(✰) message posté Sam 13 Sep 2014 - 21:14 par Invité
❝ i feel it good. ❞
You're such an instigator, you wanna play the game Take it or leave it, that's her, that's her And I can't wait another minute I can't take the look she's giving Your body rocking, keep me up all night One in a million. My lucky strike----
Pourquoi quel que soit ce que je fais, il faut toujours que l'on me donne l'impression de mal agir? Je n'avais même pas pu m'expliquer avec Gabriel tant il m'avait pris la tête. Et en plus de ça ... Fallait qu'il me fasse une scène à distance en présence de quelqu'un dans la pièce d'à côté... Damn. Gab' avait le dont de savoir tomber au mauvais endroit, mais pile là où il faut pour faire mal... enfin bon, faut que je passe à autre chose pour le moment.. Après tout je n'étais pas seule. Je fis alors apparaître mon célèbre sourire factice pour rassurer mon ami. Je le serrais dans mes bras et sourit sous le baiser protecteur qu'il venait de m'offrir. Heureusement qu'il était là. Il arrive à comprendre les choses même lorsque j'en dis peux. Cela a le don de me rassurer sur ma médiocrité vis-à-vis de mes rapports sociaux. Je le regardais avec un air d'admiration. C'est l'un des rares mecs qui est capable de s'arrêter dans son excitation pour se soucier de la personne qu'il a face à lui. Je trouvais ça adorable. Enfin il n'était pas sûr qu'il se soit totalement retiré l'idée de l'esprit.. Enfin bon, c'était déjà énorme.
« Non ne t'inquiète pas c'est... Simplement mon meilleur ami qui fait des siennes on va dire. Je veux bien un verre s'il te plait. »
Je le regardais en souriant. Je ne voulais pas le bassiner avec ma relation plus que houleuse avec Gab. C'était trop complexe à expliquer. Il déposa ensuite un baiser. Qui voulait surement signifier qu'il était si j'en avais besoin d'en parler... Rhoo.. pourquoi les hommes parfaits sont soit déjà pris, soit ne veulent pas d'engagement ou alors sont gay. Oh monde cruel! Quoi qu'il en soit il était un très bon ami, c'est déjà ça. Je m'asseyais sur son canapé attendant que le jeune homme revienne avec les verres.
« Je n'aurais pas pu trouver mieux. »
Je souris pour approuver ce magnifique avant de trinquer. Je bus la boisson presque d'une traite. Je la trouvais plus que délicieuse. Il m'arrivait rarement de boire des boissons aussi fines. J'étais plutôt portée sur les cocktails de soirées (je vous laisse deviner quel barman fait les meilleurs cocktails d'après moi hum) et les tequilas, kirschs, whiskys, rhum.. des boissons assez fortes diront nous. Mais c'est vrai qu'une bonne bouteille de vin de temps à autre ne fait pas de mal. Et disons le franchement, on c'était plutôt bien lâché sur ce coup-là. Pour vous donner une idée je ne sais pas à quel moment nous avions terminé la dite bouteille. À force de dire tout et n'importe quoi comme parler de nos PCR réciproque, du travail, de mes études et de la famille etc. On ne voit pas les verres passés. À un moment, en écoutant une anecdote que me disait Nate, je le regardais comme hypnotisé.
« J'ai envie de faire quelque chose tu permets? » Je ne laissais même pas le temps au jeune de me répondre que j'avais déjà mes lèvres agrippées aux siennes. On peut dire que j'étais assez cash sur ce coup-là. Je le regardais à nouveau dans les yeux avant de rire et de me remettre à ma place de nouveau.
« Pardon je ne sais pas ce qui m'a pris. L'envie m'est venue d'un coup.. Donc je l'ai assouvie. » Je ne savais pas si c'était logique, mais je l'avais senti comme ça. Et puis j'ai plus trop de quoi avoir honte face à lui. Il m'a quand même vu toute nue en partant de ce principe-là... Je n'avais plus de gène à avoir face à lui.
