☇ Petite visite surprise [Pobby & Dyngan - HOT]

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Je n’avais pas revu Pobby depuis plus d’une semaine maintenant, et elle m’obsédait. Chaque jour, je me levais en pensant à elle, je rêvais d’elle alors que dans mes bras j’avais Charlie. Qu’elle position inconfortable : penser à une autre alors que l’on doit se marier sous peu avec une femme différente de celle qui vous obsède. Je n’avais rien dit à Charlie, et je n’avais rien à lui dire, elle souffrirait que trop de savoir que j’aime une autre femme qu’elle. Je maudissais Jason d’avoir fait ça, je savais qu’il était à l’origine de ça. Lui qui avait toujours été fourbe et taquin. Il avait bien réussit son jeu. Mais peut être aussi qu’il voulait me dire que Charlie n’était pas la bonne malgré tout ce qui s’était passé. Je ne savais pas, et je ne le saurais jamais. Quoi qu’il en soit ce matin, je m’étais levé avec l’idée en tête d’aller voir Pobby. Je savais que ce soir je serais seul, que Charlie était en déplacement, et que j’avais la soirée et même la journée de demain pour moi. Et Pobby était la meilleure des compagnies. J’avais passé ma journée, du moins entre deux shooting, à chercher l’adresse de Pobby. Je due même ruser pour obtenir son adresse auprès de l’agence qui l’avait embauché. Vilain que j’étais, j’avais due feindre d’être son médecin et d’avoir une injection urgente à lui faire… Histoire complètement bidon en soit ! J’avais ainsi dégoté son adresse, et avait alors filé avec mon Audi dans les rues de Londres, destination le paradis. Je n’avais pas cherché à m’habiller sur mon trente et un : Une chemise blanche, un pantalon de toile beige et des italiennes pour habillé tout ça, le tout accompagné d’une bonne bouteille de champagne et des fleurs. Autant être gentleman jusqu’au bout. J’envoyais un dernier message à Charlie pour ne pas qu’elle s’inquiète et coupais mon téléphone, le laissant même dans ma voiture. Il était une heure assez avancé de la soirée et je sonnais donc chez elle, lui faisant ainsi une surprise. Elle ne mit pas longtemps à venir, et je vis à sa mine surprise, qu’elle ne s’attendait pas du tout à me voir : « Surprise ! J’espère que tu n’es pas occupée ! ». Elle était tellement belle, même si sa tenue n’était pas des plus glamours, ce qui me fit sourire. Je me mordais la lèvre, et lui tendais les fleurs et la bouteille, signe de ma générosité, le tout accompagné d’un baiser sur sa joue, au cas où Georges était là… Elle me fit entrée, et amusé, je regardais son intérieur, très classe et très distingué. Je comprenais mieux pourquoi ses parents voulaient à tout prix la marier. Quoi qu’il en soit, j’avais bien compris que nous étions seuls, ce qui me plaisait grandement. Elle se mit à me regarder, et un énième sourire en coin, sa question me fit sourire. J’attendais qu’elle pose tout ce qu’elle avait dans les mains, pour l’attirer à moi, et lui déposer un baiser sauvagement divin sur ses belles lèvres, la collant à moi bien plus. Je reculais par la suite en riant légèrement : « Voilà, je me sens bien plus à l’aise d’un coup. Soit on trinque à coup de champagne cette belle soirée qui nous attends, ou alors on passe tout de suite à quelque chose de plus fort ! ». Je lui fis un clin d’œil totalement désarçonnant et lubrique, rêvant d’un moment entre elle et moi depuis bien longtemps. Je me mordais la lèvre, puis me détachais d’elle, me posant sur son canapé. Son intérieur était bien trop… Grand pour moi : « « Ton intérieur à quelque chose d’intimidant tu le sais ça ? ».»

