"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici  I escape in your arms. (w/Cassie) - Page 2 2979874845  I escape in your arms. (w/Cassie) - Page 2 1973890357
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I escape in your arms. (w/Cassie)

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() message posté Lun 21 Déc 2015 - 20:45 par Guest
▁ i escape in your arms.
zola et cassie

these four lonely walls have changed the way i feel, the way i feel, i'm standing still and nothing else matters now, you're not here so where are you? ✻✻✻ Je culpabilise à fond d'avoir pensé à Kenzo. Je ne devrais pas, mais pourtant si. Je sais que je vais faire beaucoup de mal à Cassie. Je n'en ai pas envie, mais c'est inévitable. Je sais qu'un jour où l'autre, je retournerais auprès de ma belle. C'est écrit. C'est notre destin. Je m'en veux de penser ça, je m'en veux, mais c'est tellement réel. Et je sais – qu'au fond – elle pense exactement comme moi. Elle sait à quoi s'attendre. Seulement, elle aime ma compagnie, elle m'apprécie tout autant que je l'apprécie. On aime être ensemble, alors, elle en profite et j'en profite aussi. Parce qu'au fond, j'aimerais vraiment que ça ne s'arrête jamais. Je ne sais pas si c'est bien de pensée ainsi, mais en tout cas, j'ai vraiment envie de continuer avec elle, je veux essayer. Peut-être que je parviendrais à oublier mon premier amour. Peut-être. On ne sait jamais. Il faut essayer ! Elle me calme de suite, elle me dit que ce n'est pas dramatique. Et que je ne devrais pas me prendre la tête pour si peu. Seulement, c'est plus facile à dire qu'à faire. Je m'en veux d'y avoir pensé quelque secondes. Il faut que je lui dise la vérité ! Je… Je ne crois pas que ce soit le bon moment. Pas maintenant. Pas tout de suite. Je la laisse m'embrasser. Je la laisse faire. Je m'emporte et je prolonge ce doux baiser qu'elle me donne. J'aime la douceur de ses lèvres.
Cassie est déterminée a vouloir m'entraîner dans la cuisine. Elle a envie d'un chocolat ! Je ne peux pas lui refuser. J'attrape sa main et je me lève à mon tour. J'affiche mon plus beau sourire et je pose mes mains sur ses hanches avant de la tirer vers moi et de l'embrasser tendrement. « Va pour un chocolat, princesse ! » Dis-je le sourire aux lèvres avant de la suivre dans la cuisine. Je la laisse passer devant moi, histoire de pouvoir admirer ses jolies petites fesses, parfaitement former. Je me mordille la lèvre, je la regarde une nouvelle fois. Bon dieu, qu'est-ce qu'elle est belle ma copine. J'ai vraiment de la chance. Elle s'assoit sur le bar de la cuisine, avant de m'attirer contre elle, à son tour. Je pose mes mains sur ses cuisses, je la regarde dans les yeux et elle commence à me tartiner de crèmes chantilly. Je me mets à rigoler, avec elle. Puis, elle se mit à me lécher. Humm … Je frisonne de tous mes membres. Elle est en train de me réveiller, mais entièrement. « Tu ne devrais pas trop jouer à ça, tu risquerais de le regretter. » Lançais-je clairement tout en caressant son corps de mes doigts. Ouais, ne prend pas de risque ma beauté. Je serais capable de te faire l'amour sur ce comptoir si tu continues. Tout simplement parce que tu me donnes vachement envie de toi. Rien qu'en me léchant dans le cou. C'était trop bon. Et trop court malheureusement ! Elle me fait vraiment rêver. C'est clair. « Je ne te pensais pas aussi coquine ... » Avouais-je timidement. Oui, je la voyais plutôt sur la réserve. Comme une petite sainte en faite. Genre, j'aurais même pu croire qu'elle n'a jamais couché avec quelqu'un tellement son visage d'ange lui donne des années en moins. Je la regarde dans les yeux, une nouvelle fois. Son regard me donne envie de l'embrasse. À chaque fois, c'est pareil. Je passe ma main sur sa joue, pour l'embrasser avec tendresse. Un doux baiser comme je les aime et qui dura un peu plus longtemps que prévu. Plus c'est long, plus c'est bon, il paraît. Quand nos lèvres se lient, j'oublie tout le reste. Et c'est pour cette raison que je me force de croire en notre histoire. Si on s'en donne les moyens, si je m'en donne les moyens, ça peut fonctionner.
Quelques minutes après, le livreur sonna à la porte. Oui, ça ne pouvait qu'être lui. On attendait personne d'autres. Je vais ouvrir la porte, j'attrape la pizza et je paie le bonhomme avant de refermer la porte. « On oublie le chocolat. La pizza est arrivée. » Je me dirige vers le comptoir de la cuisine et j'y dépose le gros carton. J'en profite pour y découper quelques parts. « Aller mange maintenant ! Après, on retourne dans la chambre. J'veux des tonnes de câlins. » Dis-je clairement en lui tendant une part de pizza. Tant pis pour le chocolat. Et tant mieux pour moi. J'ai qu'une envie, c'est d'être dans cette chambre, dans mon lit, avec ma jolie blonde.

