"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Alone in the Dark but i'm a new guy. /w Elsa 2979874845 Alone in the Dark but i'm a new guy. /w Elsa 1973890357
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Alone in the Dark but i'm a new guy. /w Elsa

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() message posté Dim 28 Juin 2015 - 2:09 par Invité
Alone in the dark but i'm a new guy.
Ewan & Elsa

One way or another I'm gonna see you I'm gonna meet you, meet you, meet you, meet you One day, maybe next week I'm gonna meet you, I'm gonna meet you, I'll meet you ✻✻✻ Tu venais a peine de rentrer de Paris et te voila coincé dans cette pièce blanche avec ses capteur ses bip incessant. Tu voulais partir et fuir, car depuis trois jours c'était l'enfer. Tout ses gens qui venait te voir pour essayer de te rappeler qui tu étais te rendait dingue... Tu voulais le crier le hurler de te foutre la paix. Mais cela dit tu gardais ce sourire faux en espoir d'être tranquille et te pouvoir te remettre de tout cela. Trop d'informations dans ta tête sur l'instant et il fallait que tu prennes l'air, Tu te lèves prenant ta perfusion tenu par ce pieds à roulette et tu décides de sortir de la chambre, dans cette blouse qui te faisait défault, ouverte dans le dos tu étais heureux d'avoir un vêtement pour cacher ton posterieur. Tu marches d'un pas lent dans le couloir, tu voulais prendre l'air tu avais l'impression de ne pas être sorti depuis des années et tu avais envie d'entendre les oiseaux dont tu avais oublier le son et aussi sentir l'odeur de l'herbe dont tu avais perdu la sensation sur tes pieds. Tu arrives devant un distributeur, tu avais soif et tu glisses une piece dans la fente pour faire tomber une bouteille d'eau et tu la saisis pour sortir ensuite dans le petit jardin prevu pour les résident tu sentis les petits cailloux sur tes pieds te donnant une sensation qui te fit sourire tel un enfant avant de t'asseoir sur un banc observant le ciel... Tu voyais ses nuages tu les trouvais beau un coté triste de se laisser guider par le vent, le ciel était d'un bleu hypnotisant. C'était le début de l'été et tu aimais l'été enfin tu pensais l'aimais. Cette sensation de chaleur a la contact du soleil te rassurais et soudain t'eu des flash, une île verdoyante tout piéger par les nuages gris, cette odeur qui te semblait si familière et ce domaine ou tu te voyais joué enfant. Mais cela ne dura quelques minutes, ta mémoire revenais petit a petit et tu n'aimais pas cela... Tu étais au calme et tu semblais sereins. Quand tu aperçois une jeune femme arriver, elle était belle, ses cheveux ressemblaient au soleil et ses yeux au ciel... Qui était elle un age descendu du ciel? Elle aurait fait un plongeant dans ce ciel qui te tentais temps pour retomber et m'emmener avec elle, à cette idée tu eu un rire rien que d'y penser moi qui aurait aimé pouvoir me baigner dans ce ciel... Cela devait être plaisant. tu decides enfin à te lever et marcher sans le vouloir en direction de la jeune femme pour malheureusement tomber devant elle par maladresse un infirmier qui passait par là sorti pour acourir a mon secours, quel déchéance tu ressentais là.  «Monsieur Mackinnon vous allez bien? » tu te laissa relever mais gigota pour qu'il te lache: Oui oui... je vais bien lachez moi... tu avais l'impression d'étouffer tu ne supportais plus qu'on te touche ni qu'on te materne tel un enfant: Dois je prevenir le Docteur Lawford? tu fronca les sourcils alors que tu ne prenait pas tes menaces aux sérieux... Sincerement? Laissez donc Robin faire son travail... Et puis allez vous occuper de cette pauvre femme avec sa prothese a la hanche et laisser moi respirer... Tu soupires dans l'espoir d'être tranquille et puis tu regardes la jeune femme voulant t'excuser: Pardon... de vous importunez avec ce spectacle... Tu eus un sourire timide alors que tu n'aimais pas te donner en spectacle, l'infirmier s'en alla tant bien que mal.
