we could be immortals but just not for long (ewan)

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but just not for long

Je le haissais, au plus haut point. Je ne pensais vraiment pas qu’il me pourrirait à ce point une partie de ma vie. Je l’aimais certes mais là ce fut de trop. Je m’étais briament sortis du deuil de ma mère, j’ai retrouvé Delilah qui m’a aidé sans le vouloir à m’occuper l’esprit et c’est le jour de mon anniversaire. Que Julian a reussit a gacher ce petit moment de plaisir. Tout mes amis était là , même Kiara était venue. J’étais tout simplement heureux. Mais il a fallut que Julian se revolte contre l’humanité commencant par Annabelle et finissant par Delilah, je m’en voulais terriblement. J’ai entendu ce qu’il lui avais dit, je n’en revenait pas qu’il parle de ça à Delilah sur ce ton. Il ne l’a connaissait pas et il viens lui dire ce genre de chose. Je n’ai pas parlé de ça à la jeune femme comme beaucoup d’autre chose. Je ne voulais pas la perdre, je savais bien que dit comme ça. Elle aurait été effrayé et je ne voulais pas gacher ce moment magique qu’on vivait ensemble. Ça c’est soldé par un poing dans la gueule du jeune écrivain. Il me fait rire, lui qui ne pensait jamais que je le frapperais… Je pense que là il a de quoi resonner. Je ne me suis pas encore expliqué avec lui, mais le jour viendra où je lui fairais comprendre certaine chose. Mais aujourd’hui est un autre jour,
J’avais contacter Delilah dans l’espoir de lui parler, de lui expliqué ce qu’il sait passer ce soir là. Je n’avais pas eu le temps de tout lui dire. J’ai passé Noël avec ma seul famille à londres, Kiara était journaliste dans le Times, elle gerait les Chroniques du cœur et se soir là j’avais un gros problèmes de cœur. Je lui ai tout expliqué, ce qui s’est passé avec Julian et ce qui se passe avec Delilah. Elle m’a conseillé une chose : Lui parlé, j’ai laissé le temps à Delilah, je ne voulais pas la harcelé en plein moment de fête. Robin m’a parlé que Delilah avait passé un très mauvais reveillon, il n’était pas rentré dans les détails. Mais de la savoir aussi mal, me faisait mal à moi aussi. Je voulais être là pour elle. Je marchais tranquillement dans Camden pour arriver enfin dans le quartier de Whestfield, la ou se trouvait l’endroit de mes rêves, la librairie ou j’ai rencontré Delilah.
J’étais passer avant au starbucks, le froid hivernal avait congeler mes os et je me suis dit que se serait bien de ne pas arriver les mains vide, dans mon sac se tenait à l’interieur un petit paquet. Cadeau que j’avais acheté à Delilah pour Noël, que je n’ai pas eu l’occasion de lui donner encore. Je commanda deux Thé à la menthe et je suis ressorti, habiller d’un long manteau kaki. Je m’approche de la librairie, en entrant je ne l’ai pas aperçu comme à mon habitude, j’arqua un sourcil quand j’aperçu un de ses collegues, je me suis approché de lui : « Excuse moi… Est-ce que Delilah est là ? » Le jeune homme soupira et alla chercher la jeune femme dans l’arrière boutique, il est revenu et je vis derrière lui la jeune femme. Elle marchait d’un pas lent, son visage était pale son sourire avait disparu. Je me sentais terriblement coupable à la voir ainsi : « Salut... » J’eu un leger sourire remplit de timidité pour lui dire : « Salut… » Je serra mon gobelet, je voulais la prendre dans mes bras pour la consoler la rassurer. Que je suis là que tout s’arrangera, mais je sentais bien que le moment était mal venu surtout quand elle m’avoua : « Et il ne faut pas croire que cette mine affreuse a quelque rapport avec toi.... J'ai pas eu des jours faciles ces temps-ci.... » Je tendis alors le gobelet portant le nom de la jeune femme : « Hum… je vois… » je ne savais pas trop quoi lui dire mais je continua en ce qui concerne le gobelet : « Je t’ai pris un Thé à la menthe, je me suis dit qu’avec le froid hivernal d’aujourd’hui ca te fairait du bien… » Je vis le collegue s’eloigner je pouvais apercevoir un coin ranquil avec deux chaises : « Que dirais tu si on allait s’asseoir… » J’attendais sa reponse, sentant le sac dans mon dos me bruler. Le cadeau pour Delilah me faisait souffrir interieurement, devais-je lui donner.

