"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Flashback - I wanna see you anyway ft Alix  2979874845 Flashback - I wanna see you anyway ft Alix  1973890357
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Flashback - I wanna see you anyway ft Alix

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Theodore A. Rottenford
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 23:14 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Je m’avançais à pas lents dans l’obscurité de la ville. La lune s’emparait peu à peu du ciel sombre, projetant ses lueurs comme des flèches aiguisées et incroyablement brillantes. Je clignai des yeux en sentant la pluie me narguer au goutte à goutte. J’étais incapable de faire la différence entre la lumière aveuglante des réverbères et la giboulée de Février. Les astres se mélangeaient dans le ciel. Plus rien ne m’était familier. C’était un sentiment étrange et contradictoire qui éveillait peu à peu mes sens. J’étais paumé, j’avais le mal de vivre mais ça ne me dérangeait pas de rester stoïque dans la puanteur environnante, l’esprit vagabond et l’air absent. Le vent était porteur de fraicheur et de passion. Mes doigts se crispèrent sur les manches de ma chemise légère avec lassitude.

Le RAMBAR était un petit dépotoir de dépravés et d’ivrognes en tout genre, mais le propriétaire était irlandais et le décor me renvoyait des années auparavant vers les landes verdoyantes et les rues malfamées de Belfast. Une ombre de sourire se traça sur mon visage placide. Je pouvais sentir les vibrations de la musique celtique grouiller sur le sol, et subtilement me chatouiller les talons. Le rythme endiablé battait à l’unisson avec mon cœur fébrile. Je marchais sur la voie lactée, bien au-dessus des chemins étroits que les autres mortels avaient bien pu fouler. Et il me fallait une bouteille de whis-kai pour fêter ça, toute de suite !

Je m’assis au comptoir, non sans lancer un regard aguicheur à quelques demoiselles. Ma langue claque contre mon palais, avide de frénésie et baisers volés. Je me retournai vers le barmaid.

« Liam, un Irish coffee sans crème fouettée. » Lançai-je avec un accent grossier.

Le jeune homme s’exécuta en souriant. Je baissai les yeux afin de triturer mon sous verre en forme de trèfle. Le brouhaha ambiant raisonnait dans mon oreille valide afin de me tirer de ma transe passagère. Les gloussements saccadés perturbaient le court de mes pensées. Etais-ce mon ouïe qui était devenu étonnamment aiguisée, ou le bruit qui était insupportable ? Je clignai des yeux : Un anniversaire, le 14 février. - Ah ! Seigneur ! Donnez-moi la force et le courage de contempler mon cœur et mon corps sans dégoût !

Je bu une première gorgée de ma boisson ambrée. Le gout de l’alcool réchauffait mon estomac après cette averse inattendue. Je fermai les yeux, afin de déguster les saveurs amers du café mélangés aux notes épicées du Whiskey. Je pouvais presque boire mon verre à la pinte, si l’ambiance festive et bruyante n’était pas aussi agaçante. J’étais sourd d’oreille et pourtant je n’arrivais pas à m'en dérober! Je me retournai discrètement.

_ Alix ! Alix ! Alix ! Ses jeunes amies scandaient des messages d’encouragements.

La jeune blonde, bomba le torse en montant sur son piédestal imaginaire. Elle prit la carafe de bière afin de l’engloutir à moitié. Elle avait une sacrée descente pour un aussi petit gabarit. Un sourire malsain se traça sur mon visage tandis que je la fixais du regard.

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() message posté Dim 5 Oct 2014 - 0:47 par Invité
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Théodore & Alix.
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Un budget de £5000. C’est le montant qui est apparu sur mon compte en banque ce matin. Je n’en ai pas cru mes yeux. Quand j’ai vu ça sur mon téléphone, j’ai tout de suite su que j’allais bien m’amuser ce soir. Et je peux vous dire que j’ai béni mes parents pendant que je marchais en direction de l’école.

J’ai harcelé ma mère comme jamais en essayant de lui soutirer des « oui » à toutes mes demandes. Et bien sûr, j’arriverais à mes fins. Je lui disais que je prolongerais certainement ma soirée que je dormirais avec les filles dans un hôtel pour ne pas déranger qui que ce soit mais qu’on restera dans le centre de Londres au cas où. Ensemble, nous ne craignons rien dans les rues.

D’ailleurs, à midi, je complotais avec les filles sur nos projets de soirée. L’une d’elle me proposait de passer la soirée dans un endroit plutôt sordide mais où on serait tranquille. De plus, le propriétaire laisserait boire quelques bières à celles qui n’ont pas encore leurs 18 ans. Ce qui m’arrange, je ne voudrais pas que certaines s’ennuient ! Qu’est-ce qu’on penserait de moi ?

Juste avant de commencer la soirée avec elle, j’ai fait une halte avec Anna et Kendrick dans un magasin. J’y avais vu une belle robe mais je n’avais pas les moyens. Je peux bien utiliser un peu de mon budget pour me faire plaisir après tout.

Simplement divine…
Incroyable…
Une véritable princesse !

Tous ces adjectifs me parviennent quand j’entre dans ce pub. Elles ont déjà tout préparé, le propriétaire serait en train de préparer le gâteau. Un gâteau comme je les aime, moi sportive qui fait trop attention : que du fruit et le reste peu calorique. Je suis aux anges.

La soirée est plus que grandiose. Je commande peut-être plus de whisky que je ne pourrais en boire en temps normal mais j’ai envie de m’amuser. Nous rigolons et nous parlons de tout et de rien. Nous en avons l’habitude de faire souvent mais ce soir, c’est dans les meilleures conditions.

C’est alors que l’attention des filles se pose sur un homme. Mon regard les suit directement, et il est là. Grand, imposant, bien plus âgé que moi mais je m’en moque. Elles parlent de lui, fantasment mais ce sont des paroles en l’air. Il est si séduisant. Son visage me dit quelque chose mais qui sait ? Nous sommes si nombreux à Londres.

