"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici can't be away from you and I hate u for that + Rosemarie 2979874845 can't be away from you and I hate u for that + Rosemarie 1973890357
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can't be away from you and I hate u for that + Rosemarie

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() message posté Lun 16 Mar 2015 - 11:23 par Invité
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Je suis en retard. Comme d'habitude de toute manière.  Je n'aime pas me presser et surtout pas après les cours. Mon réveil n'a pas sonné ce matin et j'ai déjà dû me forcer à arriver à l'heure. Je déteste le matin, surtout lorsque mes très chers collègues ont fais la fête toute la soirée. Je veux bien être fêtard mais mes heures de sommeil me sont très précieuses. Je me regarde dans le reflet du miroir qui se trouve dans le hall B du bâtiment de littérature et grimace. Je porte les même vêtements qu'hier. Un jean slim noir et un tee shirt blanc. Je lève les yeux au ciel en repensant au sprint de ce matin. Je ne suis pas du genre à faire du sport, enfin.. si on enlève bien évidemment le sport que je peux faire avec les femmes. Pardon ?  Ce n'est pas un sport ? Pourtant c'est assez endurant. Aujourd'hui, j'ai décidé de faire acte de présence au club de photographie. Je ne viens pratiquement jamais car je n'ai pas que çà à faire après les cours et je sais que cela exaspère beaucoup le président du club. Et j'adore l'embêter, et bien évidemment plus la personne s'énerve et plus je prend un malin plaisir à continuer. J'adore la photographie mais très sincèrement, je n'ai jamais aimé partager mon temps avec des gens sans grandes importances. Je fais surtout çà pour faire plaisir à ma mère et je ne sais même pas pourquoi je continue à lui faire plaisir puisque si je suis ici, c'est à cause d'elle. Je soupire tout en allant à reculons au niveau du bâtiment dédié aux arts et aux sciences. A chaque fois que je m'approche de ce bâtiment je commence rapidement à suffoquer en voyant tous ces geeks autour de moi, ressemblant traits pour traits à des calculatrices ambulantes. Très peu pour moi. Un léger dégoût se dégage de mon visage une fois que j'entre dans le bâtiment dans lequel je dois passer une heure et demie aujourd'hui. Mais je me rends compte très rapidement que je ne vais pas vraiment passer cette heure et demie dans une classe avec des étudiants que je ne peux pas voir. Elle est là. Je vois sa longue chevelure blonde descendre dans son dos, je sais immédiatement que c'est elle. Un sourire se place rapidement sur mon visage mais je l'efface le plus rapidement possible. Un tas de pensées essaient de se frayer un chemin mais je les ignore les unes après les autres. D'accord, ce n'est pas aussi simple que çà de ne pas penser à elle, surtout quand elle est là, à quelque mètres de moi. Je la déteste. Je la trouve d'un ennui sans nom et pourtant, elle arrive à me faire douter de tout en même temps. Je la vois parler avec un étudiant. Il ressemble au bon vieux geek que je fuis comme la peste. *Que fait-elle avec lui ?* pense-je avant de m'avancer doucement. Je ne peux pas la supporter, j'ai envie d'être loin d'elle et en même je ressens cette possessivité envers elle que je ne comprends pas. Je n'ai pas envie qu'elle reste une minute de plus avec ce type et bien que j'ai tout fais pour l'éviter le plus possible depuis que nous nous sommes embrassés, je ne peux rester une minute de plus loin d'elle. Une fois à leur hauteur, je fais mon plus sourire hypocrite au jeune homme qui est près d'elle  « Bouge ! » je ne suis pas très aimable et je me fiche pas mal de ce qu'il peut penser.  « Rosemarie » je hoche la tête quand je prononce son nom et la regarde intensément avant de reporter mon intention vers l'étudiant qui n'a pas bouger  « Elle est occupée, tu peux partir maintenant »  « Mais... » je lève mon doigt pour l'interrompre  « Elle est occupée je t'ai dis ! » il fait ma taille mais est un peu plus baraqué que moi. Il ne me fait cependant pas peur du tout.  « Tu as décidé de me suivre partout où j'irais ? » je ne peux contenir mon amusement.  
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() message posté Sam 21 Mar 2015 - 9:40 par Invité
L'organisation à toujours été mon truc, depuis que je suis toute petite il me semble. Ma spécialité, c'est faire des listes. Pour tout et n'importe quoi. Pour les courses, ce qui est pour moi normal, pour mes études, pour mes vacances, pour mes bonnes résolutions, et j'en passe. Ma vie est résumé a une liste. Il est tout naturel que je dois réaliser chaque point qui est marquer les choses qui n'en font pas partis ne sont pas des priorité pour moi. Des problèmes, ce n'est rien de plus. Je pense que je tient ça de ma mère. Sauf qu'elle me dépasse largement, elle est uniquement dans l'extrême, et c'est très fatiguant. Etre loin d'elle, ici, à Alabama, ça me fait vraiment du bien. Je ne lui dirais pas ça en face, je tiens encore à ma vie, mais je me sent revivre, ou vivre tout simplement. Toutes ces barrières qu'elle m'a toujours mit, toutes le choses aussi insignifiante soit elle qu'elle m'a interdit de faire, je peux enfin les essayer. Et je dois avouer que me coucher à minuit, danser un peu et ne pas faire un exercice, c'est assez excitant comme truc. On se sent libre. Mais je ne m'amuserais pas à faire ça tous les jours et passer au stade beuverie et nuit blanches tout les week end. Ce n'est pas moi, et je ne vais certainement pas me forcer pour faire plaisir a mon entourage. Ou amis. Et encore, je trouve qu'ils sont assez sympas avec ça. Ils ne me poussent pas à boire et faire se dont je n'ai pas envie. Ils acceptent mes choix, comme je suis. Je peux vous assurer que ce n'est pas le cas de tout le monde. Ma mère peut figurer sur le haut de la liste. Ouais, j'ai même crée une liste des personnes qui ne me supporte pas. Ridicule, mais ça occupe le temps. Ensuite, Babe prendrait très certainement la deuxième place, quoi que Aiden risque de figurer dans les premiers aussi. Mais lui au moins ne m'humilie pas devant tout le monde comme le fait la capitaine des cheerleder. Je ne sais pas trop ce que je lui ai fait. Mise a part renverser du café sur ses fringues, lui marcher sur ses chaussures d'un blanc immaculé. Ce n'était que des erreurs. Des maladresses. Depuis, elle m'a dans le nez et me le montre bien. Je déteste croisez sa route, parce que je sent que je risque de passer un très mauvais quart d'heure. Mais ce n'est pas la seul qui fait de ma vie un enfer. Toutes celles qui me considère comme 'ringarde' y joue beaucoup aussi. J'essaie de passer au dessus, de prendre sur moi et faire comme si tout ça ne me touchait pas, mais c'est très dur. Je n'ai jamais été très bonne dans tout ce qui concernait les mensonges. Il faudrait que je m'améliore dans ce domaine, ça pourrait m'être vraiment pratique. Ce matin, comme tous les matins, j'étais en avance. Les salles de classe était généralement ouverte avant les sonneries, ce qui était un très bon moyens de m'y réfugier. Sauf se matin là. Je ne sais pas pourquoi, et ça à le don de m'énerver. Je vais devoirs faire profils bas pour ne pas m'attirer les foudres de quelques étudiants pleins de mauvaises attentions et de phrases sanglante. John, Greg ou je en sais qui me tenait compagnie. Je ne le connait pas plus que ça, mais c'est une personne adorable. Ça fait bien longtemps que je n'en avais pas vu en dehors de ma confrérie. Nous discutions du soit disant exposé que notre prof allait surement nous donner. Le jeune garçon dont  le prénom ne me revenait vraiment pas était tout emballé à l'idée d'une possible future collaboration. Pourquoi pas. Il n'a pas l'air du genre à me refiler tout le boulot. Continuant notre discussion animé, je n'ai pas porter grande attention au fait que le bruit diminuait dans le couloir. J'aurais peut-être du finalement. Ça m'aurait éviter bien des soucis. C'est alors que mon regard finit par croiser le sien. Mon cœur dérape et mes joues rosissent. Qu'est ce qu'il veut ? Ça fait des jours qu'il est pratiquement entrain de m'éviter, et là, il se jette a moitier sur moi et sur se pauvre... Comment déjà ? Chris. On va l'appeler Chris.  « Bouge ! » La hargne dans sa voix me fait pratiquement sursauter et je fronce les sourcils en croisant les bras. C'est quoi son problème ? 'Chris' ne lui a absolument rien fait. « Rosemarie » Mes yeux se lève vers le ciel. Il veut me pousser a bout. Il le fait exprès. Quand je vous dit que je ne pressentais pas bien cette journée, eh bien j'ai mes raisons. « Rose. Combien de fois je vais devoirs te le dire ? » La frustration et l'énervement dans ma voix est clairement perceptible. Je n'ai pas envie de masquer mon agacement, c'est lui qui me cherche pour je ne sais quel raison. « Elle est occupée, tu peux partir maintenant »   Je m'apprête à ouvrir la bouche, prête à défendre mon peut-être futur coéquipier d'exposer, mais me fait devancer par ce dernier. « Mais... » Je regarde le long et fin doigt d'Aiden se lever dans la direction de mon camarade, la bouche entrouverte. « Aiden, qu'est ce que.. » Je n'ai moi même pas le temps de finir ma phrase que la tornade bouclé continue son monologue sanglant. « Elle est occupée je t'ai dis ! » Je lâche un soupir d'exaspération en levant une énième fois les yeux aux ciels. Je croise les bras et plonge mes pupilles noisettes dans les siennes. D'un vert profond. Magnifique soit dit en passant. Mais là, je suis clairement entrain de m'égarer. « Désolé euh.. » Le prénom de mon ami ne me vient décidément pas et je me mord un peu la lèvre, gêné d'un tel oublie. « On continuera notre conversation une autre fois. » Je le regarde hoché distraitement la tête et partir avec d'autre personnes, toutes munit de lunettes et gilet en laine. Je n'ai rien contre les gilets en laines, je trouve juste que ça fait très vieillot. Je finis par me tourner vers la tornade et lui lance un regard noir. « Tu as décidé de me suivre partout où j'irais ? » je secoue la tête en m'appuyant contre le mur, déprimé et surtout dépité. « Techniquement, c'est toi qui me suit. J'étais la avant toi je te rappelle. Et c'est toi aussi qui vient d'interrompre ma discussion avec... Machin. » J'essaie de lever un peu la tête, histoire de lui montrer que je ne suis pas impressionner, sauf qu'il est plus grand que moi, et donc, je lève déjà suffisamment mon visage vers lui. Replaçant mon sac sur mon épaule, je sursaute légèrement en entendant la sonnerie retentir dans le couloir. « Qu'est ce que tu me veux? » Je fronce légèrement les sourcils, attendant sa réponse avec un peu d'impatience.