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Dim 14 Sep 2014 - 11:03 par Nathanael E. Keynes
My present for you, it's... me
ft. Kaitlyn A. Ortega-Woods && Nathanael E. Keynes
Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Je suis clairement pas dupe. Quand elle revient dans mon salon, le sourire aux lèvres comme si de rien n'était, je sais très bien que c'est une façade. Et je veux évidemment pas lui tirer les vers du nez non plus, mais je lui confirme que je suis là, si elle souhaite en parler. C'est à ça que servent les amis, non ? Même si je suis pas trop surpris non plus qu'elle esquive un peu le truc.
« Non ne t'inquiète pas c'est... Simplement mon meilleur ami qui fait des siennes on va dire. Je veux bien un verre s'il te plaît. »
Elle sourit, et je m'écarte légèrement d'elle avec une courbette exagérée. Tant qu'à esquiver le sujet qui fâche, autant le faire jusqu'au bout et si je peux au moins la faire rire, ça sera toujours ça, n'est-ce pas ?
« Vos désirs sont des ordres, mademoiselle. »
Oui je suis certainement assez ridicule, mais ça n'a absolument aucune importance. Je sais pas ce qu'il s'est passé avec son meilleur ami, mais je ne doute pas une seule seconde de ce que ça peut avoir comme impact sur elle. Si je me brouillais avec Spencer - et je touche du bois, ça n'est encore jamais vraiment arrivé - je crois que je serais vraiment mal et j'aurais sans doute bien besoin qu'on me remonte le moral aussi. Je me doute évidemment pas encore que ça va pas tarder à arriver...
Ah la la si je pouvais lire dans ses pensées, là, je crois que j'éclaterais de rire. Parfait ? Tu parles de qui ma belle ? Parce que je suis loin de l'être, je t'assure. Je suis une tête de mule, arrogant et prétentieux, fier et moqueur, j'ai du mal à accepter mes torts et je suis assez susceptible, je fuis l'engagement comme la peste, et il paraît que je fais aussi partie de ces « emmerdeurs qu'on aime bien quand même ». C'est pas si proche de la perfection, tu sais. N'empêche que ce toast, donc, il est pas vraiment innocent.
« Je n'aurais pas pu trouver mieux. - Et d'ailleurs, en parlant d'emmerdeur, j'ai des trucs à te raconter. »
Et le meilleur barman de Londres, donc, s'est mis à raconter ses petites aventures avec un certain autre prétentieux putain de beau gosse mais qui entre tout aussi bien dans la partie emmerdeur. La Garden Party et ses conséquences, donc, la mésentente évidente avec Adri et Spencer - ce que je peux pas vraiment leur reprocher - et puis la précédente entrevue avec Tyler, et notre petit show sur scène - il fallait bien qu'elle comprenne pourquoi je le connaissais déjà à ce moment-là, ce type - particulièrement les sous-entendus évidents sur Don't you want me. La bouteille est tombée, je sais même pas si on a touché à ces gâteaux, parce que je suis plus concentré sur elle qu'autre chose. Et sur ce regard insistant qu'elle pose sur moi, particulièrement synchro avec le titre sans équivoque du duo choisi par Playboy ce jour-là.
« J'ai envie de faire quelque chose tu permets ? - Anything you wa... »
Anything you wa...nt, deary. Une de mes phrases fétiches, faut croire, mais j'ai pas eu le temps de la terminer que ses lèvres se posaient à nouveau sur les miennes, et je me fais pas vraiment prier pour lui rendre son baiser. Elle subit peut-être plus que moi les effets de la bouteille de vin qu'on a descendue, mais si je couche jamais avec qui que ce soit qui ne soit pas en état de savoir ce qu'il ou elle fait, avec Katee, je dois admettre que c'est un peu différent. Disons que c'est l'exception qui confirme la règle...
« Pardon je ne sais pas ce qui m'a pris. L'envie m'est venue d'un coup... Donc je l'ai assouvie. - Oh mais je t'en prie, ne te frustre pas pour moi ma belle... »
C'est pas vraiment comme si j'allais t'en vouloir, bien au contraire. Parce que tu vois, l'envie qui vient d'un coup, là, elle est légèrement réciproque. Faut pas trop me tenter comme ça tu sais ? J'ai posé nos verres sur la table basse avant de revenir vers elle, et l'attirer à nouveau à moi pour prendre ses lèvres à mon tour.