Je regarde les filles, un large sourire amusé. « Je suis désolé les filles, mais il est chasse gardée. » Peu furent déçues mais surtout excitées par le fait que je me lève pour m’approcher en direction de l’homme. Elles scandent mon prénom, je me sens gênée pendant l’espace de quelques secondes quand je m’assois à ses côtés pour commander un verre.

Mon regard scrute avec plus d’attention cet homme mais, discrètement. Quand je termine mon verre sous ses yeux, je capte son regard. Mon corps entier a une réaction si… soudaine. Bon sang, c’est un beau cadeau d’anniversaire. J’esquisse un sourire.

« Je m’appelle Alix. Et vous… » Je me tourne légèrement vers lui. La pointe de mes escarpins caressait doucement la cheville du trentenaire… « vous êtes le plus beau cadeau d’anniversaire que je pourrais avoir de ma vie. » Je fais glisser doucement le bord de mon verre sur mes lèvres avant de le reposer et d’inviter le barman à m’en resservir un autre.

Honnêtement, j’apprécie l’attention des filles ce soir. Mais j’ai comme une envie de changer mes plans. Je retire mon pied, je ne suis pas très démonstrative. Je voulais seulement lui exprimer … l’envie de le connaitre d’avantage. Oh non, ne pensez pas que je tombe amoureuse. Il n’est pas… du moins, je n’en ai pas envie de ces choses-là.

Il me semble surtout, plus intéressant qu’on ne le croit. Le barman s’éloigne après m’avoir resservir, mon doigt fait lentement le tour du verre. « Seriez-vous tenter de combler l’âme d’une femme ce soir, … ? » Un temps de pause parce que je parlais tellement que j’en oublie de lui demander son prénom. Autant en avoir un quand il me donnera son numéro.

Et je compte bien l’obtenir.
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Theodore A. Rottenford
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() message posté Dim 5 Oct 2014 - 2:15 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Une ivresse efface mille tristesses . Mais mon cœur était meurtri, et l’alcool chatouillait à peine mon esprit. Mon souffle chaud se perdait sur le rebord de mon verre avant de s'évanouir à la surface du liquide ambré. Je souris d’un air contenu avant de siroter ma boisson typique des casernes irlandaises. C’était un sentiment étrange de me languir d’une patrie que j’avais fuis comme la peste. J’embrassais ma solitude grisante en me plongeant dans un univers d’alcool et de ténèbres. Liam me servit quelques shots de Tequila. J’enchainai les divagations et les verres, bercés par les cris et les mélodies de mon enfance. La lumière se dérobait sous mon regard gris, sombre presque noir. La jeune blonde, Alix, s’approcha de mon siège à pas de velours. Je la fixais amusé par l’extravagance de sa tenue, et l’espièglerie de son langage. Elle devait être jeune et insouciante. J’étais sombre et mesquin. Elle se pencha suavement vers moi. Le bout de ses escarpins frôlait mes chevilles nues. Je lui lançai un regard dubitative.

_ Je m’appelle Alix. Et vous…

Je pris de la hauteur en me redressant sur mon siège.

« Je pense que la planète toute entière a compris que vous vous appeliez Alix. » Claquai-je froidement. Ses amies continuaient à s’exciter à l’arrière du bar, troublant mes efforts de concentration. Les voix fluettes, mélangées à la musique de fond, bourdonnaient au fond de mon tympan percé. J’arquai un sourcil, irrité. Ma tête se pencha par réflexe du côté gauche.
Je fis signe au barmaid de me resservir. J’avalai mon fond de whisky d’une traite.

_ Vous êtes le plus beau cadeau d’anniversaire que je pourrais avoir de ma vie.

« Encore faudrait-il que je m’offre à vous. » Lançai-je, tout à coup, aguicheur. Son tempérament confiant me plaisait bien. Je me mordis la lèvre inférieure en frôlant son bras.
La jeune blonde porta lentement son verre jusqu’à sa bouche. Je regardais les mouvements de sa gorge, envouté par sa grâce naturelle. Elle dégageait une odeur de soupline à la lavande et d’eau de parfum hors de prix. Je m’accoudais au comptoir afin de lui donner toute mon attention.

_ Seriez-vous tenter de combler l’âme d’une femme ce soir, … ?

Je ris d’un air mauvais.

« Et vous ? Êtes-vous prêtes à être comblée ? »

Je lui lançai un regard séducteur avant de tanguer en sa direction. Mon corps balançait, emporté par les incantations de mon démon intérieur : Ce soir, c'était la fête!

« Je promets d’être à la hauteur de vos attentes. » Chuchotai-je en ramenant une mèche de cheveux derrière son oreille. « Mais avant ça, il faudra dire à vos idiotes de petites amies de quitter les lieux. »

Je lançai un regard en biais à une jeune fille sans formes ni courbes. Son visage enfantin croisa le mien pendant une fraction de secondes avant se fermer : Bingo! Une mineure. Je me levai en serrant la mâchoire afin de contourner la silhouette délicieuse d’Alix. Je fis glisser discrètement mes menottes autour de son poignet droit.

« Qui est mineur ici ? » Scandai-je en montrant ma plaque. Je me retournai, vers ma jeune amie. « Vous avez invité des gamines dans un bar malfamé de Westminter ? Dénoncez-les, et je ne vous inculpe pas avec le reste. Ce serait du gâchis – le jour de votre anniversaire. »

Je lui fis un clin d’œil complice.
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() message posté Dim 5 Oct 2014 - 14:32 par Invité
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« Je pense que la planète toute entière a compris que vous vous appeliez Alix. » Et là, c’est le drame. Ou pour dire, une délicate peur s’immisce en moi. Je ne veux pas me prendre un vent par cet homme à cause des filles qui sont trop bruyantes pour m’assurer un moment d’intimité avec lui pour… avoir son numéro.