En voyant Dyngan devant ma porte, je fus complètement surprise d'autant qu'il n'était pas venu les mains vide ! Je pris son bouquet, le remerciant d'un sourire mais aussi en le dévorant du regard ! Etait-il réellement parfait ? Je le fis entré sans plus attendre et comme il compris rapidement que nous étions seul, il m'agrippa et m'embrassa fougueusement... Tel un baiser de cinéma. J'étais envoutée... Il était devenu mon équilibre... Celui qui faisait chavirer mon cœur et que allait le garder jusqu'à sa mort... Il m'avait complètement enivré... Je ne me pensais pas capable, d'un jour, aimer autant ! Quoi qu'il en soit, nous étions à l'intérieur... et je sentais que ma nuit allait être délicieuse. Que c'était le genre de nuit que jamais nous ne pouvions oublié ! Surprise ? Et comment... Je ne savais pas que Charlie était en déplacement ! Comment tu vas ? Je lui fit un large sourire heureuse qu'il soit là... A mes cotés ! Je pris alors la bouteille tout en prenant deux verres au passage ! Je m'installais ensuite à coté de lui, sur le canapé, repliant mes jambes contre moi toujours sourire aux lèvres...

Intimidant ? Regardant tout autour de moi je ne voyais rien qui pouvait l'intimidé... Peut être deux ou trois photos de George et moi sur la cheminée mais à part cela, je ne voyais rien ! Je fixais alors Dyngan et lui tendit le verre avant de le servir... Je ne vois pas trop en quoi... Oh attend ! J'avais presque littéralement crier et avant qu'il ne touche à son vers j'allais chercher mes fameux pop corn qui m'avaient fait envie toute la journée... Je déposais le plats sur la petite table avant de finalement me servir un verre et de tremper mes lèvres ! Alors... Que me vaut cette magnifique surprise ? Je passais ma main dans mes cheveux avant de me pincer la lèvre inférieur ! Nous étions seul et c'était comme si nous avions toujours vécu ensemble ! Je pensais alors à mes parents... Qui n'étaient toujours pas au courant de cette relation et encore moins George qui devait également bien s'amuser de son coté ! Je crois même que je n'allais pas tarder à lui parler bien que ce n'était pas le bon moment ! Il fallait que j'en parler avec Dyngan mais ça... C'était une autre affaire que je ne voulais pas soulevée ce soir...

Le fait d'avoir Dyngan à mes cotés me rendait vraiment femme ! Je me sentais réellement aimée, admirée et respectée ! Je savais qu'avec lui je ne devais pas me cacher... Que je ne devais pas faire semblant ! Dyngan était quelqu'un de compréhensif et nous étions, plus ou moins, dans la même situation ! C'était même étrange de voir comment les choses évoluaient ! Alors que je regardais Dyngan en le dévorant littéralement du regard, je pris quelque pop corn que je mangeas en savourant... Ils étaient vraiment excellent... Hum... Comment as-tu eu mon adresse ? Je ne me souviens pas te l'avoir donné ? Il était vrai que sur le coup je n'y avait pas penser mais finalement, je ne lui avait jamais donné mon adresse alors... Comment l'avait-il eu ? Je passais, une seconde fois, ma main dans mes cheveux avant de boire un petit coup de champagne qui était délicieux dit en passant ! Je pris alors la bouteille en main, comme étant celle qui s'y connaissait vraiment bien, et commençait alors à lire l'étiquette... Même si c'était du chinois pour moi, s'intéresser aux goût de Dyngan était quelque chose qui me tenait à coeur et une fois avoir reposer la bouteille sur la table de salon, je me blottis dans les bras de mon tendre amant... Tu m'as manqué... Ne pas te voir m'est complètement impensable...