✻✻✻
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() message posté Mar 22 Déc 2015 - 1:22 par Invité

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zola & cassie

Nous avions changé d'endroit, pour change de sujet. Nous avions laissé le drame et surtout l'histoire de son ex petite amie derrière nous et nous étions dirigés vers la cuisine. Zola ne semblait pas pouvoir détacher ses mains ou ses yeux de mon corps, et cela me rendait joyeuse puisque moi non plus, je n'arrivais plus à me passer de sa peau contre la mienne. Je m'installais sur le comptoir de la cuisine et me mise à lécher la chantilly que je venais de placer volontairement dans son cou. Sa remarque sur le fait que je ne devrais pas jouer à ce jeu-là me fit sourire avec malice, il ajoutait qu'il ne me pensait pas aussi coquine. Il faut dire qu'avec lui, je n'en avais pas encore eu l'occasion. En cure, nous étions surveillés tout le temps, jamais un seul moment de répit ou d'intimité. De simples baisers étaient mal vu auprès des gens en charge. Ils évitent au maximum les relations de la sorte, deux junkies ensemble ce n'est pas vraiment le top pour eux. Ils avaient peur qu'une nouvelle relation ne nous fasse oublier la véritable raison de notre présence là-bas. Mais comment est-ce qu'on aurait pu oublier un truc pareil ? On ressemblait à rien là-dedans, chaque minute on nous rappelait le pourquoi de notre présence. C'était ridicule. Enfin, je n'avais été intime qu'avec un seul garçon en vingt-trois ans de vie, Kovu. Il avait été, jusqu'à aujourd'hui le seul garçon que j'autorisais à poser ses mains sur moi, à me toucher, me caresser comme désormais Zola. Au début, cela avait été étrange pour moi qu'il me touche de la sorte, je connaissais les gestes et les mains de Kovu parcoeur. Sa façon de me toucher, où il le faisait, sa façon de m'embrasser, je connaissais ses lèvres et ses doigts sur ma peau, les frissons qu'il me procurait.Les mains de Zola étaient différentes, quand Kovu était plus impulsif, plus brute, Zola était d'une douceur et d'une gentillesse infinies. Il était doux, il me caressait et prenait soin de moi comme si j'étais une petite chose fragile entre ses doigts. Il ne me pressait jamais, il ne me demandait rien, ces gestes venaient naturellement. C'était sûrement pour cela que je me sentais si bien dans ses bras. Pour ça qu'un contact de sa part suffisait à m'apaiser. Du moins, là tout de suite, ses mains se guidaient sur mon visage qu'il attirait près du sien pour m'embrasser avec tendresse. Je souris doucement contre ses lèvres et prolongeait le baiser. La porte d'entrée nous interrompait, Zola quittait malheureusement mes bras quelques secondes afin d'aller chercher la nourriture. Il revient, tout souriant et déposait la pizza sur le meuble à côté de moi et m'annonçait de manger, puisqu'ensuite il exigeait des câlins. Je souris grandement et attrapait la part qu'il me tendait, rien que l'odeur de cette pizza quatre fromages m'emplissait de bonheur. J'en pris ma première bouchée et franchement, c'était tellement bon. Le truc avec la boulimie, c'est qu'on a tellement, tellement faim parfois et tellement envie d'une chose en particulier, que quand on la mange enfin c'est probablement le meilleur sentiment au monde. Je pouvais manger une pizza de la sorte entière durant mes crises ! Mais aujourd'hui, je me contiendrais. Parce que Zola était là, parce que j'aurais déjà du mal à m'éclipser aux toilettes pour faire ressortir ces calories de mon estomac sans qu'il ne me choppe. En plus de la drogue, cette cure était censée m'aider à arrêter cette sale habitude, pourtant elle était coriace. Je pouvais passer des jours entiers sans rien avaler et n'avoir envie de rien, puis des jours entiers sans arrêter de manger une seconde, mais courir me faire vomir toutes les heures. Ça dépendant des jours, en fait. Mais aujourd'hui j'étais heureuse, pourquoi aurais-je fait une crise ? Je ne manquais de rien. J'avais Zola, et il était tout ce qui devait compter. Je mangeais donc et il en fit de même, puis après une seconde part de pizza, je sautais en bas du comptoir et me retrouvais rapidement dans ses bras de nouveau. Je plaquais mes mains autour de son visage, me hissait sur la pointe des pieds et l'embrassait rapidement. Je le regardais ensuite dans les yeux, et après quelques secondes je demandais : « Promet moi que toi et moi ça durera. » Je fixais chaque réaction de sa part, chaque changement d'humeur sur son visage. « Promet qu'on va essayer, très fort pour que ça marche. » sans lui, j'étais perdue désormais. Il était ma bouée. « parce que moi aussi, je tiens à toi Zola, mais c'est plus que ça. T'es pas seulement mon petit copain, t'es mon meilleur ami. Mon confident. Si je te perds toi, si je perds... Ça, je tiendrais pas. » J'étais sincère, il le savait. Il savait parfaitement que c'était sa force à lui qui me permettait de tenir, moi. Et vice-versa. Alors, comme n'importe quelle fille, j'avais besoin d'être rassurée. J'avais besoin qu'il me dise que tout allait continuer. Ensuite, nous pourrions reprendre là où nous en étions, câlins toute la journée.


