"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici romelias ✻ to protect and to serve [hot] 2979874845 romelias ✻ to protect and to serve [hot] 1973890357
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() message posté Lun 1 Juin 2015 - 7:58 par Invité

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ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ Je me réveille doucement, le sourire aux lèvres et le diable au corps. Sans vraiment réfléchir, je me retourne sur moi même et fini par passer mon bras par-dessus la taille d’Elias qui, comme à son habitude, me tourne le dos. « Bon anniversaire. » dis-je finalement en déposant un baiser au creux de sa nuque encore humide de la nuit passée. Laissant ma main descendre le long de son abdomen, je finis par la faire glisser sous l’élastique de son boxer caressant au passage ce qui fait de lui un homme… La dureté de la chose me fait sourire et m’excite en même temps. Moi-même victime de l’excitation du matin, je me colle à lui, laissant mon intimité se presser contre ses fesses malheureusement en sécurité derrière leur barrière de tissu. Touché à vif, ou du moins là où il faut, Elias gémit et m’arrache un sourire. « On dirait que t’es en forme aujourd’hui. » Sourire aux lèvres, je me redresse quelque peu et embrasse son épaule. Sa peau, son odeur, sa voix rauque du matin… tout m’excite chez lui. Ne pouvant pas me retenir, je mords son épaule, lui arrachant un grognement de désapprobation. Je n’arrête pas pour autant et alterne baiser et morsure… Agacé ou tout simplement enflammé par mes petites attaques, Elias finit par se tourner, laissant ma main passer de son entre-jambe à ses fesses que je presse sans aucune modération. Passant son propre bras par dessus le mien, il pose ses doigts sur l'une de mes joues et m’embrasse. Le feu qui circule dans la région sud de mon anatomie prend de l’ampleur, s'attaquant au reste de mon corps qui tremble d'excitation. Ce que je regrette presque aussitôt, le but de la manœuvre étant de le chauffer et de le frustrer lui et non pas l'inverse. « On a pas le temps Elias... » Je souris contre ses lèvres et remonte ma main sur son dos en signe de reddition. Pas vraiment convaincu, Elias continue de m’embrasser et laisse ses mains jouer avec mon corps alors que lui et ses lèvres descendent de mes lèvres à ma mâchoire, de ma mâchoire à mon cou. Le souffle court et l’entre-jambe aussi raide qu’un bâton, j’essaie de garder mon sang froid. Non, non... non « Elias arr… » Je ris nerveusement alors qu’il se met  à caresser l’intérieur de mes cuisses me forçant à retenir de petits gémissements qui pourraient lui donner envie d’aller plus vite. Hors de question que je le laisse s’attaquer à mes cuisses qui sont, je dois bien l'avouer, une partie des parties les plus sensibles de mon anatomie. J'aurais jamais dû lui dire à ce petit con.. Les deux mains sur son torse, je le repousse doucement non sans un sourire. « Arrête, on dirait moi » Je ris face à ma propre réflexion et m’extirpe du lit, le souffle court. Face à moi, Elias se laisse retomber sur le lit, surement aussi frustré que je peux l'être quand monsieur s'amuse à écourter nos câlins. Ce n’est que partie remise mon chéri. Pensé-je en enfilant le jean que j’avais préparé la veille. « On doit être au restau à midi, il est déjà dix heures et demi... Mais promis, ce soir on finit ça. » En espérant qu’il m'envoie pas chier. Le but était de le frustrer, pas de l'énerver voire le dégouter. Pris d'un élan de culpabilité, je finis par lever les yeux au ciel avant de retourner sur le lit. Marchant sur les genoux, je me place au dessus de lui, sourire aux lèvres.. « Promis. » Je l’embrasse et pose une main sur son torse ; torse que je serais déjà entrain de lécher si je ne m’étais pas décidé à jouer les parfaits petits fiancés. Sous moi, Elias se redresse, m’empêchant de mettre fin au baiser. « Arrête » je ris contre ses lèvres et le repousse grâce à la main que j’ai pris soin de poser sur son torse. Faut que je me casse et vite… Ce con serait capable de me faire changer d’avis rien qu’en me regardant dans les yeux. Je l’embrasse une nouvelle fois et fais de mon mieux pour ne pas m’attarder sur son entre-jambe que je sens prendre en volume contre mes fesses. Je soupire, m’extirpe une nouvelle fois du lit et attrape ma chemise. « Va te laver sale gosse, je vais lever Noam. » Noam qui est étrangement calme d'ailleurs. Vu l’heure, ça ne m’étonnerait pas de le retrouver réveillé et occupé à jouer avec ses peluches. A moins qu’il soit toujours endormi ? Non, j’en doute. Noam est surement le plus matinal de nous trois, il ne perdrait pas de temps au lit lui… faisant passer mon regard des boutons de ma chemise à Elias qui me regarde toujours, je souris et me mord les lèvres. Moi aussi je peux jouer à allumer les gens et les laisser en plan. Il soupire et se met à rire. « Et dépêche-toi ! » Finis-je par crier en le regardant s’enfuir vers la salle de bain, étrangement à l’étroit dans son boxer.

