"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Flashback - I wanna see you anyway ft Alix  - Page 2 2979874845 Flashback - I wanna see you anyway ft Alix  - Page 2 1973890357
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Flashback - I wanna see you anyway ft Alix

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Theodore A. Rottenford
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 4:04 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Son nez. Ses yeux. Ses lèvres. J’étais obsédé par chaque trait de son visage enfantin. Elle avait des petits airs machiavéliques, qui contrastaient tellement avec sa prestance innocente. Je ne me posais pas réellement la question sur son âge, pour la simple raison que son identité réelle m’importait peu en cet instant. Je ne voulais qu’elle, le corps voluptueux et les courbes féminines. Je ne désirais qu’elle, l’inconnue chieuse et la femme au tempérament de feu. Un sourire pervers se traça sur mon visage placide. Je me replaçai en face d’elle. L’air frais s’abattait sur moi comme une pluie drue, afin de fermenter les ardeurs de mon âme esseulée. Je déglutis en reniflant les senteurs boisées de sa fragrance hors de prix. Elle puait la richesse et la dépravation. Et j'adorais ça!

Je touchais les coins de sa bouche sans l’embrasser, enivré par les râles de sa respiration laborieuse. Elle était prise au piège de mes feux passionnés. Cette pensée regonflait mon estime, et suscitait tout mon intérêt pour Alix. Ma langue claqua sauvagement contre mon palais, avide de baisers et de promesses muettes. Je lapai le contour de sa bouche avant de l’embrasser sauvagement. Nous étions si proches, qu’il m’était presque impossible de percevoir les limites entre mon désir et le sien. Je me déhanchais dans un rythme effréné, poussé par un élan d’érotisme complètement fou. J’avais perdu toute notion de l’espace, lorsqu’elle s’aventura à caresser mon entre jambe. Je gémis, exalté par ses mouvements suaves. Elle savait s’y prendre pour toucher un homme ! Je retins mon souffle, avant de me redresser.

_ l me faudrait au moins l’intimité d’une voiture, d’une ruelle ou d’une chambre pour vous montrer l’étendue de mon désir pour vous, Monsieur.

Sa voix ponctuait mes absences. Je fermais les yeux avant de m’abandonner à la frénésie du moment. Elle zippa l’ouverture de mon jeans, et je sentais le bout de ses doigts tracer des cercles sur la peau dure de mon membre. Ma tête retomba en arrière avant de fendre sur sa poitrine. J’inhalais son parfum en effleurant son soutien-gorge serré.

_ Emmènez-moi jouer, Monsieur. Je veux vous payer intégralement votre dû…

J’eus un rire avant de me retirer de mon emprise.

« Si tu continues de me toucher sans permission, je ne t’accorderais pas cette faveur. » Raillai-je, en me rhabillant. Je lui lançai un regard en biais. « Après tout tu es la fille qui ne prononce jamais le mot aimer. »

Je la pris par le bras en direction d’une allée obscure. Je lançai un regard à ma voiture, une audi R8V10 coupée noir des jais, bien trop extravagante pour le salaire minable d’un officier de police. Un sourire malsain naquit au bout de mes lèvres, étirant mes commissures labiales et plissant les coins de mes yeux perçants. Je n’étais pas un homme bien, mais je préférais penser que j’étais un homme qui avait réussi. Sur tous les plans. J’appuyai sur l’ouverture automatique.

« Voilà ton carosse cendrillon. »

Je n’étais pas sûr que nous serions à l’aise sur la banquette étroite de ma voiture. Après tout elle était loin de répondre aux normes des modèles familiaux.

« Tu seras confinée dans un espace clos avec moi. Je me réjouis à la perspective de t’immobiliser. »

Je souris en lui ouvrant la porte.
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 14:03 par Invité
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Ce sentiment de contrainte, d’emprisonnement, c’était excitant. Je n’ai jamais ressenti ça pour quelqu’un. Un homme qui sache emprisonner mon âme, la contenir un tant soit peu. C’est tout bonnement exquis comme sensation. Il arrive tellement à monopoliser mon attention, ce qui est plutôt difficile en général, que j’en oublie la fraicheur de Février sur ma peau.

C’était un dieu qui m’embrasse, un homme, un vrai. Rien à voir avec les puceaux de mon âge. C’est un homme qui sait ce qu’il veut, qui sait ce que je dois ressentir. Il a une forte emprise sur ma personne et jusqu’alors, je n’avais laissé personne m’atteindre comme ça. Je craignais trop de souffrir et pourtant, il n’y a aucune souffrance. Que du plaisir.

Autant de plaisirs est à partager, à amplifier je dirais même. Alors je joue avec lui – à ma façon. Ma main sur son érection, par des mouvements langoureux, je provoquais mon nouvel amant. J’entendais ses réponses et je me retrouvais encore plus fougueusement. Ses lèvres contre les miennes, ma main provocatrice sur son corps, c’est tout ce qu’il me fallait pour faire trembler mon âme.