Cependant, rien ne peut me déstabiliser pour l’instant. Je suis sûre d’avoir assez de maturité pour lui montrer que ce n’est pas une enfant en face de lui. Je ne perdrais pas la face, je persévère dans ma quête.

Et quand ça paie…

« Encore faudrait-il que je m’offre à vous. » Ce n’est pas les mots en soi que je retiens mais le ton, le regard, son attitude qui sont tout bonnement … parfaites ! J’en ressens un langoureux frisson qui part de mon bas-ventre jusqu’à froideur de mon buste quand il me frôle.

« J’en ai l’intuition. »

Mon regard s’ancre dans le sien.

Il est divin…
Parfait.

J’apprécie de capter son attention, que les filles ne soient plus qu’un bourdonnement négligeable. J’aimais ressentir ce jeu auquel je voulais qu’il m’initie. Car il ne se doute pas que je suis capable de jouer loin…

« Et vous ? Êtes-vous prêtes à être comblée ? »

A-t-il au moins conscience de ces mots sur moi ? A-t-il la moindre idée de mon imagination débordante ? De mon appétit qu’a mon égo quand il me dit ça ? Je n’en suis pas vraiment sûre. Je le jauge en le dévorant continuellement de mon regard, ma lèvre inférieure mordue par un léger pincement de mes dents.

« Je suis prête depuis que vous avez franchi cette porte. » annonçais-je avec assureur à mon nouvel « ami ». Il se rapproche de moi, mon regard suivant la progression. Je me penche à mon tour. Mon cœur accélère son rythme à nouveau.

« Je promets d’être à la hauteur de vos attentes. » J’ai envie de m’évanouir. Il est tellement sûr de lui, il a du charme. Je me laisse séduire. « Mais avant ça, il faudra dire à vos idiotes de petites amies de quitter les lieux. » J’ai l’impression de perdre un peu de stabilité pour le coup.

« Elles ne font que s’amuser et admirer… Ce n’est rien. » dis-je pour les défendre. Après tout, je n’ai pas envie de gâcher ma soirée. Et d’avoir une mauvaise réputation de jeune fille arrêtée par les flics, même si bon… être la fille de l’ambassadeur français me procurait une certaine… immunité diplomatique.

J’ai suivi son regard, j’ai suivi la situation et ce regard. Les filles sont si fragiles, si peu sûre d’elles, en face de cet inconnu charismatique. Il a compris une chose, mais laquelle ? On est tellement de vilaines filles. Pfuu pfuu…

Je sens la froideur du métal entouré mon poignet. Oh, il est comme ça lui ? En public ? Mes ardeurs tombent bas quand je l’entends scander dans le pub : « Qui est mineur ici ? ». Les filles s’agitent et moi je ris légèrement en écoutant cette voix dans ma tête…

« Je veux bien être mineure pour toi ».

Il se tourne vers moi, et je prends mon air de … pauvre demoiselle dont on a coupé les ailes, une innocente demoiselle. Je suis une très bonne comédienne, vous savez…

« Vous avez invité des gamines dans un bar malfamé de Westminter ? Dénoncez-les, et je ne vous inculpe pas avec le reste. Ce serait du gâchis – le jour de votre anniversaire. » me questionnait-il de façon… coquine ? J’ai l’impression de jouer un jeu de rôle coquin. C’est assez amusant. Bien que ce soit encore plus réel. Et cette plaque… Bon dieu. On ne peut pas dire qu’on ait misé sur le bon cheval sur ce point-là….

Je regarde mes amies, surtout Anna dont par une de ses phrases télépathiques, je lui faisais comprendre que j’allais m’occuper de lui. Du bout des lèvres, je lui indique de prendre les clefs de l’hôtel qui sont dans mon sac alors que je reporte mon attention sur le bel inconnu : « Hm, Monsieur. Ce n’est pas très poli de ne pas vous présenter. Je tiens à dire que la plupart de ces femmes sont majeures et qu’elles se portent garant des demoiselles mineures. C’est une fête des plus légales donné entre amies, et… »

Je tire un peu sur les menottes pour le tirer un peu plus vers moi, et surtout, plus à dos des autres filles. Je tends même à pencher mon buste pour qu’il puisse scruter cette chaire tendre sur mon buste bien qu’elle ne soit pas si proéminente comparé à certaines femmes… « Je ne pense pas que vous aillez envie d’arrêter des demoiselles sous la protection de l’Ambassadeur français qui n’est autre que le père de l’une d’entre nous. »

Pendant ce temps-là, les filles ont filés avec le gâteau en direction de l’hôtel. Elles avaient arrêtés de rire et sont discrètement sortie du pub. Après tout, je ne savais pas trop s’il était sérieux ou non. Bien que ce regard complice en disait long sur la suite des évènements. Ma main prisonnière tend à se rebeller pour approcher le possible policier. Je déboutonne un bouton de sa chemise pour laisser mes doigts manucurés raclés sans blesser la peau du bel âtre.

Ce n’est pas de l’affection, mais une provocation.

Mon regard se fait encore plus lourd de sous-entendus. « Et bien, vous n’aviez pas promis de me combler en l’absence de mes amies ? » Oui, j’avouais leur départ mais ça ne me dérangeait pas la moindre du monde. Elles savent que je suis en de très bonnes mains.
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() message posté Lun 6 Oct 2014 - 1:53 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Son sourire lumineux me renvoyait des années en arrière, vers mes souvenirs d’espièglerie et d’insouciance. Je sentis ma main frémir au contact de sa chevelure bouclée comme si une caresse inappropriée pouvait me briser les os. Pour une raison qui me dépassait, mon instinct repoussait cette magnifique créature. Je clignai des yeux en me penchant lentement vers son visage arrogant.

_ J’ai ai l’intuition.

