton dramatique, je lui fais remarquer que la troisième guerre mondiale s’était déroulée dans sa chambre. Je l’entends glousser dans mon dos. « J’sais pas. Ça me vient naturellement. Tu crois qu’à ce stade-là, c’est un don ? » Je tourne le visage en sa direction avant de me mettre à rire. Heureusement d’ailleurs qu’il avait un sens de l’humour hors du commun. Sinon, je n’aurais jamais mis les pieds chez lui. Même si faire le ménage n’était pas ma passion ultime, ça me permettait de passer un bon moment à rire des conneries du jeune homme. « J’ai même pensé Guinness Book dans la catégorie homme qui est capable de foutre le bordel dans une pièce en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. » Je souris avant d’aller ouvrir la fenêtre pour ne pas mourir d’asphyxie. Milo me rejoint pour poser sa tête sur mon épaule. « Tu comprends mieux pourquoi est-ce que j’ai besoin de toi ? Tu vas m’aider, hein, dis ? » Je souris face à son comportement puéril. Pire qu’un gosse celui-là. « Promis, t’auras tous les bisous du monde. Et même plus … » Dit-il, la voix pleine de promesse. Alalah, s’il n’existait pas celui-là, il faudrait l’inventer. Je lui fiche un léger coup au visage pour le repousser. « Tu as intérêt à tenir tes promesses Milo ! » Dis-je en commençant à rassembler les affaires sales se trouvant dans sa chambre, éparpillé aux quatre coins de la pièce. « Ramène moi le plus gros sac poubelle que tu trouves et tous les produits ménagers que tu as. » Sans tourner le visage en sa direction, je sentais qu’il n’avait pas bougé de sa place. Levant enfin les yeux vers lui, je le vois se passer la main dans les cheveux. « Roh, t’es pas possible toi ! » Je lâche le tas de vêtements avant d’aller chercher ce dont j’avais besoin pour ranger le désastre qu’il avait foutu dans sa chambre. Sous l’évier de la cuisine, je trouve le nécessaire pour rendre la pièce un peu plus saine à vivre et retourne auprès du jeune homme. Le sac poubelle entre les mains, j’y mets toutes mes trouvailles. De la nourriture avariée depuis plusieurs jours, des papiers en tout genre, etc … Je prie intérieurement pour ne pas retrouver un préservatif usagé ou quelque chose du genre. Avec Milo il fallait s’attendre à tout.
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() message posté Lun 7 Sep 2015 - 21:42 par Invité
Le jeu d’acteur que lui offre Milo semble plaire à Léo. Elle se mord la lèvre, ne le quitte pas des yeux alors qu’il lui lance un clin d’œil empli de sous-entendus après sa réponse. Il note l’allusion claire à la suite des événements. Elle est réceptive à ses avances. Milo est taquin et joueur, mais ça ne le déplairait pas de jouer les esclaves sexuels pour elle. De son côté, dans les yeux de la brune, il ne saurait pourtant différencier le réel au jeu. La frontière est fragile entre eux. Il leur arrive de passer une journée calme et tranquille devant un film autour d’une pizza, de quelques bières et joints sans qu’il n’y ait aucun sous-entendu de toute la nuit, puis le lendemain, se retrouver dans le même lit après un regard de travers. Difficile donc parfois pour lui de savoir où mettre les pieds. Pressée d’en finir avec cette tâche loin d’être agréable, elle agit comme si elle était chez elle, et entre dans sa chambre aussi vite qu’elle est apparue sur le pas de sa porte. Comme un courant d’air. Bien malgré la réflexion qu’elle lui lance, Milo garde sa bonne humeur et sa joie, et ne voit rien d’autre à lui répondre qu’une énième plaisanterie. Par chance, elle rit elle-même à la connerie qu’il lui dégaine pour justifier le désordre de sa chambre. Elle surenchérit, et Milo se remet à rire de plus belles. Ouais, il devrait peut-être y penser plus sérieusement et postuler dans cette catégorie. Et si elle n’existe pas, c’est l’occasion d’en créer une nouvelle. Y’a tellement de records stupides et étranges classés dans ce bouquin que nul doute qu’il y a sa place. « Tu crois que ça paye ? J’veux dire, est-ce qu’il me paye si je parviens à battre un nouveau record ? » Non parce que sinon, ça ne sert strictement à rien, si ce n’est d’avoir son nom inscrit sur un livre que personne ne regarde. Cela dit, s’il est possible de se faire un peu d’argent, il ne dit pas non. Beau joueur, il donnera même une petite partie à Léo pour lui avoir donné la bonne idée. Ils pourront aller se faire un petit resto ensemble pour fêter ça. Tandis que Milo se perd dans la possibilité de devenir riche, son amie ne perd pas de temps pour aérer un peu la pièce. Il ne s’en était pas rendu compte – après tout, il vit dedans tous les jours qu’il s’est indirectement habitué à l’odeur – mais ça sent le renfermé, et un mélange un peu curieux de chaussettes sales et autres joyeusetés. Alors qu’il tente de l’amadouer un peu plus, elle n’hésite pas à le frapper sur la tête pour le repousser de son épaule, ce qu’il fait après un « eh ! » un peu boudeur, avant de hocher vivement de la tête à ses paroles. Bien sûr qu'il les tiendra, ces promesses, pour qui est ce qu’elle le prend ? Il sait s’y prendre avec les femmes, et sait récompenser les bons travailleurs comme Léo. Alors qu’elle commence déjà à s’affairer à ranger quelques-unes de ses affaires, Milo s’installe sur le lit, et l’observe faire des allers-retours dans un sourire victorieux. Il ne l’écoute même plus, plongé dans la contemplation de sa femme de ménage attitrée. Elle est vraiment trop cool, Léo. Ce n’est que lorsqu’elle hausse de la voix, puis disparait dans l’appartement pour chercher elle-même ce dont elle a besoin. Il lève un sourcil, intrigué, puis se remet à sourire en la revoyant revenir avec le nécessaire. « T’es canon comme ça. » Qu’il se permet de lui dire alors qu’elle jette tout ce qui lui passe sous la main dans le gros sac poubelle. De bonne humeur, il décide finalement de lui donner un coup de main après la grimace qui se dessine sur son visage à la découverte d’un string sale – qui ne lui appartient clairement pas. Il pose une main sur son cœur tandis que l’autre se lève devant lui, en signe de serment. « C’est pas à moi, j’le jure ! » Ca se saurait quand même, que Milo porte des sous-vêtements de ce genre. Et en parlant d'intimité, elle tombe cette fois-ci sur un préservatif usagé. « Ah... ça, c'est à moi, » concède-t-il.
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() message posté Mer 9 Sep 2015 - 15:05 par Invité