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() message posté Dim 22 Mar 2015 - 23:05 par Invité
Ma vie n'est pas très organisée, je vis un peu comme je l’entends et je me fiche pas mal du regarde des autres. Ou bien de ce que peuvent penser ce qui sont autour de moi. Je n'ai pas beaucoup d'amis, j'ai pas mal de connaissances car je suis souvent en soirées mais j'aime aussi être de temps à autres solitaire. J'aime pouvoir être au calme et loin des confréries. Je passe mon temps à coucher à droite et à gauche et en toute franchise, ce n'est pas quelque chose qui me dérange... du moins qui me dérangeait jusqu'à qu'une petite blonde n'entre dans ma vie. Sans rien comprendre, je l'ai vu débarquer comme çà et je n'arrive pas à me la sortir de la tête. Surtout depuis notre baiser. J'essaie d'ailleurs de l'éviter comme la peste et j'essaie de l'oublier en couchant avec des étudiantes. Je les utilise, je les ai toujours utilisé en quelques sortes mais j'ai l'impression de me sentir de plus en plus coupable et je sais que ce n'est pas moi. Je déteste l'Alabama, ce n'est pas chez moi et l'Angleterre me manque. J'aimerais pouvoir retrouver mes amis, mais surtout pas ma famille même si ma mère ne cesse de me répéter que je lui manque. Quoiqu'il en soit, aujourd'hui est un jour a marqué d'une pierre blanche puisque j'ai décidé d'aller faire un petit tour au club de photographie. Toutes les personnes présentes doivent me haïr mais je m'en fiche. Ce n'est pas une obligation et même si c'est assez utile sur un CV plus tard, j'estime que mettre là bas est et sera toujours selon mes humeurs. Finalement, je pense que je ne vais pas y aller puisque j'aperçois au loin Rosemarie. J'ai beau avoir essayé de la fuir durant des jours depuis notre baiser, j'essaie toujours de voir où elle est et de savoir ce qu'elle fait. En toute discrétion bien évidemment. Mais pour le coup, aujourd'hui, je ne vais pas être très discret. Je n'aime pas qu'elle parle avec cet étudiant et puis regardez-le, il ressemble vraiment à une calculatrice. Un vrai geek qui irait parfaitement avec la jeune femme mais qui ne sera jamais avec elle. « Rose. Combien de fois je vais devoirs te le dire ? » je l'entends mais mon regard est toujours porté sur le jeune homme qui ne comprends pas qu'il doit partir. Je me retourne vers la jeune femme et lui fais un sourire bien trop forcé.  « Rosemarie c'est bien le nom que ta mère t'a donné, n'est-ce pas ? » Ma technique est parfaite, je suis certain qu'elle va rapidement en avoir marre et qu'elle va vouloir s'en aller. Bien évidemment, elle ne le fera pas. Je le sais. « Aiden, qu'est ce que.. » je n'aime pas attendre et devoir répéter les choses. Il me regarde comme un attardé avant de regarder Rosemarie. J'ai envie de lui dire de baisser les yeux mais je n'en fais rien. J'attends... Je lève les yeux au ciel mais je retrouve un petit air amusé dans le sourire qui se place sur mon visage. Elle ne sait même pas son nom j'en suis certain. « Désolé euh.. » je soupire en regardant la petite mine de ce pauvre étudiant. Il en pince pour elle on dirait. « On continuera notre conversation une autre fois. » c'est çà... comme si elle allait le revoir ! J'attends qu'il s'en aille mais ne laisse pas suffisamment de distance pour lui éviter d'entendre ce que j'ai à dire  « Il en pince pour toi et toi tu ne vois rien ! » siffle-je à la jeune femme tout en gardant mon dédain.  « Quelle conversation passionnante tu as dû avoir avec lui ! » pense-je tout en posant mon regard sur la jeune femme. « Techniquement, c'est toi qui me suit. J'étais la avant toi je te rappelle. Et c'est toi aussi qui vient d'interrompre ma discussion avec... Machin. » elle est vraiment jolie, je dois bien l'avouer. Elle me perturbe même et je ne l'aime pas de me faire çà. J'ai raison, elle ne connaît pas son prénom. Décidément, elle est pleine de surprise cette jolie demoiselle.  « Aww dur pour cet étudiant, tu ne connais même pas son prénom et il est raide dingue de toi ! Le pauvre !  » ironie quand tu nous tiens !  « Voyons un peu... j'ai mon club de photographie ici, et tu es dans mon sillage, je pense donc que c'est toi qui me suis, pourquoi voudrais-tu que je te suive ? Je sais que tu as apprécié le baiser de la dernière fois mais çà n'arrivera plus, tu as eu ta part ! » j'essaie de ne pas montrer mon envie de l'embrasser de nouveau mais je dois battre cette envie. Ce n'est pas moi, et ce ne sera jamais moi. « Qu'est ce que tu me veux? »  attendez voir que je réfléchisse à ce que je veux.  « De toi pas grand chose, mais je peux te faire une petite liste de ce que je veux » elle est adossée au mur, j'en profite donc pour me rapprocher de la jeune femme comme si c'était ma proie.  « Qu'est-ce qu'il y'a Rosemarie ? Tu sembles un peu stressée » souffle-je d'une petite voix tout en la regardant de manière intense. J'aime jouer et elle est la parfaite étudiante pour çà. Je mets alors mon bras contre le mur, près de la tête de la jeune femme.  « comment tu vas Rosemarie ? » je ne dis pas grand chose. Justement, je veux voir comment elle réagis à ce qu'il se passe en cet instant.
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() message posté Lun 23 Mar 2015 - 17:27 par Invité
De toute ma vie, je n'ai jamais été en retard. Je m'organise toujours pour faire en sorte d'arriver cinq voir dix minutes en avance. Etre à l'heure, c'est comme en retard pour moi. Et ce n'est pas concevable. Ça ne fait pas sérieux du tout, bien au contraire. Puis ça montre que l'on a un réel contrôle sur nos vie. Que nous sommes organiser. Et je peux vous assurer que cette chance est bien loin d'être donné à tout le monde. Je considère la ponctualité comme un réelle qualité.  Même si parfois, cette partie de mon caractère me stress plus la vie qu'autre chose. J'aimerais bien voir, juste une fois, ce que ça fait de lâcher un peu, sécher les cours par exemple, pour voir quelle satisfaction personnelle cela peut il bien m'apporter. Sauf que, jamais je n'arriverais à faire ça. C'est bien trop dangereux de mettre mes études en périls. Puis ma mère me passerait surement un savon, et je n'ai vraiment pas besoin de ça. Elle le fait très régulièrement sans raison, alors si je lui en donne une, je suis littéralement perdu et bonne pour allez en prison. Et je suis trop jeune pour aller la dedans. Et pas assez dur non plus. Je me ferais manger en même pas une heure. Il faut que je me rebelle. Vraiment. Je me fais beaucoup trop marcher sur les pieds. Seulement je n'ose pas. Sauf ces derniers temps. Je me trouve changer, plus... en colère. Le seul qui est capable de me sortir de mes gonds c'est bien lui. Aiden. Ce mec, je ne le supporte tout simplement pas. Insolent, malpolie et énervant. Il a tout les défauts possible et inimaginable. Pourtant, il est beau comme un dieu. Ça me fait mal au cœur de me l'avouer, mais c'est bien le cas. Dans l'un de mes très grands moments de faiblesse, je l'ai embrasser. Comment ai-je pu faire une telle chose ? Je m'en veux, vraiment. Ce n'était pas si désagréable, mais il s'agît d'Aiden ! Ce goujat prétentieux qui me pourrit la vie. Depuis le baiser que nous avions échanger, il m'évitait comme la peste. Sérieusement, il ne faut pas être intello pour comprendre que si cela ne lui avait pas plut, il ne réagirait pas ainsi. Mais je préfère ne pas relever et le laisser m'ignorer, c'est mieux ainsi. C'est plus raisonnable. Pourtant, c'est bien lui qui venait d'intervenir, sans crie et gare, dans une conversation que je partageait avec un jeune étudiant qui n'avais pas un physique très avantageux. J'avoue que j'ai essayé de ne pas trop m'attarder sur le corps d’Apollon de l'idiot de première, j'ai essayé, mais je pense que j'ai échouée.  « Rosemarie c'est bien le nom que ta mère t'a donné, n'est-ce pas ? »  Quel enflure. Je ne sais vraiment pas à quoi il joue et ce qu'il cherche à faire. Tout ce que je sais, c'est qu'il faut vraiment que je garde mon calme et que reste indifférente face à toutes ses provocations. Aussi chiante ou blessante soit elle. Je respire calmement en essayant de ne pas lui hurler dessus. Pour quoi est ce que je passerais en plus de coincer ? Une folle furieuse ? Non merci. « Et alors ? C'est mon prénom. J'en fait ce que je veux. » Je soupire en soutenant son regard qui vient tout juste de quitter l'autre pauvre garçon. Ma réplique était digne d'une enfant de cinq ans. Mais il vaut mieux ça plutôt que des hurlements et des insultes, tout du moins, c'est ce que je pense. Alors que je dit gentiment au gars a lunettes de partir, je vois bien que la situation amuse mon bourreau. Qu'est ce qu'il y a de drôle la dedans ? Ce type est vraiment cruel. Et il ne s'occupe pas assez de ses affaires. Il est pire que toute une troupe de fouine réunit, c'est désolant. Faisant un léger sourire à mon 'ami', a peine est il partit que l'autre idiot reprend la parole, bien trop fortement. « Il en pince pour toi et toi tu ne vois rien ! » Et là, je sent le rouge me monter aux joues et mes yeux s'écarquiller. C'est vraiment gênant. Jamais je n'ai eu aussi honte de toute ma vie. Je secoue la tête en essayant de reprendre mes esprits et lance un petit regard en direction du garçon qui vient tout juste de nous quitter. Dans un chuchotement je lui répond. « Ferme là ! Arrête, c'est absolument faux ! Laisse le tranquille, il ne t'as rien fait. » C'est vrai. Personne ne lui fait jamais rien à vrai dire, mais il trouve toujours un moyen de les emmerder. Moi y comprit. Triste vie. Je me demande bien quel motivation peut il avoir pour faire chier ainsi le monde ? Arriver à un point pareil, c'est digne d'un véritable talent. Et c'est pas grâce sa gueule d'ange que tout lui sera pardonner. Gueule d'ange.. Mais à quoi diable je suis entrain de penser ?« Quelle conversation passionnante tu as dû avoir avec lui ! » Un sourire narquois étire mes lèvres alors que l'un de mes sourcils se soulève. Intéressant. « C'est marrant. Tu as tout l'air d'être jaloux. » Je sais bien qu'il va m'envoyer balader, mais pourquoi n'aurais-je pas le droit de m'amuser moi aussi avec lui ? C'est de bonne guerre après tout. Et pour une fois que j'ouvre ma bouche, je peux dire que ça vraiment un bien fou. Enfin, avec Aiden, j'ouvre très réguirement ma bouche. Pour parler, rien d'autres, je vous vois venir avec vos idées mal placé la ! « Aww dur pour cet étudiant, tu ne connais même pas son prénom et il est raide dingue de toi ! Le pauvre !  » Le rouge me revient très vite aux joues, encore plus intensément que la dernière fois. Bon dieu, mais qu'il laisse ce pauvre garçon tranquille ! « Arrête ça ! Laisse le tranquille ! Puis si c'était le cas, qu'est ce que ça pourrait te faire ? C'est tout à fait son droit après tout, il ne mérite pas d'avoir a faire à tes moqueries. » C'est vrai que je connais pas son prénom. C'est pourquoi j'essaie par tout les moyens d'éviter se sujet là. Tout en lui rejetant sur lui. C'est encore mieux. Il vient au fait, comme quoi je m'amuse à le suivre. La blague. « Voyons un peu... j'ai mon club de photographie ici, et tu es dans mon sillage, je pense donc que c'est toi qui me suis, pourquoi voudrais-tu que je te suive ? Je sais que tu as apprécié le baiser de la dernière fois mais çà n'arrivera plus, tu as eu ta part ! » Je fronce les sourcils en tentant de cacher ma gêne. Qu'est ce que cette histoire de baiser vient elle faire là ? Ça n'as rien à voir, vraiment. Surtout que je ne suis absolument pas en train de le suivre ! Malgré le chauffement que j'ai sur les joues, je sent que ses paroles me font bien plus de mal que je voudrais. Quel enflure. « Sérieusement, tu crois que je connais ton emplois du temps par cœur ? Je n'ai pas que ça à faire. Désolé de te décevoir. En faîte non, je ne suis absolument pas désolé. Et je ne sais vraiment pas pourquoi tu me suis, mais pour tout te dire, je ne sais pas non plus pourquoi tu me pourris la vie et reste là a me parler ! » Je reprend ma respiration en remettant quelques  mèches de mes cheveux en place, histoire de me donner un peu de prestance. « Pour ce qui est du baiser, c'est une erreur. Une grossière erreur qui ne risque pas de se reproduire, fait moi confiance. » J'accentue mes paroles avec un regard noir. Même si j'ai apprécier le contact de mes lèvres avec les siennes, que je serais prête à recommencer maintes et maintes fois, jamais je ne serais capable de lui avouer une chose pareille. Se serait bien trop dégradent. Puis c'est un con. Il ne me mérite pas. « De toi pas grand chose, mais je peux te faire une petite liste de ce que je veux » Comme une idiote, je m'adosse au mur, lui laissant l'entière opportunité de me bloquer un passage éventuel pour sortir. Je regarde l'heure sur ma montre et les gens de ma classe rentrer en cours. « Laisse moi sortir, je dois y aller. » Je le pousse du bouts des doigts, ne voulant pas à faire à son corps qui semble incroyablement musclé. La chaleur au creux de mon ventre s'intensifie. Stupide corps musclé. Stupide Aiden. « Qu'est-ce qu'il y'a Rosemarie ? Tu sembles un peu stressée   Oh. Mon. Dieu. La chaleur au creux de mon ventre se fait plus insistante, et mon regard se perd immédiatement dans le sien, hypnotique. Je secoue un peu la tête, pour reprendre mes esprit et tente, pour la énième fois, de me dégager. « J'ai cours et je ne vraiment pas envie d'être en retard. » Malgré cette tentions étrange qui persiste, je sent la panique arrivé peu a peu. Je suis une maniaque du contrôle. Le retard pour moi c'est inconcevable.  comment tu vas Rosemarie ? »  Son bras se cale non loin de mon visage et je déglutit, surprise face à cette proximité qu'il y a entre nous. Je ne sais pas à quoi il joue, vraiment. C'est lui qui ne cesse de se rapprocher de moi et ensuite, il met tout sur mon dos, c'est beaucoup trop facile. En faîte, il se voile autant la face que moi. « Je vais bien. Même si ça ne te regarde pas. Laisse moi partir ou je hurle. » Je le défit du regard, pour lui montrer que j'en serais absolument capable, surtout que maintenant, je suis vraiment en retard.