Ses mots raisonnaient en moi comme une prière divine. Je frôlai son bras une seconde fois, avant de me redresser en silence. J’étais en léthargie, transporté par le mouvement suave de ses lèvres brillantes. Je déglutis avant de succomber à l’appel de mon démon intérieur. Ce désir ardent brûlait dans mon cœur comme un incendie ravageur. J’étais si petit joueur quand il s’agissait des plaisirs de la chair.

_ Je suis prête depuis que vous avez franchi cette porte.

Une ombre ténébreuse se traça sur mon visage malsain. Je sentis ma langue claquer contre mon palais, excitée par la frénésie de la chasse. Mes doigts se crispèrent lentement sur le rebord du comptoir et je lui adressai un regard inquisiteur.

« Une femme n’est jamais prête à frôler le septième ciel. » Claquai-je plein d’insolence. « Personne n’est jamais prêt. »Je me mordis la lèvre inférieure à mon tour. Ma voix était calme et soutenue, parfois marquée par les souffles de ma folie perverse.

Je scrutai les lieux du regard, et je remarquais que plusieurs de ses invités n'avaient pas l’âge légal de boire de l’alcool en public. Ce n’était le concept en lui-même qui me dérangeait, mais les gloussements incessants et les bourdonnements qui malmenaient mon tympan gauche. Je fis volte-face, agacé.

_ Elles ne font que s’amuser et admirer… Ce n’est rien.

Je ne lui répondis pas tout de suite, préférant jouer de mes charmes autrement. Le métal froid touchait son poignet avant de titiller mes doigts refermés. Alix se redressa afin de réduire la distance qui nous séparait. Sa voix fluette me percutait comme un rayon de soleil. Elle avait toute mon attention et je n’y pouvais rien.

_ Hm, Monsieur. Ce n’est pas très poli de ne pas vous présenter. Je tiens à dire que la plupart de ces femmes sont majeures et qu’elles se portent garant des demoiselles mineures. C’est une fête des plus légales donné entre amies, et…

Elle marqua un léger silence avant de tirer sur les menottes. Je sentis son souffle chaud chatouiller mon menton et ma barbe naissante. Mon regard ombreux se posa sur son buste, puis sur la naissance de sa poitrine : C'était une sorcière !

_ Je ne pense pas que vous aillez envie d’arrêter des demoiselles sous la protection de l’Ambassadeur français qui n’est autre que le père de l’une d’entre nous.

J’écarquillai les yeux, animé par une pulsion de folie soudaine. Je tendis les bras, paumes en avant afin de soutenir ses épaules. Elle était si petite mais incroyablement musclée. Son corps suivait chacun de mes mouvements, comme s'il avait été façonné pour se plier à ma volonté.

« Je suppose que la fille de l’Ambassadeur français n’est autre que vous _ Alix. » Répliquai-je avec calme déroutant. « Vous faites la maligne, tandis que vos camarades filent par derrière mon dos. »

Je souris d’un air coquin.

« Je ne voulais garder que vous, de toute façon. » Chuchotai-je en effleurant son oreille. « Je mange les ambassadeurs tout cru. Je suis l’adjoint du commissaire de police de Grand London. »

Mon visage s’étira afin d’exprimer la profondeur de mes vices. J’étais toujours suspendu à ses lèvres humides. Elle jouait avec le feu en titillant ma virilité. La jeune femme fit glisser un doigt vers le haut de ma chemise afin de dévoiler ma peau albâtre. J’emprisonnai sa main dans un réflexe de défense, en fronçant les sourcils.

_ Et bien, vous n’aviez pas promis de me combler en l’absence de mes amies ?

« Je dicte les règles. » Sifflai-je en la poussant jusqu’au comptoir. Mon corps se plaqua contre le sien. « Je choisirais quand vous aurez le droit de me toucher. »

Ma langue lapa sa joue empourprée dans un mouvement érotique. Je me détachai afin de reprendre ma place. Je l’assis de force à ma droite avant de fermer la deuxième menotte sur le pilier de mon tabouret, entre mes deux jambes.

« En attendant vous êtes ma prisonnière. Je vous laisse admirer la bête. »

Je pris un nouveau shot.

« Je vous comblerez peut-être après quelques verres. »
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() message posté Sam 11 Oct 2014 - 10:56 par Invité
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Mon assurance encore présente, je me sens défaillir quand il me dit ouvertement que je ne serais jamais prête au septième ciel. Mais je me reprends quelques secondes quand il englobe tout le monde. Il n’est pas si machiste que ça. Je joue avec lui et ça m’amuse grandement…

Le plus grand moment fut quand même lorsque les filles disparurent quand j’essayais de les défendre. Je sentais son regard sur moi et me sentais bien heureuse qu’il apprécie le spectacle. Je ne m’offre pas souvent à un homme mais il mérite bien des attentions.

Et puis, c’est mon anniversaire, j’ai le droit de me faire plaisir !

« Je suppose que la fille de l’Ambassadeur français n’est autre que vous _ Alix. » Je souris mais en même temps, je fais celle qui est surprise. Il n’est pas bête. Il va falloir que je fasse attention à mon petit jeu. « Vous faites la maligne, tandis que vos camarades filent par derrière mon dos. » Je ris et évade mon regard en regardant autre part que ses yeux de lion. Il faut dire qu’il me fait beaucoup d’effets…

« Je ne voulais garder que vous, de toute façon. » Je repose mon regard soudainement sur lui, yeux dans les yeux. Je me montre charmée, je le suis réellement. Savoir qu’un homme a décidé de me vouloir, c’est agréable. Un homme comme lui, qui plus est. « Je mange les ambassadeurs tout cru. Je suis l’adjoint du commissaire de police de Grand London. »

« Je préfère que ce soit moi que vous mangez cru. » dis-je d’une voix clairement douce pour cacher mon envie des plus… joueuses de le séduire. Parce que je prévoyais des choses bien plus intéressantes pour lui et moi. Je voulais le provoquer un peu pour voir comment il réagirait.