acidbrain
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() message posté Ven 25 Déc 2015 - 23:33 par Guest
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these four lonely walls have changed the way i feel, the way i feel, i'm standing still and nothing else matters now, you're not here so where are you? ✻✻✻ Comment lui dire que je ne peut pas lui promettre que notre histoire durera ? Je ne peux pas lui dire ça, lui en faire la promesse. Tout simplement, parce que je sais pertinemment que notre histoire ne durera pas le moindre du monde. Peut-être encore un ou deux mois. Peut-être plus. Peut-être moins. Je n'en ai aucune idée, mais elle ne durera pas un siècle. C'est ce qu'il y a de sur. Je m'en veux de penser ça. De ne pas me donner à fond dans cette relation. Pourtant, qu'est-ce que j'aimerais pouvoir continuer encore et encore ! Sa compagnie m'apaise, ses bras me détende, ses bisous m’obsède, ses caresses me font frémir. J'ai envie d'elle, comme j'aurais envie de cette pizza. Comme j'ai envie de la dévorer. J'attrape une part de pizza, que je m'empresse d'enfiler dans ma bouche, comme un gros sagouin. Je dois certainement la repousser, alors, je me met à rire bêtement. Une fois ma part de pizza terminée, je la prend dans mes bras. Je la regarde et je dépose mes mains sur ses hanches. Je ne peux m'empêcher de rouler des yeux lorsqu'elle me parle. Je … Je n'arrive pas à lui mentir. Je ne suis pas un menteur et elle doit savoir la vérité. Je décide donc de m'écarter un peu d'elle, lui tournant lâchement le dos. Je baisse la tête, une main sur le comptoir, puis une autre qui vient caresser mon visage. Je suis désolé de ce que je vais te dire. Pardonne-moi. « J'ai quelque chose à te dire Cass. » Commençais-je durement, avant de tourner le regard. Je pose mes yeux sur elle, une main sur mon front. Je me sens terriblement mal. Je n'ai jamais fais ça. Jamais je me suis apprêté à dire la vérité sur ce que j'ai fais. Je ne suis pas infidèle, je ne l'ai jamais été. Comme quoi, il ne faut jamais dire, jamais. Je le regrette amèrement. Enfin, pas tant que ça parce que c'était Kenzo. Mais d'un côté, je le regrette parce que j'aurais vraiment aimé ne pas l'avoir fait. Ce n'était qu'un baiser, certes, mais même un simple baiser à mes yeux c'est trompé. « Tu sais, j'suis rentré une semaine plus tôt que toi ? Et … à la gare, Elsa devait venir me récupérer. » Continuais-je difficilement. Je n'arrive pas à trouver mes mots, je suis totalement confus. Seulement, maintenant je ne peux plus faire marche arrière. Elsa, c'est ma colocataire. On s'entend vachement bien. D'ailleurs, on a eu une relation assez ambiguë, que personne ne sait. Pas même Kenzo. Enfin, je crois. « Seulement, j'y ai fais la rencontre de Kenzo. » Soufflais-je ensuite. Je relève les yeux sur elle, je sais qu'elle comprend et je sais que je n'ai pas besoin de continuer. Mais je veux être sur que tout soit compréhensible et loin d'être déformé. Évidemment, si je dis la vérité, je vais ne pas la rendre un peu plus grave. Je vais faire en sorte, que ce soit facile à comprendre, facile à prendre et à pardonner. Bien que ça ne sera pas évident, forcément. « On a discuté pendant un certain temps, on a parler de la cure, de son petit-ami, de toi. Et … on s'est embrassés. » Finis-je par dire tout en passant mes mains sur mon visage. Je me laisse tomber sur le rebord du bar de la cuisine. Je soupire. Je me sens stupide. Et je ne sais même pas quoi dire d'autre. Je finis par lever la tête, pour lui faire face. Je ne vois aucune réaction. Cassie je l'admire pour ça, parce qu'elle ne montre pas vraiment ses émotions, son ressenti. Mais bon, je sais que je vais me faire disputer. Je vais m'en prendre plein la gueule. Mais c'est le tarif. C'est ça quand on fait de la merde. « Ce n'était qu'un baiser d'adieu. On se disait au revoir, parce que maintenant je t'ai toi. Et elle, elle a un mec. Je … Je suis désolé Cassie, je suis vraiment désolé. Tu ne peux pas savoir à quel point je m'en veux. » Lançais-je plus sérieusement en me rapprochant d'elle. J'ai envie de la prendre dans mes bras. M'excuser encore et encore. Lui faire comprendre que ce baiser, ce n'était que pour se dire au revoir. Que plus jamais on se retrouverait. Que maintenant, je l'avais elle. Je soupire. [color=#44a849]« Pardonne-moi. »[:color] Terminais-je. Je finis par la laisser dans la cuisine, je n'arrive pas à lui faire face. Je n'arrive pas à affronter une nouvelle fois son regard, la peine dans ses yeux. Seulement, je ne peux pas. Je fais demi-tour. Elle est dos à moi. « Je suis désolé ... » Tout simplement. Je n'ajoute rien. C'est à elle de prendre une décision maintenant. « Si tu veux partir, je comprendrais. Je ne t'en voudrais pas. Je suis désolé, encore une fois. Désolé si je t'ai fais du mal ... » Voilà.