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Ma surprise, mon baiser, tout ça fut au goût de la belle Pobby. Je n’avais pas prémédité ma visite, elle me taraudait juste depuis quelques jours, alors j’avais profité de l’absence de Charlie pour combler cette envie débordante… La voir me rendait plus qu’heureux… Je me mordais la lèvre avant de rire de ses propos… A vrai dire, j’aurais eu l’air con si Lucas avait été présent ce soir. Je n’aurais pas pu profiter de Pobby comme je le souhaitais… Je lui fis un sourire, puis lui avouait tout content qu’elle soit heureuse en ma compagnie… « - Elle est à un congrès, donc bon, plutôt qu’être seul comme un loir, je suis venu… Je vais bien et toi ? Depuis tout ce temps ? » Je riais, en fait ça faisait pas bien longtemps qu’on ne s’était pas vus, mais ça m’avait semblé une éternité… Pour elle je ne savais pas… Quoi qu’il en soit, j’allais récupérer le temps qu’on avait perdu à être loin de l’autre ce soir… Je fis un sourire, puis la vit s’installer près de moi dans le canapé, deux coupes à la main… Je me mordais la lèvre, perplexe vis-à-vis de son intérieur, tout cet espace me fichait la trouille, moi qui avait toujours eu l’habitude des espaces confinés, me voilà dans un endroit à l’inverse de mes habitudes de vie… Je me mordais la lèvre et la regardait, lui exprimant le fond de ma pensée. « - Oui tout cet espace me fiche la chair de poule, disons que depuis tout petit je vis dans des espaces confinés. Une caravane, un F2 maintenant un duplex. Je n’ai pas l’habitude d’être dans des espaces aussi grand… ça a quelque chose d’intimidant à mes … » Je n’eus même pas le temps de finir ma phrase qu’elle se mit littéralement à hurler, prétextant qu’elle avait oublié quelque chose. Sa réaction me fit rire, et quand je la vis revenir, elle revenait avec une assiette plein de popcorn… Ah ces femmes, je vous jure, par moment elles sont incompréhensibles… Je riais puis trinquais avec elle, goutant à ce champagne… Divin, comme elle… Je souriais à sa question et me mordais la lèvre, éblouis par sa beauté… « - Une simple envie. Tu obnubiles mes pensées ses derniers temps. »Je souriais désormais, cet éternel sourire charmeur ne quittait plus mon visage, comme s’il ne souhaitait pas disparaître… Je soupirais alors de joie, puis la regardait passer sa main dans ses cheveux, puis mordiller son popcorn… Savait-elle qu’elle était tellement séduisante quand elle agissait de la sorte ? J’entendis alors sa question, et ne pus m’empêcher de pouffer de rire… Ses secrétaires étaient tellement nunuches… « - Hum disons que tes secrétaires sont facilement… Manipulables… Je dois avoir une voix de médecin pour qu’elles me filent ton adresse aussi aisément ! »Je fis un sourire écarlate, digne d’un ange, avant de rire… Et oui, je savais mentir, comme quoi je n’étais pas un véritable ange… Je la vis lire l’étiquette, faisant mine de connaitre et je levais un sourire alors intriguer par sa curiosité, s’intéressait-elle aux produits de mes origines ? Puis je la vis venir vers moi pour me câliner, alors je la pris dans mes bras, noyant mon regard dans le sien… Attendant enfin qu’elle se lâche… Je lui murmurais alors doucement… « - Tu m’as manqué aussi Pobby… »

