"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Intrigue / Groupe 4 2979874845 Intrigue / Groupe 4 1973890357
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Intrigue / Groupe 4

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London is asking
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() message posté Dim 12 Avr 2015 - 11:55 par London is asking
Keep Holding On

GROUPE 4




Blessés, premières victimes transportées aux urgences ou personnel médical en service, vous vous trouvez aux urgences du Great Ormond Street Hospital dans une cohue sans nom. Le personnel se rue et se bouscule pour s'occuper aux mieux de vous et se préparer au prochain lot de victimes annoncées.
Paniqués, vous pensiez pourtant être hors de danger et entre de bonnes mains à présent... Jusqu'au premier coup de feu vers le plafond. Un homme s'avance aux urgences, arme à feu dans une main, une victime en appui sur lui dans l'autre : son frère, blessé lors du cambriolage a besoin d'être pris en charge. Vous serez les premières victimes si le personnel refuse de le prendre en charge ou si quelqu'un tente de prévenir qui que ce soit. Dans la panique, plusieurs balles se perdent...

Annabelle L. Cheshire & Robin T. Lawford a écrit:
Annabelle se trouvait en rue quand les hommes ont ouvert le feu et a pris une balle dans l'épaule en essayant de se mettre à l’abri. La jeune femme ayant réussi à ramper jusqu'à une petite ruelle est une des premières victimes à être évacuée et transportée à l'hôpital. Robin, en service, la prend en charge dés qu'il réalise sa présence. Le chirurgien reçoit un morceau du plafond sur lui quand le tireur fait son entrée et vise celui-ci pour attirer l'attention.

Owen C. Reagan & Julia E. King a écrit:
Julia est la première chirurgienne sur laquelle le tireur tombe en faisant son entrée aux urgences. Après avoir tiré un coup au plafond pour attirer l'attention de tous, il pointe son arme sur elle pour demander la prise en charge de son frère. Owen s'avance lentement et propose de s'en occuper mais dans la panique, l'homme lui tire dans l'abdomen. Julia a l'interdiction formelle de l'aider tant que le frère du tireur n'est pas hors de danger.

Ivana Sexton & Elliana J. C. Hawkins a écrit:
Prise de nausées et de crampes abdominales douloureuses qui ne font qu'empirer depuis le matin, Elliana accepte finalement de se rendre à l'hôpital quand elle commence à avoir de la température. C'est Ivana qui la convainc de s'y rendre et l'accompagne. Intoxication alimentaire, on lui place un baxter pour la ré-hydrater et éliminer la bactérie de son système. Au deuxième coup de feux qui touche Owen, Elliana pousse un cris incontrôlé. Dans la panique, l'homme lui tire dessus également.

Kaspar F. Hansen & April Dawkins a écrit:
April est dans la rue quand elle se fait agresser pour son sac qu'elle refuse de lâcher. Kaspar un peu plus loin intervient et tombe après un mauvais coup reçu au visage. La jeune femme reçoit plusieurs coups jusqu'à ce qu'elle lâche finalement son précieux. Transportés à l'hôpital, April est examinée quand les deux coups de feu retentissent. De son lit, Kaspar ne la voit pas et se précipite pour  s'assurer qu'elle va bien. Le tireur décide de les prendre en otage pour motiver l'équipe médicale à soigner son frère au plus vite.  

Olivia J. Marshall & Isaac Von Ziegler a écrit:
Olivia et Isaac se trouvait à bord d'un taxi quand celui-ci a été fauché par une voiture qui roulait beaucoup trop vite pour fuir la fusillade deux rues plus loin. Le taxi s'est stabilisé après de nombreux tonneaux. Si Isaac s'en sort avec une atroce douleur à la jambe, Olivia a de nombreux coups et fait une hémorragie, bien que toujours consciente. Transportés en ambulance, un chirurgien les attend pour la mener en salle d'opération directement. Ils arrivent aux urgences au même moment que le tireur qui donne son premier coup de feu, interdisant à tous de bouger.

Delilah A. Weiss & Ewan R.I. MacKinnon a écrit:
En sortant du boulot, Delilah  se fait heurter par un vélo dans la rue. Rien de cassé à première vue, mais elle reçoit un bon coup sur la tête en retombant. Le chauffeur insiste pour la déposer aux urgences et appeler un proche : Ewan se précipite aux urgences pour la rejoindre. Une infirmière s'occupe de ses points de suture quand le premier coup de feux se fait entendre. Ewan tombe sous leurs yeux, victime d'un malaise cardiaque.