« T'en as d'autres, des envies subites comme ça ? »
Me posez pas la question en retour, la réponse est assez évidente, je crois...
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Je ris à la courbette que le jeune homme fit avant d'aller récupérer notre boisson. Mes désirs, des ordres ? Ce n'est pas sûr, sinon je n'aurais pas autant de problèmes dans ma vie. Je ne me mets pas au-dessus du lot, mais disons que pour mon âge j'étais assez bien fournis comme ça. Et puis comment expliquait à quelqu'un qu'il était directement lié à la raison de ma dispute? Car concrètement, c'est ma présence ici qui a provoqué cette dispute... Foutues possessivité et jalousie. Mieux valait que je n'en parle pas... En espérant que ces deux-là ne se croiseront jamais. J'admirais la déco attendant que le jeune homme revienne.
Nate est parfait en tout cas il l'est d'après moi.. Mais après tout, ma notion de la perfection est tellement différente de la norme depuis quelques années... L'homme que je considérais autrefois comme celui qui m'était destiné s'est enfuit avec une autre, me délaissant avec ma fille et maintenant se tape mon ex-meilleur ami probablement et pourtant c'est avec lui que j'ai vécu mes plus belles années et vraiment les plus calmes aussi. Pour vous dire.. S'il devait y avoir un couple modèle, aimant, vivant d'amour et d'eau fraîche nous aurions facilement fait partie du top 20. Mais depuis, beaucoup de choses ont changés. Disant que maintenant pour moi... Les meilleures histoires sont celles où il y a des complications et l'homme parfait est chieur sur les bords.. Les "Le beau prince arriva sur son magnifique cheval blanc [...] ils se rencontrèrent tombèrent fous amoureux et ne se quittèrent plus jamais." Très peu pour moi. Et puis, les histoires comme ça n'existe pas. Pour qu'un couple dure, il faut leur faire vivre des choses qui indiquent si leur couple peut tenir à tout... Malheureusement ce n'était pas mon cas. Mais je ne regrette absolument rien, Hope et Nolan -bien qu'il ne soit plus là, R.I.P- ont été les meilleures expériences de toute ma vie. Mais en grandissant la vie m'a prouvé que mieux valait un mec dont les défauts étaient déjà bien apparents plutôt qu'un autre qui cache ses vices. Car celui qui expose ses vices, caches des qualités que lui-même ne connait pas. Après l'expérience m'a aussi prouvé que les meilleurs "amants" sont bien souvent les mecs les plus inapte à garder une fille. Et Nate fait partie de mon top 5... Mais à aucun moment je n'échangerais le lien actuel qui me lie à lui. Non, on est très bien comme ça. Quoi que puisse dire les autres je n'en ai absolument rien à foutre. Je ne l'échangerais pour rien au monde.
Nous continuons donc notre conversation et effectivement le brunet en avait de belles à me raconter! Waw... Ca faisait un petit moment que je n'avais pas vu Spency, mais sa vie était devenue assez mouvementé apparemment, sans parler de ce Tyler qui donne l'impression de rendre chèvre et pourtant ça n'a pas l'air de déplaire à notre Nate national. Ce qui ne m'étonne absolument pas! Enfin quelqu'un à son niveau j'ai même envie de dire! Cette partie là de sa vie est à suivre très attentivement. Nous parlions de tout cela jusqu'à ce que je dérape et l'embrasse sans crier gare. Cela n'avait pas l'air de l'avoir dérangé, d'autant plus qu'il venait de réitérer l'acte. Je souris sentant l'envie réciproque nous enivrer. Je me rapprochais à nouveau de lui.
« Je ne sais pas trop.. J'ai plusieurs idées qui me viennent à l'esprit. » Lui dis-je en lui mordillant doucement la lèvre inférieure.
