"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici You take me from the dark + Rosemarie 2979874845 You take me from the dark + Rosemarie 1973890357
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You take me from the dark + Rosemarie

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() message posté Sam 25 Avr 2015 - 15:38 par Invité
You take me from the dark + Rosemarie Harry-STyles-Gif-14
Depuis le braquage, je n’avais pas eu de nouvelles de Rosemarie. Ce n’était pas dans mes habitudes de m’inquiéter mais lorsqu’il s’agissait de la jeune femme, je ne pouvais pas faire autrement. Elle s’était imposée dans ma vie sans faire aucun effort et aujourd’hui, je ne pouvais pas m’arrêter de penser à elle. Elle était plus importante pour moi que je ne l’aurais pensé et j’avais besoin d’être auprès d’elle. J’avais réussi à avoir le numéro de la jolie blonde mais elle semblait ne pas vouloir me répondre. Je ne savais pas comment j’avais réussi à tenir autant de temps mais aujourd’hui, je ne tenais plus et il fallait que je la vois qu’elle le veuille ou non. J’avais besoin de savoir qu’elle allait bien et même si je la voyais de temps à autres sur le campus, ce qui me pouvait qu’elle allait mieux, il fallait que j’en ai le cœur net. Je m’étais éloigné un petit peu, ne voulant pas la déranger, surtout pas après lui avoir révéler tout ce que j’avais bien pu lui  révéler lors de ce stupide braquage mais aujourd’hui, je n’en pouvais tout simplement plus. Ma patience était à un point de non-retour. Encore dans mon lit, je me battais pour rester encore un peu dans les draps blancs que ma mère m’avait imposé de prendre avec moi avant de partir. Les rayons du soleil essayaient de passer au travers de mes rideaux ne me laissant pas le choix que de me lever pour aller prendre une bonne douche. Je n’étais pas du genre matinal, il me fallait une bonne douche et un bon café avant de pouvoir être de bonne humeur mais c’était tout aussi relatif car je n’étais jamais vraiment de bonne humeur de toute manière. Je laissais alors l’eau chaude couler sur mon corps nu et resta comme çà pendant plusieurs longues minutes. Je n’avais envie de rien faire mais je fus bien plus rapide une fois que la pensée de Rosemarie vint jusqu’à moi. Voilà ma motivation pour la journée. Une fois près, j’enfilais alors une serviette autour de ma taille, et fila ensuite dans la cuisine pour prendre un rapide café. Je vis qu’il était déjà 11 heures passer, j’avais une bonne grasse matinée (surtout à cause de la soirée de la veille) mais maintenant, j’avais une chose importante à faire. Une fois entièrement près, je ne pris même pas la peine de prévenir Rosemarie que j’arrivais. Je savais qu’elle vivait non loin du campus, dans une résidence universitaire. Pour le reste, j’allais me débrouiller, en espérant qu’elle était bel et bien encore chez elle, sinon tant pis, je l’attendrais. C’était très simple, aujourd’hui, je ne faisais pas marche arrière, je la voulais, et je l’aurais, qu’il faille attendre une minute ou même 4 heures.

Je pris rapidement un taxi et lui dis de se rendre à Hampstead, un quartier que je ne connaissais absolument pas, mais un quartier qui semblait bien sympathique. Une fois arrivé, je trouvai rapidement l’immeuble de la jeune femme. Il y avait encore plein d’étudiants présents et prêts à s’amuser durant tout le weekend. Une fois à l’intérieur, je cherchai le nom de la jeune femme pour repérer où elle se trouvait. Je n’étais jamais venu ici auparavant, j’avais tout eu grâce à une de ses amies qui j’espérais n’allait rien lui dire sinon elle prendrait cher. Mais je crois que les menaces que je lui avais faites auparavant allaient la dissuader de dire quoique ce soit. Je pouvais être très persuasif lorsque j’y mettais du mien, et je n’avais pas du tout honte de çà. Une fois devant la porte, je frappais à celle-ci en attendant que Rosemarie ne vienne ouvrir. J’espérais qu’elle soit là et j’attendrais le  temps qu’il faudra si jamais elle était déjà sorti mais la connaissant elle était certainement en train de réviser ou bien d’étudier un devoir. Ne vous méprenez pas, je la connaissais bien plus qu’elle ne le pensait. Elle ouvrit la porte et j’eus un petit sourire de soulagement. Me reprenant alors, j’ouvris la porte en grand et entra dans sa chambre sans attendre qu’elle me dise d’entrer « Je suis content de voir que tu es là mais je ne me faisais pas de soucis, tu devais être en train de réviser » et j’étais certain de ne pas avoir tort. Une fois la porte fermée derrière moi, je lui pris la main et l’approcha vers moi sans lui laisser le choix « je n’en peux plus ! » et sans même lui laisser le temps de comprendre, j’avais pris son visage dans mes mains et avait rapidement déposer mes lèvres sur les siennes. Ce n’était pas un petit baiser, non, c’était un baiser sauvage, et elle pouvait sentir toute l’envie que j’avais rien qu’avec ce baiser. La poussant sans interrompre notre baiser, elle finit par se retrouver contre le mur, ne pouvait rien faire d’autre que de m’embrasser, car je savais qu’elle en avait envie tout comme moi.



