"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Something just like this (Rachel-Mary)  - Page 2 2979874845 Something just like this (Rachel-Mary)  - Page 2 1973890357
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Guyliner.
Ethan I. Hemsworth
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() message posté Sam 18 Nov 2017 - 2:14 par Ethan I. Hemsworth
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Amanda & Rachel-Mary & Ethan

Some wounds run too deep for the healing. ✢✢✢ Trois appels manqués. A la seconde où je passai la porte de mon bureau, je me jetai sur mon portable, comme à mon habitude, cette fois plus rapidement encore après qu'on m'ait bipé. Si le temps en compagnie des enfants s’écoulait rapidement, je ne supportais pas d’être séparé de ce petit engin à l’intérieur des chambres stériles. Parce que j’avais peur. Peur qu’Amanda m’appelle et que je ne réponde pas. Peur de ce moment tant redouté et qui m’arrivait enfin. Je pensais à elle, à Ava, et j’imaginais le pire. C’était plus fort que moi. L’écran pas encore complètement allumé, ma stagiaire entra en trombe, le teint livide, le souffle coupé, comme si elle m’avait couru après sur des kilomètres. Peut-être qu’elle l’avait vraiment fait. « Monsieur Hemsworth… votre… votre femme... » Ma tête vrilla aussitôt sur le portable, faisant immédiatement le lien entre le nom inscrit sur l’écran et les paroles de la jeune femme. Dans des circonstances plus réjouissantes j’aurais pensé à Charlotte, me rappelant que la dernière fois qu’un subordonné avait prononcé cette phrase l'air aussi paniqué que moi, ma ‘’femme’’ c’était révélée être ma belle-soeur. Ouais, dans d’autres circonstances je m’en serai amusé. Je la coupai alors qu’elle n’avait même pas fini sa phrase. « Merci Meluzine. » Pas besoin d’en entendre plus. J’avais compris. Dans toute ma panique et ma maladresse, je manquai de la bousculer au passage, filant déjà à tout allure dans les couloirs. J’essayais d’assembler les pièces du puzzle dans ma tête alors que ma motricité me lâchait, revenant à plusieurs reprises sur mes pas quand je me rendais compte que j’avais pris la mauvaise direction. Je connaissais pourtant le chemin jusqu’au service pédiatrique par coeur, l'effectuant plusieurs fois par jours. Mais cette-fois c’était différent. J’avais compris en voyant les appels manqués que le docteur Davis ne m’avait pas bipé pour une urgence purement professionnelle. Ce bip qui m’encourageait à revenir à mon bureau plus vite. Ce bip qui mettait tous mes sens en alerte. Puis ces appels d’Amanda m'indiquant qu’il ne s’agissait pas de n’importe quel gamin mais de ma fille. Il me fallait réaliser que quelque chose arrivait à ma fille en ce moment même, l’impact de chacun de mes pas affolés m’en faisant prendre conscience. Elle est avec Rachel, tout va bien. Elle est avec Rachel, tout va bien (…) À peu près tout ce que mon cerveau était capable d’enregistrer. Jurant intérieurement et priant tous les dieux imaginables pour que je n’arrive pas trop tard, je déboulais devant son bureau en évitant de justesse une infirmière. Un simple « Bonjour, c’est ma fille à l’intérieur. » balancé en toute hâte et ça suffisait pour que je m’autorise à lui passer devant. Il fallait que ce soit mon visage qu’Amanda voit en premier, et pas celui d’une infirmière venue emmener sa fille je ne sais où. Elle attendrait. Il le fallait. « Je suis là, ça va aller. » Je reprenais à peine mon souffle, usant de toute mes forces pour reprendre contenance. J’avais dit ça sans même la regarder, avant même d’analyser où Amanda se trouvait dans la pièce, parce que je savais avant même de la voir qu’elle n’irait pas bien. Je ne voyais pas comment il pouvait en être autrement. « Bonjour docteur. » Docteur… sûrement idiot de l’appeler ainsi, alors que Frank me parlait d’elle tous les jours, alors que je connaissais des détails de sa vie privée, alors que nous travaillions ensemble depuis des mois. Seulement j’ignorais si elle était prête à se montrer plus familière, même après les discussions amicales que nous avions partagées. « Est-ce qu’Ava est… » Je voulais demander ce qu’elle avait, pourquoi sa mère et moi nous retrouvions ici mais l’urgence était de savoir si elle était là. Qu’aucune infirmière n’était passée avant moi. Le rideau de l’espace consultation valsa tout d’un coup, dévoilant la silhouette de ma fille. Elle se retrouva sur mes genoux, grimpant à moitié sur ceux de sa mère en même temps sans que je ne sache si je l’avais attirée jusqu’à moi ou si elle m’avait sauté au cou. Tout ce dont j’étais sûr, c’était la force avec laquelle je la serrais. Aucune infirmière au monde n’aurait pu la déloger de mon étreinte. J’ignorais encore pourquoi elle était là mais j’admirais l’énergie qui animait son corps apparemment malade. Aucun doute qu'avec sa langue bien pendue je l’apprendrai bien assez tôt « Madame Davis a dit que c’était moi le capitaine. » J’haussai un sourcil, en direction de ma fille d’abord, dubitatif, puis en direction du docteur, défiant. « Ah oui ? Il faudra que je te provoque en duel dès que tu seras rétablie alors. Il ne peut y avoir deux capitaines sur le même navire ! » Mon affection pour le monde de la piraterie n’était un secret pour personne. Pour Rachel-Mary non plus qui, comme pas mal de membres du personnel médical, m’avait vu me balader en costume du parfait flibustier plus d’une fois. Si je ne savais rien de ce que le médecin lui avait raconté, je savais que n’importe quelle référence à un pirate avait séduit ma fille. Et rien de plus normal si elle jugeait plus utile de me partager cette information en premier. « Le docteur Davis t’a dit ce qui te faisait mal ? » Question lancée en l’air, elle était destinée à Ava bien sûr, mais je pariai que Rachel prendrait les devants. Quand le verdict tomba, je ne savais pas trop si je devais être soulagé que ce ne soit qu’une crise d’appendicite très courante ou effrayé à l’idée qu’elle devait se faire opérer. « Tu sais Rachel-Mary est le meilleur médecin de tout l’hôpital. De toute l’Angleterre même ! Alors elle va t’enlever cette vilaine appendice les doigts dans le nez et quand tu te réveilleras tu nous montreras ta super cicatrice de capitaine. » Des mots visant à rassurer ma fille mais aussi sa mère à côté d'elle. Tous mes efforts et ma concentration se focalisaient sur un seul objectif : ne rien laisser paraitre. Agir comme si ce n’était rien du tout. Paraitre sûr de moi. Ava était loin d’être idiote, elle devait bien voir l’état second dans lequel se trouvait sa maman, et en connaissait très bien la raison. Je devais être fort pour deux.