Mais j’en voulais plus. Je voulais qu’on soit dans un endroit où c’est sûr. Si on nous surprend, je ne donne pas cher pour nos peaux. Son boulot. Celui de mon père. On risque gros. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il me dise que je ne risque pas d’avoir ce que je veux si je continue à le toucher. Je fais une petite moue, intriguée.

Aimer…
Encore ce mot.

Je grogne un peu. En plus, je n’ai plus mon policier sous la main pour me détendre. Il se rhabille, c’est trop pour moi. Encore une fois, il me frustre.

« Comment veux-tu qu’on s’envoie en l’air si je ne te touches pas un minimum ? Je ne suis pas du tout adepte du tantra, tu sais ! » me plaignais-je ouvertement. Après tout, personne ne va nous entendre. Je crois.

Et puis… Aimer.
J’ai horreur de ce mot.

Je ne l’aime pas ce mot. « Oh pitié, d’où tu veux que je sorte ce mot ? On n’est pas là pour s’aimer tel Roméo et Juliette des temps modernes. J’attends des choses bien plus intéressantes venant de toi. » C’est vrai. Pourquoi s’appesantir sur un attachement aussi inintéressant. Du moins, s’il parle de ça.

Tous ces mots pendant qu’il m’emmène à sa voiture. On ne peut pas dire qu’elle soit très pratique pour ce que j’ai envie de faire avec lui. C’est vrai. Cependant, je pense qu’on peut trouver une alternative pour prolonger le désir et ce, même avec une voiture comme la sienne.

« Tu seras confinée dans un espace clos avec moi. Je me réjouis à la perspective de t’immobiliser. »  Je me retourne vers lui, amusée. « Et je me réjouis d’avance de ce que tu pourrais faire avec mon corps. » Un petit clin d’œil pour le gentleman avant de monter dans la voiture, côté passager.

Je suis sagement du regard le bel âtre quand il me rejoint côté conducteur. Pendant ce petit temps, je descendais mon sous-vêtement de dentelle. J’écrasais la dentelle dans ma main pour qu’il ne la voie pas tout de suite.

« Je suis contrainte de vous faire un aveux… » avouais-je d’un ton des plus solennelle. « Je suis une vilaine fille rebelle et je compte vous toucher jusqu’à épuisement. » Je ris puis très vite, je me lève pour prendre son visage entre mes mains et déposer mes lèvres sur les siennes.

Sur sa joue droite, la dentelle est écrasée entre sa barbe et ma main. Ma langue passe la barrière de ses lèvres pour revoir sa jumelle pour un ballet transcendant. Parce que j’ai une idée encore plus saugrenue. Encore plus érotique. Je romps le baiser pour le regarder yeux dans les yeux.

« Conduisez jusqu’à l’endroit qui vous plait. Et moi, pendant ce temps-là… » Ma main qui a ma dentelle, je la descends le long de son corps tout en abandonnant le tissu et venir doucement revoir une bonne amie. Ma main retrouve cette chaleur excitante, bien qu’emprisonner entre le boxer du policier et son jean, je le cherche à nouveau... Il faut dire que ce n’est pas forcément pratique en position assise.

« je prendrais soin de votre bien-être. » Ma langue humidifie à nouveau mes lèvres, séchées par le souffle chaud de Théodore. « Est-ce que ça vous dit, Monsieur ? » Encore, je joue. Monsieur est un mot déclencheur, du moins, je l’espérais qu’il l’animerait encore. Surtout avec ce ton taquin et provocateur.

Mes lèvres frôlent doucement les siennes sans pour autant l’embrasser. Je veux l’entendre accepter ce que je lui propose. J’espérais que mon petit jeu l’ai incité à me dire oui.
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Theodore A. Rottenford
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() message posté Mar 14 Oct 2014 - 23:58 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Je voulais toucher son corps de manière vicieuse et inappropriée. Chaque courbe de son visage, appelait ma main experte, mais le jeu était plus excitant. Je ressentais la frénésie de la chasse emplir ma bouche d’injures et de venins. Peu importe mes efforts, je ne pouvais plus contrôler les spasmes de douleur qui traversaient mon esprit. J’étais comme une bête sauvage, captive et prisonnière de son propre corps. Mes pulsions étaient fortes et déchainées. Je pris une grande inspiration en la retenant contre mon torse brûlant. Alix suivait mes mouvements comme une poupée en chiffon. Un sourire malsain se traça sur mon visage lorsque je la plaquai contre le mur une seconde fois. Ma bouche frôlaient la sienne, sans la toucher, mais son souffle caressait mon visage.

_ Comment veux-tu qu’on s’envoie en l’air si je ne te touches pas un minimum ? Je ne suis pas du tout adepte du tantra, tu sais !

Mon rire raisonna dans l’air comme une alerte sonore. Je n’avais aucune envie de m’envoyer en l’air avec elle. Pas en ces termes en tout cas. Mes intentions étaient plus particulières – et un tantinet sournoises. Le sex était inclus de ma liste de fantasmes, mais mon obsession du contrôle prenait souvent le dessus. Je la regardais de haut, les mains enfouis dans sa chevelure dorée.