Je manque de faire un infarctus…

« Je dicte les règles. » Mon regard s’assombrit alors qu’il me traine jusqu’au comptoir du bar. Il a beau plaqué son corps d’Apollon contre le mien, mon regard reste toujours aussi hautain. « Je choisirais quand vous aurez le droit de me toucher. » Une petite moue se joue sur ma bouche. Déçue ? Un peu. J’ai tellement l’habitude de dominer les gens…

Pour une fois, je suis le jouet.
Ça change.

Il a ce côté animal qui m’amuse. Sa langue… J’aurais aimé être assez grande pour m’en saisir afin d’entamer un baiser, connaitre le goût de ses lèvres, de sa bouche entière. Au lieu de ça, je me retrouve enchainée sur son siège, la main entre ses cuisses…

«  En attendant vous êtes ma prisonnière. Je vous laisse admirer la bête. » Je ris automatiquement, c’est plus fort que moi.

« Que vous êtes prétentieux. » Et s’ajoutait à mes mots, un sourire des plus sournois accompagné par mon attitude toujours aussi … remplis d’une bourgeoisie abusive. Cet homme est vraiment spécial mais… je ne vais pas m’arrêter à ça.

« Je vous comblerais peut-être après quelques verres. » Là, par contre, je suis un peu vexée. Comme toutes les femmes qui ont un minimum de répartie et de confiance en elle, j’ai tendance à vouloir lui montrer que je ne suis pas n’importe qui, et lui non plus.

« On dit souvent que ce sont les personnes qui parlent trop qui en font le moins, finalement. Vous avez donc besoin de boire pour vous donner un peu de courage ? C’est parce que vous n’assumez pas une certaine … homosexualité ? Que c’est amusant. » Avec mon autre bras, je pose mon coude sur le comptoir en regardant le policier, le visage dans ma main.

Je me rendais compte aussi que je ne savais toujours pas comment il s’appelait. Et j’aimais avoir un nom sur les visages des personnes que je fréquentais. « Dites-moi, vous vous appelez comment, Monsieur le policier qui mange les ambassadeurs tout crus ? Ce serait plutôt agréable de mettre un nom sur cette ‘bête’. » Je ne me moques pas mais… je le cherche un peu.

Je me lance même dans un jeu du « Regardes-moi, je t’observe ». Je veux son attention. Je reste penchée vers lui pour lui rappeler ce qui l’attend s’il se dépêchait un petit peu. J’aimerais bien connaitre ce qu’il m’a promis. Je sens que l’attente va diminuer en moi un désir malsain…

D’un signe de la main, je demande au serveur de s’approcher. Je lui commande un shot de tequila pour me faire plaisir. Je sentais que le moment entre ce verre et de me faire combler, il risquerait d’avoir un certain temps. Autant combler l’attente…

« Lalalala… » marmonnais-je en jouant avec le shot de tequila à présent vide. Je glissais joyeusement ma langue à l’intérieur du verre. Je le pose violemment sur le comptoir pour commander à nouveau une petite dose…

C’est alors que je me souviens que j’ai des pieds. Doucement, je fais tomber ma chaussure sur le sol et grâce à ma souplesse d’athlète, je pose mon petit pied sur la cuisse large et très musclé du policier. Wow, c’est dur dis donc, je ne voudrais pas me prendre un coup de pied de sa part…

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() message posté Sam 11 Oct 2014 - 21:38 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Alix était vaniteuse et arrogante à souhaits. Et il fallait avouer que son petit caractère capricieux rajoutait un certain charme à la jeune femme. Je lui lançai un regard en biais, sans trop dévoiler le fond de ma pensée. Dans une pareille situation, je préfèrais jouer un peu avant de me laisser complètement charmer. Je détaillai les courbes féminines de son corps, tout en me consumant dans mon obsession ardente pour le sex. Elle n’avait pas idée du genre de pensées malsaines qui me trottaient dans la tête à chaque fois que j’avais le malheur de croiser son regard pétillant. Je déglutis en inclinant la tête du côté gauche afin de mieux me concentrer sur ses paroles. Mon oreille sourde bourdonna avant de s’éteindre à tout jamais.

_ Je préfère que ce soit moi que vous mangez cru.

Je souris d’un air carnassier. Il ne fallait pas trop s’aventurer à me lancer des propos aussi aguicheurs Je me penchai doucement vers elle, afin de réduire à néant tous les obstacles physiques qui nous séparaient.

« Il faudrait que je te fasses mijoter un peu plus, Mlle. » Chuchotai-je, avant de me dégager avec éloquence.

Je la coinçai à son siège avant de me détourner de son attention. Elle avait  une petite emprise sur moi – c’était étrange de ressentir ce genre d’attraction malsaine pour quelqu’un de si peu menu. Alix fit la moue, et je souris à moitié.

_ Que vous êtes prétentieux.

« Que vous êtes chieuse. » Raillai-je.

Elle avait cette manie de commenter chacune de mes répliques. Ne pouvait-elle pas juste se taire et me laisser faire ? Je fis signe au barmaid de me servir une autre spécialité irlandaise.  Je bu quelques lampées de whisky sans me dérober de la réalité. D’habitude je laissais mes sens s’exalter par l’ivresse, mais ce soir ma compagnie semblait plus amusante.

_ On dit souvent que ce sont les personnes qui parlent trop qui en font le moins, finalement. Vous avez donc besoin de boire pour vous donner un peu de courage ? C’est parce que vous n’assumez pas une certaine … homosexualité ? Que c’est amusant.

Un rire sonore m’échappa ; décidément elle ne manquait pas d’airs. Je me mordis la lèvre inférieure de façon érotique. Mon regard perçant se posa sur sa poitrine peu imposante et le dessin parfait de ses clavicules.

