(✰) message posté Lun 20 Oct 2014 - 0:15 par Invité
Ewan & Gisel
Cherry Wine
Allongée dans mon lit, sur le dos, les yeux dans les étoiles au plafond, je rêvais doucement que le roi du train fantôme déposait ses lèvres sur les miennes. Je rêvais de ses mains parcourant avec certitude mes épaules dénudées, que chaque caresse me plongeraient dans une transe délicieuse... Chaque nuit, depuis notre première rencontre, il a été le fantôme de mes nuits sans sommeil, il a hanté mes journées d'ennui, mon esprit vagabondant dans ses bras. Et maintenant... Nous nous étions retrouvés, et il était là devant moi. Et moi? J'étais en train de tenter de fuir mes souvenirs, mes pensées brûlantes et mes envies de lui. La peur au ventre, imaginant alors qu'il est là, qu'il ne voudrait que briser mon cœur, cette boite à musique qui chante une douce mélodie depuis qu'il a cueillit sur mes lèvres, le goût d'une passion fruitée. Je me mordille la lèvre, il quitte le salon et d'un recoin d’œil j'aperçois son dos nus... Je soupire doucement en détournant les yeux, je ne suis pas aussi aveugle que je veux bien le faire croire. Un tout petit peu myope c'est tout. Je repense à sa phrase, une embuscade de baisers, et j'ai le feu qui s'allume au creux de mes reins. Je marche un peu, mes talons claquent un peu sur le bois, et je tente de chasser le désir qui me consume. Je l'entends revenir vers moi, torse nu et mes lunettes sur le nez, et moi, captons parfaitement son buste... Mes yeux effleurent sa peau, et le bout de mes doigts ont la bougeotte. Je croise les mains devant moi, et le regarde dans les yeux, pour ne pas reperdre pied. "Merci." Lui soufflais-je avant de finalement faire quelques pas vers lui, attraper les vêtements, effleurer ses mains au passage, et filer derrière lui, direction la fameuse salle de bain. Perturbée, j'ai faillit entrer dans un placard, avant de trouver la bonne porte. Je ferme la porte, me colle à elle et reprend consistance humaine. Je me liquéfiais en face de son regard bleu glacier. Retirer ma robe fut facile, je retirais mon soutien gorge trempé, que je laissais sur le radiateur de sa salle de bain en priant pour qu'il sèche vite et enfilais le chemisier et le jogging... Non en fait, il faudrait que je retire aussi ma culotte, qui était trempée. Je retirais le jogging, puis ma culotte, que je posais aussi sur le radiateur, avant de renfiler le jogging. Je dus faire quelques bourrelet de tissus au niveau de la ceinture pour qu'il tienne, j'étais plus petite que la nana qui avait oublié ça chez lui... Je retirais mes talons, et là j'étais carrément petite. Je me brossais les cheveux avec les doigts, pour arriver à quelque chose de pas trop nul, et sortis au bout de quelques minutes. Le chemisier trop grand noué à la taille et le jogging hyper taille basse, pieds nus... les cheveux relevés pour faire apparaître ma nuque tout aussi blanche que le reste de ma peau. "C'est déjà mieux... merci..." Soufflais-je avec ce petit brun de timidité. Je retournais vers lui, sur la pointe des pieds presque, lui laissant la place sans penser à mes dessous qui sèchent allègrement sur son radiateur.