'cause i'm your maid ✻ Milo et Léolyah

Malgré que Milo ait fait duré le suspens au maximum, je savais pourquoi j’avais mis les pieds ici aujourd’hui. Ses promesses de récompense n’étaient là que pour que je ne fuis pas son appartement à la hâte. Malgré tout, je me prends au jeu, lui faisant du rentre-dedans de manière explicite, surtout lorsqu’il m’annonce qu’il deviendra mon esclave sexuel. Les rires fusèrent après notre entrée dans la chambre, faisant que ma bonne humeur n’avait pas disparu malgré le désastre sous mes yeux. Tandis que je me hâtais pour ouvrir la fenetre pour faire aérer cette pièce puant le renfermé et le je ne sais quoi, Milo semblait perdu dans ses pensées. « Tu crois que ça paye ? J’veux dire, est-ce qu’il me paye si je parviens à battre un nouveau record ? » Je me mis à rire de plus belle. « Oh, tu es tellement doué qu’ils se sentiront obligé de te payer oui. » Dis-je entre deux rires. Il tente désespérément de m’amadouer, posant sa tête sur mon épaule que je repousse sans ménagement. De toute façon, il savait très bien que j’allais faire son ménage alors … Son petit cri me fit sourire tandis que je commençais à me mettre à ma tâche pour la finir le plus vite possible. Non pas parce que sa promesse m’attirait – même si c’était le cas – mais surtout parce que je ne comptais pas passer tout mon jour de repos à jouer la fée du logis. Lui demandant les produits ménagers qu’il possède, je me rends compte qu’il est étalé sur le lit, le regard posé sur moi. Soupirant lourdement, je me rends moi-même dans la cuisine cherché le nécessaire avant de revenir à peine une minute plus tard.

« T’es canon comme ça. » Dit-il, tout en continuant à m’observer. Je lui adresse un sourire forcé avant d’attraper la première chose qui me passe sous la main – une chaussette sale abandonné depuis plusieurs jours visiblement dans la chambre – pour la lui lancer en plein visage. Je me remets à ma tâche, priant intérieurement pour ne pas tomber sur quelque chose de dégueulasse. Surtout que je n’avais pas de gants pour protéger mes pauvres petites mains. Après avoir débarrassé la plupart du bordel se trouvant sur le sol de sa chambre, je me mets à genou, passe la main sous le lit pour attraper ce qui s’y trouvait. Au même moment, Milo se décide enfin à m’aider, dégotant un string sale. « C’est pas à moi, j’le jure ! » Je me mets à rire à sa remarque, tout en l’imaginant porter ce fameux string. C’était assez comique comme scène. Ma main toujours sur le lit, j’attrape enfin quelque chose. Un préservatif usagé. Je me retrouve avec un préservatif usagé dans la main, que je me dépêche de jeter dans le sac poubelle, frottant mes mains l’une contre l’autre pour avoir l’impression de retirer les bactéries s’étant déposé après cette trouvaille. « Ah... ça, c'est à moi » avoua-t-il de manière totalement naturel. « Tu es dégueulasse Milo merde ! »