Remy N. Baldwin & Walt Fowler a écrit:
Alors qu'il se trouve à Hyde Park, Walt voit un chien se diriger à toute vitesse vers un enfant. Il court et se jette immédiatement sur la bête qui le mort à plusieurs reprises avant d'être enfin stoppé par son maître. Walt est transporté à l'hôpital avec de nombreuses morsures profondes et une douleur au genou dû à sa chute. Remy, de service, le repère immédiatement à son arrivée aux urgences et prend son cas avec un chirurgien. Malgré les coups de feux, elle garde son calme et continue les soins de Walt dans des mouvements lents pour ne pas être remarquée. Le plateau en métal dans lequel elle garde ses instruments chute et elle reçoit une balle dans la jambe.

Nathaniel J. Vowakowski & Kennedy H. Wilknson a écrit:
Assignée aux urgences pour les traumas à venir dû à la fusillade, Kennedy fait appel à Nathaniel pour une consultation sur un gamin de 12 ans, victime d'une chute du premier étage avec de nombreuses hématomes et une possible hémorragie interne. En voyant qu'il ouvre le feu sur le personnel et les patients, elle cherche à déplacer rapidement le lit sur lequel se trouve l'enfant pour le mettre hors de danger et percute Nate qui tombe. Le tireur pointe une arme sur Kaspar et April qu'il détient toujours, en interdisant aux chirurgiens de bouger jusqu'à ce que son frère soit soigné.

Ce sujet est un sujet commun. Celui-ci est un "mini-rp" : chaque post devra faire moins de 500 mots afin de faire avancer le sujet de façon plus claire.

La gravité des blessures n'est pas toujours précisée pour vous laisser plus de liberté.



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() message posté Dim 12 Avr 2015 - 23:53 par Invité
This is the end...
Intrigue 4 - »Hospital

Je sentais la neige tomber entre mes rouages ce qui me donner la sensatio d'être un pantin rouillé. Triste sort pour un triste petit homme ✻✻✻Un cours comme un autre, j'étais assis a mon bureau alors que certain de mes élèves venaient me voir pour parler des cours vus recement et puis les partiels qui arrivaient a grand pas ce qui signifiait des nuits blanches a venir avec du vin et les copies qui m'attendent. C'est a ce moment que je reçois un coup de téléphone, un numéro que je connaissais que trop bien l'hopital où travail Robin et Julia. Mais je reconnais l'indicatif c'était les urgences. « Mr MacKinnon? Enfin je suis bête... Ewan c'est Samantha des Urgences... Je t'apelle car une certaine Delilah Weiss a été admis il y a quelques minutes... Elle a eu un accident, un vélo la percuté tu peux venir au plus vite? » J'entendis alors des mots mais bizarrement ce fut la panique j'eu ma sur le coup je me tiens la poitrine alors que mes élèves s'inquiètent : « J'arrive... J'arrive tout de suite! » Je quitte la classe vite en disant a mes élèves qu'ils devraient reviser au lieu de s'occuper des affaires des autres, je prend ma voiture pour aller plus vite à l'hopital, je sentais ma tension s'elevait et mon coeur faire un bruit de mecanique rouiller. Je grille des feu j'ai l'impression d'avoir une musique electronique dans la tête comme si je sortais tout droit d'un film de Matrix... Arriver a l'hopital je rejoint Delilah, finalement mes scenario s'envolèrent elle allait bien, j'eu un sourire satisfait: « Salut Cherie... Alors tu fais des calins au vélo? ... Fais gaffe je vais finir par être jaloux! » Disais-je en riant legerement je connaissais sa maladresse legendaire, je trouvais ça adorable même si je m'inquiétais souvent pour sa santé... Mais elle était resistante et je l'aimais pour ça elle avait ce coté sur et en bonne santé que moi je n'avais pas je m'installe a coté d'elle lui prenant la main avant de l'embrasser: « Tu devrais faire attention quand même... » Disais-je d'un susurre alors que l'infirmière s'occupa des points de suture. Soudain ce fut encore plus le bordel dans les urgences plus que d'habitude... Et soudain Un coup de feu qui resonna dans tout l'hopital et qui fit trembler mon pauvre coeur qui avait bien souffert... « Qu'est ce...» Disais-je en me relevant bien trop vite avant de me rasseoir aussitôt perdant ma teinte naturelle pour un blanc très pale... « Je... Je... me sens... » Impossible d'articuler j'avais mal et je tombe relativement lentement la tête sur le brancard... J'étais conscient mais très très fatigué j'avais du mal a parler et j'avais mal, je n'avais plus de force je reconnaissais cette sensation mon coeur deviens une pierre qui joue au ricochet dans ma poitrine... Sensation mortel...
✻✻✻
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 0:42 par Invité
Panique à l'hôpital
Intrigue 4 - »Hospital