Quand l’infirmière l’emmena au bloc et qu’il nous fut impossible de l’y suivre, je me tournai vers Amanda. Je la connaissais. Quelque chose c’était passé. Ça n’allait pas, malgré tout ses efforts pour le cacher. Quelque part ça me rassurait, nous savions encore lire l’un dans l’autre. J’attrapais sa main, l’attirant vers moi, passant un bras derrière sa taille comme pour l’aider à tenir debout. Mon geste valait mieux que tous les mots que j’aurais pu lui dire. Encore quelque minutes à tenir bon et nous pourrions nous assoir pour prendre notre mal en patience. Comme si ça aiderait... D’un coup je sus, en la voyant ainsi, ce n’était pas de la panique ni un soulagement qui m’envahissait, mais de la colère. Pourquoi c’était-elle infligée ça ? Affronter sa phobie des hôpitaux seule ? Pourquoi ne m’avait-elle pas prévenu avant ? Ma fille avait mal au ventre au point de se faire opérer et je le découvrais dans le chaos. Je serrais les dents, tenant bon pour la simple raison que je ne voulais pas laisser transparaitre quoi que ce soit devant Rachel-Mary. Je n’avais pas envie de justifier mon absence au rendez-vous médical, ni mon retard, non plus qu’Amanda justifie son malaise apparent. Au fond, je voulais juste la serrer dans mes bras, cacher ma tête dans ses longues boucles blondes jusqu’à ce que l’opération finisse. Mais cette foutue colère m’en empêchait, me donnant davantage l’envie de cogner dans un mur pour la faire passer.