Il était là... Avec moi et je sentais que ça allait être une de mes meilleures soirées. Je savais qu'avec Dyngan j'étais heureuse mais n'était-il pas un échappatoire ?  Quoi qu'il en soit, je voulais profiter de ce petit moment avec lui et je ne comptais absolument pas me morfondre pour les erreurs que j'étais entrain de commettre. Je bus une nouvelle gorgée de ce champagne... Il était vraiment excellent... Moi qui, en général, ne buvait pas, il fallait dire qu'avec Nathanaël j'avais bien appris à apprécier les bonnes choses. Alors que Dyngan semblait tout aussi content de me voir, nous parlions de ma décoration ou plutôt... Celle de Lucas ! Il faut dire que c'était lui qui avait choisit toute la décoration et que du coup, je n'avais pas eu mon mot à dire... Je regardais alors la pièce ! Je ne l'avais jamais dit mais... Elle manquait cruellement de vie, de chaleur, de bonté... Je plongeas alors mon regard dans celui de Dyngan et affichais un léger sourire en coin C'est Lucas qui a choisit la décoration... Je ne suis juste là que pour décorée moi aussi... Enfin bref ne parlons pas de lui... Lucas n'en valait pas la peine et puis je ne voulais pas faire la gaffe de donner plus de détails sur ma vie avec lui. Il faut dire qu'il n'était pas, parfois, correct avec moi mais ça... Personne ne devait le savoir ! Je bus, pour terminer, mon verre de champagne. Je n'eu aucun scrupule à me resservir tout en remplissant le verre de mon invité ! Après tout, c'était à cause de lui que je buvais... J'eu alors un petit rire...Tu vois... Tu m'incite à boire... Vilain garçon ! Ni une, ni deux, je commençais à rire. Un rire que je ne parvenais pas à me défaire. Enfaite... C'était carrément un fou rire... J'en pleurais tellement il m'avait tué sur place... Tu aurais dû voir ta tête Pour ne pas qu'il le prenne mal, je lui déposa un léger baiser sur la joue. Enfaite, je ne l'avais qu'effleuré chose qui avait eu le don de me donner des frissons mais aussi un choc électrique ! Je pris donc l’initiative de me lever, de mettre une buche dans le poil à bois pour ensuite allumer la télévision et de me réinstaller dans le divan... Légèrement décalé par rapport à Dyngan ! Je ne devais pas tenter le diable bien que l'envie n'y manquait pas ! Je me sentais alors coupable de ressentir ce genre de chose. Notre relation était interdite et pourtant... Tellement passionnante et fusionnelle ! J'avais l'impression qu'il savait tout de moi... Qu'il lisait en moi comme dans un livre ouvert que je ne pouvais pas lui mentir ! Après avoir bu une nouvelle gorgée, je pris quelques pop corn en main dans de les porter à ma bouche et comme pour essayer de le reposer, je parlais la bouche pleine Que veux-tu regarder ? Bon d'accord ce n'était pas très esthétique mais bon... Je m'en fichais ! Je pris ensuite mon plaide et je le mis sur mes genoux, replier sur mon bas du ventre... J'adorais cette position... Sans doute parce que ça me détendait et que j'étais dans ma bulle... Mes secrétaires ont sans doute dû te trouver beau qu'elles n'ont pas réfléchit longtemps avant de te donner mon adresse... Mais qu'est ce que tu as dû inventer pour l'obtenir ? Tu ne m'a pas faite passée pour folle quand même ? Si c'était le cas alors... J'étais vraiment dans de beaux draps... En le regardant... Mes yeux pétillaient. Mon coeur chavirait et je n'avais qu'une envie... Plaquer mes lèvres contre les siennes pour un doux et fougueux baiser. Mais que diable avais-je au bon dieu pour m'infliger cela ? Le dieux étaient vraiment contre moi !

