"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Just like a red balloon ▬ ft. Silas 2979874845 Just like a red balloon ▬ ft. Silas 1973890357
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() message posté Jeu 24 Déc 2015 - 7:37 par Invité
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Cecil + Silas

I am sick to death of cleverness. Everybody is clever nowadays. You can't go anywhere without meeting clever people. The thing has become an absolute public nuisance. I wish to goodness we had a few fools left. – We have. –  I should extremely like to meet them. What do they talk about? – The fools? Oh! about the clever people, of course. –  What fools !   ✻✻✻  « On the contrary, aunt Augusta, I've now realised for the first time in my life the vital Importance of Being Earnest ! » S'exclama, avec l'enthousiasme d'un homme venant de comprendre le sens de la vie, un Cecil qui n'en était plus un, revêtant plutôt la peau d'un Jack né sous la plume d'Oscar Wilde. Le rideau de velours rouge se ferma sur cette scène de retrouvailles et les lumières tamisées du petit théâtre s'éteignit un instant ; elles se rallumèrent au même moment que s'ouvrit le rideau. Paradèrent chacun leur tour les membres de la troupe, saluant le public et se plaçant ensuite en ligne horizontale, au proscenium, se tenant main dans la main à la façon d’une ribambelle en papier. Cecil se trouvait au milieu : comme il le fallait, il initia la révérence. Son sourire et son regard pétillaient plus les applaudissements fusaient. Au second salut, il remercia le public et la petite troupe fila à l'anglaise lorsque le rideau se baissa à nouveau et que les lumières s'allumèrent pour de bon. Salomon se précipita vite en coulisse, manqua une ou peut-être trois fois de s'éclater la face en se prenant le pied dans les fils d'éclairages et autres accessoires scéniques traînant au mauvais endroit au mauvais moment. Dieu merci que la salle soit bruyante : le jeune homme était aussi subtile et adroit qu'un éléphant dans un Swarovski et ça s'entendait à coups d'insultes envoyées aux équipements et de fracas entre le mur du fond et le damoiseau. Peu importe, il se dépêcha, félicitant l'actrice de Cecily et l'acteur d'Algernon en passant – les autres étaient déjà probablement dans la loge. Cecil espérait avoir le temps de croiser des gens qu'il connaissait, à la sortie. Habituellement, considérant que ce n'était pas un public énorme, les gens restaient souvent pour discuter entre eux, par exemple. Il savait que sa cousine n'était pas venue le voir ce soir et que la plupart de ses amis avaient prévu venir à la dernière, mais on ne savait jamais. Il entra en coup de vent dans la loge; il se départi rapidement de son haut de forme blanc et du reste de son costume – un habit blanc très classique, une chemise à rayures et un nœud papillon tout à fait ringard. Il déambula en caleçon ( la gêne et la pudeur étaient des concepts inconnus dans une troupe de théâtre ), à la recherche de ses habits dits normaux. Une fois trouvés, il les enfila maladroitement.  Salomon prit le temps de se démaquiller, au-dessus de l'unique lavabo, et de s'assurer que sa tête était présentable. Le jeune homme récupéra ses affaires, posa un bisou sur la tête de l'actrice de Gwendolen - une brune qui, accessoirement, était aussi son ex - et décampa non sans envoyer un vif signe de la main à ses partenaires. Aussi étrange que ça pouvait paraître, la troupe avait comme tradition de ne pas se réunir entre elle, dans un contexte d'amusement et de joie, avant la dernière, histoire de conserver au maximum l'état d'esprit qui régnait entre leurs personnages sur scène. Pour aller plus vite, Salomon passa par la salle plutôt que par la sortie des artistes – par paresse, aussi, en fait.