✢✢✢
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() message posté Dim 19 Nov 2017 - 14:26 par Amanda E. Hemsworth


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Bien que produisant de gros efforts pour conserver un semblant de lucidité, Amanda sentait bien que ça n'allait pas. Elle ne se sentait pas bien de part sa présence ici et l'évolution de la situation concernant sa fille n'arrangeait rien. Pour couronner le tout, la jeune femme se figurait que malgré son apparente cordialité, elle tapait sur les nerfs du médecin. Et tandis que son enfant, absolument par perturbée le moins du monde par le diagnostique de l'appendicite, petite chose tout de même assez importante, tout du moins dans la vie du pékin moyen. Quels parents ne montraient pas des signes d'inquiètudes à ce genre d'annonce ? D'autant plus que cette nouvelle information intervenait de façon aussi brusque que surprenante. Depuis quand l'inflammation de l'apendice survenait-il ainsi, sans que le patient eu montré le moindre symptôme ? N'aurait-il pas fallut s'inquiéter de ce phénomène extrèmement rare ? Docteur House lui-même aurait prit soin de vérifier que cela ne cachait pas autre chose de plus grave. Mais avec Madame Davis, on était apparement loin du compte...Quoi qu'il en fut, l'esprit de l'assistante était trop encombré de différentes informations pour être capable de faire le tri et de noter l'absurdité ou tout du moins l'incohérence de certaines choses. L'australienne écouta donc distraitement la discussion de la petite Ava et de son interlocutrice. Puis, elle ce décida finalement à sortir un instant de la pière pour tenter de prévenir son mari. Elle se devait de le tenir au courant, parce qu'il s'agissait de sa fille. Parce qu'elle espèrait aussi...Encore et finalement, que peut-être, il serait en mesure de la soutenir. Ne parvenant cependant pas à le joindre, elle se résigna. Il faudra faire sans, songea-t-elle en retournant auprès de la fillette. Comme elle revenait bredouille, le chirurgien annonça qu'elle s'en occupait. Elle aura en effet peut-être plus de succès. "C’est le Dr Davis. Bipez-moi Ethan Hemsworth, je veux qu’il vienne immédiatement au bureau de pédiatrie. " Après avoir raccrochée, elle s'intéressa de nouveau à la maman et lui sourit. "Ici, c’est la manière la plus efficace de convoquer quelqu’un. " Elle hocha brièvement la tête en réponse. L'important était qu'il eu le message, pour venir ensuite dès que possible. Toujours aussi nerveuse, l'ancienne avocate ce permis de demander d'avantage d'informations quant à l'opération. "C’est une banale intervention de routine qui ne dure qu’une ou deux heures grand maximum. Aujourd’hui, les méthodes sont moins invasives. Auparavant, on faisait une incision longue sur le bas ventre à droite, mais maintenant, nous procédons par cœlioscopie par le nombril. Ava n’aura que trois minuscules petites traces. Une pour la sonde qui enverra de l’air, l’autre pour la caméra qui me permettra de voir l’intérieur, et la troisième pour retirer l’appendice. C’est absolument sans risque et les cicatrices partent très bien. Je vais d’ores et déjà vous prescrire une crème cicatrisante que vous pourrez appliquer aussitôt que j’aurai retiré les points la semaine prochaine." Essayant de retenir un maximum d'infos utiles, la blonde ce concentra là dessus. Ce qui l'aidait d'une certaine façon  à ne pas perdre pieds. « Bonjour docteur. »  Soudainement, la porte s'ouvrit, il était là. La vague de soulagement qu'elle attendait, ne vint néanmoins pas. L'angoisse refusait de s'en aller.  « Est-ce qu’Ava est… »  Même avec toute sa bonne volonté, Amanda se retrouva dans l'incapacité de répondre aux interrogations d'Ethan, aussi laissa-t-elle ce soin au docteur Davis. Cela relevait de son travail après tout. « Madame Davis a dit que c’était moi le capitaine. » Il haussa un sourcil à l'adresse de sa fille d’abord, dubitatif, puis en direction du docteur, défiant. « Ah oui ? Il faudra que je te provoque en duel dès que tu seras rétablie alors. Il ne peut y avoir deux capitaines sur le même navire ! » Madame Hemsworth quant à elle, observa la scène sans y participer, spectatrice. « Tu sais Rachel-Mary est le meilleur médecin de tout l’hôpital. De toute l’Angleterre même ! Alors elle va t’enlever cette vilaine appendice les doigts dans le nez et quand tu te réveilleras tu nous montreras ta super cicatrice de capitaine. » Cherchant à rassurer inutilement l'enfant, pas plus inquiétait que de coutume, la lèvre inférieure d'Amanda trembla légèrement. Elle aurait souhaitée esquisser un sourire, se montrer aussi solide, mais elle ne pouvait pas. Et lorsqu'il fut temps d'emmener sa fille, de la lui prendre, elle eu toutes les peines du monde à ne pas s'accrocher désespérément à ses bras. Elle sursauta finalement au moment où l'irlandais saisit sa main. Elle réalisa par la suite qu'ils se trouvaient tout deux dans le couloir. Lasse, elle se laissa tomber sur un siège en plastique à sa portée. "Je...Je suis désolée" annonça-t-elle la gorge sèche et une mine sans doute épouvantable. "Je pensais...C'était une visite de routine normalement, ça devait bien se passer." Elle marqua une pause et se prit la tête entre les mains. " Elle ne se plaignait de rien, vraiment. Pas de symptômes rien...Mais...peut-être que j'aurais du déceler quelque chose..." Secouant la tête, elle chercha dans ses souvenirs des signes avant coureurs, des indices qui aurait pu l'aider.  
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() message posté Dim 19 Nov 2017 - 22:00 par Rachel-Mary Parker-Davis


