"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici 20 Aout 2011 - France. } J'assume ce que je ressens pour toi - Athénix. 2979874845 20 Aout 2011 - France. } J'assume ce que je ressens pour toi - Athénix. 1973890357
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20 Aout 2011 - France. } J'assume ce que je ressens pour toi - Athénix.

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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 1:14 par Invité
I kissed a girl and I like it.
Athénaïs & Alix.
fiche par ©century sex  

Dans un monde où tout est parfait, je suis une femme qui ne diffère pas de la réalité. Le changement n’est pas du tout flagrant. Dans ce monde, je réalise que l’amour a toutes les formes possibles, que d’aimer est devenu libre d’expressions, que personne ne jugerait des sentiments d’un homme à un autre, d’une femme à une autre. Nous vivons dans un monde où même les personnes de haut rang, se permettent des sentiments différents de leur ancêtre.

Cela fait plus d’un mois que je suis chez Athénaïs. Cette fille, je la connais depuis toujours et… c’est mon idole. Elle est l’image parfaite de ce que je veux être plus tard. Belle, adulée, bien habillée, une attitude princière. Elle est parfaite. Ces journées passées à ses côtés sont pour moi une source de bonheur. Mais depuis quelques jours, je me surprends à espérer des choses venant de la belle française. Des choses ? Des sentiments, des gestes, des attentions, des… tendresses.

Assise dans sa chambre, j’étais allongée dans ses draps. Oh, nous faisions que de regarder un film ensemble. Ce n’était rien de méchant. Mais j’étais fatiguée et je me suis assoupie. Le parfum qu’émanait ses coussins me berçaient de douces mélodies. Mon esprit s’est mis à divaguer, à sentir le souffle de la jeune femme sur mes lèvres. Je rêvais. Un rêve qui me semblait presque réel. Il faut dire que la vision de la poitrine de la jeune femme me procurait des sensations étranges, de ressentir un baiser de sa part me réveillait…

Je suis totalement perdue. Je m’étais excusée auprès d’Athénaïs mais jour après jour, cet incident me hantait. Mes rêves venaient à se troubler encore plus. Jusqu’à ce que je me rende à l’évidence même de ce qu’il se passait dans ma tête. Au début, je pensais que de taire ce que je ressentais pour Athénaïs mais plus je désirais me taire, plus je m’éloignais d’elle. Je passais du temps avec le reste de sa famille et je la délaissais. Petit à petit, je me rendais coupable par mon comportement.

Il faut que je lui dise. Que je lui parle de ce que je ressens. Quitte à ce qu’elle me tourne le dos, je préférais être honnête avec elle. Même si je sais que je serais détruit qu’elle décide de s’éloigner de moi. Je veux être honnête. Je veux avoir le choix même si j’ai honte de ça. Je décide d’un moment où nous sommes que toutes les deux, je ne veux pas qu’elle se sente prise à dépourvue. C’est au moment que je m’attendais le moins que je trouvais l’occasion parfaite.

La seule personne qui était encore présente avec nous sur le bord de la piscine, c’était une servante. Elle s’en allait pour je ne sais quelle raison. « Athénaïs ? » dis-je d’une douce voix alors que je me levais du transat pour la rejoindre dans l’eau. La fraicheur me fit beaucoup de bien. Je me détends alors que je nage jusqu’à la hauteur de la princesse. « On est enfin toutes les deux. » Je ris timidement. C’est vrai, pas une seconde pour discuter sauf si l’une ou l’autre ne se glisse dans la chambre pour discuter.

Tendrement, ma main s’approche du visage d’Athénaïs pour ramener une mèche mouillée derrière son oreille. Qu’est-ce qu’elle est belle. « Je voudrais te parler, un peu… » Et là, mon ton se fait plus sérieux. Je n’ose pas en rajouter, je ne sais même pas par où commencer. Ce n’est pas facile de parler de ses sentiments.
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() message posté Lun 13 Oct 2014 - 20:31 par Invité


❝Then she said te amo❞
Alix & Athénaïs

    Dans une autre réalité, rien ne change vraiment dans sa vie. Sa première relation amoureuse l’a laissée méfiante auprès des hommes, elle a laissé partir Alfie, elle a laissé partir Julian et reste incertaine au sujet de Wesley. Tout se déroule de la même manière mais une seule personne changera son avenir, irrémédiablement et pour toujours.

