(✰) message posté Ven 25 Juil 2014 - 19:19 par Invité
❝ i feel it good. ❞
You're such an instigator, you wanna play the game Take it or leave it, that's her, that's her And I can't wait another minute I can't take the look she's giving Your body rocking, keep me up all night One in a million. My lucky strike----
Je m'étais habillé, maquillé pour ma sortie et j'attendais. Il était 14h sur mon téléphone. La baby-sitter venais d'arriver avec 35 minutes de retard. Je me contente de lui lancer un regard se voulant menaçant pour qu'elle comprenne que je ne prenais pas ça à la légère. Autant je peux m'en foutre de tout ce qui peut exister sur Terre, étant la pire laxiste du monde, mais lorsque ça touche Hope je ne supporte pas ça. J'espère bien qu'elle fait preuve de plus de sérieux quand elle la garde . Je la sermonnais un peu avant de quitter la maison en direction de celle de Nathan'. J'avais bien sûr prévenue quelques voisins de passer de temps à autre pour surveiller. Après 10 minutes de marche je rentrais dans le premier tramway m'asseyant dans une place à l'arrière de l'engin. On s'était donné rendez-vous aujourd'hui Nate et moi. Cela faisait un petit moment que l'on ne s'était pas retrouvés et je dois dire que le jeune homme commençait à me manquer. Je relisais nos messages dans les transports en riant intérieurement fasse à nos sous-entendus enfantins. Soyons honnêtes, je couche souvent de gauche à droite avec.. des gens, ou plutôt des hommes. Mais il m'arrivait rarement de m'attacher au temps à quelqu'un... Décidément Nate dégageais quelque chose de vraiment hors du commun. Je m'arrêtais en chemin pour lui acheter quelques pâtisseries et une bouteille de vin blanc. Je n'aimais pas venir les mains vides chez des amis (surtout des amis intimes), alors je lui pris une tartelette aux fraises, une aux citrons meringués et une dernière aux fruits accompagné de quelques viennoiseries. Quelques sucreries en plus de ma personne diront nous. J'espérais bien que le brun apprécierait ces présents. Je me dirigeais vers un bus qui me conduit directement dans le quartier de Nate. Je marchais alors en direction de son appartement. "driiiiiiiiiiiiing" Attendant patiemment que monsieur vienne m'ouvrir. « Hey surprise! » lui dis-je d'un ton enthousiaste en lui déposant un bisou sur la joue. Bien qu'il soit logique qu'il s'attendait à ma venu. « Désolé du retard... La baby-sitter a mis du temps à venir.. Et en plus je suis allé acheter ça. » Tout en levant mes mains, je lui présentais mes achats. « Je ne pouvais tout de même pas venir chez monsieur Keynes les mains vides. » Un sourire taquin au coin des lèvres j'ajoutais. « Surtout pas si tu as des choses intéressantes à me dire. »
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Mar 29 Juil 2014 - 19:53 par Nathanael E. Keynes
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ft. Kaitlyn A. Ortega-Woods && Nathanael E. Keynes
Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Après un certain nombre de sms hier soirs, et la réalisation alors que ça faisait en effet beaucoup trop longtemps qu'on ne s'était pas vus, j'ai fini par convenir avec Katee qu'on se verrait aujourd'hui. Et je crois que contrairement à hier où j'ai eu toutes les peines du monde à me lever, savoir que j'allais voir la jeune maman me motivait largement à quitter mon lit. Bien que j'aie effectivement pour projet de le rejoindre - j'espère bien en sa compagnie - un peu plus tard, mais on dira que c'est un détail. Je suis rentré seul hier, dans cette optique, et même si la journée de samedi a été un peu longue, il faut bien l'avouer, je pète plutôt la forme en me levant, donc, ce dimanche matin, et je suis fin prêt, grattouillant ma guitare, quand elle a sonné à ma porte, un peu après l'heure dite. Je suppose un souci avec la baby-sitter ou avec les transports, mais ça n'a pas d'importance. A vrai dire, si je n'avais pas regardé ma montre, je n'aurais pas remarqué ledit retard, plongé dans ma musique.