Je ris un peu de mon acte, puis une chanson se fit entendre de mon téléphone, talk that talk de Rihanna, c'était une alarmes que j'avais mis il y a quelques temps de ça. M'appuyant sur mes genoux sur le canapé, un genou entre les jambes du jeune homme, je prenais possession de ses mains pour les guides le long des courbes de mon corps. Ne me demandais pas pourquoi, j'aimais simplement le contact de ses mains sur mon corps surement. Je bougeais doucement mes hanches avant de sceller nos lèvres par un baiser plein de sous-entendu.
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Lun 15 Sep 2014 - 23:27 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Si au moins j'arrive à la faire rire, c'est déjà pas mal. Je suis pas parfait, mais si y a bien une chose qu'on peut pas me reprocher, c'est de pas m'efforcer d'aider mes proches, de remonter le moral de mes amis, en toute circonstance ou presque. Si je savais que j'étais la cause de la dispute, je sais pas si je réagirais vraiment différemment. La jalousie de son meilleur ami, je la trouverai déplacée, mais pour le reste, ça changerait pas grand chose pour moi. J'ai pas l'intention d'arrêter de voir Katee pour les beaux yeux de qui que ce soit. Le jour où l'un de nous deux se met en couple, d'accord, ça changera la donne, mais d'ici là... J'emmerde bien profondément ceux qui trouvent à y redire, parce qu'une fois de plus, en soi, on fait pas de mal - bien au contraire - et ce qu'il se passe dans ma chambre - ou sur mon canapé présentement - ne regarde que nous.
Je me prononcerai pas sur la balance performance sexuelle - durabilité de la relation pour la simple et bonne raison que j'ai aucune foutue idée de ce que ça donne une relation durable, mais je pense que dans n'importe quel cas de figure, les généralités ont toutes leur lot d'exception. Je pense surtout que si une relation doit durer, c'est une combinaison de plein de choses - et de véritables sentiments en premier lieu. Est-ce que je regrette de pas l'avoir vécu, ça ? Buof. J'ai toute la vie devant moi, tout le temps de voir venir. Je cherche pas à ce que ça se fasse, loin de là, mais je crois pas que je fuie ça particulièrement ou en tout cas pas consciemment. Pourtant au fond, c'est peut-être un peu le cas. Je suis d'une fidélité et d'une constance à toute aépreuve en amitié, et la simple idée de me mettre en couple me ferait presque des frissons dans le dos. Et en même temps, parfois, je me dis que ça doit être bien, quand même... Ah ! J'ai jamais dit que j'étais pas contradictoire avec moi-même parfois...
Enfin c'est pas le sujet, le sujet, ce sont mes dernières aventures - et mes derniers déboires, un peu - qui concernent donc particulièrement Tyler, puisque nos routes censément divergentes se sont recroisées hier. Ca et les petites surprises que mon auditoire me réserve. Ses lèvres sur les miennes à nouveau, et ses envies, donc. Et je souris aux "précisions" absolument imprécises qu'elle me donne alors.
« Je ne sais pas trop.. J'ai plusieurs idées qui me viennent à l'esprit. - C'est marrant, j'ai l'impression qu'il y en a une en particulier qui ne demande qu'à être mise en pratique... »
Et c'est pas vraiment comme si j'allais m'en priver non plus... Sauf que son téléphone a encore sonné, une sonnerie différente, mais qu'elle a laissée dans un coin. Bon...
« Je suppose que cette sonnerie-là n'a rien à voir avec Hope... »
A en juger par ses gestes, ses mains qui guident les miennes sur son corps, j'en déduis que non, en effet, sa fille n'est pas en jeu. Et puisque donc, il est à nouveau temps que mes mains redeviennent baladeuses, je n'ai pas vraiment l'intention de me faire prier. D'ailleurs l'une d'elle remonte le long de sa colonne vertébrale et retourne s'occuper de l'agrafe qu'elle s'apprêtait à détacher tout à l'heure, avant qu'on ne soit interrompus. Et mes lèvres reprennent l'exploration de son cou, puis de sa poitrine là où elles s'étaient arrêtées tout à l'heure...