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Passer cette soirée avec Pobby était inespérée. A vrai dire elle relevait même du miracle, pour la simple et bonne raison que nous serions cramés par nos concubins respectifs s’ils étaient là. Nous étions bien plus que des amis, de futurs amants sur le point de s’offrir l’un à l’autre… D’ailleurs je brûlais d’envie de la cueillir… Mal. Très mal de penser ça, sachant que j’étais bientôt promis à une autre… Mais je ne parvenais pas à me contenir, Pobby me transportais littéralement et je ne pouvais m’empêcher d’être attiré par elle… Elle me parlait de sa décoration et fit une allusion à elle des plus déplaisantes… Je commençais alors à comprendre. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait allusion à être une femme « objet »… Chose qui m’agaçait encore plus et le faite qu’elle pense que ce qu’il dit est vrai… Mais je n’allais pas m’énerver, pas ce soir. Alors je ne répondis rien à sa phrase, la laissant dire, mais n’en pensant pas moins. Je me concentrais alors sur les bulles de ma flute, pour ensuite la dévorer du regard avec passion… J’attendais qu’elle craque, qu’elle cède à mon charme décuplé en cette soirée. Elle se mit alors à rire comme une folle enfermée quand elle me traitait de vilain garçon. Je riais à mon tour, faisant mine d’être choqué, avant de m’installer un peu mieux dans le canapé, la regardant se lever avec adresse pour remettre du bois… Je ne pus m’empêcher de la regarder de dos avec envie, mais restant tout de même poli… Je n’allais pas l’offusquer pour si peu. Elle se réinstallait dans le canapé… Mais loin de moi. Le choc. Mon charme ne fonctionnait en rien, elle ne semblait pas vouloir se laisser aller. Ce qui me laissait de marbre dans ce grand canapé et calmais mes ardeurs incandescentes. La loose. Je sifflais alors d’un trait mon verre puis le posait sur la table du salon, quand vint la question de regarder la télé. Niet, on allait oublier la télévision abrutissante pour ce soir. « - Toi et uniquement toi. »Je lui fis un sourire colgate quand je sortis ma phrase, puis eus un léger éclat de rire, le sourire en coin, et le regard ailleurs. Elle me faisait perdre pied, chose que je n’avais pas en habitude… Mais j’allais devoir m’y habituer avec elle désormais. Elle me parlait de ses secrétaires, à vrai dire, elles étaient un peu bécasses, plus le mensonge est gros plus elles y croient. « - J’ai même pas eu besoin de charmer, je me suis fait passer pour ton médecin, disant que je devais te faire une injection en urgence à ton domicile, mais que j’avais perdu ton adresse. Ça a marché du tonnerre ! Plus c’est gros et plus on y croit ! »Je riais et me rapprochais d’elle insidieusement, feignant de remettre un pli de son duvet. Puis lui posait une question qui me brulait les lèvres. … « - Tu as froid ? »

Comment était-il possible que j'arrive à ne pas craquer ? Comment faisais-je pour ne pas l'embrasser ? Mes pensées n'étaient peut être pas très chrétiennes mais je ne pouvais pas faire le premier pas même si l'envie était réellement dur à combattre. Il était entrain de devenir mon tout... Vous savez, celui pour qui votre coeur bat tellement que vous seriez prêt à tout faire ! Dyngan était devenu mon indispensable. Celui qui me faisait garder pied ! Je le fait de me blottir contre lui était déjà un grand pas... Il voulait déjà tellement dire de chose ! Le fait de savoir qu'il était promis à une autre m'était difficile à croire... D'autant plus que j'étais, moi aussi, promise à un autre... C'était une relation complexe et pourtant, je savais que ce n'était pas une soirée d'amitié ! Que nous n'allions pas simplement passer la soirée à boire et regarder la télévision... mais me donner à lui allait être tellement merveilleux ! Je sentais déjà les papillons m'envahir... Ceux que vous sentez lorsque vous êtes réellement amoureuse... J'en avais des frissons... Je me levais alors pour remettre une buche, avant de finalement me replacer dans le canapé...Légèrement loin de Dyngan ! Quel déchirure... Une injonction ?. Je commençais à rire... En effet, mes pensées, non très catholiques, étaient réapparue et là... C'était un peu malpoli ! Quoi qu'il en soit, voyant que la discussion s’estompait, j'avais proposer à Dyngan de regarder la télévision et apparemment, il avait beaucoup mieux à regarder d'après ses dires !

Je fus surprise et flatée à la fois... D'ailleurs je baissais mon regard, sourire en coin et passait ma main dans mes cheveux avant de plonger mon regard dans le sien ! Là... Je ne tenais plus et tempi pour la bonne conduite... Toujours en gardant son regard dans le mien, je rapprochais doucement mon visage du sien... Me passais, ensuite, ma langue sur mes lèvre. Me rapprochant de plus en plus, l'envie se faisait de plus en plus présente ma respiration se faisait courte et mon coeur battait la chamade. J'étais comme une adolescente embrassant pour la première fois. J'allais, une nouvelle fois, dépassé la limite... Mais à partir du moment où nous étions damnées pourquoi reculer puisque nous irions de toute façon en enfer ? Je maudissais ma situation bien qu'elle m'avait permise de rencontre Dyngan... Autrement dit, l'amour de ma vie ! Car oui... Je savais qu'il était la personne avec qui je voulais passer le reste de ma vie. Je voulais qu'il soit là dans les bons comme dans les mauvais moment... Alors que mes pensées me rendaient chèvre, mes lèvres toucha enfin les siennes ! Le baiser était tellement doux et tellement passionné à la fois... Comme si lui aussi le voulait ! Comme si il n'attendais que cela ! Automatiquement, ma paume se glissa sur sa nuque pour ensuite remonter le long de son crâne, tripotant ses cheveux doucement... Nos langues s’entremêlèrent et notre baiser devenait de plus en plus fougueux... Mon corps se rapprochait du sien ainsi que la température... C'était moi ou il faisait vraiment chaud tout d'un coup ?

