"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici I'll be there for you when the rain starts to pour (ft kennedy) 2979874845 I'll be there for you when the rain starts to pour (ft kennedy) 1973890357
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() message posté Ven 27 Mar 2015 - 14:44 par Jake O. Cavendish
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ En plein milieu d’une épicerie, Jake tente tant bien que mal de recopier le nom d’un vin sur son téléphone pour chercher des informations ou critiques. La saisie automatique n’arrête pas de modifier ce qu’il tape. Il ferait sans doute mieux de l’enlever mais il n’a pas le courage de chercher où le faire. Finalement, il y parvient. Un vin du sud de la France, apparemment pas mauvais. Il réitère la même opération pour plusieurs vins dans le budget qu’il s’est fixé avant de choisir celui qui possède les meilleurs commentaires sur internet. Loin d’être fin connaisseur en matière de vins, il procède souvent ainsi. Comment savoir juste en regardant l’étiquette – parfois écrite dans une langue qu’il ne comprend pas – si le vin sera bon ? Pour les bières, il prend toujours la même chose, une marque à laquelle il est habitué, pour le champagne, il parait qu’il faut prendre le plus cher possible. Le vin, ça dépend des années, des lieux de production, bref trop de facteurs pour qu’il puisse décider tout seul. Il choisit donc un vin qui porte le nom d’un château en France, de l’année deux mille neuf, en espérant qu’il sera bon. Jake prend ensuite un paquet de chips, pour lequel le choix est bien plus rapide avant d’aller régler ses achats.
Empruntant le métro pour se rendre de l’autre côté de Londres, il tient son sac d’achats d’une main et consulte son téléphone de l’autre. Béni soit celui qui a inventé les smartphones avec lesquels on peut désormais aller sur internet, Jake ne saurait pas ce qu’il ferait sans. Rien de nouveau sur l’histoire sur laquelle il espère encore avoir l’exclusivité. Un sportif de haut niveau admis à l’hôpital pour des raisons encore inconnues. Certains parlent de blessure grave, d’autres d’overdose. Mais le secret reste total pour le moment et Jake espère être le premier à le connaître. Une des raisons qui le pousse à se rendre en ce moment chez son amie qui travaille à l’hôpital où il a été hospitalisé. Il sait que Kennedy travaillait aujourd’hui parce que, deux soirs avant, elle lui avait dit par sms qu’elle avait une garde prévue et qu’elle devait donc se reposer pour être en forme. Jake est presque sûr qu’elle ne dira rien, que le sportif ait été son patient ou non mais rien ne lui coûte d’essayer. Et, au pire, ça lui fera toujours une occasion de passer une soirée en compagnie d’une amie qu’il voit trop peu. La faute à leurs emplois respectifs, il est rare qu’ils aient des moments libres au même moment. Mais entre eux, un silence de plusieurs semaines n’a jamais été signe que leur amitié allait mal. A l’université, c’était déjà comme ça, un peu moins quand ils étaient en couple mais ils ont toujours fait passer leur vie professionnelle en premier. Sur ce point, Jake ne connait personne qui le comprenne mieux que Kennedy. Elle est peut-être même pire que lui, si c’est possible.
Il arrive finalement devant l’immeuble où elle habite, profite qu’une personne sorte au même moment pour retenir la porte et entrer. Il monte les étages qui le séparent de l’appartement de Kennedy par les escaliers et sonne à la porte. Il espère ne pas s’être trompé dans ses horaires et aussi que sa colocataire ne sera pas là. Non pas qu’il ait quelque chose contre elle mais il aura plus de chances de réussir s’ils sont seuls. La porte s’ouvre sur Kennedy et il lui sourit en sortant la bouteille de vin du sac. « Regarde qui j’ai trouvé en chemin. » Il sourit en lui montrant le vin. Il n’est pas rare que les deux amis passent leurs rares soirées libres autour d’une bouteille de vin. A l’université, c’était plutôt cocktails ou bières, ils ont évolué à leur façon. « J’te dérange pas j’espère ? » Elle peut très bien avoir quelque chose de prévu ce soir, il n’en sait rien. Souvent le problème quand on débarque sans prévenir mais il espère qu’ils pourront passer la soirée ensemble.