Beaucoup de personnes pensent que l'hôpital est un endroit effrayant, que ces mûrs sont froids et hostiles. Je ne peux pas vous mentir, l'hôpital est un endroit où des malheurs se produisent. Les gens censés préfèrent aller à l'église, amener leurs enfants à l'école ou être tranquillement chez eux. Moi, je me suis construit entre les murs impersonnels d'un hôpital. Pendant que mon père s'évertuait à rattraper ses erreurs, je lisais, des manuels médicaux. Pendant que ma mère pleurait l'infidélité de son mari, je choisissais l'endroit où je ferais mon internat. L'hôpital est mon église, mon école, mon chez-moi. Le seul lieu sur la terre où je me sens en sécurité, moi l'ancien soldat qui a tout vu, le pire surtout, sur les champs de bataille. Je me sens tellement bien ici. Je marche tous les jours, le sourire aux lèvres, parce que je sais que je vais croiser son regard. Elle, cette femme que j'ai attendu une bonne partie de ma vie. Je l'aime comme je n'ai jamais aimé et je sais que je pourrais ma vie pour elle.

Rien ne dure... J'adorais cet endroit...
✻✻✻Mon bipeur sonna une première fois. Je me trouvais dans la salle de repos, un café à la main. L'un de mes collègues alluma la télé. Il venait de recevoir l'appel de sa femme qui lui conseillait de se brancher au plus vite sur la chaîne d'information. Alertés par le flash info, d'autres confrères s'approchèrent pour s'enquérir de la situation. Les journalistes peinaient à garder leur calme et avant même de comprendre de quoi il s'agissait, je savais déjà que la journée serait longue.

"-Qu'est-ce qui se passe ?" dis-je à l'un de mes collègue ?
"-Apparemment plusieurs banques ont été braqués simultanément."
"-Il y a des blessés ?"
"-Oui, à coup sûr !"

Mon bipeur retendit une nouvelle fois, m'annonçant un code rouge. La seconde suivante, se fut à mes camarades d'être alertés. Sans plus attendre, nous prîmes la direction de l'ascenseur pour rejoindre au plus vite le hall des urgences afin d'y accueillir les premiers blessés. Sans perdre une seconde, j'alerte mes internes par message pour solliciter leur aide. Cette fois, il me faut oublier l'aspect pédagogue, vu l'ampleur des dégâts des pairs de bras supplémentaires, ne seront pas de trop. J'envoie aussi un sms à Julia pour lui faire savoir que j'arrive sous peu.

Dans un déferlement apocalyptique, les premières victimes arrivent par dizaines, mobilisant toutes nos forces médicales. J'essaye de me frayer un chemin parmi la foule qui voyant ma blouse, commence peu à peu à s'agglutiner autour de moi.

"-Sil vous plaît calmez-vous ! Vous allez tous être pris en charge, mais vous devez me laisser passer s'il vous plaît" hurlais-je à pleins poumons pour me faire entendre de tous. Les gens se poussent enfin pour me laisser passer. Je pensais souffler un peu avant de reprendre la bataille, mais c'était sans compter sur un imprévu de taille. La seconde suivante, un coup de feu retentit non loin de là. Les gens hurlent, se bousculent, le chaos redouble d'intensité. Accaparé par de vieilles pulsions, je sens mon cœur s'emballait dans ma poitrine et en relevant la tête, je découvre l'horreur. En effet, un homme armé pointe son arme sur Julia. Même si mon organe vital émet un nombre conséquent de battements, je dois rester calme, je ne dois pas courir, je ne dois pas jouer les héros. Je dois me contenter d'avancer lentement vers le tireur pour lui proposer mon aide et dévier son attention de Julia.

"-Monsieur... Laissez-moi, vous aidez !"