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Si Rachel n’était pas du tout inquiète pour le sort d’Ava dont elle avait qu’elle maîtrisait la situation, elle l’était d’autant plus pour sa maman Amanda qui semblait au bord du malaise de seconde en seconde. L’américaine était chirurgien pédiatrique et elle était toujours intérieurement scandaliser de remarquer que les parents lui donnaient bien plus de travail que leurs adorables bambins. Elle avait donc fait biper Ethan pour qu’il les rejoigne et soit mis au courant de la situation après l’échec de la pauvre Mme Hemsworth qui n’avait pu atteindre que la messagerie. Et finalement, sa méthode avait fonctionné, Ethan était arrivé, en trombe. Heureusement qu’elle n’avait pas dit « de toute urgence », parce qu’il avait débarqué comme si on allait amputer sa fille d’une jambe. Aussitôt, elle tâcha de le rassurer par un sourire, mais l’anxiété se sentait dans sa voix lorsqu’il demanda Ava. La fillette vint d’elle-même voir son papa.

-Bonjour Mr Hemsworth. Comme je l’expliquais à votre épouse, Ava souffre d’une crise d’appendicite que j’ai mise en évidence avec une échographie. Il arrive parfois, assez rarement toutefois, qu’aucun symptôme ne soit présent. Certains enfants sont plus endurants à la douleur et la fièvre et parfois infime, ce qui était le cas ici. Votre petite Ava est une battante.

Ethan tâcha alors de rassurer sa fille qui semblait en pleine maîtrise de ses moyens, contrairement à la mère qui paraissait être dans un état second. Le regard de la pédiatre alla de la petite et son père à la grande blonde qui semblait pâlir à vue d’oeil. Pourtant, l’américaine avait fait son maximum pour lui faire comprendre que ce n’était qu’une opération de routine, rien de bien alarmant, que c’était pris à temps et qu’au vu de ses compétences, elle pouvait réaliser l’intervention les yeux fermés tout en tricotant une écharpe… même si elle ne savait pas tricoter. Ethan alla en ce sens, faisant comprendre à sa petite qu’elle était entre les meilleures mains possibles, et Rachel se douta que ces propos avaient sans doute pour but de rassurer la mère. Elle sourit à tant de compliments, c’était vraiment gentil de sa part.

-L’infirmière va arriver d’une minute à l’autre, capitaine Ava. Comme je te l’ai dit, elle va te faire prendre une douche spéciale avant d’enfiler ton costume de capitaine de vaisseau et ensuite je te rejoindrai.

A peine eut-elle le temps de finir que l’infirmière pédiatrique toqua à la porte et entra sur l’ordre de Rachel. Ava disparut avec elle et la chirurgienne invita les parents à sortir également. Heureusement, il n’y avait plus de consultations pour ce matin, sans quoi elle aurait dû les reporter.

-Bien, je vais me préparer pour l’intervention et je reviendrai vous voir pour vous donner de ses nouvelles et vous dire quand on la montera dans sa chambre. Ça va aller ? Demanda-t-elle à l’attention d’Amanda qu’elle voyait de plus en plus pâle.

Elle lança un regard plein de compassion à Ethan qui devrait se montrer fort pour deux. Elle finit par les laisser tous les deux pour rejoindre la salle de préparation où elle mit une charlotte sur sa tête et se lava les mains et les avant-bras jusqu’au coude avant qu’on lui enfile une blouse stérile. La fillette était déjà là, allongée sur la table d’opération. Rachel entra dans le bloc, son masque sur le visage et alla parler un peu à Ava pour la rassurer avant qu’on ne l’endorme. L’opération se déroula le plus normalement du monde et la pédiatre s’appliqua comme toujours à faire des points les plus petits possibles pour que la cicatrice soient minimes. La fillette n’aurait quasiment rien. Ava fut ensuite emmenée en salle de réveil tandis que l’américaine jeta ses gants, sa charlotte et sa blouse de bloc pour aller rejoindre les parents et les aviser de la situation qui était on-ne-peut plus normale.