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() message posté Sam 26 Déc 2015 - 15:00 par Invité

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Séquence sentiments, la chose que je détestais le plus au monde. J'avais tout simplement horreur de ce genre de discussions plus ou moins sérieux de couple de base. Je détestais ça. Pourtant, nous entrions là-dedans sans le vouloir. Je lui confiais que sans lui, il était presque une évidence que j'allais replonger dans la drogue, ce n'était qu'une question de temps. S'il n'avait pas été là pour me dire de tenir, pour faire office de motivation, je l'aurais probablement déjà fait. J'étais loin d'être forte, lui, il l'était pour nous deux. Mais aussi tôt avais-je fait cet aveu, lui disant que je tenais à lui, il se détachait de moi. Ça sentait pas bon tout ça. Il se tournait dos à moi pour me lancer qu'il avait aussi quelque chose à m'avouer. Je ne le quittais pas deux yeux, les sourcils froncés à me poser mille et une questions. Qu'est-ce qu'il pouvait bien avoir à me dire, et surtout qu'est-ce qui pouvait être si grave qu'il se sente tellement honteux de devoir l'avouer ? Je l'écoutais attentivement, sans rien laisser paraître, mais une fois que le prénom de Kenzo fit irruption dans son récit, je compris. Mes poings se serraient doucement et instinctivement. Les nerfs me montaient rapidement. L'un des effets secondaires d'arrêter la cocaïne, on a constamment les nerfs à vif. On s'énerve facilement, on ne se contrôle pas vraiment. La moindre petite chose peut vous rendre fous de rage. Mon petit ami m'avouant avoir embrassé la fille qu'il aime depuis toujours était-ce une excuse valable pour péter un plomb ? Probablement. Je ne lâchais pas du regard pour autant, sans rien montrer sur mon visage. Je ne voulais pas qu'il voie qu'il venait de me blesser, de briser le peu de confiance que j'avais en lui. J'appréciais beaucoup Zola et notre relation, et vous voulez savoir ce que j'aimais le plus dans cette relation ? La confiance. Je pouvais tout lui dire, je ne lui serais jamais rien fait dans le dos, je pensais que la réciproque était évidente. Je n'aurais jamais imaginé Zola du genre infidèle, du genre à mentir, à tromper. Bien au contraire, à mes yeux il était tout le contraire. Il était gentil, doux, sincère. Visiblement, j'avais tout faux... Comme quoi les apparences étaient parfois trompeuses. Je finis par détourner le visage, sans ouvrir la bouche pour autant. Il parlait de nouveau, me racontant que ce n'était qu'un "baiser d'adieu", j'eut envie de sourire. Il s'excusait, plusieurs fois, mais je n'ajoutais rien. Que vouliez-vous que je dise ? Que je fasse une scène . Que je lui dise que tout allait bien . Je ne pouvais faire ni l'un, ni l'autre. Il s'approchait de moi, et je levais une main en sa direction pour lui faire signe de se stopper là. Je ne supporterais pas qu'il me touche, pas maintenant. Ma confiance, allait avec mon corps. Quand je perdais confiance, je ne supportais pas qu'on pose ses mains sur moi. Ironique, puisqu'il y a encore quelques minutes, je frissonnais sous ses doigts... Il s'excusait de nouveau, puis il s'apprêtait à quitter la pièce, je descendais du meuble où j'étais assise et me tournait face à l'évier. C'est là que j'entendis sa voix une nouvelle fois, il s'excusait pour la centième fois et ajoutait que si je voulais partir, je pouvais. J'eut un sourire ironique, et sans me tourner, j'ouvris la bouche à mon tour. « C'est ce que tu veux ? » Je sentais son regard sur moi, alors je décidais de me tourner pour lui faire face. Je posais mon regard dans le sien. « Tu veux que je parte ? » Répétais-je. Peut-être que c'est ce qu'il cherchait à faire en allant embrasser son ex le jour même où il m'avait quitté en cure et dit qu'il m'attendrait ici. Qu'il allait tout préparer pour nous deux, ici. Je ne savais plus ce que je devais croire, ce que je pouvais croire. « Et ne me mens plus Zola, tu crois pas que tu l'as déjà assez fait ? Ne me dit pas que c'était un baiser d'"adieu", toi et moi on sait parfaitement que c'est faux. » fallait qu'il assume, un au minimum. Je l'aimais beaucoup, et j'aurais voulu que lui et moi ça marche, mais ça pouvait pas marcher s'il n'essayait même pas et ne nous donnait même pas une petite chance dès le début. On était ensemble depuis un mois, un simple petit mois et voilà comment il fêtait ça. Quel avait été l'intérêt de se mettre en couple avec moi s'il savait qu'il allait faire ça . J'étais en colère, j'étais triste aussi, mais surtout hors de moi. Ce n'était qu'un baiser, ça n'aurait pas dû me mettre dans un état pareil, ce n'était pas comme s'il avait couché avec elle. Quoique, comment je pouvais savoir s'il ne l'avait pas fait aussi ?Je soupirais, puis passais à côté de lui. « Je te croyais différent, mais tu es exactement le même menteur égoïste que les autres. » Je le détournais pour retourner dans la chambre. Fallait que je m'habille, et que je me tire, vite. Mais finalement, je passais devant la salle de bain et un appel plus urgent se fit entendre dans ma tête. Je luttais un instant contre l'envie de m'enfermer dans la pièce et m'enfoncer un doigt dans la bouche, à défaut de ne pas pouvoir me droguer. J'entendis Zola arriver de la cuisine, j'entrais dans la salle de bain et refermais la porte. Je n'avais pas envie de le voir, pas maintenant. Je m'adossais à la porte, je l'entendais de l'autre côté. Je me laissais tomber contre la porte et me retrouvais assis à terre. « Une journée, Zola. T'as même pas tenu une journée ici sans moi. » Lançais-je. « Je croyais que je pouvais avoir confiance en toi, que tu tenais à moi. »