« Hey surprise ! » fait-elle lorsque je lui ouvre la porte, tout sourire, avant de me déposer une bise sur la joue. « Désolé du retard... La baby-sitter a mis du temps à venir.. Et en plus je suis allé acheter ça. - C'est pas comme si on était pressés à la minute. Ca va avec Hope pour le coup ? Il n'y aura pas de souci ? »
Parce que soyons clairs, j'adore passer du bon temps avec elle, et j'ai plein de choses à lui raconter, mais on est tous les deux d'accord, je crois, que ça ne sera jamais au détriment de sa fille, hors de question. Enfin si elle est là, et pas les mains vides, d'ailleurs, c'est que ça doit aller, et à en juger par son enthousiasme, je pense que c'est effectivement le cas.
« Je ne pouvais tout de même pas venir chez monsieur Keynes les mains vides. - Ah non ! Ca, c'est mon père... »
Je crois que c'est la seule façon de m'appeler que j'aime encore moins que mon prénom de baptême à vrai dire. Cela dit... Des douceurs d'une boulangerie du coin, une belle bouteille de vin blanc. Mmmh... Moi je dis que ça s'annonce bien tout ça, n'est-ce pas ? Son air mutin le confirme plutôt, d'ailleurs, comme je la débarrasse et l'invite à entrer chez moi, donc, et à s'installer dans mon canapé, pendant que je vérifie la température du vin.
« Surtout pas si tu as des choses intéressantes à me dire... » rajoute-t-elle comme je pense que mettre la bouteille au frais quelques instants ne lui ferait pas de mal, et je souris encore.
« C'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde, n'est-ce pas ? Ou plutôt... sous les yeux d'une aveugle... »
Un grand sourire étire mes lèvres. Non je n'en dirai pas plus tout de suite, va falloir venir m'amadouer ma belle. En attendant, je désigne la bouteille que j'ai encore en main...
« Ca sera meilleur frais, je la mets un peu au frigo... Tu as peut-être quelques idées pour nous occuper les mains en attendant ? »
Et un sourire parfaitement innocent pour ponctuer tout ça... Ou pas.
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(✰) message posté Dim 24 Aoû 2014 - 23:41 par Invité
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À peine étais-je arrivé que je me sentais déjà plus détendu. Il m'avait rassuré sur mon retard en m'affirmant ne pas l'avoir remarqué. Je le pris plutôt bien. J'entrais ensuite dans la demeure du jeune homme. Celui-ci me demandait ensuite si tout allait bien pour Hope. Il était toujours aussi prévenant ça faisait plaisir à voir.
« Oui t'inquiète. Finalement, elle est arrivée et j'ai demandé à quelques voisins de surveiller la maison et d'y passer de temps à autres. »
Je ris à la remarque qui suivit, je commençais vraiment à le connaitre et surtout à cerner le personnage. J'aurais mis ma main à couper qu'il me répondrait ça. Et ça m'amusait vraiment de deviner les réactions du jeune Keynes, je ne savais pas si c'était volontaire ou s'il était naturellement sexy lorsqu'il faisait sa tête de refus quoi qu'il en soit je l'admirais sous tous ses traits, il n'y avait pas de doute possible, physiquement on se valait bien. Après qu'il ait rangé tout ce qu'il fallait, je me rapprochais de lui l'enlaçant doucement la taille dos à lui, caressant du bout des doigts le torse du jeune homme.
« Oui c'est vrai toutes mes excuses. » Je me mis sur la pointe de mes pieds pour déposer un baiser sur sa nuque. « Exactement c'est pour cela que je veux tout savoir. »
Je le relâchais ensuite en laissant traîner mes mains le long de sa taille. Je souris ensuite avant de m'éloigner de nouveau, en allant m'installer sur le canapé.
« J'ai peut-être une idée, mais je ne sais pas trop si ça va te plaire. » Je le regardais un sourire de sous-entendu sur le visage.