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Je ris doucement à la remarque du jeune homme. Je me rapprochais de lui tout en lui chuchotant au creux de l'oreille.
« Absolument rien à voir. »
Je descendis alors mes lèvres en dessous de lobe du jeune homme pour y déposer de petits baisers se rapprochant de plus en plus de sa mâchoire, tout en caressant sa taille, je déplaçais ensuite mes mains, une, passant sous la chemise et l'autre au niveau de la jambe du beau musicien je la remontais ensuite au niveau de sa joue. Je plongeais mon regard dans le sien. Allais-je regrettais ce que je comptais faire? Il y a de fortes chances. Mais pour le moment, je voulais profiter de ce moment d'intimité qui nous était octroyé. Mes lèvres reprenaient possession des siennes avant de descendre et offrir des baisers sensuels au torse du jeune homme. Lui retirant doucement ses vêtements, du moins sa chemise. Je le laissais défaire l'agrafe de mon soutien-gorge avec une légère lueur d'amusement dans les yeux. Caressant la taille du jeune brunet, je ne pus m'empêcher de passer sous son jean, caressant légèrement le début de son fessier. J'abaissais alors mes petits bisous "innocents" jusque la limite, au-dessus du bouton du seul vêtement qui lui restait encore. Je me mordis doucement la lèvre inférieure avant de me redresser et de retirer de moi-même le soutien-gorge qui pendouillait un peu. Je collais alors ma poitrine sur le torse du jeune homme, frottant doucement nos deux bassins l'un contre l'autre. J'embrassais son cou avec ardeur. Pour l'amusement, sûrement je lui fis un suçon plutôt bien marqué, j'en souris d'ailleurs assez fière.
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:16 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
« Absolument rien à voir. »
Si bien qu'on a le champ libre, n'est-ce pas ? Le rire qu'elle laisse échapper, sa voix juste au creux de mon oreille me le confirment, et je ne vois plus aucune raison de me priver, donc. D'ailleurs, manifestement, elle non plus, vu comme ses lèvres descendent vers ma nuque, et y déposent toute une série de baisers jusqu'à ma mâchoire. Et c'est effectivement le genre d'attention dirons-nous qui me fait particulièrement réagir, et mes soupirs et mes mains baladeuses en sont sans doute de bons témoins. En même temps, les siennes, de mains, ne sont pas beaucoup plus calmes.
Quand elle redresse la tête pour plonger son regard dans le mien, je crois qu'il y a autant de fièvre, de désir, dans ses prunelles que dans les miennes. Et puis un nouveau baiser passionné scelle nos lèvres avant qu'elles ne descendent parcourir mon torse tandis que ses mains me délestent de ma chemise et que la mienne dégrafe son soutien-gorge. Tous deux à présent torses nus, je n'ai guère le temps d'embrasser son cou qu'elle descend déjà le long de mon buste, vers mon ventre et jusqu'à la ceinture de mon pantalon. Oula ma belle, je vais pas vraiment rester 'calme' beaucoup plus longtemps, là, tu sais... Remarquez que ce 'calme' reste assez relatif, mais enfin...
Elle est revenue plaquer sa poitrine à présent complètement libre sur moi et les mouvements lascifs de son bassin sont sans la moindre équivoque. Quant aux baisers appuyés qu'elle dépose avec de plus en plus d'insistance dans mon cou. Je risque d'en porter la marque dans les prochains jours mais à cet instant, je m'en contrefous totalement. Ca, ça me rend complètement fou et je ne retiens même plus les gémissements de plaisir que son contact me procurent. Et puis j'ai passé mes bras autour de son corps pour nous relever tous deux, la portant dans mes bras jusqu'à ma chambre où je l'étends sous moi, tout en l'embrassant passionnément, ma langue jouant avidement avec la sienne.