_ Oh pitié, d’où tu veux que je sorte ce mot ? On n’est pas là pour s’aimer tel Roméo et Juliette des temps modernes. J’attends des choses bien plus intéressantes venant de toi.

Mon sourire s’élargit. Le « Oh, pitié » avait presque le même effet que monsieur sur moi. Je devenais fou sous le chant de sa voix fluette. Je me mordis la lèvre inférieure d’un air carnassier.

« Tu es bien tombé Alix. » Je la regardai avec intensité. « Je ne suis pas le genre d’homme à aimer. »

Les éclats de la pleine lune se reflétaient sur la peinture brillante de ma voiture. Je regardais Alix en biais, imaginant tous les plaisirs pervers que je pourrais lui offrir. Ma salive avait un gout d’excitation. Je sentis mon cœur battre la chamade avant de retomber dans mon ventre.

_ Et je me réjouis d’avance de ce que tu pourrais faire avec mon corps.

« Ne te réjouis pas trop vite. »

_

Il y’ avait une odeur de cuir neuf et de nettoyeur à la vanille à l’intérieur de la R8. J’établis le contact afin de lancer la radio de manière automatique. Les séquences défilaient au fur et à mesure que je tripotais le bouton marche/arrêt. Je souris en regardant Alix au coin. Son visage prenait la forme du diable qui m’habitait dans la pénombre dominante. Elle m’apparaissait subitement plus belle. J'avais toujours trouvé le monde des ténèbres attrayant.

_  Je suis contrainte de vous faire un aveux… Je suis une vilaine fille rebelle et je compte vous toucher jusqu’à épuisement.

Elle confirmait toutes mes pensées insolites. Elle fendit l’air en ma direction afin d’encadrer mon visage. C’était une proximité ne me dérangeait pas, du moment qu’elle ne s’aventurait pas à attiser mes plaies. Son baiser était fougueux et incroyablement stimulant. Je me mordis la lèvre inférieure, fébrile.

_ Conduisez jusqu’à l’endroit qui vous plait. Et moi, pendant ce temps-là…

Je fronçai les sourcils.

_ Je prendrais soin de votre bien-être. Est-ce que ça vous dit, Monsieur ? …

Elle me relançait avec ses caresses et sa bouche. Je frémis sous la douceur de sa peau avant de me rétracter dans un élan de lucidité.

« Tu veux aller chez moi ? » M’enquis-je. « Aucune fille n’a jamais mis les pieds chez moi. »

Je marquai un silence.

« Je ne suis pas sûr de vouloir te retrouver après cette nuit. » Me moquai-je, en reniflant la dentelle de son sous-vêtement resté contre ma joue.

Je glissai mes mains sous les pans de sa robe afin de frôler ses cuisses. Je savais jouer à ce petit jeu aussi ! Ma langue se balada sur sa joue avant de mordiller le lobe de son oreille gauche.

« A moins que tu sortes du lot, Mademoiselle. »

Je l’empoignai par la taille afin de la soulever jusqu’à mon siège. Elle se retrouva sur mes cuisses – le visage sombre et le souffle haletant. Je tirai sur l’élastique de son string afin de titiller son intimité.
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 11:41 par Invité
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 23:17 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” La pleine lune se reflétait sur le pare-brise de la voiture. Je plissais les yeux, irrité par cette lueur. Le souffle chaud d’Alix me parvenait de loin, je la sentais gigoter sur son siège puis se presser contre moi. Elle était aguicheuse à souhaits. Son visage m’apparaissait comme un songe dans la nuit brumeuse. Je voulais la toucher, la caresser et la briser d’un seul geste, mais elle se dérobait de ma prise à chaque fois.

Cette jeune blonde était une prédatrice. Je ne le réalisais que maintenant, dans la pénombre dominante. Ma langue claque contre mon palais, aspergeant ma bouche de venin et de poisons en tout genre. Je frôlai ses lèvres avant de l’embrasser avec une passion désespérée. L’amour était un concept complètement superflu. Et j’avais beaucoup de mal avec les choses que je ne pouvais pas réellement saisir. Je n’étais pas un cœur à prendre. Je n’étais pas un cœur tout court. Je me détachai de ma partenaire dans un élan de lucidité. Contre toute attente, elle me saisit par la gorge afin de me faire explorer les délires les plus malsains de mon esprit. Je déglutis en sentant sa langue chatouiller ma peau.

_ Je suis sûre que tu me sous-estimes totalement. Souffla-t-elle en léchant mes lèvres avec sensualité. J’étais en transe – complètement pris dans son jeu de séduction. Sa voix cadençait au rythme de mes plaisirs. Je grinçai des dents tout en glissant sous ses vêtements suintants. Je ne la sous estimais pas du tout, j’avais juste la fâcheuse tendance à me croire supérieur au reste de la planète. Je marquai un temps d'arrêt afin d’ancrer mes ongles sur ses cuisses.