✻✻✻
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() message posté Mer 1 Avr 2015 - 12:30 par Invité
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ Tirant avec ses orteils du pied droit sur sa chaussure gauche, Kennedy avait vite fait de se déshabiller tout en marchant vers la sale de douche qui leur était réservée. La chirurgienne venait de sortir de salle d'opération après huit heures consécutives sur le même patient, et bien que ce ne soit pas le pire qu'elle aie eut, chacun de ses muscles étaient tendus et douloureux. L'eau chaude sur sa peau était une véritable bénédiction. Durant tout un temps, la jeune femme attendait toujours de rentrer chez elle ou elle était bien plus à l'aise et pouvait profiter de mettre de la musique en même temps, mais ses gardes s'étaient faites de plus en plus longues et elle avait appris à ne plus se préoccuper du fait qu'elle n'était pas toujours seule dans les vestiaires. Elle se séchait et s'habillait en subissant les ragots de ses collègues sans la moindre réaction, jusqu'à ce que Griffin l'interpelle. « Wilkinson? On va boire un verre tous ensembles, si ça te dit. » Elle s'était radoucie au point de recevoir ce genre de proposition? Généralement, on ne lui posait même pas la question, la réponse étant bien trop évidente. « Sans moi. Bonne soirée. » Kennedy faisait preuve de légèreté et de politesse ce qui en soit était déjà mieux que le fin fond de sa pensée. Avait-elle une tête à aller se soûler et critiquer un par un le personnel de l’hôpital quand les personnes qui critiquaient étaient eux-même une bande d'incapables? Thanks, but no thanks. Ses cheveux encore mouillés attachés en chignon, elle passait son sac par dessus son épaule, déçue de ne pas retrouver ses chaussures et une robe : une tenue correcte, tout simplement. Mais une tenue loin d'être pratique pour elle rentrer à vélo, elle préconisait donc le pantalon et les converses, avec le temps elle s'était fait une raison, elle ne pouvait pas se balader avec classe tout le temps.

Le chemin jusqu'à la maison lui semblait pour une fois long et c'est avec soulagement qu'elle attachait le cadenas de son vélo dans le parking du building. Home sweet home. Pas d'Avalon à l'horizon, son amie avait du la prévenir qu'elle ne serait pas présente et ça lui était complètement sorti de la tête. Si Kennedy avait une mémoire infaillible et visuelle au le boulot, elle était la plupart du temps distraite dans la vie de tous les jours et zappait le 3/4 de ce qu'on lui racontait, ce qui lui avait déjà bien souvent joué des tours. Soit. Elle n'allait pas cracher sur une soirée au calme, peu importe à quel point elle aimait la Wexforth. Pas le temps de se laisser tomber dans le fauteuil, la sonnette retentissait dans l'appartement et Kennedy fronçait les sourcils en hésitant à jouer la morte. « Regarde qui j’ai trouvé en chemin. » Finalement devant la porte, son sourire s'élargissait devant la bouteille de vin qu'elle embrassait à défaut d'embrasser son ami. « Exactement celle que j'attendais. » Précisait-elle avec un large sourire. Kennedy finissait par embrasser Jake - il méritait bien ça pour avoir ramener ce Graal ! - et s'écartait ensuite de l'entrée pour le laisser entrer. « J’te dérange pas j’espère ? » Sa tête marquait un signe négatif et la jeune femme se dirigeait vers la vitrine pour en sortir deux verres à vin, Jake sur ses pas. Il connaissait la maison avec le temps. « Jamais quand tu es si bien accompagné. » Stop, elle allait passé pour une alcoolique. Son ami la connaissait suffisamment pour savoir que 1. ce n'était pas le cas 2. elle avait toujours savourer un bon verre de vin après une longue journée. « Avant qu'on s'installe, ça te dit qu'on commande quelque chose? Je suis affamée et trop épuisée pour faire quoi que ce soit. Chinois, italien, indien tout me va! » Trop épuisée... et pas d'humeur à les empoisonner tous les deux. Wilkinson n'avait jamais appris à cuisiner et ne le ferait probablement jamais, elle n'avait pas de temps à perdre derrière les fourneaux, que dieu bénisse les plats préparés. Pour accompagner ses paroles, elle décrochait du réfrigérateur tous les menus des restaurants qui livraient en sa possession et les plaçait sous les yeux de Cavendish : il ne manquait pas de choix.
