"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici life is not as fun without you. (remy) - Page 2 2979874845 life is not as fun without you. (remy) - Page 2 1973890357
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life is not as fun without you. (remy)

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() message posté Mer 25 Fév 2015 - 16:26 par Invité
Il s'attend à tout, ce qu'elle se lance dans un grand monologue sur pourquoi Sansa est le meilleur personnage. Qu'elle sorte un tableau pour lui écrire point par point toutes les évolutions du personnage via une frise chronologique de tous les épisodes. « T'as regardé la dernière saison ? ». Bien entendu, c'est ce détail qu'elle relève de tout ce qu'il peut bien avoir a raconté sur sa précieuse Stark. Il prend une petite mine innocente et ne répond rien, à part s'enfoncer en confirmant il ne peut pas faire autre chose et il ne compte pas lui faire ce plaisir. « Enfin j'te trouve injuste. Elle devient plus forte et prend de l'assurance dans les derniers épisodes justement. ». Ah la voilà la défense de son personnage, Walt secoue négativement la tête devant tout ce qu'elle raconte. Rien de ce qu'elle pourra dire n'arrivera à le convaincre de toute façon. « Forte elle ? À part se cacher derrière Bigfoot, elle glande rien ! ». Depuis qu'il avait commencé à mater la série, Walt avait choisi de renommer Littlefinger, Bigfoot et il était plutôt fier d'utiliser son surnom ridicule à la moindre occasion. Une douleur dans son genou se fait ressentir et il est soulagé de voir que Remy le laisse partir sans s'accrocher à lui telle une moule à son rocher, dieu sait qu'elle en serait capable pour le faire chier. C'est avec cette image en tête qu'il part en cuisine, lui tirant une Remy qui agrippe à lui pour réussir à avancer, magnifique. Lorsqu'il réapparaît dans le salon pour faire sa proposition dans le style DSK, les fringues en plus, il est surpris de constater que Remy s'est mis en mouvement pour débarrasser. « Non. Mais c'est gentil de proposer. ». C'est tout ce qu'il obtient et en plus elle le contourne comme s'il était un vulgaire obstacle. Il espère que ce n'est pas parce qu'il a un truc coincé dans les dents ou pire, quoi que si c'était le cas elle se serait fait un malin plaisir de lui faire savoir. Il fronce les sourcils, s'imaginant qu'il a perdu le truc. « De toute façon, t'as pas d'autres femmes à voir ? ». Walt relève soudainement la tête, il n'a pas perdu espoir, loin de là. Puis c'est toujours drôle de voir Remy faire référence à d'autres femmes. D'habitude, il trouvait les femmes jalouses un peu flippante et possessive, mais avec Remy c'était plutôt jouissif. Savoir que ça l'a faisait chier à chaque fois qu'il mentionnait quelqu'un d'autre, que ce soit vrai ou pas d'ailleurs. « Miss England s'est cassée un ongle, elle a fait une dépression, ils ont dû l'interner de force. Tu sais ce que c'est la vie de miss. ». Pourtant cette fois, il préfère ne pas sauter sur l'occasion pour lui énumérer toutes les filles qu'il pourrait appeler s'il le voulait. Certes certaines sur son répertoire rêvaient plus de lui éclater la gueule à coup de pelle que de lui rouler une pelle, mais il en trouverait toujours une opérationnelle. Le plus étrange, c'est qu'il savait que c'était aussi le cas de Remy. C'était une ancienne miss, la femme la plus belle de son pays, dans le pays du bronzage et des surfeuses c'était dire. Alors oui, il passait son temps à la taquiner sur son physique, mais il était parfaitement conscient qu'elle pouvait avoir n'importe qui si elle le voulait. La fierté est donc d'autant plus grande quand elle s'approche de lui pour venir inspecter sa joue. « T'as mal ? ». Il secoue négativement la tête, un mâle digne de ce nom n'avoue jamais la douleur. Sans savoir vraiment pourquoi, si c'est en guise de bisou magique ou simplement parce qu'elle en meurs d'envie, ses lèvres finissent sur les siennes. La musique de Queen, we are the champions s'allume dans un coin de sa tête et son sourire victorieux apparaît. « Tu m'as manqué. ». Pause, il la scrute un peu plus longtemps. Typiquement le style de mots qui le font flipper et partir en courant en temps normal. Cette fois, la peur est absente, sans doute parce qu'il sait que Remy n'est pas en train de le demander en mariage ou de lui faire une grande déclaration. Réagissant enfin, il pause une main sur le front de la petite australienne. « Je vérifie que t'ai pas de fièvre ! ». C'était plutôt inhabituel de sa part ce genre de confession, surtout après tout ce qu'elle lui avait envoyé dans la tronche depuis qu'il était arrivé. Il contient son envie de fanfaronner en expliquant que c'est normal qu'il lui manque vu que Walt Fowler est génial, extraordinaire, fantastique et modeste. « Tu m'as manqué un peu aussi... je crois que t'as manqué à Beckham aussi, il a pissé sur les fringues de la dernière qu'est passée à l'appart. ». Monsieur a sa fierté et lui dire qu'elle lui a manqué, aussi simplement et platement n'est pas encore dans ses cordes. Faire comprendre que son chat à une préférence pour Remy c'est déjà beaucoup, pas besoin de préciser qu'il aurait préféré que ce soit elle à la place de cette autre nana. Il a l'impression d'être adolescent avec le baiser tout timide qu'ils ont échangé et les mots presque affectueux qu'ils s'échangent. Sa main glisse derrière sa tête pour approcher son visage du sien et lui donner un baiser digne de ce nom. À la fin du moment, il prend soudain une mine beaucoup plus sérieuse, comme s'il allait demander quelque chose d'extrêmement grave. « Maintenant qu'on a fait la paix, je peux recommencer à toucher tes seins ? ». Non, il ne perd jamais le nord.