« Papa, sommeil. » Je regarde Noam et souris face à son petit air tout triste. Dans les bras d’Elias, Noam essaie tant bien que mal de survivre à ce repas qui se fait beaucoup plus long que prévu. Incapable de dormir avec toute la famille autour de lui, il lutte et fait de son mieux pour ne pas fermer l’œil. Personnellement, je n’ai jamais été aussi réveillé de toute ma vie. Littéralement en feu, je n’attends qu’une chose : pouvoir rentrer à la maison et faire la fête à Elias. Elias qui ne semble pas plus frustrer que ça d’ailleurs. J’aurais peut être dû me laisser aller ce matin… A moins qu’il cache son jeu. Aucune idée. On a beau ne plus se cacher de sa famille, j’ai toujours beaucoup de mal à analyser son comportement devant ses parents. Chaque caresse, chaque contact physique m’arrache un sourire… mais lui est tellement naturel... Les yeux sur son poignet, j’observe le bracelet Pandora en cuir que je lui ai offert avec un sourire. Ca lui va bien… je suis content de moi et de mon idée… ne reste plus qu’à croiser les doigts pour que la deuxième partie de son anniversaire se passe aussi bien que la première. Invités par ses parents, on a passé le majeur parti du repas et de l’après-midi à parler et rire avec eux.  Et si tout est redevenu normal entre moi et Theo, c’est loin d’être le cas avec Edwin qui continue de se comporter comme un étranger avec moi. Il a beau rebondir sur ce que je dis, rire de mes blagues, il ne s’adresse jamais à moi et se coupe de toute conversation quand on vient à parler de nous en tant que couple. Ce n’est pas demain la veille qu’on prévoira le mariage… Dommage. Plus on attend et plus j’ai peur de perdre de vue le but de tout ça… « On devrait y aller Elias… » Pas que je m’impatiente mais un peu quand même. Face à moi, Lyla pouffe de rire, parfaitement au courant du pourquoi je suis aussi pressé de rentrer à la maison. Avec un sourire, je la regarde et lui fait signe de se taire tout en faisant bien attention de ne pas attirer l’attention d’Elias qui rassure Noam. Dix/vingt minutes plus tard, il est temps de dire au revoir. Avec un sourire, j’embrasse et remercie les soeurs Hanwell et serre la main d’Edwin qui me sourit qu’à moitié. « Passez une bonne soirée. » Je sais que c’est inutile, qu’il ne me dira rien du moins pas sans le penser vraiment mais je garde espoir. Un jour Edwin m’acceptera. Il m’acceptera en tant que beau-fils mais surtout en tant que père de Noam. Ne reste plus qu’à dire au revoir à Theo qui ne se gêne pas pour me prendre dans ses bras et m’embrasser le front. « Merci pour tout ça. » Elle sourit, m’assure que ce n’était rien, que tout était pour Elias et qu’elle était heureuse de m’avoir vu ce qui m’arrache un sourire. Si elle savait tout ce je m’apprête à faire à son fils, je doute qu’elle soit aussi charmante. Fin de soirée ou pas, je compte bien retourner l’appart ce soir !