✻✻✻
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() message posté Jeu 2 Avr 2015 - 11:29 par Jake O. Cavendish
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ Avec Kennedy, tout a toujours été naturel et simple. Ils sont semblables sur de nombreux points et se comprennent donc tout le temps ou presque. Ils ont tous les deux une vie largement grignotée par le travail qu’ils font, ce que beaucoup de personnes ne comprennent pas. Jake a toujours pensé que ceux qui voyaient leur travail seulement comme un moyen de payer les factures et qui s’y rendaient à contre cœur, n’avaient tout simplement pas trouvé un métier qui les passionne. Jake a déjà vu plusieurs fois Kennedy sur son lieu de travail et il a reconnu cette motivation sans limite qu’il a lui aussi lorsqu’il fait un reportage important. Parce qu’ils savent ce que l’autre peut ressentir par rapport à son travail, ils n’ont jamais eu de dispute à ce sujet. Des proches de Jake lui ont déjà reproché de faire passer ses reportages avant eux, Kennedy ne l’a jamais fait. Déjà à l’université, ils n’avaient pas besoin de se voir ou de se parler tous les jours pour conserver leur amitié. Quand ils étaient en couple, c’était la même chose. Ils ne se formalisaient pas d’un rendez-vous annulé parce que l’autre avait un devoir urgent à réaliser. Jake se plait à penser que leur amitié survivrait à n’importe quelle épreuve.
Si Jake sonne à la porte de Kennedy avec un objectif en tête, il a quand même hâte de retrouver son amie et de passer la soirée en sa compagnie. Il y a quelques temps qu’il ne l’a pas vue. Ils se sont parlés par sms et au téléphone mais ils n’ont pas souvent l’occasion de se retrouver dans une même pièce. Elle lui ouvre la porte avec un sourire sur les lèvres et se saisit de la bouteille sans attendre. « Exactement celle que j'attendais. » Dit-elle en embrassant la bouteille. Jake sourit, amusé. On pourrait penser que Kennedy est alcoolique vu sa réaction mais il sait qu’elle plaisante. Apprécier une bouteille de vin de temps en temps ne fait pas de vous un accro. Il dépose à son tour un baiser sur la joue de Kennedy avant d’entrer dans son appartement. Il connait bien les lieux pour y avoir passé de nombreuses soirées. Elle sort deux verres à vin d’un placard. Il ne leur faut pas grand-chose de plus pour passer un bon moment ensemble. En fait, ils pourraient même se passer du vin mais c’est un bonus non négligeable. « Jamais quand tu es si bien accompagné. » A croire que la bouteille l’intéresse plus que Jake. Enfin il pourrait le penser s’il ne la connaissait pas parfaitement. « J’espère que j’ai bien choisi le vin, j’voudrais pas te décevoir vu tout ce que tu en attends. » Sauf si les critiques se trompaient, il avait fait un bon choix. Après, les goûts, ça dépend des personnes. Mais il ne se fait pas trop de soucis et, dans le pire des cas, ils pourront toujours piocher dans la réserve de Kennedy. « Avant qu'on s'installe, ça te dit qu'on commande quelque chose? Je suis affamée et trop épuisée pour faire quoi que ce soit. Chinois, italien, indien tout me va! » Encore un point commun qu’ils partagent, l’incapacité à se faire un vrai repas. Commander, c’est tellement plus facile. Et ils gagnent assez leur vie pour se le permettre. Ce qu’ils économisent en courses alimentaires, ils le dépensent en plats à emporter, pour le plus grand bonheur des livreurs du quartier. Elle décroche un paquet de menus de son frigo. Aussi simple que ça, il suffit de choisir. « Une pizza ? La garniture que tu veux tant qu’il n’y a pas de noix. Et pas trop de fromage pour toi du coup. » Pas forcément pratique les allergies mais on finit par s’habituer à faire attention. Même si là, il a son docteur à domicile, mieux vaut éviter une crise. Il n’est pas certain qu’elle ait les produits nécessaires en plus. « Alors pas trop crevée après ta garde ? Ça a duré quoi ? Plus de 24h non ? » Jake a toujours admiré la durée pendant laquelle les médecins pouvaient travailler. Il a beau ne pas avoir besoin de beaucoup de sommeil, il ne peut pas tenir si longtemps. Bien sûr, il y a les salles de repos mais ça reste des siestes facilement interrompues par une urgence. « Il s’est passé des trucs intéressants ? » Le sujet est lancé subtilement, presque comme s’il ne savait pas qu’il y avait eu un sportif connu dans les murs de l’hôpital aujourd’hui.