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Je la voyais, mon regard plonger dans le siens. Elle semblait dans ses pensées, je pouvais voir son regard luiser et une larme couler le long de sa joue. Je me sentais vraiment mal, je n’aimais pas voir les gens pour qui je tiens à ce point se sente si mal au point de pleurer en silence. Quand j’ai eu Robin au téléphone pour lui souhaiter un joyeux Noël, je lui ai demandé des nouvelles de Delilah. Je voulais la voir, mais avec ce qui sait passer. Je trouvais plus préférable de lui laisser un peu de temps pour ne pas la bousculer par ce que je risque de lui dire. Il m’a parlé de Galahad, il m’expliqua ce qui c’était passer le concernant, le faite que Galahad ai toujours eu un coté extrement jaloux en son égard, il l’a toujours senti comme ça. Il m’expliqua que s’était le meilleur ami de la jeune femme et quand Delilah est rentré du reveillon avec lui. Elle était d’une humeur excecrable les larmes encore sur les joues. Completement déboussolé. Il n’en savait pas plus et je dois dire que je trouvais immonde de faire pleurer une fille à ce point. Je lui ai tendu le gobelet fumant qu’elle attrapa en me remerciant. Je lui proposa alors d’aller s’asseoir pour discuter, je pense que c’était le bon moment et puis il était temps de regler les choses surtout pour moi interieurement. « Allons-y.... » Elle m’accompagna dans ce petit endroit un peu reculé de la foule de la librairie et je me suis assis en face d’elle : « On est là pour discuter, après tout... » Je l’entendais soupirais ce qui me foudroya sur place, je me sentais mal. Je deposa mon sac en bandouillere a coter de mes pieds par terre et je repliqua : « Oui c’est juste… » Et puis elle prit la parole en première.

« Je sais que tu es venu ici pour me donner des explications, mais je tiens à dire que ce que m'a dit Julian m'a vraiment saisi. Je ne pensais pas qu'il y avait quelque chose entre vous.... En tout cas, après ce qu'il m'a dit, c'est clairement pas réglé votre histoire.... Ça m'a blessé.... Je ne peux pas dire le contraire...» Je me suis mis a soupirer, Ce que Julian pouvait être un abruti franchemend. Il m’avait enormement déçu sur ce coup là, je ne savais pas si j’arriverai a lui pardonner ce qu’il a osé faire. Mais je devais être sincère avec elle c’était la moindre des choses : « Je ne veux pas te mentir ça servirait à rien… » Soupirais-je avant de reprendre : « Julian aurait jamais du te parler comme ça, je le conçoit. Il était ivre et ce qu’il t’a dit peut être interprété de bien des manières. Il ne se passe rien entre Julian et moi. Il s’est passé quelques choses mais il y a longtemps de ça. Cette histoire d’âme sœur, ce n’est pas ce qu’on pourrait apeller une vérité juste. On se connait depuis qu’on est gamins. Quand on s’est retrouvé il y a six ans on est devenu très proche. Voir même inséparable. J’ai été son point de chute pour bien des façons et je le connais bien l’abruti. » soupirais-je a nouveau : « Notre histoire est reglé, il était juste ivre et quand Julian est ivre il dit n’importe quoi. Je n’aurais jamais pensé qu’il est le cran de t’avoir fait ça. Delilah… Je… » Je me mit a déglutir : « Je tiens enormement à toi… Ce que nous avions vécu ensemble, j’ai trouvé cela tellement merveilleux. Avec ce qui s’est passé en Egypte et avec le décés de ma mère. Je n’avais qu’une envie c’était te revoir… S’il y avait eu quoi que se soit avec Julian… Je ne me serais pas permit d’épprouver ce que je ressens pour toi maintenant… » Je bu une nouvelle gorgée et d’un ton plus calme je lui avoua : « Delilah… Je crois bien que depuis ce jour, où je t’ai aperçu dans cettre librairie il y a un an, je suis tombé sous ton charme… et je crois bien que j’epprouve plus que cela maintenant… »