Arrivé à la maison, je me force à bailler. La comédie a toujours été mon domaine mais j’avoue ne pas avoir beaucoup forcer. Toujours dans l’entrée, je déshabille Noam avant de lui dire de courir dans sa chambre pour se déshabiller : seule chose qu’il sait faire. A croire qu’il tient de moi, plus rapide à se déshabiller qu’à s’habiller. « Tu t’occupes de lui ? Je vais me doucher… » Je regard Elias et souris avant de l’embrasser. Il part finalement vers la chambre de Noam, m’offrant la parfaite occasion pour claquer son cul ; chose que j’aime faire aussi bien habillé que déshabillé. Elias disparu, je me bouge à sortir le paquet que j'ai caché dans le placard de l’entrée quelques jours auparavant et me presse à rejoindre la chambre tout en prenant bien soin de faire le moins de bruit possible. Dans la chambre, je retire chaussures, chaussettes, pantalon et chemise et m’attèle à déchirer le carton. A l’intérieur, la parfaite réplique du costume de Captain America soit près de quatre-cent livres en tissu et cuir. D’un œil rapide, je me regarde dans la glace et essaie de me décider si oui ou non, j’ai vraiment besoin d’une douche. Très vite, je décide que oui et retire mon boxer avant de foncer sous la douche. Sous l’eau, j’essaie de faire le plus vite possible. Noam a beau être du genre réticent à s’endormir, je doute qu’il le soit ce soir, pas après tout ce qu’il a pu faire cette après-midi. Une fois les parties les plus intimes de mon anatomie propres, je sors de la douche, attrape le boxer le plus sexy que je possède – à savoir celui à l’effigie de Batman - et l'enfile. J’ai beau me déguiser en Captain America, j’en reste pas moins un fidèle supporter de Batman et sa Justice League.  Une fois mon anatomie empaquetée, je me presse et enfile le costume. Costume qui est beaucoup plus lourd que je croyais, costume qui dessine des muscles que je n’ai plus depuis longtemps. Amusé par la situation, je souris tout en ceinturant toutes les lanières de cuire qui promettent de gros moments de fou rires  le moment du déshabillage arrivé. Une fois habillé, je sors les bottes et les enfile. Ne reste plus que le casque et le bouclier… Casque que je décide de ne pas mettre et bouclier que j’accroche dans mon dos. « Ok… je crois que c’est bon cette fois. » Pas trop convaincu par la tête que ça me fait, je me place devant le miroir de la chambre et me retiens de rire. C’est juste parfait… Ca fait un peu office de fausse pub mais bon, le but est de faire plaisir à Elias et surtout de le pousser au viol. Super Héros ou pas, je suis en feu et je n’attends qu’une chose : qu’on m’arrose. C’est sale, déplacé et sale mais c’est la vie. Ne me reste plus qu’à trouver la parfaite position pour attendre Elias… Me passant la main derrière la tête, je jette un coup d’œil à la chambre, pas vraiment convaincu. Sans vraiment être sûr de moi, je me jette sur le lit et manque de me casser le dos tant le bouclier pèse et prend de la place… « Merde… ça fait mal… » Je grogne et me relève. Plus loin, la porte de la chambre de Noam se ferme et très vite, je me mets à paniquer. Droit comme un I, j’écarte légèrement les jambes, serre les poings et les places sur mes hanches. Position débile mais bon, j’ai que ça en tête.  Quoique… Si je me souviens bien, Captain America est un soldat. Ok, on laisse tomber la pose de superman, on serre les jambes et on salut ! Chose facile quand on sort de l’armée… Pense plus qu’à ne pas oublier de faire le salut américain et non anglais… Face à moi, la porte s’ouvre et je me redresse, plaçant le flan de ma main devant mon front. « Monsieur ! Joyeux anniversaire, monsieur ! » Notez que j’ai pris la peine de prendre mon plus bel accent américain… Bon, ça sonne horriblement moche vu mon propre accent londonien mais au moins j’essaie ! Le sourire aux lèvres, je me retiens d’éclater de rire. J’espère juste qu’il ne se foutra pas de ma gueule. Chose que j’aurais surement faite s’il s’était pointé déguisé en Batman.  