Son regard balaya le hall de la place. Il ne remarqua que des gens qui étaient, là, en train d'attendre d'autres membres du casting. Enfin, jusqu'à ce que ses pupilles se posent sur une tête un peu rousse, dos à lui, qu'il pensait reconnaître. Dans le pire des cas, si c'était la mauvaise personne, le ridicule ne l'avait jamais vraiment tué. Cecil s’approcha, tentant d’être le plus subtile possible, comme un gamin tentant de faire une surprise. Il posa amicalement son bras  autour des épaules de Silas. Salomon resta silencieux un instant, fixant le vide, souriant. C’était bizarre, mais ce n’était pas grave. Cecil était la nouvelle définition du mot « étrange »   – les gens en charge des dictionnaires ne s’en étaient simplement pas encore rendus compte, attendez c’est qu’une question de temps ! «  Yo, dude. » Qu’il lança, presque riant – la fierté d’avoir terminé cette représentation-là lui montait finalement au cerveau. Aussi rapidement qu’il était arrivé, Salomon éloigna son bras de l’homme. «  T’as trouvé ça comment ? » Enfin, il s’attendait à ce qu’on le flatte dans le sens du poil et qu’on souffle ses chevilles à la pompe à ballon de foot ; c’était un bien vilain défaut.

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() message posté Sam 26 Déc 2015 - 20:19 par Invité
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CECIL SALOMON & ANNABELLE CHESHIRE

“i can repot that she is as irritatingly elegant and kind, as she is talented.” ✻✻✻ Confortablement installé dans son fauteuil de velours rouge, Silas avait les yeux rivés sur la scène. Il avait vu cette pièce un certain nombre de fois déjà, mais il aimait toujours autant voir ces formidables acteurs rendre vie à des personnes d'une de ses pièces préférées. Il était tout particulièrement fier de voir se trémousser sur les planches, son meilleur ami, Cecil. Cela faisait un moment que les deux jeunes hommes se connaissaient et presque aussi longtemps qu'ils étaient collés 'un à l'autre, faisant les conneries qu'ils aimaient tant ensemble. Mais Silas aimait également partager ce genre de moments avec son ami. Cecil était un bon acteur, Silas l'avait su presque tout de suite, la première fois qu'il l'avait vu sur scène. Il avait cette prestance, cette voix, ces expressions qui collaient parfaitement à chaque personnage qu'il interprétait. Il avait une capacité d'adaptation assez impressionnante, er Silas n'avait même plus l'impression de voir Cecil lorsqu'il venait le voir jouer. A chaque fois, il était pris dans l'histoire, comme happé par les paroles du personnage que jouait son ami.
Il venait donc le voir de temps en temps, sans forcément l'informer de sa présence dans le public. A vrai dire, il arriva une ou deux fois à Silas de devoir se cacher derrière une dame avec une coiffure un peu trop volumineuse, ou bien tout au fond de la salle, ou même un peu trop sur le côté, afin d'être certain que Cecil ne le voit pas. Malheureusement, il avait été démasqué plusieurs fois. Il avait aussi entreprit, une fois, de rentrer dans sa loge et du lui faire une surprise, en lui saccageant tout, ou en retirant tous les meubles, ou même en écrivant un mot sur la glace avec du rouge à lèvre. Malheureusement, à chaque fois qu'il parvenait à l'entrée de la loge, il était immédiatement sorti à coups de pieds. Il paraît qu'il est interdit de rentrer dans les loges des acteurs sans permission de ceux-ci. Il avait donc fini par abandonner, préférence se déguiser et surprendre Cecil à la fin du show…

Ce jour-là, il n’avait rien fait de tout ça. Il avait simplement admiré son ami sur scène. Cecil avait été particulièrement doué ce jour-là, et Silas était impressionné. Il n’avait jamais été aussi pris dans une pièce que ce soir-là.
A la fin, il se dirigea simplement dans le hall, discutant avec des personnes qu’il connaissait de la pizzeria. Il senti alors un bras se poser autour de ses épaules. Il reconnut Cecil en tournant la tête. Celui-ci ne dit rien pendant quelques secondes avant de le saluer et lui demander comment il avait trouvé la pièce. « Hello ! Franchement ? C’était mieux que d’habitude ! » Il le prit dans ses bras avant de lui faire trois tapes dans le dos. « Je t’avais jamais vu aussi bon ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? tu t’es dopé ? » Il exagérait peut-être un peu, mais c’est vrai que sa performance du soir avait été très bonne. « On va boire un verre ? »


