"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 2979874845 Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 1973890357
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Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal

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() message posté Mar 12 Avr 2016 - 18:55 par Invité

Edgar Dwight Anderson

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Anderson. PRÉNOM(S) : Edgar Dwight. ÂGE : 27 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 7 avril 1989, Seattle. NATIONALITÉ : Américaine. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER  : écrire ici. TRAITS DE CARACTÈRE : Têtu, lunatique, exalté, jaloux, leader, gamin, amateur de sensations fortes, moqueur, pas sérieux, excessif, impertinent. GROUPE : Black Cabs.



My style, my life, my name

# Enfant de Seattle exilé au Royaume-Uni, Edgar cultive avec soin son accent le plus américain.
# Il a un "petit problème" de perception du danger. Plus quelque chose semble risqué et stupide, plus ça l'attire. C'est irrésistible. (Ca explique en partie comment il a perdu son permis, soit dit en passant.)
# Et de manière générale, si c'est interdit, c'est qu'il faut absolument qu'il le fasse.
# Attiré par l'interdit et bénéficiant d'un argent de poche à 4 chiffres, Edgar ne pouvait que tomber dans le classique écueil des petites pilules qui font décoller et de la poudre qui rend invincible. La vie sans être stone est quand même désespérément fade. Toujours partant pour tester de nouvelles substances ("Oooh c'est joli ces petits cachets roses tu m'en files ?"), Edgar n'est pas un drogué. Non. Il est ouvert d'esprit. Nuance.
# Edgar est un oiseau de nuit. Son pic de forme démarre généralement vers une ou deux heures du matin. C'est aussi à ce moment-là qu'il commence à formenter des idées éminemment lumineuses qu'il doit absolument mettre en application dans l'instant. Ses potes dorment ? Il ne voit pas le problème, un dormeur ça se réveille. Howard est sûrement celui qui a le plus fait les frais de ce genre de spontanéité nocturne...
# Howard, de toute façon, est un genre de phare dans la vie assez désordonnée d'Edgar. La première personne à qui il s'adresse dans à peu près toutes les situations, quand bien même leurs engueulades sont fréquentes et souvent dantesques. Insupportablement timide, désespérément coincé, Howard est irrécupérable, Howard est formidable, Howard occupe beaucoup trop ses pensées.
# Edgar est un exalté qui ne connaît pas la demi-mesure, passant de l'enthousiasme surexcité à la crise de désespoir au gré de son lunatisme. Cela le rend excessif dans tout, ses humeurs comme ses relations.
# Edgar ne dort pas, il est bien trop occupé pour ça. Par contre il mange – engloutit, en fait – des quantités astronomiques de nourriture et fait passer le tout avec des litres du "meilleur café du monde" (comprendre une mixture artisanale faite de minimum 50% de sucre). Avec ses horaires décalés et son appétit d'ogre, son meilleur ami c'est le kebab du coin, ouvert toute la nuit dans les odeurs de graillon.
# Edgar a le mystérieux pouvoir de démultiplier l'entropie d'une pièce par sa simple présence. En d'autres termes, il est terriblement bordélique, sème sur son passage une quantité invraisemblable de bazar. Pour survivre, Edgar a donc développé un talent incontestable pour la conception de piles totalement hétérogènes faites de caleçons/chemises froissées/cartons de pizza/packs de bière entamés/paquets de clopes vides/magazines/... Ces échafaudages hétéroclites semblent ne tenir debout que par miracle, mais il certifie que lui se retrouve parfaitement dans ce système de rangement.
# Edgar a l'amour des hauteurs. Il a commencé l'escalade à l'adolescence, par pur hasard et sans grande conviction, et s'est pris de passion pour ce sport dès sa première grimpe. Parfaitement indifférent au vertige, il monte en tête sans sourciller – oublie parfois de s'attacher en chemin, au plus grand désespoir de son entraîneur –, affronte avec enthousiasme les dévers les plus hasardeux, et parfois préférerait ne pas avoir à redescendre des sommets qu'il a atteints – même si, faute de montagne dans les environs, lesdits sommets sont le plus souvent le haut d'un mur artificiel.
# Pour son retour en Europe, il se retrouve sous le chaperonnage de sa cousine. Ils partagent un immense appartement et elle est supposée cadrer ses humeurs et surveiller sa consommation de drogue. Dans les faits, elle se contente majoritairement de lui foutre la paix tout en fournissant des rapports rassurants à la famille restée à Seattle.
PSEUDO : / PRÉNOM : Emilie. ÂGE : 22. PERSONNAGE : Scénario.  AVATAR : Dane DeHaan. CRÉDITS : Images : Seb & Class Whore. Citation : Robert Sheckley. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Très bonne question, ça fait bien longtemps que je vous connais vous êtes un peu des célébrités dans le milieu ;p CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Non.