✻✻✻
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() message posté Jeu 16 Juil 2015 - 1:42 par Invité

“It feels like the sky is falling down. I can't breathe in. I can't breathe out. I'm afraid I might drown so I'm just skipping stones and letting go, surrender to the water.”      « Mlle St. Claire. Vous ne pouvez pas refuser la médication plus longtemps. Les signes de votre dystonie s'accentuent. Le profil irrégulier de votre bras montre que vous crispez les doigts pour résister. Il faut commencer la Levodopa.» J'haussai les épaules en silence avant de me redresser. Le regard excédé de mon médecin s'attarda sur mon visage, mais je n'esquissai pas le moindre mouvement.  Je restais muette face à sa sollicitude. Je n'étais pas prête à défier le destin, à supporter les effets secondaires ou à combattre Parkinson. J’avais seulement envie de pleurer. Je penchai la tête en refoulant mes émotions. Je me sentais comme un oiseau sans ailes. Le ciel s’étendait à perte de vue, brillant et scintillant de milles couleurs merveilleuses mais je n’avais plus le droit de voler. Je fis la moue avant de sourire tristement. « Merci Docteur Moore. Je tâcherais d'y penser. » Je lissai les pans de ma robe avant de me diriger vers la sortie de la salle d'un pas claudiquant. Mes jambes étaient flageolantes. Elles tremblaient alors que je poursuivais mon chemin dans le long couloir de l’hôpital. Les autres patients glissaient contre les murs du hall avant de disparaître quelque part au loin, mais je ne prenais même pas le temps de le regarder. Je m’intéressais pas vraiment à leur sort. Je pensais uniquement au rythme de ma démarche inquiète. Je pensais à mon ambition inassouvie pour la calligraphie et le dessin. Ma respiration sifflante s'élevait dans ma poitrine alors que je flânais dans la promenade, à l'extérieur du bâtiment. C'était injuste.  Ils n’avaient pas le droit de m’empêcher de poursuivre mes rêves ; le destin, mes parents, les médecins, les symptômes … Tout le monde. Je me mordis la lèvre inférieure en refoulant mes larmes, puis je sortis mon téléphone afin de composer le numéro de ma meilleure amie. J'avais besoin d'entendre sa voix afin de réprimer mes frustrations, mais les tonalités se succédaient dans le vide avant d'être brisés par le son de son répondeur. Déçue, j'arquai un sourcil avant de baisser les yeux vers mon sac. Je marchais sans regarder où j'allais, sans me soucier de la direction que je prenais. Le vent me guidait vers l'inconnu et je me laissais porter par lassitude. Je n'avais plus aucune force. Je souriais pour l'apparence. Je riais pour la fierté. Mais je me sentais terriblement seule. Je serrai ma prise sur la lanière de mon portefeuille avant de sentir une légère secousse dans mon bassin. Je failli perdre l'équilibre en trébuchant contre une marche mais je me ressaisis à la dernière minute. Je m'arrêtai un instant et relevai mon visage vers l'agitation autour des allées fleuries. Il y avait un vieux couple, une femme avec des prothèses et un jeune homme qui protestait contre un infirmier pour une raison que je ne comprenais pas. Je battis des cils en observant ses grands gestes et les arabesques de sa chevelure de bronze. Il semblait m'avoir remarqué aussi, alors je lui adressai un hochement de tête courtois en me rapprochant.   Pardon... de vous importunez avec ce spectacle... Je me penchai vers lui. C'était étrange, mais je me sentais immanquablement attirée par sa présence, par les fluctuations mélodieuses de sa voix, par son air torturé et son regard vide.  « Je … Pourquoi vous vous excusez ? » M'enquis-je avec douceur. Il ne m'avait rien fait. Il était libre d'agir comme bon lui semblait dans un lieu public. J'observais sa tenue de bloc et les bouts de pansements qui apparaissaient à travers sa chemise entrouverte. Il venait d'être opéré ? Ce n'était peut-être pas une bonne idée d'engager la conversation comme ça. Je lui désignai un banc au milieu du jardin, l'invitant à me rejoindre puis je souris en détachant mes cheveux. « On peut s'asseoir … Je m'appelle Elsa. Enfin, Elizabeth mais il faut m'appeler Elsa pour me faire plaisir.   » Je serrai les cuisses en jouant avec les semelles de mes escarpins. « Et vous ? » Je lui adressai un regard complice, bien qu'on ne se connaissait pas réellement. C'était ça la solitude. Elle nous rendait fragiles et désespérés. Elle ne poussait vers les limites de l'indécent et nourrissait en nous, le besoin de retrouver un peu de chaleur humaine.  
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() message posté Sam 25 Juil 2015 - 20:34 par Invité
Alone in the dark but i'm a new guy.