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Je devais surement lui dire que Julian a voulu faire ça pour me faire mal après ce que je lui ai fait. Lui et moi c'est une relation que meme moi j'ai du mal encore a trouver son véritable sens. Le simple faire de s'apeller Soulmate était déjà une voie vers la raison. Mais Julian est égoiste et possessif, il m'a avoué encore au mois de septembre qu'il me trouver attirant voir un peu trop. J'étais tombé des nus ce jour là le simple fait de savoir ça m'avais retournée pendant quelques semaines, mais il y a toujours une solution. Meme si Gisel fit une apparition breve comme dans la plupart de mes souvenirs, j'ai pu oublier tout ceci comme un enfant oublierai son propre anniversaire. Je lui expliquais alors que Julian n'aurait jamais du lui dire cela que ceci est de l'histoire ancienne enfin surement pour moi, c'est alors qu'elle retorqua : « Je n'ai pas l'impression que de son côté, c'est de l'histoire ancienne.... » Je soupirai et j'hochais la tete en lui avouant: " Si c'est de l'histoire ancienne, je pense savoir pourquoi il t'as dit tout ça, je pense que c'est pour m'atteindre moi. Il c'est ce qui s'est passé entre nous et vu que je lui ai fait mal il voulait aussi me faire mal, mais Julian est un gars intelligent et il savait qu'il me fairait plus mal s'il t'ateignait. Je lui en veux tellement... J'aurais préféré qu'il me frappe au lieu qu'il se serve de toi comme outil pour une vendetta. Tu ne mérites pas ça, personne ne mériterait cela." Je partais encore dans mes explications mais cela me semblait plus clair maintenant. Je commençais a y voir plus clair sur mes sentiments pour Delilah, ce que je croyais ˆetre une affection plutot agréable. Des moments tendre et passioné comme j'en ai toujours rever. Cela dit tout ceci en quelque chose de limite nouveau. Je l'ai déjà vécu, mais la c'est un renouveau qui me plait. Je commençais a tomber amoureuse de la jeune femme, je lui avoua sans pour autant lui dire, je ne voulais pas l'effrayer. Mais cela dit je la vis froncer les sourcils je tentais tout de mˆeme de lui expliquer c'était la moindre des choses, je vis alors des larmes couler le long de sa joue, je fouilla dans la poche de ma veste trouvant alors un paquet de mouchoir je retira alors un des tissu pour le tendre à Delilah : " Est ce que tout vas bien?" lui demandais-je inquiet de son état, elle semblait vraiment aller mal et je ne pouvais supporter cela, elle m'avoua alors : " J'ai besoin de toi Ewan..." Mon coeur se mit a accelerer, sa voix était faible, la tonalité était parasité par les larmes sur son visage, je me leva legerement m'approchant d'elle je voulais la prendre dans mes bras. Lui dire que tout s'arrangera, mˆeme si je ne connaissais pas la cause. Enfin je savais quel portais le nom de Galahad. Je ne savais mˆeme pas le prononcer, j'ai peur de me tromper. Mais je veux ˆetre la pour elle. Je m'approcha d'elle posant ma main sur sa joue dans l'espoir de la rassurer quelque peu. Mon pouce reculta les dernieres larmes qui perla son visage. Je prenais une de ses mains avec ma main de libre m'accroupissant devant elle à s a hauteur : " Je serais toujours là pour toi, Delilah. Si tu veux en parler, je serais à ton écoute. Si tu ne veux pas parler, je serais là pour te reconforter. Ce n'est pas si jolie de voir une si jolie femme pleurer..." A vouais-je d'un sourire essayant de lui tirer a son tour un sourire qui pourrait surement l'aider. Je n'étais pas le plus grand des psychologique, mais je connaissais bien les probleme s de coeur. Je venais seulement de me rendre compte. Je n'avais pas parler des miens à Delilah. Je ne savais pas ce que cela donnerai mais une chose est sur je vois déjà son regard curieux transpercer le mie tel un enfant decouvrant un musée, par exemple.