(✰) message posté Mar 21 Oct 2014 - 1:56 par Invité
Cherry Wine feat. Ewan & Gisel
Elle dansait si bien sur ses petits talons aiguilles ▹ Mathias Malzieu
J'avais comme un goût de déjà vu dans la bouche, ce goût de fer qui me rendait nostalgique. Je la vis tourner les talons vers la salle de bain. J'osais a peine la regarder complètement perdu dans cet histoire. Elle était chez moi, je venais a peine de la retrouver. Ce vieux souvenir qui me hantais jour et nuit. Cette sensation de la voir partout, qu'elle puisse hanter mon cœur dans mes rêves… Ses mignonnes petite fée qui jouèrent avec, comme des petites curieuses a tatillonner dans ma poitrine pour en extirper mon amour… Mon cœur battait si fort en cette instant, alors que la porte se refermait derrière. Je n'osais imaginer ce qui se tramait dans cette pièce, j'imaginais la scène : Elle enleva sa robe accompagner de ses talons, puis enchaîna avec ses sous vêtement, je trouvais son corps dans mon esprit tellement magnifique… Sa peau aussi douce que la soie, ses cheveux qui se glisse lentement sur ses clavicules… Mon esprit en fut subjugué. Cela dit je suis revenu avant qu'elle fasse son apparition, j'avais décidé d'entamer un paquet de crackers, trop intriguer par ce met délicat. J'entendis la porte ce rouvrir, je la vis alors rentrer dans la pièce, ce fut une belle vision, cette chemise noué a sa taille, le jogging un peu trop grand pour elle rafistolé. J’eus un sourire, complètement envoûté par la vision qu'elle me prodiguait. En faisant casser mon crackers en deux entre mes doigts… Elle s'est approché de moi alors que je me trouvais entre le canapé et la table basse. Je me suis approché d'elle voyant bien que c'était a mon tour je me suis abaissa saisissant alors me vêtement sur le canapé, et me redressa alors qu'elle était proche de moi, me retrouvant nez à nez devant elle, sa peau me réclamait je pouvais l'entendre… J'avais envie de la dévorer de baiser à ce moment, soit j'avais faim soit j'avais d'autre envie qui me réchauffa… Je la frôla pour passer derrière elle en lui disant : « De rien… Ce serait dommage que la Mort vienne a nous attraper se soir... » lui disai-je avant de filer derrière la porte, sans penser a la fermer complètement je me suis limite précipiter vers le lavabo, me regardant un instant dans le miroir essayant de faire en sorte de me parler a moi même, mais ce qui me perturba ce fut mes cicatrices sur la poitrine, cette forme pentagonale qui représentait tant de choses de mon passé et quelques brides en commun avec Gisel… Je posa mes doigts dessus comme si je pouvais encore sentir cette chose… Je remarqua sur un étendoir à serviette, les sous vêtement de Gisel, je me suis a rougir tel un enfant pris en flagrant délit. Je remarquait la beauté de ce cache poitrine, ce genre de truc qui me fairais perdre la tête a cacher une beauté pareil. Je me déchaussa de mes catterpillar jaune clair que je posa a coter des toilettes juste a coté des taillons aiguilles de Gisel. Je déboutonna mon jeans ayant du mal a le retirer du a l'eau qui s'était infiltré dans le tissu. Retirant mon boxer ainsi que mes chaussette, je profita pour me sécher à nouveau. Enfilant alors les vêtements sec que j'avais récupéré dans ma chambre. Un t-shirt gris, un boxer noir et vert et puis mon Jeans que j’enfilai. Je me sentais tellement mieux dans ses vêtement sec, j'avais l'impression d'être chaud et ça me faisait du bien.Je suis revenu dans le salon refermant la porte. Remarquant que la jeune femme était toujours là, elle n'avais pas fuis cela me rassurera et évapora un instant ma paranoïa. Je me suis approché d'elle en lui disant : « si… tu veux je nous ai apporter de quoi manger… Tu veux peut être boire quelque chose ? » Lui disais je alors que je passais ma main dans mes cheveux pour les recoiffer un peu. Je voulais tellement être proche d'elle, l'embrasser de nouveau et consumer cette passion qui bouillonne en moi… Mais je sentais bien que cela serait pas dans mon intérêt, j'avais tellement de question… Et j'en était sur qu'elle en avais aussi… Elle connaissait pas cette histoire d'horloge… Ce gadget de fortune que j'ai porté sur moi jusqu'au jour où je l'ai rencontré. Un vrai Monstre j'étais pour la plupart des habitants de skye, mais a Édimbourg j'ai vécu une nouvelle vie… Malgré que je garde cette cicatrice sur ma poitrine me rappelant chaque jour, que c'est en monstre que je suis né et que j'ai renaît le jour où j'ai découvert une chose important, la plus incroyable des magies qui existe. Celle qui a guérit mon cœur de glace… L'amour.
