Appel de Ewan à Robin

“I think sometimes when we find love we pretend it away, or ignore it, or tell ourselves we’re imagining it. Because it is the most painful kind of hope there is. I can’t forget her, but I can pretend.” ✻ Cela faisait déjà deux mois que j'étais au courant de ce qui se tramait enfin pas totalement, mais l'attitude de Julian m'avait mis la puce à l'oreille. J'ai passais ses deux derniers mois a essayer de redonner la joie de vivre à Robin comme il 'avais fait pour moi après la mort de ma mère. Aujourd'hui je voulais lui parlais, essaye de défendre Julian être l'avocat du diable si on veut.

APPEL EN COURS

Je franchis le pas de la porte, content de retrouver mon appartement après une longue journée de boulot. Ces dernier temps je m’étais réfugié dans le travail et si ça m’avait aidé à ne penser à rien et à oublier mes problèmes, je commençais maintenant à ressentir la fatigue que ce surplus de travail impliquait. Je me débarrassais de mes affaires avant de jeter un coup d’œil dans l’appart : visiblement Delilah n’était pas encore rentrée. J’alla chercher une bière dans la cuisine et me dirigea vers le salon lorsque mon téléphone sonna. Je le sortis de la poche de mon pantalon et souris en voyant le nom d’Ewan s’afficher. Je décrocha en m’installant sur le canapé. « Tu sens l’odeur de l’alcool de là où tu es ? Je viens juste de me prendre une bière ! » lançai-je amusé. « Tu vas bien ? »

“I think sometimes when we find love we pretend it away, or ignore it, or tell ourselves we’re imagining it. Because it is the most painful kind of hope there is. I can’t forget her, but I can pretend.”  ✻ Je venais a peine de rentrer du Travail, je savais que je devais repartir dans une heure ou deux pour recuperer Delilah à la Librairie, poser devant mon bureau j'entendis sa voix sa remarque me fit pousser un rire : « Arrete on dirait que je suis alcoolique c'est l'autre tartenfion l'alcoolique...» Disais-je en riant alors qu'il me demandait si ça allait: « Hum c'est l'enfer à l'université mais bon. On vas dire que tout roule ! » Disais-je d'un rire nerveux, le saligot m'avait donner envie d'une biere je me leva pour aller en chercher une dans mon frigo et je me réinstalle a mon bureau sortant un porte chemise contenant les dernières évaluation que je devais corriger. « Et toi Bro'! Comment vas tu ? » disais-je en decapsulant ma biere le son était tout de même reconnaissable.

Je décapsula ma bière et en bu une gorgée en entendant la réponse d’Ewan face à ma remarque. Je ris avant de lui demander s’il allait bien. « Ouais, c’est l’université… Tu sais que si tes élèves t’en font baver t’a le droit de les torturer ! » dis-je amusé en repensant à tous les enseignants qui avaient eu le don de nous pourrir l’existence lorsqu’on était "trop indisciplinés". Il était normal que les rôles soient inversés aujourd’hui. Bien que je voyais plus Ewan comme le prof cool que tout le monde apprécie plutôt que comme le prof tyrannique.  Il me retourna la question. « Fatigué mais ça va… ça va mieux en fait. » Ewan savait que ces dernières semaines n’avaient pas été facile. Il avait été là pour tenter de me remonter le moral et même si je ne m’étais pas montré très coopérative je le remerciait de m’avoir supporté malgré mon humeur massacrante. Au travers du téléphone je reconnu le son d’un décapsuleur. « Je vois que je t’ai donné soif ! » lançai-je amusé avant de boire une gorgée de bière.

“I think sometimes when we find love we pretend it away, or ignore it, or tell ourselves we’re imagining it. Because it is the most painful kind of hope there is. I can’t forget her, but I can pretend.”  ✻ « Ouais, c’est l’université… Tu sais que si tes élèves t’en font baver t’a le droit de les torturer ! » Je me suis mis a rire imaginant Torturé Rory, a coup de fouet nan dans ma tête sa sonné comme un très mauvais remake de 50 shades of grey. « Qui te dit que je ne les torture pas hein! Quand je vois Kaspar dépité quand je lui demande un truc j'ai l'impression d'être le grand mechant loup pret a le bouffer pour une seule connerie » Disais-je en riant alors que je lui demander si ca allait finalement i me repondit: « Fatigué mais ça va… ça va mieux en fait. » J'étais heureux à cette nouvelle un sourire se dessina sur mes lèvres, je me souviens encore quand Delilah est venu chez moi pour eviter que l'appartement ressemble a un Asile psychiatrique pour Depressifs. « Ah voila qui fait plaisir à entendre. » Disais-je en souriant alors que je decapsula ma biere « Je vois que je t’ai donné soif ! » soudainement je prit un air serieux. en lui repondant: « Tu auras des nouvelles de mon avocat ainsi que de mon medecin ! » Mais je ne pu garder mon serieux bien longtemps laissant echapper un rire avant de boire une gorgé manquant de m'éttoufer et puis je lui demanda: « D'ailleurs Robin... C'est ma dernière o/ J'ai raconté à Delilah pour mon coeur... Elle se posait beaucoup trop de question avec les cicatrices... » Disais-je en marmonnant dans ma biere.

« Qui te dit que je ne les torture pas hein! Quand je vois Kaspar dépité quand je lui demande un truc j'ai l'impression d'être le grand mechant loup pret a le bouffer pour une seule connerie »  Je laissa échapper un rire en imaginant la scène. « Le pauvre, qu’est-ce que tu lui a fait pour qu’il ai aussi peur de toi ? » demandai-je amusé. Il me demanda si ça allait et je lui répondis que j’allais mieux. Il parait que le temps panse les blessures, c’était surement vrai. Même si j’avais encore du mal à accepter ce qu'il s’était passé le soir du nouvel an je commençais à aller de l’avant et le fait d’avoir pardonné à Julian n’y été sans doute pas pour rien. « Ah voila qui fait plaisir à entendre. » Je souris et bu une autre gorgée de bière. Le son d’un décapsuleur se fit entendre et je fis remarquer à mon ami qu’il n’était pas passé inaperçu. « Tu auras des nouvelles de mon avocat ainsi que de mon medecin ! »  Je ne pu m’empêcher de rire. « C’est pas une petite bière qui va te tuer, t'es plus solide que ça ! » lançai-je amusé. Ewan semblait avoir repris son sérieux, je me redressa un peu sur le canapé et jouais avec ma bière, faisant tourner le liquide dans la bouteille en l’écoutant me dire que Delilah était à présent au courant pour son cœur. « Oh, c’est… c’est bien que tu lui ai dis… »commençai-je doucement. « Et comment elle a réagit ? » Je savais par expérience que ce n’était pas toujours évident, j’avais plus d’une fois vu les proches de certains patients mal réagir -sans doute par peur- face à une telle annonce.