"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2979874845 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1973890357
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Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ?

Anonymous
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:15 par Invité

ThéodoreB-Henderson

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Benson-Henderson, le nom de sa mère et de son père, pas de jaloux. PRÉNOM(S) : Théodore Basile. ÂGE : 32 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 8 décembre 1981 à Cambridge aux USA. NATIONALITÉ : Américaine. STATUT CIVIL : En couple. MÉTIER chirurgien et professeur de biologie moléculaire à l'Université de Londres, Queen Mary. TRAITS DE CARACTÈRE : aimable, audacieux, ambitieux, déterminé et calme. GROUPE : Fast in my car.



My style, my life, my name

Théodore n'est pas une personne très compliquée : il aime relativement tout, néanmoins s'il y a bien une chose qu'il déteste c'est la biologie moléculaire et c'est notamment pour ça qu'il l'enseigne. Cela fait dix ans qu'il essaye de se réconcilier avec cette matière, très importante en médecine. Suite à la mort de son père, malgré ses ambitions, il n'a pas terminé premier de sa promotion : il était 79ème, or il n'y avait que 80 places, mais il préfère éviter de répéter son classement puisque pour lui ça reste un échec, en effet il déteste avouer une défaite. Ses trois soeurs sont très protectrices envers le jeune homme, même si à présent elles habitent loin. Elles n'apprécient guère la présence de Lyn dans la vie du jeune homme puisqu'elles restent très proches de l'ex-femme de Théodore, ce dernier préfère ne pas en parler à sa compagne pour l'instant, ne voulant pas créer plus de tensions qu'il pourrait y en avoir. Théodore est en effet, quelqu'un d'assez secret, il peut très bien rester silencieux pendant des heures, c'est d'ailleurs pour cela qu'il adore être au bloc. Il aime cette sensation de calme, de maîtrise. Le jeune homme est très complice avec sa fille et il essaye de faire du mieux qu'il peut pour l'éduquer, et également pour lui faire accepter la présence de Lyn. Le père et sa fille ont pour habitude d'aller manger, chaque vendredi, une glace puis de se balader dans Harrods. Un rituel dont il ne pourrait se passer. Théodore adore voyager, il a eu l'occasion, grâce à son métier, de faire de l'humanitaire dans de nombreux pays, notamment au Vietnam et en Tanzanie, néanmoins il a attrapé le chikungunya durant son dernier voyage. Il est également, comme beaucoup d'autres gens, un fan incontestable de la magie de Noël, sûrement parce qu'il adore la famille. Il aime l'ambiance qui règne à l'hôpital durant cette période, il ne regrette pas de vivre à Londres, notamment lorsque Noël arrive.
 
PSEUDO : zadiglike. PRÉNOM : Manon, mais tout l'monde m'appelle wall-e. ÂGE : 18 ans. PERSONNAGE : scénario.  AVATAR : Ian Somerhalder. CRÉDITS : bazzart. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : top obsession.


 

 
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:15 par Invité
At the beginning