Il y ‘avait une ardeur dévorante entre nous. Je sentais mon corps s’enflammer au contact de ses baisers inappropriés – et pour la première fois je songeais à m’évader avec elle. Je me mordis la lèvre inférieure en me faufilant jusqu’à sa poitrine. Ses tétons dressés tremblaient au contact de mes paumes. Je vacillais …

_ Emmènes-nous, chez toi, Monsieur… En attendant, moi je vais… prendre soin de ton corps.

J’eus un rire malsain. Avait-elle lu dans mes pensées ? Elle se faisait de plus en plus entreprenante. Je sentis ses baisers s’approfondir et ses mains se glisser dans ma chevelure bouclée. Je me laissais guider par ses caresses suaves et subtiles. J’émis un gémissement lorsqu’elle titilla ma virilité de trop près. Mon érection devenait de plus en plus phénoménale, contractant les muscles de mon ventre et le peu de self contrôle que j’avais encore.

_ Allons-y… Ne perds pas de temps, Monsieur le policier. Annonça-t-elle, pile quand les choses devenaient intéressantes. La petite, était persuasive et tenace. J’appréciais particulièrement ce dernier trait de caractère. Je souris d’un air carnassier.

« Tu aimes jouer avec le feu, Alix. » Soufflai-je en plaquant mes mains sur le volant. Ma langue s’écorchait à chaque fois que je prononçais son prénom ; Alix la sorcière – Alix l’enchanteresse – ou Alix la diabolique. Je soupirai en me redressant. « Il se trouve que j’aime jouer aussi. »

J’établis le contact en lui lançant un regard au coin. Le vent releva les pans de sa robe afin de me promettre une nuit de folie. Je fonçais à toute vitesse dans la rue déserte. Le vrombissement de la voiture accompagnait les cris de mon âme déchu. Je tournai le volant brusquement, m’offrant ainsi le plaisir mesquin de braver toutes les lois du code de la route. Je longeai le quartier de China Town avant de stationner dans l’allée de ma résidence privée.

« C’est ici. » Grognai-je en rajustant mes vêtements. J’ouvris la portière avant de lui adresser un regard. « Tu devrais te couvrir, il fait froid à cette heure. »

Il faisait noir dans l’allée qui remontait jusqu’à la porte d’entrée, mais les roseraies sauvages et les fleurs encore closes adoucissaient l’allure des lieux. Je fis quelques pas en direction de la boite aux lettres – Rien !

Le grand hall était désert. La décoration sobre et très blanche, concordait parfaitement avec mon obsession du contrôle même si je me laissais aller à l’extravagance de quelques tableaux contemporains. J’allumai la lumière en retirant mes chaussures avant de me retourner vers Alix.

« Bienvenue, dans l’antre du diable. » Susurrai-je en fendant sur elle à nouveau. Il n'y avait plus d'échappatoire à présent. Elle était à moi !
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 22:46 par Invité
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Nous sommes de grands joueurs et ça se ressent dans l’intensité de nos échanges. Je ne suis pas du genre à me laisser dominer et il me donne l’impression qu’il veut le faire. Alors, je le dévore, je le provoque, j’essaie d’être sa nécessité – du moins pour ce soir.

« Tu aimes jouer avec le feu, Alix.» Je me mords la lèvre. Il commence à bien me connaitre. Un grand sourire émane de mes lèvres. Il me plait. « Il se trouve que j’aime jouer aussi. » Un petit « Oh ? » s’échappe de ma bouche, très intéressée.

Ses mains sont sur le volant, prêt à nous envoler. Ce qu’il fit. D’ailleurs, une partie de mon être était choquée de le voir si peu respectueux du code de la route alors qu’il se disait d’un statut plutôt élevé dans la police. Que de surprise. Je me sens amusée autant que je suis excitée à glisser mes pieds le long de son membre tendu.

Nous arrivons, enfin.
ChinaTown.

Je regarde l’endroit qu’il m’indique être chez lui. J’abandonne le plaisir de son intimité pour remettre mes chaussures. « Tu devrais te couvrir, il fait froid à cette heure. » Je me mets à rire. Est-il conscient à quel point j’ai chaud à cause de lui ?

« Ne t’en fais pas pour moi, chéri. » provoquais-je le policier. Je sors de la voiture, admirant sa maison. Pas mal. Il gagne bien sa vie. Une Audi R8 et maintenant ça. Il doit venir aussi d’une grosse famille aisée.

Je trainais volontairement la patte pour le regarder. J’aperçus sa boite aux lettres, d’ailleurs, ce qui anima ma curiosité. « Theodore Rotten Junior… Hm, intéressant. » Je ris avant de continuer mon chemin jusqu’à la porte d’entrée. Dans quelques secondes, je pourrais me jeter sur lui sans aucune gêne.
Plus aucune limite à ma perversion.

J’entre dans sa maison, je regarde à peine sa décoration. « Bienvenue, dans l’antre du diable. » Je souris. Je mords ma lèvre inférieure, je sens que mon corps s’enflamme. Je n’ai même pas le temps de faire autre chose que de retirer mes chaussures qu’il fond sur moi. Je me laisse prendre contre lui, glissant mes mains dans ses cheveux pour repousser ses lèvres.