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() message posté Ven 27 Fév 2015 - 18:01 par Invité
« Ne me fais pas croire que la vie d'un entraineur de foot est plus compliqué que celle d'une miss. » A l'entendre, les miss sont des chochottes superficielles bonnes qu'à sourire et se plaindre de leurs ongles. Parfois, elle se demande sérieusement pourquoi elle s'accroche autant à Walt. Ou pourquoi est-elle incapable de ne pas lui montrer que oui, ça l'emmerde et l'irrite qu'il parle des autres femmes en sa présence. Elle est supposée être la meilleure. Mille fois mieux que miss England. Et elle pourrait être avec n'importe qui à cet instant. Pas forcément avec le prince charmant – elle n'y croit pas et il est sûrement niais – mais un autre homme. Malgré tout, elle est là, plantée devant son ex à avouer qu'il lui a manqué. Ça lui vient naturellement, là, de faire preuve de gentillesse. Elle n'a rien à lui prouver pourtant. Surtout pas à Walt. Mais peut-être que pendant une minute, elle avait voulu lui montrer qu'elle pouvait être autre chose que cette fille agaçante qui tire dans les pieds du monde entier. « Je vérifie que t'ai pas de fièvre ! » Toujours brûlante a-t-elle envie de plaisanter. Elle secoue la tête pour se dégager de sa main sur son front. Et puis, elle arque un sourcil, un peu surprise qu'il ne soit pas déjà en train de se vanter ou de hurler à travers tout Londres qu'il est tellement génial que Remy s'abaisse à lui faire des confidences. Il a quand même son sourire fier, c'est un début. Remy Baldwin, l'australienne qui se prend pour la reine s'incline presque devant Walt et il ne pense même pas à se pavaner. Il n'en a même pas un peu envie ? N'est-ce pas pourtant tout le but de leurs chamailleries ? Sans l'avouer, elle lui en est reconnaissante. La situation est telle que Remy devrait prendre la fuite. Parce que normalement, les hommes ne lui manquent pas, elle les oublie. « Tu m'as manqué un peu aussi... je crois que t'as manqué à Beckham aussi, il a pissé sur les fringues de la dernière qu'est passée à l'appart. » Elle sourit, simplement, n'étant pas en position pour faire la fière même si son égo lui souffle que tout ça est normal. C'est peut-être Walt qui a de la fièvre finalement. Malgré ce qu'il dit de son chat, il ne fait rien pour la narguer ou l'humilier. C'est presque bizarre venant de sa part. « Si c'est ta façon de me dire que tu me préfères aux autres femmes... » A nouveau prétentieuse, une de ses mains vient sur sa hanche tandis que l'autre fait un geste vague pour montrer l'évidence. « Je reviendrais peut-être le voir alors. » Ça lui donnera une nouvelle excuse de débarquer à son appartement. Venir voir Beckham, le chat creepy de Walt, elle prend ça en note dans un coin de sa tête. Chercher des excuses pour venir à l'improviste, le jour comme la nuit, chez lui, ça aussi, ça lui a manqué. « Maintenant qu'on a fait la paix, je peux recommencer à toucher tes seins ? » Elle ricane. Revoilà le Walt qu'elle connait. Non pas que le Walt qui avoue qu'elle lui manque un peu soit déplaisant, au contraire. C'est bien un mec, toujours attiré par les poitrines des femmes. Sans doute craint-il de se manger une seconde gifle. Pas de raison qu'elle l'attaque à nouveau mais qu'il aille jusqu'à demander la fait rire. Un rictus toujours amusé collé sur les lèvres, elle hausse les épaules. « T'as enfin compris qu'il fallait les toucher pour que tes équipes gagnent au foot. » L'expression sur son visage devient à son tour sérieuse alors qu'elle désigne sa silhouette avec sa main. Après tout, c'est ce qui s'était produit la dernière fois qu'ils s'étaient vus. Enfin, à ce moment-là Remy en avait déduit que l'équipe gagnait parce qu'ils avaient couché ensemble mais peu importe. Ses doigts jouent désormais avec le bas de son t-shirt et finalement, elle glisse sa main libre dans celle de Walt. « Viens. » A reculons, elle l'entraine tout naturellement vers sa chambre, comme ci c'était la suite logique des choses entre eux. Pourtant, arrivé près de la porte, l'australienne se stoppe et l'observe, silencieuse. « Qu'est-ce que j'y gagne si j'accepte ? » Jamais elle n'avait eu besoin de faire de compromis pour accepter que Walt la touche. Après tout, elle reçoit toujours ce qu'elle demande. Il est revenu le premier, il a avoué qu'elle lui manquait un peu et malgré tout ce qu'il peut dire sur miss England, c'est son corps qu'il désire à cet instant. Son regard toujours ancré dans le sien, attendant une réponse dont finalement, elle s'en fout sûrement, elle finit, un brin charmeuse, par retirer son t-shirt. Il tombe à ses pieds alors que, nonchalante, elle hausse les épaules. Elle garde quand même son sous-vêtement. « J'ai quelques idées en tête, comme toujours. »
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() message posté Mar 3 Mar 2015 - 11:41 par Invité
« Si c'est ta façon de me dire que tu me préfères aux autres femmes... ». Entre le penser et le dire, il y a encore un écart énorme pour Walt. Par contre, il secoue la tête en levant les yeux au ciel, pour bien montrer que c'est l'idée la plus stupide qu'il ait entendu. Ça lui apprendra à faire le modeste et pas se vanter, parce qu'elle ne lui fait pas la même courtoisie. « Je reviendrais peut-être le voir alors. ». Sur le coup, il ne sait pas s'il doit être terrifié ou réjouit de cette nouvelle. Pas qu'elle revienne le voir, ça il ne pouvait que s'en réjouir. Plutôt de sa fâcheuse tendance de toujours débarquer à l'improviste, à un moment qu'il ne l'arrange pas vraiment. Ce qu'il rêverait qu'elle arrive juste au moment où une de ses conquêtes sort de son appartement, juste pour voir sa tête verte de jalousie. « C'est sur toi qu'il risque de pisser pour marquer son territoire à force... ». Après ça il demande la permission de toucher ses boobs, il ferme les yeux s'attendant à se manger une gifle, mais rouvre vite un œil craintif en l'entendant rigoler. Elle a une bien meilleure réaction que lorsqu'il avait pris son sein d'assaut quelques minutes plus tôt. À croire que les femmes aimaient le blabla gentil et niais, il n'aurait jamais cru ça de Remy pourtant. Il a peut-être trouvé les mots magiques qui permettent de faire écarter les jambes de Remy à coup sûr, fantastique. « T'as enfin compris qu'il fallait les toucher pour que tes équipes gagnent au foot. ». C'est son tour de rire, parce que son équipe n'a quasiment perdu aucun match depuis la dernière fois qu'il avait vu Remy. Heureusement qu'il n'était pas superstitieux, il aimait juste lui faire croire que c'était son chat noir personnel pour la faire enragée. Vu la fréquence où elle remettait le sujet sur le tapis, sa tactique marchait à merveille. « Mes équipes ? Y a pas de mes équipes, MON équipe. Y a pas de place dans mon cœur pour plusieurs. ». Il pose la main sur son coeur, c'est limite s'il ne se mettrait pas à chanter l'hymne de liverpool. C'est fou ce qu'il peut être dévoué à un seul club de foot, alors qu'il est