être un ado. Théodore Henderson, le regard rivé sur le tableau blanchi par la craie de son professeur. Jambes croisés (cela réduit la fertilité, de manière moindre mais il commençait à manquer d'argent et il ne pouvait se résoudre à ne plus coucher avec personne), mordillant son crayon, et jouant avec son surligneur de l'autre main. Le cours de génome touchait à sa fin tout comme la journée de notre star du moment. Une marée d'étudiants se dirigeait à présent vers la bibliothèque histoire de travailler les cours de la journée, le retard n'était pas une option en première année de médecine, seulement Théodore était différent. Ce n'était pas le rêve de sa vie de devenir médecin, il voulait juste vivre. Harvard, une université prestigieuse, la mienne. Je faisais des études de médecine, la faim justifie les moyens : seul moyen pour moi de voir des filles à poil... non je déconne. J'aimerais dire que j'étais un bon élève, que je méritais ma place, mais la seule chose qu'on pouvait m'attribuer c'était le titre d'opportuniste. Mon père était le doyen d'Harvard lors de mon admission, autant dire que ça aide grandement pour s'asseoir sur les bancs de l'école. Je papillonnais, m'inquiétant peu de mon avenir. La voiture des Henderson roulait bien trop vite, une pluie battante venait s'écraser contre les vitres de la coccinelle familiale. La route, peu éclairée pendant ce jour de mars était vide, seul le bruit du moteur venait déranger le calme ambiant. Théodore, endormi sur la banquette arrière avait une mélodie calme dans les oreilles lorsque la voiture s'écrasa contre un camion qui transportait des fruits et légumes. Le chauffeur, sûrement alcoolisé avait confondu la gauche et la droite, les problèmes de vue du père Henderson n'aidant pas. Théodore venait de perdre ses deux parents, ainsi que sa place à Harvard s'il ne remontait pas le classement. Ses trois soeurs dont il était très proche tentèrent de le réconforter, de l'épauler, d'être une seconde mère, mais leur chagrin était bien trop grand, qu'il finissait par l'emporter sur leur bonne volonté. La fratrie devait se serrer les coudes. C'est dur de se dire que nos parents sont morts, que tout est terminé, que vous devez devenir un adulte car plus personne n'est là pour vous protéger. Plus personne n'est présent pour vous sermonner lorsque vous ne prenez pas la bonne décision, lorsque vous êtes trop égoïste. Je devais grandir, ne pas me reposer sur l'argent dont je venais d'hériter. Je voulais me construire un avenir et arriver au bout du chemin dans lequel mes parents voulaient me voir. Je devais devenir chirurgien qu'importe la place que j'occupais dans le classement à l'université, je devais me battre. Mes journées se résumaient à des cahiers, des salades de la cafétéria et à l'odeur de bibliothèque. Je devais finir premier de cette année et entamer les dix prochaines avec sérénité. C'était le seul moyen de leur rendre hommage, de ne plus être le fils que j'étais. J'intégrais la confrérie des Dunsters afin de vivre dans une communauté, d'occuper une vraie place au sein de l'université et de me fondre dans la masse.

Cela faisait huit heures que j'étais dans ce bloc, debout, les mains dans le corps d'une jeune femme de quarante-six ans. J'essayais de sauver son coeur, de sauver le seul organe qui pouvait faire d'elle un être humain, car sans coeur elle n'était plus rien. « Aspiration s'il vous plaît » demandai-je en essayant de trouver la solution, surveillant le moniteur afin de voir si elle vivait toujours. On pouvait entendre son coeur battre dans le bloc puisqu'il était devant moi, juste là. Deux internes étaient face à moi, ils n'étaient pas encore très précis mais je savais qu'elles tâches leurs donner. J'entendais le battement des portes dans mon dos, sans me retourner je demandais qui c'était. Je détestais qu'on me dérange dans mon bloc. « Docteur Henderson... le deuxième docteur Henderson est là. » disait l'infirmière. Jane. Dans sa tenue de chirurgien elle déposait un vif baiser sur mon masque, un geste affectueux qui était un réel réconfort après ses heures d'opération. « Comment ça se passe ici ? Je dois opérer ce soir, ne m'attend pas pour manger » disait-elle, j'acquiesçais avec un sourire puis elle quittait le bloc. C'était notre vie à présent, le bloc, elle était neurochirurgienne, nous étions mariés depuis maintenant deux ans. Elle était la femme de ma vie, généreuse, gentille, le coeur sur la main... le contraire de moi au fond, mais elle était cette jeune chirurgienne que j'avais rencontré lors de mon arrivée à Londres. Lorsque je me sentais si seul alors qu'on m'avait fait changer de pays pour diriger le service de Chirurgie Cardio-Vasculaire et thoracique dans les années à venir. En effet, j'étais encore interne lorsque j'ai rencontré Jane.

