| ( ✰) message posté Ven 19 Déc 2014 - 8:22 par Invité SebastianXavier Fray London calling to the faraway towns NOM(S) : Fray. PRÉNOM(S) : Sebastian, Fray. ÂGE : 37 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Londres, 20 août 1977. NATIONALITÉ : anglaises. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER : policier. TRAITS DE CARACTÈRE : Méticuleux, généreux, sensible, possessif, bosseur, altruiste. GROUPE : the tube.
| My style, my life, my name Ici vous écrirez au moins 10 caractéristiques de votre personnage. Ses habitudes, ses goûts, tout ce qui vous passe par la tête qui fait de votre personnage ce qu'il est. Grand altruiste, il soutient beaucoup d'associations caritatives. N'arrive jamais en retard, à quoique ce soit, sinon ça le stresse. Déteste la viande, mais adore le poisson. Cours tous les deux jours. Va souvent à la salle de musculation. Plus on s'obstine à le repousser et plus il s'entête. Aime défendre les causes perdues. Déteste qu'on lui dicte sa conduite. Sous son air d'ange, se cache un vrai lunatique. Il se fie toujours à son instinct, qui ne le trompe que rarement. Il n'aime pas avoir d'arme sur lui, mais est obligé d'en porter une pour son boulot, il préfère la discussion à la violence. |
PSEUDO : Maev20. PRÉNOM : Maëva. ÂGE : 25 piges. PERSONNAGE : i scénario. AVATAR : Misha Collins . CRÉDITS : sevenways COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Je le connais depuis pratiquement ses débuts, et j'ai enfin trouvé de quoi poser mes valises ici. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: non.. |
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| ( ✰) message posté Ven 19 Déc 2014 - 8:25 par Invité At the beginning Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).
« Séb, dépêches-toi, tu vas être en retard au boulot ! » Franchement parfois je me demandais ce qui m’était passé par la tête le jour où j’ai décidé de revenir chez ma mère après le décès de mon père. Mais je n’avais pu me résoudre à la laisser seul, alors j’avais ré-aménager le garage de la maison en un studio. Et, que de toute manière je ne pouvais rien lui refuser, et de toute manière elle était mieux avec quelqu’un à la maison que toute seule. Ma mère était quelqu’un d’assez fragile. Certainement le décès de mon petit frère qui est survenu brutalement à l’âge de neuf mois. La brutale et douloureuse mort subite du nourrisson. Ma mère traversait depuis des périodes noires, où elle restait cloitrée dans sa chambre, dans le noir et il était impossible de lui en faire sortir. Alors elle ne peut décemment pas rester seule. Mais quand elle va parfaitement, elle se fait un malin plaisir à gérer la vie de son seul fils, même si celui-ci est âgé de 35 ans maintenant. Et même si ça m’agace véritablement, je suis incapable de lui en vouloir bien longtemps. surtout qu’elle a du mal à se relever de la mort de mon père, qui a tout de naturelle. Et puis je crois que ça la rassure que j’habite avec elle, elle n’est pas très rassurée de savoir que je fais un métier à risque. Je pense qu’elle aurait nettement préférée que j’essaye de sauver ma petite librairie de la faillite. Parce que, oui, j’ai tenu pendant dix ans, à partir de 20 ans, une librairie. Ca avait été une petite folie puisque je n’avais aucun diplôme et que j’avais dépensé toute mes économies pour ce petit local. Je m’étais spécialisé dans la littérature française, certainement dû à mes origines françaises issues de mon père, je vendais des romans en français, mais aussi traduis. Mais c’était assez fermé, et donc je n’avais qu’une mince clientèle d’habitué. Cela avait donc, à force, mené à l’échec de cette boutique, d’autant plus, qu’au bout de dix ans, je sentais qu’il fallait que j’évolue, et que je change de métier, que libraire ne m’apporterait plus rien. Je dois bien avouer que j’étais assez volage dans ce que je souhaitais faire, c’était mon père qui m’avait transmit ce trait. Mais surtout, je voulais mettre à profit cette envie d’aider les autres, je voulais me rendre utile. C’est dans cette idée, qu’à 30 ans, je me décide de passer le concours pour être policier. Concours que je réussis assez bien. Après la formation, dont je m’étais très rapidement passionné, ressentant enfin cette envie de justice et de protéger ceux qui ne le peuvent pas eux-mêmes assouvit, je me retrouve donc à arpenter les rues londoniennes, prête à traquer la délinquance de cette ville. Ce boulot, au fil du temps était devenu une véritable passion. Bien sûr, ce n’est pas moi qui arrête la fine fleur des criminels, mais comme on dit, il faut de tout pour faire un monde. J’ai donc décidé de rester patrouilleur, prenant du temps pour visiter les familles et parfois en aider certains.