incapable de la même chose pour une femme. « Puis c'est pas très pratique si faut que je passe deux heures la main sur un sein, je risque de me payer une crampe ! ». Au pire, il pourrait prendre une photo de ses seins avec son téléphone et la regarder avant tous les débuts de match, beaucoup plus pratique. Hors de question qu'il supporte à nouveau la présence de Remy pendant un match. « Viens. ». Elle le traîne jusqu'à sa chambre et la chanson de Queen est de retour dans sa tête. Il ferait presque une petite danse dans le couloir pour aller avec la chanson, mais elle le tient par la main, alors il s'abstient. « Qu'est-ce que j'y gagne si j'accepte ? ». Du plaisir, du plaisir, du plaisir. La réplique de Bruce tout puissant est la première chose qui lui vient, mais encore une fois, il se doute qu'elle utiliserait ce genre de réponse contre lui. Déjà qu'elle a l'audace de dire qu'elle simule à chaque fois qu'elle en a l'occasion. Il fait mine de réfléchir. Avant même qu'il ne réponde avec une proposition des plus alléchantes, la voilà qui retire son T-shirt. Maintenant, il est loin d'être en mesure de réfléchir. « J'ai quelques idées en tête, comme toujours. ». Il détourne le regard du soutif (un qu'il n'avait jamais vu, alors il étudie) pour lui lancer un regard interrogateur . Les idées de Remy pouvaient être complètement différentes des siennes, il en avait déjà fait les frais à plusieurs reprises. Pendant qu'il entreprend de déboutonner sa chemise, un bouton après l'autre très doucement, il met quelques trucs au clair. Il le fait lui-même, parce qu'il a un peu peur que Remy soit tellement en manque de son corps qu'elle lui arrache la belle chemise que sa sœur lui a offert à Noël. « Pas question que je me la joue fifty shades avec un fouet, au pire je te mors un peu les fesses ou je te tire les cheveux si ça te fait plaisir, mais c'est tout. ». Non, Walt n'était pas allé voir ce film, mais il en avait assez entendu parler pour savoir que c'était un trip sado-maso bizarre. Pas vraiment son genre de pratiques sexuelles. À ce stade, il a déboutonné la moitié de sa chemise. « Puis tu connais ma position sur les câlins et les massages. ». Certes, ils s'étaient manqués blabla, mais il refusait catégoriquement de commencer à se comporter comme un couple plan-plan qui mate des séries en se câlinant sur le canapé. Quoi que, Remy serait capable de vouloir faire crac-crac devant GOT selon lui, son amour pour la série, vire quand même très proche de l'obsession. « Je suppose que tu veux pas voir mon nouveau caleçon game of thrones... y a un lion des lannisters sur chaque fesse. Et peut-être même un loup à l'intérieur. ». Il rigole de sa propre blague, c'est qu'il se trouvait hilarant aujourd'hui. Aucune chance qu'il porte un truc pareil, elle serait bien trop contente, mais il est certain de réussir à attiser sa curiosité avec ça. Il joue avec la ceinture de son jean pour l'inciter à venir lui retirer. Pour une fois, il ne fait même pas de geste pour venir lui dégrafer son sous-vêtement sans lui demander son avis, il n'a définitivement pas envie de passer pour le plus en manque. « J'espère que t'as pas de coloc creepy par contre, parce que ce serait vraiment glauque. ».
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 10:51 par Invité
« Fidèle à une seule équipe mais incapable de reproduire la chose avec une femme. Bravo Walt. » Sa voix est moqueuse, amusée et blindée d'ironie alors qu'elle applaudit, de ses mains, ce constat. Elle n'est pas surprise, après tout, c'est Walt. Et puis, le concept de fidélité lui échappe totalement, à Remy. Elle a été éduquée avec cette idée que se contenter d'une seule chose était stupide quand on pouvait en avoir plusieurs. La seule fois où elle s'était montrée fidèle envers un homme, c'était avec Walt. Et là encore, elle n'est pas certaine de savoir ou comprendre ce qui lui était passé par la tête à ce moment-là. Au même instant, il entreprend de retirer sa chemise à une vitesse si lente que ça en agace l'australienne. Malgré tout, adossée contre la porte, elle s'efforce de ne pas bouger tandis qu'elle essaie, pendant encore une quinzaine de secondes, de se convaincre qu'elle ne le désire pas. Fierté oblige. « Pas question que je me la joue fifty shades avec un fouet, au pire je te mors un peu les fesses ou je te tire les cheveux si ça te fait plaisir, mais c'est tout. » Soudainement elle éclate de rire. « T'as envie de me mordre ? Eurk. C'est pas dans Twilight ça ? » Son rire ne s'arrête pas tandis que son regard se pose sur les sacs à côté de sa commode. Sa dernière séance shopping s'était terminée par une halte à la librairie du coin pour acheter le premier tome de cette saga. Pour l'offrir à Milan pour son anniversaire, évidemment. Elle est assez soulagée de constater que le livre soit resté dans les paquets. « D'ailleurs, quoi, tu as vu le film ? » Son rire se stoppe enfin, inquiète que certaines pratiques évoquées dans cette histoire puissent lui plaire. En vérité, elle s'en fout qu'il ait vu ou non le film. Ses pensées ne sont plus cohérentes, l'australienne est mille fois plus intéressée par la chemise de Walt que par les films qu'il regarde. Juste pour lui faire payer sa lenteur, Remy a envie de s'éloigner, partir avec cette attitude dédaigneuse qu'elle maitrise à la perfection et lui balancer un « j'ai plus envie finalement ». Par fierté, elle pourrait, mais d'un autre côté, elle n'y gagnerait rien. Seulement de la frustration. Elle prend appuie sur son autre pied et croise ses bras dans son dos, ses mains frôlant désormais la porte derrière elle. Un soupir s'échappe de ses lèvres aussitôt que Walt évoque cette histoire de câlin. Il devrait savoir qu'elle déteste les câlins et ce lot de trucs niais que font les couples. Sauf les massages, ça, elle les veut et elle compte bien en obtenir un de Walt. « Je suppose que tu veux pas voir mon nouveau caleçon game of thrones... y a un lion des lannisters sur chaque fesse. Et peut-être même un loup à l'intérieur. » Son rire, à nouveau, se joint au sien alors qu'elle reporte toute son attention sur son ex. L'australienne se fait la promesse de lui en offrir un, juste pour l'emmerder. Il réussit presque avec talent à éveiller sa curiosité et à enflammer son amour pour Game of Thrones. « Rectification, c'est un p'tit chiot ouais. » Elle hausse les épaules, ses yeux glissant sur son torse désormais dévoilé. La distance entre eux est faible et pourtant, ça suffit à l'énerver. Walt semble déterminé à parler, la faire patienter et la rendre folle. C'est déloyal. Lui qui d'habitude la déshabille sans attendre se montre, pour la première fois, terriblement distant. Frustrée, Remy détourne le regard lorsqu'elle le voit saisir sa ceinture et qu'il parle de ses colocataires. Aucun colocataire creepy. Elle se détache enfin du mur, rompt la distance qui les sépare et pour la seconde fois de la journée, c'est Remy qui cède la première. Son égo commence à râler d'être celui