 
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() message posté Sam 16 Déc 2017 - 1:39 par Ethan I. Hemsworth
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Some wounds run too deep for the healing. ✢✢✢ Inquiet, je l’étais. Foutrement inquiet. Certains auraient pu croire le contraire, penser que dans la précipitation je n’avais pas eu le temps de réaliser, d’avoir peur. Mais si. Le contraire m’aurait bien arrangé. Être calme, faire preuve de sang froid et marcher d’un pas sûr jusqu’au bureau de Rachel-Mary. Au lieu de ça je déboulais d’un couloir à un autre comme un dingue, sentant mon coeur s’échapper de ma cage thoracique à chaque foulée. Mon soulagement ne dura qu’une courte seconde de répit en découvrant le visage de ma fille. Sereine. Raisonnée. Tout le contraire de sa mère, ainsi que de moi malgré tous mes efforts pour faire bonne figure devant la chirurgienne. Lui retourner son bonjour ? Impossible. J’en étais incapable, complètement muet jusqu’à ce que la présence de ma fille en pleine acrobatie sur une de mes jambes me décoince un peu. « Ava souffre d’une crise d’appendicite que j’ai mise en évidence avec une échographie » Jusque là j’arrivais à suivre, rien de très compliqué. Tout ce que je me demandais c’était comment Amanda avait pu supporter la vue de l’appareil. Une échographie, pas rien comme symbolique… Si j’y pensais, sûrement qu’Amanda aussi… Je déglutis, me concentrant sur la suite. « Il arrive parfois, assez rarement toutefois, qu’aucun symptôme ne soit présent. Certains enfants sont plus endurants à la douleur et la fièvre et parfois infime, ce qui était le cas ici. Votre petite Ava est une battante. » J’acquiesçais d’un signe de tête apparemment convaincant puisque la consultation suivit son cours. En réalité, tout ce que je comprenais c’était « rarement ». Wah quelle chance ! Ma fille était un cas rare ! Génial ! On devait être une famille rarissime pour cumuler ce genre de cas ! Une fausse couche presque à terme, ça aussi c’était vachement rare ! Je plongeais mon regard dans celui de ma fille, la couvrant de mon étreinte pour m’adoucir moi-même. Intérieurement, je bouillonnais. Mais si je me laissais aller maintenant, à quoi ma présence servirait-elle ? En quoi ma femme saurait qu’elle pouvait toujours compter sur moi ? Mes pensées se tournèrent vers Rachel-Mary un instant. J’ignorais tout de ce qu’il avait pu se passer dans son bureau avant mon arrivée, pourtant je savais, ouais, au fond de moi je savais que ça ne pouvait pas être très joli. Je me consolais seul en me disant qu’elle avait dû voir de sacrés cas, des parents bien plus angoissés que nous, bien moins soudés aussi sans doute, cas banal d’appendicite ou non. La phobie des seringues et des blouses blanches c’est quelque chose d’assez répondue non ? Tout de même, je voulais lui faire comprendre que ce n’était pas elle le souci, qu’elle aurait beau expliquer le déroulement de l’opération seconde par seconde, énumérer toute ses réussites médicales depuis le début de sa carrière à ce jour, le visage de l’australienne n’aurait pas été moins blême. J’essayais, brièvement, de lui envoyer un petit signe, à elle en face de moi, à celle sur ma gauche et au petit bout de femme sur mes genoux tout à la fois en assurant à quel point le docteur Davis était doué. Ça, j’en avais eu la preuve plusieurs fois. Pas si longtemps encore un de mes patients s’en était sorti grâce à ses talents alors que mes espoirs se fanaient déjà des semaines précédent l’opération. « L’infirmière va arriver d’une minute à l’autre, capitaine Ava. Comme je te l’ai dit, elle va te faire prendre une douche spéciale avant d’enfiler ton costume de capitaine de vaisseau et ensuite je te rejoindrai. » Je souris. Un sourire presque naturel. Ouais, les pirates, une valeur sûre. Ce fût à ce moment là que mon attention bascula sur Amanda. Totalement. Je me tenais près à séparer la mère de la fille si nécessaire, mais elle finit par la laisser partir d’elle même. Un dernier signe de main en sa direction et s’en était fini. Ses petits pieds s’éloignaient en toute insouciance et moi, et nous, nous n’avions plus qu’à attendre, espérer qu’elle ne soit pas prise de panique tout d’un coup sans sa mère ni moi dans son champ de vision et vive l’anesthésie dans l’angoisse. Prier, enfin, pour que ce ne soit pas un grand sommeil. « Bien, je vais me préparer pour l’intervention et je reviendrai vous voir pour vous donner de ses nouvelles et vous dire quand on la montera dans sa chambre. Ça va aller ? » Si ça va aller ? Non. Mais je ne pouvais décemment pas répondre ça. Ma main emprisonna celle à laquelle la question était destinée. Je ne lui laissais pas le choix. Parce que j’avais peur moi aussi, peur de la voir s’évanouir devant moi. « Merci beaucoup Rachel. On sera juste là. » Finis-je par formuler à sa place, voyant que cela était au-dessus de ses forces. J’en étais capable, aucun problème.