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() message posté Lun 23 Mar 2015 - 19:22 par Invité
C'est la première fois que je suis surpris par une fille. C'est aussi la première fois que je suis abasourdi. Elle ne me laisse pas indifférent et c'est là tout le problème. Je ne sais pas quel est l'effet qu'elle a sur moi, mais je n'aime pas du tout cela. Ce n'est pas moi et j'essaie toujours de chasser son visage de mes pensées mais tout çà devient de plus en plus difficile. Malheureusement. Je n'aime pas cette sensation qui m'ait inconnu, c'est étrange et j'ai l'impression que c'est même sympathique. Je secoue la tête pour essayer d'échapper aux pensées qui atterrissent petit à petit dans mon esprit. Comment une jeune femme comme elle peut m'intéresser ? Non, non, elle ne m'intéresse pas. Elle m'intrigue peut-être. Je ne sais pas. Depuis qu'elle est dans ma vie, j'ai l'impression d'être un peu bouleversé. ELLE bouleverse mes habitudes, ma vie. J'ai toujours été ce coureur de jupons, j'ai couché avec un nombre incalculable de jeunes femmes et je n'ai pas épargné les sœurs de mes amis. Enfin amis.. c'est très rapidement dis. Je n'ai pas vraiment d'amis, plus des connaissance même si à Londres, ce sont tout de même des amis. Je suis allé loin, et j'irais toujours loin. J'aime mon mode de vie même si çà ne plaît pas à tout le monde. Je me sens bien, et je n'ai de comptes à rendre à personne. Londres me manque, j'avais l'impression d'être libre là bas, beaucoup plus qu'ici en tout cas. Je faisais un peu n'importe quoi, et personne ne s'en plaignait à part peut-être une personne mais je ne veux plus y penser. Rosemarie me sort rapidement de mes pensées. « Et alors ? C'est mon prénom. J'en fait ce que je veux. » Elle est toujours sur la défensive, c'est dommage, je trouve qu'elle perd un petit peu de son charme quand elle se braque de la sorte. Mais cela m'amuse tout de même toujours autant. Je lève les yeux au ciel mais j'ai toujours ce petit regard amusé  « Arrête d'être sur la défensive voyons. J'aime bien t'appeler par le prénom que ta mère t'a donné ! » J'aime surtout bien l'embêter comme il se doit. Je sais, je ne suis pas fréquentable, je ne suis pas quelqu'un de sympathique, je suis plutôt antipathique et je m'en foutiste mais j'aime ma vie, et je ne m'ennuie jamais, ce qui n'est pas le cas de beaucoup d'étudiants ici, n'est-ce pas ? Le nez dans les bouquins toute la journée, ce n'est pas du tout pour moi et le petit rat de bibliothèque que j'ai en face de moi ne devrait pas trop laisser son nez dedans. Elle est bien trop mignonne pour rester cacher derrière une pile de bouquin. Enfin... c'est tout de même le seul point commun que nous devons avoir tous les deux. Les bouquins. La littérature, les beaux chefs d’œuvres qui ont fait des époques. « Ferme là ! Arrête, c'est absolument faux ! Laisse le tranquille, il ne t'as rien fait. » C'est qu'elle peut mordre si elle continue comme çà cette demoiselle. Je souris d'un air amusé. La pauvre, je n'y peux rien, elle m'amuse et la voir s'agacer me donne encore plus envie de continuer. Dois-je continuer ?  « Arrête de prendre sa défense, çà va détends toi ! » souffle-je avec un sourire suffisant. Elle est tout de même jolie même dans cet état mais un peu moins que quand elle sourit. Je la vois sourire parfois, elle sourit beaucoup plus quand je ne suis pas dans les parages. D'un côté, çà me plaît de l'embêter, d'un autre, je n'aime pas qu'elle soit autant excédée qu'elle est à cet instant alors que j'aimerais la voir sourire devant moi aussi. « C'est marrant. Tu as tout l'air d'être jaloux. »  moi ? Jaloux ? Vraiment ? Je crois qu'elle se fait de fausses idées. Enfin, d'accord, je ne suis pas jaloux mais je n'aime pas trop que ce mec lui tourne autour. Disons que j'ai envie qu'elle ne soit qu'à moi, qu'elle ne soit que mon terrain de chasse et que personne ne l'approche. Mais c'est impossible. Elle plaît, je le sais.  « Jaloux ? Je te l'ai dis, tu n'es pas mon type, tu sembles avoir la mémoire courte ! » je lève une nouvelle fois les yeux au ciel. Je dois avouer que j'aime bien ce petit moment.  Je ne sais pas pourquoi je l'ai fui comme la peste après ce baiser, je n'aurais pas dû pour ne pas qu'elle se fasse d'idées. « Arrête ça ! Laisse le tranquille ! Puis si c'était le cas, qu'est ce que ça pourrait te faire ? C'est tout à fait son droit après tout, il ne mérite pas d'avoir a faire à tes moqueries. » plus elle s'énerve plus j'ai envie de l'embrasser. Quoi ? Non non, je n'ai pas envie de l'embrasser, elle n'est pas mon type du tout. Je ne réponds pas, je la laisse parler un peu dans le vent. Je passe alors ma main dans mes cheveux, cette crinière que ma mère déteste tant. Si je garde les cheveux longs c'est surtout pour embêter ma mère. Elle déteste qu'ils soient aussi longs et moi j'adore. « Sérieusement, tu crois que je connais ton emplois du temps par cœur ? Je n'ai pas que ça à faire. Désolé de te décevoir. En faîte non, je ne suis absolument pas désolé. Et je ne sais vraiment pas pourquoi tu me suis, mais pour tout te dire, je ne sais pas non plus pourquoi tu me pourris la vie et reste là a me parler ! »  « J'espérais que tu le connaisses oui.. çà me fait un peu de peine de savoir que tu ne le connais pas. On peut toujours y remédier. Je ne te suis pas, je te l'ai dis, j'ai un cours, enfin je devais avoir un cours. Pourquoi je te parle ? Disons que j'aime bien t'embêter, surtout quand je vois le rouge te monter aux joues » lui pourrir la vie ? Je sais que je lui pourris la vie mais c'est une façon pour moi de ne plus penser à elle. Parce que j'y pense, je pense bien trop souvent à elle, je pense à elle dans mes bras, je pense à l'embrasser, je pense à la mettre dans mon lit. Mais pas pour une simple nuit. Je veux l'utiliser, faire ce putain de défi mais en même temps je ne veux pas lui faire du mal. Tout çà c'est n'importe quoi ! Je ne sais même plus pourquoi je reste là. Enfin... si je sais. Elle m'obsède et je ne peux pas rester loin d'elle. Ce n'est pas possible. « Pour ce qui est du baiser, c'est une erreur. Une grossière erreur qui ne risque pas de se reproduire, fait moi confiance. » je n'en crois pas un seul mot. Et Rosemarie peut même le lire sur mon visage. Elle n'est pas très douée pour le mensonge.  « C'est pas comme si je le voulais de toute manière » moi aussi je mens. Et mieux qu'elle par contre. « Laisse moi sortir, je dois y aller. » je lui fais un non de la tête. Je ne veux pas la laisser sortir.. enfin elle pourrait, je n'ai qu'un bras près de son visage. « J'ai cours et je ne vraiment pas envie d'être en retard. »  « Tu es déjà en retard. Pas la peine de te presser pour rien. Sèche donc ce cours pour une fois ! » rétorque-je en regardant tout le monde passer les portes de leurs cours. Trop tard. Je me rapproche d'elle, dangereusement, je joue avec elle et j'aime çà. Je veux la rendre folle, et je sais qu'elle m'apprécie mais elle ne veut pas me le dire. « Je vais bien. Même si ça ne te regarde pas. Laisse moi partir ou je hurle. » Elle ne va pas se mettre à crier, ce serait n'importe quoi  « Tu ne vas pas crier, arrête de délirer » elle ne peut pas se mettre à crier. Mon regard est toujours au plus profond du sien  « Comment çà se fait que tu sois toujours vierge.. je veux dire, je suis certain que beaucoup aimerait t'avoir » et j'entends par là que j'aimerais pouvoir l'avoir !