qui cède, d'être celui qui est incapable de rester loin. Sa fierté lui souffle de laisser Walt comme ça et de rejoindre le salon pour regarder la télé. Pourtant, poussée par l'envie, elle se hisse sur ses pieds et vient l'embrasser. Moins timide que le baiser échangé dans le salon. Elle peut sentir la fierté de Walt autant que son propre égo blessé. « Tu parles trop. » Ses yeux croisent les siens et elle dépose un baiser rapide sur ses lèvres. « Beaucoup trop. » Et encore un autre. D'habitude c'est Remy la bavarde. « Et j'ai pas envie qu'on se câline. » Le mot suffit à lui faire lever les yeux au ciel. Ça sonne tellement mielleux, si peu son genre. Elle refuserait, tout comme Walt refuserait sûrement. Rien a changé de ce côté-là, visiblement, ils ont toujours le même avis sur le sujet. Et c'est sans doute mieux ainsi. Tandis qu'elle s'évertue à chasser les mains de Walt de sa ceinture pour s'en occuper elle-même, l'australienne revient sur un détail. « Parfois Naël se cache sous mon lit avec une arbalète au fait. » Elle chuchote presque, comme si son colocataire pouvait l'entendre. Dans le genre bien glauque. Elle jette un regard vers le côté du lit et commence à reculer vers celui-ci. Mais elle sait très bien qu'aucun de ses colocataires n'est présent et Naël ne fait jamais ça. Après, si ça peut faire douter Walt, pourquoi ne pas en profiter. Ses jambes cognent contre le lit alors qu'elle finit enfin de retirer la ceinture. « Et je garantie pas que Romy nous laisse tranquille. Elle aime bien proposer des cookies aux invités. »
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() message posté Lun 9 Mar 2015 - 20:54 par Invité
Il lui a tendu une perche en parlant de ce foutu film, mais quand même, qu'elle s'imagine qu'il puisse mater des trucs pareils. La référence de twilight, il n'a pas bien compris, sachant juste que c'est un genre de film pour ado dans un contexte de fin du monde, alors il se contente de hausser les épaules. « C'est pas parce que y a du cul dans un film, que je l'ai forcément vu Remy. ». Il est presque déçu de constater qu'elle ne s'est pas mise à lui enlever son pantalon à la seconde où il a mentionné GOT, tout du moins c'est ce qu'il avait espéré. « Rectification, c'est un p'tit chiot ouais. ». Cette blague là, il l'aime moyen, voir pas du tout. Déjà qu'il a toujours en travers de la gorge le coup où elle lui a dit qu'elle simulait. Malheureusement les hommes sont tout de suite griller dans ce domaine, donc impossible pour lui de lui envoyer ce genre d'arguments en pleine tronche. Aucune chance qu'il fasse le premier pas maintenant, lui au moins a eu la décence de ne faire aucun commentaire sur ses boobs depuis au moins cinq minutes. Si elle veut du Walt, elle devra venir le chercher. La fierté passait de ne pas être celui qui a craqué le premier, ce baiser balaye bien vite ses résolutions de garder ses mains pour lui. Comme si cela était envisageable bien longtemps de toute façon. « Tu parles trop. ». Elle est mignonne, même lui doit reconnaître ça, bien que ça lui donne envie de se mettre des baffes de penser des trucs pareils. « Beaucoup trop. ». Son sourire s'agrandit à mesure qu'elle parle et qu'elle embrasse. C'est assez jouissif pour lui de l'entendre avouer qu'elle a envie de lui à ce point. « Et j'ai pas envie qu'on se câline. ». Un petit rire lui échappe, parce que cette partie là était plutôt claire, mais l'entendre à autre voix en est d'autant plus comique. Peut-être que c'est le moment où il est censé dire un truc niais en retour, pour lui faire plaisir. Mais avec Remy, il en doute fortement, surtout qu'elle donne l'impression de souffrir rien qu'à débiter ses conneries. « Je dirais plus un mot. ». Après tout, si elle ne voulait que de l'expression physique, il était complètement d'accord avec ça. Puis en l'embrassant, elle avait sans doute trouvé la technique la plus efficace pour le faire taire. Elle s'attaque à la ceinture de son pantalon, alors il en profite pour écarter un peu ses cheveux et gagner un accès à sa nuque. Il est tenté de la mordre rien que pour voir sa réaction, mais ce n'est pas vraiment quelque chose qui le fait rêver de se transformer en vampire, donc il s'abstient, préférant une approche plus douce. « Parfois Naël se cache sous mon lit avec une arbalète au fait. ». Elle a allumé le feu dans son caleçon, parler ne fait plus partie de son programme dans un futur proche. Il se contente de continuer son assaut contre sa nuque, ne lâchant qu'un vague « hein hein » entre deux baisers. Toutefois, il arrête son attaque en les sentant bouger jusqu'au lit. Ce n'est qu'à la limite de celui-ci qu'elle parvient finalement à lui enlever sa ceinture, Walt sourit, constatant par la même occasion que son pantalon vient de lui glisser sur les chevilles. La joie d'avoir perdu une taille de pantalon et de ne pas avoir refait entièrement sa garde robe, au moins c'était plus rapide. Il fait un pas de côté pour sortir du vêtement, ce n'était pas le moment de se prendre une gamelle. « Et je garantie pas que Romy nous laisse tranquille. Elle aime bien proposer des cookies aux invités. ». Ce n'est pas la mention des cookies qui attise son appétit, ni même la mention d'une autre femme. Malgré tout, il ne peut s'empêcher d'en profiter pour taquiner Remy, rompant par la même occasion son voeu de silence. « Elle peut se joindre à nous, quand y en a pour une, y'en a pour deux. ». Pas besoin de beaucoup réfléchir pour se douter que l'australienne n'est pas très partageuse au lit non plus. Il lui adresse son plus beau sourire de je suis un crétin et t'aimes ça et la pousse sur le lit sans ménagement. Dire qu'il y a quelques minutes, elle avait osé lui dire qu'elle n'avait plus envie de lui, il devrait lui ressortir toutes les fois où elle l'avait dénigré. Certes, il critiquait un peu ses seins, mais il n'avait jamais dit qu'il n'avait pas envie d'elle ou même sous-entendu qu'elle était un mauvais coup. « Remy, faut que je te dise quelque chose.... ». Il cherche son regard pour être certain d'avoir toute son attention et qu'elle n'est pas juste en train de rêvasser en train d'admirer ses abdos. « Je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi. ». Rien que d'entendre ces mots sortir de sa bouche lui donne envie de rigoler, c'est tellement pas crédible venant de lui. Pourtant, il tente de conserver une tête sérieuse pendant quelques secondes, faisant celui qui attend une réponse plus que tout au monde. Finalement, il n'arrive pas à contenir son rire. Même s'il avait voulu faire marcher Remy plus longtemps, c'était au-dessus de ses forces. « T'aurais vu ta tête putain, j'ai cru que t'allais courir sauter par la fenêtre. ». Il grimpe finalement sur le lit, envoyant sa chemise voler en direction de la commode. Il est plutôt fier de sa blague, même s'il n'est pas certain que Remy ait vraiment marché dans son histoire. Pour le moment ce qui l'ennui, c'est qu'elle est encore beaucoup trop habillée à son goût.