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() message posté Dim 3 Mai 2015 - 23:23 par Invité
Se serait mentir si je disais que le braquage ne m'avait rien fait. Je pense qu'il me marquera a jamais l'esprit. De un, mes lunettes qui ne me servait pas à grand chose était en miette. Mais ça, ce n'est pas grand chose comparé à la cicatrice que j'ai sur le front. J'essaie de la cacher au maximum avec mes cheveux ou bien du font de teint. Chose que je n'ai jamais porté auparavent, autant vous dire que c'est une grande nouvelle pour moi. Le maquillage et moi n'avons jamais fait trop bon ménage. Mais maitenant que je devais porté cette petite cicatrice a vie, il faut bien que j'essaie de la rendre discrète au maximum. Je ne veux pas que l'on me défigure comme une bête de foire. Ce que les gens font pas mal en ce moment.Je ne sais pas si c'est en lien avec ce qui c'est passé dans la banque ou mon changement vestimentaire. Niveau psychologique, c'est vrai que je suis encore plus méfiante qu'avant. Déjà, je n'ai pas remit les pieds dans cette banque qui me fait faire des cauchemars toutes les nuits. Ensuite, je n'arrive plus a rester trop longtemps dans des endroits publiques. Encore plus lorsqu'il y a foule. Je ne sais pas si ce changemant d'attitude est seulement provisoire ou pour une durée permanente. J'espère qu'il finira par s'estomper au fil du temps. Vraiment. Vivre avec la peur au ventre chaque jour et à chaque instant, qu'importe les endroits, ce n'est pas vivable. Je me trimballe avec une bombe au poivre dans mon sac maintenant. Et je sais pertinemment que ce n'est pas une arme exceptionnel. Surtout que je ne m'en suis jamais servit. Mais ça ne doit pas être bien sorcier. Pendant ce braquage, je n'étais, heuresement pas seul. Aiden, le type a l'ego sudimensionner qui s'est bien tapé tout le campus entier était à mes côtés. Et, même si je le trouve insupportable, imbus de sa personne, il a été présent pour moi. Et j'ai découvert de nouveaux aspects de sa personnalités, que je soupçonnais déjà auparavent. C'est quelqu'un qui peu se montrer rassurant, qu'importe la situation, d'agréable, doux, sincère. Cette image que j'ai de lui aujourd'hui est totallement différente de celle que j'avais il y a un ou deux mois. Et, je préfère nettement cette aiden là que celui qui s'entête à montrer et a vouloir préserver. C'est une bonne personne. Et sans lui, je ne pense pas que je serais encore de ce monde. Je lui doit beaucoup. Seulement, je me souviens de tout ce que je lui ai dit pendant ce drame. Et je me souviens aussi de toutes les choses qu'il ma dîtes. Je suis gêner de m'être délivrer ainsi devant lui. Mais surtout, je ne sais pas du tout si, ce qu'il m'a dit était sincère ou bien si il souhaitait seulement me faire plaisir et me maintenir éveiller. J'espère qu'il pensait chaque mot qu'il a prononcer. J'ai vu son regard. Il était térrorisé et semblait vraiment sincère. Même si je lui en suit reconnaissante, je ne sais juste pas comment le remercier. Comment venir l'aborder de manière plus ou moins normal. Je l'évite donc, et ça n'as pas l'air de lui faire grand chose. Même si cette possibilité me fait un peu mal au cœur, je ne vais pas l'obliger à m'adresser la parole.