    En fin de mois d’août, la chaleur est à son comble. La spacieuse piscine à l’arrière du château est un véritable sanctuaire, je m’y réfugie tous les jours en quête de fraîcheur et en même temps, de rayons du soleil. Je n’ai jamais supporté l’un ou l’autre à l’extrême, je me retrouve vite épuisée sous une température excédant les vingt-cinq degrés ou vite gelée dès que le vent se lève. Ma peau reste, la majorité du temps, froide comme du marbre mais aujourd’hui, je sens toutes les parcelles de mes épaules, de mes bras et de mon visage chauffer à vif. Sans ménagement, je plonge sous l’eau pour apaiser les picotements et reviens à la surface, complètement revigorée.

    Mon premier réflexe est de regarder Alix, elle se détend sur un transat. Le soleil se reflète sur ses jolies mèches blondes lui donnant plus que jamais l’apparence d’une riche héritière française. Il semble qu’elle ai du mal en tout ce qui concerne les incroyables réceptions qu’organise son père chez eux alors c’est avec plaisir que je lui ai proposé de passer du temps chez moi. Ici, ce n’est qu’un château secondaire des Hermès-Deschanel, l’ambiance y est paisible. Mes parents n’y organisent pas de soirée, ils veulent me laisser de la liberté. Sur ce point et bien d’autres, ils ont toujours été compréhensifs, impossible de les détester, je les adore juste.

    Sa présence est un baume au coeur, elle est tellement adorable. Je n’ai même pas vu passer le mois grâce à elle. Je ne sais pas si c’est son visage d’ange ou le fait que je me vois en elle, plus jeune, qui fasse que je m’attache autant à elle mais je n’ai aucune envie qu’elle rentre. Et même si, de mon côté, la vie mondaine me convient parfaitement, je suis contente de l’avoir à mes côtés, elle est comme un jardin secret où je peux me reposer, et me dévoiler comme je le désire. Les servantes sont à peine plus âgées que moi mais impossible de leur parler, elles ont trop peur d’enffreindre le protocole alors qu’Alix, est prête à la suivre dans bien des aventures.

    Mais quelque chose me préoccupe ces derniers temps, elle n’est pas normale… Pas comme d’habitude. On dirait qu’elle m’évite un peu. Oh je me suis dis qu’après un mois, elle devait être fatiguée de ma compagnie mais cette idée me chagrine, alors je préfère penser qu’il y a quelque chose d’autre ou ma conscience me joue des tours ? Evidemment, j’ai essayé de lui en parler et apparemment, il n’y a rien mais je ne sais pas, ça me perturbe de la voir s’éloigner, de mon point de vue en tout cas. Je souris lorsque je la vois me rejoindre, peut-être que je me suis vraiment imaginée des choses ?

    « Athénaïs ? On est enfin toutes les deux. »

    Je la regarde, presque émerveillée par la douceur dont elle fait preuve à chaque fois qu’elle s’adresse à moi.

    “Tu sais, si tu as envie qu’on reste que toutes les deux, tu peux les faire disposer.”

    Délicatement, elle remet l’une de mes mèches derrière l’oreille. Puis son visage se ferme, elle devient sérieuse. Son air m’inquiète, je me demande si elle va m’annoncer qu’elle va partir, peut-être qu’elle s’ennuie ? Certes, nos activités ne sont jamais les même mais fréquenter la même personne non stop pendant plus d’un mois est une autre chose.

    « Je voudrais te parler, un peu… »

    Je fronce les sourcils d’un air inquiet, je ne veux pas qu’elle en dise davantage. Sans attendre, j’affiche un sourire enjoué.