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() message posté Mer 11 Mar 2015 - 22:36 par Invité
Elle le fusille du regard lorsqu'elle atterit sur le lit. Autant pour le manque de délicatesse, que pour l'insinuation qu'il n'est pas contre un plan à trois avec la colocataire de Remy. Même pas en rêve elle accepterait ce genre de chose. « Remy, faut que je te dise quelque chose.... » Attentive, son regard océan s'ancre dans le sien. Elle se retient de faire un commentaire, le trouvant particulièrement bavard encore une fois. Il veut la faire languir jusqu'au bout. « Je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi. » qu'il dit, soudainement sérieux. Tout s'arrête d'un coup. Remy fronce les sourcils sans vraiment trouver sa plaisanterie amusante. Pendant une minute, elle semble juste paralysée, là, le regard toujours fixé sur Walt. Il est loin d'être crédible, pourtant son air sérieux la tétanise et Remy est incapable de réagir. Il doit sûrement remarquer son air paniqué. C'est tout ce qui la fait fuir, tout ce qu'elle ne veut pas attendre. Ses mains restent sagement posées contre le matelas et elle ne fait rien d'autre que le regarder. Alors un peu perdue, l'australienne attend qu'il se mette à rire pour montrer qu'il n'est pas sérieux, pour qu'elle puisse à nouveau respirer correctement. Pourtant, son rire l'agace encore plus sans trop qu'elle ne comprenne pourquoi. Et elle détourne le regard pour voir la chemise voler à travers la pièce. Ça ne réussit même pas à la faire réagir. « T'aurais vu ta tête putain, j'ai cru que t'allais courir sauter par la fenêtre. » Il rit encore, tout content. Cette fois, son regard se fait plus mauvais alors qu'elle s'empresse d'afficher une mine exaspérée. Il se fout vraiment d'elle et il en est fier, tout heureux de sa blague. L'australienne le détaille, toujours silencieuse, tandis qu'il la rejoint enfin sur le lit. C'est terrible de voir à quel point Remy peut le désirer, même après sa blague stupide. Même après qu'il ait implicitement avoué ne pas l'aimer. Elle imagine toutes ces filles qui auraient été heureuses d'entendre ce genre de déclarations, puis déçues de savoir que c'était faux. C'est dans un moment comme celui-ci que Remy prend conscience qu'elle n'a pas de cœur, qu'elle n'a besoin que d'être désirée finalement. « T'es vraiment qu'un crétin. » Elle lui met une tape sur l'épaule. Malheureusement pour Remy, c'est tout ce qu'elle apprécie chez lui justement. Son air de crétin et ses blagues foireuses. « Et tu rigoleras moins le jour où ça sera vrai. » Comme si Walt Fowler pouvait aimer. Pourquoi il parle d'amour alors qu'il n'y en a jamais eu entre eux de toute façon ? Ça y est, monsieur aspire peut-être à trouver une copine, une relation de couple et ce genre de conneries. Enfin, pourquoi est-il ici dans ce cas ? Remy voudrait râler parce qu'elle s'impatiente et le sujet de conversation ne lui plait même pas. Seulement elle n'a aucune envie de lui refaire ce plaisir, de lui montrer qu'elle le veut maintenant. Inerte depuis quelques minutes l'australienne se décide enfin à bouger. Sa paralysie est passée. Elle se relève un peu, pour prendre appuie sur ses coudes et être ainsi plus proche de Walt. « Mais t'inquiète pas, tu trouveras la bonne un jour, une idiote qui tombera amoureuse de toi aussi et voudra de tes déclarations. » Elle tapote son épaule avec cet air qui se veut compatissant. Mais la vérité, c'est que ça l'emmerderait qu'il se trouve une copine. Parce qu'il ne serait plus le Walt qu'elle connait. Déjà qu'elle n'imagine pas ce que ça donnerait si elle venait un jour à le croiser avec l'une de ses conquêtes. Elle arque quand même un sourcil, moqueuse alors que ses lèvres se posent contre son épaule et laissent des baisers jusqu'à son cou. L'une de ses mains remonte le long de son bras avant qu'elle n'arrête pour le regarder. Si lui a peur de la toucher, Remy ne se prive pas. Il a sûrement peur de se manger une seconde gifle si il tente de la déshabiller. Ça pourrait la faire rire mais pour le moment, ça ne fait que la frustrer encore plus. Lasse qu'il refuse de la toucher. Remy soupire avant de passer sa main dans son dos pour dégrafer elle-même son sous-vêtement. Sourire taquin sur les lèvres, son regard cherche celui de Walt alors qu'elle retire le vêtement sans attendre. Consciente que c'est sûrement le meilleur moyen de le distraire définitivement. « En fait, je t'imagine plus finir vieux garçon, avec tes bières et ton chat creepy. » Cette fois-ci, elle rit vraiment avant de soudainement revenir l'embrasser.