« Si tu es le diable, je suis la pire des succubes. » Je le pousse légèrement et jette mon sac à main dans l’entrée. Quelques affaires en sortent quand il se renverse mais j’ai déjà monté les escaliers pour monter au premier étage.

J’ouvre toutes les portes jusqu’à ce que je trouve sa chambre. Elle est à ma convenance. Je retire ma robe que je jette dans le couloir. Je cris alors à son égard : « Theodore… »  puis je retourne dans la chambre et m’avance près de son lit. Je jette mon soutien-gorge à terre.

Finalement, nue, je m’allonge à plat ventre sur son lit. Je prends une position des plus provocatrices pour qu’il se jette sur moi quand il verra mon corps nu et désireux.

Une partie de mon âme regrette d’être montée dans la chambre parce que l’attente est trop longue pour moi. Trop de secondes. J’ai le diable en moi. J’ai besoin de Theodore pour m’exorciser…
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() message posté Mer 22 Oct 2014 - 23:34 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Je voulais tellement la toucher, la croquer, la pénétrer et la casser. Je sentais son souffle brûlant embraser ma peau fragile. J’étais un esclave pour ses charmes trompeurs. Le présent se mourrait en moi. Et seul l’instant présent – et sa bouche voluptueuse, étaient vivants. Ses lèvres se muaient au gré de sa voix mielleuse. Je la contemplais, subjugué par sa douceur infinie. Alix savait jouer de ses atouts. C’était une femme redoutable et incroyablement attirante. Elle repeignait mon monde de couleurs pastels et de paillettes. Je n’étais pas friand de ce genre d’extravagances d’habitude, mais je devais avouer que la sensation était plaisante. Elle se jouait de moi et de mon envie de la déchiqueter. Ma langue humecta les coins de ma bouche avant de claquer contre mon palais. J’étais aux aguets, telle une bête affamée.

Ma résidence était recluse, mais pas austère. J’accordais beaucoup d’importance aux allures de mon jardin – il m’arrivait même de veiller personnellement à ce que les roseraies soient correctement arrosées. Je n’étais pas un passionné de la nature, j’aimais juste les belles choses. Alix en était la preuve ultime. Elle se déhanchait dans l’allée obscure avant de me rejoindre. Mon cœur était rouge vif, battant avec acharnement pour libérer mes démons intérieurs. Je soupirai, impatient.

_ Ne t’en fais pas pour moi, chéri.

Je souris d’un air narquois. Ma remarque était sarcastique et provocatrice, mais j’appréciais la répartie de la jeune femme. Elle ne se laissait pas facilement faire. Ce trait de caractère attisait encore plus ma curiosité et ma flamme ardente. Je la regardais, amusé. Elle transfigurait l’espace et le temps, afin de combler mon regard. Je l’embrassais au sein de la nuit avec passion et désespoir. Il n’y avait rien de poétique dans notre rencontre, mais peu importait. Le sex c’était tellement mieux!

Elle fendit l’air jusqu’à l’entrée. Son premier réflexe fut de retirer ses chaussures, un geste presque aphrodisiaque pour un maniaque du contrôle comme moi. Je fendis l’air en sa direction, mais elle ne semblait pas se lasser de la frénésie de la chasse. Alix me repoussa.

_ Si tu es le diable, je suis la pire des succubes.

J’eus un rire carnassier en la laissant s’échapper. Elle fit tomber son sac en courant vers l’étage. Je voulais la rejoindre et prendre l’assaut, mais ses affaires pêle-mêle me titillaient. Je me mordis la lèvre inférieure en me penchant pour tout ramasser. Je ne pouvais pas supporter le désordre !

_ Theodore...

Sa voix me parvenait de loin. Elle appelait mon prénom profané, comme une injure, une insulte. Je fronçai les sourcils, contrarié. Je suppose que refuser mon identité ne m’était d’aucun secours, mais c'était plus fort que moi. Il me fallait m’irriter pour mieux me réconcilier. Il me fallait sombrer pour mieux me relever, et dominer. Je déglutis en posant son sac sur la table basse.

Mes pas étaient las et prudents. J’étais enlacé par la force obscure de ma libido. Je ne pouvais plus contrôler mon désir pour la chair. Lame après lame, je réalisais toute mon ignominie. Je ne pouvais plus discerner les raisonnements de mon esprit. Ma main frôlait les murs, comme une provocation. Je cheminais lentement vers le pays de l’insanité. Je pris sa robe dans le couloir afin de renifler son odeur boisée et délicieuse. Un frisson violent parcouru mon torse.

Alix était là. Toute nue. Son corps svelte et musclé, était une incitation à la dépravation. J’étais esseulé, abandonné dans un tourbillon d’émotions composites. Je voulais lui sauter dessus et lui arracher un cri strident, celui de la femme à terre. Ce n’était pas sain. Cette attraction, était une malédiction. Je me penchai au-dessus du lit.