acidbrain
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() message posté Sam 26 Déc 2015 - 19:06 par Guest
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zola et cassie

these four lonely walls have changed the way i feel, the way i feel, i'm standing still and nothing else matters now, you're not here so where are you? ✻✻✻ Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas infidèle. Je n'ai jamais trompé une femme. Jamais de la vie. En même temps, j'en ai eu qu'une seule, de femme. Alors, ce n'est pas évident. Kenzo est la femme de ma vie, je ne pouvais pas lui faire ça. Je n'ai jamais pu la tromper et pourtant, j'ai eu de nombreuses occasions pour le faire lorsque j'étais encore avec elle. Je ne suis pas infidèle et c'est certainement pour cette raison que j'ai préféré dire la vérité à Cassie. Je ne veux pas lui faire du mal. Je ne le voulais pas en réalité. Je ne l'ai jamais voulu. Mais, si je ne lui avais pas dit, je n'aurais pas pu me regarder dans une glace et elle aurait fini par le découvrir. Je préfère qu'elle l’apprenne de ma bouche. Je préfère qu'elle sache la vérité, parce que je lui ai toujours dit. Jusqu'ici, je ne lui ai jamais menti. J'ai toujours été très sincère. Je m'en veux bébé, je suis désolé. « Non ! Ce n'est pas ce que je veux. Je ne veux pas que tu partes. » C'est évident que je ne le veux pas. Je ne supporterais pas de la laisser partir sur un conflit. Je veux qu'on le règle tout de suite. Je veux qu'elle essaie de me pardonner. Qu'elle oublie. Je sais que ce sera difficile, moi-même, je vais avoir du mal à penser à autre chose maintenant. Mais il le faut. Pour le bien de notre couple. Pour que notre histoire puisse marcher. Je vois bien que je l'ai blessé. Je m'en veux et je n'arrive même pas à la regarde dans les yeux. Je suis touché en plein cœur. Et je n'imagine même pas dans son cas. Elle qui tient à moi plus que je ne le mérite. Je soupire, passant mes mains sur mon visage. J'ai envie de pleurer. En temps normal, je ne pleure pas sur commande, mais là, j'en ai vachement envie. Il faut que je me retienne. Je ne veux pas être faible. Je ne veux pas être ce Zola là. Celui qui est sensible et qui chiale pour un rien. Non. Je relève la tête. J'écoute ce qu'elle a à me dire. « Je ne suis pas un menteur Cassidy. Je… Je n'arrive pas à te mentir ! Je ne pouvais pas garder ça pour moi. » Lançais-je à mon tour, juste avant qu'elle s'enferme dans la salle de bains. Je sais d'avance que les choses vont se compliquer. Ce ne sera pas aussi simple de regagner le peu de confiance que j'avais pour elle. Je sais que je compte beaucoup pour elle et elle aussi, elle compte beaucoup pour moi. Seulement, je ne suis pas du genre à être trop affectif, trop tactile. Je ne montre pas – aussi facilement – mes sentiments. Et pourtant, je pense m'être laissé découvert un petit peu. J'aimerais être aussi parfait qu'elle l'avait cru jusqu'à maintenant. Je l'écoute. Elle me dit que je ne suis même pas capable de tenir une journée sans elle. Et elle ajoute qu'elle pensait pouvoir avoir confiance en moi et que je pensais tenir à elle. Je reste figée derrière la porte de la salle de bains. Je me laisse tomber à mon tour, dos contre la porte. Les genoux repliés contre mon torse. Je les entoure de mes bras et je laisse ma tête s'enfoncer entre mes jambes. Je m'en veux terriblement. « Ne dis pas n'importe quoi. Je tiens à toi. Je tiens énormément à toi. Et je m'en veux. Je m'en veux pour ce baiser. Je m'en veux Cassie. » Soufflais-je simplement avant de laisser retomber ma tête, en arrière, contre la porte. Je ne sais quoi dire. Je n'ai pas vraiment l'habitude de m'excuser de mes actes. Ce n'est pas mon genre. Mais là, il le fallait. Pour le bien de mon couple. Je me devais de la faire sourire et non, de la faire souffrir. J'ai tellement de choses à lui dire que je ne sais même pas par où commencer. Et puis, les quelques mots qui pouvaient sortir de ma bouche, sonneraient faux. Je sais qu'elle ne croira plus en ce que je lui dirais et rien que ça, j'en souffre. Je ne pensais pas que ça me ferait aussi mal de l'avoir blessé, tromper. Je pensais ne pas tenir à elle autant que je le pensais. Je pense que je me suis pas mal accroché à elle au final. Et j'en paie le prix.