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() message posté Dim 29 Mar 2015 - 16:21 par Invité
Je doute qu'un jour, une entente soit possible entre Aiden et moi. Chaque fois que l'on se voit ou que l'on as un semblant de conversation, j'ai l'impression qu'il fait absolument tout pour me sortir de mes gonds. Me bousser à bout doit être son activité favorite j'imagine. Il est un peu maso sur les bords de trouve. Aimer me torturer l'esprit ainsin, c'est malsain. Pourtant, je rentre dans son jeu, certes je ne me laisse pas faire, mais je pourrais tout simplement l'éviter pour ne pas avoir se genre de problème. Mais j'en tout simplement pas envie. D'un côté, avoir cette proximité volcanique avec lui, ça me plaît. Ca met un peu de piment dans ma vie. Au début, c'était un peu comme distraction, mais je me rend compte, que plus les jours passe, plus cette distraction me devient vitale. Tout ça, c'est de ma faute. Jamais je n'aurais du succomber et échanger un baiser avec lui. Cet échange à réveiller des choses en moi qui m'était jusque là, totalement inconnu. Ca me fait peur. Surtout que, franchement, Aiden est loin d'être connu pour être le petit ami idéal. Loin de là. C'est tout l'inverse en faîte. Certes, ces expériences au lit ne sont inconnu pour personne, mais moi, ça ne m'intéresse pas. Je ne veux pas être une conquête de plus avec qui on peut jouer et me jetter comme une mal propre des que l'ennui prend place. C'est donc un vrai dilemme au quel je fais fasse. Passer outre et l'oublier, c'est ce que j'essaie de faire. Ca marchait plutôt bien ces derniers jours, vu qu'il ne voulait plus rien a faire moi. Enfin, tout ça, c'était avant aujourd'hui. Avant qu'il ne change d'avis pour je ne sais quel raison. N'ayant pas perdu de ses grandes manières, il est venu comme ça, interrompre une discussion que j'avais avec un étudiant que je ne connaissais pas vraiment. Il ne me dérangeait pas plus que ça, mais c'est vrai que notre conversation n'était pas des plus passionnante. Sauf que d'embeler, il me cherche, me titille, rien que pour m'énerver. Je ne sais pas du tout ce que ça lui apporte. J'ai toujours eu du mal avec mon prénom, ce n'est pas pour rien que je demande sans cesse à mon entourage de m'appeler par mon diminutif, Rose. Ma mère est le genre de femme très croyante, et il fallait absolument que 'Marie' face partie de mon prénom. C'est laid. Je pense que jamais, je ne pourrais m'y habituer. « Arrête d'être sur la défensive voyons. J'aime bien t'appeler par le prénom que ta mère t'a donné ! » Est il vraiment obliger de me parler de ma mère ? Je lève les yeux aux ciels accompagné d'un soupir ponctuer, pour lui montrer à quel point il est agaçant. Jamais je ne l'ai vu sympathique, polie ou tout autre sentiment positif. Il le fait exprès, ou est ce qu'il n'y arrive tout simplement pas ? C'est quelques choses que je trouve de plutôt triste. C'est peut être bizarre, mais j'aimerais bien le voir sourire pour de vrai, rien qu'une fois. Pourquoi est ce que je pense à un truc aussi tordu ? J'ai du mal dormir ou manger un truc pas frait pour penser à se genre de choses. « Si je suis autant sur la défensive, c'est qu'il y a une raison, tu ne crois pas ? » Je regarde mes camarades rentrer, me mordant la lèvre de frustration, j'espère qu'il en a bientôt finit avec moi. En tout cas, je pense qu'il en a finit avec le pauvre étudiant qui me parlait un peu plus tôt. Je lui est parlé un peu durement, mais apparement, c'est le seul moyen pour qu'il me laisse tranquille ou qu'il ne me réponde pas quelques choses qui me clourait le bec. Ne pas avoir le dernier mot ou ne pas savoir quoi dire, c'est quelques choses de très frustrant. D'habitude, je me contente de répondre intelligement et de ne pas m'énerver. Mais avec lui, je ne sais pas, c'est impossible. Je ne suis pas dans mon état normal, et ça à le don de m'énerver encore plus. « Arrête de prendre sa défense, çà va détends toi !  »   Son sourire que je prend pour moquer me fait serrer les poings et détourner le regard. Il a des fossettes. C'est quelques choses que j'ai touours trouver adorable. Même sur lui. Ce qui est énervant parce que.. je ne peux pas me laisser adoucir à cause de ça ! « Ecoute, je ne vais pas te laisser te moquer de lui. Il ne t'as rien fait et il ne mérite pas autant de moquerie. C'est quelqu'un de gentils, et de très polie, lui. » Accentuant bien sur le dernier mot, histoire qu'il ne faisait pas partie de cette catégorie de personne. Le pire, c'est que je pense qu'il s'en fiche royalement. Il doit bien se douter de son comportement. Ses remarques avait tout l'air de ressemble à de la jalousie. Sans ça, pourquoi il perderait son temps à me parler de tout ça ? Ca n'as aucun sens. Je pense que, malheuresement, nos discussion ou ce qui y ressemble n'en aura jamais. « Jaloux ? Je te l'ai dis, tu n'es pas mon type, tu sembles avoir la mémoire courte ! »  Un sourire faux étire mes lévres pendant que j'hoche la tête. L'entendre me reconfirmer ce que je savais déjà me fit un peu de mal au cœur. Mais je ne vais pas lui donner le plaisir de lui dire tout ce que j'ai sur le cœur. Tout cette histoire est incohérente. Y mettre un therme au plus vite serait quelques choses de raisonnable. Seulement, est-ce que j'ai vraiment envie de l'être ? « Je te rassure, tu n'es pas le miens non plus. » Franchement, je n'ai aucun type particulier, mais rien que mentalement, ça ne colle pas. Puis il n'est pas du genre intéressant. Enfin, il ne m'en a jamais donné l'impression. Et il ne fait rien pour me prouver le contraire. Mais bon, vu que je ne suis pas son type, il n'a rien à me prouver. Ca me fait mal au cœur de l'admettre. Je n'aime pas le rejet, c'est tout. Ca ne sert à rien d'en faire tout une histoire non plus. Lui, je ne le trouve pas repoussant non plus, juste idiot. Mais vraiment très idiot. Je pense que ça pourrait être le roi de cette catégorie.  « J'espérais que tu le connaisses oui.. çà me fait un peu de peine de savoir que tu ne le connais pas. On peut toujours y remédier. Je ne te suis pas, je te l'ai dis, j'ai un cours, enfin je devais avoir un cours. Pourquoi je te parle ? Disons que j'aime bien t'embêter, surtout quand je vois le rouge te monter aux joues »  Je pense que, le mot idiot n'est pas assez important pour lui. Crétin ou complètement démunit de cerveau semble beaucoup mieux. Et rien que le fait qu'Aiden fasse allusion au fait que je rougisse, n'arrangea en rien à la situation. Continuant de rougir, je me maudissait de ne pas pouvoir contrôler mon corps comme je le désirais. C'est bien un comble, je ne suis même pas mettre de moi même. Tout ça devient bien trop étrange. « Je n'ai pas envie d'y remedier. Et si toi, tu n'as pas envie d'aller en cours et gâcher ton avenir, tant mieux. Mais pas moi. » Je soupire, commençant à être sérieusement agacer par tout ça. Non seulement, mes pensées deviennent de plus en plus incohérente, mais en plus, je suis entrain de rater un cours. Je n'ai jamais rater un cours de ma vie. Et je ne veux pas que ça arrive. Surtout pas parce que Monsieur a décié de venir m'emmerder. Je ne suis pas à sa merci. Se ne sera jamais le cas. Il fait référence au baiser, et j'essaie, tant bien que mal de me défendre et de lui expliquer que ce n'était rien du tout. Même si c'était la première fois que j'embrassais quelqu'un et que ça ne ma pas totalement dégouté, au contraire, il n'as pas a le savoir.  « C'est pas comme si je le voulais de toute manière » J'hôche la tête, blesser. A quoi je m'attendais de toute manière ? Qu'il me déclare que c'était le plus beau moment de sa vie ? Je suis bien trop naïve, je me fait moi même pitier. Ca devient grave. « Bien. » J'aurais mieux fait de ne rien dire du tout. Ce simple mot est juste ridicule et doit surement montrer a quel point je peux être déça. C'est nul. Je suis nul. Je dois prendre des cours de mensonge ou pour cacher mes émotions, ça pourrait m'être vraiment utile. Je lui demande de me laisser partir, gentiment en plus, mais il se contente juste de secouer la tête de gauche à droite. Pourquoi est ce que je lui demande ? Je ne lui doit rien du tout et son avis, il peut se le mettre où je pense. Mon dieu ? Qu 'est ce que je viens de dire là ? « Tu es déjà en retard. Pas la peine de te presser pour rien. Sèche donc ce cours pour une fois ! »  J'ouvre la bouche en voyant les portes des salles se fermer. Non. Ca ne peut pas arriver. Je ferme les yeux pour tenter de me calmer et ne pas avoir une crise en plein milieu du couloir. Tout le monde m'entenderait. Et je n'ai pas envie d'attirer l'attention sur moi. Surtout en sa compagnie. « J'y crois pas ! Mais.. Je voulais y aller à se cours bordel ! » C'est bien la première fois que j'emplois se genre de mot. Heuresement que ma mère n'était pas la pour me l'entendre dire. J'en aurais entendu parler pendant au moins deux heures. J'auais été punit de toutes les choses possibles qui aurait pu m'être utile. Il se rapproche de moi, mes sourcils se fronce sans que je ne le quitte du regard. Je sent que je vais exploser si je ne bouge pas d'ici. Il y a peut être encore une chance pour que le prof me laisse rentrer. Après tout je suis la meilleure élève de sa classe, il peut bien me laisser passer cet écart, qui est en plus, n'est pass du tout de ma faute. « Tu ne vas pas crier, arrête de délirer » A ce moment là, j'aurais été capable de tout, je suis tellement proche de l'explosion que rien ne me fait peur. Pas même lui. Quand j'y pense, jamais je n'ai eu peur de lui. Au contraire. Mais j'aime me dire que ce type est le diable en personne. « T'es sur ? Tu ne m'en crois pas capable ? » Pour une fois, je serais prête à faire se genre de chose. Si en plus ça lui apporte des problèmes comme une colle ou du travail supplémentaire, j'en serais combler. Mais je pense que je serais aussi dans le même pétrin. Et moi, j'en aurais quelques choses à faire comparer à lui. On regard me transperce et fait battre mon cœur un peu plus vite. J'essaie de passer outre et de ne pas y prêter trop attention. Même si c'est vraiment très complique. « Comment çà se fait que tu sois toujours vierge.. je veux dire, je suis certain que beaucoup aimerait t'avoir » Et là, je sent mes yeux s'écarquiller comme jamais. Mes joues reprennent leurs teintes rouges. Comment peut il oser dire une chose pareille ? C'est vraiment un très gros manque de respect et je me sent encore plus ridicule qu'avant. Je sent même les larmes me monter. Quel connard. Je secoue la tête en croisant les bras sur ma poitrine et détourne mon regard du sien. « T'es vraiment qu'un pauvre type. Laisse moi tranquille. » Ma voix tremble, mais j'en ai vraiment rien a faire. Je le pousse sans retenu et commence ma route vers ma salle de cours. Le cœur en miette et ma fierté qui diminue encore un peu plus.