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(✰) message posté Lun 25 Aoû 2014 - 0:04 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
« Oui t'inquiète. Finalement, elle est arrivée et j'ai demandé à quelques voisins de surveiller la maison et d'y passer de temps à autres. »
Bon, ça va alors. On dirait pas comme ça, mais je suis quand même un minimum responsable, si, si, et je ne voudrais vraiment pas que sa petite puce pâtisse du temps que je passe avec sa mère. C'est juste hors de question, même... Ca n'empêche que je peux être un môme incorrigible sur certains points et un mec peu fréquentable selon certaines personnes, juste parce que... disons que je m'amuse bien la nuit, oui, bon. Mais je fais, vraiment, de mal à personne, aux dernières nouvelles, je vois toujours pas où est le problème, et c'est sans doute un truc qui fait qu'on s'entende aussi bien avec Katee, parce qu'elle fonctionne pas mal comme moi, je crois.
La preuve, j'ai une jeune maman collée dans mon dos, dont les doigts tracent doucement quelques lignes sur mon torse et soyons clairs, c'est bien loin de me laisser indifférent.
« Oui c'est vrai toutes mes excuses. »
Hein ? Euh... Pourqu... Oh... Bah ça va, y a pas mort d'homme, j'aime pas qu'on m'appelle comme mon père, mais c'est pas la fin du monde, puis c'est moins pire quand c'est dans ta bouche ma belle faut croire. Et évidemment, si c'est assorti de ce genre de baiser, ça risque encore moins de rester un problème... Ce qui va peut-être en être un, c'est de savoir par quoi on commence, je crois, par contre.
« Exactement c'est pour cela que je veux tout savoir. »
D'accord, d'accord, mais là, je sais pas si j'ai toujours envie de parler, vois-tu... Ses mains se sont attardées autour de ma taille avant qu'elle ne s'éloigne et ne s'installe tranquillement sur mon canapé et je me suis retourné pour la regarder, un sourire sans équivoque sur les lèvres. Agrandi lorsqu'elle reprend à nouveau la parole d'ailleurs.
« J'ai peut-être une idée, mais je ne sais pas trop si ça va te plaire. »
Bah voyons... Je suis venu m'asseoir près d'elle, nonchalamment, comme si je comprenais pas vraiment où tout ça nous dirigeait... et puis j'ai ouvert la bouche à mon tour.
« On a donc deux options, si je comprends bien... soit je passe aux aveux tout de suite... »
Et on sait tous les deux que d'une manière ou d'une autre, je te raconterai ce qu'il y a à raconter, mais reste à savoir si c'est maintenant ou plus tard.
« Soit on voit si ta petite idée peut me plaire... »
Et ma main qui vient doucement caresser sa nuque, quelques doigts perdus dans ses cheveux et mon visage qui se rapproche du sien doivent assez bien manifester laquelle de ces deux alternatives me tente plus que l'autre...
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« On va vérifier ça... » Deux options... Un sourire malicieux vient se dessiner sur mon visage.. En apparence il y en avait deux, mais bien évidemment, dans les faits on était tous les deux attirés par la même idée. Là tout de suite je ne pensais plus trop à ce qu'il avait à me dire. Mes pensées étaient bien trop concentrées sur ce baiser que nous allions bientôt échanger. Je rapprochais mes lèvres des siennes les effleurant doucement avant de l'embrasser lentement, mais avec une certaine sensualité. Je caressais par la même occasion, sa joue, son cou d'une main et sa taille de l'autre. Le contact de sa peau contre la mienne avait le don d'éveiller en moi des envies très peu catholique. Après un petit moment à se laisser emporter par la chaleur enivrante de ce doux baiser qui était passé de l'état d'innocence à celui de passionné je perdais alors petit à petit le contrôle de moi-même. Lorsque nous scellions notre baiser, nous ne nous lâchions pas pour autant, bien au contraire. J'avais envie d'être au plus proche de lui, de me perdre dans ses bras, de le sentir me désirer autant que moi je le voulais, car bien qu'il n'y ait pas de sentiments amoureux entre nous, le passage à l'acte était quelque chose de personnel et j'estimais que quelle que soit la personne avec qui on le faisait cela méritait d'être bien fait. Je descendis alors mes baisers sur le cou du jeune homme tout en pensant mes mains sous sa chemise, caressant chacune des parcelles de sa peau. Après un petit moment je pris alors les devants en montant sur Nate et en m'appuyant bien sûr sur mes genoux qui étaient de part et d'autre du jeune homme. Je le regardais en souriant. Je passais mes mains sur le bas du dos du jeune homme en lui déposant quelques baisers sur le début de son torse que je venais de déboutonné de deux boutons.