Juste là, c’était ce foutu couloir, à deux pas de la porte du bureau de la chirurgienne. Un poids sur ma main. Un mouvement. Ma tête vrilla tout à coup. Elle était assise là, lasse, moi, la colère m’envahissait et je doutais pouvoir la retenir quand elle se mit à parler. C’était la première fois que j’entendais le son de sa voix depuis que j’étais là. « Je... Je suis désolée. » Et moi dont… Comme le son de sa voix était faible, je m’assis sur le siège à côté du sien. « Je pensais... C'était une visite de routine normalement, ça devait bien se passer. » Quand je lui avais parlé de ce nouveau travail, je lui avais bien dit qu'au moins je serai sur place en cas du moindre besoin. J'étais sérieux. Si j'avais pu lui éviter de remettre les pieds dans un hôpital jusqu'à la fin de sa vie, je l'aurais fait. Mais à quoi bon le lui redire maintenant ? Nous aurions juste échangés nos rôles au final. Elle aurait été celle qui débarque de toute urgence, et nous nous serions retrouvés dans la même posture. M'assoir à ses côtés s'avéra être une décision judicieuse quand elle poursuivit quelques paroles le visage caché dans ses mains. Elle semblaient douloureuses, alors je ne l'interrompis pas. « Elle ne se plaignait de rien, vraiment. Pas de symptômes rien… Mais… peut-être que j'aurais du déceler quelque chose… » En me concentrant et me penchant légèrement j’avais tout compris, et je n’en étais que plus énervé. Pas contre elle, non, contre tout, en fait. Contre cette situation merdique qui faisait que je n’étais même pas au courant d’une visite médicale, contre le drame nous ayant frappés qui poussait sûrement notre fille à taire sa douleur, contre le sort ayant projeté Amanda dans un couloir d’hôpital une nouvelle fois. Contre moi, aussi, parce que j'avais cherché tout ça. Une grande inspiration plus tard, je me retrouvais à terre, littéralement, les genoux pliés sur le sol devant le siège sur lequel elle était assise. Tout doucement, mes mains vinrent enserrer les siennes une nouvelle fois. Pas tout de suite, se contentant d’abord de les toucher, puis les écartant de son visage petit à petit, les abaissant jusqu’à mon niveau et les gardant précieusement dans les miennes. « Ne fais pas ça… » Se refaire le film. Se dire que si l’on avait fait les choses différemment… peut-être… Si j’avais été plus attentif à sa grossesse. Si j’avais demander de l’aide au téléphone. Si j’avais eu un geste en attendant les secours. Si j’avais travaillé dans l’hôpital. Tout ça je me l’étais répété pendant des mois, jours et nuits. Résultat, j’étais devenu aveugle à la souffrance de ma propre femme. Elle ne devait pas s’infliger pareille torture. « Quand… Quand s'est arrivé je… J’arrêtais pas de chercher. J’arrêtais pas de chercher ce que j’aurais pu faire, ce que j'aurais pu voir… Ça te bouffe de l’intérieur c’est tout c'que ça fait. » Pour la première fois depuis nos retrouvailles à Londres j’évoquais la perte de notre bébé. J’avais l’impression de briser un tabou, une règle d’or, mais je n’en pouvais plus. Je ne pouvais pas rester planté à l’observer se blâmer d’une situation qu’elle ne maitrisait pas. C’était ce qu’elle faisait, je le voyais bien, elle se perdait déjà dans ses pensées. Non, je ne pouvais pas juste fermer ma gueule. Peut-être que je sur-réagissais, rien à faire. Elle devait savoir. Surtout, elle ne devait pas commencer à se faire des reproches parce qu’ils n’avaient pas lieu d’être. Rachel-Mary réapparaîtrait au bout du couloir sourire aux lèves et tout irait bien. Point final. « Tu n’auras pas à te reprocher quoi que ce soit de toute façon parce que tout va se passer exactement comme Rachel l'a expliqué. Je la connais. Et je connais notre fille. » Les toute dernières paroles se voulaient plus légère, complice. Ce n’était pas une appendicite de rien du tout qui allait faire quoi que ce soit à notre Ava !