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() message posté Ven 26 Juin 2015 - 15:25 par Invité

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ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ Le visage de ma mère s'illumine quand elle nous voit passer la porte du restaurant où ils nous ont donné rendez-vous. C'est Romeo qu'il faut remercier pour notre ponctualité. Petit con. Monsieur a décidé que je commencerais ma journée d'anniversaire frustré comme jamais et c'est plutôt réussi. Je compte bien me venger le plus vite possible et jouer avec son corps comme il a pu le faire avec le mien il y un peu plus d'une heure, pour me laisser pantelant, sans rien au final. Tout le monde me serre dans ses bras tour à tour en m'embrassant et je suis soulagé de pouvoir m'asseoir. J'ai beau les aimer de tout mon cœur, ils sont un peu étouffants par moment... Particulièrement le jour de mon anniversaire ou j'ai l'impression d'avoir 5 ans à nouveau. Heureusement que Noam est là pour accaparer rapidement l'attention de tous, il passera de bras en bras tout au long du repas. Ma mère et les filles ne manquent pas de mentionner quelques anecdotes sur mon enfance et mes anniversaires précédents en notant qu'avec les années, ma motivation pour ce jour si spécial à quelque peu baissée. Faux, je profiterais sans doute à 100% de ce repas et de leur présence, si je ne pensais pas à embrasser la peau nue de Romeo à chaque minute. Connard. Quand le serveur vient prendre les commandes de chacun, je ne peux m'empêcher d'y voir une opportunité face à la distraction générale. Ma main posée sur le genou de mon fiancé depuis notre arrivée remonte doucement, jusqu'à l'intérieur de ses cuisses ou je m'attarde. Sa main trouve rapidement la mienne pour m'empêcher de continuer et je me mords la lèvre inférieure quand il me défie du regard. Chacun son tour mon cœur. La tête appuyée dans la paume de ma main droite, je l'observe et ne bouge plus d'un millimètre la gauche, conscient que tous les regards sont maintenant sur nous. « Ta commande bébé. » Je murmure et lui indique le serveur d'un coup de menton, serveur qui patiente depuis quelques secondes maintenant pour savoir que ce qu'il prendre. Je le sais soudainement à l'étroit dans son jeans et doit me retenir de reprendre mes caresses, au risque de me faire prendre. Je suis quand même en face de mes parents et mes petites sœurs. En face d'un père qui doit avoir envie de vomir rien qu'à nous regarder même s'il s'abstient de tout commentaire. Être pris la main dans le sac - à tous les sens du terme - serait sans doute la pire honte de toute ma vie, je me vois forcé d'arrêter mon petit jeu qui m'amusait pourtant. Je récupère possession de mes deux mains dés que les regards se tournent vers Thalia et me plonge dans la conversation pour ne plus avoir à penser au reste.

Noam fini la soirée la tête contre mon torse, à placer une phrase incompréhensible dans la conversation quand l'envie de réagir lui prend soudainement, ce qui fait rire tout le monde. Il est épuisé et je regrette de ne pas avoir pensé à prendre sa poussette pour qu'il puisse faire sa sieste comme tous les jours. « On devrait y aller Elias… » J'approuve d'un signe de tête et termine ma tasse de thé à la menthe tout en promettant à ma mère que je passerai la voir jeudi, mon jour de congé. La distante entre nous est à présent plus importante et Noam reste avec une baby-sitter pour nous éviter les kilomètres, ce qui ne doit pas être facile pour elle qui avait pris l'habitude de l'avoir pratiquement tous les jours. Quand vient le moment de saluer tout le monde, mon père s'attarde lorsqu'il me sert dans ses bras avant de me souffler un " je t'aime " qui s'abat sur moi comme un poids de 12 tonnes. Non pas que je ne sois pas heureux - soulagé? - de l'entendre... Je n'ai en fait jamais douté de l'amour de mon père... C'est juste qu'il sonne comme un " je t'aime malgré tes choix ", j'ai l'impression qu'il veut juste les pointer à nouveau. Je suis sans doute complètement parano car son regard bienveillant tombe sur moi quand il me dit de filer parce que " Romeo m'attend ". Il n'est pas encore dans l'acceptation que c'est mon fiancé et non juste Romeo mais franchement je ne peux pas me plaindre. Lyla me glisse un " amuse toi bien " avec un sourire moqueur et j'essaye de ne pas virer au rouge pivoine, me demandant si elle ne m'a pas capté il y a quelques heures.