« Alors qu'est-ce que t'en dis? » Je laissais doucement glisser mes lèvres sur sa peau douce et chaleureuse.
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(✰) message posté Lun 25 Aoû 2014 - 18:28 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
« On va vérifier ça... »
Evidemment qu'on est tous les deux attirés par la même chose, c'est pas vraiment comme si c'était une nouveauté. En même temps, c'est sans doute pas pour rien qu'on s'entend si bien, y a quand même pas mal de points sur lesquels on fonctionne pas mal de la même manière. Et en l'occurrence, ce petit jeu de séduction, ça en fait partie. Je crois pas qu'il y ait vraiment beaucoup de nos entrevues qui ait pas été comme ça, mâtinée de sensualité, voire... plus. Je crois bien que pour plein de gens, c'est un peu étrange notre relation, j'ai déjà entendu des trucs du genre qu'on pouvait pas ne pas vraiment être amoureux. C'est pourtant le cas. Alors certes, oui, on a de l'affection l'un pour l'autre, c'est indéniable. Mais j'ai de l'affection pour plein d'autres gens de la même manière, et non, clairement, ça n'est pas de l'amour. Clairement pas l'Amour avec un grand A. Sinon je ne passerai pas autant nuits dans les bras d'autres personnes. Ce qui m'empêche pas, aujourd'hui, de savourer le fait de l'avoir dans mes bras, là, et d'être, en quelque sorte, tout à elle. Pour quelques heures, au moins.
Parce qu'on est effectivement bien partis pour que ce soit 'plus' aujourd'hui aussi - mais je dois bien avouer que c'était pas vraiment en dehors de mon esprit quand je l'ai invitée à passer... Et je me retrouve donc tranquillement assis près d'elle, à venir caresser sa nuque, le visage tout près du sien, attendant qu'elle franchisse les derniers centimètres qui nous séparent, ce pourquoi elle ne s'est pas fait prier. Ca m'arrange bien et je lui offre un baiser aussi doux et sensuel qu'elle est en train de le faire. Sa main sur ma joue fait écho à la mienne et mes lèvres se font plus entreprenantes... autant que les siennes d'ailleurs. Et tout comme ses mains cherchent le contact de ma peau, les miennes cherchent le sien, l'une se perdant dans ses cheveux, l'autre effleurant dans son buste, remontant doucement vers sa poitrine, l'effleurant à peine encore. On a tout le temps.
Pourtant, quand ses baisers descendent vers mon cou, je frissonne et le murmure de plaisir qui s'échappe de ma gorge est sans la moindre équivoque. Depuis le temps, je pense qu'elle sait pertinemment ce qu'elle fait, d'ailleurs...
« Alors qu'est-ce que t'en dis ? - Que tu sais te montrer très convaincante... »
Comme si j'avais besoin d'être beaucoup convaincu en même temps... Et tout comme elle arpentait ma peau de ses lèvres, les miennes sont venues dévorer son épaule remontant doucement, presqie centimètre par centimètre, vers son cou jusqu'à déposer de nouveaux baisers juste derrière son oreille.
« Et que tu me connais même un peu trop bien... » rajoutai-je encore dans un murmure à son oreille.