Ce fut les yeux fermés qu je profitais de ce moment. J'en rêvais depuis que nous nous étions percutés... Le jour où, finalement, toute ma vie à basculée... Je ne pourrais jamais dire pourquoi il était là quand je suis sortie ou pourquoi je suis tombée sous son charme et ce qui l'a poussée à vouloir boire un café ainsi qu'à me revoir. Notre histoire était tellement étonnante et tellement irréelle qu'au pire, j'allais me réveiller avec cette superbe image... Je ne regrettais pas ma vie et certainement pas le moment où j'avais accepté ce café... Instinctivement, mon corps alla se blottir, un peu plus contre lui... Notre baiser avait continué... Tempi pour le souffle... Mon coeur battait à deux cent à l'heure et sans m'en rendre compte, je m'étais mise à califourchon sur lit... Nos lèvres ne s'était pas détachée mais je dus m'en éloignée pour reprendre mon souffle... J'ouvrais alors les yeux, plongeant mon regard dans le sien et ce fut, avec un sourire en coin que j'ajoutais simplement Je n'aurais pas dû... Mais j'en avais très envie... Et pour la énième fois de la soirée, mes tics n'en faisait qu'à leur tête puisque je me mordillais ma lèvre inférieur avant de passer, une nouvelle fois, ma main dans mes cheveux avant de poser de mon front contre celle de Dyngan... Toujours avec le sourire et toujours avec l'envie folle de reposer mes lèvres sur les siennes !

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Elle ne semblait pas lâcher prise. C’était plus que frustrant, mais je n’allais pas céder, j’étais bien plus fort qu’elle mentalement, elle allait céder je le sentais. Mes pensées perdaient pied, elles n’étaient plus aussi chastes et innocentes. Elles étaient même terriblement déconcertantes. Des pensées que j’avais eues avec une autre femme qu’elle… Avec Charlie, ma fiancée. Je n’arrivais pas à percuter que ce que je m’apprêtais à faire était la pire des trahisons. J’allais lui briser le cœur, le piétiner, mais pour le coup ça n’apparaissait même pas dans mon esprit. J’étais focalisé sur Pobby, sa beauté et son incroyable attraction… J’étais fou d’elle, et j’allais succomber à la tentation. Je fis un sourire en coin quand elle se mit à rire concernant mon excuse totalement bidon… Oui j’étais rusé, et j’arrivais toujours à mes fins. Et j’allais enfin gouter au paradis. Elle se mit à avoir ses tics de manière décuplé, et elle s’approchait de moi délicatement, d’une manière tellement féline que je me vautrais dans le canapé pour l’admirer. Elle était tellement belle ainsi, j’en perdais pied. Mon cœur battait si vite que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma cage thoracique, et j’avais tellement chaud d’un coup. Je mourrais d’envie qu’enfin elle pose ses lèvres sur les miennes. Elle le fit et ce baiser fut le meilleur de tous. D’abord doux et passionné, il fut plus fougueux quand sa langue s’entrechoquait à la mienne. Elle se mit à califourchon sur moi, ses mains fourrageant mes cheveux, son baiser bien plus prenant et enivrant. Mes mains se posèrent sur sa chute de rein, et je la plaquais plus contre moi. J’étais à bout de souffle, elle aussi, si bien que lorsqu’elle arrêtait son baiser, je pris une grande bouffée d’air. Un rire léger me pris quand elle m’avouait qu’enfin elle avait céder, et j’ouvris mes yeux dans les siens et lui murmurait… « - Enfin. Je n’attendais que ça. »Mais je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, surtout que la température entre nous était caliente. J’avais désormais envie de plus, et je ne m’arrêterais que si elle me le demande. Je me mordais la lèvre, puis approchait délicatement ma bouche de son cou pour la picorer de baiser. Doucement d’abord, puis plus en volupté, prêt à la faire succomber. Mes mains étaient aventureuses, et se glissait sous son pyjama pour caresser la peau nue de son dos, lui déclenchant ainsi des frissons, qui me poussait à mordiller la peau de son cou… Alors je me fis plus entreprenant et lui retirait délicatement son haut, m’offrant ainsi la vue de sa poitrine et de sa peau nue… Elle était d’une beauté incroyable, ni trop, ni pas assez… Une déesse crée pour moi. Je déviais mes baisers sur la naissance de ses seins, mes mains se faisant bien plus pressante sur son dos, caressant du bout des doigts la finesse de son enveloppe charnelle.