« Je vois que tu ne m’as pas attendu. » Sifflai-je avec douceur.« Alix, tu es insubordonnée et vicieuse. Et pour couronner le tout tu utilises un prénom que je n’aime pas particulièrement. » Mon ton vibrait avec transcendance. Je me cachais derrière l’éloquence de l’humain, pour masquer mes vicieux secrets.

« Tu es une vilaine fille. » Marmonnai-je en caressant ses cheveux soyeux. Je glissai un doigt le long de sa poitrine, avant me loger dans son entre jambe serré. Je titillai ses réflexes félins avant de me redresser au-dessus de son corps fermé. Ma bouche enthousiaste lapait sa chair exquise, avant de s’ancrer dans sa cuisse.

Je souris, le souffle haletant. Je ne voulais pas enlever mes vêtements tout de suite – Pas avant de l’avoir rendu folle de désir.

« Je préfère quand tu me laisses jouer. »
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() message posté Jeu 23 Oct 2014 - 22:41 par Invité
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Attendre… voilà une chose bien difficile pour moi. Mon corps entier le réclame, le désire mais il n’est pas encore là. Je m’imagine déjà nue en train de m’offrir à ses hanches, rien que l’effort à imaginer, c’est douloureux pour moi. Mon hyperactivité est forte, je ne peux pas attendre sagement. Mon corps se tortille dans une impatience profonde. Je veux qu’il vienne, qu’il me regarde, qu’il me touche et m’emmène au paradis.

Alors quand je le vois dans l’entrée de la chambre, je suis émue, je frissonne et je n’ai qu’une envie : qu’il me saute dessus. Même son regard est lourd de sens, je le sens qu’il a envie de me faire l’amour. Je n’attends que ça. Décides-toi, je suis à toi. Il n’a qu’à tendre la main, à plier les genoux pour s’allonger à mes côtés pour une nuit endiablée. Je suis sa reine, il est mon roi, il n’a plus de raisons pour attendre. Personne ne peut nous déranger…


« Je vois que tu ne m’as pas attendu. » Je ris. Oui, désolé… Mais il y a d’autres choses à faire sur mon corps. Je le regarde droit dans les yeux, je le défis. Allongée sur le dos, je le regarde, penchant tantôt mon corps sur la droite, puis sur la gauche. « Alix, tu es insubordonnée et vicieuse. Et pour couronner le tout tu utilises un prénom que je n’aime pas particulièrement. »
Je souris. Un petit … « ah ? » s’échappe de ma bouche. Il n’apprécie pas qu’on le touche à certains endroits, il n’aime pas que je l’appelle Theodore. Quel garçon très compliqué. Cependant, il ne sait pas à qui il parle. Enfin, si, il sait que je suis indomptable et vicieuse. C’est déjà ça. Alors, je m’amuse… « Theodore » murmurais-je, avec un grand sourire.

« Tu es une vilaine fille. » Je ris encore. Mais il s’estompe bien vite avec Theodore qui glisse sa main dans ma chevelure, puis ma poitrine. Cette dernière démontrait mon besoin de Theodore, les sommets en étaient durs. Theodore, te rends-tu compte de l’effet que tu me fais ? Honnêtement…

Ma main se glissait au niveau de sa cuisse, serrant entre mes doigts le tissu de son pantalon alors qu’il torturait mon corps de sa bouche ainsi que de ses mains.
« Je préfère quand tu me laisses jouer. » m’annonce-t-il. Cependant, je ne suis pas capable de rester en place. Il me faut de l’action et je veux lui faire comprendre. Des gestes ne seraient pas suffisants.

« Alors, domptes-toi, agis bien plus que tu ne parles. J’ai besoin que tu captes chaque seconde de mon être, sinon je serais en mesure de reprendre encore et toujours le dessus sur toi. Mais tu sais, ce n’est pas forcément un mal… de te faire dominer par une femme… » Je conclus en desserrant mes mains de son pantalon pour remonter jusqu’à cette bosse.

Mes doigts caressent le corps de Theodore à travers le tissu, le provocant, le cherchant sans cesse. Et pas seulement par mes gestes : « Theodore… » murmurais-je à nouveau alors que non pas une mais de mes deux mains, je défaisais le pantalon du policier pour le descendre à ses genoux, ainsi que son boxer.

Je libère l’objet de mes convoitises, seulement… je veux le voir entièrement nue. Je suis comme une lionne qui mange sa proie. Il me faut le dévorer à mon aise, selon ma façon. Je remonte ma main le long de son torse sans le toucher, seulement la menace de le toucher s’il bouge. Mes doigts emprisonnent son col pour le tirer à moi…

Je le fais tomber sur le lit. Doucement, je passe mes hanches au-dessus des siennes sans nous unir. Jamais je ne nous priverais de préliminaires intenses et bien plus chastes qu’il pourrait en avoir l’habitude. Je bouge mes hanches pour le provoquer alors que je rêvais de lui enlever le reste de ses vêtements.