Encore toute écœuré par ce que je venais de trouver, je file dans la salle de bain pour me laver les mains, les frottant de toute mes forces. « Tu n’as pas de l’acide chlorhydrique pour que je puisse décapé mes mains ? » Criai-je depuis la salle de bain en rigolant pour qu’il puisse m’entendre de la chambre. Ahh, c’était vraiment immonde. De retour dans la chambre, je le retrouve, un sourire moqueur plaqué sur les lèvres. Lui lançant une grimace – ce qui eut l’effet j’en suis sure de me donner un air tout à fait charmant, ou pas – je reprends le ménage où j’en étais, après avoir passé des gants et ne pas contaminer une fois encore mes pauvres mains. Une fois que tout était ramassé, je prends un produit nettoyant sur un chiffon pour faire un peu les poussières. Comment fait-il pour vivre ici sérieusement ? C’était la question que je me pensais sans cesse. Je me retrouve donc à genou une fois encore, nettoyant toutes les surfaces abandonnés par Milo visiblement depuis la dernière fois que j'étais venue ici pour faire le nettoyage de sa chambre.
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() message posté Mar 22 Sep 2015 - 22:40 par Invité
Il rit de bon cœur quand elle surenchérit sur l’argent qu’il pourrait se faire avec son talent inné pour foutre le bordel partout où il passe. Si seulement c’était aussi facile, il serait aussi riche que Crésus. Milo s’y met avec grand cœur dans sa quête de l’amadouer et la séduire avec ses belles phrases, ses compliments à chacun de ses gestes, et ses beaux yeux, mais ça ne marche pas comme il l’aurait espéré. Leo le connait, elle a l’habitude d’avoir affaire à ses techniques, alors elle en joue et ne tombe dans aucun de ses pièges. Même quand il lui fait remarquer comme elle est canon – ce qui est sincère, puisqu’il faudrait être aveugle pour ne pas voir comme c’est une belle femme – elle ne lui balance qu’un sourire forcé. Ca le fait rire de plus belles. C’est une femme difficile, on ne peut pas l’avoir aussi facilement, et forcément, ça plait beaucoup à Milo. Le challenge, c’est la meilleure chose qui puisse exister dans la séduction. Ce serait moins drôle si elle s’était déjà déshabillée et qu’elle l’attendait sur son lit avec un plumeau dans les mains. Bon, ça lui aurait plu, mais ça n’aura pas été aussi exaltant qu’en ce moment. Forcément, il a tellement hâte qu’elle en termine avec le ménage de sa chambre pour qu’ils puissent passer à l’étape suivante qu’il se décide à lui donner un coup de main. Il ne fait le minimum, pas grand-chose, juste de quoi l’aider un peu et lui prouver sa bonne foi. Il s’attaque au plus facile, celui de trier ses fringues qui trainent dans tous les recoins de la salle pendant qu’elle s’occupe du plus compliqué, de la poubelle. Elle tombe d’abord sur un string qui doit appartenir à l’une de ses anciennes conquêtes – et qui n’en a très certainement pas eu besoin puisque personne ne lui a demandé de la retrouver – puis sur un préservatif usagé, qui la dégoute à tel point qu’elle se précipite dans sa salle de bain pour se laver les mains. Il se met à rire comme un idiot, pose même une main sur son ventre tant il est euphorique alors qu’elle le traite de dégueulasse. Il veut bien le croire, et il comprend tout à fait sa réaction, il aurait eu la même s’il avait été à sa place. Fort heureusement, c’est loin d’être le cas. « Ca va, t’en as jamais vu peut-être ? » Lui demande-t-il sans cesser de rire de sa bêtise. Il savait qu’il ne s’ennuierait pas à ses côtés, mais il ne pensait pas que faire le ménage serait aussi drôle à ses côtés. Il l’entend dans la pièce d’à côté lui demander de l’acide pour nettoyer ses doigts alors qu’elle laisse elle-même échapper un rire. Il ne sait même pas ce que c’est que de l’acide chlorhydrique en italien, alors en anglais, il n’a aucune idée d’où est ce qu’elle veut en venir, lui qui n’a jamais entendu ce mot dans la bouche de l’un de ses amis. Il ne saurait même pas l’écrire sur une feuille, mais il imagine que ce ne serait sans doute pas conseillé de l’utiliser en tant que savon. « Ouh, la chochotte que t’es ! Moi qui pensais que t’étais une guerrière qui avait tout vécu ! » S’exclame-t-il alors qu’elle revient dans sa chambre, des gants sur les mains, en lui lançant une grimace tout à fait charmant, qu’il lui rend en lui tirant la langue comme un gosse de cinq ans. Après qu’elle ait repris ses émotions et qu’il ait fini de rire, ils reprennent les tâches ménagères. Il termine le tri de ses vêtements, range le propre et jette le reste dans un panier. Elle lui tend ensuite la poubelle quand elle a terminé, qu’il ferme soigneusement. Tandis qu’elle s’agenouille pour enlever la poussière, il quitte un instant la chambre pour jeter les détritus et descendre ses fringues sales jusqu’à la salle de bain dans laquelle une machine tourne déjà – celle très certainement des filles. Il en profite pour passer par le placard à balais pour attraper de quoi terminer le dernier boulot qui les attend. En la rejoignant, il pose le tout à l’entrée, puis s’attaque à ses draps, qu’il secoue dans tous les sens, avant de refaire correctement son lit. Lorsque le tout est fait, il s’autorise une petite cigarette. Elle est toujours perdue à la recherche de ses grands amis les acariens, mais elle a fait le plus gros et c’est déjà très bien. Ils passeront la serpillère après la petite pause qu’il a décidé de leur accorder. « T’en veux une ? J’crois que tu l’as largement mérité, » l’interroge-t-il en lui tendant la sienne.
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() message posté Dim 27 Sep 2015 - 12:50 par Invité