Ce qui se passe par la suite me prends de cours. J'ai à peine le temps de regarder Julia que le coup part. Le projectile se loge en plein dans mon abdomen. La douleur est fulgurante et paralyse l'ensemble de mon corps. Mes jambes ne me supportent plus et je tombe au sol, sur le dos. Mon cœur ralentit, je peine à respirer correctement et le sang commence à s'écouler conséquemment de la plaie béante. Je peine à rester conscient tout devient flou, mais j'arrive à articuler le prénom de Julia, une dernière fois.
✻✻✻
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 2:03 par Invité
Ça aurait du être une journée tout ce qu'il y avait de plus normale, mais le destin en avait décidé autrement. Ma rencontre avec un vélo en sortant du boulot m'avait donné droit à une visite à l'hôpital. Je n'étais pas gravement blessée heureusement, mais j'allais tout de même avoir plusieurs ecchymoses sans compter un mal de tête carabinée, puisque ma tête avait heurté le sol violemment. L'infirmière m'avait cependant assuré que malgré la douleur qui lacérait mon cerveau, tout allait bien aller. Je m'en sortirais sans séquelles. De toute façon, j'étais une battante à ma façon. Je n'avais donc aucun soucis à me faire. J'étais habituée à ma maladresse de toute façon. Couchée sur le lit d'hôpital, j'entendis une voix familière m'interpeller. « Ewan? Ils t'ont appelé? Je vais bien! Rassures-toi! » lui dis-je, me tournant vers l'homme qui faisait vibrer mon cœur. Je n'avais absolument aucune envie qu'il s'inquiète pour moi et pousse son cœur déjà fragile à bout. Ewan s'approcha du lit et s'y fit une petite place. Il prit ensuite ma main dans la sienne et m'embrassa. « Je suis heureuse que tu sois là... Et désolée de t'avoir fait peur! J'ai déjà moins mal à la tête maintenant que tu es à mes côtés! » lui dis-je, me forçant à sourire pour lui montrer que tout allait bien. « Alors tu fais des calins au vélo? ... Fais gaffe je vais finir par être jaloux! » me dit-il, rigolant. « Oh je te jure! C'est la dernière fois que ça arrive! » lui dis-je. Je n'avais pas du tout aimé l'expérience! Je n'étais pas prête de recommencer. « Tu devrais faire attention quand même... » ajouta-t-il, un peu plus sérieux. L'infirmière vint à ce moment-là pour me faire des points de suture. Je grimaçai à chaque fois qu'elle était là. Mais je la laissai faire son boulot.

Soudain, on entendit un coup de feu. Je me raidis sur le lit. Mais que se passait-il? Rien de bon visiblement puisque ce fut la cohue d'un seul coup, encore plus que d'habitude. Ewan s'était relevé brusquement, mais s'était ensuite rassis d'un coup. Il était pâle comme un linge. Je le regardai horrifiée. « Je... Je... me sens... » avait-il tenté de dire, mais plus rien ne sortait. Son cœur n'allait pas bien. Il s'écroula sur le lit. Je regardai l'infirmière. « Mais faites quelque chose! » lui dis-je, la panique agrandissant encore plus mes yeux. « Ça va aller Ewan! Ça va aller! » lui dis-je. J'avais oublié que des gens courraient partout. J'avais oublié le coup de feu. Tout ce que je désirais, c'était qu'Ewan aille bien, parce que je l'aimais, que je ne voulais pas le perdre. Je l'aimais de toutes mes forces. « Mon bel aventurier! Tout va bien aller! » ajoutais-je, prenant sa main dans la mienne pour tenter de le rassurer et de le calmer. Il avait besoin de calme, mais aussi de sécurité. Cet endroit ne convenait pas pour les deux visiblement.
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 3:03 par Invité
Tout en enfilant ses gants, elle écoute les indications du chirurgien qui examine les blessures recouvrant le corps de Walt. Le médecin est optimiste mais affirme que l'ancien footballeur gardera une ou deux vilaines cicatrices. Remy ne dit rien, elle se contente d'observer la scène. C'est seulement lorsqu'on lui donne enfin le feu vert, qu'elle vient débuter le soin. Elle se montre méthodique et prévenante mais n'oublie pas de glisser une boutade ou deux pour se moquer de Walt. Il a voulu jouer au héros et Remy ne manque pas de lui faire remarquer avec humour. Elle lui adresse même son habituel : « T'es vraiment qu'un crétin Walt Fowler. » Le chirurgien revient une fois mais s'excuse aussitôt lorsque son bipeur le réclame ailleurs. Une soudaine agitation fait rage dans l'hôpital. Certes, ce n'est jamais rare ce genre de situation, qu'un accident survienne et qu'il y ait, d'un coup, une foule de blessés. Mais cette fois-ci, l'ambiance pesante qui s'abat à l'arrivée de plusieurs victimes ne laisse présager aucune jolie issue. Et la vérité est telle que Remy n'a rien compris jusqu'à ce qu'elle entende le premier coup de feu. Un bruit lourd, terrifiant. Spectatrice d'une scène affolante, elle pourrait faire le choix de s'avancer comme un homme tente de faire. Mais ça ne servirait à rien. Et il y a Walt, qu'elle refuse de laisser. Le plus bizarre, c'est que l'infirmière n'est pas certaine de rester à ses côtés uniquement par conscience professionnelle. Une infime part de Remy n'a aucune envie de l'abandonner. Sur ses nombreuses blessures, une seule a réellement été soignée. Elle énumère le nombre de compresses qui lui restent et le temps qu'il lui faudra pour finir de le soigner. Sans aide, ça lui prendra un moment. De plus, impossible de se déplacer ou de faire vite sans attirer l'attention. L'ambiance chaotique qui se déroule dans son dos secoue une fois l'australienne avant qu'elle ne se ressaisisse. Rester calme en situation d'urgence, on lui a appris, bien sûr. Elle sait gérer le stress d'une grosse opération, d'un état qui s'aggrave ou d'une mort soudaine. Mais Remy ne sait jamais retrouvée de l'autre côté. Pour garder son calme, elle fixe Walt une seconde. A deux reprises, elle s'ordonne presque pour ne pas tourner la tête. Deux, comme le nombre de coups de feu. C'est terrible et pourtant elle a ce regard vide, qui n'exprime plus rien. Elle reste calme, focalisée sur Walt qu'elle tente de soigner. Ses gestes sont si lents, presque trop doux malgré la situation. Au troisième coup de feu, Remy se laisse surprendre et c'est là, sa première erreur. Elle sursaute, sa main heurtant le plateau à ses côtés. Il se renverse, attirant l'attention dans sa direction : deuxième erreur. Il y a un nouveau coup de feu mais Remy, elle a perdu le compte. C'est le troisième ou le quatrième ? Elle n'a rien vu venir. D'abord, il y a eu le choc. Puis la douleur. Et elle a chuté lentement.
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 5:24 par Invité
Cet endroit, Ivana aurait tout fait pour l’éviter dorénavant. Du moins jusqu’à la prochaine fois. Chaque visite aura eu son lot de larmes et d’angoisses. Chaque visite aura eu sa nouvelle qui change un peu plus sa petite vie. D’autant plus que la dernière en date demeure encore quelque peu secrète. Malgré ce parallèle « hôpital = mauvaise nouvelle », la rouquine ne peut pas se la jouer égoïste uniquement préoccupée par ses propres problèmes et tourner dos à so co-capitaine, la priant de se débrouiller toute seule, vu son état. Elliana fait vraiment peine à voir aujourd’hui. La boule un peu au ventre, elles y sont allées. Intoxication alimentaire prise à temps, les deux jeunes femmes peuvent respirer un bon coup et se détendre, pendant le processus de ré-hydratation.