Le trajet pour rentrer me semble anormalement long. Je ne sais pas si c'est la fatigue ou l'impatience, j'ai juste hâte d'être à la maison. De faire taire mes envies qui me bouffent les entrailles depuis ce matin. Malheureusement pour moi, il faut croire que c'est un jour sans vu comment Romeo baille... Le seul jour de l'année ou Romeo n'a pas envie de me sauter dessus, c'est aujourd'hui. Happy birthday to me. « Tu t’occupes de lui ? Je vais me doucher… » Je ne suis même pas convié à la rejoindre sur la douche... okay... « Heu... oui... je m'occupe de lui. » Je ne manque pas de marquer ma déception en lui adressant une petite moue qui disparaît quand il me claque les fesses. En fait, je pense qu'il a juste décidé de m'emmerder aujourd'hui pour toute les fois ou je lui ai dis non... Non pas qu'endormir Noam soit un problème, j'aurais juste aimer pouvoir m'occuper de son père ensuite. Là je m'attends presque à le trouver dans un profond sommeil quand je le rejoindrai dans la chambre. Je file à la deuxième salle de bain et le lave rapidement avant de lui enfiler son pyjama et l'allonger dans son lit. Noam ne manque pas de me demander de rester, comme tous les soirs, jusqu'à ce qu'il s'endorme.. Ce qui arrive plutôt vite. Il lutte pour trouver ses mots et continuer à me parler malgré ses paupières qui ne demandent qu'à se fermer et qui gagnent la bataille en moins de dix minutes. Je me penche par dessus son lit pour lui embrasser le front et sort de la chambre en refermant la porte le plus silencieusement possible. A mon tour d'aller prendre ma douche en solo... Dire que certains jours j'en rêve ! J'entre dans la chambre pour y récupérer un caleçon propre et écarquille les yeux en tombant sur Romeo. « Monsieur ! Joyeux anniversaire, monsieur ! » Mon regard tombe sur son sourire et j'éclate de rire. C'est nerveux, je ne peux pas m'en empêcher. Je ne m'y attendais pas du tout, persuadé qu'il avait définitivement renoncer à mes caresses pour aujourd'hui. Je referme la porte de la chambre sur laquelle je m'appuie, détaillant son costume de haut en bas en me mordant la lèvre, d'excitation et pour ne pas rire à nouveau. Il est parfait. Genre une parfaite réplique, à la limite de se demander si Chris Evans n'est pas venu le déposer lui-même à la maison ce matin pendant que j'étais sous la douche. J'ai soudainement l'impression d'être un enfant à disneyland, qui hésite à approché son personnage préféré de tous les temps alors qu'il rêvait de le rencontrer. J'approche finalement et laisse mes doigts glisser sur ses épaules et les faux muscles que le costumes lui dessinent. « On nous a donc menti sur les tablettes de Chris Evans, tout était dans le costume... » Je murmure et souris amusé - loin de là l'idée de critiquer son corps, il est parfait pour moi et il le sait.  Je pose mes mains sur ses joues et plante mon regard dans le sien. « T'es conscient que je ne vais jamais t'autoriser à te déshabiller à nouveau? » J'attends une petite seconde et l'embrasse, me collant à lui un maximum malgré le costume qui nous sépare - et qui doit peser une tonne. Je mords sa lèvre inférieure avant de laisser mes baiser se perdre sur sa mâchoire et dans son cou, seul endroit sensible qui m'est encore accessible. Une douche. C'était le plan à la base. Après quelques minutes à m'attarder sur sa peau, je m'écarte de lui en espérant qu'il soit aussi frustré que je ne l'étais ce matin - oui oui le costume ne pardonne rien. « J'vais vite aller prendre une douche. Interdiction de bouger. Je dois te passer les menottes pour être certain que tu sois toujours habillé quand je reviens? » Je serre mes doigts autour de ses poignets que je lève sous ses yeux. J'ai ce qu'il faut pour m'assurer qu'il ne bronche pas... Même si jouer avec des menottes n'a jamais fait partie de mon délire, sans doute parce que j'y associe ma vie professionnelle. Je fini par lâcher ses mains et lui vole un baiser avant de filer à la salle de bain sans me retourner, au risque de changer d'avis.  