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(✰) message posté Mar 26 Aoû 2014 - 14:14 par Invité
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Mon coeur commençais lui aussi à perdre les commandes, ma respiration de plus en plus forte sous les baisers et caresses du jeune homme ne m'aidait pas non plus. Ses doigts caressant délicatement les parcelles de ma peau me faisaient frémir de plaisir. Par la même occasion cela provoquait un cambrement de mon bassin. Tout en étant sur le jeune homme? Un frottement des deux bassins involontaire? Je me mordais discrètement la lèvre pour éviter tout dérapage de plus, je voulais prendre mon temps avec lui, il le méritait tout de même, après tout ce n'était pas n'importe qui. La sensation de ses doigts effleurant à peine ma poitrine avait été pour moi, centuplé sous l'ivresse de nos caresses. Je passais alors ma main sous la chemise du jeune homme, caressant le bas de son bassin délicatement. Savourant chacun des baisers qu'il déposait sur ma peau, m'exaltant de la chaleur que cela provoquait en moi. J'aimais le jeu que l'on avait pris l'habitude de jouer ensemble, nos folles heures à "prendre soin l'un de l'autre", le temps que l'on passait ensemble tout simplement. Une amitié améliorée peut aussi bien fonctionner que deux personnes qui sont en couple. Mais ça, peu de gens pouvaient le comprendre apparemment. Je souris lui sourit lorsqu'il me dit être assez convaincante. Appréciant chacun des baisers qu'il déposait, je caressais ses jambes lorsqu'il murmura à mon oreille, je souris un peu fière de moi je dois le reconnaître c'était à la fois un avantage et un honneur. J'inspirais un grand coup avant de l'embrassais langoureusement. Effleurant à peine son fessier de part et d'autre. Déposant des baisers enflammés sur le torse du jeune homme en descendant jusque le bas du ventre de celui-ci.Mais une vibration provenant de ma poche vint nous interrompre en plein action.. Mince, c'est mon téléphone qui vibre, merde! Pourquoi maintenant!? J'étais sur une bonne lancée là! Que de frustration. Je soupirais je n'avais pas envie de prendre mon téléphone.. Mais tout de suite après, je repensais à Hope et me suis dit que cela pouvait être un appel pour elle.. Ni une ni deux, je pris alors le téléphone pour avoir apparaître le visage de mon meilleur ami, Gabriel. Oh mon dieu.. Qu'est-ce qu'il y a bien pu arriver ? Ou peut-être avait-il une idée de l'endroit où je me trouvais... Je ne savais pas et à cette idée j'hésitais à décrocher. Nate me regardait d'un air interrogateur et légèrement inquiet. Il avait surement lui aussi pensé à Hope.
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Mar 26 Aoû 2014 - 20:25 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Je sens son souffle saccadé, ses mains sur moi, parfois même, je perçois les battements de son coeur qui s'accélèrent. En écho aux miens, de plus en plus désordonnés aussi, et pour cause. Chacun de ses gestes me fait réagir, chaque baiser sur ma peau, chaque caresse m'emplit un peu plus de désir, et quand nos lèvres se joignent à nouveau, je la serre un peu plus contre moi. Peut-être, oui, que pour certains, tout ça ne peut pas ne pas être de l'amour, et je ne nie pas qu'il y ait une profonde part d'affection, mais c'est encore tout autre chose, j'en reste convaincu. Un tout autre chose qui nous convient très bien, à tous les deux, et c'est tout ce qui compte, qu'importe les avis extérieurs. Je connais son corps comme elle connaît le mien, et notre amitié est indéniable, la tendresse qu'on éprouve l'un pour l'autre tout autant. Ca ne nous empêche pas de multiplier les conquêtes à l'extérieur, l'un comme l'autre. Qu'est-ce qui nous en empêcherait, après tout ?
De plus en plus entreprenante, Katee a fini de déboutonner ma chemise, et laissé ses baisers migrer doucement vers mes abdominaux... Une démarche assez prometteuse, je dois bien avouer, et du plus bel effet. Je meurs d'envie de la déshabiller, autant que de moi-même retirer mes propres vêtements - tout au moins ceux encore réellement présents - qui commencent légèrement à se trouver... Trop serrés. Jusqu'à ce que le vibreur caractéristique d'un portable retentisse. Rapidement, on comprend l'un comme l'autre qu'il s'agit du sien, et autant j'aurais laissé le mien dans un coin, autant puisqu'il s'agit de celui de la jeune maman, le regard que je lui jette reste sans équivoque. S'il s'agissait de sa fille, clairement, je la laisserais partir. Les enjeux étaient beaucoup trop importants pour que je joue les égoïstes et envoie valser l'appareil importun pour me concentrer sur notre plaisir commun. Non, il n'était pas question un instant de mettre Hope en danger.