« Théodore Henderson, voulez-vous prendre Jane Montgomery, qui est ici présente pour épouse ? » « Oui je le veux ». Jane déposait un baiser sur les lèvres de son mari en se remémorant son mariage. À présent elle était madame Henderson et pour rien au monde elle ne voulait échanger sa place, elle aimait son mari plus que tout au monde, il était sa famille, son univers. Théodore regardait sa femme avec tendresse en remplissant son dernier rapport de la journée. Comment pouvait-elle lui annoncer ? Elle se mordait la lèvre en regardant son mari si concentré, son calot encore sur la tête, seule une mèche s'en échappait. « Chéri.... je suis enceinte ». Théodore relevait immédiatement la tête, les yeux ronds, visiblement il ne comprenait pas. « Tu quoi ? » disait-il, encore sous le choc, laissant tomber son stylo sur la table de l'hôpital. Jane ne savait pas quoi penser de sa réaction, était-ce négatif ? Elle fronçait les sourcils un instant, bafouillant. Ils étaient mariés, certes ils n'essayaient pas de faire un enfant, c'était une surprise pour la jeune femme également. Ils avaient une vie stable, presque idyllique, une jolie maison, des amis, un métier en or. « Jane, répond-moi, pour l'amour du ciel ! » il s'approchait d'elle, attrapant son visage entre ses mains. Les yeux de Jane venaient de se remplir de larmes. « Je suis désolée mon amour, je sais que ce n'était pas prévu... » Théodore coupait la jeune femme en l'embrassant, essuyant au passage la larme qui descendait le long de joue.« On va avoir un enfant Jane, on va avoir un enfant ! C'est extraordinaire » Il semblait tout excité, un grand sourire aux lèvres. Jane reniflait avant de sourire timidement à son tour, elle n'attendait pas cette réaction de son mari. Elle était également très heureuse de cette nouvelle, c'était un enfant de l'amour, mais elle craignait tellement sa réaction, elle ne voulait pas se retrouver seule de nouveau... « Tu... tu es content ? » Elle ne laissait pas le temps à son mari de répondre qu'elle se jetait dans ses bras, déposant un million de baisers dans son cou, sur son visage, sa bouche, elle l'aimait tellement.

Théodore était à côté de sa jolie petite fille Ivy qui se trouvait sur un tabouret afin d'atteindre la hauteur du plan de travail de l'immense cuisine des Henderson. Théodore venait de mélanger de la farine et de l'eau afin de donner la mixture à la petite fille qui pouvait à présent imiter son papa. Elle souriait comme si c'était le plus beau cadeau du monde, Théodore déposait un baiser sur ses cheveux avant d'attraper les ingrédients pour le repas. « Pourquoi je peux pas avoir un couteau moi aussi ? » demandai Ivy, visiblement, contrariée. « Aussi têtue que ta mère, tu sais très bien pourquoi » répondait Théodore en rigolant. Il lui tirait la langue, brandissant le couteau, avant de reprendre son épluchure. Ivy faisait la moue, puis revenait également à ses occupations. La porte d'entrée venait de claquer et on pouvait entendre des clés se poser. « Mamaaaaan ». Ivy sautait de son tabouret, manquant de tomber avec le peu d'équilibre qu'elle avait. Théodore attrapait un torchon afin d'essuyer ses mains et se dirigeait vers l'entrée à son tour. Sa femme était à la maison, ils allaient partager un repas, puis coucher Ivy. Et peut-être qu'ils feraient l'amour. Un train de vie bien rodé, bien trop parfait. Jane attrapait sa petite fille, la chatouillant légèrement avant de jeter un coup d'oeil à son mari. Elle savait au fond, elle n'était pas dupe, elle le connaissait. Elle lui adressait néanmoins un sourire affectueux, un sourire qui voulait silencieusement dire « Je t'aime, ne me quitte pas, pas maintenant, jamais ». Théodore déglutissait, il aimait sa fille, sa vie, sa femme, mais... mais le problème c'est qu'il y avait ce « mais ». Tout était trop parfait. Il avait l'impression de vivre dans un corps qui n'était plus le sien, dans une vie qui ne lui correspondait plus. La seule étiquette qu'on pouvait lui attribuer à présent était celle du bon père de famille, de l'excellent chirurgien qui avait préféré sa famille, comment ne pas oublier le jeune insouciant qu'il était quinze ans auparavant ? Il ne pouvait plus faire semblant, se mentir à lui même. Son cas n'était pas rare, il le savait, il voulait tellement être différent, il voulait se battre, ne pas accepter un couple sans passion et se battre pour les années de mariage qu'il venait de vivre, seulement... il n'avait plus la force. Il voulait plus, il voulait reprendre sa carrière en main, il voulait repartir à zéro. Il voulait tout simplement être égoïste, au moins une fois. Néanmoins, il ne voulait pas blesser sa femme, elle était tout pour lui et il l'aimait trop pour la quitter sur un coup de tête. Elle était la femme de sa vie, la seule et l'unique. « Tu m'as manqué aujourd'hui » soufflait  Jane à l'oreille de Théodore alors qu'il restait dans l'entrée pendant que ses deux petites femmes se dirigeaient vers la cuisine.