« Si j’ai besoin de courage, c’est pour mieux supporter le grincement de votre voix fluette. »

Elle me fixa d’un air perplexe ; J’avais du mal à traduire l’expression de son visage pâle. Elle avait la capacité de tromper mon œil expert.

_ Dites-moi, vous vous appelez comment, Monsieur le policier qui mange les ambassadeurs tout crus ? Ce serait plutôt agréable de mettre un nom sur cette ‘bête’.

Je me redressai dans mon siège, les jambes toujours écartées autour de son poignet menotté.

« Vous le saurez Alix. Vous le saurez en temps voulu …   » Ma voix se faisait lointaine. Je passai mon pouce sur ses cuisses dénudées, sans la quitter des yeux. « Vous avez la peau douce. » M’amusai-je, avant de reprendre mon sérieux.« Comment comptez-vous payer votre caution ? » Chuchotai-je sur le ton de la confidence.

Elle fit signe au serveur à son tour. Je la vis avaler un shot de Téquila avec engouement. J’aimais bien les filles enjouées d’ordinaire, mais je la voulais complètement en éveil ce soir. Je glissai la main fin de la stopper dans ses élans.

_ Lalalala…   Marmonna-t-elle  en glissant sa langue dans le verre vide. J’eus un frisson. Je voulais tellement l’empoigner afin de l’embrasser à pleine bouche.

Comme si elle avait entendu ma prière muette, elle glissa son pied nu sur ma cuisse. Je la sentis faire des va et vient contre le tissu de mon jeans. Je me redressai brusquement en serrant ma prise sur l’acier des menottes qui la tenait captive de mon tabouret. Mon regard fut traversé d’un éclat bestial.

« Je t’ai dis de ne pas me toucher sans permission jeune fille. » Grinçai-je en la tutoyant tout à coup. « Je n’aime pas l’insubordination. Une aussi jolie petite chose devrait apprendre à être obéissante. »

Il était clair dans mon esprit qu’elle ne respectait ni mon statut, ni mon intonation autoritaire. C’était le propre des gosses de riches de se rebeller et je n’aimais pas ça. Je voulais dompter le fauve qui sommeillait en elle. Je voulais la tenir en haleine et la faire ployer avant de la prendre en plein envol. Je lui redonnai sa liberté pendant quelques instants, avant de plaquer sa petite main contre mon entre jambe. Je soupirai.

« Je ne veux pas que tu sois impatiente. »

Mes doigts se crispèrent autour de sa mâchoire. Je fendis l’air afin de rencontrer voracement sa bouche pulpeuse.

« Ne sois pas impatiente. » Répétai-je en me repositionnant au comptoir. Je remis les menottes dans ma poche. « Tu peux demander de la glace pour soulager ton poignet, mais pas d’alcool. »

Je bus finis d’achever mon verre en silence.
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 0:10 par Invité
I wanna see you anyway
Théodore & Alix.
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Je veux qu’il me dévore. Mais la seule chose qu’il me répond, c’est qu’il désire me laisser mijoter dans mes désirs, mes envies, mes fantasmes sur la suite de notre rencontre. Mon esprit est tourmenté par ce qu’il me fait miroiter sans avoir besoin de m’en parler ouvertement.  Ce que je suis incapable de supporter car j’aime avoir tout et tout de suite.

En plus, j’ai du mal à patienter. Ce n’est pas mon fort. Et aussi à cause de ma maladie, je ne tiens pas en place. J’ai envie de bouger, de faire quelque chose de mon corps car mon énergie s’accumule de trop. Il me trouvait chieuse mais il n’est pas au bout de ses peines. Je suis une femme pleine de ressources, jeune ET prometteuse.

Autant qu’il me promettait le Nirvana. Il a tellement de personnalité, j’aime ça. Ses expressions me font frémir entièrement. Quand son regard transperce mon corps, que sa bouche se joue de façon érotique, j’ai envie de me jeter sur lui. Il a de la chance que je suis une femme qui a de l’élégance et qui a envie qu’on la désire un peu.

En effet, il me regarde.
Mais j’ai envie de plus que ça.

Je veux qu’il se jette sur moi le moment venu. Et cela même si ma voix peut l’agacer, je n’en ai rien à faire. Il doit faire l’amour à tout mon corps, à tout mon être. Pas seulement les quelques détails. Alors à mon tour, je tente de jouer.

Il est fort. Puissant, ça se sent.

C’est un flux électrique qui traverse mon corps en partant de ma cuisse. Rien que sa main enflamme mon désir. J’ai envie de le détester. Il me torture et j’en suis sûre que de me dire que j’ai la peau douce est une manière de calmer mes ardeurs tout en me séduisant. Il s’inquiète de la façon dont je paierais. Au fond, j’ai bien mon idée.

A haute voix, c’est plutôt… « J’ai les moyens financiers pour cela. » Mais quand je me penche vers lui, que je suis assurée que seul lui entende mes mots. Je ne me gêne pas pour me montrer encore plus… aguicheuse. « Mais j’ai un autre moyen plus… agréable pour régler cette affaire, Monsieur le policier… » Ma langue lape doucement ma lèvre inférieure alors que je me redressais.

Il a un geste que je ne comprends pas. Que veut-il ? Je n’en sais rien et je m’en moque. Je joue moi aussi. Ma langue jouait avec ce verre comme je pourrais jouer avec lui. Toute façon, je refuse de rien faire pendant qu’il boit. J’ai besoin de sentir mes muscles continuellement en action. Mes jambes sont douées pour remplir cette mission.

Mais je suis surprise par ce dominateur. Pas touche ? Quel homme frustrant. Je bouillonne, c’est horrible. Je claque ma langue contre mon palais quand il me signifie mon insolence. « Je suis au summum de ma politesse avec vous. Estimez-vous heureux. » Un petit sourire en guise de finalité….