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() message posté Dim 15 Mar 2015 - 15:40 par Invité
« T'es vraiment qu'un crétin. ». Aucune objection là-dessus, il ne réagit même pas au coup qu'elle lui met sur l'épaule. Sa fierté n'a pas disparu, encore moins en voyant la réaction de la jeune femme. « Et tu rigoleras moins le jour où ça sera vrai. ». Il prend soudain un air interdit, pourquoi parlait-elle de malheur pareil. Puis de toute façon Walt Fowler n'aime pas, il consomme et il passe à autre chose. C'était vraiment une idée ridicule, mais si ça devait être le cas un jour, impossible que sa réaction soit de rigoler. Il prendrait probablement ses jambes à son coup ou même l'avion pour partir loin, très loin. Elle réduit la distance entre eux et il s'imagine déjà qu'ils vont commencer des activités d'adultes, parce qu'ils ont plus l'air de deux gamins qui se chamaillent pour le moment. Malheureusement, la petite australienne n'a pas dit ses derniers mots. « Mais t'inquiète pas, tu trouveras la bonne un jour, une idiote qui tombera amoureuse de toi aussi et voudra de tes déclarations. ». Même s'il ne veut pas de copine, il prend mal qu'elle qualifie cette copine fictive d'idiote. Comme si seules les nanas débiles étaient susceptibles de tomber amoureuse de Walt Fowler, il était parfait, toutes les femmes pouvaient tomber folle de lui. Parfois, il se demandait si Remy était méchante pour être méchante ou s'il y avait parfois une touche de jalousie mal placée. « Je t'inviterai au mariage que tu puisses lui expliquer comment simuler efficacement. ». Il la regarde en souriant, quelque chose lui disait que Remy n'était pas une fan des mariages et qu'elle était plus du genre à vouloir les faire capoter. Les mains, les lèvres de l'australienne font ce que bon leur semble, mais il est loin de s'en plaindre, si elle veut prendre les commandes, il n'a aucune objection à ça. Il lui faut beaucoup de self-control pour ne pas lui sauter dessus, mais toute notion de contrôle s'envole par la fenêtre à la seconde où elle dégrafe son soutif. « En fait, je t'imagine plus finir vieux garçon, avec tes bières et ton chat creepy. ». Parle toujours femme, Walt a vu des seins. C'est sans doute le moyen le plus efficace de le faire taire finalement. Une fois lancée, c'est un véritable soldat en mission.

Il s'en rappellera de sa deuxième baffe de la journée, ce crétin n'avait rien trouvé de mieux que de l'appeler Romy en plein acte pour la faire chier. La réaction ne s'était pas fait attendre. Alors le voilà, en train de se rhabiller parce qu'il est bien trop fier pour attendre que Remy le dégage de son lit, ce qu'elle finira forcément par faire. En jetant un coup d'oeil par la fenêtre, il constate que la météo est purement anglaise, de la pluie encore et toujours. Dépité devant cet acharnement d'averses, il repense à ses plans de vacances. La dernière fois qu'il avait voyagé c'était pour se rendre à la coupe du monde au Brésil l'été précédent. La vie de joueur professionnel de football l'avait un peu trop gâté, voyageant assez souvent, c'était comme ça qu'il avait choppé le virus des voyages. En devant annuler un deuxième entraînement de suite à cause de la météo, il était arrivé à la conclusion qu'il avait besoin de partir au soleil. L'Australie l'avait toujours fait rêver, pourtant il n'avait jamais eu l'occasion de s'y rendre. Le pays des kangourous n'étant pas vraiment une terre de football. Son club l'avait informé qu'il disposait de dix jours de congés, donc il avait envisagé de partir en Australie. C'était la bonne période de l'année, le soleil, la plage, des femmes toutes aussi canon que Remy. Le rêve. « Dit tu me conseilles quel coin en Australie ? ». Elle ne lui a jamais vraiment dit d'où elle venait exactement en Australie et il n'avait jusqu'alors pas posé de questions sur le sujet. Il ne résiste pas à la tentation de la titiller un peu, maintenant que la tension sexuelle entre eux a été évacué. « Ou t'aurais pas une sœur qui pourrait me servir de guide pour mes vacances ? ». Le sourire de crétin bien en place, il la toise du regard. Ça aussi c'était un sujet qu'ils n'avaient pas vraiment abordé ensemble ou alors Walt n'avait simplement pas fait attention à ces détails-là. « À moins que tu veuilles t'en charger toi-même, pour pouvoir m'admirer sur la plage et te pavaner avec l'homme idéal dans ton milieu naturel. ». Il a lancé ça sur le ton d'une boutade, mais au fond il est peut-être un peu sérieux. L'idée d'avoir Remy avec lui pour les vacances n'était pas si mauvaise. Des parties de jambe en l'air de qualité, sans avoir besoin de passer son temps à draguer pour réussir à pécho. Plus de temps pour se détendre et se prélasser sur la plage. Le seul bémol, c'est qu'il était certain de ne pas être capable de supporter la miss pendant une si longue période de temps et inversement.
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() message posté Lun 16 Mar 2015 - 11:21 par Invité
Vexée, elle s'allonge sur le côté pour tourner le dos à Walt et ferme les yeux espérant s'endormir rapidement. Elle n'a plus aucune envie de le voir, ni de lui parler. Elle le sent bouger dans le lit pour se rhabiller mais elle ne fait rien pour le retenir. A quoi bon l'en empêcher ? Il finira par partir, parce que c'est ce qu'ils ont toujours fait. Remy ne lui accorde aucun crédit préférant bouder dans son coin. Sa fierté de le voir revenir vers elle le premier s'est envolée. Et lui donner une seconde gifle ne suffit même pas à calmer sa frustration. Son égo est blessé, c'est tout ce qu'elle gagne de leurs retrouvailles. Elle constate avec ironie qu'ils sont incapables de passer un moment ensemble sans que l'un ne finisse vexé à cause d'une remarque de l'autre. « Dit tu me conseilles quel coin en Australie ? » Sa voix ne fait que l'irriter encore plus, l'australienne ne prend même pas la peine de lui répondre, parce qu'elle n'en a tout simplement pas envie. Elle s'étonne qu'il soit encore là, dans son dos, à parler de son pays alors que d'habitude il s'éclipse plus rapidement. « Demande à Romy. » Elle enfonce sa tête dans l'oreiller pour ronchonner. Remy la mauvaise. Impossible de cacher sa jalousie cette fois-ci, son égo blessé lui fait mal. A l'entendre, il veut partir en Australie et même si il réussit à brillamment réveiller sa curiosité, Remy ne demande rien. « Ou t'aurais pas une sœur qui pourrait me servir de guide pour mes vacances ? » Piquée dans son orgueil, elle se retourne dans le lit pour lui faire face et lui accorder enfin un regard. Ses yeux se posent sur un Walt un brin prétentieux arborant son traditionnel sourire de crétin, qui, d'habitude ne manque pas de la charmer. Cette fois-ci, elle se contente de soupirer et de lui offrir un sourire forcé en échange. « Ouais. Une sœur jumelle. Que je n'ai pas revu depuis des années. » Elle n'oublie pas de lever les yeux au ciel en évoquant la jeune femme. Une sœur dont elle était tellement proche à une époque que jamais elle n'aurait pensé la considérer comme une inconnue un jour. Et sans doute que ça lui serre un peu le cœur d'y penser et d'en parler. Elle ne reçoit des nouvelles que de par sa mère, qui lui rappelle toujours avec tristesse qu'elle a une jumelle paumée en Australie. « Mais elle est moins jolie que moi évidemment. » Remy ne serait pas Remy si elle ne s'auto-complimentait pas une fois toutes les vingt minutes. Ses doigts se resserrent contre le drap alors qu'elle s'installe au milieu du lit pour observer Walt finir de se rhabiller. Depuis le temps qu'ils se connaissent, ça semble être la première fois qu'elle lui parle de sa famille. Ça lui laisse un goût un peu étrange – parce