'cause i'm your maid ✻ Milo et Léolyah

Milo tentait par tous les moyens de me faire rester en utilisant le seul petit plus qu’il avait : son charme et sa belle gueule. Petit compliment, les yeux de chat potté, les belles phrases sonnant fausses. Tout était là pour me charmer, en vain. Avec le temps, j’avais appris à connaître son petit manège qui n’avait plus aucun effet sur moi. A mon grand étonnement, il bouge enfin ses fesses du lit pour m’aider. C’est certainement la première fois qu’il ne me laisse pas faire tout toute seule alors forcément, je me dis qu’il a certainement une idée derrière la tête. Après être tombé sur un string déjà porté par une ancienne conquête du jeune homme, voilà que je me retrouve avec un préservatif usagé dans les mains que je relâche aussitôt sur le sol. « Ca va, t’en as jamais vu peut-être ? » Dit-il en riant de plus belle tandis que je me précipite dans la salle de bain pour me laver les mains.

« Non, j’en ai jamais vu appartenant aux autres. » Dis-je, faussement énervée. Même si c’était dégueulasse, je me doutais un peu que j’allais tomber sur ce genre de chose. De la salle de bain, je lui demande de l’acide pour pouvoir de décaper les mains – bon, même si avec de l’acide chlorhydrique, je risquais surtout de perdre mon épiderme tout entier. « Ouh, la chochotte que t’es ! Moi qui pensais que t’étais une guerrière qui avait tout vécu ! » Je ris légèrement à sa remarque avant de retourner auprès de lui, des gants aux mains cette fois. Milo m’accueille en me tirant la langue, comme un enfant d’à peine trois ou quatre ans ce qui me fait sourire. Nous terminons chacun notre tâche, lui partant avec la bannette de linge sale tandis que je fais les poussières. A son retour, il allume une cigarette. « T’en veux une ? J’crois que tu l’as largement mérité. » J’attrape le tube de nicotine qu’il me tend et tire dessus. « Il me semble qu’il n’y a pas que ça que j’ai mérité Milo. » dis-je avec un regard suggestif, plein d’arrière-pensée.

M’installant sur le lit, ou plutôt, me vautrant sur le lit, je savoure le passage de la substance nocive dans mon sang avant d’étudier la chambre. Il me restait plus qu’à passer l’aspirateur et la serpillère et la pièce serait prête accueillir une énième conquête de Milo. « Bon alors, tu m’avais promis une surprise il me semble. » dis-je, un sourire aux lèvres comme une enfant qu’on emmène pour la première fois à Disneyland. Même si je me doutais que ce n’était pas une surprise digne de ce nom, il avait piqué ma curiosité à mon arrivée ici et désormais, maintenant que j’avais finis le ménage, je voulais savoir de quoi il s’agissait. Une fois la cigarette terminé, je me lève pour jeter ce qu’il en restait par la fenêtre, sans même regarder si des personnes étaient présentes dans la rue. Au pire, ça pourrait enflammer les extensions d’une blonde pétasse, ce qui me fit rire intérieurement rien qu’à l’imaginer.
crackle bones
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