Et puis c'est à mon tour de dévorer son corps, de déposer une série de baisers le long de sa mâchoire, dans son cou, en passant par sa clavicule avant que je ne m'attarde sur sa poitrine tandis que mes mains parcourent ses hanches, et que la droite vient doucement détacher la fermeture de son pantalon. Je redresse alors la tête, cherchant son regard, comme pour m'assurer de son accord. Je crois qu'au fond, j'ai pas vraiment besoin de confirmation, mais... je crois surtout que c'est quelque chose d'habituel, parce que j'ai jamais eu l'intention de forcer qui que ce soit, et j'ai pas l'intention de commencer maintenant. Je me suis toujours assuré douze mille fois que la personne avec qui je passais du bon temps en avait auant envie que moi, et je crois pas que je sois vraiment capable de faire autrement. Je dis pas que j'essaie pas de me montrer un minimum convainquant parfois, mais je voudrais vraiment pas que qui que ce soit regrette jamais ce qui se sera passé entre nous. Ca a jamais été le cas encore à ma connaissance, et j'ai vraiment pas envie que ça soit le cas prochainement... Mais ça a manifestement pas l'air d'être prévu ici, et je me suis donc affairé à lui retirer les vêtements qu'il lui restait, prenant le temps d'observer ses courbes, et de les caresser avant de revenir prendre ses lèvres...
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(✰) message posté Sam 11 Oct 2014 - 23:10 par Invité
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Ma peau contre sa peau, il suffisait de peu pour éveiller en moi ce désir immense qu'est l'envie charnel. L'un des plus beaux pêché capitaux puisque à lui seul il en regroupe trois d'après moi. Enfin nous n'en étions pas là. Je m'éloigne quelque peu du sujet. Mais laissez-moi vous dire que les mains du chanteur me ramenèrent très vite à ce que nous faisons. Se baladant tout le long du haut de mon corps, me faisant ainsi lâcher quelques soupirs de plaisir qui dénonçaient fortement le doux sentiment que je ressentais à ce moment-là. Sentiment qui se faisait de plus en plus fort et surtout de plus en plus enivrant. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration ce faisait haletante, mais je tentais malgré tout de garder mon calme.. Du moins le plus possible pour le moment.
Nos regards se croisèrent et, tout était dit. On se comprenait à travers ce geste qui pour certain est anodin, mais qui pour nous, signifiait que nous allons passer une après-midi voire aussi un début de soirée plus qu'enflammé. Je sentais son cœur se brusquer aussi rapidement que le mien. Peut-être était-ce dû aux baiser que je déposais tendrement sur le torse ainsi que l'abdomen du beau jeune homme. En tout cas c'est ce que laisse à penser le retrait presque prématuré de mon soutien-gorge. Enfin, maintenant nous étions en totale égalité. J'avais un peu plus de mal à me contenir maintenant. L'idée de tout ce dont nous pouvions faire, cette opportunité presque infinie éveillait mes sens. Je m'amusais à déposer des baisers sur le bas du ventre du beau brun, tout en caressant l'intérieur des cuisses du jeune homme, sans jamais dépasser la limite, j'aime aller jusque la limite sans pour autant déborder et pouvoir jouer avec les envies de mon partenaire avant de passer à l'acte. Ne dis-t-on pas que la patience est mère de toutes les vertus?
Je me redressais alors un sourire taquin aux coins des lèvres, collant à présent le haut de mon corps sur le torse du jeune homme l'accompagnant d'un déhanchement très peu catholique. Je me laissais aller de plus en plus, prenant un malin plaisir à faire monter la température. Les gémissements de Nate en disais long sur la réussite de la chose. Au bout d'un certain temps, il me porta nous dirigeant ainsi vers sa chambre, j'en profitais pour caresser son dos ainsi que le début de son fessier sous son boxer, mais je retirai assez rapidement mes mains, en riant doucement. Je déposais à nouveau toutes sortes de baisers au niveau de son cou avant que monsieur ne me dépose sur son lit, m'embrassant de manière suggestive.