(✰) message posté Mar 21 Oct 2014 - 11:42 par Invité
Ewan & Gisel
Cherry Wine
Me concentrer sur lui, et pas sur mes fantasmagories déplacées. Non, on ne saute pas sur l'inconnu qui rythmé toute une partie de sa vie, et ce sans crier gare. Il est gentil, il me propose à boire, j'accepte en demandant un simple verre d'eau. Je finis par m'asseoir dans un coin du canapé, tournée vers lui, mangeant un cracker sans faire de miettes. "Alors... Ewan... Comment connais tu mon second prénom?" Lui demandais-je d'une voie douce et suave. Je ne peux pas tout retirer de mon envie de le séduire non plus... "Il ne me semble pas que nous ayons pu échanger cela à un moment... J'aurais aimé oui, mais... Rien ne s'est présenté à l'époque." Je me mordis la lèvre, pour réprimer une envie de l'embrasser avec fougue pour attester, que oui j'aurais aimé et même désiré de tout mon cœur, discuter avec lui par le passé. Je lui souris, repliant mes jambes contre moi, les entourant de mes bras. "J'ai... J'ai une autre question à vrai dire, qui accompagne cette première... mais peut être que tu veux qu'on fasse donnant, donnant si bien sûr tu as des questions à me poser... Je la pose en cas et tu avises, j’aimerais comprendre ce qui t'étais arrivé lorsque nous étions enfants... Ce malaise, j'ai jamais compris..." Lui dis-je, appuyant mon bras contre le dossier du canapé et y déposant ma tête, passant ma propre main distraite dans mes cheveux qui commençaient à sécher. Nous avions un temps fou à rattraper, et quand bien même mon corps tout entier l'appelait, il me fallait comprendre des bribes, trop souvent ressassées du passé. Comme un besoin vital, de saisir la portée de notre rencontre passée... Et qui résonnerait finalement dans le futur, notre futur à tous les deux même. "Et au final, qu'est tu revenu? Il s'est passé quand même pas mal d'années depuis notre première rencontre à Édimbourg... Quel a été ton parcours à toi, pourquoi avoir atterrit ici, à Londres?" Tout en l'écoutant se livrer à moi, je passais tantôt une main dans mes cheveux, un index sur mes lèvres, tout en lui souriant allègrement... Il était là, devant moi et nous étions en train d'échanger sur nos vies passées. Jamais j'aurais cru pouvoir vivre un tel moment, à force de l'avoir souhaité tant, je m'étais fait une raison. Le roi du train fantôme serait un fantasme, une douce rêverie pour m'endormir le soir, en me donnant l'impression de compter pour quelqu'un de ne pas être seul. Et tout au long de son histoire, je priais pour qu'il ne m'annonce pas être marié, père de famille ou autre dans le même genre. A cet instant, j'espérais même que pour les années à venir, nous pourrions voir éclore une très belle histoire d'amour, puisqu'il est question de ça, me concernant. Je buvais ses paroles, alternant de mes yeux entre sa bouche et ses yeux à lui, me perdant doucement dans la poésie de l'instant.
(✰) message posté Ven 24 Oct 2014 - 22:58 par Invité
Cherry Wine feat. Ewan & Gisel
Elle dansait si bien sur ses petits talons aiguilles ▹ Mathias Malzieu
Elle me demanda un verre d'eau, j'en profita alors pour aller chercher cela. Un grand verre d'eau ainsi qu'une bière pour ma part. Je suis revenu dans le salon, posant le verre sur la table ainsi que ma bouteille de bière. Je pris place de l'autre coté du canapé, m'asseyant en tailleur face à Gisel. Soudain elle commenca a me poser une question. "Alors... Ewan... Comment connais tu mon second prénom?" me demanda t'elle alors de sa voix suave qui me transporter et me fit du bien tel le chant d'un oiseau qui me glisser son plus beau plumage sur mon oreille :"Il ne me semble pas que nous ayons pu échanger cela à un moment... J'aurais aimé oui, mais... Rien ne s'est présenté à l'époque." enchaina t'elle, alors que j'essayais de me remémoré pourquoi je connaissais ce nom d'Acacia : « Eh bien… Après notre rencontre, j'ai du quitter Skye mon île natale pour vivre à Edimbourg. Je devais être suivit a cause de mon coeur… Je suis allé dans une école privé, je t'ai cherché longtemps. Je voulais te retrouver, c'est alors que je suis tomber sur ce type qui me disait te connaître et il t'apellait ainsi Acacia… » Je posais mon coude sur le dossier sur canaper reposant ma tête sur mon poing fermer comme perdu dans mes souvenir. Je repensais a ce que j'avais subit a l'école. Tomber amoureux d'une fille si convoitait et avoir mon physique du petit gringalet n'aidait pas tellement, j'ai subit des coups et pourtant cela ne m'a pas empecher de continuer de rêver au point de partir d'Ecosse. Cela dit elle me posa une autre question : "J'ai... J'ai une autre question à vrai dire, qui accompagne cette première... mais peut être que tu veux qu'on fasse donnant, donnant si bien sûr tu as des questions à me poser... Je la pose en cas et tu avises, j’aimerais comprendre ce qui t'étais arrivé lorsque nous étions enfants... Ce malaise, j'ai jamais compris..." Devais je lui avoué mon coté monstrueux ? J'avais