« Une demoiselle très vilaine… en effet. Tu les punis comment les demoiselles qui te tiennent tête, Theodore ? » Je posais cette question de façon la plus innocente du monde. Je tendis le bras pour prendre sa main gauche et j’en embrassais doucement l’extrémité de ses doigts tout en continuant de mouvoir mes hanches contre les siennes. Sans m’unir à lui est la provocation la plus horrible. J’espérais qu’il en était sensible.
Après tout, il voulait que je sois unique, pas seulement une fille comme les autres. Je le torturais pour lui faire comprendre qu’en effet, je ne suis pas comme les autres. Bien plus joueuse, plus sensuelle, plus intense.
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Theodore A. Rottenford
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() message posté Ven 24 Oct 2014 - 22:39 par Theodore A. Rottenford
City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” Les battements de mon cœur raisonnaient dans mes oreilles comme un chant tribal. Je sentais mon excitation capturer mon esprit de manière si naturelle. C’était un tourbillon de plaisirs, de délices et d’afflictions. Mon corps ployait, torturé, captivé, et dès qu’il s’éveillait de son ensorcellement il me semblait que le sol se dérobait sous mes pieds. J’étais en transe – tous mes reflexes étaient dupliqués ; poussés à l’extrême. Je ne connaissais ce sentiment que trop bien. Mais jamais encore, je n’avais désiré une femme avec autant d'ardeur. Alix me vendait la promesse d’une liberté provisoire, elle m'offrait la clarté d’une lune, dont j’avais toujours rêvé.

Je fendis l’air en sa direction. Mon regard malsain trahissait la nature de mes intentions. Je n’étais pas un homme de foi, encore moins un amant tendre et aimant. Ma bête intérieure guidait chacun de mes gestes. Je la touchais comme si je voulais la rendre prisonnière de mes angoisses. Pour une fois, je voulais partager plaisir et douleur. Ma langue claqua contre mon palais – crachant tous mes poisons.

_ Oh. Theodore.

Elle le faisait exprès. Elle me provoquait de façon vile et cruelle. Elle ne devait pas se rendre compte du sens caché de cette identité. J’étais l’enfant jeté dans la rue – une profanation vivante et le déchet d’une pute de bas étages. Je m’appelais Alistair. Je ne connaissais pas ce Theodore. Il était trop tard pour me sauver.

Je me penchais afin d’explorer ses courbes féminines, mais toute mon attention restait rivée sur la courbe ou se rencontraient ses cuisses. Je me délectais de son souffle saccadée et de son rythme endiablé. Mais la jeune blonde voulait tellement plus que quelques caresses inappropriées. Ma langue s’agitait contre son intimité avant de se rétracter.

_ Alors, domptes-toi, agis bien plus que tu ne parles. J’ai besoin que tu captes chaque seconde de mon être, sinon je serais en mesure de reprendre encore et toujours le dessus sur toi. Mais tu sais, ce n’est pas forcément un mal… de te faire dominer par une femme…

J’eus un rire carnassier. Je ne m’étais jamais fait dominé par une femme – Il y’ avait mes ébats avec Julia mais c’était un bras de fer constant. Je la traitais comme mon égale, jamais comme une dominatrice. Mes muscles se contractèrent. Je serrais la mâchoire. Mes débuts dans la vie avaient été particulièrement durs et froids. Quelques instants de pouvoir – voilà tout ce que je demandais.

Alix se détacha de ma prise afin de titiller mon entre-jambe. Ses caresses étaient perverses, mais à chaque fois qu’elle prononçait mon prénom – je tombais dans une forme de léthargie. Ma douleur n’était pas physique. Sa voix évoquait de vieux démons ; Je n’aimais pas les excès d’affections. Je n’aimais pas l’amour, les sentiments et les valeurs immatérielles. J’exécrais le monde et les gens. Le sex, le contrôle et le pouvoir. Voilà les seules choses précieuses.

Elle se dressa, me prenant par surprise. Ses hanches se fermèrent contre les miennes afin d’enclencher la machine d’une folie infernale. Elle se frottait contre moi, me provoquant, me martyrisant et me tuant à petit feu. Je suivais sa main des yeux- elle fendait l’air au-dessus de mon torse sans me toucher.

_ Une demoiselle très vilaine… en effet. Tu les punis comment les demoiselles qui te tiennent tête, Theodore ?

Je retins mon souffle avant de me tortiller dans un élan de colère. Je le saisi par la mâchoire afin de la plaquer contre le matelas dur. J’entendais toujours mon prénom raisonner dans la pièce. Sa voix apparaissait, disparaissait mais mon cœur demeurait maudit. Je fis craquer les boutons de ma chemise afin de dévoiler mon torse bien menu et mes abdominaux saillants. Le trou logé au creux de mon épaule droite, trahissait mes faiblesses. Je fléchis le bras en me penchant vers elle. Mes pensées suivaient les mouvements de mon torse essouflé. Je passai une main sur mon tatouage – Jamie. S logé quelque part sur l’une de mes clavicules.