At the beginning

« Edgar, tu m'épuises. »
Une litanie familière dans la vie d'Edgar, gamin insupportable depuis 1989.
De tornade haute comme trois pommes il est devenu grand type ébouriffé qui balade ses cernes jour et nuit durant et continue d'expérimenter sans réfléchir les idées géniales qui lui passent par la tête (oui parce que maintenant il a atteint l'âge où il peut (essayer de) faire passer ses diverses exactions pour du "génie incompris" plutôt que des "bêtises d'enfant ingérable". Les gens y croient malheureusement rarement).
En l'occurrence, ce n'est pas sa mère qui exprime pour l'énième fois sa lassitude, mais sa petite amie. Ce qui est sensiblement plus inquiétant, parce qu'elle n'a pas du tout l'air de plaisanter, cette fois-ci. Elle contemple les morceaux épars de son lecteur DVD qui jonchent le sol de son salon – qui aurait cru qu'il y ait autant d'éléments là-dedans ? – et elle a l'air au bord du craquage.
« Il m'a avalé mon disque », se justifie Edgar en pointant l'objet démantibulé du doigt, tel un gamin qui reporte la faute sur son camarade. "C'est lui qu'a commencé !"
Le visage de la demoiselle s'assombrit. Ça s'annonce mal.
« Donc tu as démonté chacun de ses moindres composants pour récupérer ton disque ?
- En fait non, entreprend d'expliquer Edgar. Je l'avais récupéré, mais je me suis dit, tant qu'à faire, que je pouvais essayer d'améliorer ce lecteur, parce qu'il fait toujours ce bruit un peu chelou, tu sais, quand il prend les disques, et…
- SORS DE CHEZ MOI. »
Le rugissement soudain le prend un peu au dépourvu et il désigne les circuits imprimés mis à nu :
« Tu veux pas que je le répare ? Bon là je suis un peu perdu mais j... »
S'ensuivent un certain nombre de mots peu élégants de la part de la jeune femme qui finit par obtenir gain de cause quand Edgar se laisse jeter dehors. C'est toujours les mêmes reproches qui lui tombent sur la tête, il ne va pas écouter cette rengaine une énième fois.
Tout en s'allumant une clope dans la rue, il réalise que cette relation aura duré deux semaines. Il est décidément de plus en plus efficace pour pousser à bout la patience de ses copines. Edgar se met à déambuler droit devant, pas spécialement chagriné - une petite amie ça se remplacé facilement. (Il est quand même un peu inquiet pour le devenir du lecteur de DVD, dont l'état sera difficilement reconstituable vu les compétences en électronique de sa désormais ex).
Au premier passage piéton Edgar manque se faire écraser parce qu'il n'a pas regardé du bon côté, et met cette erreur sur le compte de son arrivée toute récente à Londres. Avec la plus grande mauvaise foi du monde puisqu'il a fait toutes ses études en Angleterre… Dans la (très) riche et (trop) chic famille Anderson, on fait ses études à Cambdrige, parce l'Europe c'est chic, et parce que c'est une vieille tradition qui perdure même depuis que les grands-parents d'Edgar ont traversé l'Atlantique et toute la largeur du continent américain pour s'établir à Seattle. (Et y faire fortune dans le dentifrice. Non, ce n'est pas une blague. Qui aurait cru que l'hygiène dentaire pouvait faire des millionnaires ?)

