City of westminster ; 14. 02. 14 “I am stronger than words and I am bigger than the box I'm in, and then I see her in the crowd and I fall apart. We ruined each other by being together. We destroyed each other’s dreams.” ✻ Elle touchait mon corps musclé de façon sensuelle. Chacune de ses caresses était une invitation érotique profonde. Il y’ avait des signes qui ne trompaient pas, et Alix désirait s’évader au septième ciel en ma compagnie. Mes gémissements extirpaient l’air avant de s’évanouir dans le vide. Je sentais la tension sexuelle peser sur mes épaules. Elle avait le don de me tenir en haleine, et ceci malgré l’avancée de nos ébats. J’avais toujours envie de plus d’excitation et de jeu. C’était dangereux. Je sombrais dans la folie de mes illusions comme un adolescent bourré aux hormones. Mon cœur battait dans mon gorge avant de mourir quelque part au creux de mon ventre. Mes mains longeaient sa peau douce d’un geste délicat. Je déglutis en rencontrant son regard azur et son étincelle arrogante. Ce n’était pas une femme comme les autres ; J’étais face à une prédatrice redoutable. Elle se foutait de l’affection, de la douceur et des notions surfaites de la vie. Et j’appréciais d’autant plus ce moment en sachant qu’elle était aussi libre que moi. Mon esprit ardent s’enfonçait dans ses vices. Je lapai son intimité, enivré par les odeurs de phéromones et les senteurs boisées qui se dégageait de son corps cambré. Elle se maniait au gré de mes mouvements comme une poupée de chiffon ou une marionnette grand format. Un sourire narquois se traça sur mon visage lorsque ses souffles devinrent plus saccadés. La vitesse de sa respiration m’excitait et me poussaient à accélérer notre décente aux enfers. Il y’ avait un feu ravageur à l’intérieur de ma poitrine – Je succombais de manière inévitable aux appels des démons.
_ Thé-o-dore.Elle s’amusait à mes dépends. Je me frottais contre sa poitrine avant de la laisser s’échapper dans un coin de l’immense lit. Je la contemplais subjugué par sa beauté enchanteresse. Ses pieds touchèrent mes fesses à travers le tissu de mon pantalon dans un éclat de rire strident. Je souris, avant de me dévêtir complètement. J’exhibais cette érection qu’elle s’amusait à titiller de trop près. Les contours de sa bouche emprisonnaient mes désirs sauvages – Je grinçais des dents avant d’inhaler l’air dans une profonde inspiration. Ma bouche s’étirait sous le faible éclairage de la chambre.
Je me penchais afin d’explorer ses courbes. Elle se rebellait contre ma prise avec une sensualité déroutante puis soudain – plus rien. Aucune caresse. Aucun contact. Elle dressait une distance entre nos deux corps. Et moi je la désirais comme un fou. Et moi je voulais la toucher et ne faire qu’un.
_ Je veux que Theodore me fasse l’amour sauvagement… Souffla-t-elle en effleurant son entre-jambe, juste assez pour me rendre fébrile. Sans attendre une seconde, je fendis l’air en sa direction avant de bloquer ses poignets. Je ne voulais pas qu’elle s’offre plus de plaisirs que nécessaire. J’étais là pour remplir cette unique tâche – et je n’aimais pas qu’on empiète sur mon travail, ni qu’on me provoque avant autant d’insubordination. Je glissai mes mains expertes sous ses cuisses puis sur le creux de ses reins afin de la suspendre au-dessus du matelas, sur mes genoux. Un rire carnassier m’échappa tandis que je la pénétrai d’un coup de rein violent.
«
Pas Theodore. » Grinçai-je dans un dernier souffle régulier avant de me perdre dans les mouvements effrénés de mon bassin. Ma poitrine était lourde de mes passions. J’étais aveuglé par mes pulsions. Toutes mes émotions étaient dupliquées, et je devais avouer que je n’étais plus maître de mes actes. J’avais beau être obsédé par le contrôle, ce soir, en la présence de cette créature magnifique, je n’étais qu’un homme en manque de chair.
Je crispai mes doigts autour de son cou afin de me créer une illusion de strangulation délicieuse. Je gémis en poussant mon corps au-delà de ses limites autorisées.
«
Pas Theodore. » Répétai-je, plongé dans ma transe.