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() message posté Lun 28 Déc 2015 - 14:34 par Invité

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Donc, il disait ne pas vouloir que je parte. Pourquoi m'avait il dit ça dans ce cas ? Pourquoi m'avait il fait ça ? Je ne comprenais plus. Je ne le comprenais plus. Il disait une chose et en faisait une autre, c'était très perturbant. J'étais moi-même compliquée et indécise de nature, mais j'aimais tout de même que mes choix soient clairs, nets et précis, les siens étaient tout sauf cela. Il aimait Kenzo, mais c'était mis en couple avec moi. Il était en couple avec moi mais avait embrassé Kenzo, c'était à en perdre l'esprit ! Mon esprit étant déjà bien embrouillé par le manque de drogues, je m'en serais presque arraché les cheveux. Il ajoutait ne pas être un menteur, je fuyais dans la chambre parce que je ne voulais pas en entendre d'avantages. Il l'avait fait, il m'avait menti. Il avait menti la première fois en me disant qu'il tenait à moi et il recommençait aujourd'hui. Au final, je m'étais enfermée dans la salle de bain, j'arrivais plus à me contrôler, je ne savais pas comment gérer toute cette rage, toute cette colère. J'en avais marre d'être la fille à qui l'on ment, qu'on déçoit, qu''on choisit en deuxième choix. Avec Zola j'avais cru que c'était différent. J'avais véritablement cru qu'il voyait en moi quelque chose de bon, quelque chose de bien, qu'il me comprenait. Je pensais pouvoir lui faire confiance, je pensais qu'il pensait la même chose sur notre relation que moi. Je ne me sentais pas comme toutes ses femmes victimes d'adultères pathétiques à en mourir, non. Je me sentais juste terriblement déçue, de lui, de moi, de ce que je pensais que nous étions. Nous n'étions pas un couple basique, les drames n'étaient pas notre truc, nous étions avant tout mais et c'est cette amitié, cette confiance qu'il avait brisée. Très peu de gens dans son bas monde bénéficiaient de confiance de ma part, quand ils la perdaient, c'était très difficile voire impossible de la gagner de nouveau. Toute fille normalement constituée aurait eu envie de pleurer, pas moi. Je me trouvais là, assise le dos contre la porte de la salle de bain sur le carrelage froid et je l'écoutais. Je l'écoutais me répéter qu'il était désolé, qu'il s'en voulait. Ça changeait quoi aux choses de s'en vouloir . Tu es désolé, hein . Ça me fait une belle jambe. C'était débile, stupide de répéter ça puisque ça ne changeait absolument rien. Les nerfs me montaient, je serraient les dents et les poings, j'avais envie de tout détruire. De tout briser autour de moi, j'eut même envie de le frapper. De tenter de lui faire aussi mal physiquement qu'il venait de m'en faire, lui. J'avais envie de le blesser, envie qu'il comprenne. Puis finalement, je me résignais. Ça ne changerait rien.Il avait été faible alors que je l'avais pensé si fort. Il savait gérer le manque de la drogue, il savait se retenir de ne pas se défoncer la tête, il ne savait pas se retenir d'aimer Kenzo. Elle était sa plus grande faiblesse, et je me trouvais stupide de lui en vouloir pour n'avoir fait que ce que son coeur lui disait. Ce dont j'aurais dû m'attendre. « Tu t'en veux, mais est-ce que tu regrettes ? » Je me tue quelques secondes après cette question, j'en connaissais la réponse, mais je voulais l'entendre dire. Il ne répondait pas tout de suite, et je balançais ma tête de gauche à droite avec désespoir. « Tu peux pas. » affirmais-je calmement. Je soupirais, puis je me levais de nouveau, j'ouvris doucement la porte en prenant soin qu'il se lève également, puis je le fixais dans les yeux. « Tu peux pas regretter, puisque c'est ce que tu veux. C'est elle que tu veux. » Je le savais, il le savait, et être un obstacle entre eux me fatiguait peu à peu... Je le contournais sans le toucher et me mise à ramasser doucement mes affaires un peu partout dans sa chambre, en silence. Je pense qu'il était temps pour moi de rentrer chez moi. Zola avait besoin de réfléchir, il avait besoin de temps et de solitude.Je ne voulais pas le perdre, ni perdre notre relation, je tenais à lui, mais je ne voulais le forcer à rien. Je mis les quelques fringues m'appartenant dans mon sac fort heureusement assez gros, puis je retirais ses fringues à lui pour me changer. Première et probablement dernière fois que Zola me verrait nue. Je me dépêchais, et une fois mon sac fait je le plaçais sur mon épaule, je relevais les yeux sur lui. « M'appel pas. Ou alors appel moi si tu à vraiment envie d'être avec moi. Pas simplement parce que Princesse Kenzo n'est pas disponible... » Je me pinçais les lèvres, puis m'approchait de lui pour déposer un baiser sur sa joue. Je ne serais pas le bouche-trou de cette fille, s'il tenait à moi et voulait être avec moi, alors je serais là pour lui. Sinon, je lui souhaitais tout le bonheur du monde, il le mérite.