Je laissais alors carte blanche au jeune homme. Le laissant me procurer autant de plaisir que j'essayais de lui en donner précédemment, chose aisée pour lui apparemment. Ses mains vagabondes ne me laissaient qu'à peine le temps de reprendre ma respiration. Ses baisers avaient le don de me faire me cambrer de manière plus qu'insolente, mais je profitais du bien que cela me procure. Et lui aussi d'après ce que me laisser penser ses gestes. Mais à un certain moment il s'interrompit juste devant la braguette de mon jean. Un frisson me parcourra le long du corps et je ne pus m'empêcher de me mordiller le coin de la lèvre. Je lui souris comme pour "l'autoriser" à aller plus loin, bien qu'il sache pertinemment que cela ne pouvait qu'être approuver positivement, vu là où nous on étions. Je caressais le bassin du jeune homme m'accrochant de temps à autre à son jean -qui ne risquait pas de faire long feu-. Je remontais mes mains le long de son dos jusqu'à arriver à ses cheveux que je caressais tout en m'accaparant de ses lèvres. Profitant encore ainsi du calme avant la tempête.
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Nathanael E. Keynes
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(✰) message posté Lun 13 Oct 2014 - 19:43 par Nathanael E. Keynes
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Dimanche 20.07.2014 • Shoreditch
Ses baisers, ses caresses, enflamment mes sens, mais on sait tous les deux que c'est réciproque, d'une part, et comment s'y prendre, d'autre part. C'est pas comme si c'était la première fois, ni pour l'un, ni pour l'autre, et même pas comme si on ne se connaissait pas déjà bibliquement tous les deux. Sa peau contre la mienne est clairement une invitation à pousser les choses un peu plus loin, les ondulations de son corps sur le mien également, et une fois qu'on a gagné ma chambre et que nos positions s'inversent, ses réactions à mes propres caresses. ne font que m'encourager encore. Un regard vers son visage comme pour lui demander l'autorisation de poursuivre sur ma lancée, et le reste de ses vêtements ne fut bientôt plus qu'un souvenir. Mes lèvres ont alors parcouru son corps, profitant des zones qui leur était jusque-là inaccessibles, et s'attardant un moment sur son intimité enfin dévoilée, avant de remonter doucement vers son visage alors que ses mains se plongeaient dans mes cheveux et qu'elle venait chercher un énième baiser langoureux.
Et je crois que la lèvre qu'elle mordillait tout à l'heure, et ce sourire signe d'acceptation quelques instants plus tôt ont eu raison de mes derniers sursauts de civilité, dirons-nous. J'ai plus cherché d'autre confirmation, je crois qu'on est tous les deux parfaitement conscient qu'il n'y en a pas besoin davantage, et après avoir plongé à nouveau la tête au creux de son cou pour y dévorer sa peau, je me suis écarté pour nous remettre à nouveau à égalité. Mon corps contre le sien réagit presque malgré moi, mes mains parcourent sa peau avec toujours plus d'avidité et mes baisers se font de plus en plus enflammés. Et à en juger par ses réactions, son souffle court, les quelques sons évocateurs qui s'échappent parfois de sa gorge, je ne suis pas le seul au bord du gouffre. L'envie. Un péché, peut-être, mais puisqu'elle est partagée, est-ce qu'on peut toujours considérer que c'est le cas ?
Une fois de plus, je me suis écarté un instant, le temps d'attraper un préservatif dans le tiroir de ma table de chevet. Aussi embrasé que puisse être mon désir, je n'ai jamais cédé à ce genre de pulsion sans prendre un minimum de précaution, et je ne compte pas déroger à la règle maintenant. Ce n'est pas une question de méfiance envers l'autre, à mon sens, davantage de respect. Ce qui ne m'empêche pas de revenir m'unir à elle quelques secondes plus tard, et de savourer cette étreinte le temps qu'elle dura, jusqu'à son apogée.
Mes lèvres caressent encore sa peau quelques instants comme les effluves du plaisir que nous avons tous deux prix refluent doucement, une de mes mains restent perdue dans ses cheveux. Pas un mot pourtant, ne passe encore mes lèvres, il n'y a pas grand chose à dire de toutes les façons. Tout à l'heure, elle repartira, retrouver sa fille. Je reprendrai peut-être ma guitare, ou je sortirai faire un tour, profiter de l'air doux du mois de juillet. Pour l'instant, je savoure encore sa présence, et la chaleur de son corps contre le mien.