Le fait qu'il m'avoue lui aussi vouloir céder à la pire des tentations me rendit toute chose. Lui qui semblait inaccessible lorsque je l'avais croisé avec Charlie... Lui qui semblait si amoureux mais qu'importe les circonstances... Il était à moi ce soir et je n'allais pas m'arrêter là concernant notre belle soirée... maintenant que la température était montée, il allait être dommage de faire redescendre tout ça et je n'en avais certainement pas envie ! Dyngan avait alors décidé de mon sort lorsqu'il me déposa des baisers dans le cou... Des frissons me submergea et je fermais les yeux pour en profiter d'avantage. Pendant que mes mains se baladaient dans sa nuque, je sentis, enfin, sa peau contre la mienne et qu'elle fut ma surprise lorsque je sentis que nous étions fait l'un pour l'autre. C'était une évidence ! Après quelques minutes, je lui enleva, à mon tour sa chemise baladant ainsi mes paumes sur son torse et en reprenant possession de ses lèvres sucrées. Elles m'obsédaient.  Comme si j'avais besoin d'elles pour savoir vivre... Pour la seconde fois, nos langues s’entremêlèrent pour ne former qu'un seul être... M'éloignant de Dyngan, à contre coeur, je pris sa main et le tira tout en me levant... Nous n'allions pas rester dans un canapé mal luné mais bel et bien dans pièce pleine de charme... Alors je m’agrippais à ses lèvres de temps en temps tout en souriant et posant mon regard sur son corps, je l'emmenais à l'étage pour l'emmener au fond du couleur... Je me plaquais ensuite contre une porte l'attirant vers pour l'embrasser plus fougueusement.   essayant de trouver la poignée de la porte avec ma paume encore libre... Es-tu certain que c'est ce que tu veux ?.

Je lui fit alors un sourire coquin. En effet, entrer dans la pièce allait être au point de non retour. Impossible de ne pas penser à ce qui allait se passer demain mais tempis... Nous étions beaucoup trop loin dans notre relation pour arrêter tout maintenant et nous étions beaucoup plus impliqué que prévu. Quoi qu'il en soit, nous étions enfin entrer dans la chambre et je ne me fis pas prier et m'allongeas sur le lit. Dyngan m'y rejoignis posant à nouveau ses lèvres sur les miennes et je glissas mes mains dans son dos, lui caressant ainsi la peau. L'envie se faisait sentir, aussi bien lui que pour moi et il faut qu'il était irrésistible. Je lui mordillais la lèvre, avec un léger sourire avant de descendra mes mains pour déboutonner son pantalon... Ma respiration se faisait courte et mon coeur s'emballait. Il battait la chamade ! Dyngan était la seul personne qui arrivait à lire en moi et je savais que sans me parler, il me comprenait ! Cela faisait du bien... Dynga n'était à présent en sous vêtement alors que j'étais pratiquement dénudée... Cela n'était pas normal de mon point de vue... Je m'étais donc permise de le dénudé embrassant ses joues avant de descendre dans son cou...