« Ne pense pas que tu peux me soumettre. » Sifflai-je avec arrogance, avant de plaquer ma bouche brûlante contre la sienne. Je ne lâchai toujours pas prise, me noyant dans ma folie. Je la poussai contre le dossier en acier afin de la retenir contre la froideur du métal. Mes doigts se logèrent à l’intérieur de son intimité afin de la stopper dans sa rébellion. J’étais un sage qui avait un jour cherché l’absolution sans jamais la trouver. Avec le temps j’avais réalisé que tout n’était qu’un point las dans une éternité d’injures et d’injustices. J’explorais son corps sans retenue, comme une âme damnée et perdue. Je croquai sa joue, puis son cou et enfin ses tétons. Mon érection devenait de plus en plus imposante sous le tissu de mon pantalon. Je me tortillais sans me libérer. Je grognai, essoufflé.

« Je ne m’appelle pas Theodore. »

J’inhalais l’air avec difficulté. Mon désir m’aveuglait. Je me redressais brusquement afin de déboutonner mon jeans et me glisser dans la peau de l’homme que j’étais vraiment : un accro au sex et à la dépravation.
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Anonymous
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() message posté Lun 3 Nov 2014 - 20:53 par Invité
I wanna see you anyway
Théodore & Alix.
fiche par ©century sex  

HOT
C’est un Dieu. Son corps est la représentation même de l’union d’un Dieu et d’une humaine. Il est si beau, si fort. C’est la meilleure des solutions pour moi de me retrouver dans les bras de la masculinité même. Je me sentais bien et sans aucun souci. Plus rien ne pouvait m’empêcher de m’évader. Surtout pas le jour de mon anniversaire. Jour que je comptais bien profiter durant un long moment…
Et j’espérais qu’il serait long. L’avant-goût que Theodore me donna avec sa langue experte me rendait complètement dingue. Mon corps était animé de désirs bestiaux que je voulais combler encore plus intensément. La langue coquine de Theodore n’était qu’un amuse-bouche, je m’en doutais et je comptais bien le chercher encore plus.
Assise sur ses hanches, en position de domination, je me demandais combien de temps il comptait se laisser dominer. Après tout, je sais que c’est un homme. Je sens son envie de dominer chacun de mes gestes, chacune des décisions qui sont à prendre. Et bien évidemment, il ne fallut pas grand-chose pour que je me retrouve allongée sur le matelas.
Je suis obligée d’admirer ce qu’il m’offre. Un corps parfait. Mon dieu, il est beau. Il est parfait pour mon évasion. « Ne pense pas que tu peux me soumettre. » Je souris et l’embrasse à pleine bouche. Mettant dans ce baiser toute la passion que je refoulais depuis notre rencontre. Pourtant, ce n’est pas la première fois que je goûte à ces lèvres. Cependant…
Je ressens beaucoup de plaisirs à le faire. Je reste cependant surprise par la façon dont il a de s’y prendre avec une femme. Il n’a rien de doux. Rien de vraiment respectueux mais au fond, je crois que je ne suis pas là pour me soucier de ça. Justement, je ne veux pas me préoccuper.
Je me laisse profiter des « soins » qu’il prodiguait à mon corps. Je posais ma main sur sa joue, glissant mes ongles sur cette barbe de quelques jours alors qu’il me préparait à l’asile. Contre lui, je ne pense à rien. Je suis emporté par des flots de sensations tellement intenses que plus rien ne vient à mon esprit hormis la façon dont je vais me rebeller.
Parce que j’aime ça, me rebeller.
Il va vouloir reprendre le dessus.
J’imagine déjà.
Ma respiration saccadée était l’expression de mon plaisir.
« Je ne m’appelle pas Theodore.» Je ris. Oui, je ris bien que ce n’était pas facile de continuer avec sa main. Je passe ma main sur son érection tout en m’amusant à le regarder avec cet air toujours aussi rebelle : « Thé-o-dore. » prononçais-je avec amusement.
Je me penchais finalement pour continuer à le provoquer. Mes lèvres entouraient son érection pour continuer à me rebeller un peu. Enfin… on a vu mieux comme rébellion mais j’ai envie qu’il aime ce que je lui fais, qu’il finisse par s’arrêter tellement il n’en peut plus.
Je veux qu’il soit à ma merci sans qu’il s’en rende compte. Seulement, je pense que je suis trop présomptueuse de mes forces. Je ne le connais pas assez pour me permettre d’être encore plus joueuse avec lui. Je joue seulement…
Finalement, je me décide à libérer son emprise de mon corps. Sa main, ma bouche. Plus aucun contact. Je m’éloigne pour poser ma tête dans l’autre sens du lit. Mon pied tâte ses jolies fesses alors qu’il avait encore son pantalon sur les genoux.
« Je veux que Theodore me fasse l’amour sauvagement… » Je glisse doucement ma main entre mes cuisses. Je ne fais rien pour enflammer mon corps, seulement pour enflammer le sien de désirs…
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