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() message posté Mer 15 Avr 2015 - 18:22 par Invité
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ Kennedy ne s'était pas attendue à voir Jake débarqué - même s'il lui avait demandé ses horaires début de semaine - et était plutôt contente de l'avoir sous la main malgré la fatigue accumulée. S'il y a bien une personne avec qui elle n'avait pas à jouer un rôle, c'était lui. La soirée ne risquait pas de l'ennuyer plus qu'autre chose, elle se remerciait elle-même d'avoir refusé le verre avec ses collègue qui aurait été bien moins intéressant. « J’espère que j’ai bien choisi le vin, j’voudrais pas te décevoir vu tout ce que tu en attends. » La chirurgienne souriait amusée tout en leur versant le liquide dans deux verres qu'elle venait de sortir du placard. « Même la pire bouteille du monde ferait l'affaire aujourd'hui. Puis tu sais que je m'y connais autant que toi en vin... » Le côté " je goûte, déguste, palpe, gargarise, déguste à nouveau " était très peu pour elle... Elle buvait et décidait si ça lui plaisait ou non mais la jeune femme n'avait jamais compris toute la comédie autour de la dégustation de vin - et encore moins le prix affolant que certaines personnes claquaient dans une bouteille. Trinquant à son verre, elle dégustait une gorgée du liquide rouge et levait son pouce pour lui signaler que c'était parfait. « Va pour une 4 saisons. Et une hawaïenne, je meurs de faim. » Pour joindre ses gestes à la parole, elle attrapait son téléphone et composait le numéro sans tarder : elle n'avait rien avaler depuis des heures et commençait à le sentir passer, au plus vite elle commandait, au plus vite ça se retrouvait dans son assiette. Elle plaçait sa main un instant devant Jake pour le faire taire et s'excuser de ne pas lui répondre, s'occupant de passer commande. Chose faite, elle prenait son verre de vin à la main et se dirigeait vers le salon, Jake sur ses pas, pour savourer le confort de son canapé en joignant ses pieds sous ses fesses par habitude. « Alors pas trop crevée après ta garde ? Ça a duré quoi ? Plus de 24h non ? » D'un signe de tête positif, elle confirmait en poussant un soupire. Non elle ne se plaignait pas, promis. « 27. Dont les huit dernières heures en salle d'op'. J'ai l'impression que Hulk m'est passé sur le corps ou à jouer au yoyo avec chacun de mes muscles. » Rester concentrée autant de temps sans faire l'erreur de bouger d'un millimètre alors qu'avant même de commencer, vous avez déjà 19 heures de garde dans les dents n'était pas toujours facile. Elle gérait mais n'en restait pas moins humaine et complètement épuisée quand elle était enfin libérée. « Il s’est passé des trucs intéressants ? » Kennedy levait les yeux au ciel en essayant de réfléchir à sa journée. Des petits tramas, rien d'exceptionnel. Aucune opération ou elle s'était dit " il est à moi, je veux l'opérer " parce que c'était du jamais vu.  « Même pas. Une journée normale on va dire. Quoi que le gamin sur qui je suis restée huit heures est passé par dessus le balcon du quatrième étage. Il était dans un sale état à son arrivée. » Comme tout enfant normalement constitué ayant effectué une chute aussi grande. Elle avait été ravie d'en finir avec son cas, car même si elle attendait toujours au pieds de guerre des cas incroyables, elle avait avant tout fait médecine pour sauver des vies. Malheureusement, les prochaines 24 heures seraient décisives pour lui, elle ne pouvait pas encore crier victoire et avait son bipeur greffé au cas ou elle devait y retourner d'urgence. Elle notait dans un coin de sa tête de ne pas prendre plus d'un verre de vin au passage histoire de rester opérationnelle si le pire venait à arriver. « Et toi? Quoi de neuf au boulot?  » Si la jeune femme était avide de lecture concernant la médecine et cherchait toujours à en savoir plus, elle lisait très peu ce qui se passait en de hors de sa bulle en contre-partie. La troisième guerre mondiale pouvait se déclencher, elle ne le réaliserait que lorsqu'une bombe lui tomberait sur les pieds... Alors côté actualité, elle ignorait totalement ce sur quoi Jake pouvait bien bosser en ce moment.  