Elle ne décroche pas, pourtant, et je reste quelques secondes à la regarder, attentiste. Toujours rien ? Alors il ne s'agit pas de sa fille, et sans un mot, je reviens poser mes lèvres dans son cou, y apposer quelques baisers, très doux d'abord, puis de plus en plus passionnés. Le message me semble assez clair, pour la peine : laisse-le dans un coin, on est occupés à autre chose, tu rappelleras plus tard... Mes mains aussi, se font éloquentes, comme l'une revient se perdre dans ses cheveux, caressant sa nuque et sa mâchoire au passage, tandis que l'autre remonte doucement de ses hanches à sa poitrine. Et en passant sous son haut cette fois-ci, que j'ai déjà terriblement envie de lui ôter. Et d'ailleurs... Pourquoi m'en priverais-je, finalement ? Mes doigts se referment sur le bas de son débardeur, et le guide par-dessus sa tête, afin que je découvre son buste, et sa jolie poitrine mise en valeur par les dessous qu'elle a choisis de porter aujourd'hui... Je ne les observe pourtant guère, puisque mes lèvres viennent à nouveau goûter sa peau, et profiter des parcelles nouvellement offertes tandis qu'une de mes mains parcourt son dos et s'arrête sur l'attache de son soutien-gorge. Et ça n'était pas comme si je n'avais pas l'habitude de dégrafer ce genre de choses...
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Je ne savais pas où donner de la tête. Et ça dans le sens littérale du terme, d'un côté j'avais Nate qui me touchait, m'enlaçait, me faisait frémir de part ses caresses et ses baisers... Et de l'autre, un coup de fil de mon meilleur ami super jaloux et possessif Gabriel. Je ne savais pas quoi faire, je tentais de garder un minimum les pieds sur Terre pour pouvoir réfléchir mais c'était sans compter sur Nate et ses douces mains baladeuses, en quelques minutes je me retrouvais sans débardeur, sa main sur mon agrafe et ses lèvres sur le haut de ma poitrine. Je me cambrais de nouveau, inspirant une grande bouée d'air, je prenais la tête de Nate et la serrait contre moi. Je laissais alors mon téléphone malgré moi. Je caressais ensuite, la joue de mon partenaire, pour ensuite longer le long de sa taille. Jusqu'à arriver à la limite que nous imposait son pantalon encore présent. Je caressais ses jambes ainsi que son fessier ton en collant mon bassin au sien suivi de mouvements très suggestifs. Comme des ondulations verticales et horizontales. C'était mon côté caribéen qui me permettait de faire ça. J'en profitais pour déposer un baiser sur les siennes pour ensuite mordiller sa lèvre inférieure. Après un petit moment à caresser le bas du corps de Nate, de remontais mes mains sur son torse, lui déposant des baisers sur le cou, remontant doucement jusqu'à lobe d'oreille de mon ami que j'attrapais du bout des lèvres, je souris, on m'a souvent dit que cette partie du corps était érogène, mais je ne m'y étais jamais attardé c'était le moment d'essayer. Mais tout à coup, mon téléphone retentit une encore une fois, mais c'était un message, Gab' me disait que je devais décrocher c'était urgent, je l'avais vu sur l'affichage de l'écran de verrouillage, je soupirais frustrée tout en m'éloignant de Nate un instant... Je restais en soutien-gorge, mais j'attachais mes cheveux en chignon.