Avant d’être libérée de ma chaine. Je vais pour me rassoir droite comme un « i », qu’il se saisit de mon poignet et… Je reste bouche bée de ce qu’il me fait « palper ». C’est… électrisant. Je presse encore plus ma main sur son entrejambe. Je veux sentir les formes entre mes doigts. Je lui avouais… ouvertement ce que je pensais.

« Je suis hyperactive, la patience n’a jamais été mon fort, monsieur le policier. » Mais ce qui m’énerve, c’est qu’il me considère comme une enfant. Je suis sûrement plus jeune que lui, ça ne fait aucun doute. Seulement je suis majeur depuis aujourd’hui et j’ai envie de jouir de ce nouveau pouvoir.

Après tant d’attente, je n’aurais pas cru ressentir. Ses lèvres. C’est… Mon corps cesse de fonctionner durant plusieurs secondes. C’est divin. Le goût humide de l’alcool, la chaleur de ses lèvres. Tout est bonnement divin. Je ne pourrais même pas dire si la note parfaite était suffisante. Comment veut-il que je reste sur place après ça ?!

« Je pense vouloir vous détester. Je vais essayer, du moins… » Je veux encore goûter… Même si ce n’est que pour me calmer qu’il a fait ça – et j’en suis sûre. Il obtient l’effet inverse. Je veux qu’il recommence. Je veux mourir.

Je quitte finalement ma chaise. « Et bien, « Papa » , je vais aller voir si je peux m’occuper l’esprit pendant que tu finis de picoler. J’ai besoin de mouvements, j’en peux plus. Je désespère totalement… » C’est vrai. S’il avait vraiment envie de moi, pourquoi me fait-il patienter ?

Je sors mon ipod pour trouver LA musique sur laquelle danser pendant qu’il se décide à me kidnapper. D’ailleurs, je ne sais même pas où nous irions. L’idée de la voiture m’amuse, mais nous pourrions passer la nuit entière chez lui – certainement pas chez moi. Je ne pense pas que les cris que je puisse offrir plaisent à ma famille.

« Hmm…. Hmmm… » marmonnais-je mélodieusement pendant que je tapotais sur l’écran.

Je trouve enfin une musique sensuelle et électrique. Je branche les écouteurs pour que ce soit seulement moi qui entende le son. Papy pourrait être gêné vu que ma voix le gêne. Je me lance dans quelques mouvements de hanches sensuels pour le policier. Je m’éloigne un peu, histoire qu’il ne me jette pas sur ma chaise. Mes yeux ne se ferment pas, ils sont fixés sur lui.

Moi aussi, je sais jouer…
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Theodore A. Rottenford
Theodore A. Rottenford
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 2:29 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Je savais que j’avais une certaine emprise sur elle. Ses yeux lumineux trahissaient son désir ardent et son impatience. Cette fille était malsaine et merveilleuse. J’étais captivé par chacun de ses gestes sensuels ; sa façon de glisser les pieds sur mon intimité, ou la manière subtile qu’elle avait de laper le bout de ses lèvres pulpeuses. J’étais en suspens, perdu quelque part dans les méandres de mon âme perverse. En cet instant précis, j’étais sûr qu’il n’y avait personne au monde que je désirais autant qu’Alix. Je voulais toucher son corps athlétique et siroter le chocolat chaud dégoulinant sur sa peau albâtre. Elle me promettait un bout de paradis en cillant des yeux avec autant de subtilité.

Chaque contact était une décharge électrique. Mes doigts se consumaient en effleurant sa cuisse ou le bas de son ventre. Je me mordis la lèvre inférieure tandis qu’elle se penchait à mon niveau telle une féline. Mon cœur eut un raté.

_ J’ai les moyens financiers pour cela. Lança-t-elle à voix haute avant de murmurer avec plus discrétion. _ Mais j’ai un autre moyen plus… agréable pour régler cette affaire, Monsieur le policier…

Je souris d’un air prédateur. J’aimais l’intonation de sa voix lorsqu’elle m’appelait Monsieur. Ce titre excitait ma libido de manière étrange. Je voulais la prendre tout de suite, sur ce tabouret instable, et dans cet endroit miteux. A la sauvage, abstraction faite des caresses et des préliminaires pompeux. Mon entre-jambe ployait avant de balancer, comme hypnotisé par son regard d’enchanteresse. Elle était le fakir et j’étais le serpent à sonnette. Je soupirai.

_ Je suis au summum de ma politesse avec vous. Estimez-vous heureux.

« Mais je suis heureux. J’ai juste une façon différente de le montrer. » Raillai-je, en désignant mon érection impressionnante. Cette fois sans que cela n’implique de contact ou de palpation de sa part.

Je lui demandais d’être patiente mais je suppose que c’était trop pour elle.

_ Je suis hyperactive, la patience n’a jamais été mon fort, monsieur le policier.

Elle recommençait avec ses Monsieur. Je me sentais défaillir à nouveau. Je m’approchai d'elle afin de l'empoigner par la taille. Mon regard gris sombre, presque noir se planta sur ses lèvres.

« Appelle moi encore, Monsieur. » Murmurai-je en mordillant le coin de sa bouche. Je l’embrassai goulument, mais cette fois mon étreinte était plus langoureuse. J’avais des papillons dans le ventre et partout à ailleurs.

_ Je pense vouloir vous détester. Je vais essayer, du moins.

Je ris à gorge déployée.

« Il n’a jamais été question de m’aimer, il me semble.   »  Je retins mon souffle avant de l’embrasser à nouveau. Mes mains serraient ses bras avant de fixer ses poignets dans son dos. « Je n’aime vraiment pas que tu bouges, Alix. » M’amusai-je en faisant perdurer notre jeu de séduction.

Elle se déroba de ma prise avant de s’éloigner dans la pénombre du bar.