    “Que dirais-tu si on organisait une soirée ce soir ? Que des jeunes de notre âge ! Pour faire un peu la fête. On peut faire absolument tout ce qu’on veut, ça nous changera les idées.”

    Cette idée de soirée me plait bien, nous avons tous les moyens de la terre pour la rendre inoubliable. Et comme ça, elle se sentira peut-être mieux ici ?


© Pando
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 21:00 par Invité
I kissed a girl and I like it.
Athénaïs & Alix.
fiche par ©century sex  

Je suis vraiment attristée de ce que je ressens. Ce n’est pas moi. Enfin, si c’est moi, mais ça ne devrait pas l’être. Dans ma famille, ce sujet a toujours été tabou à tel point que je ne sais même plus si mes parents me soutiendraient si je venais à tomber en amour pour une fille. Je ne sais même pas si j’arriverais à vivre moi-même avec ça. Mais depuis que je pense à Athénaïs, que mon corps ne vit plus que pour sa présence, ses sourires. Je vibre pour elle et quand je me sens prête à lui dire, je n’ai plus aucune crainte dans mon cœur.

Seulement la crainte qu’elle me dise qu’elle ne ressent rien pour moi et que je la dégoûte. Oh, ça oui, si je lui avoue, ça changera tellement de choses entre nous. C’est vraiment ce qui me tracasse, perdre tout contact avec la jolie blonde. Ne plus pouvoir être à ses côtés. C’est pire encore. Mais je sais que je veux avoir cette possibilité de lui plaire, d’animer en moi cet amour avec plus d’ardeur et de lui transmettre cette flamme pour vivre un amour.

Mais est-ce possible ?

Je la regarde avec attention. Je la scrute et j’espère. Dans cette eau qui me semble si fraiche, je sens mes muscles se détendre au fur et à mesure que je m’approche d’elle. Je suis décidée à me lancer et lui dire ce que je ressens pour elle. Je suis même soulagée que nous soyons enfin seules, l’attente était interminable.

“Tu sais, si tu as envie qu’on reste que toutes les deux, tu peux les faire disposer.”

Oh…

« Je n’osais pas… »  avouais-je à la jeune princesse avant de lui dire que je voulais lui parler. C’était sérieux. Seulement, plus je suis confrontée à la situation, plus je me rends compte que je ne sais pas comment lui formuler ce que je ressens.

Comment le dire ?
Sans la brusquer…
Ce n’est pas facile, je n’avais jamais eu à avouer mes sentiments.
Encore moins à une fille.

« Ce n’est pas facile de le dire comme ça… » avouais-je d’une faible voix.

Cependant, je ne m’attendais pas du tout à ça comme réponse de la part d’Athénaïs. “Que dirais-tu si on organisait une soirée ce soir ? Que des jeunes de notre âge ! Pour faire un peu la fête. On peut faire absolument tout ce qu’on veut, ça nous changera les idées.” Euh…
Je fais une petite moue, sa proposition me perturbe. C’est totalement hors sujet de ce que je voulais lui parler. Je veux qu’on parle, qu’on échange. Je veux pouvoir lui parler.

« Si tu veux, mais je tiens… à te faire part de ce que je ressens vraiment en ce moment. Je n’aurais pas la force d’attendre, encore moins si nous sommes entourées. » Je ris nerveusement rien que d’y penser. Ce n’est pas une chose facile à dire. Je me rapproche d’elle, posant mes mains au niveau de ses mâchoires pour la regarder avec tendresse.

« Je suis contente d’avoir passé cet été avec toi. Deux mois en France, c’est simplement génial. Je me suis rendu compte de certaines choses depuis quelques temps… et je voulais t’en parler. Je tiens à être honnête avec toi… » Doucement mon pouce caresse sa joue.

Je me surprends à désirer ses lèvres, à l’embrasser. Mon corps s’en réchauffe, mon envie de me tenir contre elle est forte.