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() message posté Jeu 16 Avr 2015 - 16:52 par Jake O. Cavendish
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ L’amitié entre Kennedy et Jake a toujours été forte. Ils ont surmonté les quelques obstacles mis sur leur route, sans même avoir besoin de faire d’efforts. Il était naturellement revenu vers elle lorsqu’il avait emprunté le mauvais chemin pendant quelques temps au lycée et elle l’avait accepté, sans même se poser la question. Tout a toujours été ainsi entre eux. Ils n’ont pas besoin de poser de questions à l’autre, ils se comprennent et se font confiance. C’est la raison pour laquelle la présence de Jake ce soir ne surprend pas Kennedy. Bien qu’il ait une idée derrière la tête, ça lui arrive de temps en temps de rendre visite à son amie. Ils prévoient un peu plus à l’avance en général mais la surprise, ça peut être bien aussi. Surtout qu’elle semble bien accueillie, aidée par la bouteille de vin que Jake amène. « Même la pire bouteille du monde ferait l'affaire aujourd'hui. Puis tu sais que je m'y connais autant que toi en vin... » Ils ont beau aimer le vin, ils ne sont pas vraiment des experts. D’ailleurs, Jake n’a jamais compris le délire de ceux qui boivent une gorgée pour la recracher. Ridicule. Le vin, c’est fait pour être bu, pas pour être recraché. A part donner l’impression que la personne n’aime pas le vin, il ne voit pas l’intérêt. Kennedy se contente  de lever son pouce pour montrer qu’elle aime ce qu’elle boit et cela fait sourire Jake. « Va pour une 4 saisons. Et une hawaïenne, je meurs de faim. » Le menu est parfait. Rien d’étonnant, ils partagent aussi les mêmes goûts pour pas mal de choses. Ils ne manqueront pas de nourriture ce soir au moins. Ils finissent par s’installer dans le salon, chacun un verre à la main. Il goûte le vin. Pas mauvais en effet. Un arrière-goût fruité ou autre chose. Il ne va pas faire semblant d’être un expert.
Subtilement, il aborde la dernière garde de Kennedy, espérant qu’elle pourra donner quelques détails intéressants à propos de ce sportif. Il doute qu’elle le fasse. Il sait qu’elle respecte vraiment les règles à son boulot et combien la confidentialité peut être importante dans la médecine. C’est tout le contraire dans le travail de Jake. Il n’y a aucune confidentialité, plutôt le contraire. « 27. Dont les huit dernières heures en salle d'op'. J'ai l'impression que Hulk m'est passé sur le corps ou à jouer au yoyo avec chacun de mes muscles. » Rester huit heures debout, concentrée à deux cents pour cent, c’est juste fou. Déjà qu’ils ont la pression d’avoir des vies entre leurs mains, les chirurgiens doivent tenir sans dormir ou presque pendant une journée ou plus. « T’es un vrai super-héros, pas étonnant qu’Hulk en ait après toi. » Il le pense. Il ne cessera jamais d’être impressionné par le travail qu’effectue Kennedy. Tous les jours, elle sauve des vies, il ne doit rien y avoir de comparable. Et elle se donne à fond dans son travail. Une autre chose qu’il admire chez elle. « Même pas. Une journée normale on va dire. Quoi que le gamin sur qui je suis restée huit heures est passé par dessus le balcon du quatrième étage. Il était dans un sale état à son arrivée. » Être confrontée à des choses comme ça tous les jours, ça ne doit pas être facile. Surtout quand on sait qu’une famille prie sûrement pour une bonne nouvelle dans la salle d’attente. « Merde et il va bien maintenant ? » S’il ne s’en était pas sorti, elle l’aurait sûrement précise directement. Il sait que le gamin a eu de la chance de tomber sur un chirurgien comme Kennedy. Elle est douée, il en est sûr. La question ne se pose même pas. Même si elle est encore résidente, elle doit être parmi les docteurs les plus doués de l’hôpital. « Et toi? Quoi de neuf au boulot?  » Il sourit et boit une nouvelle gorgée de vin. Ils adorent parler de leurs boulots respectifs alors que la plupart des gens désirent changer de sujet pour se détendre. Pour Jake et Kennedy, leur travail, c’est toute leur vie, ou presque alors ils sont toujours heureux d’en parler. « J’ai fini un reportage sur  une arnaque sur internet, des ventes aux enchères de faux bijoux et autres articles de luxe, tous faux bien sûr. Les gens n’ont aucun scrupule. » Le jour où le monde tournera sans aucun crime n’est pas arrivé. Et Jake ne s’en plaint pas, ça lui donne des reportages à faire. « Du coup, j’ai rien pour le moment et si j’trouve pas d’ici demain, j’vais sûrement me retrouver à faire un reportage dont personne ne veut. Sauf si Super-Kennedy a un tuyau pour moi ? » De moins en moins subtile. Essayer de la faire culpabiliser pour qu’elle lui donne une information, c’est pas vraiment dans ses habitudes mais il sait qu’elle ne lui en tiendra pas rigueur. Et peut-être qu’elle ne sait rien sur cette histoire de sportif, elle n’était peut-être pas sur son cas. « SI Hulk t’a vraiment fait mal, j’peux te proposer un massage. Même si t’es sûrement plus douée que moi pour ça, j’peux toujours essayer. »

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() message posté Mar 5 Mai 2015 - 10:41 par Invité
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ Les jambes croisées pour se retrouver en position du lotus, la jeune femme laissait tout le poids de son corps s'écraser dans son canapé pour le savourer pleinement. Maintenant que c'était chose faite, elle n'était pas certaine d'avoir à nouveau la force de se relever aujourd'hui, pas même pour aller ouvrir la porte lorsque les pizzas arriveraient. Oui... Kennedy pouvait clairement se passer de nourriture si ça lui permettait de ne plus faire le moindre effort. Psychologiquement, ça allait étrangement bien... Elle n'avait pas l'impression qu'elle allait s'endormir en pleine conversation, mais physiquement, elle était au bout du rouleau. Jake devait lui aussi travailler de longues heures et elle était certaine qu'il était lui aussi fatigué. C'était ça aussi leur amitié. Ils se voyaient rarement, parfois pas pendant plusieurs semaines lorsqu'ils étaient débordés, mais dés qu'ils trouvaient un petit moment ou ils étaient tous les deux disponibles, ils en profitaient. Ce n'était pas comme si elle avait mieux à faire de sa soirée de toute façon, en dehors de sa virée dans son lit ! « T’es un vrai super-héros, pas étonnant qu’Hulk en ait après toi. » La jeune femme roulait des yeux avec un sourire, n'étant pas la personne la plus fan des compliments que la Terre aie connu. En réalité, elle avait toujours beaucoup de mal à les accepter. Sur d'elle, elle savait parfaitement ce qu'elle valait au boulot et laissait rarement quelqu'un la contrarier à ce sujet... Mais elle ne demandait pas à ce qu'on lui lance des fleurs pour autant. Elle ne faisait que son boulot après tout, ce pourquoi elle avait étudier ces neufs dernières années. « A choisir, je préférerais que ce soir Thor qui en aie après moi. » Elle levait les sourcil avant de rire. Clairement, elle ne dirait pas non à l’aîné des Hemsworth ! Alors que Hulk... Bref ce n'était pas le sujet de la soirée. « Merde et il va bien maintenant ? » Hochant la tête positivement, Kennedy reprenait une gorgée de son verre de vin, avant de répondre en s'efforçant de ne pas s'étaler sur son cas avec des termes médicaux incompréhensibles pour tous à moins d'être médecin. « Les 24 prochaines heures seront décisives... Ses constantes étaient stables quand je suis partie, on verra. » Elle levait sa main pour croiser ses doigts en soupirant. D'un point de vue scientifique, ils avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir, ne leur restait donc qu'à espérer que son corps fasse les reste. Si la jeune femme n'avait encore jamais envisagé d'être mère, elle n'imaginait pas la peine que pouvait causer la perte d'un enfant... C'était quelque chose de dévastateur, sa propre mère n'y aurait sans doute pas survécu. Elle espérait donc ne pas être la personne qui comme une tornade détruirait la vie de ces parents en leur annonçant qu'Ethan n'avait pas survécut.