que, soyons clairs, d'habitude ils se chamaillent comme deux gosses avant de s'envoyer en l'air et ça ne s'arrête qu'à ça. « À moins que tu veuilles t'en charger toi-même, pour pouvoir m'admirer sur la plage et te pavaner avec l'homme idéal dans ton milieu naturel. » Se pavaner à son bras, bien-sûr. Un peu surprise, elle hausse un sourcil. Son ton moqueur lui laisse penser qu'il n'est pas sérieux et pourtant, elle se surprend à vouloir qu'il soit sincère. Amusée par la simple idée de pouvoir l'emmerder durant tout le séjour ou fière que ça soit elle qu'il veuille ? Probablement un mélange dès deux. « Partir en Australie, toi et moi ? Tu es sérieux ou j'hallucine ? » Elle s'autorise à rire, trouvant la situation soudainement comique. Elle n'en croit pas un mot. Lui, le grand Walt Fowler, proposerait-il à Remy de lui servir de guide alors qu'il s'est toujours efforcé de montrer que sa présence l'emmerde ? Impossible, ils ne tiennent même pas deux heures ensemble et finissent toujours par se prendre la tête. « Tu veux plus me lâcher, t'es vraiment accro. » Sourire espiègle et coup d'œil moqueur. Sa fierté jusque là blessée s'amuse de la situation. En y réfléchissant, c'est sûrement ça le problème entre eux, leurs fiertés trop grandes et leurs égos immenses qui empiètent sur celui de l'autre. Admettre que l'idée lui plait, elle n'y arrivera probablement jamais. C'est vrai, elle pourrait profiter de la plage, retrouver sa terre natale qui lui manque, s'occuper de cette affaire de miss qui l'intéresse et finir dans les bras de Walt quand elle veut. Enroulée dans le drap, elle finit par se lever pour se retrouver face à Walt. Et c'est sûrement le bruit de la pluie contre la fenêtre de sa chambre qui la pousse à réagir ainsi. Quitter Londres et sa pluie pour retrouver son soleil, les kangourous et les plages interminables de l'Australie, Remy n'attend que ça depuis trop longtemps. « Si t'es sérieux, j'accepte. Je devais retourner là-bas de toute façon. Et je voudrais pas te priver de la compagnie de Remy, tu la réclames un peu trop. » Ils ne tiendront probablement pas deux jours avant que l'un tente de noyer l'autre dans la mer mais l'idée amuse un peu trop Remy pour qu'elle refuse.
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() message posté Lun 16 Mar 2015 - 19:58 par Invité
Son sourire ne fait que s'amplifier quand il l'entend râler avec cette histoire de Romy. Mine de rien, quand il s'agit de la faire grogner, il l'a connaît plutôt bien. Il se résigne presque à ce qu'elle continue à l'ignorer jusqu'à ce qu'il s'en aille. Après tout, bouder c'est un peu sa spécialité. Pourtant, Remy finit par lui répondre quand il l'interroge sur l'existence de sœurs Baldwin. « Ouais. Une sœur jumelle. Que je n'ai pas revu depuis des années. ». Honnêtement, il est un peu surpris qu'elle lui donne ce genre d'informations, parce qu'inévitablement tout ce qui tourne dans la tête de Walt, c'est des images de plan à trois avec les jumelles australiennes. Il a les yeux qui pétillent et un air rêveur rien que d'y penser. Heureusement pour elle, il est trop occupé à rêvasser et galérer sur les boutons de sa chemise pour lui raconter ce qui lui passe par la tête. « Mais elle est moins jolie que moi évidemment. ». Après s'être mangé une deuxième baffe, il n'a pas trop envie d'aller titiller la bête. Ne voulant pas la contredire, il s'efforce de répondre avec le plus de sarcasme possible. « Évidemment. ». Pour bien enfoncer le clou, il lève rapidement les yeux au ciel. Mis en confiance par le fait qu'elle lui réponde, il en profite pour lui proposer de l'accompagner. Au pire, elle se foutra de sa gueule pendant quelques minutes et il passera à autre chose. Elle semble aussi surprise que lui par la proposition, mais il n'est pas vraiment satisfait de la réaction qu'il obtient. « Partir en Australie, toi et moi ? Tu es sérieux ou j'hallucine ? ». C'était une mauvaise idée, il aurait dû le savoir. Son côté susceptible reprend le dessus, surtout quand elle met à rigoler franchement, comme s'il avait dit le truc le plus ridicule au monde. C'est pour ce genre de réaction qu'il ne lui propose rien d'habitude. Il est vexé, en voulant s'habiller plus vite, il se trompe complètement dans les boutons de sa chemise. Une petite voix dans sa tête lui dit de reprendre le contrôle de la situation, en disant qu'il n'était pas sérieux et que Remy s'enflamme pour rien, mais elle ne lui en laisse pas l'occasion. « Tu veux plus me lâcher, t'es vraiment accro. ». Il lui envoie un regard noir, c'est vraiment une enquiquineuse. C'était elle l'accro, pas lui. Si seulement il s'était contenté d'un bye comme d'habitude au lieu de lui tendre des perches monumentales. En même temps, il ne savait pas trop à quoi il s'était attendu, il la voyait mal être super enthousiaste et lui dire oui dans la seconde . « Laisse tomber. ». Il a fait un pas vers elle et tout ce qu'elle fait c'est rigolé, il ne va certainement pas la supplier ou même admettre qu'il était sérieux. Autant conserver le peu de fierté qui lui reste. Puis, sans qu'il ne sache pourquoi ni comment, Remy se retrouve devant lui. Il se trouve incapable de déchiffrer ce qu'elle lui veut. « Si t'es sérieux, j'accepte. Je devais retourner là-bas de toute façon. Et je voudrais pas te priver de la compagnie de Remy, tu la réclames un peu trop. ». Il cligne plusieurs fois des yeux un peu sceptique, se demandant si ce n'est pas une technique pour lui faire admettre qu'il était sérieux. Elle est fourbe à ce point-là. Sauf que la vision de Remy dans son drap, c'est un peu tout ce qu'il voulait voir pendant ses vacances, Remy avec le moins de vêtements possibles. « C'est où là-bas exactement ? ». Parce que si c'est pour le traîner dans un coin paumé de l'Australie où y a plus de kangourous et de koalas que d'êtres humains, c'est pas la peine. Au moins Remy semble sérieuse elle aussi. Ce n'est peut-être pas un si mauvais plan finalement, elle pourra toujours aller voir sa famille ou ses amis quand ils ne pourront plus supporter d'être dans le même espace. Ce qui arrivera forcément. Walt ne résiste pas à l'envie de tirer un sur le drap pour apercevoir le corps si parfait de la jeune femme. Ces vacances lui apparaissent de plus en plus alléchantes. « Enfin si tes mini miss peuvent se passer de toi pendant quelques jours, je voudrai pas briser des destins juste parce que j'ai réclamé. ». Il appuie bien fortement sur le mot "réclamé", elle peut toujours se brosser pour qu'il réclame quoi que ce soit de sa part. Néanmoins, le sourire est de retour depuis qu'il a compris qu'elle était disposée à partir avec lui. Pour le moment, il ne voit que les avantages à ce qu'elle vienne avec lui. Plus tard, il commencerait sûrement à penser à tout ce qui pouvait partir en cacahuète durant cette expérience. Il a envie de l'embrasser, aussi bizarre que ce soit, mais il se retient parce qu'ils ne font pas ça d'habitude, pas de bisous après le sexe. Pourtant la réaction de Remy lui donne envie de l'embrasser, parce qu'elle n'est pas comme les autres femmes, elle n'a pas commencé à se faire des films à la seconde où il lui a demandé de partir en avances, elle est juste restée Remy. « Par contre, interdiction de me gifler parce que je reluque les hôtesses de l'air, ça fait partie de leur travail, c'est pour ça qu'ils engagent que des jolies. Sinon tu peux partir quand ? ». Il sait très bien qu'il n'aura aucun mal à obtenir les vacances quand il veut, même s'il devait partir demain. Pour ce qui est de Remy, il n'est pas certain que ce soit aussi facile. Puis maintenant qu'il s'est mis dans la tête qu'elle l'accompagne, partir seul lui paraît bien inintéressant.