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() message posté Dim 29 Mar 2015 - 19:24 par Invité
Nous ne nous entendons pas. Nous sommes bien différents et pourtant, je n'arrive jamais à me détacher de la jeune femme. Elle obsède mes pensées et même les plus profondes. Je n'aime pas ce qu'elle me fait ressentir sans même le savoir. A chaque que nous avons une conversation, je ne peux tenir en place. Je préfère m'amuser et l'embêter à chaque fois que je le peux. Je sais que je la rend folle et qu'elle n'aime pas mon comportement mais je n'y peux rien, je suis comme çà et j'aime çà. Si cela ne lui plairait pas, elle ne serait pas là encore une fois. Je sais qu'elle est piégée, et qu'elle m'apprécie même si je la fais sortir de ses gonds et que je ne la traite pas comme il faut à chaque fois sinon elle serait déjà partie depuis longtemps. Mais non, elle est toujours là, comme clouée au sol. Tout comme moi. Je ne peux plus me passer de cet amusement permanent, j'ai besoin de l'embêter. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais c'est devenu un réel besoin. Je suis fou, je le sais, j'ai une case en moins mais Rosemarie aussi. Et pour une fois que je voulais aller en cours, elle s'était encore trouvé sur mon chemin. A croire, que je ne dois pas aller à ce fichu club de Photographie. C'est tout de même bien plus plaisant, non ? Je ne sais pas ce qui me plaît le plus chez elle. Ses cheveux blonds peut-être ? Ou bien sa façon de se tenir, de marcher. Je ne sais pas. Elle est très jolie mais est-ce qu'elle le sait ? Elle n'a pas l'air de se rendre compte qu'elle pourrait avoir n'importe qui. Elle a cette grâce que beaucoup n'ont pas. Je me retire rapidement toutes ces pensées de la tête. Je ne suis pas un romantique et je ne pense jamais à ce genre de détails. Surtout pas quand je prends une fille au hasard pour qu'elle finisse dans mon lit. « Si je suis autant sur la défensive, c'est qu'il y a une raison, tu ne crois pas ? » je hausse les épaules. Je ne vois pas vraiment la raison. Enfin, bon d'accord, je suis la raison mais elle apprécie ma compagnie même si je sais que me frapper la démange aussi. Nous sommes le parfait duo, elle le sait tout aussi bien que moi même si nous sommes un duo bien spécial.  « Je ne vois pas vraiment la raison, tu devrais te détendre » lui dis-je le plus simplement du monde. Je ne suis pas la personne qu'il lui faut, je le sais, et je pense que je vais lutter pour la mettre dans mon lit. Stupide pari !  «  Je ne comprends pas pourquoi tu me détestes autant » whoops, elle va encore me détester. Elle va certainement lever les yeux au ciel, me dire que je suis stupide, que c'est moi qui la déteste et blababla. D'accord, je ne lui mène pas du tout la vie facile et j'essaie de la rendre folle mais ce n'est pas de ma faute si je suis comme çà. Bon, oui, c'est un peu de ma faute mais je ne peux vraiment pas rester loin d'elle. C'est impossible et durant le lapes de temps où j'ai essayé d'être le plus loin possible de la jeune femme, j'ai cru que j'allais devenir fou. Je ne comprends pas ma réaction, la réaction de mon être surtout. Elle est belle, je n'y peux rien, je ne vois que çà. Elle aussi une jolie bouche que j'aimerai une nouvelle fois embrasser. Je l'embête toujours avec çà mais j'aime beaucoup ses lunettes. Elle a cet air de geek mais une geek sexy. Elle est naturelle et j'aime bien trop çà à mon goût. Elle m’énerve, non pas parce qu'elle est sur la défensive ou autre, mais parce que je l'apprécie au fond de moi et que je n'aime tout simplement pas çà du tout. « Je te rassure, tu n'es pas le miens non plus. » je soupire et fini par rigoler. Je ne suis pas son type ? Je ne la crois absolument pas. Elle rougit, je peux le voir. Elle a aimé ce baiser, tout comme moi. Mais vivre dans le déni c'est bien mieux que le reste, n'est-ce pas ?  « Alors pourquoi tu rougis comme çà ? » je veux la perturber, il faut qu'elle soit déstabiliser et que je vois un peu plus au travers de ce qu'elle peut faire paraître.  « Je suis ton type » je n'ai pas de type et pourtant j'affirme toujours le contraire. Mais je n'en ai pas et qui aurait pensé que je puisse apprécier la compagnie de la jeune femme ? Et sa beauté ?  « Ce n'est pas grave, tu l'avoueras plus tard, ne t'en fais pas  » je la pousse à bout, je le sais.  « Tu aimes la littérature Rosemarie ? » je veux savoir si elle aime lire, si elle s'y connaît un petit peu avant que je n'aille plus loin. Je change de sujet comme je change de chemise. Enfin... je regarde rapidement ce que je porte et grimace. La même chemise que hier. Oops. « Je n'ai pas envie d'y remédier. Et si toi, tu n'as pas envie d'aller en cours et gâcher ton avenir, tant mieux. Mais pas moi. » je soupire. Pourquoi est-elle encore là si elle n'a pas l'intention de sécher ?  « Ce n'est pas vraiment un cours moi.. » je ne dis rien d'autres et continue à la regarder. Cette fois-ci mon regard va de haut en bas. Oui, je la matte et j'apprécie ce que je vois.  « C'était la première fois que tu embrassais quelqu'un, n'est-ce pas ? Je sais que je suis le premier à avoir goûter à tes lèvres » je la vois rougie, elle n'a certainement pas l'habitude d'entendre les propos que je tiens. Je dois être le seul à parler de la sorte.  « Et je suis certain que tu aimerais que je recommence ! » j'ajoute çà avec un petit ton sympathique. Je sais bien qu'elle aimerait que je recommence et j'avoue que j'aimerais aussi pouvoir recommencer. Oui, j'aimerais pouvoir reposer mes lèvres sur les siennes et cette fois ci que le baiser soit un peu plus intense. J'ai cru comprendre que j'avais été le premier à déposer mes lèvre sur les siennes et j'avais senti un peu de retenu de sa part alors qu'elle ne devait pas avoir honte de quoique ce soit. Elle est encore bien trop inexpérimentée à mon goût et j'aimerais vraiment remédier à tout çà. Je n'ose pas laisser parler mes pensées, elle prendrait bien trop peur. « J'y crois pas ! Mais.. Je voulais y aller à se cours bordel ! » woow. C'est la première fois que je l'entends jurer. Je ne la pensais pas du tout comme çà. Ce qui me fait sourire.  « Tu jures  toi ? » m'approchant au plus près de la jeune femme, je sens bien que le courant est un peu plus électrique.  Elle doit aussi le sentir, elle ne peut pas faire semblant. « T'es sur ? Tu ne m'en crois pas capable ? » c'est bien la première fois qu'elle m'enlève les mots de la bouche. Je ne me décale pas pour autant et ne la laisse pas s'échapper. Je hausse tout simplement les épaules. Elle ne peut pas crier, comme elle ne peut pas être très longtemps loin de moi. Je suis au plus près d'elle et colle pratiquement mon visage au sien pour lui murmurer dans l'oreille  « Tu ne peux pas.. et tu ne veux pas. » Je suis assez sûr de moi. Voilà que je lui demande quelque chose qui me titille l'esprit depuis longtemps. « T'es vraiment qu'un pauvre type. Laisse moi tranquille. » elle me pousse et commence à s'en aller. Je ne peux pas la laisser s'en aller comme çà. Je n'en ai pas fini.  « Rosemarie ? » ce que je m'aprète à lui demander n'est pas dans mes habitudes mais si je continues, elle vas finir par s'enfuir pour de bon. Je la rattrape rapidement et lui attrape le bras sans lui faire mal. Je sais qu'elle va rapidement l'enlever. A moins que...  « Laisse tomber ton cours et vient avec moi » quoi ? Où est-ce que je peux bien l'emmener ? Non, je deviens fous, ce n'est pas du tout dans mes habitudes. Je ne me comprends même plus. Je me rapproche au plus près de la jeune femme pour poser mon regard une nouvelle fois dans le sien. Je ne souris toujours pas. Je ne souris jamais. Ou pratiquement jamais.  « Dis oui, tu as déjà perdu trop de temps » ma voix n'est pas trop désespérée. Tout va bien.  « Promis, je ne te mangerais pas... et j'essaierai de ne pas te mordre non plus  » un petit peu d'humour peut-être ? Je ne suis pas très doué je crois pour çà...  « Tu sais que tu en as envie, t'as envie de passer du temps avec moi, alors arrête de te voiler la face et de forcer ton esprit à t'écouter ! »
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() message posté Sam 4 Avr 2015 - 18:40 par Invité
Pour ce qui concerne mon futur, j'ai toujours imaginé des choses simples. Simples mais confortables. Avoir un bon boulot, qui me plaît et dans lequel je serais vraiment épanouie. Quelques choses qui ne serait pas trop prenant non plus et qui me permettrait d'avoir une vie à côté. Certes, travailler, c'est ce que je fais tous le temps, mais relâcher un peu de temps en temps ne me ferait certainement pas de mal. Après, je ne sais pas si je serais capable de me lâcher un peu, je n'ai jamais vraiment été le genre de fille à faire passer son amusement avant tout le reste. Ensuite, je me vois habiter un loft, en ville. Une ville sur avec tout ce qui a besoin à proximité. Après, seul, en couple, avec un chien, j'en sais rien. J'ai toujours eu l'habitude d'être seule, mais arriver à un certain âge ; c'est vrai que se serait mieux d'avoir sa petite famille. Vu comme ça, toutes mes espérances ne ressemble qu'à un rêve de gamine. J'en suis consciente. Mais je préfère voire mon avenir ou du moins, l'imaginer plutôt que de vivre une vie désorganiser, vide de sens. Ce qui nous maintiens en vie, se sont nos rêves et toutes nos espérances. Sans quoi, à quoi bon rester là ? Après, je sais qu'avoir une vie monotone sans aucun rebondissement, c'est ennuyeux. Mais moins dangereux. Je n'aime pas vivre dans le doute, le stress. Si je dois être honnête, j'avoue que, un petit peu d'action ne me ferait pas de mal. J'ai juste trop peur de ce qui pourrait arriver et des conséquences qui suivrait. Je ne veux pas décevoir ma mère. Elle a tant fait pour moi. Puis, même si elle a tendance à être insupportable et à vouloir tout contrôler, je l'aime. Je ferais tout pour la rendre heureuse. Elle le mérite. Mon bonheur à moi passe après. Je me prive, et franchement, je ne m'en veux pas. Pas maintenant du moins. Peut être plus tard, a voir. Aiden me tenait la jambe depuis quelques minutes, quelques minutes de trop d'ailleurs. Mon retard pour mon prochain cours arrivait à grand pas et une boule d'angoisse se forma au creux de mon ventre. Pourtant, je ne bouge pas. J'aurais pu le planter là, comme le dernier des idiots, mais je ne le fais pas. Je ne sais vraiment pas pourquoi. Peut être est-ce à cause de ses yeux verts intriguant, ses fossettes que l'on veut embrasser à en perdre haleine, ses cheveux décoiffé où on rêverait de passer ses mains.. Je m'égare. Vraiment. Je rougit encore une fois, ayant honte de penser à de tels choses plutôt déplacé. Pour certaines personne, ces pensé sont innocente. Mais quand ça le concerne lui, c'est tout sauf innocent. Il éveille des choses en moi que je préfère ignorer. « Je ne vois pas vraiment la raison, tu devrais te détendre » Le pire, c'est qu'il n'as pas tout à fait tord. Ce n'est pas non plus le premier à me sortir se genre de chose. Je baisse les yeux et fait un peu la moue. Est-ce que j'ai été trop dur avec lui ? Même si c'était vraiment le cas, je ne m'excuserait pas. Ce geste impolie est des plus naturel après tout. Il ma fait bien pire, et a part rire, aucune n'excuse n'est jamais venu. «  Je ne comprends pas pourquoi tu me détestes autant »   Je fronce les sourcils, en pleine incompréhension. Est il sérieux ? Il a toujours tout fait pour me faire sortir de mes gonds, me faire du mal ou juste me faire perdre mon temps. Mais le pire dans tout ça, c'est que je ne suis pas sur de le détester. J'essaye, de