« J’ai fini un reportage sur  une arnaque sur internet, des ventes aux enchères de faux bijoux et autres articles de luxe, tous faux bien sûr. Les gens n’ont aucun scrupule. » Kennedy grimaçait en notant dans un coin de sa tête de ne jamais faire ses achats sur internet. Du moins rien de grande valeur. « Du coup, j’ai rien pour le moment et si j’trouve pas d’ici demain, j’vais sûrement me retrouver à faire un reportage dont personne ne veut. Sauf si Super-Kennedy a un tuyau pour moi ? » La jeune femme fronçait les sourcils, septique. Comment elle, qui ne s’intéressait que trop peu à l'actualité, pouvait bien lui être utile? Si elle en avait la possibilité, elle n'hésiterait pas... Kennedy ne demandait pas mieux, la carrière de Jake comptait beaucoup pour elle puisqu'elle avait été témoin de ses heures d'acharnement durant ses études et même après. Il fallait être sacrément dévoué à sa tâche pour aller se perdre en Afghanistan ! Malheureusement, Wilkinson ne voyait pas en quoi elle pouvait lui être utile. « A moins de te lancer dans un article sur mes recherches qui n'ont encore rien donné pour l'instant, et donc par définition dont tout le monde s'en fou, je ne vois pas comment je peux t'aider... On a pas encore admis Daniel Radcliffe au Great Osmond... Et même si c'était le cas, bouche cousue. » Pour accompagner ses paroles, la jeune femme passait ses doigt sur ses lèvres comme si elle fermait une tirette invisible. Elle réfléchissait d'ailleurs à ce qui pouvait bien l'intéresser et en venait à ce sportif dont elle ignorait tout. Honnêtement, elle ne savait même pas s'il était champion de tennis ou de curling et n'avait jamais entendu son nom... Mais son arrivée avait légèrement semé la cohue dans les couloirs de l’hôpital. Entre les infirmières et internes débiles qui se battaient pour être sur son cas et les journalistes qui tentaient de passer la sécurité, ils avaient eut de quoi faire. Wilkinson avait quant à elle son programme de fait pour la journée et n'avait pas approché son cas qui en était un pari tant d'autre à ses yeux, qu'il soit prince de Suède ou garagiste. Quoi que, il était vraiment pas mal le prince de Suède...  « SI Hulk t’a vraiment fait mal, j’peux te proposer un massage. Même si t’es sûrement plus douée que moi pour ça, j’peux toujours essayer. » Kennedy ne pouvait s'empêcher de rire à ses veines tentatives pour l'amadouer. La raison de sa venue était tout de suite beaucoup plus claire. Non pas qu'ils aient besoin d'une raison pour se voir mais généralement, ils prévoyaient ça. « Jake Oliver Cavendish! N'essaierais-tu pas de m'acheter? » Kennedy prenait un ton outrée malgré son sourire qui trahissait son amusement. « Il fait quoi dans la vie ce mec en fait? Je ne suis pas sur son cas... Et même si je l'étais, avec le temps tu devrais savoir que  je ne te dirais rien. C'est pas faute de vouloir t'aider, mais là c'est impossible... » La jeune femme lui adressait une petite moue désolée? Sa carrière n'était pas plus importante que celle de son ami, mais il allait devoir soutirer ses informations à une autre source, l'une qui serait légale - ou qui se moquait de son job, peu importe. Juste pas elle.

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» Schizophrénie : Alexander & Olivia
() message posté Mar 5 Mai 2015 - 17:39 par Jake O. Cavendish
No one could ever know me no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me someone to face the day with, make it through all the rest with   ✻✻✻ Une bouteille de bon vin, des pizzas en chemin et surtout, une amie de longue date. La soirée ne peut qu’être bonne avec tous ces ingrédients. Il sait qu’il n’y aucun risque que Kennedy l’embête en évoquant sa vie sentimentale inexistante ou presque. Tout comme il ne parlera de la sienne. Ils savent comment fonctionne l’autre. Il comprend que le travail passe en premier pour Kennedy parce qu’il est exactement pareil. Son travail est un petit peu moins prenant que celui de son amie mais ça n’empêche qu’il y passe aussi beaucoup de son temps libre. Ils ont choisi des métiers très prenants. Deux métiers remplis de compétition dans lesquels, si on n’est pas dédié à ton emploi, on ne peut pas réussir. Heureusement, ça finit par se stabiliser, une fois qu’on a vraiment fait ses preuves, qu’on a eu la promotion tant attendue. Enfin Jake ne s’imagine pas être moins passionné par son boulot un jour. Ce n’est pas l’appel de la promotion qui le motive. Ce qui le motive, c’est d’être le premier sur une information qu’il sait être un scoop. C’est l’excitation qu’il ressent quand il est sur un reportage qui le passionne.