« Madame Henderson... excusez-moi, Madame Montgomery, pouvez vous signer ici ? » Jane lançait un regard inquiet à son futur ex-mari qui ne la quittait pas des yeux. Les coudes posés sur la table. Les deux avocats regardaient également la jeune femme, attendant un mouvement de sa part. « Madame Henderson, je veux garder le même nom que ma fille » Théodore, d'un geste vif, venait de renforcer la pression qu'il exerçait dans ses poings. Néanmoins, il restait calme, faisant preuve d'un réel self-control. Est-ce que ça le dérangeait ? Non, il pouvait partager son nom de famille, il le faisait depuis bien longtemps, mais au fond de lui il ne savait pas si elle faisait ça pour les bonnes raisons. Jane attrapait le stylo que lui tendait son jeune avocat afin de signer le divorce à l'amiable. Sa main, si experte, habituée à opérer des cerveaux, habituée à la précision tremblait pourtant. Théodore détournait le regard, il ne pouvait pas la voir dans cet état. Il jetait un vif coup d'oeil au parc sur lequel donnait la baie vitrée devant laquelle il se trouvait. Les gens continuaient à vivre, ils rigolaient, pleuraient, et lui... il se sentait vide, il venait de perdre l'amour de sa vie. « La garde de Ivy commence donc aujourd'hui, comme il est stipulé dans le jugement, c'est votre mari qui en possède la garde durant les semaines impaires... donc ce soir, c'est vous Monsieur Henderson qui prendrait Ivy jusqu'à dimanche prochain ». Jane, le regard triste, commençait à sentir les larmes envahir son visage. Elle se retournait vers la baie vitrée à son tour, soufflant discrètement. Théodore faisait un pas vers elle, ce geste était si naturel qu'il s'arrêtait immédiatement. Il ne pouvait, à présent, plus se permettre de faire ça. Il ne pouvait pas être égoïste à ce point. « Très bien » lâchai-t-il en fronçant les yeux, puis il quittait la pièce.
J'étais à présent célibataire, cela impliquait que je devais faire les courses, moi Théodore, 32 ans, fraîchement divorcé qui n'avait pas eu l'occasion de mettre un pied dans un supermarché depuis plus de dix ans. Je me baladais dans les rayons trainant mon cadis. Enfin c'était plutôt lui qui me traînait. J'attrapais une boite de chocolats pour Ivy ainsi que des bonbons. Je me rendais ensuite aux rayons des fruits et légumes, seulement je m'écartais du rayon relativement vite. Cet étalage de couleurs me rappelait... une soirée de mars que je préférais oublier. Le sentiment que j'éprouvais, en plus de la journée épuisante et forte en émotion que je venais de vivre, me remémorait la raison pour laquelle je détestais aller au supermarché. J'arrivais par hasard devant une rangée de céréales, il devait y avoir au moins 300 types différents, mais elles se ressemblaient toutes sur l'emballage. Je faisais la grimace. Je déposais le cadis sur le côté afin de ne gêner personne, puis j'apercevais des céréales en forme d'animaux en dernier étage. Je m'accroupissais, tâchant de ne rien faire tomber lorsque je sentais un objet lourd me tomber sur la tête. C'était peut-être le ciel histoire de me punir ? Je relevais les yeux, de toute évidence, j'étais agacé lorsque j'apercevais une jeune femme. Ou plutôt une jeune fille, avec un joli sourire. « Je suis vraiment désolée, vraiment, excusez-moi ». Je me relevais péniblement, le paquet à la main. « C'est pas grave, je peux survivre à un paquet de céréales » rétorquai-je avec un sourire poli. Je pouvais survivre à tout après cette journée. « Moi c'est Linaëlle ».