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() message posté Mar 17 Mar 2015 - 23:01 par Invité
Londres lui semble déjà à des années lumières, ses manteaux, la pluie, cette ville toute entière, Remy, elle s'imagine déjà sur la plage, cocktail à la main. Ça fait un moment qu'elle prévoit de retourner en Australie mais jamais elle n'aurait pensé que Walt serait du voyage. Et pourtant, plus elle y pense, plus l'idée lui plait. Elle ne rêve pas de longues promenades sur la plage main dans la main avec lui. Non, Remy, elle est probablement la seule femme au monde à se réjouir de pouvoir l'enquiquiner pendant ses vacances, se prélasser au soleil et s'envoyer en l'air avec son ex. « C'est où là-bas exactement ? » Elle ne peut s'empêcher de repenser à toutes ces forêts où elle a fait du camping avec son père. Elle s'imagine parfaitement y emmener Walt avant de l'abandonner derrière un arbre juste pour lui faire peur. Quel nom de ville lui donner pour assouvir sa curiosité soudaine ? Ses concours de miss l'ont conduit à travers le pays durant toute son enfance mais certaines villes ont une valeur sentimentale à ses yeux. Sydney sa ville natale ou la Côte d'Or pour ses plages immenses et son surf, elle revoit chaque endroit défiler devant ses yeux, toute émerveillée. Et encore une fois, c'est la pluie de Londres contre la vitre qui la ramène à la réalité. Dans un soupir, elle resserre sa poigne contre le drap quand le regard de Walt se fait insistant. « Sydney, parce que mes parents y vivent. Mais je conseillerais le nord-est du pays pour des vacances. C'est sublime. Tu veux que je choisisse maintenant ? » Peut-être qu'elle aurait dû lui fournir le nom d'une ville pour qu'il soit satisfait et se renseigne sur la destination. Malgré tout ça, Remy ne peut s'empêcher de trouver la situation bizarre, lui laissant un goût particulier sans qu'elle ne réussisse à mettre de mots dessus. Sans doute parce qu'il n'agit pas comme un crétin ou que c'est la première fois qu'ils vont faire quelque chose ensemble. Elle n'est pas certaine d'apprécier complètement ce changement avant de réaliser que ça ne change rien entre eux. Elle n'y voit toujours qu'une énième occasion d'être chiante avec Walt et la perspective de partir en vacances pour profiter du soleil. Rien de plus. « Enfin si tes mini miss peuvent se passer de toi pendant quelques jours, je voudrai pas briser des destins juste parce que j'ai réclamé. » Il recommence à sourire alors que Remy détourne le regard, suivit d'un haussement d'épaules. « Mes mini miss vont survivre, mais je suis touchée de voir que tu soucies d'elles pour une fois. » Elle pose une main sur son cœur et sa voix est aussi remplie de sarcasme que la sienne. Elle entend déjà les mères paniquées parce que Remy délaisse leurs princesses pour le soleil et ça la fait rire. Son regard s'attarde sur les boutons mal attachées sur la chemise de Walt, amusée qu'il se batte avec. « Par contre, interdiction de me gifler parce que je reluque les hôtesses de l'air, ça fait partie de leur travail, c'est pour ça qu'ils engagent que des jolies. Sinon tu peux partir quand ? » Elle lève les yeux au ciel avant de rapidement regarder la pluie dehors, puis de reporter toute son attention sur Walt. « Tu peux reluquer qui tu veux, m'en fous. Comme moi je vais pas me priver pour t'abandonner et rejoindre un surfeur si j'ai envie. » Elle ne le quitte pas des yeux, consciente que la partie où elle le laisse pour un autre n'arrivera sans doute pas. Quoique, c'est Remy dont on parle. Fille jalouse, mais loin d'être une folle possessive, encore moins le genre à menacer les autres femmes ou faire une crise de jalousie à Walt parce qu'il déshabille du regard quelques hôtesses. Au pire, elle ronchonnera un peu, comme toujours. Mais Remy reste Remy et des vacances à deux ne changeront pas ça. « Sinon, je peux partir bientôt, je pense. Il faut simplement que je m'arrange avec l'hôpital. Je te téléphone quand ça sera réglé si tu veux. » Elle soulève le drap pour ne pas trébucher et s'en va en direction de son armoire pour en sortir des vêtements. Remy a presque envie d'ajouter qu'elle doit trouver quelqu'un pour surveiller Milan pendant son absence, parce qu'il sera sûrement perdu sans elle. Mais elle s'abstient, étant la seule à toujours se moquer du croate. Quand elle se retourne, Walt est toujours planté à côté du lit alors qu'elle se retrouve à nouveau envahie par cette sensation étrange. Elle pose rapidement une raison dessus, elle n'est pas habituée à faire la conversation avec lui. Aussi simplement et encore moins après le sexe. « Tu t'attends pas à ce que je te propose à boire ou de rester pour dîner j'espère ? » Elle se surprendrait presque à ne pas être dérangée par sa présence, à apprécier qu'il soit encore là. Chose pas du tout normale. « Walt ? » Sourire d'emmerdeuse sur les lèvres alors qu'elle désigne la porte d'un signe de la tête. « Je voudrais que tu partes. Oust. »
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