« A choisir, je préférerais que ce soir Thor qui en aie après moi. » Dit-elle alors qu’il plaisante sur Hulk. Thor, il est dans toutes les bouches en ce moment. On ne parle que de cet acteur australien qui joue le dieu/super héros. Jake a toujours été friand des histoires de super-héros, il regrette juste qu’il y ait une majorité d’hommes parmi eux. L’équipe mériterait des femmes supplémentaires. Pas juste pour le plaisir des yeux, bien que ça joue. Mais simplement parce qu’une femme peut être héroïque, au même titre qu’un homme. « Pourquoi tout le monde ne parle que de lui ? Il a les cheveux trop longs et puis il est tellement musclé que ça en devient ridicule. » Un peu de jalousie qui se cache là-dessous ? Peut-être bien. Jake a beau faire du sport fréquemment et se muscler un peu, il est bien loin du niveau de Thor. En même temps, ça ne lui irait sûrement pas. « Les 24 prochaines heures seront décisives... Ses constantes étaient stables quand je suis partie, on verra. » Seulement réussir à stabiliser quelqu’un qui est tombé de plusieurs étages, c’est la preuve que Kennedy est un super docteur. Rien d’étonnant à ça, elle fait tout pour le devenir depuis qu’elle est entrée à l’université. Comme Jake, elle a eu la chance de savoir ce qu’elle voulait faire très tôt. Et grâce à beaucoup de travail, ils y sont tous les deux arrivés. Elle croise ses doigts dans un signe d’espoir. Ça ne doit pas être facile, de ne rien pouvoir faire d’autre qu’attendre. Mais elle a fait tout son possible, l’enfant ira sans doute bien. Enfin il n’y connait rien, il ne peut qu’espérer. « Je croise les doigts avec toi alors. » Dit-il en le faisant avec sa main libre. Sa curiosité le poussait à vouloir savoir comment il était tombé. Accident ou avait-il été poussé ? Mais ça serait sûrement de mauvais goût alors il se tait. Peut-être que Kennedy ne le sait pas non plus.
Bien sûr, il ne perd pas de vue son objectif premier. Il n’a rien à perdre, autant essayer. Il continue avec les sous-entendus, pensant qu’il a peut-être plus de chances ainsi. S’il ne demande pas directement et qu’elle veut en parler. Elle a bien parlé de cet enfant après tout, enfin elle n’a donné ni son nom ni aucun détail. Jake sait bien comment fonctionne le secret médical et que ça ne ressemblerait pas à Kennedy de le violer. « A moins de te lancer dans un article sur mes recherches qui n'ont encore rien donné pour l'instant, et donc par définition dont tout le monde s'en fou, je ne vois pas comment je peux t'aider... On a pas encore admis Daniel Radcliffe au Great Osmond... Et même si c'était le cas, bouche cousue. » Il sourit en la regardant mimer sa bouche verrouillée. Ça confirme ce qu’il pensait. Daniel Radcliffe, ça ferait un bon scoop aussi, enfin tout dépendrait de la raison de son admission. « Tant que tu me promets que j’serais le premier informé quand t’auras trouvé le remède au sida, ça me va. » Ça, elle doit avoir le droit logiquement. Et pour le coup, ça serait vraiment une info du tonnerre. Oui, il la pense tellement douée qu’il pense qu’elle changera le monde de la médecine un jour. Ça prendra sans doute du tout. Le génie ne se construit pas en une journée.
Il finit par lui proposer un massage, plus tellement dans l’optique de lui soutirer des informations. Elle a été claire là-dessus, même si elle ne parlait pas directement du cas qui l’intéresse. Il n’est pas spécialement doué pour les massages, sans non plus être nul. « Jake Oliver Cavendish! N'essaierais-tu pas de m'acheter? » Il n’a pas été aussi subtil qu’il le pensait visiblement. « Il fait quoi dans la vie ce mec en fait? Je ne suis pas sur son cas... Et même si je l'étais, avec le temps tu devrais savoir que  je ne te dirais rien. C'est pas faute de vouloir t'aider, mais là c'est impossible... » Complètement grillé, ça c’est sûr. « De quel mec tu parles ? » Jouer l’innocent ne sert plus à rien mais ça l’amuse. Il boit une gorgée de vin avant de la regarder. Elle semble amusée, c’est tout. « Il est footballeur, tout le monde dit qu’il a une grande carrière devant lui. Enfin si t’es pas sur son cas, le secret médical s’applique quand même ? » Il sait bien que même si c’était le cas, elle n’irait pas chercher des informations pour lui. Et de même, il a beau l’adorer, il n’irait pas mettre sa carrière en danger pour elle. « Tu peux pas m’en vouloir d’avoir essayé, j’étais obligé. » Non pas obligé par un patron ou un délai mais pour lui-même. Il préfère essayer et échouer plutôt que ne rien faire et se demander ce qui aurait pu se passer. « Et mon offre tient toujours, j’suis pas totalement égoïste non plus. » Il ne l’est même presque pas. Il finit son verre alors que la sonnette se fait entendre dans l’appartement. Il se lève, comprenant rapidement que Kennedy n’est pas motivée. Il récupère les deux pizzas et paye le livreur, laissant un pourboire au passage. « Le repas est servi mademoiselle Wilkinson. »

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