Dans mon boulot, j’avais noué quelques liens avec certaines personnes. Je m’entendais bien avec mon coéquipier de patrouille. Mais c’est aussi le cas avec certaines personnes qui pouvaient parfois poser vraiment problèmes à certains collègues, mais moi je ne me soucies pas des rejets que je peux avoir avec certaines personnes. Le meilleur exemple, c’est bien la famille O’Flahery. Une tribu disparaître mais qui sait néanmoins s’en sortir malgré les merdes qui leur tombe dessus. Il faut dire que si on prend déjà l’exemple des parents, c’étaient des sacrés cas. Cheryl et Damon, étaient deux accros à la bouteille et à la fumette, comme ils aimaient appelés cela. Ils n’avaient pas un fond méchant, mais ils parvenaient toujours à créer des situations des plus embarrassantes, où à se retrouver dans des situations improbables.Il m’arrivait bien trop souvent de devoir les ramener chez eux car ils planaient bien trop pour rentrer seul. Les enfants, eux, j’osais encore espérais qu’il ne soit pas trop tard. Certains, semblaient vouloir s’en sortir quoiqu’il arrive, comme Coleen ou encore Demetra. Deux jeunes filles simples et douces, qui faisaient de leurs mieux pour ne pas suivre les traces de leurs parents. Il y avait également Zoe et Mickey, encore bien trop jeunes pour comprendre complètement leur famille. C’étaient deux petits anges que j’appréciaient tout particulièrement de rendre visite. Alvan et Brent, le trouve-tout et le casse-cou, dire que ces deux-là formaient le duo de choc, était presque un euphémisme. Pas beaucoup de mes collègues voulaient s’occuper de cette famille, parce que la majorité tournaient vraiment mal, il faut dire que le modèle des parents n’est pas des meilleurs, mais parce que beaucoup d’entre eux commençait sérieusement à craindre Junroy, le plus grand de la fratrie, qui, lui, porte tout, tout seul. Il faut également avouer qu’il ne porte pas spécialement les policiers dans son coeur, nous accusant de tous les maux possibles. Il est vrai que, pour leur situation, on a notre part de tort, enfin pas moi personnellement car la situation était déjà bien entériné quand je suis arrivé, mais si on aurait réagi avant, on en serait probablement pas là aujourd’hui. Mais avec des si et des peut-être on referait le monde, qui serait donc parfait. J’étais pratiquement le seul des policiers a encore oser m’aventurer sur le seuil de leur maison, même si parfois c’était simplement pour me faire claquer la porte au nez. Certains de mes collègues disent que je suis probablement masochiste pour m’entêter de la sorte, ils n’ont peut-être pas si tort que cela. Mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas les laisser dans cet état sans essayer de faire quelque chose. Et plus Junroy le fermait la porte au nez, et plus je revenais voir comment ça se passais chez eux. C’est un peu de cette sorte qu’un lien un peu étrange s’était tissé entre cette famille et moi. Même si avec Jun’ c’était une toute autre histoire.
Déjà parce qu’il était le seul avec qui je n’avais pas vraiment de lien. à cause de la distance qu’il mettait entre moi et lui, même lorsqu’il arrivait de passer en civil pour faire un coucou à ses frères et soeurs, qui eux, m’avaient complètement adopté. Mais aussi, parce qu’il n’était pas si désagréable que cela à regarder. C’était peut-être étrange, mais je n’ai jamais été attiré par les femmes, mes yeux se sont toujours plus intéressés aux hommes. Mes proches savent et ont accepté mon homosexualité, presque sans aucun souci, même si au début ils croyaient tous à une plaisanterie, ils ont fini par s’y faire. Et mon supérieur hiérarchique est au courant de mon orientation sexuelle. J’aimerais bien l’annoncer au reste de mes collègues, mais pour le moment mon supérieur le refusait. Soit c’était les ordres après tout. Pour en revenir à Jun’, il ne me laissait pas insensible, car, malgré son jeune âge, il était plutôt quelqu’un de très mature. D’ailleurs bien plus que certains de mes collègues, cela va sans dire, certains ne sont pas nés de la dernière pluie comme on dit. J’avais bien entendus certains bruits de couloir à propos de l’orientation de Jun’, mais je n’y donnais guère d’intérêt, surtout que généralement cela se révélait erroné. Mais bon c’était toujours plaisant d’y croire à certaines occasions. Mais, aussi tentant soit-il, je ne pouvais pas me permettre de me laisser aller à ce genre de penser, et surtout pas à les concrétiser. J4étais un flic, et ils étaient de l’autre côté de la barrière, et surtout, je les côtoyais quotidiennement pour le boulot. Je ne devais donc absolument pas mélanger vie privée et vie professionnelle, au risque de perdre mon travail, et ne plus jamais pouvoir exercer mon pouvoir de flic. Non, pour le moment c’était loin d’être envisageable, même si je me surprenais de plus en plus à croire qu’il y avait une solution, mais je préférais l’enfouir loin dans mon esprit et tenter de rester le plus professionnel qui soit lorsque l’on était obligé de se côtoyer, même si je faisais en sorte que cela le soit le plus souvent possible. Ma mère n’avait pas totalement tort quand elle disait que je jouais avec le feu dans cette situation, et que je finirais par me heurter à un mur, que toute cette situation finirait très mal, mais je ne pouvais me résoudre à mettre fin à tout ça, c’était comme ma drogue personnelle. C’était bien une des rares choses que je ne lui avais pas caché de mon boulot. Il est vrai que je refusais d’inquiéter qui que ce soit avec la dangerosité de mon travail. Même si ce n’était pas si méconnu que cela. Mais j’adore idéaliser les choses parfois, surtout quand ma mère était directement concerné. Enfin il n’y a pas qu’elle... |
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| ( ✰) message posté Ven 19 Déc 2014 - 8:49 par Invité Merci à vous deux, ça fait un bon bout de temps que je zieute votre forum de nouveau ! *-* |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Ven 19 Déc 2014 - 11:20 par Alycia Hemsworth (Re) Bienvenue & bon courage pour ta fiche Si tu as besoin, n'hésite surtout pas En attendant d'être validé tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb Ça c'était pour le côté staff |
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