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() message posté Dim 27 Déc 2015 - 18:04 par Invité
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Cecil + Silas

I am sick to death of cleverness. Everybody is clever nowadays. You can't go anywhere without meeting clever people. The thing has become an absolute public nuisance. I wish to goodness we had a few fools left. – We have. –  I should extremely like to meet them. What do they talk about? – The fools? Oh! about the clever people, of course. –  What fools !   ✻✻✻ Cecil éclata de rire. Il ne savait pas du tout comment prendre «  le mieux que d’habitude », mais il ne se prit pas la tête avec ça et décida de l’avaler comme un compliment. Il sourit, encore riant. «  C’est une bonne chose. Je maudis ceux qui disent qu’il faut dormir pour réussir ! » Salomon brandit le bras dans les airs. Pour être honnête, ces derniers mois,  lui et sa troupe  avaient travaillé hyper fort et, plus est, le jeune homme avait passé, en plus, beaucoup de temps de son bord à perfectionner son personnage. Il supposait que les efforts avaient porté fruits. Ça avait un bon goût, la réussite. Cecil tapa aussi le dos de son ami ; la fierté masculine était quelque chose qui se partageait. Du moins, il n’avait jamais vu deux garçon se crêper le chignon parce que l’un avait réussit et pas l’autre. «  Ouah… En vrai, j’sais pas trop ce qu’il s’est passé.  Peut-être que j’ai voulu impressionner quelqu’un. »  Il haussa les épaules, tout en se détachant du jeune homme. «  L’inconscient est la plus puissante de toute les drogues ! » Salomon se passa une main dans les cheveux. Tenter de reconquérir son ex, qui avait le rôle le plus important auprès du sien, était une idée très stupide. Mais Salomon était stupide, du coup ce n’était pas très grave.

L’acteur acquiesça d’un signe de tête. Il ne voyait pas pourquoi il refuserait d’aller boire. L’alcool était probablement la meilleure façon de célébrer. «  HaShem merci, je bosse pas demain ! On va pouvoir fêter ça en grand. » S’exclama-t-il, tapant une fois dans ses mains pour ponctuer sa réalisation.  D'ailleurs, il retira sa cravate. Il en portait tellement souvent que c’était rendu une habitude d’en mettre une même lorsque ce n’était pas nécessaire – considérant qu’il n’aimait pas ça, c’était un réflexe stupide. Il la rangea dans la poche arrière de son pantalon et retourna son attention sur son ami. «  T’es plus pub ou club, ce soir ? Je suis plus pub, personnellement. J’ai mal aux jambes. » Dit-il alors qu’il se mit, littéralement, à gambader vers la sortie – ses genoux ne l’avaient pas encore lâché, il pouvait donc gambader autant qu’il le voulait. «  Peu importe, je connais un endroit génial. Sauf si tu t’y opposes, évidement. Mais ils ont des fish’n’chips super bons. Et tu vois, j’ai super faim !  » D’ailleurs, quand on parlait du loup : son estomac approuva disgracieusement.  Il tenu la porte à Silas, la rattrapant de justesse,  parce qu’avec la vivacité dont il avait fait preuve en l’ouvrant, elle aurait bien pu rencontrer trop près le visage de l’autre et c’aurait été bien dommage de l’abimer. Comme un con, il resta là un instant puisque tout le monde semblait avoir décidé de sortir, une fois que quelqu’un tenait la porte. Il grimaça ; c’était quoi cet abus-là de la charité ? Salomon, les mains dans les poches, retourna près de son ami et entama le pas. Il le menait vers un pub assez vivant, mais qui semblait tout de même assez classe.   Au pire, s’ils changeaient d’avis en cours de soirée, ce n’était pas les bars qui manquaient à Soho.