Ewan & Elsa

One way or another I'm gonna see you I'm gonna meet you, meet you, meet you, meet you One day, maybe next week I'm gonna meet you, I'm gonna meet you, I'll meet you ✻✻✻ Je détestais les hôpitaux j’avais l’impression d’être enfermé dans une cage, moi qui fantasme sur ses oiseaux capable de voler et de prendre leurs liberté quand cela leurs chante ! Je passais mes journées dans mon lit à regarder le ciel à travers cette fenêtre et ses barreaux qui ne faisaient pas tellement la différence entre une prison et une chambre d’hôpital. On me prenait pour fou, car je leurs disais simplement que je voulais sortir… Mais pour Amnésique sortir dans Londres sans aide ni rien… Cela peut revenir aux suicides… Passer de Nothing Hill à Camden sans savoir où aller. La nuit je possédais les couloirs j’en étais le roi… Le roi de n’importe quoi, mais je m’amusais à marcher dans les couloirs passant devant la chambre des autres patients je me souviens encore de ses deux petit vieux qui dormait dans la 512… Leurs ronflement é tait synchroniser… L’un ronflé dans un ton plus grave que son voisin… On aurait dit une symphonie un genre de Requiem transcendantale qui pourrait réveiller les morts, il faisait trembler les murs eux qui étaient en rythme avec l’électrocardiogramme. Les nuits je les passais à piquer les oreillers des patients pour récupérer les plumes à l’intérieur de ses oreillers je les prenais un à un je les éventrer pour les coller dans ma chambre avec des pansements trouver dans des tiroirs au petit matin quand je savais que l’infirmière repasserai allait passer je cacher les ailes sous mon lit… C’était mon seul moyen de m’évader ne serait-ce que par l’esprit… Je ne pouvais plus entendre les gens se plaindre de mon état… D’être hypocrite alors que je vois bien de leur regard qu’ils ont de la pitié… Je n’en ai tellement pas besoin… Je m’en fou tellement de tout ça … je voudrais m’enfuir et me faire une nouvelle vie… Mais je ne savais où aller… Cette infirmière qui semblait trop belle pour faire ce métier sorti tout droit de mes rêves me faisant penser à un professeur de Mathématique dont lequel j’aurais pu fantasmer durant des années, mais c’est quand elle sort ses ustensiles que tout s’effondre et me faire voir la vérité en face… Elle n’est pas si canon que ça en fait, j’avais besoin d’air et je décide alors de prendre l’air, marchant tel un fantôme accompagner de ma perfusion de solution saline et autre truc aux noms imprononçable… C’est là que l’infirmier me prend à tête, après cette joute verbale j’aperçois cette jeune femme qui semblait surprise, je tente de m’excuser car je n’étais pas du genre à me donner en spectacle du moins je le croyais : « Je … Pourquoi vous vous excusez ? » Sa voix était douce aussi fluette que le son d’un Rossignol… Elle avait des airs d’arbre en fleur, et quand elle libera ses branches de l’emprise de ce chouchou je pouvais admirer cette beauté qui me fit tambouriner le cœur d’un rythme irrégulier dont j’avais du mal à contrôler, je lui esquisse un sourire envie de lui sortir une tirade Shakespearienne mais je me retiens : « Eh bien… Je n’aime pas me donner en spectacle… surtout dans cette prison trop propre pour en être une vraie… J’ai hâte d’en sortir… Mais dans mon état ce n’est pas pour tout de suite… » Soupirais-je et lui avouais-je d’une voix faiblarde, je sortais d’un coma et d’une lourde intervention j’avais du mal à m’en remettre, je n’étais pas habitué du moins je le pensais… Et Robin me l’avais dit l’effort physique sera douloureux pendant quelques mois du à mon nouveau cœur… Elle propose ensuite de sa belle voix : « On peut s'asseoir … Je m'appelle Elsa. Enfin, Elizabeth mais il faut m'appeler Elsa pour me faire plaisir. Et vous ? » J’affirme d’un hochement de tête cela me faisais du bien car je sens mes jambes me lâcher petit à petit, j’avais l’impression d’avoir le corps d’un vieillard alors que je n’ai même pas trente ans… Je la voix serrer les cuisses et jouer de ses escarpins… Elle était mignonne on dirait une enfant… Elle avait un prénom magnifique dommage qu’elle le raccourcisse ainsi, même si Elsa est un prénom magnifique aussi… Elle me demande alors mon nom alors qu’on marche d’un pas lent vers le premier banc je cherche quoi lui répondre… On dit que je m’appelle Ewan… Mais je n’étais pas convaincu j’avais cette impression que ce nom ne me correspondait comme si cela semblait faux finalement : « On m’appelle Ewan… Je ne serais pas te dire si c’est vraiment mon nom… En deux mois j’ai été John et Ewan… En tout cas enchanté Elsa dont j'aime le prénom. » Lui avouais, à mon amnésie j’étais connu sous John Doe l’inconnu du service cardiologie de l’hôpital de Buenos Aires. On s’assoit enfin je garde ma perfusion près de moi jouant nerveusement avec le cordon qui tirer sur l’aiguille planter dans ma veines cela procura une douleur qui me rappela que j’étais vivant… : « Pour tout avouer… Je ne me souviens de rien… D’après le Dr Lawford, je souffre d’amnésie global temporaire… depuis mon arrivé à Londres c’est l’enfer… Tous ses gens qui me connaissent qui me parle avec pitié ou pleure… j’ai l’impression de vivre dans la ferme des animaux de George Orwell… Mais en pire… » Je regardais dans les vide en essuyant mes plaintes… Je ne sais pas pourquoi je lui dis tout cela comme si je me sentais bien avec elle… Elle semblait ne pas me connaitre ça fait du bien et je le ressens… Mais cela m’intrigue même ses petits escarpin me sortent de mes pensées et je pose mon regard sur elle : « Et… toi. Enfin… Tu sembles ne pas convenir au décor… vous êtes venu rendre visite à quelqu’un ? » Beaucoup de patients résidait ici au GOS, comme si des fois ils en faisaient exprès.
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