Malheureusement, il faut croire que chaque visite aura définitivement son lot de larmes et d’angoisses. Outre une activité intense en ce jour pour une raison qu’Ivana ignore, la panique gagne les lieux. N’ayant pas la moindre idée de ce qu’il s’y passe en réalité et, tout au fond d’elle, elle ne tient pas à le savoir, la rouquine reste statique, toujours aux côtés de son amie. Se retournant par la suite vers cette dernière, elle hausse un sourcil histoire de savoir si elle est au courant de quelque chose. Un son qui lui paraît étranger sur le coup résonne, suivi de cris de panique. Panique qui finit par la gagner à son tour pour de bon. « Attends, je reviens. » Coïncidence ou pas, à peine Ivana tire le rideau d’isolation qu’un second coup retenti. Un médecin s’écroule sous ses yeux, à quelques mètres, et elle prend compte de la réalité, mais surtout de la gravité, des choses. « Non pas ça maintenant. », implore-t-elle dans ses pensées. Muette, c’est le cri d’Elliana qui la fait enfin réagir pour ne pas rester à cet endroit, si exposée au danger. Cri finalement arrêté après un troisième coup de feu. C’est au tour de la blonde d’être muette. Ivana retourne vivement à ses côtés. Il y a du sang, mais elle ne saurait déterminer où exactement. Coup vital ou pas ? Elle redoute la réponse à cette question. Sa vision est bien floue à cause des larmes. « Ellie… Ellie ! De l’aide ! » Elle hurle à son tour tout en lui attrapant vivement la main, mais c'est comme si le monde s'est arrêté sur ses deux protagonistes, dont l'un semblait blessé. Enfin peut-être, elle n'est plus très certaine de ce qu'elle a pu apercevoir... La jeune femme sent déjà sa respiration s’accélérer, l'anxiété la gagner alors qu'elle devait s'en éloigner pour les prochains mois. Et puis, il y a également ces satanées larmes qui coulent sur son visage, brulant un peu son épiderme au passage. Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi eux ? Et dire encore qu’elle n’a pas pu identifier qui que ce soit de connu dans la salle.
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 12:34 par Invité
Lorsqu'il avait entreprit son jogging dans hyde park, Walt était loin de s'imaginer qu'il finirait aux urgences après s'être fait mordre par un chien. Quand le chien avait finalement desserré sa mâchoire de son bras et qu'il avait été vite pris en charge par une ambulance, Walt s'était dit que le pire était derrière lui. Son bras était salement amoché, pissant le sang abondamment, il avait entendu un des ambulanciers évoquer des morsures profondes. L'essentiel est que l'enfant n'ait rien eu lui. Sa situation ne s'améliore pas quand de tout le personnel de l'hôpital, il faut qu'il soit pris en charge par Remy qui ne manque pas de se foutre de sa gueule. Ce n'est qu'une fois que les soins ont commencé qu'il se rend compte également que son genou le lance, détail tant son bras le fait souffrir. Probablement qu'il rirait de cette mésaventure plus tard, mais il commence à se demander s'il ne va pas développer une peur des chiens et devoir mettre son dalmatien à la porte. Parce que si on écoute Remy, elle donne l'impression que Walt s'est fait attaquer par un caniche, alors que c'est bien un rottweiler fou furieux qui s'est attaqué à son bras. À vrai dire, il n'ose pas vraiment regarder les dégâts des différentes morsures, de peur de tourner de l’œil. La présence de l'australienne lui offre une distraction salvatrice qu'il ne peut nier. Walt ne porte pas d'attention à l'agitation qui se répand dans l'hôpital, ce qui l'intéresse c'est de s'assurer qu'il n'a pas la rage et qu'il ne va pas perdre l'usage de son bras. Pourtant, il ne peut ignorer le bruit assourdissant qui retentit à deux reprises, même s'il n'a pas une vue propice d'où il est perché sur son lit, la réaction de Remy ne laisse aucun doute sur ce qui est en train de se dérouler. Égoïstement Walt est content qu'elle reste à ses côtés, même s'il se doute qu'il doit y avoir des blessés plus grave que lui à l'heure actuelle. Malgré les cris de douleurs qui retentissent, le temps semble s'arrêter dans les urgences et Walt peut entendre distinctement la voix de celui qui semble être l'agresseur. Un frisson le parcours en entendant un nouveau coup de feu et il voudrait ordonner à Remy d'arrêter de bouger et de se cacher sous son lit. Malheureusement aucun son ne sort de sa bouche et c'est avec horreur qu'il entend le plateau se fracasser au sol et attirer l'attention du tireur. Il n'a pas le temps de réagir ou de faire quoi que ce soit, qu'un nouveau coup retentit, touchant la personne qu'il voulait le moins voir blesser à cet instant. Profitant que l'attention du tireur soit sur un autre chirurgien, Walt saute de son lit, oubliant sa douleur au genou complètement. Avec un bras valide, il est incapable de la soulever pour la mettre sur le lit. Alors, il s'agenouille à ses côtes, déchirant le bas de sa tenue pour constater les dégâts. Devant l'afflux de sang, il s'empresse de faire pression sur la blessure avec une compresse qui traîne par là. Au diable les risques, il décide de chuchoter quelques mots à Remy. « J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c'est que la balle est pas ressortie. La bonne c'est que j'ai vu un épisode de Walker Texas Ranger y a pas longtemps et qu'il arrive à enlever une balle avec une petite cuillère, donc je pense qu'on a nos chances. ». Si rire prolonge l'espérance de vie, il préfère mettre toutes les chances de son côté. Même si à l'intérieur, il est en panique total et s'attend à tout moment à se prendre une balle.
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Siobhan M. Williams
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 14:33 par Siobhan M. Williams