tout cœur, mais c'est dur. C'est bien la seule personne que je n'arrive pas à détester malgré toutes les crasses qu'il a pu me faire endurer. [color=#ff9999]« Je ne déteste pas. Enfin, pas vraiment. » Je soupire en me trouvant vraiment trop ridicule. Autant lui balancer directement une tonne de compliment mielleux, ça irait beaucoup plus vite. « C'est juste que tu te comportes comme le pire des enfoirés avec moi. Alors que je n'ai jamais rien fait pour. » Je me calme, chose bien étonnante, croyez moi. J'aurais pu l'incendier et lui balancer une tonne d'insultes plus grossières les unes que les autres. Mais je m'abstiens. Parce que le cœur n'y est pas et que pour une fois, il a l'air plus ou moins doux et prêt à une discussion normal. Sans provocation ou moquerie. Je lui avait déclaré que ce n'était pas du tout mon type. Malgré le fait que je n'ai aucun style de mec particulier. Tant que le courant passe bien, c'est l'essentiel après tout. Seulement, jamais je n'aurait pu lui dévoiler qu'il me plaisait. Physiquement parlant bien sûr. N'oublions pas qu'Aiden est un idiot. C'est important de s'en souvenir. Même si sa sensibilité pointait peu a peu le bout de son nez. « Alors pourquoi tu rougis comme çà ? »   Je toussote un peu en remettant mes lunettes en places. Enfin, mes lunettes, c'est plus un accessoire ou une espèce de bouclier qu'un objet qui m'aiderait à avoir une meilleur visibilité. J'ai une très bonne vue a vrai dire. Seulement, me cacher derrière ces grands carreaux marchait plutôt bien. Les gens me laissait tranquille. Ouais, les moqueries était toujours là voir beaucoup plus présente. Mais je préfère ça plutôt que d'attirer l'attention pour de mauvaises raisons. « Je rougis pas. C'est juste qu'il doit faire cinquante degré ici. Faudrait qu'ils investissent dans une clim ou quelques choses comme ça. » De plus en plus ridicule. Aiden va s'enflammer et surement penser que c'est lui qui me donne cette sensation de chaleur. C'est peut être pas tout à fait faux, mais jamais je n’orrais oser sous entendre quelques choses comme ça. C'est pas mon genre. Puis se couloir est véritable four. « Je suis ton type » Je lève les yeux au ciels en secouant la tête, clairement exaspéré. Mais qu'est ce que peut lui faire de tout manière ? Il m'a clairement fait comprendre que je n'étais pas le sien, au contraire. Limite si je ne le dégouttait pas de la gente féminine.  « Ce n'est pas grave, tu l'avoueras plus tard, ne t'en fais pas  » Un rire sarcastique quitte mes lèvres et mon visage se penche sur le côté, histoire d'analyse vraiment ce qu'il vient de me dire et d'essayer de déchiffrer ses émotions. Ce qui est une cause un peu perdus. C'est comme tenter de comprendre un chinois qui parle russe. C'est tout bonnement impossible. « C'est bien beau de rêver. Et je te rassure, je ne m'en fais absolument pas. » Parce que de un, t'es mon type, de deux ça ne te regarde pas et de trois, eh bien... Cette histoire ne le regarde toujours pas. Qu'est ce que ça peut lui apporter franchement. Je ne cherche pas à savoir ce qui est son style à lui. Même si j'ai vraiment des doutes. Une fille bien formé avec une poitrine énorme, un qi d’huître avec de grandes compétences en gymnastique. Je n'ai aucun de ses critères. Et je ne compte pas les avoirs de toute façon. C'est plutôt dégradant. « Tu aimes la littérature Rosemarie ? »  Hein ? Mais.. Pourquoi est ce qu'il chance de sujet comme ça ? Puis je doutes vraiment que se genre de truc l'intéresse. C'est pas le gars qui à l'air de passer des nuits entières accrocher à des bouquins, rêvant d'être à la place des personnages principaux et se laisser bercer par l'histoire du début à la fin. Moi si. « Bien sûr. Je ne te retourne pas la question j'ai un petit doute sur la réponse. » Qui est sans aucun doute négative. Si jamais il me déclare le contraire, je lui ferais bien savoir que les magazines porno ne font pas partie de la littérature. Je m'en veux un peu de la cataloguer de la sorte, mais ce n'est pas comme si il l'avait chercher. Je ne suis pas le genre de fille à juger les gens par rapport aux rumeurs ou alors à leurs apparences, mais ce n'est pas comme si Aiden me laissait vraiment le choix. Il à l'air de s'amuser des rumeurs a son propos. Jamais je ne serais capable de réagir de cette manière. Je porte beaucoup trop d'importance à ce que les autres peuvent penser de moi, et je pense qu'un jour, j'en ferais vraiment les fraits. « Ce n'est pas vraiment un cours moi.. »  Je la regarde un peu avec incompréhension. Je ne vois pas où il veut en venir en faîte. « Comment ça 'pas vraiment' ? » Et là, je ne sais pas pourquoi je suis venu à penser à ça, c'est horrible, mais peut être qu'il avait rendez vous avec une fille. Une prof. Pour faire des choses peu catholiques... Non.. Je n'arrive pas à l'imaginer. Des filles du campus je veux bien, mais une prof... Au lieu de continuer à m'imaginer des choses insensé, je préfère attendre sagement qu'il me donne une réponse qui à du sens. Son regard me détaille, de haut en bas, et je bouge un peu gêné. Il n'a vraiment aucune gêne. Faire se genre de chose, sans essayer d'être un minimum discret en plus, c'est mal placé. Et après il ose dire que je ne lui plaît pas ? La blague. Je baisse un peu la tête en me mordant la lèvre, priant pour qu'il finisse par partir.  « C'était la première fois que tu embrassais quelqu'un, n'est-ce pas ? Je sais que je suis le premier à avoir goûter à tes lèvres »  Je baisse un peu plus la tête et me remet à toussoter. Évitant son regard et me contentant de regarder mes pieds. C'est vrai, c'était le premier. Et à l'entendre, ça devait clairement se voir. C'est vexant. Voir que ça ne lui à pas plut et qu'en plus apparemment, je m'y prenais comme un pieds me donne juste en vie de changer de pieds et de m'isoler dans une cabane au fin fond d'une foiré abandonner. « Je t'en prie, ne parle plus de ça. C'était une grave erreur et je te rassure, certes t'étais le premier mais tu ne seras surement pas le dernier. »  Mais qu'est ce que je dit ? Je vais me faire passer pour une espèce de garce qui embrasse tout et n'importe quoi. Ce n'est pas du tout moi. Et vu ce qu'il vient de me dire, l'envie d'embrasser quelqu'un mettra un certains à arriver.  Sauf lui, ses lèvres pulpeuse et douce, me donne envie de poser mes lèvres une fois de plus sur les siennes. Mais vu le résultats, il vaut mieux s'abstenir, vraiment. J'ai fait l'erreur une fois, il ne faut pas que je la reproduise une deuxième fois. Et là, grand moment. Voyant que mon cours commençait et que la porte de ma classe c'était fermer, j'avais un peu péter les plombs. Venant même à jurer. Ce que jamais je ne fait. Sauf en situation grave ou du même genre. Je change et ça me térrifie.  « Tu jures toi ? » Apparemment oui. Mais je me contente d'avoir l'air hébété face à mon mot impolie sortit un peu plus tôt. Replaçant mon sac sur mon épaules, je le vois se rapprocher un peu plus. « Euh... Je... »  Quelques centimètres nous sépare, mais trois fois rien. Mon regard lutte pour ne pas tomber sur ses lèvres. Ma respiration s’accélère, tout comme les battements de mon cœur. Qu'est ce qui m'arrive ? La seule menace que j'avais trouver pour qu'il me laisse tranquille, c'était de crier. Ridicule. Même un gosse aurait trouver quelques choses de mieux. Mais j'ai une excuse, jamais de ma vie je ne m'étais amuser à faire des menaces alors c'est compréhensible. « Tu ne peux pas.. et tu ne veux pas. »  Je le pourrais mais c'est sur que le vouloirs, c'est différent. Mais il ne me laisse vraiment pas le choix. Qu'est ce que je peux faire d'autres pour qu'il me laisse tranquille sans avoir besoin d'être violente ou hargneuse. J'hausse les épaules en soupirant un peu. Même s'il me pousse a bout régulièrement, j'aime bien passer du temps avec lui. Sauf quand il devient vraiment arrogant et qu'il se fou vraiment de moi. Ca, c'est pas cool du tout. Comme maintenant en faîte. Ma virginité l'amuse, et c'est pas quelques choses que je trouve drôle. C'est sérieux. Et parler de ça vulgairement et comme si j'étais un pauvre bout de viande. Alors c'est tout naturellement que je l'avais poussé, un peu trop fort et que je commençait à partir. Où exactement ? Parce que le prof n'allait surement pas m'accepter, vu le temps que je venais de perdre. « Rosemarie ? » Je continue de marcher, énerver comme jamais. « Laisse moi tranquille Clifford. » Je n'avais même plus envie de l’appelle par son prénom. Sa sonnait trop familier. Et on ne l'es pas. Du moins, je ne veux pas l'être avec lui. Pourtant, il ne lâche rien et me rattrape plutôt rapidement en me prenant par le bras. Quelques frissons et cette sensation étrange se manifestèrent des la seconde qui suivit. Mon regard se pose sur sa main et je met un certain temps avant de le retirer. Tout ça ne m'amuse plus. Il devient blessant et je n'ai rien  fait pour. « Laisse tomber ton cours et vient avec moi » Je rigole sarcastiquement en plantant mon regard dans le sien. Il a des troubles de la personnalité. Je ne vois que ça. Il passe d'adorable au plus grand des cons en un claquement de doigts. « Tu rigoles j'espères ? » Je secoue la tête et m'apprête à repartir. Je vais aller à mon cours. Négocier pour qu'il me laisse rentrer et continuer ma petite vie monotone comme avant. Avant que ma route ne croise la sienne. Mais plus je recule, plus il se rapproche. « Dis oui, tu as déjà perdu trop de temps » Je mourrais d'envie de lui répondre que c'est lui, qui me fait perdre mon temps. Mais se serait lui apporter trop d'importance. Et je ne veux pas qu'il se sente bien alors que moi, il me détruit. « Laisse moi. » Je soupire, fatigué de me battre comme ça avec lui. Les choses finissent toujours pas déraper, en mal. Peut être que, ce qui serait le mieux pour nous, se serait de ne plus se parler. Faire comme si l'autre n'existait pas et nous attire d'une force beaucoup trop grande. « Dis oui, tu as déjà perdu trop de temps » Je secoue la tête, totalement perdu. Je ne le coupe pas, pour entendre ce qu'il a me dire et essayant de comprendre ses intentions. « Promis, je ne te mangerais pas... et j'essaierai de ne pas te mordre non plus  »  Il rigole. Moi pas. Je le regarde un peu stoïque et toujous autant blesser. Je pense que je peux toujours courir pour avoir des excuses. Déjà que, ce qu'il me propose là est quelques choses d'incroyable.. « Tu sais que tu en as envie, t'as envie de passer du temps avec moi, alors arrête de te voiler la face et de forcer ton esprit à t'écouter ! »  Je fronce les sourcils et me recule un peu, ne voulant pas être prêt. J'ai envie de passer du temps avec lui, c'est pas faux, sauf quand il est exécrable et insupportable. « Aiden, tu te rends compte de ce que tu me demandes au moins ? Comment est ce que tu voudrais que je passe du temps avec toi je ne sais où, en séchant mon cours alors que y a même pas cinq minutes, tu te foutais clairement de moi. C'est blessant. Et tu t'en fou complètement. Et après tu t'attend à ce que j'accepte ? Tout ne tourne pas rond chez toi. » Je soupire en baissant les yeux, le cœur battant. Il m'aurait proposé ça avant de parler de ma virginité et de tout ceux qui rêvaient de me la prendre, je pense que j'aurais dit oui. Sans trop hésiter. Sauf qu'il l'a fait. Et que non seulement, je lui tiens tête et que je ne cède toujours pas, mais en plus, je suis motivé à obtenir des excuses. « Excuse toi sincèrement. Et je te suis. »  Je pense que c'est chez moi que tout ne tourne pas rond finalement.