l'impression de faire face a mon enfance, je hochais la tête signifiant que cela me dérangeait pas, Je me mis a toussoter en reposant ma biere sur la table. Retirant mon t-shirt pour qu'elle puisse voir les cicatrices : « Tu vois ici ? » lui disais-je. Lui montrant mes cicatrines sur la poitrine… Elle pouvais toucher je la voyais si curieuse. Je continua : « Quand je suis né, je suis né congeler au bord de cryogénisation. On a pas pu m'emmener a l'hopital a temps. La sache femme de mon village m'a prit pour un monstre, me plantant une horloge dans la poitrine pour que mon coeur puisse etre proteger. L'hopital était sur l'écosse. Traverser la mer par un temps comme celui de ce jour là était du à l'impensable… D'où ses cicatrice… J'ai vécu huit ans avec, les medecins trouvait le mecanisme interessant… Je vivais grace à cette horloge. C'était de la bizarerie que même maintenant j'aurais du mal a comprendre… Ce jour là, ce fut la premiere fois que je découvrais Edimbourg. Quand j'ai dansé avec toi, j'ai epprouvé la plus merveilleuse des sensations… Mais hélas, mon horloge coeur lui c'est pris pour une vielle locomotive. J'ai fais la plus incroyable crise d'amour… Le soucis les passants ont apeller les pompiers et m'ont emmené a l'hopital… Ce jour là, ils ont retiré l'horloge et m'ont placé à pacemaker, mon coeur est en trop mauvais état du à l'atrophie causer par le gel. Ma vie est un miracle… » soupirai-je d'un petit sourire, j'avais l'impression d'être un monstre mais je me cacha sous un sourire. Et alors elle me posa une derniere question : "Et au final, qu'est tu revenu? Il s'est passé quand même pas mal d'années depuis notre première rencontre à Édimbourg... Quel a été ton parcours à toi, pourquoi avoir atterrit ici, à Londres?" Je me suis mis a sourire, je lui avoua : « Eh bien… Je suis arrivé à Londres il y a 6 ans. J'ai pas mal voyagé. Dans un sens pour essayer de te retrouver et de l'autre pour découvrir les beautés de ce monde… Surtout les bizzareries, quand je suis revenu, j'ai repris mes études d'histoire et d'archéologie… Depuis deux ans, je suis professeur à l'université de Bloomsburry et je voyage par moment sur different types de fouilles… Et toi dit moi, quel est ton parcours ? » Mon autre main posa ma biere a nouveau sur la table avant de rejoindre celle de Gisel, j'y allais doucement tentant une approche effleurant doucement son pouce avec mon index comme un automatisme que je commencais a prendre.
(✰) message posté Ven 7 Nov 2014 - 10:58 par Invité
Ewan & Gisel
Cherry Wine
Il montra son cœur, il m'expliqua sa bizarrerie, et je lui en étais reconnaissante d'avoir finalement levé le voile sur des années de spéculations de ma part. Lorsqu’il souleva son t-shirt, je réalisais à quel point, son enfance n'avait pas du être évidente. Je m'approchais de lui, et tendis la main vers son torse, pour effleurer sa cicatrice. "Je vois." Lui dis-je doucement, réalisant que j'étais bien loin du compte au final, moi qui m'étais imaginée tout un tas d'histoires toutes plus compliquées, les unes que les autres! Il me fit rougir lorsqu'il parla du fait de m'avoir cherché. "ça m'intrigue, outre le fait d'avoir croisé ce garçon là qui me connaissait sous le prénom Acaccia, ce qui m'intrigue réellement Iwan, c'est comment un jeune garçon peut il avoir la certitude qu'une enfant, qu'une fille soit faite pour lui depuis le départ? Je... enfin... Je ne dis pas que tu penses que j'étais faite pour toi, c'est un peu..." Je m'emmêlais les pinceaux. "Prétentieux de croire ça, non parce que... Regardes toi, tu es très... charmant, quoique ce ne soit pas le sujet dans le présent. Ce que je veux dire, de manière très confuse, c'est pourquoi me chercher si longtemps? Nous avions dansé ensemble et ... Je mentirais si je disais que l'instant n'est pas resté dans mon top 5 pendant toutes ces années... Mais..." Je m'arrêtais. "Comprends tu mon scepticisme?" Parler de moi n'était pas ce que je préférais faire, loin de là même, mais comme il venait de me parler de lui, longuement, je me devais de lui rendre l'appareil. Je me penchais pour attraper le verre d'eau et le porter à mes lèvres pour boire une gorgée. "Voyons voir, j'ai vécu une bonne partie de mon enfance en Espagne, papa était saltimbanque à ces heures perdues, du coup, je l'ai quand même suivit dans ses envies de voyage. l'Ecosse, l’Angleterre, la France, j'ai voyagé un peu donc... Et il m'a donné cette envie de continuer, j'ai fait mes études à Oxford, où j'ai été diplômée en Anthropologie Judiciaire, je travaille au centre médico légal de Londres actuellement... Finalement nous n'avons pas des métiers si éloignés, tu dates les corps pour les musées, et je date les corps pour résoudre des affaires enterrées." Lui dis-je pour le taquiner sur son métier. Je posais ma tête contre mon coude droit, plié, donnant l'impression que je pouvais m'endormir d'un moment à l'autre. "Pourquoi avoir choisit cette voie plus qu'une autre?"