acidbrain
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() message posté Jeu 7 Jan 2016 - 17:55 par Guest
▁ i escape in your arms.
zola et cassie

these four lonely walls have changed the way i feel, the way i feel, i'm standing still and nothing else matters now, you're not here so where are you? ✻✻✻ Je ne suis pas du genre à mentir. Je ne l'ai jamais vraiment fait. Enfin, si. Pour être honnête, lorsque je n'étais plus avec Kenzo, j'ai souvent menti pour mettre une fille dans mon lit. Pour me soulager, pour ne plus penser à elle, il fallait que je couche avec n'importe quelle autre femmes et parfois, il fallait que je fasse des choses improbables. Il m'arrivait de ne pas y arriver. Oui, on ne peut pas tout avoir. Le fait de mentir à Cassie, me faisait mal au cœur en un sens. Parce que je tiens beaucoup à elle. Beaucoup trop d'ailleurs. Et dans un autre sens, sa me faisait mal parce que je lui fais du mal. Ce n'est pas ce que je veux et je suis persuadé, qu'au fond d'elle, elle le sait. Je ne peux pas lui en vouloir de m'en vouloir. Après tout, c'est moi qui a merdé. Je dois assumer mes conneries. C'est pour cette raison que j'ai dis la vérité. Que je lui ai avouer avoir embrasser Kenzo.
Elle reste enfermer dans la salle de bain, je m'installe par terre. Le dos contre la porte. Je soupire, je passe mes mains à plusieurs reprises sur mon visage. Je m'en veux mon amour. Je m'en veux de te briser le cœur en mille morceaux. Si seulement elle pouvait me pardonner, afin qu'on oublie tout ça et qu'on passe à autre chose. C'est impossible, je le sais bien. Je n'y arriverais jamais. J'aime beaucoup trop Kenzo pour oublier ce malheureux petit baiser qui a eu lieu à la gare. Je l'écoute. Et elle me pose cette fameuse question à laquelle je n'eus pas vraiment le temps de répondre. Bien trop occupé à réfléchir à la réponse que je pourrais bien lui fournir. Bordel, je ne peux pas lui mentir. Ce serait beaucoup trop incorrect. Je ferme les yeux, laissant ma tête tombé contre cette porte. Je l'entends. Elle se relève et j'en fais autant. Avant de lui faire face. Je ne peux pas. Non, je ne peux pas. Je suis tellement désolé bébé. Elle me dit que c'est Kenzo que je veux.. Je n'arrive même pas à la contredire. C'est ma femme, Kenzo sera toujours ma femme. Quoi qu'il arrive. Je la regarde s'éloigner, prendre le trajet de la chambre. Je la suis, les mains dans mon jogging. Je suis tellement mal que je ne sais quoi faire. Elle se déshabille devant moi. Je n'arrive même pas à la regarder enfaite. Je ne peux pas. C'est comme ça. Je soupire. Elle enfiler ses vêtements tout en jetant mes habilles sur mon lit. J'essaie de dire quelque mots, mais je bafouille. C'est incompréhensible. Elle s'approche de moi, me dépose un baiser sur ma joue. « Je ... » Dis-je simplement. Je n'arrive pas à aligner deux mots. « S'il te plaît. » Dis-je à nouveau. Je m'en veux terriblement. La dernière fois que j'étais mal ainsi, c'était lorsque Kenzo ma jeter. Bordel, qu'est-ce que sa fait mal. Je m'en mord les doigts, encore une fois. « Reste. » Lançais-je en attrapant son bras. Je ne veux pas qu'elle parte. Je ne veux pas qu'elle me laisse comme ça, ici, tout seul. J'ai encore besoin d'elle, de sa compagnie. Si elle part, je serais bien capable d'aller me trouver un petit remontant et de remettre ça. Et au final, c'est trois mois de cure de désintoxication n'aurait servit à rien. Bah ouais, je suis fort. Je suis censé l'être, mais là, je perd mes moyens. Kenzo est ma faiblesse, mais Cassie pourrait également très vite le devenir. C'est peut-être ma jolie brune que je veux à mes côtés le restant de mes jours, mais aujourd'hui c'est toi que je veux. « C'est toi que je veux aujourd'hui. » Murmurais-je tellement bas que je ne suis pas sur qu'elle ait complètement entendu. Je soupire, je baisse les yeux. Je ne sais rien faire d'autre. Je suis un con. Pardonne-moi.