Quand des bruits de talons raisonnèrent dans le vide infini du long couloir blanc, j’avais retrouvé ma place sagement assis sur le siège à côté de celui d’Amanda, me redressant d’un bond. « Tout va bien ? » J’anticipais, laissant à peine le temps au docteur de pénétrer dans notre champ de vision.

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() message posté Jeu 21 Déc 2017 - 19:29 par Amanda E. Hemsworth


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Amanda avait lutter autant qu'elle le pouvait pour ne pas laisser cette étrange engourdissement chronique, l'envahir. Celui qu'elle connaissait si bien, intervenant comme une barrière de protection vis à vis du monde extérieur, lorsque plus rien ne tournait rond. Elle avait regarder Ethan arriver, incapable de lui expliquer la situation, elle c'était contentée de faire acte de présence, inutile. Laissait sa fille partir pour son opération avait été par la suite, la partie la plus délicate. La jeune femme aurait presque pu préférait se faire arracher bras et jambe, plutot que de voir l'enfant disparaitre en salle d'intervention. Malheureusement, aucun autre choix ne s'offrait à elle. L'australienne avait donc prit sur elle au maximum de ses capacités. Et une fois la fillette hors de vu dans le couloir, elle se laissa tomber mollement sur une chaise, à bout de nerfs. Elle n'eu même pas la force ou la politesse de s'intéresser à ce que pu leur dire le médecin avant d'aller, très certainement ce préparer. « Je... Je suis désolée. » annonça-t-elle, à peine consciente du rapprochement de son mari, ayant prit place sur le siège à coté du sien. « Je pensais... C'était une visite de routine normalement, ça devait bien se passer. »  Elle l'avait espérait en tout cas. "Elle ne se plaignait de rien, vraiment. Pas de symptômes rien… Mais… peut-être que j'aurais du déceler quelque chose… " avait-elle continuait, de moins en moins audible, terriblement coupable de n'avoir rien vu. Comment cela avait-il pu survenir ? Difficile de se persuader ou ne fut-ce que de croire qu'elle n'était pas une mauvaise mère dans ce genre de contexte. Lentement et sans qu'elle s'en rendit compte, les larmes roulèrent le long de ses joues. Ruminant, de sombres pensées, elle sursauta lorsque l'irlandais saisit ses mains dans les siennes.  « Ne fais pas ça… » Elle le regarda à travers la buée de ses yeux, battant des cils pour chasser les gouttes d'eaux salées qui ne cessaient de croître. « Quand… Quand s'est arrivé je… J’arrêtais pas de chercher. J’arrêtais pas de chercher ce que j’aurais pu faire, ce que j'aurais pu voir… Ça te bouffe de l’intérieur c’est tout c'que ça fait. » L'ancienne avocate ne comprit pas immédiatement, cela mit plusieurs longues minutes avant de se mettre en place. Il parlait de leur bébé...Ouvrant la bouche, elle l'a referma presque aussitôt et se perdit à nouveau dans ses pensées, absente à la scène actuelle.  « Tu n’auras pas à te reprocher quoi que ce soit de toute façon parce que tout va se passer exactement comme Rachel l'a expliqué. Je la connais. Et je connais notre fille. » Revenant à la réalité présente, elle avala difficilement sa salive, essayant de se concentrer pour répondre. Un petit "Oui, tu as surement raison" fut tout ce qu'elle réussit à dire dans un premier temps. Les minutes passèrent encore, suivant leur cours et elle pu articuler ce qui ressemblait presque à un début de plaisanterie, même si, le cœur n'y était pas vraiment. "C'est une pirate." Tandis qu'ils se tenaient là, tous les deux, ensemble dans ce dur moment, depuis elle ne savait plus combien de temps, son compagnon changeant parfois de place, des bruits de pas finir par raisonner dans le couloir.« Tout va bien ? » demanda aussitôt Ethan en apercevant Rache-Mary. L'assistante bondit littéralement de sa chaise et tituba légèrement avant de se stabiliser. Elle brûlait de voir sa fille, à présent si le destin était clément, en bonne santé.   
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() message posté Mar 2 Jan 2018 - 10:17 par Rachel-Mary Parker-Davis