Je ris à nouveau, je suis nerveuse. « Ce n’est pas facile de dire ça comme ça, des mots c’est fort et rien à la fois. Ce ne sont pas des vrais preuves, ce ne sont que des promesses. » Finalement, c’est mon corps entier qui se rapproche du sien, le frôle et me fait frémir. On se touche malgré nous, à cause de la piscine, à cause du fait que je ne peux me concentrer sur autre chose qu’elle.

Finalement, je me rends compte que ça m’est impossible de formuler des mots précis qui correspondent à ce que je ressens. Alors je décide bêtement de pencher mon visage vers les siens pour que mes lèvres se collent aux siennes.

Je suis transportée au paradis.

Doucement, ma main se glisse derrière sa nuque pour intensifier ce baiser, bien que je n’ose passer la barrière de ses lèvres. Le baiser ne dure pas trop longtemps, puisque j’ai envie de glisser quelques mots : « Je me sens attirée par toi, Athénaïs… »
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() message posté Lun 3 Nov 2014 - 23:20 par Invité


❝Then she said te amo❞
Alix & Athénaïs


    Je l'observais se mouvoir dans l'eau avec élégance, seuls des petits clapotis provoqués par ses mouvements brisaient le silence sous ce soleil de plomb. Le château se trouvait en dehors de Paris comme Versailles, ce genre d'infrastructure ne pouvait trouver sa place que dans un endroit éloigné et calme, loin de la capitale où du terrain restait disponible. Aucun bruit ne venait perturber cette atmosphère de détente, il était facile de s'assoupir pour faire bronzette. Alors que je lui faisais remarquer qu'il lui était possible de faire disposer les servantes, je remarquais sans grande difficulté qu'elle s'apprêtait probablement à me parler de quelque chose d'important.

    « Je n’osais pas… »

    Sa voix était basse mais douce, elle sonnait presque comme une mélodie. Elle était différente de toutes ces filles qu'elle rencontrait à ces soirées mondaines, elle ne l'avait jamais entendu prendre un ton hautain et c'était peut-être pour cette raison que sa compagnie lui plaisant autant. Sa timidité la surprenait quelques fois, elle était une jeune fille sublime et n'avait pas n'importe quels parents. Je me demandais si elle se comportait de la même manière avec moi que lorsqu'elle était avec des amis, j'étais curieuse de connaitre les songes qui l'animaient. Mais il semblait qu'elle était proie à des tourments et ne savait pas comment aborder le sujet.

    « Ce n’est pas facile de le dire comme ça… »

    Les traits de son visage me prouvaient qu'elle disait vrai, la voir dans cet état me perturbait tout autant que cela m'inquiétait. Je gardais en tête l'idée que ma présence l'ennuyait et qu'elle désirait peut-être rentrer chez elle. Je voulais l'aider à rendre la tâche plus facile mais j'ignorais tout de son mal-être. Sans qu'elle n'ai pu continuer, j'avais changé de sujet. Je pensais que se détendre en faisant la fête l'aiderait à mieux gérer ce qu'elle voulait me dire, moi-même je n'avais aucune véritable hâte de savoir surtout que le sujet penchait irrémédiablement vers la mauvaise nouvelle. Ma proposition sembla plus la déboussoler qu'autre chose, je me sentais idiote et carrément maladroite. Ce n'était pourtant pas dans mes habitudes. Quelque chose en elle bousculait celle que j'étais.

    « Si tu veux, mais je tiens… à te faire part de ce que je ressens vraiment en ce moment. Je n’aurais pas la force d’attendre, encore moins si nous sommes entourées. »

    Ce qu'elle ressentait ? Les battements de mon coeur s'intensifiaient sans que je ne sache pourquoi. J'avais essayé de comprendre son éloignement en la questionnant maintes et maintes fois sans réussir à obtenir la moindre réponse, je voulais savoir mais maintenant qu'elle était prête à me révéler la vérité, je n'étais plus si sûre de l'entendre. Elle comptait à mes yeux et je me refusais de la perdre. Suspendue à ses lèvres, je la contemplais en silence. J'avais peur de briser son élan de courage. Tendrement, elle glissa ses mains sur mon visage.