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() message posté Dim 5 Avr 2015 - 0:23 par Invité
Je me suis jamais posé de questions quant à mon futur et ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie. En toute franchise, j'ai toujours voulu essaye de ne pas faire comme mon père et de ne pas faire plaisir à ma mère en me trouvant un travail et en étant toujours très droit. Je ne suis pas comme çà, je n'aime être comme çà. Ma vie n'est pas toute tracée, bien au contraire, tout le monde me voit comme le vilain petit canard, celui qui fou la merde mais je travail, du moins, je n'ai pas vraiment besoin de travailler pour m'en sortir en cours. C'est bien la chose dont je suis le plus fier. Je n'ai pas besoin de bûcher comme beaucoup d'étudiants le font à longueur de temps pour avoir de bonnes notes. Bien évidemment, j'essaie tout de même de travailler un petit peu histoire de faire plaisir autour de moi et pour ne pas me faire renvoyer mais si çà ne tenait qu'à moi, je ne ferais pas grand chose. Ha ! Mais je ne fais déjà pas grand chose. Si, j’embête Rosemarie, pourquoi ? Parce que j'adore l'embêter et elle tombe toujours dans le panneau. Depuis notre baiser, depuis ce fameux baiser, je ne sais plus vraiment quoi faire, c'est comme si elle était toujours dans mes pensées et qu'elle ne voulait pas en sortir. J'avais essayé de la fuir comme la peste, de ne pas la calculer, de ne pas lui parler, de l'oublier comme un désespéré et pourtant, penser à elle était devenu quelque chose de quotidien et je m'en voulais, mais je lui en voulais encore plus de me faire çà. Beaucoup ne m'aime pas, me déteste même. Je ne suis pas des plus faciles à vivre, je le sais mais je ne veux pas changer pour autant. Je suis du genre fêtard, je passe mon temps à courir les filles même si j'ai tout de même de la chance et qu'elles arrivent aussi dans mes bras sans que je ne fasse quoique ce soit. Je suis un peu vantard sur les bords, je le sais mais je ne veux pas me soigner. Je suis ce que je suis, je ne veux pas changer et si les gens veulent me changer, c'est très mal barré. Sur le chemin pour aller à mon cours de photographie, enfin à mon club, je croise Rosemarie. Elle est sur mon chemin et même si je veux l'éviter, je n'y arrive pas et je suis obligé d'aller vers elle. Pour son plus grand malheur, je le conçois. Au fond, je sais très bien qu'elle m'apprécie mais elle ne veut tout simplement pas se l'avouer. « Je ne déteste pas. Enfin, pas vraiment. » je plisse les yeux. Je ne comprends pas ce qu'elle entend par pas vraiment... Elle est vraiment très étrange mais j'aime sa bizarrerie   « Qu'entends tu par pas vraiment ? C'est soit tu me détestes, soit tu m'aimes bien, y'a pas vraiment de demie mesure en général tu sais » elle sait que j'ai raison et je veux qu'elle me dise ce qu'elle pense réellement. Je ne veux pas qu'elle prenne de pincettes. Que ce soit avec moi, ou bien avec elle   « Tu m'aimes bien... avoue le Rosemarie » je souris. Je n'allais pas rire d'elle, au contraire, j'allais plutôt être content de l'entendre dire que je lui plais. J'ai de grandes choses à faire avec elle. Déjà, je veux l'embrasse de nouveau, je veux passer mes mains sur son corps, la sentir frissonner à chaque fois que je passe mes mains sur chaque parcelle de son corps. Je veux la sentir respirer de manière irrégulière parce que je suis tout près d'elle. Je sais que je lui plais, je le sais c'est tout et elle ne peut pas me dire le contraire. Elle ne ferait que mentir. Elle devrait arrêter de résister. Je veux continuer à l'embrasser tout en la touchant et j'aimerais aussi pouvoir lui enlever ce que beaucoup aimerait lui enlever. Je veux ce qu'il y'a de plus précieux chez elle, je veux goûter à ce qu'elle me donner. Une fois, rien qu'une petite fois.   « Arrête de faire semblant » chuchote-je avec un petit sourire sournois.  « C'est juste que tu te comportes comme le pire des enfoirés avec moi. Alors que je n'ai jamais rien fait pour. » elle marque un point. Mais elle a fait quelque chose. Simplement elle ne le sait pas, c'est tout. Elle m'a fais ressentir quelque chose que je ne connais pas et que je n'aime pas du tout. Elle m'a fait apprécier sa compagnie et son baiser. Et çà, je n'aime pas du tout cette sensation. Mais je ne le lui dirais pas. « Je rougis pas. C'est juste qu'il doit faire cinquante degré ici. Faudrait qu'ils investissent dans une clim ou quelques choses comme ça. » bien évidemment. Je ne la crois pas du tout. Je souris d'un petit air qu'elle connaît bien. Elle sait que je ne la crois absolument pas. D'ailleurs, je lève les yeux au ciel   « Arrête de raconter n'importe quoi ! » si elle pense que je vais croire à ce qu'elle est en train de me dire, elle se met le doigt dans l’œil. L'ombre d'un sourire narquois se place alors sur mon visage sans que je veuille le stopper. Je ne suis pas du genre à sourire très souvent mais avec elle, je ne sais pas pourquoi, je souris bien plus. J'ai l'impression qu'elle me change. Çà me fait peur. « C'est bien beau de rêver. Et je te rassure, je ne m'en fais absolument pas. » je lève de nouveau les yeux au ciel mais ne réponds rien. Je n'ai pas envie de lui répondre. Cela ne sert à rien car entre nous c'est souvent un langage de sourd qui s'engage et çà en devient assez fatiguant même. « Bien sûr. Je ne te retourne pas la question j'ai un petit doute sur la réponse. » ha si elle savait... J'ai envie de rigoler mais j'essaie de me retenir au maximum pour ne pas l'énerver  « Malheureusement pour toi, je crois que tu te rompes... Je suis en littérature » je finis par hausser les épaules et soupire. Je croyais qu'elle savait que j'étais dans cette branche mais soit, je viens de lui apprendre en tout cas. Elle ne sait rien de moi et elle pense que je n'ai rien dans le crâne parce que je bois et que je fais la fête mais elle ne sait pas ce que je peux faire en dehors de tout cela. Elle a le jugement bien trop facile à mon goût, ce qui est d'ailleurs bien dommage.  « J'ai le droit à quelque chose parce que tu t'es trompée ? » je sais très bien qu'elle va faire la fille outrée et qu'elle va me dire non. Je commence à la connaître. « Comment ça 'pas vraiment' ? » pourquoi elle me pose la question ? Je croyais qu'elle ne voulait rien savoir de ce que je pouvais bien faire ? Quoiqu'il en soit, je ne réponds pas. Je n'en ai pas envie. Je la vois bien s'imaginer des choses encore alors que je ne ferais rien. Je ne fais presque plus rien depuis qu'elle hante mes pensées et çà m'agace complètement. J'ai l'impression de faire presque de l'abstinence. « Je t'en prie, ne parle plus de ça. C'était une grave erreur et je te rassure, certes t'étais le premier mais tu ne seras sûrement pas le dernier. » je ne peux contenir mon sourire en apprenant que je suis le premier à l'avoir embrasser. Je sais qu'elle est embarrassée depuis qu'elle m'a dit çà mais je ne peux pas m'enlever de la tête à présent que je suis le premier. Je suis tout de même un peu fier.  « Je suis donc le premier... » çà me donne à réfléchir, alors j'enchaîne  « laisse moi être de nouveau le premier.. laisse moi te toucher » je suis de nature assez direct, je dois bien l'avouer et je ne vais pas changer pour elle même si elle rougis. J'aime quand elle rougis, elle est encore plus adorable. Est-ce mal de penser ce genre de choses ? Oui, peut-être.. mais je crois que je ne suis pas vraiment normal de toute manière. « Euh... Je... » je la taquine et elle tombe rapidement dans le panneau, j'adore. Elle me plaît. Quoi ? Qu'est-ce que je viens de ? Non …  « Laisse moi tranquille Clifford. » non je ne la laisserai pas tranquille  « non » je veux qu'elle passe le reste de l'après-midi avec moi et je ne vais pas la laisser tranquille jusqu'à ce qu'elle accepte « Tu rigoles j'espère ? » non, je suis très sérieux mais elle le sait. « Laisse moi. »    « je n'ai pas envie de te laisser tranquille, tu n'as pas compris çà encore Rosemarie ? Je ne veux pas te laisser tranquille, je ne peux pas ! » je n'en ai pas la possibilité, elle m'attire comme un aimant et çà me rend fou, je suis fou d'être comme çà mais je ne peux pas être autrement. « Aiden, tu te rends compte de ce que tu me demandes au moins ? Comment est ce que tu voudrais que je passe du temps avec toi je ne sais où, en séchant mon cours alors que y a même pas cinq minutes, tu te foutais clairement de moi. C'est blessant. Et tu t'en fou complètement. Et après tu t'attend à ce que j'accepte ? Tout ne tourne pas rond chez toi. »  «Oui, je me rends compte de ce que je te demande. Je te demande de ne pas aller à ton cours, qui de toute manière a déjà commencé. Je te demande de passer le reste de la journée avec moi. Je ne me fou pas de toi, je suis tout simplement franc, çà te gène ? Tu es bien vierge n'est-ce pas ? Je pense que ta situation n'a pas changé depuis une semaine … c'est du franc parler, je ne mâche pas mes mots. Je ne peux pas m'excuser pour ce genre de chose.  » je n'ai jamais dis que tout tourne rond chez moi, bien au contraire, il doit me manquer une case. Déjà parce que j'apprécie une fille comme Rosemarie. « Excuse toi sincèrement. Et je te suis. » je lève les yeux au ciel et grimace par la même occasion.  « non, je ne vais pas m’excuser ! » je ne m'excuse jamais  « Ecoute.. je ne suis pas du genre à m'excuser, surtout quand je parle tout simplement franchement. Je ne veux pas t'offenser, je veux juste .. je ne sais pas ce que je veux d'accord ! » elle me met soudainement mal à l'aise. Ce n'est pas moi. Je ne comprends plus rien  « Tu viens ou pas ?  »
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() message posté Mar 14 Avr 2015 - 16:19 par Invité