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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 21:01 par Invité
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CECIL SALOMON & ANNABELLE CHESHIRE

“i can repot that she is as irritatingly elegant and kind, as she is talented.” ✻✻✻ Cecil et Silas, c'était un peu l'évidence. Ils avaient les même consonnance dans la prononciation de leurs prénoms après tout. Silas avait presque toujours pensé que c'était le destin qui avait fait deux hommes comme eux, et qui les avaient mis sur le chemin l'un de l'autre. Un peu comme une météorite qui tombe sur terre, sans toucher la seule vache dans un champ. Ils étaient pareils, et quand ils étaient ensemble, ça se voyait et surtout, ça s'entendait. Si vous vous trouviez en compagnie du duo sans entendre aucun bruit, c'est que quelque chose clochait. Et ils en étaient un exemple vivant à ce moment-là, alors que Silas congratulait son ami pour sa performance du soir. A coup de tapes dans le dos et de bras en l'air, ils exprimaient après tout l'affection qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. C'était une véritable bromance ! Et Cecil finit par avouer à moitié qu'il avait si bien joué car il avait envie d’impressionner son ex, qui jouait dans la pièce avec lui. Incorrigible. Silas fit la moue, comme s'il était prêt à le fâcher. « T'es pas possible Cecil. Tu te fais du mal hein ! » Il avait suivi l'histoire depuis le début, et il savait parfaitement que Cecil mettait beaucoup trop d'énergie à tenter de se remettre avec cette fille-là. Selon le rouquin, il aurait plus vite fait de se trouver une nouvelle copine, qui serait directement folle de lui. Et il savait qu'il y en avait qui attendait devant la porte déjà ! « Le seul point positif c'est qu'avec ça, tu deviens vraiment bon ! Je comprends finalement pourquoi ils t'ont embauché dans cette troupe ! »

Cecil accepta avec plaisir le verre que Silas lui proposait, pour le plus grand plaisir de ce dernier. Contrairement à son ami, il travaillait bien le lendemain, mais il s’en fichait. Il avait envie de profiter de la soirée avec son ami, et s’il arrivait en retard au travail, ça ne serait tout simplement pas la première fois !
Cecil décida pour deux qu’ils iraient dans un pub qu’il connaissait et qui apparemment faisait de la bonne bouffe. Silas faisait confiance à son ami, et il lui suivit sans problème jusqu’au fameux bar.
A peine arrivés, Silas comprit qu’il y avait une bonne ambiance dans ce bar. La musique était bien choisie, et un bon nombre de clients étaient déjà assis à table, en train de déguster des plats typiques de l’établissement visiblement. Le jeune homme apprécié presque immédiatement les décorations et l’ambiance générale.
Les deux jeunes hommes demandèrent donc s’ils pouvaient s’installer à une table libre et on leur indiqua un coin en fond de salle où ils allèrent s’installer. « Alors, quoi de neuf ? » Ne laissant même pas son ami répondre, Silas reprit la parole. « Moi je m’inquiète un peu pour Elliana… » En effet, depuis quelques mois, il n’avait plus que la jolie blonde dans la tête. Et après ce qui était arrivé à son père, et l’histoire avec Theodore, c’était encore plus compliqué.