    « Je suis contente d’avoir passé cet été avec toi. Deux mois en France, c’est simplement génial. Je me suis rendu compte de certaines choses depuis quelques temps… et je voulais t’en parler. Je tiens à être honnête avec toi… »

    Plus elle parlait et plus je sentais mon pouls devenir frénétique, je ne supportais pas tout ce suspens. J'étais complètement alerte à ses moindres gestes. Je baissais les yeux, observant son pouce me caresser la joue. Sa tendresse me touchait, je du réprimer l'envie de clore mes paupières pour profiter plus longtemps de sa douceur. Son rire me sortait de ma rêverie, cette caresse m'avait littéralement transportée dans un état second, qu'est-ce qu'il m'arrivait ?

    « Ce n’est pas facile de dire ça comme ça, des mots c’est fort et rien à la fois. Ce ne sont pas des vrais preuves, ce ne sont que des promesses. »

    J'approuvais intérieurement ses dires, les mots pouvaient être tellement beaux mais tellement vite effacés à la fois. Je repensais à mes relations amoureuses, j'avais entendu et donné des promesses mais aujourd'hui, elles semblaient emportées par le temps, oubliées et abandonnées. Je n'étais plus sûre de croire en l'amour, en fait, je n'étais plus sûre de vouloir le vivre. J'étais trop effrayée par l'idée d'être délaissée une nouvelle fois. Le contact de son corps contre le mien me sortit de mes songes, je frissonnais. L'effet qu'elle me produisait me mettait mal à l'aise car ce que je ressentais n'était pas censée se produire. Alixan était juste magnifique, je ne pouvais le nier et sentir sa poitrine se coller contre moi me faisait perdre pied.

    Sa bouche vint à la rencontre de mes lèvres. J'avais le souffle coupé. J'étais submergée par une avalanche d'émotions. Le soulagement de savoir qu'elle ne voulait pas me quitter, la surprise de son baiser, mais surtout que le plaisir qui me traversait. Mes sentiments me paralysaient, tandis que mon corps s'échauffait. J'étais loin de comprendre sa mécanique mais je savais que j'étais attirée par les hommes alors pourquoi je sentais le désir prendre possession de tous mes membres ?

    « Je me sens attirée par toi, Athénaïs… »

    Ses mots résonnaient dans ma tête sans que je ne puisse trouver un mot à répondre. Mais pourtant, je voulais et je devais dire quelque chose ! Je la regardais, ses cheveux blonds encadraient parfaitement son visage, mais c'était sa bouche rosée qui captivait le plus mon attention. Sans réfléchir, je m'approchais et y déposa un baiser puis un autre, et encore un autre plus long cette fois, plus révélateur. Je désirais goûter ses lèvres une nouvelle fois, guidée par le désir. Mes mains sortirent de l'eau pour caresser ses bras avant d'atteindre sa nuque, j'étais proie à un feu intérieur. Les questions me taraudaient l'esprit mais je préférais assouvir la soif qu'elle avait animée.

    Pour la première fois de ma vie, je désirais une femme et je sentais toute mon envie envers elle me submerger entièrement. Je me collais un peu plus à elle, serrant ma prise derrière son dos. J'avais atrocement envie d'elle mais j'hésitais à approfondir cette nouvelle expérience. Je savais m'y prendre avec les hommes, et cette fois-ci je me surpris à vouloir savoir comment satisfaire une femme, Alixan.


© Pando
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() message posté Lun 17 Nov 2014 - 23:48 par Invité
I kissed a girl and I like it.
Athénaïs & Alix.
fiche par ©century sex  

C’était un sentiment que je réprimais depuis quelques jours. Depuis que je me suis rendu compte que mon âme vivait à présent que pour elle. Athénaïs. Son âme est le reflet de la perfection à mes yeux, chaque chose que je peux voir d’elle me plait.

Mon admiration s’est transformée en une sorte … d’amour ?