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Dans sa carrière, Rachel-Mary en avait vu des parents inquiets. Ils étaient tous différents mais ils avaient en commun l’amour pour leurs enfants et c’était bien la seule chose les rendait supportable aux yeux de la chirurgienne. Oui, depuis trois ans, l’espère humaine, du moins les adultes, avait perdu toute crédibilité et toute possibilité de confiance pour cette femme qui avait vu son monde s’écrouler en s’apercevant de la nature de l’homme qu’elle avait épousé. Dès lors, seul son travail, qui s’apparentait d’ailleurs plus à une passion qu’à un travail à proprement parler, était devenu son refuge, et ses petits patients étaient ses petits protégés, les seuls qui valaient la peine.

En la voyant débarquer pâle comme un linge à la simple idée d’emmener sa fille chez le pédiatre, Amanda s’était aussitôt rangée dans la même catégorie que tous les parents casse-pieds que Rachel avait pu déjà rencontrer. Mais finalement, l’annonce de la crise d’appendicite rendait son comportement un peu plus supportable, sa fille allait être opérée, il y avait de quoi être inquiet. Elle avait tout fait pour la rassurer et le père de la petite Ava était venu à la rescousse. La chirurgienne avait pu sentir chez lui la même appréhension que celle de sa compagne, mais lui, au moins se maîtrisait.

L’américaine avait fini par faire emmener la fillette pour qu’elle soit préparée à l’intervention, et s’était elle-même préparée pour pouvoir pratiquer pour l’ablation de l’appendice. Une opération de routine pour les chirurgiens, c’était en général la première qu’on leur faisait pratiquer en solo pour les tester, et Rachel avait donc de ce fait eu le loisir d’en pratiquer des centaines au cours de sa carrière. L’opération se déroula donc au mieux, « comme une lettre à la poste », comme le diraient certains. Ava fut envoyée en salle de réveil et Rachel se défit de tout son attirail, gants, charlotte et blouse, qui pouvait impressionner certains proches des patients, pour aller rejoindre les parents et les rassurer. Connaissant un peu Ethan de par son travail, elle voulait aller leur parler en personne, n’envoyant pas un interne. Hemsworth était un collègue plutôt doué et gentil, du moins il n’avait jamais eu un comportement hostile vis-à-vis de Rachel et il leur arrivait de travailler ensemble pour le bien des jeunes patients, aussi l’américaine voulait-elle être certaine que lui comme Amanda soient complètement rassurés.

La jolie brune arriva donc à leur niveau. Ils étaient tous deux assis, la mine déconfite, et se levèrent brusquement en la voyant, on aurait presque dit des soldats au garde-à-vous au passage du général. Le Dr Davis leur sourit avec bienveillance et face à l’impatience, somme toute compréhensible, des parents, elle ne tarda pas à leur donner des nouvelles.

-Ava va très bien, l’opération s’est très bien déroulée, tout est rentré dans l’ordre. Ava est désormais en salle de réveil, elle sera montée dans sa chambre probablement d’ici une heure ou deux.Vous pouvez l’y attendre si vous voulez, ce sera plus confortable.

Elle les invita du regard à la suivre pour les y emmener, et continua à leur parler durant le trajet.

-Même si elle se sera réveillée dans la salle, il se peut qu’elle se rendorme et soit un peu groggy une fois de retour en chambre, c’est tout-à-fait normal. Elle va être comme ça encore pendant au moins trois heures, à se réveiller et se rendormir très souvent. C’est l’effet de l’anesthésie. Après, chaque enfant est différent. Elle a des médicaments en perfusion donc elle ne ressentira aucune douleur. Je repasserai la voir ce soir, et puis demain matin pour la sortie.

Ils étaient arrivés à la chambre qu’elle leur ouvrit.

-Prenez-vous un café, ou un peu d’eau, et détendez-vous. Tout va bien, répéta-t-elle pour être bien sûre qu’ils aient compris.

Rachel leur fit un dernier sourire avant de les laisser entrer dans la chambre.

-A ce soir.

Elle les laissa ensuite seuls, histoire qu’ils puissent souffler et évacuer leur inquiétude avant le retour de leur petite fille.

 
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