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Je ne l'avais jamais vu comme ça, cela faisait un an qu'on se fréquentait par le biais de ce lieu. Je ne l'ai jamais vu dans un tel état. Si desespéré, je voulais la prendre dans mes bras, mais elle semblait mal et puis dans un sens ma curiosité était surement un peu trop tenace dans un sens je voulais l'aider. « Merci de ne pas avoir abandonné... » Je lui offrit un sourire pour la reconforter et je lui ai avoué que jamais je ne l'abandonnerais et que quoi qu'il arrive je fairais en sorte d'être là. C'est alors qu'elle accepta, j'étais pret a l'écouter. J'attrapa la chaise pour l'attirer vers moi et m'asseoir tout pret d'elle : « L'histoire est longue.... As-tu du temps? » Je me suis mis a sourire en lui disant: « J'ai tous le temps qui faut... » Et elle retorqua ensuite par un: « Parce que tu n'es pas sorti du bois.... Bref, Robin t'en a peut-être parlé.... » Robin ? Donc ca concerne bien cet homme, mon coeur me fit un drôle d'effet, je sentais une chaleur qui me fit bizare mais je ne m'en rendais pas si compte je voulais l'écouter. « Bref... Galahad est mon meilleur ami, et ce, depuis toujours. Il était mon voisin lorsque nous étions jeunes. Nous étions inséparables là-bas, à Melbourne. Avant que nous partions pour Londres, il sortait avec une fille... Jodie... la pire garce qu'il m'ait été donné de voir...» J'avais gardé ma main dans la sienne attentif au moindre de ses mots. Cette Jodie semblait une véritable peste dont la façon qu'à utiliser Delilah pour la décrire et le ton venait du coeur cela se ressentais: «En tout cas, elle parlait souvent dans mon dos et une fois, elle a dit des conneries sur moi en présence de Gal. C'est pour ça qu'ils ont rompu....» La colère commençait a monter et me faisait comprendre encore que je detestais l'humanité. Je n'étais pas du genre très Sociable. Non, à l'université je jouait un rôle et pourtant je haissais mes collegues qui parlait de leurs vie ça me rendait malade et la cruauté était maladive. « Le 25 décembre, Gal et moi avons fêté Noël ensemble. Tout allait bien jusqu'à temps que je parle... de nous deux. Je ne lui avais rien dit... Parce qu'à chaque fois, il ne semble pas heureux pour moi, comme si je n'avais pas le droit d'être heureuse avec un mec. Il essaie de me protéger, je le sais... » Je souriais un instant quand elle m'annonça qu'elle avait passé Noël avec ce Galahad, passer les fêtes avec ses proches c'est le meilleur. Mais il s'effaca... Quand elle m'expliqua pourquoi elle ne lui avais pas parlé de nous deux. Je n'en revenait pas, enfait je commencais a sentir la colère, mais ce n'était pas celle que je fréquentais habituellement. C'était une sensation nouvelle... Comment pouvait on ne pas vouloir le bonheur de ses proches... Cela me rapellait le comportement de Julian. « D'ailleurs, cela m'a permis de voir clair chez certains hommes qui s'avéraient être au final de purs connards. mais c'est étouffant des fois à la longue. Il se méfie même de Robin! Robin! J'ai JAMAIS rien eu pour lui! C'est mon AMI! Bref, ça a dérapé... » Donc c'est bien vrai ce que Robin soupçonnais, je n'en revenais pas. Ne pas avoir confiance a ce point envers sa meilleure amie, il faut avoir un sacré grain. J'ai toujours fait confiance à Robin, moins en Julian car je savais comment il pouvait réagir selon la situation. Mais cela dit je commençais a comprendre quelques chose... Mais ce sentiment me hantait comme un fantome de l'oublie, il me rongeait... Je ne savais pas trop ce que cela pouvait être : « Je lui avais rien dit parce que je savais que nous deux ça pouvait marcher. J'avais confiance... Lui m'a lancé au visage que je manquais de confiance en lui pour ne lui avoir rien dit... On a commencé à se disputer et là, il m'a insulté. Il a osé me dire que j'étais fausse et hypocrite comme Jodie lui avait déjà dit un jour.... J'en revenais pas! Je l'ai giflé, ce que je ne fais jamais d'habitude. J'ai jamais levé la main sur qui que ce soit …. et Voilà, je suis partie. J'en reviens toujours pas de ce qu'il m'a dit. » Je l'écoutais et plus elle continuait a parler, plus mon sang bouillonait, il ne fallait pas que je croise ce mec, il se contredisait. Dans la façon dont elle m'a expliqué cela, il ne pouvait sagir que d'un seul interet et je ne le connaissais que trop bien