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() message posté Ven 1 Jan 2016 - 17:56 par Invité
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Cecil + Silas

I am sick to death of cleverness. Everybody is clever nowadays. You can't go anywhere without meeting clever people. The thing has become an absolute public nuisance. I wish to goodness we had a few fools left. – We have. –  I should extremely like to meet them. What do they talk about? – The fools? Oh! about the clever people, of course. –  What fools !   ✻✻✻ Cecil tira une drôle de tête. Sur le coup, Cecil ne comprit pas de quoi Silas voulait parler. Lorsqu’il comprit, une réalisation presque douloureuse s’empara de son visage sans même qu’il le réalise. Il avait raison, en fait. Cecil se faisait du mal. Mais il refusait de qualifier ça ainsi. Il aurait plutôt nommé ça «  les besoins de la mission ». Depuis le temps, Salomon était rendu spécialiste de la construction de châteaux en Espagne et du chassage de chimères – les deux n’étant pas des domaines très lucratifs, il finissait souvent plus abimé qu’amélioré. Il se contenta d’hausser les épaules, l’air de dire « c’est la vie, je vais m’en remettre ». Il savait bien qu’il pourrait aller voir ailleurs, mais il n’avait pas la motivation. Le cœur, oui, la motivation, non. Tant pis. Si ça le rendait meilleur acteur… Il souriait désormais à pleines dents. Il fût heureux – son estomac, en partie – que son ami ne refuse pas d’aller dans un pub – bon, il ne s’était pas ouvertement confié à ce sujet, mais le silence était  une réponse positive, disons. Salomon avait cette drôle capacité à être capable de rester silencieux tout le long d’une marche, malgré sa  voix habituellement hyperactive ; comme s’il était incapable de faire deux choses à la fois.

Ceci étant dit, Salomon prit une grande inspiration lorsqu’ils arrivèrent au lieu tant convoité. Il aimait l’odeur de ce genre de places : un truc un peu familier, réconfortant, vous voyez. Il préférait ces pubs qui avaient une arrière odeur de bois, mais on n’allait pas chigner pour ça –  tout de même ? Dans les faits, Cecil éprouvait un quelconque réconfort dans cet endroit aux lumières tamisées et aux teintes brunes et bourgognes. Ça lui rappelait son chez lui, les babioles de ses parents en moins. Cette attitude se remarqua très bien grâce à l’allure soudainement, voire instinctivement, décontractée qui s’empara du secrétaire, pattes dans les poches, qui ne pu s’empêcher, pendant qu’ils se dirigeaient vers la table indiquée,  de faire un coucou rapide aux gens qu’il connaissait. Disons qu’il était un habitué.  Salomon, lequel ses jambes commençaient sincèrement à l’implorer, se posa en face de Silas. Il ne prit pas la peine d’enlever son manteau, le froid d’hiver aillant laissé quelques reliques derrière lui, il s’accouda à la table. « Eh, j – » Il comptait répondre au jeune homme, mais celui-ci n’avait pas l’air d’avoir l’intention de le laisser parler, enchaînant immédiatement. Étant un homme d’ego, il pinça un peu des lèvres et détourna le regard quelques secondes. C’était comme lorsqu’on faisait coucou à quelqu’un qui ne nous voyait pas – ou qui nous ignorait, dans l’univers des possibles. Mais Cecil qui tenait à son bout comme un chien à son os, enchaina immédiatement après que le jeune homme ait mentionné le nom d’une jeune femme. Ils parlaient souvent, donc il avait dû en entendre parler, mais vite comme ça il ne saurait dire. «  Pas grand-chose de neuf, non. J’ai juste promis à une fille géniale, y’a quelques jours, de la rendre heureuse, du coup ça me tracasse un peu. » Il fronça des sourcils, mais sorti vite de sa bulle, retournant son attention sur Silas. «  Y’a quoi, avec Elliana ? » Demanda-t-il avec curiosité.  Cette fois, il retira son manteau, considérant que ce n’était plus très confortable. Non loin, au bar, un homme interpella Cecil et lui demanda s’il comptait prendre la même chose que d’habitude. Salomon répondit par l’affirmative, faisant aussi signe à l’homme qu’il était avec quelqu’un. L’homme lui fit signe qu’il passerait bientôt. Le jeune homme sourit, retournant le regard vers son ami, prêt à l’écouter.
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