L'âge venu, Edgar avait donc débarqué à l'université de Cambridge, son admission rentabilisant enfin les milliers d'heures de cours particuliers que ses parents avaient dû lui payer pour tenter, bien qu'il soit incapable de tenir en place, de le maintenir en tête de sa classe. (En toute honnêteté, Edgar se doutait qu'il avait été admis moins grâce à son parcours académique que grâce aux bons contacts de la partie de la famille restée en Angleterre.)
Il avait pris son temps pour obtenir un diplôme, se retrouvant d'abord – comme le voulait la tradition familiale – à la Cambridge Judge School pour étudier le commerce et les sciences politiques, ce qui l'avait barbé au point qu'il n'avait même pas pris la peine de se présenter aux examens finaux. Suite à cette année perdue, ses parents avaient finalement considéré les aspirations d'Edgar et l'avaient réorienté en ingénierie. Cela lui correspondait parfaitement, lui qui avait toujours aimé démonter tout ce qui lui passait sous la main, expérimenter sans cesse et de manière générale, comprendre ce qui l'entourait (mais surtout démonter des trucs, avouons-le). Le domaine lui correspondait, donc, mais les études, beaucoup moins. Avec une capacité d'attention n'excédant pas une heure d'affilée dans ses jours les plus studieux et un talent indéniable pour la procrastination, Edgar n'avait pas eu le parcours le moins chaotique et s'était même autorisé le luxe d'un redoublement. Il faut dire que les soirées, les filles, les virées avec les potes et les jolies pilules le maintenaient vraiment très occupé. Néanmoins Edgar avait un avantage majeur sur ses camarades : ne dormant que très peu, il bénéficiait de journées beaucoup plus longues et avait réussi à y caser suffisamment d'heures de travail pour, finalement, boucler tous ses projets à temps et avec brio. Et il l'avait eu au bout du compte, ce diplôme de l'université de Cambridge.
Une fois ses études terminées, Edgar n'était pas rentré aux États-Unis.  Il était bien à Cambridge, suffisamment loin de ses parents pour avoir leurs financements sans leurs jérémiades, tranquille avec ses petites habitudes (comprendre son dealer), ses potes et son meilleur ami. Lequel était un drôle d'oiseau croisé au hasard d'une soirée lors de sa première année d'ingénierie, un type qui semblait convaincu de n'avoir rien à faire là et qui, de fait, détonnait un peu dans la soirée. Il s'était avéré qu'il étudiait pour le boulot le plus sinistre du monde (croque-mort, vous y croyez ?!), qu'il avait à moitié peur de son ombre et que pour couronner le tout, il avait des goûts abominables (des bouquins écrits par des gens morts encore avant la naissance de vos arrières-grands parents, de la musique tout aussi vieille et gnan-gnan, bref, des trucs de chochotte). En conséquence, rien n'expliquait comment Edgar et Howard avaient pu devenir amis. Mais le fait est que très vite, Howard était devenu celui vers qui Edgar se tournait le plus souvent lorsqu'il avait du temps à tuer. OK, ils passaient une bonne partie de leur temps à se taper dessus et à s'incendier mutuellement. Malgré tout, ils revenaient inlassablement l'un vers l'autre, pris dans cette amitié un peu toxique mais addictive.
Et puis un jour, Edgar avait fait ses valises et pris le premier avion pour la maison.
En fait, Cambridge le faisait devenir un peu cinglé, à force. Il avait mis du temps à s'en rendre compte mais là, c'était clair. Trop de temps passé dans ce pays commençait à lui retourner le cerveau. La preuve, l'autre soir, il avait… enfin… bon bref, il y avait eu contact buccal entre Howard et lui. Prolongé. Ça devait être l'abus de meat pies, ou de pudding, allez savoir, bref, de tous ces trucs anglais dont l'accumulation avait finalement mis à mal son pauvre petit métabolisme américain et pouf, il s'était retrouvé à embrasser son meilleur pote. Invraisemblable. Mieux valait détaler fissa, sinon il allait se mettre à faire d'autres trucs chelous, et qui sait jusqu'où ça allait le mener (reprendre des études de politique internationale ? Lancer son entreprise de couture ? Entamer un tour du monde en combinaison d'homme-grenouille ? Non vraiment, Cambridge était mauvais pour lui).
De retour au pays, Edgar avait rapidement trouvé un boulot dans une grosse entreprise de robotique, s'était fait virer tout aussi rapidement pour cause de non-respect des horaires de travail. Pas spécialement déçu, il en avait profité pour se lancer dans un road-trip totalement improvisé, avec pour objectif de se faire tous les meilleurs spots d'escalade du pays (et tous les meilleurs dealers du pays, mais chut). Il était encore (très) loin du compte quand, au bout de quelques mois, son père lui avait promis de lui couper les vivres s'il ne se calmait pas très vite. Pour le coup, ça l'avait effectivement calmé. Il avait toujours eu l'habitude de largement compter sur les fonds parentaux et même s'il se mettait réellement à bosser, jamais il ne pourrait maintenir son train de vie.