_ Et bien, « Papa » , je vais aller voir si je peux m’occuper l’esprit pendant que tu finis de picoler. J’ai besoin de mouvements, j’en peux plus. Je désespère totalement… Lança-t-elle d’un ton enjoué.

Je la vis sortir son ipad et danser au gré d’une musique muette. Elle était complètement déphasée avec les sons celtes qui raisonnaient dans l’endroit. C’était ridicule, mais aussi adorable. J’eus un rictus en la rejoignant. Je m’avançai à pas de velours afin de me poster dans son dos. Mon intimité se frottait contre ses fesses dans une valse grossière. J’étais très mauvais à ce jeu là, mais j’avais mon charme pour la dominer autrement. Je la fis pivoter avant de la prendre dans mes bras.

« Payes ta caution à Mnsieur. » Susurrai-je en la tirant vers la sortie. Je la plaquai contre le mur afin d’encadrer son visage angélique. « Montres moi comment tu bouges, pile électrique. »

Je m’amusais à titiller ses centres érotiques en passant mes mains partout sous sa petite robe. Ma langue endiablée retraçait les dessins saillants de ses os : sa mâchoire, son menton, ses clavicules … J’étais en extase devant ce corps. Tandis qu’elle était immobile entre mes griffes acérées.
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 3:18 par Invité
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C’est un homme si mystérieux, étrange, mais mature. Il ne me dit pas son prénom. Il a cette personnalité avec moi, et il garde la tête sur les épaules. Il est parfait pour moi, juste pour ce soir, il est parfait. Rien que sa présence éveille en moi des sensations que j’avais l’impression de découvrir. Rien que sa bouche qui m’offrait des baisers ardents, jamais un homme ne m’a embrassé de cette façon.

Bien que peu d’hommes peuvent s’en vanter de l’avoir fait.

Il m’a embrassé, je meurs sur place. Mon corps se consume, il est encore plus attiré par lui. Au fond, j’ai peur de cette attirance physique. C’est mal. Seulement, des muscles, une carrure athlétique, j’ai envie de ça. J’ai envie de lui. La façon qu’il a eu de me saisir. Cette violence, je me suis surprise à en avoir peur mais à ressentir une certaine excitation dans tout ça.
« Monsieur. » J’obéis. Ce n’est pas ce qu’il voulait. Il m’énerve, dans le fond. Au loin, aux tréfonds de toute chose.

Embrasse-moi encore – le cri de mon âme.

Aimer ?
Oh god, jamais.
« Je n’ai pas citer ce mot. » Je respire, il me serre plus contre lui. Je le serre encore plus contre moi. A qui coupera le corps de l’autre en deux en premier ? Sûrement lui. Il est si fort. Je sens sa force sur mon corps.
Il n’aime pas que je bouge … « C’est plus fort que moi. » avouais-je à demi-mot. Il faut que je respire, qu’il me laisse respirer et penser.

Je regrette ce shot de tequila. J’ai l’impression de reposer la faute de cette tension sexuelle, de cet abandon sur ce verre et non l’importance que devient le policier pour moi ce soir. Il devient un désir, un besoin, un fantasme.

Ses mains sur mon corps sont une bénédiction. Ce dernier répond silencieusement par une trahison pectorale des plus évidentes. Mes cuisses ont la peau semblable à une chair de poule. Son érection se plaque contre mes hanches. Il est un vil personnage.

Quand mes yeux peuvent enfin l’observer, il veut que je lui obéisse. Encore, je le sais. J’arrive à lire dans son regard.

Payer ma caution ?
Enfin ? Je n’attends que ça…
Je peux ?

Je n’ai seulement le temps que de prendre mon sac à main que l’on se retrouve dehors. La nuit est tombée depuis un moment. Il n’y a pas un chat. Seulement moi contre un mur, emprisonnée par un bel inconnu. Je dois l’avouer que mon sort peut être parfaitement enviable.

Je me cambre à l’ instant où sa bouche entre en contact avec ma nuque, mon épaule. Que ses mains se baladent et m’arrache des râles incontrôlés. « Il me faudrait au moins l’intimité d’une voiture, d’une ruelle ou d’une chambre pour vous montrer l’étendue de mon désir pour vous, Monsieur »

‘Monsieur’, j’ai ponctué ce mot, je l’ai exagéré, j’ai provoqué. Je sais qu’il aime ça, je l’ai perçu plus tôt dans son attitude, il l’a ouvertement dit. Il aime sentir qu’il est le maitre de la situation. Il veut décider de tout. Il veut que je lui obéisse.

Et il a de la chance, j’ai envie de lui obéir en ce moment.

Lentement, mes mains se glissent à la ceinture du policier. Ma main droite se posait directement sur son érection au travers de son jean pour caresser l’objet de mes désirs alors que de la main gauche, je déboutonnais activement son jean, que le zippe descendait pour permettre de laisser la main droite s’accrocher au blouson de cet homme alors que l’autre rencontrait une chair plus dur, plus ferme.

De loin, on pourrait observer un mouvement, je dirais même une litanie de mon bras cherchant à provoquer l’équateur du policier alors que l’autre main remontait le long de son torse athlétique pour l’obliger à se pencher pour m’embrasser.

Cette bouche, elle m’obsède.
Je retrouve une saveur exotique.

C’est si bon. Et encore loin de ce que je sais ce dont on est capable tous les deux. On peut faire mieux mais je ne veux pas causer sa perte professionnelle si on nous surprenait en train de se bécoter dans les rues de Londres. Un lieu plus intime, sa voiture ? Où est-elle ? Ou alors son appartement ? Une chambre d’hôtel ?

« Emmènez-moi jouer, Monsieur. Je veux vous payer intégralement votre dû… » En d’autres termes, je lui transmets ma requête qui me tracasse depuis le début de cette étreinte. Ma main vicieuse ne suffira pas à lui donner tout ce que je pouvais donner pour ‘dédommager’ le pays de mon délit…

God save the queen… of my depravation.
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