Nous restons tous fixés devant l’écran pendant un moment, choqués par les évènements. Deux prises d’otages avec fusillade. Des tonnes de blessés. Peut-être même des morts. Un tas de traumas, et je redoute de ne pas pouvoir en sauver. Certains seront sûrement décédés avant même de franchir les portes des Urgences, mais je ne dois pas y penser. Je prends une grande respiration et me tourne vers l’équipe d’infirmiers et de médecins présents. « Dans moins d’une minute, le téléphone va sonner. On va avoir un grand nombre de blessés, je veux que tout le monde soit prêt ! Bipper tous les médecins disponibles. Je veux que la réserve d’O-neg soit pleine, des kits de sutures supplémentaires. Réserver tous les Blocs pour les cas les plus graves. » Je fais un signe de tête à l’infirmière en chef et tout le monde se met en mouvement, prêt à intervenir dès que les premiers patients arriveront.
Les premières ambulances se font entendre et je me poste à l’entrée des Urgences pour m’occuper du triage. Tant bien que mal, je dirige les patients vers des lits libres ou des médecins, mais il y a beaucoup de monde. Je compresse la plaie d’une femme quand un homme m’interpelle, il tient contre lui un homme blessé. « Une seconde monsieur, j’arrive. Laisser moi m’occuper de cette dame et je suis à vous. » Lui dis-je. Je tourne la tête pour laisser la femme avec une infirmière quand soudain, c’est le chaos. L’homme tire dans le plafond et je me couvre la tête. Je suis pétrifiée. Je me relève doucement en le voyant pointer son arme sur moi. Je déglutis difficilement et tente de respirer calmement. « Tu vas t’occuper de mon frère ou j’te descends. » me dit-il. Je hoche la tête, les yeux fixés sur l’arme. Derrière moi, j’entends la voix d’Owen qui s’approche. « Monsieur... Laissez-moi, vous aidez ! » Dit-il à l’homme. Je sais qu’il veut m’aider mais en cet instant, j’aurai voulu qu’il ne soit pas présent, qu’il soit hors de tout danger. Je n’ai pas le temps de répondre que l’homme tire. Sur Owen. Je me retourne et le vois s’écrouler, l’abdomen en sang. Les larmes montent dans mes yeux et j’entends un cri. Je tourne la tête et vois Elliana de l’autre côté des Urgences. Un second coup part. C’est comme si on m’enfonçait un couteau dans le ventre. Je la vois s’écrouler mais je ne peux pas bouger. L’homme m’ordonne d’aider son frère. « Je vais le faire. Mais… mais laisser moi l’aider. » Dis-je en montrant Owen. « S’il vous plait… » Je suis sur le point de fondre en larme mais tente tant bien que mal de garder mon calme. « Non. Mon frère d’abord. » Répond-t-il en pointant son arme sur moi de nouveau. Il tire à nouveau, pour me motiver surement. Puis j’entends un plateau en métal tomber au sol. Il tire encore. Je vois Remy tomber à terre. Je me mets devant l’arme, les bras levés. « STOP STOP ! Arrêtez ! Par pitié arrêtez ! Je vais l’aider, mais arrêter de tirer ! » J’implore cet homme qui me terrifie, la gorge serrée et les larmes aux yeux.
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 21:00 par Invité
Ça aurait dû être une journée banale, une journée comme toutes les autres où Remy aurait emmerdé tout son monde. Mais le karma semble avoir un drôle d'humour. La douleur arrive par vague, fracassant et déchirant tout sur son passage. Remy sent seulement sa jambe se dérober sous le coup avant de s'écrouler sur le sol. Elle n'a aucun souvenir de ce qui se passe entre le moment où elle chute et celui où Walt se retrouve assis à ses côtés sur le sol. La balle ? Quelle balle ? Il affiche un air détendu malgré la panique qui a envahi l'hôpital. Ça ne lui a pas non plus retiré son humour foireux. Elle rit, un peu, avant que son expression ne se transforme en grimace. Sa tête se repose contre le lit. Elle compte quinze secondes et une pression sur sa jambe avant de trouver la force de lui répondre. « Tu te promènes avec une petite cuillère j'espère. Cowboy. » Ce n'est qu'un murmure. Essoufflée, elle prend un temps fou pour parler. Chaque mot lui demande beaucoup trop d'effort. A vrai dire, Remy n'a toujours pas fait le lien entre ce que dit Walt et l'absence de sensation dans sa jambe. Lorsque ses yeux repèrent le sang autour d'eux, l'infirmière panique et le détaille en une fraction de seconde. « T'es blessé. » Malgré sa tête qui tourne, elle se remémore la procédure à suivre pour soigner les plaies qu'il a. Il faut désinfecter. Désinfecter et nettoyer la plaie. La douleur, la chute, la panique ou peu importe ce qui lui fait oublier l'arrivée, plus tôt, de Walt aux urgences. Elle commence à parler, le souffle saccadé. Mais s'arrête, frôle du bout des doigts son vêtement déchiré puis ferme les yeux alors que la douleur la frappe encore. « Tu sais même pas te battre. » Sa voix est si faible, elle peine à parler. Remy voudrait s'endormir ici. La perspective de sombrer lui paraît si belle, paisible, presque merveilleuse. Comparé au chaos de l'hôpital qui la terrorise. C'est le cri d'un inconnu qui la tire de ses songes. Et l'australienne reporte aussitôt son attention sur Walt. Il attire à nouveau toutes ses faveurs. Lui et ses vilaines blessures. Ce n'est vraiment pas beau à voir. Soigner Walt semble être sa seule pensée cohérente. Elle voudrait dire qu'elle a mal à sa jambe, mais l'état de Walt lui parait plus grave. Prise de nausées, Remy se focalise sur la confrontation qui gronde plus loin pour ne pas vomir maintenant. « STOP STOP ! Arrêtez ! Par pitié arrêtez ! Je vais l’aider, mais arrêter de tirer ! » L'australienne reconnaît aisément la voix de Julia et, par réflexe, la cherche du regard. A l'ouest, elle manque de se laisser tomber sur Walt pour dormir. « Faut donner une cuillère à Julia. » qu'elle chuchote. Et elle referme les yeux. Après tout, si une petite cuillère peut sauver des vies, que Walt-le-cowboy n'hésite pas à faire partager son idée.
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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 21:26 par Invité
Ce que je faisais dehors ce jour là? Aucune idée. Il y avait des jours où j'avais envie de me promener, juste par le simple plaisir. Cela me rappelait mes années dans la rue où j'errais à la recherche d'une distraction. La plupart du temps, je la trouvais du côté de Piccadilly Circus parce qu'à chaque fois que j'y allais, il y avait du monde, dont quelques chanteurs de rue ou d'autres artistes du genre. C'était un quartier où il y avait certes du monde, mais qui était plutôt tranquille à mes yeux. J'aimais l'ambiance qui s'en dégageait.