Je pense n'avoir jamais été aussi vite. Je me savonne rapidement en m'attardant sur le plus important, m'essuie en étant encore à moitié humide et passe un rapide coup de déodorant pour terminer, fin prêt à me faire manger tout cru. Quoi qu'avant ça, il va falloir que je l'autorise à se déshabiller et c'est pas pour tout de suite. J'enfile juste un caleçon avant de revenir à la chambre pour le trouver assis sur le lit. Sans aucune délicatesse, je le pousse en arrière pour pouvoir me mettre à califourchon sur lui et l'embrasser. Il gémit et je me redresse, réalisant que je viens possiblement de lui briser le dos en deux à cause du bouclier qu'il y porte. « Merde ! Ça va? » Je demande, inquiet, même si je suis à deux doigts d'éclater de rire. On aurait pas l'air con à débarquer à l’hôpital comme ça...
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() message posté Ven 3 Juil 2015 - 19:58 par Invité

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you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ « On nous a donc menti sur les tablettes de Chris Evans, tout était dans le costume... » Je pose mes mains sur sa taille et souris, pas vexé le moins du monde. Je sais ce que je vaux physiquement et je n’en ai pas – plus – honte. J’imagine que je devrais le remercier pour ça. Qu’il en soit conscient ou non, le regard d’Elias seul suffit pour me mettre en confiance. Il m’aime et me le rend bien. Chaque caresse, chaque regard en coin suffisent à me faire sentir inestimable aussi bien physiquement qu’émotionnellement. « T'es conscient que je ne vais jamais t'autoriser à te déshabiller à nouveau? » J’éclate de rire et me mord le coin des lèvres. « C’est pas forcément le but mais j’imagine que je peux me débrouiller sans. » Outre mes attributs cent pour cent masculins, le seigneur a eu la bonté et la délicatesse de me doter de pas mal d’accessoire capables de le contenter et ce, sans même prendre la peine de défaire quoi que ce soit. Mes mains, ma langue me suffisent largement. Il m’embrasse, se colle à moi et je profite de l’instant pour laisser mes mains glisser de ses reins jusqu’à ses fesses que je presse sans aucune modération. Tout ça est à moi et je suis libre d’en faire ce que je veux. Il n’a pas arrêté de me chauffer de toute la journée et je compte bien me venger. Ce soir Elias aura droit au meilleur comme au pire du moment où je prends mon pied. Ce qui, par définition, revient à lui faire prendre le sien. Je ne serai rassasié qu’au moment ou je le verrais à deux doigts de l’explosion. Personnellement, je n’en suis pas loin. Le voir se mordiller les lèvres et se coller à moi suffit à faire dresser mon entrejambe qui, aussi douloureux soit-il, quémande la maltraitance. Malheureusement pour moi, ce n’est pas pour maintenant puisque monsieur se retire, sourire aux lèvres. En feu, je tente de me rapprocher mais Elias recule doucement. Je souris, conscient qu’il cherche à jouer avec moi et me mord les lèvres. Il n’est pas le seul à pouvoir le faire et je ne vais pas me gêner. « J'vais vite aller prendre une douche. Interdiction de bouger. Je dois te passer les menottes pour être certain que tu sois toujours habillé quand je reviens? » Je regarde ses mains sur mes poignets et affiche un sourire des plus aguicheur. Je ne suis pas contre les menottes mais autant les garder pour nos parties de jambe en l’air. M’attacher et me laisser poireauté ne ferait que me tuer à petit feu. On n’attache pas un hyperactif et surtout pas un hyperactif en rut. Ce que je suis clairement. Mon entrejambe me fait tellement souffrir que je prends presque un malin plaisir à le sentir à l’étroit, bien caché sous ce costume qui lui plait tant. « Je ferais de mon mieux, mais tu ferais bien de te grouiller, sinon, je commence sans toi. » Faudrait pas que monsieur me retrouve les deux mains dans le caleçon, le privant ainsi de tout ce que j’ai à lui offrir. Et croyez bien, que vu ma frustration, j’ai beaucoup à offrir. J’espère juste qu’il en va de même pour lui. J’ai beau être le plus pervers des deux, Elias n’en reste pas moins demandeur. La preuve étant tout ce qu’il a pu me faire subir aujourd’hui. Alors oui monsieur est contre le fait de faire ça en public mais ce n’est pas pour autant qu’il se prive de me chauffer à blanc. J’imagine qu’il aime ça… me faire monter en pression. Je souris à cette pensée et fait mine de lui mordre la lèvre inférieure quand monsieur tente de me voler un baiser. Il court presque en direction de la salle de bain et je ne me gêne pas pour profiter de sa petite course pour lui mater le cul. C’est pas ma faute si mon mec à un cul du tonnerre.