J'étais dans ma chambre, seule en tête à tête avec mes cours. C'est incroyablement passionant. Je prévient tout de suite, je ne sèche absolument pas mes cours. J'aurais du avoir cours, seulement mon prof est absent et donc, au lien de profiter du beau temps et de bronzer un peu, je préfère rester dans ma chambre. En sécurité et surtout, réviser. J'ai des examens important qui n'allait pas tarder à arriver, et mon accident qui dâte de quelques jours n'ont pas intérêt de jouer sur mes notes. Je ne veux pas de la pitié des profs ou des autres. Je veux être récompenser pour mon travail et rien de plus. La pitié, je déteste ça. Puis, je vais bien. A quelques choses près, évidemment. Alors que j'étas plonger en pleine lecture d'un de mes classeurs fraîchement rangé, j'entendis quelqu'un frapper à ma porte. Mon ventre se tord et je sentit la peur refaire surface. Une fois de plus. Je me leva avec un peu de courage et ouvrit d'abord légèrement la porte. En reconnaissant les boucles d'Aiden, je fut soulager et ouvrit d'avantage. Je ne sais pas ce qu'il me veut. Et avant que je n'ai le temps de lui demander, il entra de lui même. Mes yeux se levèrent au ciel et je ferma donc ma porte. « Je suis content de voir que tu es là mais je ne me faisais pas de soucis, tu devais être en train de réviser »  Mon regard se dirige instantanément vers mes cours et je finis par mordiller ma lèvre inférieur. Je suis si prévisible que ça ? « Tu me connais que trop bien. » Je sourit légèrement et reporta mon regard sur le sol, ne sachant pas quel tenue adopté. Généralement, je l'aurais envoyé balader et incendier jusqu'à ce qu'il parte de ma chambre. Mais les choses ont changer et je ne veux plus me battre contre lui. Contre ce que je ressens.Sa main prit la mienne dans la sienne et le rouge me monta au joue. Ma gorge se sécha et mon cœur prit une vive allure. Son corps se rapprocha du miens et mes yeux tombèrent dans les siens. « Aiden ?.. » c'est tout ce que j'arrivais a dire. A articuler ou a penser.  « je n’en peux plus ! » Je n'eu même pas le temps d'assimiler correctement ses paroles que ses mains encadrèrent mon visage et que ses lèvres écrasèrent les miennes. Brutalement. Mais comparé à ce que je pensais, c'était plutôt plaisant. Agréable. Contre toute attente, je ne le repoussa pas. Mes lèvres se mouve contre les siennes et mes yeux se ferment, pour mieux apprécier se contact qui, je me rappelle, m'avait promit. Mes mains vont dans sa chevelure folle et je me laisse pousser contre le mur. Je commence à perdre mon souffle, mais je n'arrive pas à me séparer de ses lèvres.Si douce, si sucré. Je ne me reconnais pas, mais sincèrement, je m'en fiche. Tout ce qui compte, c'est sa bouche contre la mienne. Ma langue vient caresser sa langue inférieur pour avoir accès à sa bouche tandis que mes mains glisse le long de son corps muscler. Une chaleur, intense, que je ne connais pas prend place dans mon corps. C'est tout nouveau pour moi, et, oh mon dieu, c'est vraiment très agréable. Pour rien au monde, je ne voudrais mettre fin à ça.
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() message posté Lun 4 Mai 2015 - 18:05 par Invité
You take me from the dark + Rosemarie Harry-STyles-Gif-14
J’étais un vrai con, je le savais parfaitement, je faisais chier mon monde mais j’étais ce que j’étais et tant pis, je me fichais pas mal de blesser quelqu’un ou bien de ce que pouvait bien penser de moi. Je faisais ma vie, je ne me prenais jamais la tête, même si parfois je pouvais très vite m’énerver. Ce qui était à moi était à moi et je n’aimais pas qu’on puisse tourner autour de ce que je voulais. Je ne savais pas comment m’y prendre avec les gens, je pouvais être assez virulent, que ce soit dans mes propos ou bien dans mes agissements. C’était tout moi, même si je savais très bien que je ne pouvais pas toujours dire que c’était moi et que je serais toujours ainsi. Les excuses, j’en avais pas mal, et pour être tout à fait franc, je les utilisais à outrance parce que je ne voulais jamais partir dans un débat sur ma petite personne. J’aimais ce que je représentais, je n’avais pas vraiment de soucis, alors à quoi bon polémiquer trop longtemps dessus ? Quoiqu’il en soit, depuis le braquage de la banque il y avait de cela plusieurs jours, je m’étais posé beaucoup de questions et ce n’était pas du tout mon genre d’ordinaire. Mais voir Rosemarie dans un tel état m’avait vraiment touché et m’avait fait prendre conscience que la vie pouvait être trop courte. Il fallait profiter de chaque instant, mais pendant combien de temps je réagirais de cette façon ? Pendant combien de temps