Les imprévus n'ont jamais été les bienvenus dans ma petite vie très organisé. J'essaie au mieux d'anticiper chacun événement futur pour ne pas être prise par surprise et me retrouver les bras ballant et incapable de réagir. J'aime maitriser ma vie. Les surprises ne m'ont jamais plut de toute manière. Elles sont bien trop souvent décevante voir même effrayante. Il faut avoir le goût du risque. Et je ne l'ai clairement pas. Je n'ai jamais été aventurière. Lorsque j'étais plus jeune, même monter dans un arbre me paraissait impossible. Tout comme faire de l'acrobranche, du surf vori même du cheval. Puis, ma mère ne m'aurait jamais laissé faire tout ça de toute manière. C'est un peu une maman tigre. Elle est surprotectrice et souhaite que je sois au top à chaque fois et dans un peu tout les domaines. C'est une situation lourde. Un peu comme elle. Mais jamais je en me permettrais de lui dire ça. C'est tout de même ma mère. Et elle fait beaucoup pour moi, me faisant d'autant plus passer en priorité. Alors oui, elle a beau être chiante et encore plus maniaque du contrôle que moi, je l'aime. Je l'aimerais toute ma vie. On ne peut pas négliger le femme qui nous a donné la vie et appris au mieux cette dernière. Si jamais elle venait à apprendre que j'étais entrain de rater l'un de mes cours à cause d'un garçons du genre je m'en foutiste qui n'as jamais l'air de travailler et qui se fout de la gente féminie au plus haut point, je pense que je ne suis pas prête de revoir la lumière du jour et respirer l'air fraic pendant un très long moment. C'est normal après tout. Si je suis dans une école c'est pour bosser afind'avoir un avenir pas trop misérable. Et non pas pour faire la fête, sécher la pluspart du temps et sortir avec n'importe qui. C'est quelques choses qui n'est pas prêt d'arriver de toute manière, mais ma mère est excessive et donc, pourrait très facilement s'imaginer des scénarios aussi horrible les uns que les autres. Quand je vois comment elle est, j'espère de tout cœur ne pas finir comme elle. Se serait effrayant et je doute qu'au final, le bonheur sera au rendez-vous. Aiden commence à me faire tourner en rond et surtout, me faire perdre mon temps. Si son simple but est de se moque de moi et de me rabaisser, je devrais prendre mes jambes à mon cou et l'ignorer comme les dernières semaines nau lieu de rester planter la devant lui, rouge comme une tomate et prête à exploser. Il me fait perdre le contrôle. Tout mes moyens. Rien ne va plus et pourtant, je reste là. Je pense ne pas être très net et légèrement maso sur les bords. « Qu'entends tu par pas vraiment ? C'est soit tu me détestes, soit tu m'aimes bien, y'a pas vraiment de demie mesure en général tu sais » Il a toujours besoin de savoir tout sur tout. Ce mec est une évritable fouine. Je pense que, jamais de ma vie je n'ai rencontrer quelqu'un d'aussi curieux. Puis, comment est ce que je peux lui répondre alors que moi même, je n'en sais pas plus ? « Eh bien, pas vraiment. Tu vois c'est comme le riz au lait. On a beau aimé le riz et le lait et pourtant, le mélange des deux est atroce. » Mon explication ne veut absoluement rien dire, et pourtant, j'essaie de rester sérieuse. Il va me traiter d'idiote encore une fois et je pense que là, se sera très clairement justifier. Je ne sais même plus parler normalement. Cette histoire devient grave. C'est quoi la prochaine étape ?  « Tu m'aimes bien... avoue le Rosemarie » Il faut absoluement qu'il arrête de faire des conclusions aussi attive et qui en plus, sont sans arguments. Et il faut qu'il arrête de me regarder dans les yeux aussi. C'est trop perturbant et j'ai trop de mal à me concentrer. Ca doit bien être la seul chose de bien chez lui, ses yeux. Vert limpides et si expressif. Et peut être aussi son sourire, ses fossettes, son corps incroyablement bien taillé, sa chevelure bouclé qui me donne envie de passer mes doigts dedans... je toussote et détourne le regard pour reprendre mes esprit. Sa présence est vraiement trop néfaste. « Je dirais plutôt que, toi, tu m'aimes bien Aiden. Sans quoi tu ne serais pas la a perdre ton temps avec moi et t'irais tiré ton coup avec quelqu'un qui ne soit pas encore passer par ton lit. Ce qui doit savérer assez compliquer. » Je renchérit mes paroles avec un sourire, fière de ma réplique. Après tout, ce n'est que la pure vérité, tout le monde le sait. Il ne peut pas faire l'innocent. Je suis persuadé qu'il en est même fier. Pourtant il n'y a pas de quoi. Vraiment pas. Pour moi, faire l'amour est un geste que l'on réserve à une personne spécial sinon ça ne veut plus rien dire, et ça n'a plus aucune importance. La encore, la vision que l'on a sur le monde et la vie est bien différente entre lui et moi. « Arrête de faire semblant » Sa voix douce et ennivrante me fait frissoner partout. Je rabas ma veste en essayant de cacher et de prier en même temps pour qu'il n'y prête pas attention. Ce n'est pas lui qui me fait cet effet là, c'est juste qu'il y a eu un courant d'air et que du coup, ça m'a donné un tout petit froid, ni plus ni moins. « Arrête de te faire de faux espoir. » J'ai rarement eu d'autant d'assurance et de répartie dans toute ma vie. Je suis agréablement surprise par tout ça. Puis, il mérite que je me comporte comme ça après tout. Il me cherche et joue au véritable enfoiré. Pourtant, inconsciament, je sais qu'il n'est pas aussi mauvais et con qu'il veut le laisser paraître. C'est quelqu'un d'en colère mais pas vraiment mauvais. Alors ce qu'il me demande vaguement ce que je fais la, je ne lui retourne pas la question, persuader qu'il était la pour tout autre chose, qui n'est clairement pas en lien avec les études. Comme quoi, j'ai tendance à juger trop rapidement et au premier abord. « Malheureusement pour toi, je crois que tu te trompes... Je suis en littérature » J'écarquille les yeux et j'ouvre peut être même la bouche tant la surprise est immense. Alors la, je ne m'y attendais vraiement pas à celle la. Lui ? En littérature ? Je veux dire, j'étais bien loin de l'imaginer entrain de lire du Shakespeare, poèmes, roman à l'eau de rose et tout ce qui va avec. Je baisse les yeux, gêner de l'avoir juger aussi rapidement et peut être, trop méchemment. Mais je ne suis pas encore trop stupide et ne m'excuse pas non plus, parce que, vu toutes les horaires qu'il m'a dite, il ne mérite vraiment pas mes excuses. Puis, de me voir autant gêner, ça doit bien lui suffire. « J'ai le droit à quelque chose parce que tu t'es trompée ? » Apparement, non. Je fronce les sourcils en tentant de reculer sauf que, j'avais oublié que mon corps était étroitement coincer entre cet idiot et le mur qui se trouvait dans mon dos. Je soupire en levant les yeux aux ciels, exaspéré et peut être un peu fatigué. Puis, d'un autre côté, ça m'aide pas mal pour cacher ma gêne. Parce qu'avoir les joues rouges et bafouillé, ça devient vraiment gênant. « Une médaille en chocolat ? » plus niais et enfantin, je crois que ça n'existe pas. Je me mordille la lèvre en le regardant, prête à rire de ma 'connerie' qui fait plus pitié qu'autre chose. Je suis persuadé qu'il va se demander si c'est une blague ou que ne me paye pas sa tronche. Ce qui est plutôt compréhensible. « Je suis donc le premier... »  il était vraiment obligé de parler de ce fameux baiser. Je viens de lui dire précedement mais il est obliger de le répété juste pour me faire rougir encore plus. C'est sadique et petit. « laisse moi être de nouveau le premier.. laisse moi te toucher » Mon souffle se bloque dans ma gorge et je le regarde l'espace d'un instant choqué. Il viens réellement de dire ça ? Ce mec est vraiment sans gêne et aucune manière. Une chaleur se manifeste pourtant dans mon ventre mais je préfère ne plus y penser pour éviter de m'embrouiller l'esprit. « C'est vraiment pas drôle Aiden. » J'avale ma salive et regarde de gauche à droite, histoire de bien vérifier que personne ne soit présent pour ce moment des plus gênant. « Puis, je ne suis pas ton genre, et tu n'es pas le mien, c'est pas compatible. » Je passe une main dans mes cheveux et replace bien mes lunettes sur mon nez. Mon fameux bouclier transluicide qui ne me met véritablement pas à mon avantage. S'il pouvait faire quelques choses contre Aiden, ça me sauverais bien la vie. « je n'ai pas envie de te laisser tranquille, tu n'as pas compris çà encore Rosemarie ? Je ne veux pas te laisser tranquille, je ne peux pas ! » Mes sourcils se fronce alors que mon regard ne le quitte pas. Je recule pourtant encore d'un pas, le cœur battant a vive allure et mon corps prenant encore quelques degrés. Je vais mourir de chaud. « Comment ça tu ne peux pas ? » Je m'attend au pire. Vraiment. A tout sauf à un quelconque attachement de sa part. Aiden est le genre de mec qui est incapable de s'attacher à quelqu'un et encore moins de lui vouloir du bien. Je doute qu'il apprécie ne serait-ce qu'une personne dans sa vie. «Oui, je me rends compte de ce que je te demande. Je te demande de ne pas aller à ton cours, qui de toute manière a déjà commencé. Je te demande de passer le reste de la journée avec moi. Je ne me fou pas de toi, je suis tout simplement franc, çà te gène ? Tu es bien vierge n'est-ce pas ? Je pense que ta situation n'a pas changé depuis une semaine … c'est du franc parler, je ne mâche pas mes mots. Je ne peux pas m'excuser pour ce genre de chose.  » Je commence à faire les cents pas de ce couloir qui est maintenant désert en secouant la tête. Il ne peut juste pas parler de chose aussi intime comme ça. Des choses qui ne le concerne pas. « Je t'en prie arrête ! Ce n'est certainement pas en me parlant de chose comme ça, aussi personnel qui ne regarde personne d'autre que moi que je vais accepter de passer du temps avec toi. » Mon regard devient très certainement noir et ne le quitte pas une seule seconde. L'envie de l'embrasser ne m'a jamais quitté et j'ai l'impression qu'a chaque fois qu'il m'énerve de cette manière, cette envie se fait plus forte. Tout compte fait, je dois être encore plus atteinte que lui. « non, je ne vais pas m’excuser ! » [/color] J'arrête de tourner en rond et me stop, non loin de lui et de son visage d'ange, tant contradictoire avec sa personnalité. « Ecoute.. je ne suis pas du genre à m'excuser, surtout quand je parle tout simplement franchement. Je ne veux pas t'offenser, je veux juste .. je ne sais pas ce que je veux d'accord ! » Je soupire une fois de plus et, alors que je m'étais approcher de lui, je finis par reculer. « Alors remet toi en question. Et peut être que pour toi, ce n'est rien, mais pas pour moi. Tu me fais du mal et.. Et t'en as rien a faire. » Malgré ce qu'il voulait me faire croire, je persistais à penser qu'il tenais un minimum à moi. En vain. Tout ça n'est que foutaise. « Tu viens ou pas ?  » Mon regard se plante dans le sien et je reprend ma respiration. « Non je ne vais pas avec toi. Je t'ai demandé une seule chose et t'es juste incapable de le faire. » Je le reagrde une dernière fois avant de partir, tête baissé vers la sortie. J'avais besoin d'air, et vite.
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