ayant fait cette experience plus jeune. La jalousie qui amène la colère... Ce Galahad, il n'étais pas sincère avec elle. Je parirais qu'il eprouve autre chose que de l'amitié non j'en étais persuadé il l'aimait. « C'est une longue histoire... Je ne comprend pas, il te parle de confiance comme quoi tu n'as pas assez confiance en lui et pourtant lui même ne t'accorde pas sa confiance... Je vis la même chose avec Robin... C'est une longue histoire aussi, mais... » Je devais maitriser ma colère, je ne voulais pas sortir de mes gong: « Ce Galahad... De ce que tu me dit de la façon dont tu m'as expliqué tout ça... Je ne veux pas t'influencer ou quoi que se soit... Mais je pense que tu devrais reflechir et te laisser du temps, si tu le considère comme ton meilleur ami. prend toi du temps et toi seule prendra la decision. Tu es libre de tes choix après tout. Si tu lui accordes ton pardon ou non... Car son attitude est inacceptable et je dois bien t'avouer qu'il a une chance de ne pas être présent... » grognais-je avant de reprendre mes esprit et de reprendre « Tu sais... Son comportement me rappel quelqu'un il y a longtemps. J'ai une Théorie... S'il pense qu'aucun homme n'est bien pour toi... Et qu'il s'enerve quand tu lui parles de nous deux... Ca te fait penser a quoi? » Je me maitrisais et je me trouvais formidable. mais cela ne m'empechait pas de mal le supporter. Ce Galahad devait l'aimer, mais je ne savais pas quoi en pensait finalement. J'avais une envie de lui coller mon poing sur la gueule mais cela remettait en question ma relation avec Delilah... Supporterai-je une tel pression, un Homme qui me maudit de sortir avec la femme que nous aimons... Cela me paraissait denué de sens et pourtant si véridique.

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Malgré que je maitrisais ma jalousie naissante, je ne comprenais pas tellement ce qui se passait. Delilah me racontait cette histoire avec son meilleur ami, pourtant ce nom me disait quelques chose mais j'avais du mal a remettre un visage. il me semblait le connaitre, je dois dire que j'ai déjà vu un bon nombre de personnage dans ma vie. Je pense que je dois surement rêver, mais cela dit de la façon dont elle m'expliquais les choses, certain point revenais. Il l'aimait, je ne savais pas comment je pouvais en être si sur, mais cela fit bouillir mon sang sur le coup, je tentais de dédramatiser, mais je devais l'aider et j'essayais de lui faire comprendre ce que moi je vois de ce point de vue exterieur qu'elle cherche a vouloir m'expliquer ce qui sait passer... « C'est impossible.... » Et Paf, je pouvais voir sa tête d'Autruche se planter dans le sol et continuais: « Je ne pourrais pas croire que c'est cela! Il est juste comme ça.... C'est pour me protéger! Je suis comme une sœur pour lui! C'est tout! » Cela me paraissait tellement bizarre, je repense a Julian et moi... Julian m'a déjà fait le coup et moi aussi je me souviens. A l'époque, j'avais retrouvé Gisel, j'étais encore pire qu'aujourd'hui et pourtant Julian et moi qui semblions si proche, cela semblait bizarre. Jules ne l'aimait pas, il était acariatre me disant que tout ceci n'était qu'une supercherie qui prendrais vite fin. Jusqu'au jour où Jules m'avou son attirance... Il y a anguille sous Roche, sa relation avec lui n'étais pas normal. Pas "Saint" comme on dit. Non ce n'est pas une grande amitié comme j'ai avec Robin. Sans pour autant se meler de la vie sentimentale de l'autre... Elle me coupa dans mes pensées j'étais comme sorti d'un profond comas: « Désolée de t'avoir raconté tout cela.... Est-ce qu'on pourrait changer de sujet maintenant? » Je me suis mis a sourire, je ragais au fond de moi, mais je le cache que trop bien, je lui avoua: « Bien sur... Dit moi, Ce Bal de fin d'année... Veux-tu toujours venir avec moi? » Lui disais-je d'un sourire, cela lui fairait surement du bien une soirée sous le thème de la magie des fêtes. Je ne cherchais que son bonheur, mais je me posais de plus en plus de question de savoir si j'en serais la source ou non. « Mon quart de travail finit bientôt.... Tu voudrais faire quelque chose avec moi? » J'hochais la tête en signe d'affirmation : « J'en serais même ravis... Que dirais tu d'aller manger un petit morceau et d'aller se balader sur Westminster au bord de la Tamise? A moins que tu es une meilleur idée? »