« Lyn, c'est moi, tu peux récupérer Ivy à l'école ce soir ? J'ai une transplantation qui risque de durer longtemps, ce n'était pas prévu, je suis désolé, je t'aime ». Théodore venait de laisser un message à celle qui partageait sa vie à présent. Linaëlle était le contraire de son ex-femme. Loin d'être parfaite, elle faisait des erreurs et elle pouvait être insupportable. Elle pouvait se balader pendant des heures en petite culotte dans son appartement en mangeant des fraises, ne faisant rien de productif. C'était justement ça qu'il aimait chez elle, malgré leur différence d'âge et malgré les critiques. Elle apprenait peut-être à Ivy l'existence d'Harry Potter et des zombies mais elle était une source d'énergie pour tout le monde. Un renouveau. Théodore attrapait avec délicatesse un masque, se préparant pour le bloc. Il attachait les deux ficelles derrière sa tête, avant de faire la même chose derrière son cou. Il ajustait minutieusement son nouveau calot : un cadeau ridicule de la jeune femme mais qu'il aimait porter. Il venait de postuler pour devenir le chef de chirurgie de l'hôpital dans lequel il travaillait, en effet, il était en mesure de se consacrer pleinement à sa carrière. Sa vie n'était peut-être pas un train en marche continuellement, il y avait des pannes, des complications, mais c'était cette vie à laquelle il aspirait à présent. Il voulait continuer à vibrer comme il le faisait lorsqu'il entrait dans un bloc opératoire ou lorsqu'il était avec Linaëlle. Son couple n'était peut-être pas une idylle parfaite, mais il y a une chose qu'on ne pouvait pas lui enlever : son amour pour la jeune femme.
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:20 par Invité
Bienvenue parmi nous. Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2941632856
Elle doit être contente Lyn. Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1922099377
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:21 par Invité
Bienvenue parmi nous ! Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 3034614979
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Gabrielle Rowena
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:25 par Gabrielle Rowena
Ivana Sexton a écrit:
Elle doit être contente Lyn. Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1922099377
oui Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1942225346 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2941632856

Bienvenue officiellement Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1922099377 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1973890357 Bon courage pour ta fiche Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1942225346
Si tu as besoin, ma boîte à MP est grande ouverte Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 3112672494

En attendant d'être validé tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2336905461

Merci, merci, merci de tenter mon scénario Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 878725457 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2507724822
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:27 par Invité
Bienvenuuuue et bon courage pour ta fiche Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1973890357
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:29 par Invité
Somerhalder, yummy yum. Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 705448254 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 878725457
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1922099377
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 12:48 par Invité
Bienvenue !
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 13:03 par Invité
Bienvenue I love you
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 13:05 par Invité
bienvenue parmi nous Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 1922099377 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2723850382 Théodore - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ? 2941632856
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