alexander - may your dreams come true

Alexander Stratton représente le parcours typique du londonien aisé dès sa naissance. La seule différence; il a bel et bien choisit de devenir avocat, contrairement à ce que l'on pourrait penser. Ambitieux de nature, son parcours à l'université fût sans faute, sa plus basse note étant... A. Dans ce foutu cours de discours, il détestait cette prof, Ms. Burden. Une vieille ridée qui voulait simplement lui nuir. Une fois parvenu aux grandes ligues, il démarra en éclair. Il gravissait les échelons de la plus grande firme d'avocats de Londres à une vitesse folle, en ayant catégoriquement refusé l'aide de ses parents. Il voulait faire ça à sa manière. Si bien qu'après une petite année et demi au sein de la compagnie, il était déjà un Junior Associate. Il est impatient, ce qui l'aide clairement dans son ambition. Il ne compte pas stagner, là, au sein de son poste déjà comfortable.

En dehors du boulot, Alex a tout de même une vie sociale assez remplie. Personne ne comprends comment il le fait, mais il réussit tout de même à accomplir l'exploit d'être un jeune avocat débordé de travail, et de sortir dans les bars assez régulièrement les fin de semaines. L'avocat est quelque peu égoïste, trop ambitieux et parfois pas indulgent du tout, mais le jeune homme de quasiment 26 ans est presqu'à l'opposé. Attentionné, fidèle et généreux, il est toujours là pour ses amis, il n'y a aucun doute là-dessus. Toutefois, il y a un petit côté possessif qui ne plaît pas à tous. Plusieurs de ses ex n'aimaient pas ça. Il tente désespérément de travailler sur cet aspect de sa personnalité qui lui déplaît, cela reste toutefois extrêmement compliqué car il reste quelqu'un qui est têtu comme une mule.

Sportif de nature, il pratique le tennis depuis l'âge de six ans, ainsi que le plongeon depuis l'âge de dix ans. Il adore la compétition, c'est ce qui le motive autant au boulot, que sur un tremplin ou un court de tennis. Bien évidemment, à chaque année, il se rend à Wimbledon et prends congé pour le jour de finale. Il avait préparé le terrain, mettant en garde dès son embauche ses employeurs, qui ne semblaient pas trop réfractaires, et qui le sont encore moins maintenant, dû principalement à son excellent boulot, meilleur que tous les autres associés.