A quelques rues de la place centrale, quelque chose attira mon attention. De l'autre côté du trottoir, je reconnu April qui marchait le long. Je ne savais pas si elle avait un but en particulier mais elle ne semblait pas pressée. J'accélérai le pas et entreprit de traverser pour la rejoindre. Pile au moment où j'attendais mon tour pour traverser, je vis des individus habillés de noir, s'en prendre à elle.  Manifestement, ils étaient intéressés par son sac et elle, elle tentai de garder son bien du mieux qu'elle pouvait. D'abord immobilisé par la surprise, je décidai ensuite de profiter du fait qu'il n'y ait peu de voiture pour me précipiter vers eux.

"Hey, laissez là tranquille!" intervins-je d'un ton autoritaire. Mais bien entendu, ma corpulence de crevette était bien faible face à deux baraqués qui, sur le coup, s'étaient tournés vers moi. L'un d'eux s'approcha de moi et je voulus prendre une position défensive. Mais il était bien trop costaud pour moi et il vint m’assommer d'un coup de poing violent au visage. Je pus l'entendre dire "fou nous la paix espèce de connard" avant que de recevoir ma punition. Je sentis mon nez craquer sous l'effet du coup et ma tête se mit à vibrer. Je n'avais rien mangé ce matin, désirant m'arrêter dans un café lorsque j'étais sortis, et le manque d'énergie s'ajouta à tout cela.
- April.. gémis-je doucement, impuissant face à l'agression qui se poursuivit. La douleur se fit sentir de plus en plus fort et mon cerveau était complètement secoué par ce qui venait de se passer. Un liquide chaud, qui devait être mon sang, s'était mis à décorer ma chemise et là, plus rien.