je prendrais soin de Rosemarie ? Enfin, prendre soin était vraiment un très grand mot parce que je n’étais pas du genre à me poser, je n’étais pas quelqu’un qui croyait en l’amour, et bien au contraire, ce sentiment me rebutait au plus haut point et je ne voulais pas faire souffrir la jeune femme. Tout ce que touchais, je le brisais en général et elle ne méritait pas que cela lui arrive à elle. Je n’étais pas quelqu’un de bien pour elle, je le savais mais elle m’attirait, comme personne ne m’avait attiré, elle avait cette facilité à me faire perdre la tête, à me faire oublier toutes les choses que je m’étais promis. Elle avait le don de me faire penser à elle à chaque fois que je ne voulais pas penser à elle. Je me souvenais de chaque parole que je lui avais dite, de chaque geste que je lui avais donné et je me souvenais surtout de cette petite ouverture sur son front, de ce morceau de glace coincé là que je ne voulais pas du tout touché. J’ai eu très peur pour elle, et aujourd’hui, je me souvenais encore de la froideur qu’avais pu être sa peau à un moment. Cela avait été la première fois que je m’étais autant inquiéter pour quelqu’un, la première fois que j’avais eu vraiment peur de perdre quelqu’un et cette sensation m’avait vraiment fait très bizarre.J’avais tout fais pour ne pas qu’elle s’endorme, j’avais tout tenté pour qu’on puisse rapidement aller à l’hôpital mais j’avais déjà failli y laisser ma vie en voulant jouer les caïds que j’avais fini par rester près d’elle et ne rien faire d’autre. J’avais tout fais pour la protéger et lui avais promis des choses que je n’étais même pas certain de pouvoir accomplir. Il fallait à tout prix que je la vois, que je sache comment elle allait parce que ne pas réussir à la trouver sur le campus commençait à me rendre complètement fou. Je ne me reconnaissais plus du tout mais c’était comme çà et là il fallait juste que je me laisse aller. Je ne voulais plus qu’elle me repousse et j’avais un petit espoir pour quelle ne le fasse pas une fois que je me retrouverais devant elle. Une fois devant chez elle, je n’avais qu’une hâte, qu’elle ouvre cette porte et que je puisse enfin lui offrir ce qu’elle aimerait que je lui offre. Elle ne le savait pas mais je savais très bien qu’elle avait envie de franchir cette étape, elle avait envie de que je lui montre à quel point c’était bon de connaître certains plaisirs qu’elle ne connaissait pas encore. J’avais envie d’elle, et je ne pourrais pas admettre de repartir sans avoir enfin goûté à la jeune femme. Une fois à l’intérieur, je refermais immédiatement la porte, je ne voulais pas perdre une seconde et elle ne pouvait pas me repousser. Je ne l’admettrais pas. « Tu me connais que trop bien. » au moins elle le savait. Je la connaissais par cœur, en même temps, elle avait toujours été un livre ouvert avec moi sans même qu’elle ne s’en rende compte. La voir se mordiller la lèvre avait un réel effet sur moi et je ne savais pas encore combien de temps j’allais pouvoir me retenir. La chaleur commençait déjà à m’envahir le corps tout entier alors que seule ma bouche était contre la sienne. Mes lèvres se collant sur celles de la jeune femme. Je n’en pouvais plus et il avait fallu un stupide braquage de banque pour que je m’en rende compte. « Aiden ?.. » il n’y avait plus d’Aiden qui tenait, je n’en pouvais tout simplement plus et elle était une délicieuse torture à elle toute seule. Dans mon baiser, elle pouvait sentir toute la rage que je pouvais avoir, toute l’envie que j’avais. Je pouvais être un peu brusque mais j’en avais tellement eu envie depuis longtemps qu’il était difficile de rester tendre. Je mis alors un terme à notre baiser, je ne le voulais pas mais je ne comptais pas m’arrêter là de toute manière « Laisse-moi te montrer à quel point j’ai envie de toi, laisse-moi de toucher, t’embrasser » je passais mes mains sur ses épaules, les faisant descendre ensuite jusqu’à arriver à sa poitrine, cette jolie poitrine qui m’avait toujours fais de l’œil. Je descendis encore mes mains, ne voulant pas trop la déstabiliser encore pour les laisser sur ses hanches. Je rapprochais encore mon visage du sien, laissant une toute petite distance entre nos bouches, puis approchant ma bouche, je pris sa lèvre inférieur délicatement entre mes dents « Laisse-moi te montrer à quel point faire l’amour à quelqu’un peut être délicieux » j’en avais vraiment trop envie. Et je voyais bien qu’elle aussi. Mon regard planté finalement dans le sien, je repris ensuite possession de ses lèvres, laissant ma langue rencontrer la sienne.



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