Mes mains se baladèrent sur son corps me mordillant, à nouveau, la lèvre inférieur. Je n'avais pas su résister longtemps et je me demandais même pourquoi j'avais attendu autant de temps avant de craquer... Nos corps jouaient ensemble, nos lèvres se touchèrent, s’effleureraient pour encore plus faire se donner du plaisir et profiter de ce moment tant attendu. La vie était réellement bien faite... Tout en gardant ses lèvres sur les miennes, je l'obligeais à se coucher afin de me mettre à califourchon... C'était moi la maîtresse de maison après tout... Sentir ses mains sur mon corps me donnaient des frissons et me faisait perdre pied. Je lui déposais alors des baiser dans le cou pour ensuite descendre sur son torse et enfin remonter pour de nouveau l'embrasser fougueusement... Nos langues entremêlèrent et dans un élan, sans m'en rendre spécialement compte, j'étais en dessous de lui. Il nous avait fait basculer pour reprendre le contrôle. Nous nous enlevions alors nos sous vêtements pour se retrouver totalement nu et de se donner l'un à l'autre... Nous ne formions, à présent, qu'une seule personne...

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Je ne pensais à rien qu’à cette nuit qui nous attendait. Je l’avais désiré depuis tellement de temps que je ne comprenais pas comment j’avais pu tenir… Charlie peut être. Mais Charlie était tellement loin désormais, si loin que je n’avais aucune once de remord quand mes mains caressaient le corps de Pobby. Ses lèvres cherchaient les miennes sans cesse, et je ne pouvais résister à l’appel de sa sensualité, j’étais enivré par Pobby, et je n’avais aucune honte d’y succomber. Elle me déshabillait alors, ses mains frôlant, touchant mon torse quand celui-ci fut dépouillé de son unique vêtement. Mon regard se fit de braise et je riais légèrement d’envie quand elle nous relevait hors de ce salon si lugubre. J’étais bien content qu’elle fit ça, car je n’aimais pas l’ambiance de cet endroit. Elle nous conduisait alors vers un étage, un couloir énorme, ses lèvres cherchant les miennes sans cesse. Elle était d’une incandescence et d’une beauté incroyable lorsqu’elle m’attirait à elle contre cette porte, heureusement que j’avais de la retenu, sinon je l’aurais pris directement sur ce pan de bois… Je murmurais alors sur ses lèvres en guise de réponse. « - Je le désire au plus profond de mon être. » Je lui fis un sourire, et elle ouvrit la porte sur une chambre gigantesque, avec un lit baldaquin d’une pureté incroyable. Une ambiance encore plus torride régnait dans cette chambre. Mais je n’étais qu’absorbé par Pobby. Je ne parvenais pas à détacher mon regard d’elle, je n’arrivais pas à percevoir la beauté du lieu, tellement subjugué par sa beauté à elle. Je me mordais la lèvre et la rejoignais sur le lit, la déshabillant du regard et véritablement, accroché à elle. Positionné au-dessus d’elle, je la dominais de ma corpulence, me promettant de ne pas lui faire de mal et d’être le plus doux possible. Elle déboutonnait alors mon jean, sans jamais fuir son regard du mien, et je ne pus m’empêcher de soupirer d’envie et de désir. Je ne tenais plus, ne voulant ne faire qu’un avec. Je n’avais qu’une envie lui prouver mon amour hors limite pour elle. Cependant elle semblait vouloir me faire languir, se jouant de mon corps et de mon esprit. Poussant mon anatomie à frissonner sous son contact. Je ne tenais plus et lorsqu’elle fut sur moi ce fut une divine souffrance de plus. J’aimais qu’on me contrôle mais à ce moment précis c’était à moi de prendre la main, je la retournais aussi vite, retirais nos derniers vêtements restant et me glissais en elle doucement. Nous n’étions qu’une seule et même personne, et je me fis le plus doux possible. Rythmant les minutes et les heures de vas et vient passionnés. Je me permettais même d’embrasser sa peau, de la coller contre moi pour qu’elle soit au plus près de mon âme. J’allais la combler et l’aimer jusqu’au bout de la nuit.