Visiblement, quelqu'un avait appelé les secours. J'avais repris conscience à l'hôpital où j'entendais de nombreux bavardages. Je cligne des yeux et, dix minutes plus tard, des coups de feu retentisse. Etais-je en train de faire un mauvais cauchemar? Si la réalité ne me frappai pas de plein fouet, j'aurais pu le croire! Mais malheureusement, tout était vrai.
- APRIL!
avais-je instinctivement hurlé en sortant de la chambre dans laquelle j'étais couché, sans même savoir si elle était là. L'instant d'après, j'entendis une arme se charger juste à côté de mon visage. Je sentis l'adrénaline parcourir d'un coup sec ma colonne vertébrale, ne m'étant pas du tout attendu à ça!
- Oh God... pas encore... soupirai-je tout bas, levant les yeux vers le ciel.
A croire que j'étais destiné à ça. Non seulement je revivais mes retrouvailles avec Theodore, mais en plus mon cauchemar en Egypte. J'avais décidément un certain talent pour m'attirer dans ce genre de tracas !
Finalement, April était là elle aussi et tout comme moi, elle était menacée. J'ouvris de grands yeux à la voir et quand je voulu faire un pas, le rappel de l'arme braquée en notre direction me fit changer d'avis et je restai là où j'étais, en levant tranquillement les mains.
"Ca va, ça va!"
Je n'avais pas encore regardé l'étendu des dégâts. Le temps de réaliser où j'étais, ce qui se passait... je n'avais pas encore regarder qui était là, avec nous, sous la menace aussi d'une arme. Je n'avais pas encore vu non plus les gens qui étaient à terre, blessés, peut être morts.  En fait, là, je ne pensais plus à rien.
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