✻✻✻
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Anonymous
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() message posté Ven 8 Jan 2016 - 14:30 par Invité

I escape in your arms.
zola & cassie

Je pense que j'aurais juste aimer qu'il essaie. Je savais qu'il était amoureux et je ne l'en blâmait pas. Je pouvais parfaitement comprendre l'amour qu'il portait à cette fille qui avait été son premier amour, la femme de sa vie durant si longtemps. Mais pourtant, si je m'était décidée à me lancer dans cette relation à la base c'était parce que je le pensait assez fort et sincère pour au moins essayer de faire en sorte que cela marche. Visiblement, il était beaucoup plus faible que ce que je pensais.. Je me décidais finalement à sortir de la salle de bain m'aillant servit de refuge et je décidait de lui faire face. Après m'être changée et avoir enfiler des vêtements m'appartenant, je lui avait fait comprendre que je savais qu'il ne regrettait pas ce baiser avec Kenzo puisqu'il aimait Kenzo et que c'était avec elle qu'il voulait être. J'appréciait Zola, assez pour lui laisser sa liberté si c'était avec une autre fille qu'il serait heureux. Je voulais son bonheur, et je pensais pouvoir le rendre heureux, prendre soin de lui d'une façon dont sa brunette ne le pouvait pas. Ses derniers mois j'avais aider à réparer les dégats qu'elle avait causer à son coeur, mais visiblement je n'étais pas assez forte pour lui donne envie de m'apprécier moi plus qu'autre chose. J'étais un peu déçue de moi même, mais je tentais de ne pas le montrer. En attendant, je lui dit ce que je pensais et lui dit de me rappeler s'il sentait l'envie de me revoir, de me voir moi et pas par ennuie parce que Kenzo ne serait pas là. Alors que je déposait un baiser sur sa joue et m'apprêtait à m'en aller, il saisie mon bras et je me stoppait net. Il me demandait de rester alors que je levait mon regard vers lui, il ajoutait que c'était moi qu'il voulait aujourd'hui.. Je restais muette durant quelques secondes, puis je me pinçais les lèvres. Aujourd'hui n'était peut être pas suffisant .. Je l'appréciait, et de ce fait j'aurais voulu qu'il ai envie d'être avec moi, c'était moi sa copine, bordel. Je soupirais, parce que je ne voulais pas lui faire de mal et je savais que j'étais entrain d'en faire. Je ne voulais pas être la fille qui lui compliquerais la situation, j'aurais vouu au contraire que tout cela soit beaucoup plus simple. Mais je ne pouvait pas gérer, tout le temps. J'étais compréhensive mais à un moment donner j'avais mes limites et là tout de suite j'avais envie de me changer les idées. J'avais le sentiment désormais qu'à chaque fois qu'il me touchais ou me disait ce genre de chose il le faisait par pitié, parce qu'il ne me pensait pas assez forte pour encaisser la vérité étant qu'il ne m'aimerait jamais de la façon dont il aimait Kenzo. Je lui offrit un petit sourire forcé, puis je haussait les épaules doucement. « Je peux pas, Zola. » Lâchais-je simplement. « Je peux pas être la fille que tu veux aujourd'hui et plus demain .. Je peux plus. » Je soufflais, je me sentais mal à l'aise. « Tu sais, maintenant que je suis sortie de cure je doit évoluer dans un environnement calme et simple pour ne pas avoir envie de replonger. Nous deux je pensais que ça le serait. Je pensais que tu allait m'aider à aller mieux et tu l'a fait .. Jusque maintenant. » Je retirais doucement mon bras de son emprise. « Jai besoin d'être avec quelqu'un qui a envie d'être avec moi .. pas qui se force .. » Ca faisait mal de dire ça, d'avouer à voix haute que je n'étais qu'une fille de plus à ses yeux, mais c'est ce que je commençait à penser. Je replaçait mon sac sur mon épaule et puis je me mise à marcher pour quitter son appatement. Je soupirait une fois dehors. J'avais besoin de m'aéré la tête.

rp terminé.

acidbrain
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