Assis au bord du lit, je fixe le sol. Le temps se fait long et j’ai l’impression que ça fait plusieurs heures que je suis là tant ma frustration a du mal à retomber. J’aimerais juste pouvoir le rejoindre. La douche, c’est notre truc. Je sais que beaucoup n’aime pas ça. Que beaucoup trouve ça peut romantique ou gênant. Seul problème : je ne suis pas romantique. Il m’arrive de jouer les amants attentionnés (surtout après nos mini-disputes où quand je suis trop fatigué pour faire autrement) mais je préfère de loin quand c’est brutal. Chose qui ne semble pas déplaire à Elias puisqu’il en réclame toujours plus. Les joies d’être avec un mec j’imagine. J’ai beau ne pas avoir d’aprioris envers les femmes, j’avoue que j’ai toujours eu tendance aux associés au romantisme. Chose que j’ai beaucoup de mal à faire avec les mecs. Ce qui est con en soit puisqu’Elias est surement le mec le plus romantique que j’ai jamais rencontré. A côté de moi, la porte s’ouvre et je n’ai pas le temps de redresser la tête qu’Elias se jette sur moi. Traité comme une poupée de chiffon, je me laisse tomber en arrière et grimace en sentant le bouclier contre mon dos. Ce con n’a rien de confortable mais tant pis. Ca ne serait pas la première fois qu’on ferait ça de façon inconfortable. Sur moi, Elias prend mes lèvres d’assauts et j’en profite pour passer mes mains à l’arrière de ses cuisses pour le hisser directement sur mon anatomie. Pris dans l’action, Elias s’appuie un peu plus sur moi, m’obligeant à gémir de douleur face au bouclier que je sens contre mon dos. Presque automatiquement, Elias attrape mes épaules et me redresse. « Merde ! Ça va? » Pas encore mort, je l’embrasse et souris contre ses lèvres. « Tu viens de me casser les reins… et pas forcement de la meilleure façon qui soit mais ça va. » Toujours souriant, je l’embrasse de nouveau, laissant mes mains caresser l’arrière de ses cuisses. Je le veux ici et maintenant et il est hors de question que je laisse ce foutu bouclier m’en priver. Agrippant ses cuisses, je me redresse et le laisse passer ses jambes autour de ma taille. Mes lèvres collées au sienne, je tourne sur moi-même avant de le plaquer sur le lit. Joueur, je mords l’une de ses lèvres et le force à lever les cuisses que je place finalement au dessus des miennes. « T’imagines même pas comme j’ai envie de toi. » Je gémis plus que je ne parle contre sa mâchoire, prenant un malin plaisir à frotter mon entrejambe contre le sien. Je suis en feu et rien de ce qu’il pourra faire ou dire ne pourra me calmer. Seule solution envisageable pour lui : la soumission. Il est à moi et je ne le laisserai pas sortir d’ici avant d’avoir eu ce que veux. Et ce que je veux, c’est lui. Doucement mais surement, je laisse mes lèvres descendre de sa mâchoire à son cou, de son cou à son abdomen pour finalement arriver au niveau de ce qui m’intéresse le plus. Laissant mes lèvres glisser le long de l’élastique de son boxer, je lève les yeux vers lui et affiche un sourire mauvais. « Et si je m’arrêtais là hein ? » J’embrasse une nouvelle fois le bas de son ventre. « Tu m’as chauffé toute la journée… je pourrais très bien me venger. » Un nouveau baiser et je souris, le sentant fébrile sous mes lèvres. Bien sûr qu’il veut que je continue. Monsieur n’attend que ça depuis ce matin. Et gentil comme je suis, je ne peux définitivement pas le priver de ce plaisir. Laissant mes yeux retomber sur son boxer, je l’embrasse, le sentant dur sous mes lèvres. De mes deux mains, je retire son boxer, embrasse l’intérieur d’une de ses cuisses et remonte vers ce qui, a mes yeux, est la meilleure des gourmandises. Gourmandise sur laquelle je m’attarde, prenant un malin plaisir à le voir se cambrer sous chacun de mes va et vient. Je suis en rut depuis près de huit heure et autant dire que j’ai la dalle.
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