« Sinistre chauffard ! » vitupère Edgar qui a failli, à nouveau, passer sous les roues d'un taxi. Mais comme pour une fois, il traverse au vert, il a au moins la consolation de pouvoir déployer sa culture juronesque.

Des amis de l'université l'avaient recontacté alors qu'il traînait à Seattle en feignant de chercher du travail pour faire plaisir à papa-maman. Ils venaient de lancer leur start-up technologique, cherchaient un « ingénieur brillant » pour mettre au point un tout nouveau type de robot. Edgar avait trouvé ça génial (même si se faire appeler « ingénieur brillant » l'avait bien fait ricaner), alors il avait encore une fois fait ses valises, et les avait rejoints à Londres. Eux au moins le connaissaient. Ils n'étaient pas surpris de le voir régulièrement arriver défoncé en réunion (quand il n'oubliait pas carrément de venir), ni de constater un progrès absolument inexistant dans son projet d'une semaine à l'autre. En contrepartie, il leur arrivait aussi de le trouver au bureau de bon matin, après y avoir passé toute la nuit. Durant ses périodes de productivité, Edgar abattait le travail en un rien de temps. Et comme il était très inventif et, mine de rien, plutôt compétent, les avancées qu'il soumettait ravissaient ses collaborateurs.

Ouf, il est rentré en vie. Les conducteurs londoniens n'auront pas eu sa peau cette fois. Edgar va s'affaler sur le canapé en abandonnant ses chaussures en chemin (sa cousine et coloc va encore râler, mais ce sera rigolo). Il ouvre machinalement son PC et retrouve les résultats de sa dernière recherche Google. « Howard Taylor », ce qui a renvoyé tout un tas de liens sinistres vers des sites sinistres pour des services sinistres – oui, le business de la famille de son meilleur ami est plutôt sinistre, les Taylor enterrent les gens de père en fils. Dans le tas, pas mal d'articles (sinistres) mentionnent le déménagement de l'entreprise à Londres.
C'est quasi sûr, Howard aussi est à Londres. Ça fait un peu sourire Edgar. D'un coup il a très envie de partager une défonce avec son vieil ami.
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Si tu as besoin, n'hésite surtout pas. Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 1973890357

En attendant d'être validé tu peux venir papoter sur la cb ou faire un tour dans les jeux & le flood pour faire plus ample connaissance avec nous. Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 2336905461 Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 2798736487
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() message posté Mar 12 Avr 2016 - 19:15 par Invité
bienvenue et bon courage pour ta fiche!
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Dane Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 4094582668 bienvenue parmi nous Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 2723850382 Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal 1973890357
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