Mais peut-on vraiment parler d’amour à ce stade ? Je dirais plutôt que je ressens des sentiments profonds pour la jeune femme. Des sentiments qui sont nés de notre amitié, se sont amplifiés avec le temps et ne demande qu’à passer cette étape avec elle.

Alors, la peur submerge malgré moi mon esprit. J’ai peur de lui dire ouvertement ce que je ressens, j’ai peur de ce que l’on va dire si ça venait à se savoir. Le courage que je trouve à enchainer les mots, ce sont ces sentiments dont je ne cesse de répéter avec litanie, qui me donnent la force.

Je nage, je parle en restant plus ou moins évasive. Peut-être qu’en se rapprochant d’elle physiquement, en essayant de lui faire deviner par mon attitude, elle serait préparé à ce que j’allais lui annoncer. Quand je touchais sa peau, enfin, j’avais le désir de la dévorer immédiatement, de ne plus attendre pour glisser mes lèvres sur sa peau.

Mais je ne suis pas comme ça. Et même si c’était réciproque, je me doutais bien qu’elle n’était pas une sauvage. Je me retenais.

Et pourtant, elle semble si belle et réceptive à cette douceur que je pouvais faire passer que purement amicale si ça venait à être trop loin pour elle. Je suis trop proche de ce moment pour flancher. Mon corps se frôle et me voilà au bord de l’explosion : j’ai envie d’elle.

Mes sentiments ne m’aident pas à contenir ses pensées intruses, presque immorales. Alors, ce n’est plus la peine. Je remplace les mots par des actes, des preuves de mes sentiments qui sont sincères. Mes lèvres délivrent à la jeune femme un message remplis de sentiments, de bonnes intentions et surtout d’espoir.

Athénaïs réponds à mon acte. Un baiser, un simple baiser, elle ne me repousse pas. Alors quand je lui dis ce que je ressens, c’est comme si la peur s’en allait de mon corps, que la joie s’emparait de chacun de mes membres. J’avais envie de serrer la princesse dans mes bras mais je n’osais pas : je voulais une réponse.

Mais à l’image de mon acte, elle répondait à ma déclaration par un baiser. Puis un autre, encore et encore. Je répondais à ses lèvres avec une intense fougue. Mon cœur se mettait à accélérer à une allure qui restait encore soutenable mais c’était bien parce que mon corps s’enflammait de désirs pour elle.

Je suis tout bonnement soulagée et j’ai envie de croquer ce bonheur à pleine dent. Et surtout, avec Athénaïs. Si elle répond, c’est que c’est réciproque. Je me sens bien de le savoir, de le ressentir. Je me laisse emporter par les frissons qu’elle me procure sur l’ensemble de mon corps.

Mes mains se glissent sur Athé, d’abord elles se posent sur le ventre de la jeune femme, remontent rapidement à sa poitrine pour en effleurer les pointes. Finalement redescendre pour les glisser dans son dos.

Des sensations intenses. Sensuelles.

Je pousse la jeune femme vers le bord de la piscine, son dos contre la paroi alors que mon corps venait doucement épouser le sien. Nos corps se touchent, se retrouvent et c’est encore plus intense qu’avant. Mes hanches glissent contre son corps, entre ses cuisses que j’écartais doucement en les remontant avec mes mains.

Ma bouche quittait les lèvres de la jeune femme pour embrasser sa mâchoire, sa gorge et la naissance de son buste. Un désir harponnait alors mon âme : il fallait l’assouvir. Je voulais passer au-delà des frontières de cet aveu.

« Athénaïs, laisse-moi rendre mon rêve réalité. Te faire l’amour. Tu as hanté mon esprit durant des jours, j’ai besoin de toi auprès de moi… » suppliais-je la jeune femme alors que je repartais à la conquête de son cou, glissant des baisers brûlants, des caresses encore plus sensuelles sur son corps.

Alors que dans mon élan, je n’entendais pas les bruits de pas se dirigeant vers nous. Il est encore loin, mais il s’approche.
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