« Désolé Nate, je dois appeler quelqu'un.. Excuse-moi. »
Je pris mon téléphone et lorsque j'allais l'appeler je reçus son coup de fil. Je décrochais alors m'attendant au pire comme au meilleur. Tout d'abord, tout allait bien, il me demanda ensuite si je pouvais venir accompagner de Hope pour sortir avec lui et Tara, je lui expliquais que cela ne pouvait se faire tout de suite. Il me demanda ensuite ou était-je pour avoir la respiration si haletante, je ne lui répondais pas, à partie de ce moment-là, la dispute débuta. Je m'étais préparé psychologiquement à ça. C'était prévisible. Je le connaissais presque par cœur et réciproquement. Je m'étais isolé pour pouvoir parler sans que Nate nous entende enfin surtout moi. Au bout de 10 minutes, le jeune homme répliqua me laisser avec mon mec nous faire du bien... Je ne tentais même pas de le rappeler c'était perdu d'avance. J'étais à nouveau la méchante de l'histoire. C'est clair qu'avec ça ma libido était quand même bien retombé. Je revenais vers Nate, l'air moins enjoué que lorsque je l'avais quitté.
« Pardon encore de t'avoir.. Coupé dans ta lancé.. »
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Mar 2 Sep 2014 - 14:08 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Ses caresses, ses baisers... Finalement j'ai pas besoin de beaucoup plus pour me sentir bien. Elle est sur moi, son corps tout contre le mien, et je demande rien de plus, clairement... A part peut-être que son téléphone la laisse en paix. Elle dépose toute une série de baisers dans mon cou qui m'électrisent littéralement et quand ses lèvres se referment sur le lobe de mon oreille, je retiens mon souffle : il y a des zones comme ça, qui sont particulièrement sensible, chacun a les siennes, mais celle-ci pour moi c'est juste...
Frustrant. Parce que son téléphone sonne encore, et qu'une fois de plus, elle s'arrête, soupire et s'éloigne de moi en attachant rapidement ses cheveux.
« Désolé Nate, je dois appeler quelqu'un... Excuse-moi. »
J'ai juste hoché la tête, mais je crois pas qu'il y ait grand chose à rajouter. Elle s'est éloignée son téléphone a sonné, encore, et elle a gagné la chambre pour s'isoler. Et si j'ai tâché de ne pas me montrer trop indiscret, les éclats de voix provenant de l'autre pièce étaient sans équivoques. Ok. Je crois que là, le message est clair. J'ai refermé ma chemise, soupiré profondément une fois qu'elle a repoussé la porte, et passé une main dans mes cheveux, un peu inquiet quand même. Ca a l'air assez tendu, et ma petite frustration personnelle importe peu. J'espère que ce n'est pas trop grave pour elle quand même...
Et quand elle revient, visiblement moins ravie qu'à son arrivée chez moi, je suis déjà passé par la cuisine, histoire de passer à autre chose - peut-être pas définitivement, qui sait, mais au moins dans l'immédiat - et gâteaux et vin nous attendent donc gentiment sur la table basse.
« Pardon encore de t'avoir... Coupé dans ta lancée... - Ca, ça n'a pas vraiment d'importance ma belle... Ca va aller ? »
Je vois bien qu'elle est 'légèrement' tendue, et je n'aime pas ça. Je me suis donc rapproché d'elle, pour la prendre dans mes bras un instant, et déposer un baiser sur son front.
« Tu veux en parler, ou je te change les idées avec mes histoires tordues et un peu de vin ? »
De ton vin, d'ailleurs, mais... chut. Je sais pas ce que c'était, mais ça avait l'air houleux. Et au moins, je sais que ça concernait pas Hope, sinon tu serais déjà en train de te rhabiller prête à partir donc... c'est peut-être pas si grave que ça, n'est-ce pas ? Un baiser plus chaste que les précédents, du bout des lèvres, presque, et je lui ai pris la main, la guidant vers le canapé qu'on vient de quitter, où je la laisse se réinstaller avant de lui tendre un des verres déjà remplis.
« Mmmh... » Je cherche un instant à quoi on peut porter un toast. Et le premier truc qui me vient à l'esprit, c'est... « Aux emmerdeurs qu'on aime bien quand même... »
Parce que j'en suis un, d'une certaine manière, que le gars dans les bras duquel j'étais hier soir rentre parfaitement dans cette catégorie aussi et que manifestement, la personne qu'elle avait au téléphone y a tout autant sa place. C'est vrai quoi, on n'a pas idée de déranger les gens dans ces moments-là...
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